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Rechercher : un économiste pour moi inconnu

  • Divers idées et autres pensées...

     

    Du doute:

     

    Le doute se doit d'être pris en considération mais, également, d'être étroitement encadré.

    Le doute est le questionnement naturel de la validité de ce que chacun d'entre-nous connaît et comprend du monde, ainsi que de notre façon d'y vivre, soit le sens que nous lui donnons ainsi que celui de notre adaptation à icelui.

    Il est dès lors normal d'apposer du doute sur le doute lui-même puisque ce doute est inclus dans cette compréhension et connaissance que nous avons du monde.

    L'imbécile croit toujours que remettre en question, douter, ce serait remettre en cause, quand le premier est la simple redéfinition du passé et du savoir et le second la tentative d'effacement du savoir antérieur sans le questionnement réel de ce passé.

    Ainsi, pouvons-nous découvrir de la nouveauté lorsque le sens du monde nous est totalement d'évidence?

    L'évidence étant, dans le même temps, quand elle est de nature, ce qui est, visiblement pour tous, et, tout au contraire, quand elle est restreinte, la croyance en ce que nous donnons pour tel et/ou nommons comme tel, est bien tel que nous l'imaginons, quand bien même cette assurance n'est qu'une vague interprétation de la réalité, cela sans être capable d'entrapercevoir la limite de notre ignorance.

    L'évidence est en même temps, de nature, la vue de la simple réalité partagée et, en son opposé, restreinte, la limite ignorée de notre ignorance due à notre interprétation personnelle et/ou collective de ce qui est perçu et vécu.

    Ou devons-nous questionner le sens que nous donnons au choses et aux événements, ainsi que de nous questionner nous-même sur nous-mêmes, douter, parfois, de ce qui nous est tant assuré?

    Parce que, après tout, cherchons-nous à comprendre le monde ou ne faire que de lui donner le seul sens que nous avons acquis au fil de la vie sans le remettre en question, sans en douter?

    Ce sens acquis de ce que nous percevons ne risquerait-il pas de nous égarer, parfois, dans des apparences toujours trompeuses?

    Mais douter de tout, sur tout, ne nous empêcherait-il pas d'acquérir une assurance nécessaire pour vivre au mieux dans le monde?

    Cela ne risquerait-il pas de nous paralyser dans nos actions, de les rendre inefficaces, de nous empêcher de vivre?

    Alors, où se trouve le juste limite du doute du sens du monde?

    Ce serait de rechercher le Qui nous sommes en comprenant que le "ce que nous sommes" est le fruit nécessaire mais restreint de notre seule représentation de ce que socialement nous sommes.

    La richesse du doute et sa limite se trouve donc au sein de notre Moi profond et l'outil nécessaire pour l'explorer s'appelle le questionnement.

    Parce que, après tout, l'évidence restreinte n'est-elle pas que d'encombrants parasites mentaux nous empêchant de percevoir au mieux la ronde infinie du monde?

     

    Réflexion de géostratégie prospective :

     

    Comme je l'ai déjà montré dans de mes textes précédents, nous devrons bientôt faire face à un effondrement économique mondial de très grande ampleur.

    L'Europe, dont la France, autant en raison de son appartenance à son union, ses tentatives impossibles de rembourser des dettes iniques, sa désindustrialisation quasiment totale, placée, qu'elle est, en tant que colonie, sous le rude mais discret joug d'un Tonton Sam ayant depuis longtemps tout misé sur la spéculation outrancière, pompant à ravir son reste de richesse, et la croyance sotte de la gouvernance U.E. et d'une partie des peuples de l'union que les États-Unis-d'Amérique seront à jamais le maître absolu, gardien armé de l'Union-Européenne, tout cela fait qu'elle s'est peu ou prou débarrassé de tout ce qui peut constituer une puissance militaire quelque peu valide.

    Or, jusqu'à présent, l'Union-Européenne ainsi que les B.R.I.C.s (Brésil, Russie, Inde, Chine, plus l'Afrique-du-Sud) ne doivent leur existence essentiellement qu'en raison de la toute puissance étasunienne, la première parce que l'U.E. est l’œuvre directe, la créature de cette dernière, les seconds en réaction d'une toute puissance du dollar (du pétrodollar) et de l'empire U.S. en déliquescences, ayant tendance, pour tenter de survivre et faire survivre sa monnaie, de s'essayer de déstabiliser ces pays.

    C'est pourquoi ceux-ci, dits émergents, se sont de fait alliés: pour contrebalancer la puissance monétaire, spéculative, militaire, manipulatrice, provocatrice de l'empire étasunien.

    L'Union-Européenne et l'alliance des B.R.I.C.s n'ont et n'auront donc d'existence que tant que les États-Unis-d'Amérique perdureront.

    Ce ne sera qu'ensuite que le véritable danger surviendra.

    La tentation sera grande pour chacun d'entre eux de vouloir remplacer cet empire ultime, du-moins dans sa région.

    Après, toutefois, qu'ils aient rétablis leur économie, ce tsunami monétaire les ayant tous laissé exsangues.

    En Afrique comme en Amérique du sud, le problème ne se pose pas vraiment, au moins dans les premiers temps, l'Afrique-du-Sud et le Brésil sauront prendre leur place ( quand bien même l'Afrique de l'Ouest aura une certaine appétence pour la France et/ou l'Angleterre et que celle de l'extrême Est risquerait bien de subir l'extension du conflit déjà ouvert au Moyen-Orient ).

    En revanche, l'Asie deviendra rapidement une poudrière, deux géants s'y faisant face, l'Inde et la Chine, avec, tout à coté, une Russie qui, me semble-t-il, fera tout pour empêcher cet incendie de prendre.

    Mais sera-t-elle suffisamment puissante et sage pour en avoir la force et la volonté?

    Si un conflit entre ces deux déjà puissances advient, il ne pourra pas ne pas dégénérer en un de grande envergure, avec ou sans alliances, entre des pays neutres et ceux prenant parti pour l'un ou l'autre camp.

    la Belgique de 1914 nous avait montré que la neutralité n'est pas un gage de paix.

    C'est pourquoi les pays européens, surtout du sud mais pas seulement, auront leurs mots à dire ou bien ne seront plus devenus que de vagues scories de ce qu'ils ont pu être par le passé.

    Soit ils seront indépendant de tout dictat, soit se retrouveront sous la férule de l'un de ces deux belligérants, soit, même, mèneront leurs propres jeux.

    La France et l'Angleterre, si cette dernière parvient à surmonter sa totale ruine, devront étroitement surveiller l'archipel antillais, en raison de la proche présence du Canal de Panama.

    Le nord Méditerranéen, donc les nations se situant au sud de l'Europe, dès lors la France, se retrouveront nécessairement au cœur de la lute de pouvoir et d'influence ayant pour enjeu le canal de Suez.

    C'est pourquoi l'arc atlantico-méditerranéen me semble, pour notre proche futur, d'une absolue nécessité.

     

    Réflexion sur l'électronique militaire :

     

    Un conflit moderne se fera grâce, avec et contre l'électronique.

    J'en perçois de plusieurs sortes:

    1) le commandement;

    2) le guidage;

    3) la cartographie;

    4) le codage;

    5) les aides aux soldats;

    6) la robotique;

    7) les aides au pilotage d'engins de toutes sortes.

    Ses faiblesses sont patentes et nombreuses:

    1) mauvaise qualité des composants;

    2) contre-mesures;

         a) brouillages;

         b) décharges et saturations électromagnétiques;

    3) limitation de la compréhension des programmes complexes;

    4) limitation du transport des informations en raison d'une faiblesse des infrastructures;

    5) bogues dus aux rayons cosmiques;

    6) décryptage.

    Les robots-soldats me semblent une aberration en raison de sa dangerosité potentielle:

    1) brouillages là encore;

    2) reconnaissance amis/ennemis, il est toujours possible de retourner ce type de soldat par le décryptage des codes ou émetteurs;

    3) bogues.

     

    Métaphysique de la politique :

     

    En réalité, la finalité de la politique devrait être non pas la puissance de domination mais la puissance de réalisation de chaque citoyen conduisant à la réalisation de la nation.

    Ce but politique de la réalisation de chacun devant se faire par le bon fonctionnement de la société, cela ne pouvant se réaliser que par une loi juste autant en terme de justice que de justesse, égale pour tous, autant que par des institutions équitables et dynamiques.

    Ainsi que par un pouvoir politique légitime et vertueux assurant au mieux la bonne harmonie sociale permettant à chacun de vivre selon son tempérament et sa nature.

    Il en est de même de l'école pour qui la finalité ne doit pas être la recherche d'une productivité sociale ou commerciale.

    Instruire l'enfant, l'adolescent, le jeune adulte, l'homme et la femme de tous âges de toutes les choses dont chacun aurait besoin pour sa vie courante, pour connaître et comprendre la société dans laquelle il vit, pour connaître et comprendre l'ensemble des sociétés humaines, pour connaître et comprendre l'univers dans son entier, pour, surtout, se connaître et se comprendre, devrait être le but, le dessein de l'instruction.

    L'éducation se devant de rester la responsabilité des seuls parents et proches (n'a-t-on jamais vu un chien être instruit de quoi que soit?).

    Cette réalisation de Soi ne devant pas se faire au détriment de la réalisation de quiconque tout en agissant en conformité avec sa personnalité profonde, sauf si celle-ci contrevient à l'existence de son prochain.

    Certes, l'acte social, par le travail et par tout autre participation sociale, est important mais, au-delà, la réalisation de chacun, en solitaire ou collectivement, se devrait d'être le cheminement de tous.

    Étant entendu que la non recherche de sa réalisation personnelle est déjà une forme de réalisation de Soi.

     Bien qu'elle puisse être une affaire publique de par une loi juste, des institutions approuvées et un pouvoir politique légitime et vertueux ainsi qu'une école bien faite, juger, dans le privé, du cheminement d'autrui vers sa réalisation de Soi ne peut, en aucun cas, p

  • Ce n'est pas la fin de quelque chose mais son début!

    Veuillez me pardonner de mon erreur de manipulation menant à la publication intempestive de ce billet avant qu'il ne soit achevé.

     

    Il ne peut qu'y avoir nombre de sites qui montrent et démontrent l'inanité du gouvernement, de l'administration bruxelloise, voire des assemblées délibératives et des médiats, en relevant des faits et des paroles inutiles ou néfastes, des messages incongrus, des ordres contradictoires, des silences nuisibles ou odieux, des mensonges éhontés...

    Combien y aurait-il, combien resterait-il de gens sérieux à l'assemblée Nationale et au Sénat, un tiers à un quart pour le premier, une moitié pour le second?

    Combien se comptent-ils dans notre gouvernement?

    Il y en aurait-il?

    Mais quoi qu'il en soit de ce bien réel et malheureux état de fait, un danger nous guette et un travail nous attend, le second, de plus, résolvant le premier.P1030042.JPG

    Quel serait donc, avec le COVID-19, cet autre péril qui nous menacerait.

    C'est l'ennui, qui fut pour Charles Beaudelaire le thème d'une magnifique déclaration Au lecteur en en rendant la définition aussi belle que juste.

    N'allez pas croire, au-delà de ce trait, que je ne sois pas sérieux, l'ennui, en effet, peut être tout autant constructeur que destructeur pour l'esprit et plus nous avançons dans l'âge, plus sont grandissant les risques qu'il nous fait prendre.

    Jusqu'à souffrir d'angoisse, d'état dépressif, d'un stress post-traumatique ou mener à un usage immodéré de sucre, d'alcool ou de toutes autres substances psychogènes.

    Or, nous avons dès maintenant un travail urgent à effectuer: commencer à concevoir et conceptualiser la reconstruction industriel, agricole, minier aussi, tout autant que politique du pays.

    Mais pour cela il faut commencer par un début logique: ne pas se laisser aller, surtout si l'on vit seul.

    Bien manger, se laver, s'habiller, faire de l'exercice même sans sortir, faire son ménage (qui est pour moi une difficulté), téléphoner à la famille, aux amis, continuer de vivre, donc...

    N'attendons rien de ces ribouldingues qui censément gouvernent et font nos lois, ils nous montrèrent qu'ils sont dans la plus absolue incapacité de penser, prévoir et P1020964.JPGgérer une crise sanitaire qui, même si elle est grave, aurait pu se révéler infiniment pire.

    Alors il ne peut qu'être cohérent de considérer que les mêmes ne puissent pas officier avec ardeur et vivacité pour cette reconstitution, cette reconstruction, eux qui, jusqu'à présent, prirent du retard sur ladite crise que parce qu'ils ne prévoyaient et ne concevaient, par obéissance aux GOPE de l'UE, que de passer leur 49.3 à l'Assemblée Nationale au sujet du projet de loi dédié aux retraites, dans leur impossibilité première de pouvoir imaginer qu'ils puissent être atteint par Monsieur Coronavirus (le vit russe, hi, hi, hi).

    Tout le reste ne leur semblant que secondaire.

    Eux qui ne voit d'horizon que la ligne bleue étoilée d'or de la construction européenne, paniquent et plus encore, ébahis et transis, divaguent à l'idée que leur construction européenne chérie se délite au-devant de leurs yeux.

    Ils ne sont plus rien que de leurs rêves brisés!

    Lesquels peuvent-ils être considérer comme étant les plus sérieux?

    Ceux qui resteront à leur poste, quand bien même se confineront-ils chez-eux, n'en poursuivront pas moins leur métier d'élu.

    Il n'est plus que les imbéciles pour encore croire aux autres.

    ( Voici un tableau relevé dans le livre d'Emmanuel Todd: "Les luttes des classes en P1030242.JPGFrance au XXI° siècle" page 55, dont la source de l'auteur serait Eurostat :

    14 des pays de l'Union-Européenne en première colonne, en seconde, les emplois industriels en pourcentage % de la population active totale:

    République tchèque       /      30,6

    Slovénie                            /      27,4

    Slovaquie                         /      27,3

    Hongrie                            /      24,0

    Pologne                            /      23,8

    Allemagne                       /      20,7

    Italie                                 /      20,0

    Autriche                           /      17,3

    Finlande                          /      14,8

    Espagne                           /      13,8

    France                              /      13,6

    Danemark                       /      12,9

    Suède                               /      11,4

    Royaume-Uni                 /      11,1P1030049.JPG

    Il y a plusieurs observations à y faire:

    Nous comprenons pourquoi les britanniques ont voulu quitter l'union.

    A la vue des pourcentages des employés industriels et, dès lors, de la puissance en terme d'économie réelle, usines et fabriques, pour chacun des pays:

    Qui de l'Allemagne et la République Tchèque est le plus riche?

    Qui de la France ou de la Pologne est le plus riche?

    Qui de l'Italie ou de la Hongrie est le plus riche?

    l'Allemagne est-elle vraiment la première puissance économique de l'union?

    La France est-elle vraiment la seconde puissance économique de l'union?

    L'Italie est-elle vraiment la troisième puissance économique de l'union?

    Sachant de plus que l'Allemagne, la France et l'Italie verse des subsides, via l'UE, à la République Tchèque, à la Pologne et à la Hongrie.

    L'Union-européenne est-elle vraiment une construction sérieuse?

    Note à 19 h 30, ces mêmes tchèques ont détourné 680 000 masques et respirateurs aux italiens que la Chine leur destinait.

    Vous savez quoi, le premier qui me dit que l'UE  est une bonne chose, je le traite de débile, en son sens médical du terme!)

    Alors, quel est ce travail que je vous propose que nous effectuons tous, chacun muni P1020057.JPGde ses capacités, de ses talents et de ses connaissances?

    De commencer dès maintenant à concevoir comment rebâtir au mieux et au plus vite le tissu industriel, minier et agricole  de la France, économique donc, de l'économie réelle, mais aussi politique.

    Ceci en attendant d'agir au mieux suivant les dispositions de chacun.

    ( Quand à notre gouvernement, il risque fort de sauter comme sur une mine s'il continue de se conduire d'une manière aussi infantile, s'il poursuit son affligeante impéritie.

    D'avoir de plus conduit une violence policière dirigée envers tous manifestants, dont entre-autre les pompiers et le personnel médical qui aujourd'hui, hypocritement, sont encensés par ces mêmes donneurs d'ordre.

    Que les ministres comprennent, le sieur Macron m'en paraissant incapable, que,  suivant Monsieur Sapir, autant un coup de force, comme celui qui avait mené au pouvoir le général De Gaulle, mène à une continuité politique de l'état;

    Autant un coup d'état ou une révolution ne peut que conduire à une remise en cause de la constitution d'auparavant, ce qui veut dire qu'à ce moment là leur vie même pourrait se révéler être en jeu.

    Je leur conseillerais donc à vivement à se remuer le popotin, d'arrêter de se justifier en accusant Pierre, Paul, Jacques de leurs propres stupidités et manquement  et deP1020445.JPG cesser séant toutes leurs autres gamineries ridicules.

    N'est-ce pas messieurs-dames les faiseurs.

    En nous montrant et démontrant jusqu'à présent ainsi à tous une insigne faiblesse mentale, pour dire le moins, qui, si cette crise perdure, ne pourra qu'obliger quelques forces ou d'autres de vous renverser.

    Mais je ne pense pas que vous puissiez agir de la meilleurs des façons, vous qui craignez plus que tout la disparition de l'Union-européenne, vous qui n'êtes habités que de cette petite angoisse là!

    Et ne percevez le reste que comme grandement secondaire, sauf si cela génère des perturbations que vous ne savez gérer que par la force policière, les autres éléments d'action vous étant totalement abscons.

    D'où vos errements sans fin dans cette crise sanitaire.

    Si, l'autre chose dont vous êtes capable, profiter de votre situation pour vos petites agapes. )

    Mais quoi qu'il en soit de ce travail, la condition sine qua non  de son effectivité ne peut qu'être de n'être plus au sein de l'Union-européenne qui, de part les traités, son idéologie dont sont empreints la majorité du personnel politique, en empêche tout développement.

    C'est pourquoi, au minimum, votez pour l'UPR.

    P1020279.JPGNous ne pouvons plus nous permettre, en effet, de rester dedans cette union et de continu

  • De quoi nos angoisses se tiennent-elles?

    Bourdon Terrestre (Bombus Terrestris)

     

    Bonjour tout le monde,

     

    Avant-propos:

    Il est de fait que, quand bien même cela est tu, les pays européens à l'intérieur de l'union et donc au sujet de la France,  en tant que colonie étasunienne, se trouvent en un statut similaire à celui qui prévalait pour le Vietnam au sein de l'Indochine française.

    Le nier en insultant le porteur de cette affirmation basique c'est faire preuve de forfaiture, au mieux, d'une forme collective de névrose, au pire.P1060215.JPG

    Notre problème, en tant que citoyens français colonisé, est double:

    1)-Cela nous a conduit à un retard évolutif et de développement de notre patrie de près d'une trentaine d'année, tant scientifiquement, artistiquement, économiquement, technologiquement, intellectuellement..., voire même à ce que cela nous en ait fait gravement rétrograder sur tous les plans.

    C'est bien parce que notre position de colonisé est au minimum minimisé quand, majoritairement, il est dénié, que je me vois contraint, pour rendre cette affaire d'évidence, de me montrer peut-être quelque peu excessif à l'endroit de l'imperium thalassocratique US.

    Bien que puisque l'on ne prête qu'aux riches, quelle que soit le type de richesse, et au vu des multiples complots que cet empire complotiste a pu se révéler être coupable au fil de son histoire proche d'un petit peu plus de trois siècles, il est probable que de cet excès dont, sur mon blog, je me fais montre soit bien en deçà de la réalité;

    2)-L'aspect primitif de la société US, se pensant l'alpha et l'oméga anthropologique de la perfection en tant que peuple à la destiné funeste manifeste, ceci doublé de l'intrigue manipulatrice continuelle dont elle fait preuve à notre égard en voulant, de toutes forces, que nous devenions leur semblable-;

    Ceci, dis-je, nous conduit à une angoisse importante qui, au fil des sept décennies P1060029.JPGpendant lesquelles cet état de fait s'est développé, s'en est accrue aujourd'hui d'une manière telle, et en raison même de sa négation devenue quasiment catégorique, que cela conduit toutes les échelles hiérarchiques de la population à voir ladite angoisse se transmuter en une instabilité mentale plus grande encore, prenant différentes  formes, jusqu'à une violence de toutes sortes.

    C'est bien parce qu'il y a refoulement collectif de cette réalité première de notre domination par un empire malveillant, ce que nous savons (de Marseille) fort bien,  tout en le considérant comme absolument bienveillant, ceci en niant mordicus que nous puissions souffrir de cette bivalence sous la forme de cette auto-injonction paradoxale, l'ensemble étant non exprimé, nous conduit à voir s'augmenter les dites instabilités mentales à mesure que l'empire décline.

    Parce que du fait même que, justement, les causes véritables de l'origine de cette angoisse multidécennale n'est que peu ou  non consciente, que comme nous avons, au fond de nous-même, cette relation ambivalente d'avec les USA, alors, tout signe de son affaiblissement ne peut que nous mener à des réaction plus ou moins hystériformes, survenant parfois sans raison véritable.

    Il est vrai, moi aussi, il n'y a encore que peu de temps, je n'avais pas saisi cette réalité première.

    De la nature des USA et de notre vision à tortP1060206.JPG manifeste mais faussé de ce qu'elle serait:

    L'état profond étasunien est un petit malin: il laisse à croire que grâce à lui l'Allemagne peut assouvir son fantasme de recréer l'empire carolingien et, à la France, de ce que sa souveraineté est définitivement détruite et son pays transformé en länder.

    Ô les deux beaux mensonges que notre colonisateur laisse entendre à notre endroit sans jamais l'exprimer véritablement, tout en détournant notre regard du véritable coupable de nos difficultés; les Etats-Unis-d'Amérique.

    Déjà l'Allemagne, quand elle se retrouve à regimber pour telle ou telle raison face à l'empire, retourne directement à sa niche en couinant dès lors que notre bon maître lui fait les gros yeux.

    Ensuite, ledit empire carolingien était infiniment moins étendu que ce que peut être que l'Union-européenne, sans compter que si la Germanie en a les clefs ce n'est juste que pour les porter, et s'il se révèle qu'elle veuille en ouvrir les portes, ce qui me semble en être tout de même de sa velléité, alors la thalassocratie impériale détruira la maison unioniste jusqu'à ses fondations.

    De fait, notre domination par l'empire US est un tabou et, ce, depuis longtemps quand, dans le même temps, sa nature réelle, thalassocratique, ne put, de ce que j'en sais, être comprise que depuis quelques années seulement par Christian Greiling de son site: "Chronique du grand jeu" sous le pseudonyme d'Observatus Politicus P1060093.JPG(duquel je vous ai déjà fait cas).

    Les Etats-Unis-d'Amérique est un pays extrêmement jeune et, déjà, dès les années cinquante, il se disait de lui que: « Les États-Unis d’Amérique sont le seul pays passé de la barbarie à la décadence sans jamais avoir connu la civilisation. » 

    De fait, celui-ci ne peut perdurer en tant que tel, tout simplement parce que, s'il est déclinant (contrairement à ce que j'ai pu en concevoir par le passé) c'est qu'il est entré, dès les années soixante, dans un processus civilisationnel où sa nation ne peut que traverser les mêmes tourments que toutes civilisations ont pu connaître par le passé (poils aux nez).

    C'est pourquoi il ne peut qu'être ardu de définir les étapes par lesquelles il passera mais que nous ne pouvons qu'être assuré que cette crise première qu'il traversera, qu'il traverse déjà le laissera, pendant des décennies au moins, hors de tout enjeu international, ou alors à la marge.

    C'est çà qui nous conduit, jusqu'à maintenant, à cette angoisse existentielle: nous pensions que les USA étaient le nec plus ultra de l'évolution sociétale, culturelle et anthropologique, que grâce à eux nous vivrions une paix éternelle, venant en écho à la lointaine pax romana, étasuniens se croyant eux-même résurgence de l'Empire Romain d'Occident, ce qui n'est que fariboles, billevesée et rêveries.

    Nous pensons cela inconsciemment, tout en ne voulant pas être sous leur domination, tout en désirant résolument être son 51ème état, tout en haïssant sa réalité sociale & culturelle, tout en voulant lui ressembler et en adopter les code, tout en  considérant leur caractère arriéré, etc, etc, etc, etc... !P1060130.JPG

    En des allers et retours angoissant entre amour et détestation, visible par le ridicule rejet de Monsieur Trump ainsi que de l'affection dérisoire pour Monsieur Bilden de la part de nos journalistes et chroniqueurs (qu'adore les alsaciennes) cornichons.

     

    L'UE comme ersatz d'USA offert par notre mentor, une sorte de réconfort carcéral:

    Hormis la Pologne qui n'a aucune confiance en ses voisins européens, sauf des pays nordique et encore, tous les autres de l'est ne sont rentrés dans l'Union-Européenne et l'OTAN que contraints et forcés par l'empire, mais aussi de par leurs intérêts bien compris: ils s'industrialisent sur notre dos!

    De fait, il n'en faut que de peu pour qu'il nous quittent avec armes et bagages en nous laissant ruinés.

    Pour ceux de l'ouest, dont nous sommes, les Etats-Unis représentaient, en plus d'une toute-puissance qu'ils n'ont désormais plus, l'Eldorado, la Terre Promise, là où couleraient le lait et le miel et où Wall Street représenterait la cité d'or d'où ruisselleraient toutes les richesses, le lieu où existerait la corne d'abondance ressuscitée.

    C'est en cela, en ce fantasme européen vain et dérisoire, et affin que la mainmise étasunienne puisse s'effectuer en plein sur l'Europe, qu'il leur a fallu, aux services manipulateurs US, en soudoyant depuis 70 longues années l'élite du et des pays, mettre progressivement, tout doucement en place une succédané d'Amérique qui, au fil du temps, pris différents noms: CE, CEE..., pour qu'aujourd'hui nous nous retrouvions, nous aussi, avec une union, l'Union-Européenne, et une monnaie, l'euro, avec une jolie même double barre "-" traversant l'E: €.

    C'est cela qui a à un tel point abâtardi notre société et, ce, de tous points de vues, P1060353.JPGnous conduisant aujourd'hui aux affres de l'iniquité, de la pauvreté, de la violence, de l'inculture et de la sottise: de vouloir ressembler aux américains.

     

    les pigeons de France:

    En France notamment, une coterie de quelques dizaines de milliers d'individus dont nous connaissons la plupart des visages dans les médiats officiels, sont totalement inféodés à l'état profond US et/ou à leurs oligarques, dont aux entreprises pharmaceutiques et aux société internet, entre tant d'autres.

    Ce ne sont pas seulement nos entreprises qu'ils achètent, ce sont aussi nos cerveaux, parfois bien fait, qu'ils corrompent, qu'ils endoctrinent depuis si longtemps, jusqu'à faire émerger, chez ces nôtres concitoyens, un état mental confusionnel de les mener part trop au mensonge.

    Notre état profond, la haute administration et les PDG des banques, nos oligarques, les riches détenteurs de nos médiats payés par nos impôts, ne sont que les dindons d'une farce pire encore qu'il peut en être pour nous, simple quidam, ceci parce qu'eux, ainsi que leurs employés du monde politique, médiatique et pour partie économique, sont infiniment plus circonvenus que nous ne le sommes, agissent essentiellement pour les intérêts impériaux et non pas pour les leurs propres et, encore moins, pour ceux de la nation.

    Nous pourrions le dire de cette manière grossière et imagée que nous utilisons tous avec plaisir (ne nous le cachons pas) dans le langage commun: "Ils se font tous baiser la gueule par les ricains dans les grandes largeurs!"

    Et quand en viendra le moment, ils se devront de payer cette gabegie, la faillite du pays, leur collective traîtrise en France comme ailleurs: la colère populaire sera tropP1060197.JPG importante et il faudra bien la calmer.

    Nous faudra-t-il envisager d'achever une épuration du pays qui, en 1944, ne fut que partiellement effectuée en raison des ordres donnés, déjà à l'époque, par notre bon maître au gouvernement d'alors?

    Sommes-nous dans une situation analogue?

    Quand ceux, de l'état profond et de l'oligarchie US, se la couleront douce en regardant, rigolard, gesticuler comme de pauvres pantins leurs petits subalternes français faisant face à leurs juges et à la vindicte populaire.

     

    Etats-Unis-d'Amérique & Union-Européenne, leurs liens indéfectibles d'avec leur fin:

    Dès lors que l'imperium transatlantique commença à montrer de graves signes de faiblesses, dès un petit peu avant la magistrature de Sarkozy, cette angoisse déjà ancienne composée de ce malaise entre notre amour et haine pour les States, se mua en une douleur due à la compréhension viscérale de sa prochaine disparition.

    Qui ne put qu'accroître d'autant plus cette angoisse, conduisant à une grande P1060402.JPGanxiété, voire, pour certains, à de l'effroi (il en était de même pour les communistes d'il y a trente ans).

    Nous savons tous, en effet, quand bien même ce ne serait que largement majoritairement inconscient, que ce fantasme d'Amérique sous les traits de l'union disparaîtra soit juste avant, soit en même temps, soit tout de suite après la disparition de l'empire, quelles qu'en soient les raisons et la façon avec laquelle cela se fera.

    Cet ersatz d'une puissance impériale en déclin très avancée que sont les UE/€/OTAN, puissance à laquelle les européens s'imaginent de participer par réflexe pavlovien,

  • Du retour à la politique.

    Peut-être de la famille Colletidae, Colletes serait son nom, quand à son prénom...?

     

    Bonjour chers lecteurs,

     

    Préambule:

    Il est une question qui, de plus en plus, anime chacun d'entre-nous: que faire?

    Celle-ci se posant sous la forme d'une affirmation: que pouvons-nous y faire à l'aune de notre situation...P1050245.JPG

    J'avoue qu'en cela je n'ai pas de réponse directe, de ne pas pouvoir dire qu'il serait possible d'agir de telle ou telle façon en ces temps où le nombre de gens se rendant compte de notre manipulation augmente.

    En quelque sorte, nous nous retrouvons dans une situation analogue à celle qui existait pour la population républicaine, avant que Louis-Napoléon Bonaparte n'en vienne à déclarer la guerre à la Prusse en 1870, s'achevant par la défaite de l'empereur à Sedan, de son abdication, suivit de celle française.

    Il est d'ailleurs de constater combien la vulgate officielle encense cette période, elle qui, de la sorte, voit en Monsieur Macron la renaissance du second empire.

    Il y a un ensemble d'événements rendant mon hypothèse de notre rétrogression historique centrée sur cette période valide, assertion, toutefois, que j'effectue toujours avec prudence.

     

    Avant-propos:

    Tout au long de mon blog, je n'ai eu que de cesse d'émettre un certain nombre d'hypothèses sur toutes sortes de sujets, de faire un travail philosophique (par nature hypothétique dans le dessein de faire évoluer nos composantes intellectuelles) en tant que penseur brut.

    Dernier terme que je revendique assurément, montrant que nous sommes tous en droit et, oserais-je l'affirmer ainsi, en devoir de penser en toute indépendance P1060125.JPGd'esprit.

    Bien que ladite indépendance soit directement relative aux structures sociales de chacun d'entre-nous, le français ne pensant pas de la même manière que l'allemand, le vietnamien, le congolais, le syrien ou le britannique..., et inversement (poils aux dents).

    J'avais, par exemple ici, proposé la notion "d'économisme dogmatique" qui stipulerait que la vision, décisions et actions du politique, conduite partout, au national comme à l'international, auraient comme seule horizon, seule viatique les notions d'économie, prévalant sur toutes les autres dimensions sociales et, ce, jusqu'à actuellement, en un processus perverti dès le début des années 80 par le monétarisme spéculateur.

    En une manière inversée étatique/privée dans ce qui se faisait appeler le bloc de l'est, dit communiste, ainsi que du bloc de l'ouest, dit capitaliste, lors de la guerre froide (1945/1991).

    Ce phénomène ayant débuté en Europe dès le XIX° siècle (au XVIII° ans les pays anglo-saxon puis en France) sous la forme de la libéralité économique bourgeois générant progressivement son exact contraire, l'étatisme social.

    La particularité de notre époque présente est que ledit économisme dogmatique, s'exprimant sous forme d'un capitalisme devenu corrompu dans tous les sens duP1050386.JPG terme, s'est, non pas seulement en Occident, exprimé sous la forme de l'oligarchie financière.

    Soit de considérer que seul la politique monétaire fait économie, ce qui marque, à mon sens, l'effondrement intellectuel de sa classe sociale occidentale la plus riche, oligarchique.

    Preuve en étant que le plus grand nombre de décès dû au SRAS-COV-2 s'y trouve chez-nous, à contrario des pays dits "en voie de développement", ainsi que le montre le professeur Raoult (s'il n'y avait que de cette preuve là).

    Il va donc nous falloir réinvestir la notion même de politique, ceci dans son sens le plus large, celle d'économie revenant à la place qui lui est due, celle de mener au mieux à la richesse des nations ainsi que de conduire à la meilleurs des politiques pour le pays (poil au zizi, hi, hi, hi).

    Il nous faut donc passer de l'économie-politique à la politique-économique du pays.

     

    Nous éprouver par avance de notre indépendance nationale, penser déjà de nos empêchements:

    Pour cela il nous faut commencer par concevoir, par comprendre que nous devons P1050759.JPGreprendre notre totale et absolue indépendance nationale, sans ça rien ne pourra se réaliser.

    Laissons de coté l'aboiement des porteurs de la vulgate médiatique, politique et économique qui, si facilement, insultent de toutes sortes de façons tous ceux qui oseraient présenter, porter et défendre de telles mesures.

    Et même montrons la dimension totalitaire, fascisante de cette faction, renvoyons leur leurs propres turpitudes abjectes dont ils souffrent, le pire en est que cela provienne de tous partis et de tous médiats officiels confondus.

    Notre dépendance étant constituée comme une poupée gigogne, chaque composant étant emboîté dans une autre jusqu'à celui englobant l'ensemble, soit les États-Unis-d'Amérique.

    En un exemple simplifié à l'extrême, je le reconnais, la France est sous la servitude de l'Union-Européenne, elle-même sous celle de la Germanie, placé sous la suggestion de l'OTAN sous direction de l'empire thalassocratique US.

    A tout le voir, je pensais antérieurement que les décisions absurdes gouvernementales, tant au sujet du SRAS-COV-2, des services publics que de l'énergie, de notre économie en général, ne touchaient que les pays anciennement dits occidentaux.P1050828.JPG

    Quand de fait, hormis pour une part, en ce qui concerne ceux d'Afrique, d'Asie et d'Amérique-du-Sud, ainsi la Russie (bien que...), sont de fait empreint de cette même mouvance idéologie absurde.

    Donnant lieu à des décisions contradictoires, comme, en France, de vouloir, par la volonté de l'administration de l'Union-Européenne, supprimer à terme les centrales nucléaires et au charbon pour les remplacer par des moulins à vent, ne fonctionnant que quand il y en a, du vent, mais non pas de trop sinon elles se retrouveraient détruites et sont donc, par prudence, mises en arrêt automatique (mais utilisant de l'énergie pour son entretien, même stoppées, énergie parfois ou souvent supérieur à ce qu'elle peut produire).

    Ainsi que des cellules photovoltaïques qui ne peuvent que générer du courant électrique que quand il fait jour, ce qui est amusant en hivers lors des froidures de plus nuageuses, de voir de plus ses jours s'écourter.

    Ceci au moment même de l'advenu de la 5G téléphonique et de l'automobile électrique  qui ne peuvent que demander un surcroît important d'électricité.

    Sans compter qu'il nous faudra bien nous réindustrialiser lorsque nous aurons retrouvé notre indépendance nationale.

    P1060301.JPGJ'émets l'idée que cela est dû à une façon de dysfonctionnement mental collectif de ladite hiérarchie sociale la plus haute de nombre de sociétés, celles sous le joug de la domination étasunienne.

     

    Le pays de Jamais-Jamais:

    Pour comprendre de quoi il en retourne, je vous conseille de lire ces deux articles, le premier traitant du roman 'Peter Pan", le second celui dédié au syndrome du même nom.

    Je suis tout de même resté deux jours alité à la suite de la lecture de l'essai éponyme de Dan Kiley.

    Le pays de Jamais-jamais, donc, est celui de Peter Pan, ce vieil enfant, parfois de 90 ans, ne voulant à jamais grandir, d'où le nom de l'île qui l'abrite.

    Les psychologues étasuniens (à l'époque où ils n'étaient pas encore stupide) de l'école de Palo Alto (années 60 à 80) ("on ne peut pas ne pas communiquer" était leur credo, ce qui est génial et pour moi une révélation) en ont fait un syndrome désignant toutes personnes de tous âges dont l'évolution psychologique reste suspendue à son enfance, vivant de ce fait dans un monde imaginaire, celui susnommé.

    Ce qui, étrangement, me fais penser à celui au milieu duquel vit chaque perversP1050884.JPG narcissique.

    Bien qu'il s'agisse de deux mondes distincts, le premier ne pouvant qu'être individuel, le second étant susceptible d'être collectif, l'un et l'autre tendraient, quoi qu'il en soit, à y entraîner les personnes saines d'esprit dans le leur propre.

    C'est dans ce pays chimérique que les français, les européens, unioniste ou non, ainsi que toutes les nations assujettis à Tonton Sam, mais aussi en pire les étasuniens, sont amenés, d'où le nombre d'obèses qui se trouve aux USA dans ce désir irréfléchi et malsain de vouloir rester un poupon, quand bien même l'usage d'une nourriture de mauvaise qualité et une vie stressante y serait grandement pour quelque chose.

     

    Rapide calcul du pourcentage de morbidité du vilain virus jusqu'en Septembre:

    Si nous prenons en compte le nombre totale de morts mondiaux officiels dus au vilain virus à ce jour où j'avais effectué ces calculs, le 7 Septembre 2020, 880 955 décès, au regard du nombre d'habitants sur terre à cette date, environ 7, 637 milliards, 7 637 000 000, puis que nous en recherchions le pourcentage (je fus contrains de le faire manuellement puisque les calculette de mon ordinateur ne P1050954.JPGpeuvent pas l'effectuer):

    880 955 / 7 637 000 000 x 100 = 0, 0 011 535 % décès.

    Vous remarquerez qu'aucun médiat ne nous transmet ledit pourcentage, comme il peut en être de celui du taux de CO2 dans l'atmosphère qui est, celui-là, si mes souvenirs sont exacts, de 0,04 16 21%, j'avais fait ce dernier le 1er Juillet 2020.

    Ensuite, voulant savoir de ce qu'il en était en France j'ai commencé par chercher le nombre totale de morts à ce jour, ici était noté 30 739 décès.

    Voulant savoir à combien se révèle la population française, le le 7 septembre 2020 j'effectuais ma recherche ainsi: "nombre d'habitants en France 2020" j'obtenais ce nombre : 66, 524 millions,  soit 66 524 000.

  • Retour à la politique (que je n'avais jamais quitté).

    J'avais de projet d'une longue réflexion sur le cas Attali, sujet qui, ma foi, recouvre bien des réalités politiques, psychologiques et sociologiques.

    Mais après cinq à six  heures de dur labeur, j'ai tout effacé, ce sujet pouvant se révéler dangereux et, suivant ma maxime: "Prendre un risque inutile est imbécile.",  je referme ce thème.

    De toute façon, ce personnage, qui n'a de réel intérêt que celui qu'il se porte, depuis qu'il nous avait présenté Macron comme étant notre nouveau président deux ans avant son élection, est considéré par de plus en plus de monde que comme n'étant qu'un vil malandrin aux discours fourbes et mielleux, dits d'une voix aussi douce qu'un bas de soie.

    Ce bonhomme, bien qu’agaçant, ne représente plus que l'ancien monde, ce que son petit protégé de l’Élisée et sa femme de mère, leur personnel ministériel et de l'assemblée Nationale, ainsi que leurs spadassins, dont le sieur Bennala fut le plus visible, n'ont de cesse que de le détruire, bien malgré eux, je le concède.

    De par leurs actions bêtasses et désordonnés.

    Le paysage politique français ressemble à un cimetière ou, suivant, au désert des tartares.

    P1020124.JPGQuand dans le même temps internet délire sec, enfin la plupart du temps, ou ne raconte pas grand-chose de bien intéressant.

    Alors je vous propose que du peu d'information à notre disposition, d'autant plus en ce mois d'Août vacancier, nous allions voir de ce qu'il peu en être de la situation politique en France et ailleurs.

    Ce vieux monde, perclus de rhumatismes et souffrant de fortes nécroses neuronales, se délite à son rythme, aider en cela par un Monsieur Trump qui voudrait bien jeter au plus vite l'Union-européenne dans les poubelles de l'histoire, et, dans le même temps, voudrait bien réindustrialiser son pays en déstabilisant une globalisation économique déjà en une situation largement précaire, et par nos zigotos qui, bien malgré eux, de part leur incompétence formelle, à la direction économique et politique de l'Union-Européenne et de la France, prennent tous des décisions ne menant l'économie internationale qu'à sa perte, enfin, ne font qu'en accélérer l'inéluctabilité.

    Le seul endroit, le seul pays où le président U.S. essaie à tout prix de conserver une place pour sa nation dans le pourtour méditerranéen c'est Israël, non pas pour des questions idéologiques, comme il se dit à tort, mais pour des raisons géostratégiques logiques, il ne suffit que de regarder une carte de la région pour le comprendre.P1010605 - Copie.JPG

    Vous y remarquerez que ce pays se trouve à quelques encâblures du canal de Suez, qu'à son nord-est la Syrie, l'Irak, l'Iran et, dans une moindre mesure, la Turquie, sont alliés a la Russie, ainsi que l’Égypte à son ouest, la Jordanie et le Liban essaient de toutes forces de rester neutre, de l'autre coté de la mer, au nord-ouest, la Grèce est économiquement exsangue par les actions de l'oligarchie mondialisée et européenne menées depuis 2011.

    Quand à l'Union-Européenne, elle explose lentement comme de ces gros pets que l'on essaie de réprimer et qui s'échappe en un long, bruyant et douloureux chapelet nauséabond au milieu du silence gêné de l'assemblée.

    Ne reste plus, pour cet empire U.S. moribond, qu'Israël et l'Arabie-Séoudite (par là, mec) pour conserver un semblant de possession en cette mer Méditerranéen d'une importance stratégique capitale, d'autant plus qu'il y aurait du gaz sous celle-ci entre la Grèce et Israël.

    Les actions de l'équipe trumpienne se font sur de nombreux fronts.

    Ainsi l'empire tente de reprendre pied en Amérique-du-Sud, en y ruinant les monnaies des nations les plus rétives, comme il en est du Vénézuéla, qui, de plus, détiendrait l'une des premières réserves en pétrole.

    (  Il y aurait une cause autre d'hyper-inflation que de la seule surproduction monétaire, celle d'une perte de valeur de cette monnaie par rapport à toutes les P1010743.JPGautres, quelle qu'en soit les raisons, d'autant plus si le pays émetteur, ne vivant surtout que d'importation grâce, pour le Vénézuéla, à son pétrole, ne subvient donc pas, en interne, suffisamment aux besoins minimums de sa population tant en nourriture que pour l'hygiène, ceci sachant que le dollar reste encore la monnaie des échanges commerciaux internationaux.

    Je suppute que les hyper-inflations turque et vénézuélienne proviennent d'actions répressive monétaires provenant des U.S.A., par un jeu spéculatif dont, il est vrai, j'ignore tout.

    La Turquie ayant proposé d'entrer au sein des B.R.I.C.A., c'est en effet un casus belli à l'endroit d'une puissance impériale en mode de survie, cette nation étant l'un des verrous stratégiques eurasiatique majeur de l'O.T.A.N..

    Trump aurait voulu jeter la Turquie dans les bras de la Russie qu'il ne s'en serait pas pris autrement.  )

    Pendant que ce repli étasunien, plus ou moins en bon ordre, se fait sur ses bases arrières que sont le double continent américain, nord et sud, Mrs. Trump et Poutine se rencontrent pour, comme dans les années 80 entre Gorbatchev et Reagan au sujet du recule de l'U.R.S.S., discuter aujourd'hui de celui des U..S.A., soit de la nouvelle donne géopolitique que cela entend.

    Je pense que ça concerne au premier chef  l'Europe et son union dominée par l'Allemagne partant à vau-l'eau.

    Je pensais, par le passé, que les intérêt géostratégiques de la Russie ne se portaient essentiellement que sur la Méditerranée mais, en y réfléchissant bien, elle porte aussi son attention sur l'Europe de l'est et central, soit l'ensemble de ce qui était appelé, avant 1914, les empires centraux, mais aussi les états balkaniques (qui avaient pris, peu de temps auparavant, leur indépendance d'un empire turc enP1010730.JPG déclin, conclue par deux guerres dites balkaniques 1912/1913).

    De ce qu'il peut en être des Balkans ainsi que de l'ouest et le sud européen, ce que je supposais depuis longtemps, ce rapprochement russe y est logique en raison d'une mer Noire les longeant baignant le port de Sébastopol, donnant directement dans les océans Pacifique et Atlantique via la Méditerranée, que ce pays s'intéresse aussi à l'Europe centrale m'intrigue.

    Le seul avantage que j'y perçois serait d'éviter que des désaccords ne s'y installent et ne dégénèrent en des conflits armés, ce qui fut tout le même le fait depuis bien plus de deux millénaires.

    Mais pour que ces alliances multiformes puissent se faire entre la Russie et les pays de l'ouest-eurasiatique, il lui faut attendre que l'Union-Européenne et l'empire U.S. disparaissent et que l'économie-monde fasse faillite afin que chacun retrouve ses marques politiques, culturelles, cultuelles, scientifiques, technologique et intellectuelles qui étaient les leurs par le passé.

    Le choc traumatique que cela génèrera chez les peuples européens ne pourra que leur être bénéfique, bien que les premiers temps seront très difficiles pour tous.

    Pour le reste, Mr. Poutine semble être sur la voie d'achèvement du programme qu'il me semble s'être fixé: pacification méditerranéenne et européenne, établissement d'un allié sûr en Asie, l'Inde, rapprochement d'avec le Japon, conciliation consolidée P1010575.JPGd'avec la Chine grâce à ses exportations de gaz, liens, anciens, d'avec Cuba pour une sécurisation du canal de Panama, éloignement d'avec le dollar pour réduire les effets de sa disparition, ... .

    De tous les continents, le point faible des russes c'est la grande Afrique et seules la France et la Grande-Bretagne en ont les clefs.

    La Chine, quand à elle, paraît vouloir copier les États-unis-d'Amérique en proposant à sa population une société de service qui fut il y a quelques décennies, notamment en France, l'annonce cachée de la survenue du néolibéralisme.

    Ce qui est proprement fascinant dans ce pays c'est la vitesse avec laquelle elle nous rattrape dans ce qu'il y a de plus absurde dans l'obscure idéologie contemporaine néolibérale, sans même que ses dirigeants, tout comme les nôtre au demeurant, ne s'aperçoive que deux modèles et non des moindres, les U.S.A. et la G.B., ont montré au monde la stupidité affligeante de ses présupposés et leurs effets profondément destructeurs lorsque ils sont mis en pratique.

    En France le paysage politique se délite à tout va, ne reste plus que l'U.P.R. plus quelques partis peu connus.

    L'affaire Bennala fut en tous points explosive et a accéléré une situation qui était déjà largement précaire.

    Surtout, cette affaire nous a montré l'extrême fragilité du R.E.M., les radios-P1010609 - Copie.JPGéléments (oui, je sais, je le dis à chaque fois), que nous pouvions resentir commencer à se défiler de leur mandat en plein milieu de cette tempête burlesque bennalesque, loin de se passer dans un verre d'eau.

    Autant certains élus d'autres partis, de droite comme de gauche (enfin, ce qui se fait appeler tel), pris dans une tourmente euro-atlantiste euromaniaque qui les dépasse, pourraient très bien se révéler être des gens infiniment plus responsables que ce à quoi ils se donnent l'air, lors d'une crise majeur telle que cet effondrement économique généralisé en  cour ne pouvant que se conclure que par son écroulement soudain.

    Autant ceux composant le mouvement de notre inénarrable président (s'il n'existait pas faudrait l'inventer) fuiront, à de rares exception près, comme d'un seul homme, et femme, ne soyons pas sexiste, dès qu'une difficulté réclamant un minimum de solidité psychologique et politique, ainsi que de la jugeote, survenait.

    Ce scandale d'état d'une dimension égale, voire supérieur à ce qu'avait pu être l'affaire Stavisky, a déjà des conséquences qui, bien qu'encore discrètes, génèrera des effets que personne ne peut prévoir.

    Zapouillant en toute légèreté hier soir, je suis tombé (sans me faire mal) sur un reportage montrant le prince Macron qui, pour aller saluer la toute petite foule qui l'attendait, passer, de loin, devant deux policiers lui lançant des regards peu amènes.

    Là encore le cadrage était fortement serré, preuve qu'il n'y avait pas beaucoup de personne pour l'accueillir.

    Sans compter les chroniqueurs et autres journalistes en vu qui rament, rament, P1010849.JPGrament comme des malheureux, à la télé comme à la radio, pour tenter de redorer le blason d'un Emmanuel 1er désormais totalement terni.

    Comme j'ai pu l'expliquer dans deux textes précédents, cette affaire est remonté dans les médiats pour deux raisons possibles, de celles me semblant les plus cohérentes:

    1)  l'oligarchie voulait reprendre le contrôle de leur employé, Emmanuel Macron;

    ou:

    2) l'équipe trumpienne veut dézinguer l'Union-Européenne en déstabilisant la France.

    Une troisième possibilité étant une composition complexe de ces deux éventualités.

    La question restant que ç'ait été le journal Le Monde qui avait fait ressortir cette affaire, c'est pourquoi je privilégie la première éventualité à la seconde.

    Auquel cas nous ne pouvons que souligner l'incroyable incompétence de ceux qui mirent notre président actuel à son poste puis qui le déstabilisèrent pour en reprendre le contrôle, ce qui a affaibli ce dernier  considérablement et réveillé une population quelque peu amorphe.

    Ceci étant à mon sens la preuve de cet état de délabrement intellectuel de ceux qui, normalement, devraient mener l'économie du pays à un dynamisme visiblement inexistant, nos oligarques propriétaire de nos médiats, aidé en ceci par les exigencesP1010789.JPG extravagantes de l'Union-Européenne, cause, entre-autre, de la dégradation des infrastructures de tous les pays de l'U.E. (motif essentielle pour laquelle le pont de Gène s'est effondré) et de l'appauvrissement de l'ensemble des populations.

    Il est important de souligner que la politique poursuivit par Emmanuel Macron, autant en raison des ordres strictes venant de l'U..E. que pour satisfaire la rapacité de ses maîtres oligarques, sont en tous points semblables à ce qui généra la ruine des U.S.A., avec ses près de 40% de chômeurs.

    Les médiats tentent, par une intense propagande, ce que les hurluberlus de chroniqueurs télés et les serviteurs ministériels de Macron appellent, de leur langage fleuri, faire de la pédagogie, à ce que la population approuve leur décisions.

    Nous enverrait-on un jour en camp de rééducation comme il en fut sous la Chine de Mao?

    Mais ce que tous ont peine à comprendre c'est que leurs choix furent tentés par d'autres, les U.S.A. et la G.B. entre-autres, et cela c'est révélé être un terrifiant échec.

    Nouvelle preuve, s'il en est, du bruyant silence de leur capacité mentale, au P1010481.JPGsingulier.  )

    Ce délabrement intellectuel, donc, touchant le plus haut de notre hiérarchie sociale, U.E. comprise, oligarchie européenne surtout, explique pourquoi cette mouvance oligarchique se soit fourvoyé en se fragilisant à ce point avec leur baltringue de président.

    Certes, ils peuvent sortir, de leur chapeau, quelques nouveaux intrigants prenant place d'un macronisme exsangue, il se fait dire sur internet qu'une certaine

  • Là, en soir d’Été.

     

    Au soir de l'Eté

     

    Les femmes sont belles en ces soirs d’Été

    Quand l'Automne montre ses jaunes feuillages.

    Tel qu'au chaud soleil suit les froides étoilées,

    Ces dames, bras nus, couvrent, là, leur bel âge.

     

    J'aime ces sources parfumées comme autant ces fraîcheurs

    Des tôt matins emmitouflés en vêtures élégantes

    De ces brumes se levant à mesure des heures.

     

    Femmes, les contemple cheminer, fringantes,

    De leurs pas comptés au rythme de leurs heurs

    Et quoi qu'elles vivent, souvent, pétillantes.

     

    Les femmes sont belles la fin d’Été venue,

    Des riches formes aux graciles si menues,

    J'admire autant leur charme et beauté,

    Songeant, suivant, leur si douce abricotée.

     

                                               ----------------------------------------------

     

     

    Assis confortablement,

    Je fume ma clope,

    Chez-moi,

    Là,

    Dans le salon de mon appartement,

    Dans ce petit bâtiment sis Perreux-sur-Marne,

    En banlieue parisienne,

    A l'est de Paris,

    Je fume ma clope,

    Et je suis,

    Là,

    En France,

    A l'ouest,

    Tout à l'ouest de L' Eurasie,

    Je suis assis,

    Là,

    Et je fume ma clope,

    Tout proche de ce petit affluent de la Seine,

    La Marne, en France,

    Sur Terre,

    Je suis là,

    Et je Fume ma clope,

    Tranquille,

    Tranquille, omme la Terre qui tourne,

    Tourne autour du Soleil,

    Qui tourne,

    Si tranquille,

    Et moi, là, tranquille, je fume ma clope,

    La Terre qui tourne autour du soleil,

    Tranquille,

    Comme ces huit autres planètes,

    Ses sœurs, qui tournent,

    Tournent autour du soleil,

    Qui tourne comme tourne le Soleil,

    Sans cesse,

    Au médium de la Voie-Lactée,

    Notre Galaxie,

    Notre galaxie où j'habite

    Où je suis, là,

    Et où je fume ma clope,

    Dans la nôtre de galaxie,

    Dans notre galaxie où je suis,

    Cette galaxie qui rejoint certaines de ses semblables

    A grande vitesse,

    Vers le petit tas de galaxies,

    Cet amas local qui fonce vers d'autres,

    Et d'où je suis,

    Moi,

    Là,

    Confortablement assis,

    Et je fume ma clope

    Dans l'univers inflationniste … … …

    Et après ?

    Au-delà ?

    Je ne sais … … …

    Mais moi, je fume ma clope

    Et je suis,

    Là !

     

     

    THEURIC

  • Nouvelle réflexions sur le temps présent.

    Le processus de désagrégation économique suis son cours et la politique reprend difficilement ses droits, entre autre en Union-Européenne.

    L'économisme échevelé, en une bête blessée à mort, rue et mord quiconque paraît lui barrer la route de sa survie.

    L'U.E. en rajoute chaque jour un peu plus pour se faire détester.

    Le gouvernement U.S. et Wall Street voient s'agrandir toujours plus le gouffre de leur décrépitude.

    Les B.R.I.C.A., souffrant de la faillite mondialisée, commencent à prendre leur place dedans un empire étasunien en déliquescence, comme au Proche-Orient.

    Alors, allons y voir.

     

    P1000445.JPG

    Deux faits majeurs doivent dorénavant être pris en compte pour celui voulant comprendre la dynamique historique en cours:

    -La faiblesse des États-Unis-d'Amérique est aujourd'hui patente et s'accentue continuellement;

    -Le système économie globalisé se fragilise au même rythme et s'approche toujours plus de son effondrement.

    Les E.U.A. montrent, en effet, depuis le début de la crise ukrainienne (qui était passée rapidement à une guerre civile), puis de la forte prise de position de la Russie en Syrie, qu'ils n'ont plus la puissance nécessaire pour être hégémonique.

    Militaire, certes, mais aussi économique et politique, cette faiblesse ne peut qu'être visible pour tous ceux sachant s'écarter de l'américanolâtrie de notre époque.

    Pour en comprendre la juste dimension, ici seulement politique, je vous propose l'extrait d'un texte de Dmitri Orlov, traduit de l'anglo-américain puis publié sur le site de Monsieur Berruyer ( http://www.les-crises.fr/lempire-le-plus-bete-du-monde-par-dmitri-orlov/ ) et appuyant mon propos:

    "Il est difficile de l’admettre, mais tout semble possible à présent. Ainsi, les États-Unis semblent ne plus avoir la moindre politique étrangère : la Maison Blanche dit une chose, le Département d’État une autre, le Pentagone une troisième ; Samantha Power, à l’ONU, fait sa propre politique étrangère viaP1000621.JPG Twitter, et le sénateur John McCain veut armer les rebelles syriens pour qu’ils descendent les avions russes (Tous les cinq ? Ne sois pas stupide, John !). En réaction face à une telle confusion, les hommes politiques à la botte des États-Unis dans l’Union Européenne commencent à s’agiter de façon incontrôlable et ne respectent plus le scénario, pour la bonne raison que le centre nerveux à Washington ne leur envoie plus de signes cohérents."

    Cette confusion du gouvernement étasunien est logique et tient en ce que celui-ci n'a plus, maintenant, ni légitimité, ni pouvoir, puisque lui-même est sous la férule des banques, fonds d'investissement et autre Wall Street.

    Cela a conduit, depuis sûrement longtemps, à la perte progressive d'influence et de contrôle du président Obama sur l'ensemble de ses administrations et ministères, chacun prenant son indépendance suivant les seuls intérêts et idéologies des groupes ou des individualités, tout en tentant de prendre l'ascendance sur les autres.

    Bien sûr, le dernier bastion, la dernière colonie américaine, l'Union-Européenne, ne peut qu'être perturbé par cet état de fait, d'où la double tentative de domination sur celle-ci, là encore logique, du bureau européen, d'une part, et de L'eurogroupe ainsi que de la B.C.E., tous deux assujettis à l'Allemagne, d'autre part.

    Sans compter sur le F.M.I. qui, lui aussi, s'écarte au même rythme de l'autorité U.S..

    Il est à noter que la F.E.D., la banque centrale étasunienne, et sa directrice, Madame Yellen, sembleraient, eux aussi, être en proie aux plus grandes confusions, ne sachant plus quelle stratégie adopter pour redresser la déplorable situation de l'économie réelle de leur pays, sachant que plutôt que des 5, 5% de chômeurs annoncés, le chiffre s'établirait, plutôt, entre 13 et 23%, ceci sans considérer la faiblesse des émoluments de ceux ayant un emploi et de la disparition dramatique des usines et fabriques.

    Le monceau de crédits de toutes sortes, immobiliers, des producteurs de gaz et pétrole de schiste, aux étudiants, par exemple, accentue cette fragilité, il en est de même de l'immense fabrication de monnaies lui faisant perdre toute valeur, ainsi que des bulles spéculatives boursière, comme celle dite des technologies ou de l'incroyable monté de Wall Street, bien au-delà du ciel, ne pouvant que conduire les U.S.A., à terme, à leur ruine, infailliblement définitive.

    Militairement aussi la situation de ce pays est déplorable et l'injection massive d'argent (de singe) dans le complexe militaro-industriel n'y change rien: plusieurs fois la Russie a montré à tous une puissance technologique qui lui est bien supérieur, que ce soit en mer Noire ou en Syrie et, ce, grâce à des crédits infiniment inférieurs.

    Tout cela ne pourra qu'avoir des effets centrifuges sur ses états qui, d'une manière ou d'une autre, ne peuvent que prendre leur indépendance du gouvernement fédéral et conduire les U.S.A., soit à leur partition, soit à une guerre civile.

    Pour finir sur ce sujet, les tensions dites raciales dont nous avons tous entendu parler dans les médiats, des dissensions religieuses que nous pourrions très bien deviner au regard de cette situation catastrophique, des mouvements ouP1000627.JPG groupuscules politiques plus ou moins séditieux ou révolutionnaires, de droite comme de gauche, que nous pouvons, en toute logique, envisager, la grande quantité d'armes que possède une bonne part de la population, peuvent facilement renforcer le sentiment d'une prochaine disparition des E.U.A. dans la violence.

    Ainsi ce géant, le dernier empire et le seul universel, se sera lui-même et de lui-même terrassé par ses propres manquements et folies avant d'avoir pu mettre le feu au monde.

     

    L'économie-monde se trouve aussi dans un état déplorable et est aux portes de son anéantissement.

    Le déséquilibre grandissant entre la réalité de l'économie mondiale et les surproductions monétaires ainsi que de la monté vertigineuses des bourses montre, à qui le veut, que ce système ne tient plus qu'à un fil, très mince, celui du dollar.

    Or, comme nous l'avons vu, ce dernier n'est plus soutenu que par un gouvernement américain vaporeux et une F.E.D. aux abois.

    Le-dit dollar est autant la monnaie des échanges commerciaux, de remplacement des monnaies sans valeur dans les pays pauvres, de réserve dans les banques centrales que pour les marchés des changes et financiers.

    Autant dire que s'il disparaît, que quand il disparaîtra, d'une manière ou d'une autre, cela ne pourra que produire plus qu'une panique, une réelle, terrible, monstrueuse terreur, même pour ceux qui s'y sont préparés, même dans les états faisant tout pour rompre leurs liens avec lui.

    Comme je l'ai déjà raconté dans ce blog, ce sera l'ensemble de la chaîne économique et des échanges internationaux qui s'interrompront pour un temps indéterminé, des extractions minières aux récoltes, du tourisme aux autres expatriations, en passant par les usinages et fabrications, jusqu'aux transports maritimes et aériens, passagers et marchandises.

    Que les communications électroniques n'en souffrent pas trop et nous pourrons nous considérer comme chanceux.

    Sans compter, là encore, aux infiniment nombreuses bulles spéculatives parsemant le monde, dont celle, chinoise, énorme, immobilière, est la plus connue, et a, cet été, fortement ébranlé l'oligarchie économique internationale, bulles spéculatives qui ne pourront qu'éclater, rajoutant encore de défaillances à cette dévastation.

    Et les monnaies, non plus, ne pourront s'échanger puisque leurs valeurs respectives n'auront plus aucun sens et que les organismes sensément prévus pour les évaluer, soit divers fonds spéculatifs et banques, auront disparus ou seront nationalisées.

     

    Il faut bien comprendre que les situations nationales et internationales sont mises en place et déterminées par trois type de personnes:

    -Celles qui comprennent ce double effondrement futur et agissent et décident en conséquence, comme les dirigeants russes et chinois;

    -Celles qui comprennent ce double effondrement futur mais ne peuvent agir et décider que dans un cadre étroit en raison de contraintes liées aux trop proches relations de leur pays d'avec les U.S.A., comme il peut en être de certains chefs d'état de l'Union-Européenne;

    -Celles qui, quoi qu'il puisse se passer, ne comprendront ou ne voudront jamais comprendre que nous allons droit vers ce double effondrement futur et qui, contre vents et marrées, persistent et persisteront à agir et décider de manière nuisible pour leur pays et P1000448.JPGleur peuple, soit parce qu'ils ne peuvent pas concevoir, par aveuglements idéologiques, que les U.S.A. et la globalisation économique puissent disparaître d'un coup, soit en raison de leur espérance en des récompenses futurs sonnantes et trébuchantes ou de leur place privilégiée, alliée à leurs désirs de pouvoir, puissance et domination, les déterminent à un même aveuglement, mais, là, maladif, d'asservissement des populations et/ou de gains futurs confortables.

     

    Il est à noter qu'en France et sûrement ailleurs en Union-Européenne, divers partis politiques, jeunes pour la plupart, tel que l'U.P.R. et le (M.)P.E.P., font campagne pour que notre nation retrouve sa souveraineté, ceci en quittant définitivement, en toute clarté et logique, le bloc U.S.A./U.E./€./O.T.A.N..

    Mais qu'ils ne font jamais, également, du-moins dans leur discours officiel, allusion à la flagrance qu'est cette ruine universelle et disparition de l'empire U.S..

    Ce que je comprends fort bien, il serait terriblement difficile de se faire entendre en en mentionnant ne serait-ce que l'éventualité, d'autant plus que cela affecterait gravement leur position et leurs discours, surtout qu'une large partie de la population nie avec, parfois, une farouche vigueur, ne serait-ce que sa possibilité.

    Quoi qu'il en soit, ils devraient prendre en compte, maintenant, ce fait manifeste, quitte à le taire, ceci pour réagir au mieux dès l'instant où cela débutera.

    La position de Monsieur Mélenchon et de son parti est intéressante.

    Lui désir l'épreuve de force avec l'eurogroupe, l'Allemagne et la B.C.E., je lui fait confiance, il la gagnera, si je lui ai donné le surnom de Bulldog n'est pas pour rien, j'ai compris sa pugnacité et sa force de caractère.

    Toutefois, j'ai l'impression que lui et son parti n'ont pas compris que l'Union-Européenne et tout ce qui s'y rattache ne peuvent que disparaître en même temps que son créateur U.S. et l'économie-monde, cela en tout état de cause, ce qui ne pourra que les déstabiliser, j'espère le moins longtemps possible pour ensuite absorber ce qu'il restera du P.C.F..

    Je passe rapidement sur le sujet Vert/P.S./U.D.I./U.M.P, dit "Les Américains", ils n'ont, pour moi, plus aucune espèce importance, hormis quelque individualités qui sauront rebondir rapidement lorsque la globalisation commencera à décliner, voire, pour certains, réagir avec intelligence et vigueur, les divers verrous dus à ce bloc sus-nommé ayant sauté, ils pourront, tout à loisir, développer leur intelligenceP1000632.JPG politique.

    Le F.N. ne peut que retenir un bref instant mon attention.

    D'un discours paraissant anti-européen, ce parti et ses adeptes sont, en réalité, viscéralement eurolâtre.

    il n'est que de voir les œillades appuyées que Madame le Pen lance au petit père des peuples Juncker ou à Frau Merkel, ou bien de savoir que si Le Pen fifille devient présidente de la république elle ne fera que rediscuter les accords de l'eurogroupe, moins, en somme, que ce que fit Monsieur Tsipras et son gouvernement (nous savons tous à quoi cela a pu aboutir), nous ne pouvons que concevoir que ce mouvement n'est que l'un des chevaux de Troie à la solde des eurolâtres et américanolâtres.

    La visite de sa présidente aux États-Unis-d'Amérique, à un gala donné par les puissances d'argent de là-bas en son honneur, comme étant la femme la plus importante de l'année pour la France et l'Europe, est également la preuve que ce parti ne mange pas seulement aux râteliers de l'eurogroupe mais aussi à ceux de l'empire U.S..

    Il est des traitrises qui ne s'oublient pas!

    Tout comme celle perpétuée par Monsieur Sarkozy, lorsqu'il avait vendu l'or de la patrie au même empire, à un prix défiant toute concurrence.

    Mais lui, au moins, ne faisait pas preuve d'un tel double discours.

    Passons, là encore, le M.E.D.E.F., la C.F.D.T., comme n'ayant, non plus, aucune importance, ils seront, comme d'autres, balayés par cette prochaine déferlante.

    Les journalistes en vu dans les médiats officiels seront rapidement remplacés par des gens plus capables, sauf, peut-être, Lise Lucet, d'une certaine intelligence et finesse, si elle sait retourner à temps sa veste.

     

    J'ai déjà évoqué les tensions futures qui ne pourrons que se produire entre l'Inde et la Chine.

    Ces deux géants, en puissants voisins se toisant dans les hauteurs de l'Himalaya, ne se sont alliés, pour l'instant, au sein des B.R.I.C.A. que pour limiter le pouvoir, devenu de seul nuisance, des États-Unis-d'Amérique.

    Leur gouvernement subiront les foudres de leurs populations lorsqu'elle sentiront se retirer sous leurs pieds leur rêve occidental de classe-moyenne et de consommation de masse.

    Là se trouve, comme je l'ai déjà

  • Trump, d'empire à colonie, suite...

    Ce texte fait suite à celui précédent au même titre ( trump-d-empire-a-colonie-5877267.html ) où j'y explorais les interrelations de dominant à dominé dans une situation coloniale telle que la nôtre.

    Tous deux furent écrit en commentaire sur le site Businessbourse, me semble-t-il (en vrai, je ne me souviens plus exactement où), le premier fut copié-collé tel quel, le second est remanié afin d'y préciser certaines de mes réflexions.

    Mon approche est simple et prend son point d'appui sur le fait que les États-Unis-d'Amérique se trouvent dans une situation de délabrement telle qu'ils ne peuvent progressivement plus assurer leur domination impériale.

    Ce qu'une partie de l'élite britannique a  fort bien saisi, d'où le référendum de Grande-Bretagne d'un brexit qui fut, à mon sens, la conclusion d'une stratégie discrète étendue sur des années.

    Pour nous, français, ainsi que pour les peuples toujours sous le joug de l'oligarchie impériale U.S., il est d'une extrême importance de saisir en plein notre condition de captivité économique, politique et culturelle qui, à y regarder de près, se révèle être de plusieurs niveaux, pour la France, nous pouvons la percevoir comme d'échelle nationale, européenne, étasunienne et internationale.

    En effet, il s'agit  bien d'un ensemble d'oligarques, plus ou moins en accord, au moins sur l'essentiel, plus ou moins en désaccord de qui s'approprie quoi, mais qui, bon an mal an, ne peuvent pas ne pas se connaître et se reconnaître les uns les autres.

    Pour assoir leur pouvoir, ils surent prendre le contrôle de l'administration européenne, des banques et du flux monétaire communautaire, du pouvoir politique des états ainsi que d'une large majorité des médiats.

    DSC_9562.JPG

    Nous en connaissons tous quelques-uns par leur nom, ad-minima de notre propre nation, tel que Bernard Arnaud et Pierre Gattaz en France, chaque pays ayant les siens, partageant, en Union-Européenne, une perception aristocratique de leur position sociale de domination sur la population et de leurs pleins droit, quasi divin, sur elle ainsi que sur l'économie nationale et européenne.

    C'est bien sur l'oligarchie impériale qu'ils se sont jusqu'à maintenant appuyé pour maintenir cette domination.

    D'où leurs angoisses existentielles, bien compréhensibles, lors de ce brexit et au vu de l'affaissement continuel de l'économie européenne et internationale, ne pouvant que conduire à l'effondrement des trois dimension de la globalisation économique, monétaire et bancaire, commercial, routier, maritime et aérien, et industriel.

    Mais ce n'est pas sur ce sujet que porte le texte qui suit.

    Il porte sur la responsabilité qui, désormais, nous échoit, autant en tant que citoyen électeur que de bientôt ancien colonisé, soit la vision que nous devons porter sur l'impérium américanum ainsi que de sa nouvelle évolution politique et économique (l'élection de Monsieur Trump).

    Il porte aussi sur le degré d'importance que nous devons accorder à cette évolution.

    Pour le reste, soit l'oligarchie nationale et européenne, elle n'a d'importance qu'en raison même de la puissance de celle outre-Atlantique et de l'efficience du monétarisme boursier et spéculatif.

    Que l'un des deux disparaisse, ou mieux encore, que ces deux là se retrouvent anéantis et ils ne pourrons qu'inéluctablement les suivre dans cette déroute.

    C'est pourquoi je ne fait qu'aborder ce thème qu'ici-même et non pas à sa suite.

    PICT0286.JPGIl est illusoire de penser que Trump soit réformateur pour notre propre intérêt, il l'est, soit, mais essentiellement pour celui de son pays.

    C'est pourquoi mon texte précédent montrait la responsabilité qui nous incombe, nous, colonisés, de penser notre position de dominés.

    Il y a historiquement, si je ne fais pas erreur, huit raisons pour lesquelles un peuple se débarrasse d'une domination impériale, et la plupart du temps elles se conjuguent toutes l'une l'autre:

    -L'affaiblissement économique de l'empire dû à l'autophagie de son oligarchie, soit l’absorption, par elle, des richesses de sa population et de celles de ses possessions;

    -L'affaiblissement militaire de l'empire, pour les mêmes raisons;

    -Affaiblissement politique -idem-;

    -Le prix de ces colonies rapportant moins que ce qu'elles ne coûtent-idem-;

    -L'intervention d'une ou de plusieurs puissances montantes-idem-;

    -La décision des colonies de se débarrasser du colonisateur-idem-;

    -Le recentrage du pays colonisateur au sein de ses frontières, dû à son appauvrissement -idem-;

    -Et au pire, déstabilisation du pays colonisateur telle qu'il peut en venir à se désagréger et disparaître et ce, toujours pour les mêmes raisons.

    Ainsi, les États-Unis-d'Amérique sont aujourd'hui dans une situation déplorable, je me suis amusé, ici même, si je puis dire, à reprendre deux chiffres fournis sur Businessbourse, celui du nombre de ses habitants et celui du chômage qui y sévit et ai recalculé le pourcentage de chômeur qui y prévaut, une simple règle de trois suffis ( reflexion-mathematique-sur-le-pourcentage-de-chomeurs-aux-u-5861010.html ).

    D'une population d'un petit peu plus que 324 millions, moins vingt pourcent dePICT0374.JPG personnes n'ayant pas l'âge de travailler, sur 102 millions de chômeurs, j'en suis arrivé à près de 40% de chômage, bien loin des 5% officiels et des 23% officieux annoncés et claironnés par les chroniqueurs et commentateurs économiques.

    La conclusion se fait d'elle-même, ce pays est exsangue et n'est plus en mesure de quoi que ce soit, sauf à de la gesticulation ou de la fuite en avant, d'où la nécessité pour les électeurs étasuniens d'écarter Madame Clinton (j'y reviendrais).

    Une fois cela fait et au vu de cette situation U.S. déplorable tant en tant qu'empire que de  nation, c'est à nous de nous prendre en main, le reste ne nous concernant plus, c'est leur problème, pas le nôtre!

    Sauf à vouloir rester sous le giron étasunien, ce qui, là encore, est un processus historique redondant et naturel.

    Mais c'est là que se situe l'importance de nos aspirations, c'est de cela que nous devons impérativement prendre conscience:

    L'empire U.S. n'est plus que son ombre, presque un cadavre, nous n'avons plus à en suivre les ordres, ni ses modes, ni ses exigences, ni ses multiples vexations dont nous sommes tellement habitués que nous ne les voyons plus, ni même ses rodomontades et ses manipulations multiples et dérisoires.

    Toutefois, trois pièges nous attendent encore.

    -Le premier consisterait à rechercher un nouvel empire de remplacement, ce que firent les anciens pays de l'est sous domination soviétique qui allèrent tout droit, dès que l'U.R.S.S. eût disparu, présenter leurs hommages aux U.S.A. qui les placèrent aussitôt sous la dépendance de  l'U.E.€./O.T.A.N..

    P1000622.JPGCe que nous pouvons dès maintenant percevoir au travers des œillades appuyées de Messieurs Fillon, Junker, Phillippot et de Madame Le Pen, à l'endroit de la Russie poutinienne.

    -Le deuxième serait le délitement du pays, ce que risque l'Allemagne, beaucoup moins la France.

    La très ancienne tradition jacobine de notre pays, de nature régulatrice, empêche en effet que ses populations diverses le composant aient, au fond d'elles-mêmes, une réelle volonté de se diviser.

    En revanche, la Germanie, qui elle s'était déjà désagrégée au XVIII° siècle lorsque le Saint-Empire-Romain-Germanique perdait de sa substance, et il n'eut ensuite besoin, à Napoléon 1er., que de peu d'effort pour faire disparaître définitivement l'Empire de Charles Quint, pourrait facilement disparaître en tant qu'Allemagne unifiée.

    -Le troisième piège serait de vouloir devenir empire à la place de l'empire.

    Ainsi ce même Saint-Empire-Romain-Germanique était devenu tel en référence à l'empire romain qui avait disparu, en remplacement, en quelque sorte.

    Cette tendance pouvant être bien plus dangereuse que les deux précédentes.

     

    Quoi qu'il en soit, par nature, les empires ne peuvent pas durer, ceci étant dû à ce que sa création nécessite l'existence d'une oligarchie, et si elle n'existe pas lors du début du développement impérial, celui-ci la génèrera, du-dedans comme au-dehors de ses frontières.

    Et elle, cette oligarchie impériale, n'existe et se développe que grâce aux richesses qu'elle tire de ses possessions nouvelles provenant de l'expansion coloniale.

    Mais dès que le-dit empire a atteint ses limites en fonction des capacités dePICT0296.JPG déplacement de l'époque, à pied, à cheval, en voiture, en bateau, en avion, la-dite oligarchie, parce qu'elle conserve son dynamisme, son désir, voire son besoin existentiel de domination et de richesse, commence à absorber les avoirs à l'intérieur même de l'empire, ceux de son propre peuple comme ceux des peuples conquis et soumis.

    Cela nécessitant le contrôle hégémonique de la politique, de la puissance publique et, aujourd'hui, des médiats.

    Ce qui conduit également à l'affaiblissement continuelle de ses forces armées, fer de lance de son dynamisme, de leur désorganisation les conduisant à une faiblesse devenant à la fin tragique, face à d'autres forces militaires.

    Là commence le délitement impérial jusqu'à que cela l'affaiblisse à un tel point qu'il finît par disparaître.

     

    Les U.S.A. furent l'empire ultime parce que les moyens de déplacements modernes sont devenus tellement rapide que les étasuniens en ont conquis la planète entière, sous une forme ou une autre, dès la disparition de l'U.R.S.S. (1991) et, ce, pendant dix ans environ, pour ensuite commencer doucement à sombrer dès l'entrée dans le XXI° siècle.

    Là où commença les crises économiques les plus graves (1999/2001), ceci expliquant cela.

    Trump comme Clinton font certes parti de cette oligarchie, le premier à un coté autocratique qui me déplait.

    Hormis cela, quand une personnalité à la volonté de vouloir prendre le pouvoir à 70 ans, c'est qu'il est soit fou, soit sage, la question restant de savoir quelle est réellement la constitution psychologique du nouveau président des E.U.A..

    La seconde, Madame Clinton, paraissant malade, aux agissements plus que douteux, aux malversations paraissant aussi nombreuses que diverses et, surtout, tendant, dans ses discours, à nous mener vers une guerre d'avec la Russie, évidemment désastreuse pour tous, devait absolument être écartée de tout pouvoir de nuisance.

    Mais lui, Monsieur Trump, comme tellement d'autres, ici comme là-bas, ne veulent tant pas voir l'effondrement économique qui vient, qu'ici comme là-bas, lui comme la plupart des responsables politiques et économiques, seront débordés par un tel basculement.

    IMGP0478.JPGEt cet effondrement de la globalisation provient des causes que j'ai montré plus haut, c'est pourquoi tant de pays se désolidarisent du dollar et, pour certains, comme l'Arabie-Séoudite, nous les refourguent en achetant tous ce qui passe à leur porté avec cette monnaie sans valeur que, part ailleurs, ils ne savent plus que faire.

     

    De fait, l'empire n'est déjà plus, c'est cela aussi et même surtout que nous devons penser, le reste ne les concernant qu'eux, les Amériques et les américains, pour nous, tout ce qui concerne leur nation sont leurs problèmes, pas le nôtre.

    Sauf en ce qui intéresse nos relations avec eux, notre décolonisation sur tous les plans, politiques, économiques, culturels, les échanges naturels entre des états matures et indépendants, les débats, nos désaccords, eux aussi naturels.

    Mais, et en cela ce texte peut sembler paradoxal, notre question centrale devrait être désormais: comment faire après la disparition de cet empire, de l'Union-Européenne, de l'euro et de toute une classe politique, journalistique et économique nous dominant et dominée par l'empire, habituée à lui obéir, qui ne comprend déjà plus rien à rien et qui se tiennent tous la main?

    Je me répète, les affaires américaines ne nous concernent plus, d'où les crises d'hystérie de toutes sortes de nos élites et édiles, jouant en interne à notre pays à l'américanisation outrancière, ainsi, pour moi, ces primaires françaises imbéciles ne sont que des crises d'hystéries de notre classe dirigeante éreintée et rien d'autre.

    Là nous échoit notre première responsabilité, soit de ne plus considérer les États-Unis-d'Amérique que comme un pays comme un autre, pas plus ni moins, pouvant disparaître du jour au lendemain.

    Notre deuxième responsabilité est de recouvrer et retrouver notre culture, quand bien même celle-ci sera naturellement coloriée, bigarrée, entremêlée de celle étasunienne, mais faire en sorte qu'elle ne nous étouffe plus sous son offre si facile tout autant, maintenant, qu'affligeante et infantilisante.

    Notre troisième responsabilité se doit d''être, dès à présent, philosophique et historique, parce que avant même de toute mise en œuvre, toute refonte politique, il faut d'abord penser notre position d'ancien dominé, la comprendre, tirer toute la substance de cette expérience collective s'étendant sur plus de 70 ans, voire du siècle.

    Enfin, reprendre en main la vie de notre nation, de notre état, de la politique de notre pays, de notre destin de peuple souverain, de nos frontières, de notre volonté collective, de retrouver et recouvrer notre indépendance se doit de devenir notre quatrième responsabilité, peut-être la plus importante d'entre toutes, parce que c'est cela, la politique souveraine du peuple, qui mène capturées 2006-8-1 00004.JPG les populations, les pays, les nations, les états, vers leur futur.

    Et non pas une quelconque domination de qui que ce soit sur qui que ce soit, pouvant conduire au pires des situations et des mésaventures, les empires en déliquescence furent, sont et seront toujours un danger pour les nations colonisées, leur survie impériale en dépendant.

    Voyez l'histoire proche et lointaine.

     

    Ainsi, quand bien même Monsieur Trump tenterait de réformer son pays de telle façon que celui-ci retrouve sa vigueur d'antan, qu'il le puisse ou n'arriverait à rien, cela ne nous concerne plus en rien, du-moins en tant que peuple dominé.

    Quand bien même Monsieur Trump voulait tenter de faire se per

  • De la catastrophe économique qui vient.

    Ce libellé manquant singulièrement de structure, je l'ai retiré hier pour le corriger et l'améliorer.

    P1000752 - Copie.JPGDe plus, je vais rajouter un long préambule à l'avant propos ci-après.

    La folie collective de l'époque n'est certes pas vraiment pire de celle qui a pu se prévaloir par le passé, les deux guerres mondiales sont là pour nous le démontrer.

    Mais bien que différente, elle ne peut que laisser l'Homme de bien intrigué par les diverses incohérences qu'elle ne se lasse d'insuffler dans l'esprit de chacun.

    Les exemples sont multiples des croyances de l'époque que les professionnels sérieux n'ont que de cesse de tenter d'en démontrer l'inanité.

    Le présupposé réchauffement climatique anthropogénique, la validité et l'efficacité de l'euro, la nécessité et l'impérieux besoin géopolitique de l'Union-Européenne pour faire face aux géants que sont la Russie, la Chine et d'autres, la possibilité de réformer la même union, l'économie comme étant l'élément primordial et quasiment unique pour toute politique, l'Union-Européenne comme étant d'essence démocratique, le calcul du P.I.B. comme étant d'une bonne efficience économique, le chômage funeste pour l'économie et non pas les très très bas salaires qui eux lui seraient bénéfique du moment qu'ils feraint baisser ce chômage...etc...etc....

    Ces quelques illustrations ne pouvant que nous montrer combien ces croyances sont autant délirantes, fallacieuses que dangereuses.

    Mais plus encore, pour l'immense majorité des gens professant ces allégations fausses, dominant partout dans le monde et, ce, à toutes les échelles hiérarchiques des sociétés humaines, il s'agit de concepts inconscients ne renvoyant à aucune observation empirique et/ou d'expérimentale.

    Tout au contraire, les études pondérées et soigneuses faites sur ces sujets et sur bien d'autres montrent et démontrent que ces concepts faux expriment l'inverseP1000831.JPG que ce que peuvent révéler ces études.

    C'est cette dichotomie entre la réalité et cet ensemble de fantasmes collectifs qui révèle cette époque de transition que j'avais précédemment évoqué ( transition-5920286.html ) et que, déjà, dans les années 50, C.G. Jung décelait dans le livre "Présent et avenir" ( present_et_avenir_poche.htm ).

    Il s'agit, en réalité, d'une scission névrotique collective entre les couches profondes et structurantes inconscientes des Êtres Humains, symboliques et archétypales, soit notre inconscient collectif, et la réalité technologique et culturelle, bâtie sur une base d'acculturation profonde, des sociétés.

    Ceci explique pourquoi nous pouvons nous confronter à des réactions parfois violente lorsque nous abordons l'un des multiples thème structurant ce vide symbolique actuel en les remettant en question, même de manière modérée.

    Si, par exemple et de la même façon, telle ou telle décision semble être prise consciemment pour tenter de ralentir l'effondrement de cette globalisation économique si malade, n'en croyez rien, il s'agira juste de décisions inconscientes pour que perdure ce système de pensée plus que de celui de l'économie, inconscient qui, dans le même temps, offrira à la conscience de ces acteurs la justification de leurs actes, qu'elle soit logique ou qu'elle ne le soit pas.

    Justification reprise en cœur par les chroniqueurs des médiats officiels, se déchargeant là à bon compte d'un poids d'incohérence intellectuel trop pesant.

    Comprenez bien que je ne suis pas quelqu'un pensant que nous devrions revenir aux temps passés, à la voiture à cheval, à la bougie et à la prière du dimanche..., pour ce dernier n'ayant rien pour ni contre le retour au catholicisme.

    De plus je suis athée dans le sens premier du terme, soit qui n'a pas de dieu.

    Toutefois cette scission névrotique devrait, en Europe, se résoudre peu ou prou par un renouveau de la religion originel de chacun des peuples, sous une forme différente à celle passée, cela va de soit.

    Mais en attendant, la catastrophe économique qui se développe, sujet de ce rédigé, ne peut être prise en considération que par une minorité de personnes et, ce, pour les raisons invoquées plus haut.

    IMGP0198.JPGCe sera le choc dû à ce phénomène qui, progressivement, renouera, sous une forme ou une autre, nos liens d'avec les profondeurs structurantes et originelles de notre psyché.

    Et qu'ensuite, plus tard, se reformulera, évoluera cet ensemble d'expression symbolique d'antan plus à même de nous offrir à nous autres, Homo Sapiens Sapiens, les capacités de nous adapter au mieux à des transformations sociétales qui n'en sont, aujourd'hui, qu'à leur tout début.

    Il est à noter que ceux saisissant cela aujourd'hui sont les précurseurs d'un mouvement qui deviendra général, bien qu'une infime minorité en ont et en auront pleinement conscience, il n'est pas à en tirer gloriole et de se penser élite au-dessus de la masse, il s'agit là d'un mécanisme humain tout à fait naturel.

    De plus, chacun de ces précurseurs, dont nous sommes, amis lecteurs, conservent pour l'instant, sans le savoir, une partie, même infime, de cette masse de croyances actuelles, sans quoi ils seraient totalement asociaux, leur, notre survie sociale est à ce prix, du-moins pouvons-nous ne pas en être dupes.

     

    Il est nul besoin de s'affoler lorsqu'un événement catastrophique mais prévisible est annoncé, s'y préparer au mieux, calmement, méticuleusement, ne peut qu'en être la meilleurs des réponses.

    Il en est ainsi dans les régions où sévissent régulièrement des cyclones ou des tremblements de terre par exemple.

    Il en est de même pour l'actuel effondrement progressif et dramatique de l'économie globalisée.

    Pour ce qu'il en est des causes, j'en ai déjà discuté maintes fois ici, elles sont multiples et plutôt simples à définir: Désindustrialisation occidentale dès les années 70, suivit maintenant par les pays dits émergents, monté en puissance des crédits et des dettes de tous pour tous (avec le P.I.B. comme  tromperie universelle) pour tenter de faire survivre les états et les banques, ouverture puis béance des frontières, appauvrissement puis déclassement des classes-moyennes, monstrueux enflement des bourses, hyper-productions monétaires...etc...etc... .

    P1000866.JPG

    Toutes ces causes tendent aujourd'hui à accélérer leur développement, ce qui montre que ce processus de faillite généralisée se rapproche de nous.

    Lorsque cela surviendra, ses effets primaires seront, me semble-t-il, facile, là encore, à identifier, thème sur lequel, là aussi, je vous ai également entretenu: Les monnaies auront perdu leur valeur intrinsèque, impossibilité de les apprécier les unes, les autres et, ce, à l'international et au régional, arrêt quasiment total des transports mondiaux, aérien, maritime et terrestre, arrêt concomitant des usines et fabriques, surtout celles spécialisées essentiellement pour l'exportation...

    En revanche, les effets secondaires, ceux qui, somme toute, nous intéresseront au premier chef puisque ce seront eux qui nous toucheront de plein fouet, sont plus ardus à définir, d'autant plus qu'ils auront tendance à évoluer le temps passant.

    Ce sont eux que j'ai décidé d'étudier avec vous aujourd'hui, eut égard au fait que je peux avoir oublié tel ou tel de ces effets futurs, bien sûr.

    PICT0111.JPGAlors, allons y voir.

    Pour le moins, les banques françaises, européennes, étasuniennes ainsi que les oligarques des mêmes lieux furent fort mal avisés d'avoir choisi l'infant Macron pour succéder au mol Hollande à la Présidence de la République.

    Certes, lui et son cerbère Philippe rempliront scrupuleusement le contrat qu'ils passèrent avec eux, sans prendre en compte la psychosociologie particulière du peuple français, prompt à la sédition, à la révolte et à la révolution dès lors qu'il a le sentiment d'avoir été trahi par ceux qui le gouvernent.

    Et peut-être même de l'avoir fait élire mènera définitivement le monde de la financeP1000753 - Copie.JPG à sa banqueroute du fait de l'ingouvernabilité (néologisme) du pays vers laquelle cette simple élection mène déjà.

    Ceci dit, analysons donc les fameux effets secondaires de cette totale banqueroute dès lors qu'elle se présentera à nous.

    Au tout début, les prix des carburants baisseront avec une telle rapidité que la hausse de leurs taxes ne viendra pas contrebalancer cette baisse des tarifs.

    Cet effet sera probablement l'un des plus visibles avec, aussi, la difficulté qu'auront les grands-magasins de renouveler leur stock de marchandise, ce qui laissera nombre de rayon progressivement s'évider, là encore, ce phénomène pourrait très bien être si abrupt que leurs responsables n'auront pas le temps de reconfigurer leur magasin.

    (D'ailleurs nous vîmes quelque chose de semblable l'été dernier lors du début de déroute de la bourse chinoise, qui pris fin dès que la Chine fit ses propres Q.E..)

    Dans le même temps, nous apprendront que les banques centrales de quasiment tous les pays inonderont le monde de leurs hyper-productions monétaires.

    Simultanément, les gouvernements débuteront ce qui se fait appelé des hélicoptères monétaires, soit des Q.E. tournés vers les particuliers que nous sommes.

    En un mot comme en cent, on nous refilera de l'argent pour un rien, comme ça, IMGP0088.JPGpour nos beaux yeux.

    Lorsque ça arrivera, si, bien entendu, cela arrive, sait-on jamais, ces gens sont peut-être moins sot qu'ils en ont l'air, alors et quoi qu'il en soit, ça signera le début de la fin pour le système économique globalisé.

    La raison de cette décision, cet hélicoptère monétaire, est très simple à comprendre: voyant que l'industrie mondiale se ralentit fortement, l'oligarchie fera cette folie pour tenter de la faire repartir, sans comprendre que si ce système se grippe c'est en raison des béances frontalières de l'immense majorité des pays et de la ponction des richesses des populations et des pays au travers des bulles spéculatives, phénomène toujours liés aux crédits, et, donc, des intérêts dus par les emprunteurs à leurs créanciers (sachant que la majorité des créanciers sont tout autant emprunteurs).

    Donc sa seule résultante sera que l'inflation ne sera plus cantonné aux seuls jeux spéculatifs et boursiers, via les banques recevant ce pactole (d'où l'apparente stabilité des-dites bourses, même si une quantité phénoménale de monnaie y fut introduite: elle y fut immédiatement détruite aussitôt placée), mais adviendra également dans la vie réelle pour le moindre des particuliers, c'est pourquoi il sera  urgent de dépenser tout cet argent le plus rapidement possible (l'autre solution serait que personne n'utilise cet argent, ce qui bien  sûr est impossible).

    (Il est à noter que l'inflation provient d'une trop grande production monétaire eutP1000755.JPG égard à la richesse réelle et du dynamisme économique du pays émetteur et qu'elle tend à se développer là où ces fonds surnuméraires sont introduits et utilisés.)

    Au début, ce subterfuge fonctionnera à peu près, c'est à dire que la désindustrialisation mondiale ralentira, puis, par la suite, elle ne pourra que reprendre de plus belle.

    Cela étant dû à ce que l'arrivée d'une telle masse monétaire dans les poches des particuliers fera grimpé les prix à un taux égale à cette masse monétaire introduite (les commerces en grandes difficultés feront remonter leurs prix), du fait de sa perte mécanique de sa valeur: il en faudra plus pour acheter la même chose, d'où l'inflation.

    Comprenant confusément l'inanité de leur planche à billet mais se retrouvant dans l'impossibilité de cesser leur création fiduciaire (mot voulant dire à l'origine confiance), puisque sinon c'est l'ensemble du système économique qui s'effondre, les banques centrales n'auront, dès lors, plus d'autre choix que d'amplifier, puis accroitre leurs Q.E., argent qui sera toujours distribué autant aux banques qu'aux particuliers, sans que cela ne sert à quoi que ce soit, pour inutilement tenter de faire repartir une industrie mondialisée désormais atone.

    Au même rythme que se passera cette hyper-production d'espèce, métal, papier et/ou électronique, le système économique globalisé cessera progressivement de fonctionner, autant par le ralentissement rédhibitoire de la circulation monétaire (puisque les gens ne pourrons que de moins en moins acheter par la baisse salariale et la monté du chômage et puisque que les hélicoptères monétaires mèneront à l'inflation puis l'hyperinflation), par la perte de confiance P1000814.JPGgénéralisée dans la valeur des monnaies que par une désindustrialisation arrivée désormais en dessous de son seuil d'échange marchand efficace et bénéficiaire.

    Puis viendra le moment où le commerce international aura arrêté de fonctionner, ce qui fera que tout ce qui n'est pas fabriqué en France ne se trouvera plus en magasin.

    Ce qui nous posera dès lors d'incommensurables problèmes.

    De ces problèmes, cinq me semblent les plus centraux en raison des privations dangereuses pour la population qu'ils produiront.

    Ce seront les carburants, les médicaments,  la monnaie, les communications: internet et le commerce national & international, aérien, routier et maritime, et enfin (si je puis dire) la nourriture, du reste nous pouvons tous nous en passer, du moins momentanément.

    En eau et électricité, nous seront toujours approvisionnés, les circuits de production, de distribution et d'évacuation, bien que fragilisés en France, ne sont pas, et heureusement, dans le même état de délabrement que dans l'empire U.S..

    Bien que la question du chlore, élément central de purification de l'eau, pourrait bien se poser aussi.

    En revanche, l'arrivée du gaz et des produits pétroliers pourrait en pâtir fortement, du-moins dans un premier temps, soit dans les trois à six mois suivant cette catastrophe planétaire, voire pour plus de temps encore pour ce qui en sera du pétrole.

    Alors, je vous propose que nous les analysions, ces cinq tourments (il s'agira bien de tourments),  qui seront les effets les plus délétères de cette faillite généralisée versP1000879.JPG laquelle nous nous cheminons.

    Sachant que je ne saurais dire quel sera le degré d'intensité des problèmes posés par chacune de ces pénuries ni du temps que ces pénuries dureront.

    Cela dépendant de leur taux de carence, voire de leur manque plus ou moins totale, de la réactivité politique et de la qualité d'organisation des hommes et des femmes qui prendront les affaires en mains, que ce soient ceux actuels ou ceux remplaçant ceux qui seront chassé, du gouvernement ou d'ailleurs:

    -La monnaie: quelle soit papier, métal et électronique, nous n'en serons plus pourvu et cela pour deux raison:

                -des deux premiers par le manque des matériaux nécessaires pour leur production, comme l'encre, le papier, les métaux..., puis par les difficultés d'approvisionnement des particuliers, les banques ayant fait faillite, les distributeurs automatiques et les virements automatiques ne fonctionnant plus, il faudra acheminer ces monnaies par transporteurs, à l'ancienne, jusqu'aux plus petites communes, or, sévira le manque de carburant;

             -du second par la pane d'internet à cause de la banqueroute des États-P1000840.JPGUnis-Amérique (j'y reviendrai), c'est pourquoi les virements automatiques ne se feront plus et les machines distributrices de billets ne fonctionneront plus (à la faillite des banques, leur nationalisation y répondra logiquement, tout dépendra ensuite du temps de réponse des autorités pour que celle-ci se produise);

    Cela engendrera autant une désorganisation sociale par le retour au troc, une déstabilisation politique puisque la majorité de nos élus sont d'une idéologique monétariste, sous une forme ou une autre, la difficulté, pour les chefs d'entreprise, de payer leurs employés, sans compter que l'euro ne pourra que disparaître rapidement, mettant fin à l'existence de l'Union-Européenne.

    Les communications et les transports:

    La faillite généralisée mènera logiquement à l'arrêt des transports nationaux et internationaux, maritimes, routiers et aériens;

    Mais plus encore, vu que ce sera aux États-Unis-d'Amérique que les effets de cette faillite risquerait fort d'être les plus violents et que ce pays est, de fait, celui qui accueille la majorité des outils permettant le bon fonctionnement d'internet, la toile pourrait bien, au mieux très fortement ralentir, au pire ne plus fonctionner du tout;

    Si je les ai regroupé sous la même rubrique, c'est que ce sont ceux les deux noyaux durs de la mondialisation, ceux sans qui les échanges internationaux ne peuvent seP1000900.JPG faire;

    Comme pour ce qui concerne les monnaies et leur flux, dont celle circulant en France aujourd'hui, l'euro, les communication et les transports sont les vecteurs premier du bon fonctionnement de la globalisation;

    Or, l'effondrement des monnaies, dû à l'explosion de la multitude des bulles spéculatives, des plus énormes aux plus insignifiantes, et la désorganisation d'échelle mondiale qui s'en suivra rapidement, conduira vitement à la cessation de fonctionnement du commerce et des voyages internationaux;

    Pour le net, son ralentissement ou son arrêt pourrait bien être plus lent, bien qu'en ces choses je n'ai pas les connaissances nécessaires pour prévoir  quels seront les dégâts qu'occasionneraient, aux U.S.A., la disparition de la globalisation économique;

    Toutefois et au vu du peu que je sais de la situation politique et économique des Etasunis, sachant, de plus, que se trouvent là-bas la majorité des machines permettant le bon fonctionnement du web, internet devrait considérablement souffrir du délitement des États-Unis-d'Amérique;

    P1000129.JPGAutant les effets de la cessation d'activité des transports sont faciles à imaginer, ce sont ceux des plus nuisible que j'examinerai avec vous, amis lecteurs, ci-dessous, autant ceux dus au ralentissement, voire à l'arrêt d'internet se perçoivent comme bien moins lisibles;

    La raison en est l'intrication entre l'informatique et des autres outils de communication, du téléphone à la télévision, du courrier/courriel à la radio, de la police à l'administration, des commerces à l'agriculture...etc...etc..., les exemples sont très nombreux où il y a des liens plus ou moins lâches, plus où moins forts entre les flux du web et le reste de la société, en fait, où donc il y en a-t-il pas?

    Qui peut dire ce qu'il se passera dans les administrations, dans les entreprises, chez le particulier, dans les banques, enfin celles nationalisées, si le téléphone, portable et fixe, la radio, la télévision fonctionneront toujours, si les assurances conservent tous leurs contrats sous forme papier...etc...?

    Enfin bref, qui peut dire à présent quelle sera la résultante d'un arrêt, même partiel, d'internet?  Pas grand monde, je le crains;

    Un point toutefois est que les échanges spéculatifs tendant à ne se faire qu'au travers de la toile, par un flux monétaire, contractuel et informatif d'essence purement électronique, tout ce qui ressemble à de la dette, à de la bourse et aux autres échanges monétaire pourraient fort bien disparaître corps et bien;

    D'une certaine façon et en cela, ce sera le monde

  • Petit délire 1): Observation ornithologique

    J'ai vu passé un gauchiste, hier, de son beau vol planant.
    C'était un beau "Gauchistis Hallucinatens" cherchant un courant ascendant en tournant en rond.
    Il y a subi, tout à coup, l'attaque d'un "Umpesis Ridiculis pseudo-fascistosata", oiseau sans grande envergure mais très agressif (on le dit assez stupide) et je vis, aussi, un "Partisus Socialinonsis imbécilicum" (ces deux derniers sont de la même espèce des pseudocapitalisidées) qui lui, comme tous les représentants de son espèce, tournoyait sans but quand, tout à coup, il perçu un "Mélenchononsis gauchitus" et lui fonça dessus.
    Le "Gauchistis Hallucinatens" disparu tout à coup en ne laissant que de minuscules traces à peine visible, je me demande même si il a existé (son existence est contreversée) et, juste à ce moment là, venant de je ne sais où, sûrement d'un lointain passé (il est considéré comme un fossile vivant), paru un magnifique "Lepenis Déliriotum Nazigotoïs" femelle et je fus surpris de voir le "Umpesis Ridiculis pseudo-fascistosata" chercher à copuler avec elle.
    Entre temps le "Mélenchononsis gauchitus" répondit à l'attaque du "Partisus Socialinonsis imbécilicum" avec l'agressivité que tout le monde lui connait et le fit fuir puis se retourna contre les "Lepenis Déliriotum Nazigotoïs" et "Umpesis Ridiculis pseudo-fascistosata" qui copulaient en vol avec forces petits cris de jouissances (hii, hii, hii qu'ils faisaient tous les deux, peut-être est-ce pour cela que les Lepenis tendent à disparaître?) et les fit partir.
    Ce fut la plus belle observation ornithologique qu'il m'ait été donné de voir depuis longtemps.


    THEURIC

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  • idée n°1: Instruction & éducation

         Il est pour le moins étonnant que l'amalgame soit fait entre instruction et éducation.

    Si la première est transmission des savoirs, techniques et connaissance, la seconde est liée à l'apprentissage des seules règles sociales en espérant tendre, pour l'éducation la mieux faite, à la construction harmonieuse d'une personnalité (ce qui ne peut être qu'une bonne chose).

    D'affirmer, donc, la bonne éducation d'un enfant est essentiellement différent que de le dire être d'une bonne instruction.

    La confusion est là au ministère de l'éducation nationale enterrinant cet imbroglio de par son seul nom.

    De fait, un professeur professe, un instituteur instruit et un éducateur essaie de redonner à l'enfant perdu un tant soit peu de sociabilité.

    Lors, si l'adulte devenu continu de s'instruire en toutes choses, il ne peut que, face au sentiment d'un mal-être ou d'un manque de savoir vivre, se refaire une éducation et ce qu'au travers de ce qu'il s'est instruit.

    Cette faute sémantique est l'une des causes des problèmes de l'école d'aujourd'hui.

    Si l'instruction, de l'intellect, se peaufine, se parfait, l'éducation ne peut que se refaire.

    Par conséquent l'une construit la raison et le savoir et l'autre la sociabilité ainsi que les interdits du surmoi.

    THEURIC

  • Ô, les belles questions...!

    Quelles bières aiment les croques-morts?

     

    Des sœurs jumelles ont-elles une bonne vue?

     

    Un heurt de bonne heure est-il digne d'un doux heur?

     

    Un bienfait est-il, en soi, bien fait?

     

    Pourquoi le café frais est-il toujours chaud?

     

    L'athée aime-t-il le bon thé?

     

    Les roubignoles concernent-elles les pneus de la voiture du concierge?

     

    La concierge est-elle la bougie d'église au féminin?

     

    Sans thé le britannique est-il en pleine forme?

     

    La trompette est-elle une petite tromperie ou d'un éléphant qui éternue?

     

    Être content voudrait-il dire qu'il pleut?

     

    Les anneaux de Saturne tournent-ils?

     

    La tortue, certes, mais le tort tue-t-il?

     

    Cherche-t-on le tout de son cru?

     

    Le violoncelle se joue-t-il à cheval?

     

    De quelle année est l’amphithéâtre?

     

    L'hôte est-il celui qui invite ou l'invité, s'il ne serait pas le sac du Père-Noël?

     

    Lors de la lancée du  disque aux JO, lequel choisir entre le vinyle et le CD?

     

    L'éternité a-t-elle une fin et... qu'y aurait-il après?

     

    Le con d'une femme serait si stupide que cela?

     

    L'abricot concerne-t-il les arrêts de bus?

     

    En prendre plein sa poire est-il pour sa pomme?

     

    Avoir la banane signifie-t-il qu'on est au régime?

     

    Un trou de balle est-il mortel?

     

    Quand deux choses convergent, cela est-il sexuel (haaaaa l'amour)?

     

    Un message est-il le masculin d'une messe sage?

     

    Un mitron, d'accord, c'est la moitié d'un tronc, que serait-il alors du litaire?

     

    Cela dessert-il de recevoir une tarte?

     

    Le gobelet concerne-t-il la tétée du nouveau-né?

     

    Berne est-elle en Suisse ou la Suisse est-elle en Berne?

     

    Lorsque l'on dit bonjour, cela voudrait-il dire qu'il ferait beau temps?

     

    D'avoir du pain sur la planche voudrait-il dire que l'on aura du blé?

     

    Recevoir une paire de baffle fait-il mal?

     

    Un hibou est-il chouette quand la vapeur d'eau sort de la casserole?

     

    Peut aller loin à cheval sur ses principes? 

     

    Pourquoi les mésanges ne sont-elle pas toujours au ciel?

     

    Fait-on un four de rater un plat?

     

    Un aléa, et pourquoi ne pas dire un aller b, à quoi servirait donc l’alphabet, sinon?

     

    Qui donc monterait-il dans un car, sinon un tiers?

     

    Boit-on un demi avec sa moitié?

     

    Quand on est dans les nuages, s'envoie-t-on en l'air?

     

    Nous, français, avons la pub, les britannique ont le pub, du masculin au féminin, à chacun ses définitions, n'est-ce pas?

     

    Et après cela, voudriez-vous que je vous dise quoi?

     

     

    THEURIC

     

    PS : Quoi!

  • Le chat.

    Avertissement:

     

    Je tiens à prévenir quiconque osant et voulant me dérober mes poèmes que j'expose ici aux lecteurs que je porterai plainte en justice pour plagia et, ce, qui qu'il soit, qui deviendra ainsi aussi la  risée de ses pairs (sauf s'il s'agit d'en lire en vidéo en précisant mon pseudo, l'adresse de mon blog et sa date de parution).

     

    Si ce voleur putatif n'est pas capable de versifier, qu'il fasse autre chose, les rues de nos villes et villages sont suffisamment sales pour que le métier de balayeur ait encore de l'avenir!

     

    J'ai des témoins de leurs écritures et la date de leur publication ici même en fera foi.

     

    Etant entendu que le reste de mes textes et idées peuvent m'être empruntés sans que je n'en perçoivent l'once d'une rapinerie.

     

    A bon entendeur, salut!

     

     

     

     

    Le chat est ce compagnon

                    soignant

        Les douleurs de l'âme

     

     

    Le chat

     

     

    Juvénile, ce chat jouant après la plume,

    Aimable ce ronron du matou enroulé

    Ici, sur vous, beaucoup plus que de coutume,

    Massé par lui, vous, le caressant, consolé.

     

    Énigme du félin ami de tout homme,

    De toute femme perdu d'une détresse

    Où vagues aux âmes en sombre minimum :

    Nocif aux chagrins, minou met maux en pièce.

     

    Noir ou blanc, tigré ou roux, l'animal est beau.

    Élégant de ses yeux d'amande implorant,

    Riant de nos interdits et parfois cabot,

    Agréable à l'amitié, si attirant.

     

    Un matou est tout autant un acrobate,

    Xylographe, qualifié de l'équilibre,

    Facilement sur un arbre, sur branche étroite,

    Est et reste pour toujours un être libre.

     

    Mange sa gamelle avec distinction,

    Mastique doucement comme un fin gourmet,

    Ergote sur sa pitance, sa libation,

    Sûr de sa faim, se nourrit, juste, de ses mets.

     

    Babine sensible, moustaches superbe,

    A la queue dressée droite comme un jalon,

    Image d'élégance, oreilles dressées,

    Souplesse du corps dominant tout surplomb.

     

    Être mistigri c'est de dormir tout le jour

    Sans de ne s'éveiller que pour le pissou,

    Et la nuit venue de son chez-soi faire le tour,

    Ne rentrant de sa balade que plein son soûl.

     

    Le petit mignon de déchirer les tissus

    Et ses courtes griffes labourant l'épaule,

    Ultra joueur de ces mouvements aperçus,

    Rattrapant la balle comme meilleur goal.

     

    Sacré personnage en un dieu égyptien,

    Issu des premiers temps quand l'agriculteur

    Tablait sur lui, en ces millénaires anciens,

    A croquer les rats voleurs des grains nourrisseurs.

     

    Nabab des salons aujourd'hui devenu,

    Toutefois, parfois, tombé en vie sauvage,

    Seigneur patte-pelu s'y est très bien tenu

    Entre sa chasse, la chair et breuvage.

     

    Ce roi de la maison, prince des cuisines,

    Revient chez lui, au printemps, s'il est un mâle

    Entier, sentant, puant, exhalant fort l'urine,

    Triomphant de son rivale sans grand mal.

     

    Encore pourrais-je dire qu'également

    J'apprécie les mistigris sans en adopter.

    Oui ils sont gentils, tout doux, aussi câlinant,

    Un jour, peut-être, vais-je, d'un, le coopter.

     

    Enfin de ce poème je ne peut inverser

    Tant un vers qu'un quatrain, or,

    Tel une énigme, pour vous, à percer,

    En un ton fripon, mais en délicat abord.

     

     

    THEURIC

  • Voici une autre de mes erreurs: Monsieur Asselineau en une erreur inverse.

    Médiapart a présenté Monsieur Asselineau comme d'extrême droite, je croit que ce journal fait fausse route, il est de la droite bonapartiste, soit de la droite radicale, ce qui est tout à fait différent.

    C'est un contre-sens digne d'ignorants que de confondre radicalité et extrémisme, l'un allant chercher sa réflexion et son action à la racine des choses, l'autre s'égarant dans les excès, les débordements et l'outrance.

    Pour autant, je vais m'éloigner, du moins en pensées et en écrit de cette personne ainsi que son parti puisque je n'ai aucun contacte avec eux, ni avec aucun parti, d'ailleurs, mais pas pour les mêmes raisons qui firent le refus de Médiapart de lui donner un espace d'expression.

    Toutefois je n’ôte rien de ce que j'ai pu écrire sur lui et son parti dans mes textes précédents.

    Pourquoi donc je lui retire mon crédit?

    J'avoue que pour l'instant je ne pourrais pas en donner de motif convainquant, c'est juste un sentiment, une intuition, peut-être le peu de cas qu'il fit, dans son blog, des affaires ukrainiennes...

     J'ai écrit là des SOTTISES!

    Médiapart n'est, en fait, que l'un des médiats à la doxa pro-Union-Européenne, sans même que ses journalistes comprennent qu'ils soutiennent la même idéologie, le néolibéralisme et l'anti-néolibéralisme, soit l'économisme dogmatique, contre quoi ils pensent lutter.

    Comme je l'ai déjà expliqué, une croyance et son anti-croyance sont de même nature.

    idée n° 7): Les dualités complexes: l'économisme dogmatique.

    C'est là que se trouve toute la complexe situation de notre époque et Médiapart, en tant que médiat, en est un bel exemple.

    Comme une immense majorité de nos élites et de ses représentants, ses journalistes ne peuvent pas songer un seul instant que l'Union-Européenne puisse être irréformable et que, de plus, elle court à sa perte.

    Sa perte n'étant due qu'à celle des U.S.A. accompagnant celle de l'économie-monde.

    Mes textes suivants et, dès lors précédents, la conformation des blogs rendent dyslexique, montrent un certain nombre de ses mécanismes.

    La position de Médiapart au sein des médiats français est dès lors passionnante.

    Son sens le plus précis se trouve au sujet suivant qui expose les raisons de l'agressivité et du rejet de la moindre pensée de la disparition possible de l'Union-Européenne comme étant un processus naturel que peut être celui d'un deuil.

    Essai de réflexions théoriques sur les égarements de nos élites nationaux et internationaux.

    Parce que dire qu'un parti est d'extrême droite quand il ne l'est pas est agressif.

    Je n'ose songer que d'autres raisons puisse se cacher au sein de ce médiat, étant donné qu'il est l'un de ceux qui se sont créés pour contrecarrer la continuelle bienpensance déversée dans bien d'autres couvertures médiatiques.

    Serait-ce ne serait-ce que possible?

    En revanche, je ne retire rien de ce que j'avais écrit au sujet des partis réellement radicaux qui sont, comprennent et agissent à la racine de la situation.

    Et l'U.P.R. est, de jure et de fait, dans son approche de la situation politique de l'Europe et de la France, à la racine de la situation.

    Il est toutefois à regretter qu'aucun parti ne pose, même en postula, la ruine universelle, ce que, toutefois, je comprends quand nous pouvons contempler combien  la simple idée de quitter l'U.E. génère déjà d'excommunications.

     

     

     

    THEURIC

  • Transition!

    En ce moment nous vivons un processus de transition, ce nous entendant l'espèce humaine dans son entier.

    P1000753 - Copie.JPGUne transition est l'instant de rupture entre la forme que pouvait prendre un système évolutif passé (telle que celle d'une espèce animale ou végétale) et celui futur.

    De fait, cette transition avait débuté, pour Homo Sapiens Sapiens, dès le tout début du néolithique, soit il y a, suivant les chercheurs, de dix à quinze milles ans et, aujourd'hui,  nous parvenons à l'achèvement de ce processus.

    Il est vrai que ce qui nous occupe et préoccupe actuellement c'est bien ce que nous vivons, soit l'achèvement de ce mouvement naturel qui se trouve en une phase d'accroissement de son accélération.

    Ainsi, même les plus jeunes ne peuvent pas ne pas remarquer la-dite accélération constante de l'évolution sociale que nous subissons, que nous l'aimions, l'acceptions ou la rejetions.

    Certes, le progrès technologique en est la marque la plus visible et, ce, au travers de l'informatique sous toutes les formes que ce soient.

    Mais plus encore, si cette évolution technologique est présente c'est bien parce qu'une autre évolution la soutient, celle de notre représentation du monde, de nos conceptions, de nos concepts, voire même de nos capacités mentales et de notre inconscient collectif, mais cette évolution est loin d'être achevée, infiniment loin de là.

    Il est vrai que, collectivement, nous avons subi et subissons toujours une perteP1000831.JPG des-dites capacités, perceptible lors de tests de quotient intellectuel en Europe, de quelques points de ce qu'il en est paru.

    Là encore nous pouvons facilement suggérer que cette diminution fait, elle aussi, parti de cette période de transition, puisque nous sommes en train de transformer nos représentations passées, en vrai elles se transforment d'elles-mêmes, sans que celles nouvelles n'aient encore pleinement émergé, voire même n'en seraient qu'en leur ébauche.

    D'une certaine façon, l'humanité serait dans la situation de ce crabe en pleine mue, fragile de s'être débarrassé de sa carapace antérieur sans ne l'avoir encore pas remplacé par la suivante.

    C'est donc autant nos antédiluviens réflexes de chasseur-cueilleur que de ceux de l'agriculteur-éleveur qui sont en train de disparaître en nous sans que nous n'ayons encore acquis et bâti cette modernité mentale que nous lèguerons ensuite à notre descendance.

    Nous essuyons les plâtres de l'évolution, en quelques sortes.

    D'où nos difficultés actuelles qui ne pourrons aller qu'en s'amplifiant tant que cette mutation ne se sera pas achevée, ce qui ne pourra que naturellement prendre du temps.

    P1000873.JPGIl est remarquable que la-dite mutation prenne la forme, en Occident, surtout en Europe, aux États-Unis-d'Amérique et au Japon, d'un mécanisme de répétitivité (mécanisme et non pas compulsion) d'essence purement économique, d'avec la période s'étendant de 1929 à 1991, soit le crash de Wall Street jusqu'à la toute fin de la guerre froide.

    Quand bien même ces événements semblables à ceux passés surviennent éparpillés, si nous faisons la sommes de ceux-ci ressemblant à ceux antérieurs, nous pouvons percevoir leur cohérence intérieure, en quelques exemples:

    -Ruine de la Grèce par l'Allemagne et par les anglo-saxons, par les armes avant, par la faillite généralisé ici;

    -Domination de l'Allemagne sur le reste de l'Europe (depuis l'affaiblissement U.S. d'aujourd'hui), avec une seule monnaie et la France ayant un gouvernement inféodé à icelui (je mets de coté la réalité de la domination coloniale étasunienne sur l'U.E., en voie de disparition depuis l'élection de Trump);

    -Libération progressive de la France par les actions  anglo-saxonnes, brexit britannique et élection de Trump actuels, débarquement de Normandie hier;

    -Destruction du Japon, par bombardements passés, par perte de valeur du yenP1000667.JPG maintenant;

    -Monté d'un pouvoir autocratique en Italie, Espagne, Portugal (Mussolini, Franco, Salazar), puis renversement politique de cette première.

    -Crise économique d'échelle mondiale dont 1929 est le critère de correspondance, avec un mécanisme similaire aux deux périodes, même si les effets actuels sont bien pire qu'auparavant......

    Cherchez  bien et vous trouverez nombre d'exemples similaires.

    Cela étant dû, à mon sens, à l'intense traumatisme que furent les deux guerres mondiales, mais bien plus étendu et violente lors de la seconde.

    "Il faut trois générations pour faire un schizophrène", disent les psychiatres, or, si c'est aujourd'hui que ce mécanisme de répétitivité sociale survient, c'est bien parce que les générations étant passées, le temps est venu d'un renouveau politique et social.

    Ces deux processus, la transition évolutive et le mécanisme de répétitivité, sont tous deux intimement liés et s'achèveront en même temps dans quelques décennies.

    Le second risque fort de se déplacer d'un ensemble de régions, l'Occident, vers un P1000903.JPGautre ensemble, l'Orient.

    C'est pourquoi je crains un embrasement futur entre l'Inde et la chine pouvant fort bien se muer en un, international.

    De plus, la mutation progressive de notre inconscient collectif précédent, vieux tout de même de plusieurs centaine de milliers d'années, voire de millions d'années, depuis au moins l'avènement du genre Homo, et qui avait évolué à son rythme pendant tout ce temps long, ne peut se faire sans soubresauts violents, ceci n'est pas possible autrement.

    Notre mutation mentale est trop rapide pour que cela se fasse différemment.

    Cela ne pouvant que nous entrainer vers l'émergence de passions inconscientes sociales et collectives d'une puissance inouïe qui pourraient nous entrainer tous vers les pires des conflagrations généralisées.

    C'est pourquoi je vous exhorte, amis lecteurs, de conserver en vous votre pleine conscience en restant lucide des inimaginables forces communes pouvant se déverser et se partager en chacun de nos esprits.

    Pour l'instant encore relativement restreintes, elles prendront bientôt une ampleur incommensurable, et ce sera l'ensemble du genre humain qui sera entrainé par elle.P1000880.JPG

    Cette transition, en un processus naturel, ne sera pas la traversée d'un jardin d'enfant mais l'une des pires expériences que notre espèce aura à vivre.

    Un dure chemin initiatique collectif que nous devrons tous sillonner et que nous ne pouvons ni ne pourrons éviter.

    Cette expérience sera tout autant magnifique, terrible que dangereuse.

    C'est ce processus, qui a déjà débuté, qui nous entraine depuis des années dans des chemins conceptuels multiples, nous menant continuellement dans un sens ou dans un autre sans que nous en sentions de direction précise, sans que nous en pressentions la logique interne,sans même que nous le percevions, justement parce que le sens de toute choses en vient, en nous, à s'évanouir.

    C'est pourquoi, également, nous nous retrouvons à vivre cette rétrogression historique dont je vous ai entretenu auparavant (voyez les barbes fleurir comme à la belle époque de la III° république).

    Ce socle passé vers lequel nous nous dirigeons étant devenu la matrice inconsciente rassurante, le socle solide sur laquelle il nous sera possible de reposer notre esprit sociétal tant tourneboulé.

    Observez cela, amis lecteurs, parce que c'est cette seule observation, sans colère, P1000883.JPGreproche, dégoût ni irritation, qui permettra à chacun de conserver un tant soit peu de cette indépendance d'esprit qui fonde et forge notre liberté de penser  et notre indépendance d'être.

    Seule source du choix possible en face de cette vie tumultueuse future.

     

     

    THEURIC

  • Réflexion sur la situation US et au-delà, par l'imagination.

    Pour avoir une idée de la situation aux États-Unis-d'Amérique et au vu du peu d'informations qui me parviennent en tant que non anglophone, il faut, à mon sens, résumer ce que l'on en sait, puis utiliser de son imagination pour parvenir à en conceptualiser l'état.

    Qu'en savons(de Marseille)-nous?

    Comme j'ai pu l'expliquer par le passé, en juillet 2018 (en deuxième partie), les USA et leurs possessions, les pays de l'UE et le Japon, suivent une trajectoire similaire mais inversée, en miroir, de ce qui avait prévalu lors de l'effondrement de l'Union-Soviétique précédée de la disparition du pacte de Varsovie.

    Puis, dans un  billet suivant, en Août 2018, j'y avait expliqué que dans un système politique triplement verrouillé, institutionnellement, politiquement et idéologiquement, il n'était pas possible de le réformer sauf à ce que cela ne le conduise à sa inéluctable destruction, bien que j'en avais écarté, à l'époque, l'empireP1020049.JPG US, ne me contentant d'effectuer cette analyse seulement pour l'Union-Européenne.

    Ce verrouillage étant dû à sa constitution, totalement dépassée, écrite au XVIII° siècle pour une population à l'époque réduite, vivant dans un petit nombre d'états rassemblés sur la  cote nord est des USA, à la suite d'une guerre de libération d'avec l'empire britannique d'alors, aidé en cela par la France de Louis XVI et l'Espagne, ainsi que d'un dogmatiste obtus de ses élites, quasi originel.

    Je vous reporte, pour la seconde fois sur ce que j'y notais sur le sujet de ce verrouillage, ici il sera raccourci à l'essentiel:

    (Les raisons en sont qu'à ce moment là trois forces fortement antagonistes apparaissent:

    1)-la première critique et réformatrice;

    2)-la seconde conservatrice;

    3)-la troisième subversive et dissolvante.

    Ceci accompagné d'une grave perturbation du fonctionnement de ce système politique.

    Cette troisième est, au début, relativement discrète, probablement ne se P1020088.JPGreconnaissant pas comme telle et est même plutôt faible, se trouvant fortement décalée du centre du pouvoir.

    Les luttes internes des deux autres forces tendent à désorganiser le fonctionnement du-dit système, les affaiblissent l'une et l'autre et, surtout, en rendent visibles les incohérences structurelles aux populations et, dès lors, en en accroissant le rejet.

    Tout cela mène à une instabilité organisationnelle de ce système politique qui s'affaiblit mécaniquement.

    Ceci accompagné de la monté en puissance de la force subversive qui, en raison même de cette instabilité, toujours génératrice d'une forme ou d'une autre de violence, se radicalise puis prend le pouvoir, soit en achevant la destruction de ce système, soit après que celui-ci se soit autodétruit.)

    Or, hier au soir je me suis rendu compte qu'en fait, au même titre que l'Union-européenne, les Etasunis suivent un mécanisme tout aussi semblable que l'URSS, de surcroit, du-moins de ce que j'en sais des forces qui s'exprimaient en cette dernière, en une complexité politique US importante due à sa désorganisation croissante.

    Que nous résumions ces trois forces en jeu outre-atlantique:P1020188.JPG

    1)-La critique et réformatrice est représenté par Monsieur Trump, ses électeurs, de la part industrielle de l'oligarchie et peut-être d'un tiers de l'armée;

    2)-La conservatrice est visible de par l'état profond (les services secrets et les va-t-en-guerre politiques ou vrais faucons), l'oligarchie monétariste bancaire et spéculative, le complexe militaro-industriel et encore, peut-être, un autre tiers de la même armée(?);

    3)-La subversive et dissolvante, qui me reste hypothétique, composée d'une mouvance, pas seulement populaire de ce que j'ai pu en voir, entre une sociale-démocratie à l'européenne des années 60 et d'un communisme, européen également, des années 20 à 40 (qui ne sont pas vraiment les mêmes) qu'il est possible de voir s'exprimer sur le WSWS entre-autre, voire à ce que des courants soient proche de l'anarchisme, plus, toujours de façon incertaine, le dernier tiers de l'armée US s'égrainant suivant ces obédiences ( Tulsi Gabbard, plutôt sociale-démocrate, retenez ce nom ).

    Le tout ayant des accointances plus ou moins importantes avec le personnel politique national et des états de l'union.

    Là où ça devient intéressant c'est que, si nous nous y penchons par une expérience de pensée, nous nous apercevrions que, possiblement (je reste prudent), chacune de ces trois forces sont divisées:

    P1030112.JPG1)-Donald Trump, dit Mr. Coincoin, est pris entre les isolationnistes stricto sensu voulant refermer les frontières rapidement, ceux qui patientent d'installer cet isolationnisme qu'après que la réindustrialisation du pays atteindra un niveau satisfaisant et les impériaux qui veulent perpétuer la domination étasunienne, au moins en Amérique-du-Sud, voire de conserver un pied-à-terre au Proche-Orient, en Israël et en Arabie-Séoudite (le pétrole), tout en réindustrialisant le pays.

    L'armée qui lui est liée ne réagissant hors de tout ordre que si le président était en danger;

    2)-Les conservateurs ne peuvent qu'être divisés à cause de leurs intérêts divergents:

    a) l'état profond, ces vrais faucons, veut absolument que les États-Unis-d'Amérique reste un empire en raison de leur croyance en leur destinée manifeste et leur mythe  d'un présupposé exceptionnalisme de leur pays et de leur peuple.

    Nous ne pouvons qu'imaginer que les porteurs anciens de ce dogme ne peuvent qu'être devenus vieux ou morts et que les jeunes qu'ils avaient nommés pour les seconder et ayant pris depuis le pouvoir dans les services de renseignement, ayant aujourd'hui dans les 40 à 50 ans, souffrent d'une grave incompétence, cesP1030464.JPG anciens les ayant choisi pour leur obéissance et non pas pour leur intelligence, de peur qu'il ne les renversent;

    b) l'oligarchie financière, la ploutocratie, n'est intéressée que par les gains qu'elle peut accumuler.

    Or c'est tout le système économique US qui se trouve être totalement déstabilisé en raison des sommes colossales des dettes de toutes sortes, il n'est plus que les QE qui le fait tenir encore debout, comme en Europe, en Chine, au Japon et partout ailleurs.

    Dans le même temps elle est d'accord avec Mr. Coincoin pour que la FED, la banque centrale US, fasse descendre ses taux de prêt ou taux directeurs, jusqu'au zéro, la FED, justement, ayant injecté 128 milliards de dollar dans le bazar, mais les acteurs monétaristes craignent que la guerre économique d'avec la Chine ne les ruine, tout comme la fin des guerres conventionnelles qui les enrichissent;

    c) le complexe militaro-industriel, justement, rempli de prévaricateurs et autres escrocs, se trouve scindé entre, par exemple, les fabricants du F35, de Lockheed Martin, qui ont, grâce au Donald, vendu leur fer-à-repassé aux belges, britanniques et polonais rubis sur l'ongle, et ceux qui voient dans les guerres menées au Proche-Orient l'occasion de vendre leur marchandise.

    P1030469.JPGGuerres  que Trump voudrait voir cesser parce que coûtant extrêmement cher;

    d) la partie de l'armée va-en-guerre ne souhaitant qu'une chose, combattre les ennemis qui lui a été désigné et ne comprend pas que l'on puisse l'en écarter en rapatriant les troupes.

    3)-Ce que l'histoire montre c'est qu'il y a un désaccord formel, voire absolu, entre les différentes composantes socialistes et communistes, qui peuvent, toutefois, s'allier momentanément contre un ennemi commun, ce sont:

    a) une sociale-démocratie dont le but est de réguler le capitalisme par l'état (ce que nos socialistes et communistes gouvernementaux ne font plus);

    b) un communisme qui veut, lui, une économie étatique plus ou moins poussée suivant les obédiences;

    c) un anarchisme qui désirerait, plus ou moins là encore une suppression de l'état suivant ses différentes mouvances .

    Il est à noter qu'en ce cas sa portion d'armée que je suppute et que je définis du tiers restant serait la moins obéissante du reste des troupes et pourrait avoir de réelles velléités séditieuses.P1010825.JPG

    Comme je viens de le montrer, bien que cela va de soi je n'en aie pas vraiment de preuve, quoi que cela me paraît logique, le paysage politique de l'empire US ne peut qu'être qu'un foutoir sans pareil et la situation pourrait être infiniment pire que ce que j'en raconte.

    A la dangereuse incompétence des uns, la colère et la haine des autres, son verrouillage politique noté plus haut, la lenteur évidente de sa réindustrialisation, ses dettes et sa sur-profusion monétaire ainsi que ses faiblesses économiques liées, sa chaîne hiérarchique administrative, économique et politique remplie de malhonnêtes et de fripouilles et un peuple qui, pour une partie importante, se retrouve à vivre en plein tiers monde, sans compter tous ces gens grandement armés, ce pays se retrouve au  bord d'un très grand précipice.

    A un moment ou à un autre cela ne peut que dégénérer d'une manière ou d'une autre.

    Je ne sais pas si vraiment elle se produirait,, si elle advenait quel pourrait en être l'élément déclencheur, qui pourrait être infime, ni sa forme, mais, plus encore qu'il y a une décennie, le risque d'une guerre civile n'y est pas à exclure, loin de là.

    D'en comprendre la possibilité, voire la forte probabilité qui s'accroit chaque jour nous permettant, du-moins, de ne pas souffrir d'un choc traumatique quelconque en l'apprenant si cela devait P1010158.JPGavoir lieu.

     

     

    THEURIC

     

  • Le moment de basculement.

    Lorsque une idée nouvelle survient ou qu'un ou plusieurs événements arrivent ayant de mêmes formes, en politique notamment, je m'essaie d'y formuler la dénomination la plus juste pour en montrer au mieux le sens.

    Celui que je vous propose aujourd'hui, "le moment de basculement", désigne l'instant où, d'un système social quelconque, d'un couple à un pays ou à une union, voyant ses instabilités s'accroitre régulièrement en sa dynamique propre, jusqu'à ce que, quand la-dite instabilité atteint un certain niveau, celui-ci passe à un état transitoire, lui aussi dynamique mais de nature différente, précédent un nouvel état lui aussi ayant sa dynamique particulière mais étant une stabilité convenable.

    Cette transition étant très courte au regard de la situation précédent et celle suivante.

    Ces trois phases étant intrinsèquement liées mais sont de propriétés dissemblables, puisque l'essence de la situation qui prévalait en la première partie mute profondément lors de l'avènement du basculement et,P1030194.JPG ensuite, que celle suivant la-dite transition sera en tout points différents des deux précédentes.

    Ceci parce que cette transition entre l'achèvement de la phase du premier jusqu'au début de celle troisième mène en même temps à une accélération du rythme des événements, à ce que ceux-ci, de ce fait, échappent et entrainent les différents acteurs, ce qui les contraint de prendre des décisions dans l'urgence, accentuant continuellement le chaos préexistent et, ce, en une suite soutenue pour tous.

    Tout ceci accroissant les instabilités sans cesse, jusqu'à ce que ce  nouveau stade plus stable s'installe.

    Étant entendu, dans les cas les plus extrêmes, que, d'une certaine manière, une guerre peut être considéré comme ayant sa forme de stabilité, jusqu'à ce qu'un moment de basculement se produise menant à une victoire de l'un ou l'autre des belligérants et/ou à ce qu'une paix soit signée.  )

    A l'exemple, plus ou moins simple suivant qu'il y ait des enfants ou non, du couple où les désaccords de l'un, de l'autre ou des deux conjoints s'enflent, les instabilité en son sein s'accroissent, puis, parfois après une dispute anodine, se séparant, l'un ou l'autre quitte le foyer, suite ou non à un divorce, ce qui est cette période de transition, puis, au bout d'un certain temps, chacun en vient à vivre sa vie avec plus ou moins de fortune et un nouvel état d'existence.

    Je pense qu'il en est de même dans les sociétés et, me semble-t-il, que ce soit en P1020538.JPGFrance ou aux États-Unis-d'Amérique, il serait bien possible que ces deux pays soient entrés dans une telle sorte de basculement.

     

    En France, commençons par notre beau pays, ce sont 2 catastrophes qui m'en montre la forte possibilité en raison de la perte désormais totale de confiance de l'ensemble de la population pour le gouvernement, ce qui rend déjà visible la primauté des décisions de l'Union-Européenne sur celle des choix politiques du pays, les affaiblissant supérieurement dès lors, l'administration de l'un et le gouvernement de l'autre.

    UE que, jusqu'à présent, les trois dernières magistratures et législatures au moins, celle macronienne comprise, occultait, autant en raison du silence des médiats là-dessus que des discours gouvernementaux, de ceux des responsables politiques des partis officiels que de ceux des syndicats affiliés au CES, la confédération des syndicats européens.

    De ces deux catastrophes sont, pour la première, l'incendie de l'usine Lubrizol à Rouen (il est de constater que ceux qui en parlent le mieux c'est le WSWS étasunien et l'UPR  France-quitte, par la voix de  Mr. Asselineau, pour le second c'est oh combien plus logique).

    Pour la seconde, quand à elle, il s'agit de l'attentat ayant eu lieu à  la préfecture de Paris et qui a fait 5 morts, dont l'assassin, plus un blessé grave (il est à noter, là encore, que Tatiana Ventôse, dans cette vidéo, c'est montrée,  quant à elle, en même temps mesurée etP1030229.JPG subtile).

    Ce ne sont pas tant ces événements qui importent ici mais leurs effets sur la population, toute classe sociale confondue, dès lors de l'achèvement de la délégitimation du gouvernement qui avait débuté lors de la gay-pride de l’Élysée du 22 Juin 2018 , ayant contribué à considérer Mr. Macron, à tort ou à raison, comme étant un être sans virilité et, donc, sans caractère, ce qui semble avoir été confirmé par la suite.

    Il est à remarquer deux faits importants:

    1) Aucun des responsables, qu'ils soient ministres, préfet, hauts cadres de la police et élus de la république ne reconnaissent leurs responsabilités dans ces deux affaires en tentant de se justifier, ce qui en politique est une faute gravissime;

    2) Ils se couvrent tous mutuellement à tous les niveaux hiérarchiques, phénomène que j'avais déjà observé quand je travaillais à la RATP et qui signe, à mon sens, leur incompétence pleine et entière.

    Ce qui proviendrait d'un double sentiment contradictoire, celui de reconnaître plus ou moins consciemment leur-dite incompétence tout en considérant simultanément tout le reste du personnel, ou, là, la population, comme leur étant un danger parce que plus intelligent et sérieux qu'eux et, à l'inverse et par compensation psychique, comme faisant preuve d'une grande sottise.

    P1030120.JPGCe qui ne peut que les conduire à un état névrotique plus ou moins prononcé suivant les cas.

    Mine de rien et à mon sens, ces deux affaires survenues à une semaine d’intervalle est égal à la catastrophe nucléaire de Tchernobyl du 26 Avril 1986 qui sonna définitivement le glas de l'URSS, de ce qu'en dit Gorbatchev avec raison.

    Cela mettra du temps pour que ça s'exprime, tout comme il fallu du temps pour que d'une gay-pride ridicule les gilettiste en viennent à scander: "Macron démission!"

     

    L'autre pays où un tel moment de basculement est possiblement présent ce sont donc les USA.

    Cela est dû à la tentative des démocrates de renverser Donald Trump et des tendances de ce dernier à avoir une réaction agressive lors de toute négociation, voire même en face d'une attaque, ce qui est le cas ici.

    Que je vous résume donc ce que j'ai compris de cette affaire.

    Après un coup de téléphone que D. Trump avait donné au nouveau président ukrainien, Volodymyr Zelensky, pour éclairer une affaire de corruption dont un étasunien, le fils d'un certain Joe Biden sénateur démocrate, Hunter, serait mêlé à tel point a cette affaire que le-dit sénateur avait, il y a trois ans, fait pression sur le président d'Ukraine d'alors, Petro Porochenko, pour que celui-ci chasse le procureur qui enquêtait sur ces malversations, ici et .P1030088.JPG

    Mr. Biden, sûrement pour protéger son fistounet autant maladroit que malandrin, lança, avec ses collègues, qui eux aussi doivent avoir quelques casseroles au derrière, lancèrent donc le processus de destitution du président US, sous l'accusation d'avoir voulu prendre des renseignements d'un haut responsable US auprès d'un chef d'état étranger (remarquez l'hypocrisie de la chose).

    Il eut été possible pour Maître Coincoin de se taire en attendant que ça passe, bien que je ne pense pas qu'il soit du genre à faire amende honorable, mais sûrement en raison d'un sentiment de puissance, il n'en fit rien et téléphona derechef, là au premier ministre chinois, Xi Jinping, pour  savoir si ce dernier ne connaîtrait pas quelques autres affaires croustillantes au sujet du Joe, cela en l'annonçant à la presse, ce qui, d'après Philippe Béchade, a affaibli grandement sa position.

    Bien que vulgaire, je le pense très loin d'être sot, et s'il a mis ainsi le feu au poudre c'est  qu'il savais très bien ce qu'il faisait (en politique, il ne faut jamais confondre vulgarité, grossièreté et sottise, ce serait d'une immense erreur).

    Il a montré à ses soutiens,  surtout populaires, que ce soit réel ou non, généralisé ou non, que les élus US qui  veulent le destituer sont en même temps menteurs et P1030151.JPGtricheurs, faisant pire que ce que lui-même fait, ceci en toute impunité, pour lui peu importe que la classe politique soit majoritairement honnête ou non, le principal, pour lui, c'est que ces sous-entendus aient fait leurs effets.

    S'il agit de la sorte ce ne peut qu'être que parce qu'il se sent en situation de force et, les connaissant bien, sachant cette classe politique, pour la majorité d'entre-elle, sûrement plutôt lâche, il ira jusqu'au bout, quitte à lancer un touite d'appel aux armes, ce qui ne m'étonnerais pas.

    Je vous renvoie, à ce sujet, à ce que j'avais écrit le 21 Septembre.

    Là encore nous pouvons percevoir un moment de basculement, parce que soit Trump gagne son pari sous forme de ce qu'il faut bien nommer un coup de force, auquel cas les chambres délibératives US se retrouveront à être sous sa botte et il pourra continuer son programme.

    Mais si cela ne  se passe pas ainsi, cela voudra dire que ceux qui sont désignés sous le sobriquet de faucons ou d'état profond, ainsi que l'oligarchie financière, ne se plieront pas à sa volonté, ceci pouvant aller jusqu'à une tentative de coup d'état ou d'assassinat.

    Ceci pouvant même mener à une réelle guerre civile comme je vous en avais déjà P1020252.JPGcausé part ailleurs.

     

    Comme vous le voyez, l'empire US, lui aussi, semble être entré dans un moment de basculement.

    Vous remarquerez son aspect non prédictif où il devient difficile de prévoir les effets des événements présents, en France comme aux USA, ceci étant dû à ce que ce futur dépend maintenant de tous les acteurs en présence, même le plus insignifiant, qui ne peuvent qu'être que très nombreux, ou alors d'une conjecture anodine.

    Il se dit que les gens du nord de l'Union-européenne râle de penser que les taux d'emprunts négatifs des pays ne sont là que pour tenter de renflouer le sud au détriment de leurs économies, quand en vrai ils n'existent que pour tenter de sauver l'euro.

    Bien que cela affaiblit gravement les banques allemandes, françaises, belges, hollandaises, italiennes et d'autres...

    Mais là encore qu'importe, ce sont les sentiments des populations qui doivent entrer en ligne de compte et non pas la réalité puisque celle-ci est tue, caviardée ou tronquée et, comme l'explique fort bien Tatiana Ventôse dans sa dernière vidéo, P1030276.JPGc'est parce que les peuples ne comprennent pas ce qu'il se passe puisque l'on  leur cache qu'ils interprètent les faits suivant leurs opinions.

  • A l'adresse de Tatiana ventôse.

    Chère Tatiana ventôse,

    Vous et vos amis qui avez tenté de vous présenter aux élections européennes, en n'avez pu que constater que, pour différentes raisons, cela s'était révélé impossible.

    Résultat d'une décision soudaine, vous vous êtes sûrement rendu compte que les votations se préparent longtemps à l'avance et que des contraintes inévitables ne peuvent que vous obliger à vous organiser.

    Il est possible que cela vous répugne et que vous vous décidiez de ne pas retenter cette aventure, ce qui serait un choix que je comprendrais absolument.

    Tout comme vous pourriez continuer ce même chemin rempli autant d'engagement que d'embuches.

    Prenez toutefois en compte le fait que, en ce cas, il soit fort probable que nous nous retrouvions rapidement à faire face à une crise politique et économique quiP1030189.JPG nécessitera une recomposition urgente de l'une comme de l'autre.

    Ceci précédé d'environ une année où nous serons contrains de ne faire que gérer la situation sociale sévère du pays provenant de la destruction importante de la France par l'Union-européenne, par l'intermédiaire de nos derniers gouvernements si tant tellement obéissants.

    Dès lors, si vous vous décidiez de poursuivre la voie politique de cet engagement partisan, vous ne pourrez pas ne pas vous rendre compte que la constitution d'un parti s'avère donc nécessaire, avec tout ce que cela entend.

    De sa création à son organisation, jusqu'à sa structuration idéologique, la monté en nombre de ses adhésions, de la proportion de militants y étant toujours inférieure..., cette mise en place ne peut qu'être complexe mais, surtout, prend du temps.

    Songez simplement que de cette plus que crise, si vous avez parcouru mon blog vous savez ce que j'en perçois, ce qu'il restera des partis politiques en place dépendra, pour l'essentiel, du pourcentage des élus des chambres délibératives de chacun de ces mouvements qui restera, vaille que vaille, à leur place électif, agissant au mieux pour réduire les effets, à ce moment là désastreux, des multiples dérives, prévarications et autres appauvrissement et délabrement de la nation.

    P1030258.JPGAinsi pourrions-nous assister à la disparition d'une grande part des-dits partis qui, jusqu'à présent et pendant plus de 70 ans, furent au centre de la vie publique au quatre coin de l'hexagone (ouarf, je la sort à chaque fois celle-là).

    Comme vous le comprenez, nous nous retrouverions à cet instant au-devant que d'un petit nombre de ces organisations, les autres ayant disparu.

    Entre ceux à peine émergeant, tel l'UPR, et ce qu'il restera de ceux d'antan qui seront, quoi qu'il en soit, grandement affaiblis, comme FI, LR et/ou le PCF, le paysage électoral de la France se retrouvera donc extrêmement réduit.

    De la fuite-en-avant, suivit de l'affolement, l'administration de l'Union-Européenne et nos élus et gouvernement en sont au-delà de la panique, suit ensuite, en toute logique, la débandade qui a déjà débuté, la preuve en est de tous ces ministres et députés qui, ici et là, cherchent une place en mairie pour les prochaines élections municipales.

    A cela s'ajoute, au présent, un autre phénomène, celui dû aux lois sur la retraite (due à la plus que fuite-en-avant, la panique des fonctionnaires de l'U.E. qui commencent à décompenser psychologiquement en ne se rendant pas compte de leurs décisions) qui, après les classes-moyennes basses à intermédiaires de province du mouvement gilettiste, réveillent les classes-moyennes hautes à supérieurs qui, elles, après un moment d"hésitation, ne peuvent que rapidement comprendre l'origine unioniste de ces-dites lois.P1030276.JPG

    Ce fut une erreur que je n'y aie pas pensé plus tôt.

    Naturellement elles se tourneront majoritairement vers le parti France-quitte de François Asselineau (le rassemblement National ne pouvant pas y pratiquer ces multiples manipulation pour aider à la mise en place d'un parti unioniste tel que le REM) qui, il y a de forte chance, pourrait voir le nombre de ses adhérent rapidement augmenter.

    Donc, si vous et vos amis décidez de bâtir un nouvel espace politique, sachant qu'un contrepouvoir à sa gauche serait nécessaire, il serait bien que vous connaissiez, dès lors, quelques techniques militantes.

    Or, un pote m'a fait parvenir le résultat de ses réflexions de ses années d'actions syndicales et, le trouvant cohérent, je le vous présente ici en un texte que j'ai un peu retravailler pour le rendre plus lisible sur un site.

    A l'origine dédié à François Asselineau, j'y conserve l'aspect parfois rugueux de certaines de ses approches adressées à son endroit.

    Je vous le présente, à vous, ensuite, d'en faire ce que selon bon vous en semble du meilleurs.

    Bien à vous.

    P1030247.JPG(En vert et bleu entre parenthèse j'y présente mes propres réflexions.)

     

     

    THEURIC

                                      ___________________

    Le tract:

     

    Le tract est un outil de mobilisation ponctuel.

    Son utilisation n'a de réel intérêt qu'au moment d'une élection ou d'une action.

    Il est inutile et coûteux de l'utiliser pour ce quoi il n'est pas fait.

    Son efficacité tient aussi et avant tout à l'appui d'une présence militante sur le terrain.

     

    Un bon tract obéit à certaines règles:

    - Le logo: Même taille, même graphisme, même emplacement sur le tract et éventuellement même couleur.

    - Police de caractères: Ne pas utiliser plus de 3 polices par exemple : une police pour le titre, 1 police pour le chapeau (voir ci-dessous) et une police pour le texte.

    On en choisira de préférence une qui correspond à celle utilisée par la presse papier.P1030143.JPG

    - La lettrine: voir le titre, elle est une sorte d'accroche et augmente le taux de lecture.

    - Le chapeau: c'est une technique journalistique qui résume de façon brève et percutante le contenu du tract.

    Elle est d'autant plus nécessaire que dans un tract au-delà de 15 lignes le taux de lectorat baisse considérablement.

    - Le texte: sans rien céder sur le fond au niveau de la forme il faut faire du Paris Match.

    Cela implique des phrases courtes en évitant les mots de 3 syllabes et plus.

    Un outil permet de mesurer le taux le lectorat, il s'agit de l'indice de Gunning*.

    * http://s.billard.free.fr/referencement/?2006/09/21/287-tester-la-lisibilite-des-textes.

    - Le dessin: Un dessin a un impact non négligeable et vaut mieux qu'une longue explication.

    - Prévoir un emplacement pour un bulletin d'adhésion, une adresse courriel et l'adresse du site de l'organisation.

     

    Le stand:

    P1030459.JPG

    Il nécessite peut de moyens.

    Par contre il exige une présence régulière.

    Il revient à chaque équipe militante de décider de son nombre de présence: semaine quinzaine sur la durée.

    (Quand il était de repos ce jour là, mon père allait au marcher tenir, le matin, le stand du PCF.)

     

    Les moyens:

    - le logo: il peut être en couleur en format 24 X 29,7.

    Il sera plastifié avant son utilisation.

    Les cartons que l'on trouve chez les revendeurs l'électro ménager (réfrigérateurs par exemple) font parfaitement l'affaire.

    Ce logo sera ensuite agrafé sur le carton.

    - Le panneau: idem que pour le tract un dessin humoristique est toujours le bienvenu.

    On veillera que le panneau soit à hauteur de vue et non pas dans les chaussettes.

    Pour qui disposera d'une table, un portable sur lequel on fait tourner deux ou trois petites vidéos serait une bonne idée.

    - Quelques textes de programme: une

  • L'excentricité comme mode de pensée.

    Le préfixe "ex-" renvoie ici au fait de porter "au-dehors", de mettre hors-de...", exprime donc, dans le mot "excentricité, de se placer hors du centre du cercle, d'en sortir.

    Excentrer sa pensée ne consiste pas à sortir du cercle, mais plutôt à s'éloigner de son centre, voire même d'en agrandir la circonférence.

    Sortir du cercle est, me paraît-il, de l'ordre de la folie, de la schizophrénie, du délire imaginaire...ou tout simplement, plus sainement, du résultat de l’œuvre artistique.  )

    Il s'agit, je le concède, d'un exercice périlleux en ce sens où cela peut facilement générer une relative asocialité si l'époque ne se prête pas aux concepts novateurs et/ou aux idées inédites.

    En revanche, cela permet de percevoir le monde et sa dynamique sous un angle nouveau, d'en rendre mieux compte de sa réalité.

    Je ne saurais pas en apporter de recette constitutive, je ne saurais pas dire comment faire pour avoir une pensée excentrique, le faisant naturellement sans en rechercher l'effet.

    Mais ce qui est remarquable c'est de constater combien ce centre s'est racorni autour d'un noyau dur composé de présupposés qui, pour nombre d'entre-eux, sont totalement insensés.

    Je vais donc montrer ici la nécessité de cette excentricité pouvant permettre un développement d'idées autrement impossible, ceci par deux exemples.P1010791.JPG

    Pour le moins, ceux qui se font appeler les gilets jaunes sont admirables.

    Et il n'y a pas que le gouvernement français que cela affole, les gouvernements des pays de l'Union-Européenne, l'administration non élue de l'union aussi ne peuvent que craindre que cela ne s'étende comme il pourrait en être, de leur avis, d'une pandémie.

    Déjà la Belgique et la Bulgarie en sont atteints et il se dirait même que l'Allemagne aurait aussi les leurs.

    Dans le monde également nombre d'états doivent craindre que la même révolte des gueux, des sans-dents, des gens de rien ne s'établisse chez-eux.

    Cette jacquerie, cette pas tout-à-fait sédition est donc admirable sur bien des points et la retenue de ses acteurs y est au premier chef, eux qui sont tant emprunt de colère et de désespoir montrent, à un macronisme ayant perdu la moindre légitimité, élu aux forceps d'une propagande éhontée, en ayant détruit, dans le même temps, tous les corps intermédiaires, des partis politiques aux syndicats, montrent dis-je à la face du monde l'esprit républicain d'un peuple qui, lentement, reprend sa légitimité.

    Mais au-delà de cela, ce qu'il faut retenir d'abord de ce mouvement c'est que, du bas de l'échelle sociale, les français se reconnaissent en tant que peuple un et indivisible, c'est pourquoi la Marseillaise fut tant entonnée, il n'est, que de le constater, que d'observer une carte des blocages s'étendant partout en France.

    Ce qui est dommageable, voire à terme dangereux, c'est le peu de représentants de l'immigration.

    Mais allons plus loin voulez-vous et réfléchissons aux raisons qui font que les macronniaiseux se voient ainsi contraints d'augmenter les taxes sur l'essence et tentent, très maladroitement, de vendre des automobiles censément moins polluantes (ce qui reste à prouver), à moteur électrique ou hybride, en interdisant la circulation des voitures anciennes, ceci lié à la hausse du prix de la nourriture.

    Tout cela étant inextricablement lié, la seule question de l'automobile se résumant P1010723.JPGau simple fait qu'il s'en vend de moins en moins puisque la population s'appauvrit.

    L'origine de cette monté du prix des carburants vient des U.S.A. (et oui, de si loin) et de la remonté des taux de prêt du dollar par la F.E.D. et de la cessation des Q.E., du-moins ceux officiels, vous trouverez, là-dessus, mes réflexions dans mon billet précédent au niveau des œillets.

    Ce phénomène, débuté avant les élections de Donald Trump, a diminué la quantité de monnaie mondialement disponible.

    En effet, à chaque fois qu'il y a une baisse boursière, une perte dans une opération spéculative ou de tout autre chose de ce genre, l'argent ainsi disparue l'est pour de bon, il n'existe plus au sens stricte du mot, il est reparti dans le néant dont il fut extirpé par la banque centrale U.S..

    Or, le système ne peut dorénavant exister que si et seulement si ces pertes sont compensées par un apport de nouvelles monnaies, les fameux Q.E., sinon c'est l'effondrement de l'économie-monde à terme.

    La raison en étant sa quasi-faillite puisque les banques et fonds d'investissement  ne survivent plus que grâce à ces opérations spéculatives hautement risquées, à des jeux d'écriture comptable cachant cette misère et à des prêts faits à des particuliers, des entreprises et des états pouvant de moins en moins les rembourser.

    Vu que le dollar ne remplit que peu ou plus du tout cet office, bien entendu cette monnaie doit se trouver ailleurs et l'euro se trouve tout désigné pour le remplacer.

    Il faut en effet savoir une chose, les bourses étasuniennes et européennes au moins se trouvent, en ce moment, dans une situation extrêmement préoccupante etP1010804.JPG peut-être même critique, ne cessant pas de faire du yoyo entre brusques descentes suivies de remontés.

    Ce qui signe le fait que les acteurs boursiers s'en dégagent pour se reporter sur les matières premières, la baisse boursière, puis que les banques centrales ne font que boucher les trous causés par cette fuite (dans les deux sens du terme), la remonté boursière.

    Mais étant donné la désindustrialisation mondiale n'allant qu'en s'accroissant, les matières premières industrielles, énergétiques comprises, ne sont plus intéressantes puisque leur prix ne fait que baisser en raison de cette destruction des usines et fabriques.

    Ne reste plus, dès lors, que les produits de bouche sur lesquels reporter cette spéculation monétariste, ce qui génère, pour nous, de l'inflation ne pouvant elle aussi que s'accroitre, ce qui diminue d'autant nos capacités d'achat.   )

    Pour revenir sur cet accumulation et hausse des taxes de tous genres, disparitions des aides d'état à la population, des impôts sur les grandes fortunes, privatisation de nos services publique, monté du prix de l'essence et du gasoil et tutti quanti..., la cause en est simple à comprendre:

    Il s'agit dorénavant, pour nos employés bancaires gouvernementaux, ces zélotes zélés de la globalisation joyeuse en fin de partie, sous ordre de l'oligarchie monétariste, de l'U.E. et de la Germanie merkélienne, de compenser les pertes monétaires de la spéculation par l'argent frais provenant de nos impôts, amendes et autres ponctions, ceci sous couvert de remboursement des dettes ineptes, lutte P1010783.JPGcontre un réchauffement climatique fantasmatique, réductions hasardeux de l'action de l'état dans les processus économiques, ..., cet ensemble de justifications oiseuses que nos croquemitaines ridicules nous déblatèrent à ravir.

    Il faut dire que la situation des banques européennes trop grosses pour être nationalisées faire faillite est réellement calamiteuse.

    Quand à ce qu'il peut en être de la réduction des impôts locaux à laquelle nous eûmes droit au début de législature de Monsieur Macron, ce ne fut que la tentative malheureuse et poussive de faire remonter un P.I.B. national mal-en-point, idée idiote provenant sûrement d'un Jacques Attali ou d'un Alain Minc qui, ni l'un ni l'autre, n'ont jamais rien compris à l'économie, hormis le fric qu'ils se foutent dans leur fouille.

    En fait, il faudrait refermer les frontières et se débarrasser de notre chère union pour que cela fonctionne, comme le font les britanniques en ce moment, mais ça, c'est une autre histoire.

    Pour en revenir aux gilets jaunes, l'autre chose à en dire est que la propagande euro-atlantiste et germanique ne prend presque plus et les déclarations tonitruantes de nos chroniqueurs (qu'aiment les alsaciennes) ne donnent plus les résultats escomptés.

    D'après ceux-ci, 77% de la population approuve toujours l'actions des gilétistes, connaissant le peu de probité des instituts de sondage, les 80 à 85% ne devraient pas être loin.P1020489.JPG

    Comme de logique, le gouvernement et les partis politiques officiels (passant dans les médiats) commence à paniquer, en voulant éteindre l’incendie pour les uns, en voulant récupérer le mouvement pour les autres, ils ne cessent de jeter allègrement une huile bien chaude sur un feu commençant à ronfler joliment (un feu ronflant ce n'est pas un feu qui dort, tout au contraire) tout en continuant à se décrédibiliser à tour de bras.

    Ce mouvement des gilets jaunes peut péricliter tout doucement ou continuer, d'ailleurs en suivant mon hypothèse de la rétrogression historique (en fin de page), celui-ci ressemble drôlement en un mixe de ce que fut le printemps des peuples en 1848 et de la commune de Paris, cela en un tout tout doux, tout comme Monsieur Macron a un petit air de Louis-Napoléon Bonaparte, dit Napoléon le petit par Victor Hugo, pas piqué des hannetons (je vous laisse à la joie de découvrir tout cela sur le net).

    Je sens que la VI° république n'est pas loin, le plus amusant en cela c'est qu'il risque fort que ce soit Monsieur Asselineau et son parti l'U.P.R. qui pourraient bien en être les fondateurs.

    Qui d'autre, en effet, sera encore présent lorsque le système économique monétariste mondialisé aura explosé?

    Ah, autre chose là-dessus, messieurs-dames certains des immigrés vivant dans les banlieues, surtout noir et/ou musulmans, que le personnel politique avait mis en P1020198.JPGplace depuis plusieurs décennies dans ces ghettos (appelons un chat, un chat) pour se cacher à eux-mêmes l'existence de tant de blancs provinciaux ruraux pauvres ( sachant que les arabes sont des blancs, cela va de soi ), je vous conseillerais de cesser de vivre comme si vous passiez votre existence dans un état dans l'état.

    Francisez-vous.

    L'histoire à montré qu'en France il peut y avoir un long laissé-aller puis que, d'un coup, après un changement de régime, le nouveau pouvoir veuille reprendre les choses en mains, avec brutalité s'il le faut.

    Or, vous faites parti de la société française, quelle que soit la façon dont vous êtes considérés, quoi qu'il s'en dise ou se laisse paraître, quoi que vous en pensiez, quoi que vous puissiez en supputer de sa véracité, que cela vous dérange, vous agace ou vous remplisse de joie, vous êtes français, ni plus, ni moins.

    Alors, sachez que l'effondrement de l'économie-monde génèrera la nécessité de reconstruire la nation, ses usines, ses fabriques, son agriculture, et que tous les bras, toutes les intelligences seront dès lors requises parce que nécessaires.

    Sans compter que ce pouvoir futur rejettera avec force ce misérabilisme hypocrite, ce racisme discret, ce vulgaire doudouisme, cette avilissante infantilisation dont vous êtes autant victime que vous en profitez, vous mettant alors dans une situation de port-à-faux si vous vouliez faire perdurer cette bassesse, ceci d'autant plus que votre religiosité de réaction n'aura plus de raison-d'être.P1020010.JPG

    Il vous faudra donc, dès lors, vous adapter à une société, dans ce pays dont vous êtes, que parfois vous ne connaissez pas ou peu, mais dont vous faites parti, et, suivant les régions (lisez ou visionnez les vidéos d'Emmanuel Todd pour comprendre ça), à vous confronter à un racisme pouvant se révéler violent.

    Pour finir sur ce sujet des gilets jaunes,  ce que craint le plus l'oligarchie ce serait la cristallisation de cette colère dans la population dans son entier, jusqu'aux classes-moyennes les plus hautes, d'où ses multiples tentatives pour discréditer ce mouvement.

    Ce que marque justement celui-ci c'est que maintenant la soumission populaire aux désidératas oligarchiques euro-atlantiste a disparu, cette seule colère étant la marque de la disparition de la peur, puisque une soumission s'établit sur ces-dites émotions primaires, colère et peur.

    Ce phénomène n'est que le début du processus de sauvegarde de la population, ensuite viendra le moment où s'établira une réflexion collective sur la nature de cette domination oligarchique, en un phénomène d'éloignement du brouillard conceptuel qu'elle avait généré et dedans lequel nous étions tous empêtrés.

    Par nature, cela ne peut que prendre du temps: on ne se débarrasse pas ainsi d'une manipulation multidécennale, toutefois le fait même que de plus en plus de gens en viennent à commencer à en comprendre l'essence montre que l'Union-européenne n'en a plus pour longtemps.

    P1020149.JPG 

    Comme vous pouvez l'observer, en s'éloignant du centre de l'entendement collectif du monde, il est possible de percevoir un peu mieux la constitution des événements, leurs intrications dyn

  • Réflexion sur le dogme et le néolibéralisme.

     

        La question que pose une idéologie qui progressivement est devenue un dogme indépassable se trouve être aujourd'hui d'une grande importance pour comprendre l'infinité d'aveuglements de nos gouvernants, politiques, économiques et médiatiques.

    Parce que, à bien y regarder, les détestables décisions et actions que prennent nos dirigeants nous sont certes nuisibles et maléfiques mais, et c'est là que cette réflexion est d'importance de par son paradoxe, elles pénalisent, à terme, encore plus les grands argentiers, banquiers et autres (dés)investisseurs, bientôt irrémédiablement ruinés de leurs imbécillités, ainsi que de leurs nombreux sbires, élus ou non, médiatiques ou non, et pour une majorité d'entre-eux, travaillant simplement en tant que publicitaires, commerciaux et de tous ces métiers qui ne sont portés que par la vente ou le contrôle du salariat, comme il peut en être des R.R.H., qui perdront tous leurs avantages si chèrement acquis, ne serait-ce qu'un rang hiérarchique souhaité.

    En vrai, à un moment ou à un autre, nous fûmes quasiment tous endoctriné par cette vulgate néolibérale et monétariste, mais autant certains d'entre-nous surent en sortir puis aborder les questions politique, économiques et sociologique hors de ce champs idéologique asservissant, autant une grande majorité de nos concitoyens y restent enferrés, et plus encore nos gouvernants.

     

    C'est pourquoi une réflexion de ce que peut être un tel blocage mental qu'est un dogme me semble d'une importance capitale quand aujourd'hui nous pouvons contempler les errements autodestructeur de tous les acteurs de ce qui pourrait n'être qu'une ridicule pantomime mais qui se révèle dès maintenant de ces terribles tragédies dont les grecques anciens étaient si tant et tellement friands.

    De fait, un dogme de cette puissance n’a pas besoin, pour celui qui l’adopte, qu'il le vérifie par l’observation, fut-elle scientifique ou empirique, ce qui lui permettrait de percevoir et savoir si ses décisions sont au mieux ajustées à la situation du moment, non, cette doxa a juste besoin d’être défendue par ses adeptes et sectateurs, ayant en effet acquise son existence propre.

    D'où ce terme de champ idéologique, mais ses mécanismes ne sont en rien magiques et sont, tout au contraire, tout à fait visibles et lisibles.

    En voici la trame:

    Progressivement coupé de toute réalité en raison de leurs actions délirantes passées qu'avaient déjà provoqué leur attachement maladif et excessif à leur doxa, les tenants de ce dogme, en reconduisant continuellement le même type d'actions que celles ultérieures, dans le but de résoudre les problèmes qu'avaient déjà posé ces actions passées inspirées par ce même dogme, génèrent une déstabilisation croissante de l'ensemble de la société, eux qui se devraient d'avoir en charge la meilleurs gouvernance possible de la société, ainsi, la trahit.

    Mais le pire est que cela les mène à un cercle vicieux qui, progressivement, va accentuer les multiples déséquilibres dus à leurs propres manquements : en perpétuant les mêmes démarches qui, auparavant, avaient créé ces perturbations, ils ne font que détruire ce que leur dogme commandait, donc ce dogme, et qui est à la base de leur croyance.      

    Donc, un tel dogme, s'émancipant graduellement de ses acteurs, demande qu’un certain nombre d’actions types soient entreprises, au bout d’un moment, ces actions, totalement déconnectées de la réalité sociale génèrent des effets pervers, c’est, par exemple, la crise de 2008, ce qui va amplifier encore plus le même type d'actions, créant et amplifiant ces perturbations, ainsi de suite, jusqu'à ce que l'ensemble ne s'effondre.

    Comme il n’est pas possible, pour les servants de ce dogme, de le remettre en question, les seules solutions qu’il leur soit possible d’adopter pour essayer de sortir de la crise qu'ils ont eux-même créé, consiste, pour eux, à accroître de plus belles les mêmes actions que précédemment, ce qui, nécessairement, accentue cette crise, ce qui les entraîne à surenchérir dans toujours les mêmes actions, ce qui augmente encore le détraquement, ce qui les incite à la surenchère… etc…, etc…, etc…, jusqu’au moment où le niveau de déséquilibre est tel que vient l’inéluctable effondrement.

    Tout au long de l’histoire, les exemples en sont nombreux.    

    Il y a donc une sorte d’aveuglement dû essentiellement à la croyance au dogme de l’époque, qui empêche les personnes qui en sont atteintes de comprendre que leur décisions sont contraire aux intérêts de tous, même aux leurs propres, là se situe la folie de tels mécanismes mentaux en un des processus de ces biais cognitifs qui, depuis quelque temps déjà, est l'un des thèmes de recherche en science humaine.

    Ainsi, quelqu’un comme Monsieur Valls peut être un homme aussi sincère qu'intelligent (sauf si c’est un profiteur, mais je n’y crois guère), mais si vous essayez de lui expliquer à quel point ses décisions sont déraisonnables et, ce, avec toutes les preuves à l’appui, il vous rira au nez, cela parce qu’il ne pourra pas vous comprendre, il lui sera totalement impossible de remettre en question, même légèrement, cette doxa.        

    En fait, il s’agit là, pour lui et pour tous ceux ayant les mêmes dispositions d'esprit, de survie mentale et sociale, c’est pourquoi il leur est impossible d’agir et de penser différemment:

    -survie mentale: ce dogme est tellement centrale pour leur compréhension du monde qu’il leur est impossible de même supposer qu’ils puissent être dans l’erreur.

    Toute leur structure mentale est bâtie sur et par lui, et toute approche d’une remise en question, même légère, de ce dogme va générer une telle douleur psychique, et sa disparition une telle angoisse existentielle que cela peut amener à des actes de violence, voire mener à un stress post traumatique jusqu'à des troubles psychologiques sévères, dépression, moment de stupeur, crise d'hystérie;   

    -Survie sociale: ceci est doublée d’une pression collective provenant du groupe ayant ce même endoctrinement, générant son renforcement par synergie, plaçant le sujet dans l’impossibilité d’envisager une autre approche idéologique, cela renforçant, bien entendu, la vision du monde unilatérale de ce sujet et, par là même de chaque sujet de ce groupe.    

    Quand à l'idée de le quitter, ce serait pour lui se retrouver dans la plus totale des solitudes, puisqu’il ne se sentirait plus reconnu comme faisant parti de cette société dans laquelle il se reconnaît en tant que représentant de l'humanité.

    De plus, il en serait de même, voire serait pire si il remettait en question ce dogme tout en restant dans ce milieu puisqu’il se retrouverait en solitude au sein de ce même groupe.     

    Tous fonctionnant, ainsi, à l'intérieur d'une boucle de rétroaction mentale/sociale renforçant continuellement en eux leur dogmatisme, chacun rassurant l'autre de la véracité de sa croyance et intensifiant, par ses propres discours, décisions et actions, les discours, décisions et actions de ses semblables.

    De plus, toute action contraire à l’éthique du sujet mais restant dans la logique de ce dogme générera une forme ou une autre de déni, de la dénégation de faits avérés jusqu’à la justification plus ou moins oiseuse de leurs actes, cela pouvant même les conduire à des actions dépassant leur humanité en raison même de la culpabilité que cela génère en eux.   

    C’est pourquoi nous pouvons observer tous ces journalistes dire les pires des insanités sans ciller le moins du monde, des banquiers agir de telle façon que cela ruine leur entreprise ou des hommes politique prendre des décisions néfastes pour leur population, ils le font pour défendre, en plus de leur dogme, la structure de leur psyché.     

    Ceux qui, sincèrement, en une semblance de paradoxe, adopterait le contraire de ce dogme en expliquant qu’ils luttent contre parce qu’ils en comprendraient ses effets pervers, continueraient, en réalité, de rester activement en son sein en ne faisant qu’inverser son aspect positif en un aspect négatif, mais psychologiquement, voire socialement, le processus mental de ce dogmatisme reste le même et lutter contre son ancien groupe c’est toujours, d’une certaine façon, une manière de rester dans ce groupe et de conserver, en son esprit, l'ensemble de ce dogmatisme qui, quoi qu'il en soit, le structure.    

    C’est pourquoi j'ai pu dire que les pays composant l’Union-Européenne sont tout autant bloqués institutionnellement qu’idéologiquement.

    En plus d'avoir posé des institutions étant absolument irréformable, l'ensemble de ses dirigeants ainsi qu'une large part de la population européenne sont étreint de ce formel dogmatisme.      

    Le cas de l’Allemagne est intéressant puisque ce pays, son gouvernement, son état, est tout autant contraint par ce dogme que nous pouvons l’être nous-même, mais, également, sait tirer le meilleurs de la situation pour son propre avantage.      

    Alors, comment nous sortir de ce piège doctrinaire?

    Nous ne pouvons qu’attendre que le système s’effondre par lui-même, ce qu’il fera, plutôt tôt que tard, mais nous pouvons aussi nous y préparer par avance par un travail théorique.     

    Mais, comme je l'ai écrit plus haut, en raison même de l’existence de ce dogmatisme puissant ayant entièrement structuré le mental de l’ensemble des élites européennes et d'une portion de la population, je crains que lorsque cet effondrement deviendra effectif, un état de stupeur et d’hystérie les rendent, pour de très nombreux d’entre eux, dans l’impossibilité d’agir avec intelligence, si ils agissent.      

    Il pourrait même survenir chez certains quelque chose de très proche d’un stress post-traumatique, pouvant mener à des états hallucinatoire ou pire.

     

     

    THEURIC

  • Petites réflexions géopolitiques, et géostratégiques pendant qu'on y est.

    Je vous propose que nous explorions aujourd'hui les relations entre les U.S.A. et la Russie, surtout en Europe et en mer Méditerranée.

    D'autant plus que des événements s'y surviennent ne paraissant d'une logique clairement formelle mais qui pourraient devenir cohérents si nous nous essayons de définir les intérêts de chacun de ces acteurs.

    Pour ce qu'il peut en être de la France, le nôtre est de la limpidité de l'évidence: il nous faut impérativement quitter ce bourbier sans nom qu'est l'Union-européenne.

    Pour cela, et au risque de me répéter en paraissant un tant soit peu lourdingue, je vous conseillerais de voter, pour les prochaines élections, pour François Asselineau lors des présidentielles, puis pour les représentants de son parti aux législatives.

    Vous verrez, plus bas, que les deux puissances sus-nommées agitent en tous sens notre pays et ceux composant l'Union-Européenne et, ce, sans que nous n'ayons, nous et notre gouvernement, le moindre mot à en dire.

    A mon sens, il faut bien se fier à quelqu'un en cette ère où le reste du monde politique n'est plus que poupée de chiffon que chacun est libre d'agiter dans un sens comme dans un autre, pouvant nous conduire à toutes les mésaventures (déjà qu'avec la mère Clinton nous faillîmes une nouvelle guerre mondiale).

    Il nous faut donc recouvrer l'indépendance de notre pays, le temps n'est plus où nous pouvions faire joujou à nous faire peur, d'autant plus qu'un travail immense nous attend: refonder notre industrie et notre agriculture après des décennies de délires néolibéraux et, ce, juste au moment où se profile à l'horizon la plus terrible des crises économique de la période moderne.

    1929, par rapport, ressemblera à une petite promenade de santé.

    Mais pour comprendre tout cela plus avant, je vous propose de mes réflexions faisant suite à l'ensemble des informations que j'ai pu glaner çà et là.

    IMGP0200.JPG

    En fait, depuis l'élection de Donald Trump, les intérêts européens et méditerranéens des étasuniens ont évolué quand, d'un autre coté, la Russie de Poutine continue sa stratégie antérieure.

    (Bien qu'il soit possible qu'entre ces deux grands, des discutions puissent en faireIMGP0093.JPG évoluer la donne.)

    Voyons d'abord de ce qu'il en est pour la Russie.

    Ses buts sont clairs et même limpides, au-delà de la grande Eurasie qui, comme les B.R.I.C.A., n'existera que tant que les U.S.A. poseront problèmes.

    Ces buts, donc, en Europe et en Méditerranée, sont, pour la première, de la stabiliser, grosso modo de la Pologne à la Bulgarie, ce qui nécessite qu'une Allemagne bien d'aplomb et solide y s'y retrouve au centre pour y jouer le chien de garde, c'est pourquoi tous les pipelines, nord et sud, partant des réserves de gaz russes, se rejoignent tous en Germanie, en évitant, pour l'instant, soigneusement la France, l'Espagne et le Portugal, mais en arrosant tout de même le Royaume-Uni (j'en  reviendrais sur le pourquoi), la raison en étant de ne pas y avoir affaire à des instabilités à l'ouest de l'eurasie.

    Les deux blocs que sont l'Inde et la Chine, instables, le nécessitant.

    En mer Méditerranée, sujet que j'ai déjà abordé, les russes ont impérativement besoin d'y circuler paisiblement du canal de Suez jusqu'au détroit de Gibraltar puisque, pour eux (comme de très nombreux climatologues mondiaux), nous n'en sommes pas à vivre un réchauffement climatique anthropogénique mais entrons dans une phase de type petit âge glacière du genre minimum de Maunders (XVII/XVIII° siècle).

    PICT0385.JPGA n'en pas douté, le précédent président étasunien, Monsieur Obama, et son équipe furent, à leur corps défendant, une aide précieuse à Monsieur Poutine pour réussir ce second programme, ne serait-ce qu'à cause des guerres civiles en Syrie et en Libye que les étasuniens fomentèrent, qui lui permirent de prendre pied au Moyen-Orient.

    Pour les Amériques de Trump, les buts ont largement évolués, muté même.

    Puisque, pour lui et avec raison, les U.S.A. doivent redevenir la puissance industrielle qu'ils furent d'antan, il lui faut impérativement affaiblir les deux pays qui se révèlent être les plus industriellement puissants et exportateurs, soit l'Allemagne et la Chine.

    Pour ce premier, fragmenter l'Union-européenne, la détruire, ne peut qu'être la stratégie logique à adopter, or, pour cela les E.U.A. ont besoin de la Grande-Bretagne qui, elle, en profite pour retrouver son ancien réflexe d'empêcher toute nation européenne de devenir suffisamment puissante pour dominer les autres, ce qui pourrait être dangereux pour elle.

    Pour cela, il y a deux méthodes qui peuvent se conjuguer, faire s'exploser l'Allemagne par diverses déstabilisations et/ou décomposition de l'Union-Européenne par l'intérieur, ce que ces deux larrons savent pertinemment très bien faire.

    Il s'agit donc d'une stratégie commune pour deux desseins différents.

    D'autant plus que les saignées industrielles et agricoles furent pires pour lesP1000880.JPG britanniques que pour les français, ce qui fait que les premiers ont un besoin pressant que les seconds deviennent indépendants pour pouvoir s'y allier et les aider à se relever (géostratégiquement, une alliance franco-anglaise ne peut qu'être puissante).

    Pour en revenir à l'empire U.S., si celui-ci agit ainsi c'est aussi que, sentant sa fragilité, il ne peut faire autrement que de se débarrasser de ses possessions qui lui sont les plus faibles et/ou dangereuses, tout en conservant ce qui lui paraît le plus solide, comme l'Angleterre.

    Enfin, si Trump a décidé d'éradiquer D.A.E.S.H. c'est pour éviter que l'Arabie-Séoudite, dont les U.S.A. ont un absolu besoin du pétrole, ne se retrouve à se confronter à ces fous de dieu qui n'en feront qu'une bouchée.

    Il est à remarquer les liens économiques que le Royaume-Uni tisse avec la Turquie, dont la construction en commun d'un avion de chasse, événement que nous devrions expressément suivre avec intérêt.

    Il est également à noter que la Russie semble avoir un penchant particulier pour le parti de Marine Le Pen, la fifille de son ogre de père, si facilement manipulable, la cause me semble en être que les russes verraient d'un mauvais œil qu'un lien fort puisse P1000850.JPGs'établir entre la France et la Grande-Bretagne, puisque cette dernière semblerait bien désirer voir se décomposer la Germanie.

    De tout cela, il me paraît que le seul gouvernement qui ait saisi l'évidence d'un prochain effondrement de l'économie internationalisé, fut celui de la Russie, d'où ces pièces qu'il pousse, les unes après les autres, notamment en Europe et sur le pourtour méditerranéen.

    Je pense que son principal désaccord, en Europe, avec celui U.S., concerne l'Allemagne, l'un voulant la contrôler et l'autre la détruire.

    La pression que ce dernier met sur l'Iran n'y est peut-être pas pour rien, puisque ce pays est un allié fiable et nécessaire pour Poutine.

    Quand aux tensions entre les U.S.A. et la Chine, au-delà des questions industrielles et stratégiques, elles pourraient tout autant avoir le dollar comme but central, mais ça c'est purement intuitif...

     

    P1000856.JPG

    THEURIC

  • Là où les idées sont complexes il faut de la simplicité.

    Là où les idées sont complexes parce qu'il y a des avis divergents, il faut venir avec de la simplicité.

    Je me suis retrouvé à visionner deux vidéos ici et , faisant part des positions de chacun en ce qui concerne les propositions du docteur Raoult pour soigner les gens du COVID-19 à l'aide de l'hydroxychloroquine (coquine hi, hi, hi).

    Le problème en France et ailleurs en Europe, si j'ai bien saisi le hiatus, c'est le manque cruel de test.

    Vous remarquerez deux points capitaux en ce qui concerne ces deux vidéos:

    1) Tous deux ont une position extrême, tout en affirmant être à l'écoute de l'autre partie, ce qui se révèle contradictoire en soi;

    2) Aucun ne fait mention des tests nécessaires pour en connaître le vrai du faux.P1030218.JPG

    Le premier fait référence au manque de rigueur scientifique du docteur, ce qui est possible, et de ne pas attendre de héro sauvant le monde au-devant d'une crise, ce qui va de soi, mais sans proposer d'autres alternatives, ce que je pense très réducteur.

    Le second, mettant tout autant en garde d'héroïser un homme, ce toubib, parle de communauté des sceptiques au sujet de ceux trop prudent envers ce traitement, ce qui renvoie à la croyance contre une autre croyance, ceci d'un air dénigrant le formalisme scientifique, ce qui est, là encore, une approche que je conteste.

    Toutes ces paroles ne faisant en rien avancer la résolution du problème.

    Parce qu'il y a un phénomène d'accroissement exponentiel du nombre de malades et que les systèmes de santé français et belge ont été affaibli de manière dangereuse par les économies de bout de chandelle obligées par l'Union-européenne via les GOPE.

    A un moment donné il deviendra impossible de soigner tant de malade dans nos hôpitaux, nous n'avons pas des semaines devant nous, c'est en cela qu'il y a urgence!

    Qui va choisir qui va mourir?

    Il y a aussi le confinement qui tue, lui, l'économie mondiale.

    Du-moins l'un et l'autre font bien remarquer la précarité sanitaire dedans laquelle nous sommes, alors, comment peut-on départager ces deux positions semblant irréconciliable?

    Or, pour, justement, en séparer le vrai du faux, tout en gérant cette urgence, que faudrait-il qui pourrait entrer dans ce débat déjà houleux et le réduire, sinon d'accroître plus que fortement le nombre de tests et, ce, pour toute la population.

    Là se trouve l'idée simple.

    P1030245.JPGOn teste on traite, en double aveugle, pourquoi pas, et on voit, sans plus ni moins, avec des gens malades et d'autres infecté par ce virus (vit russe, ouaf, je l'aime bien celle-là, ne le prenez juste que comme un bon mot, une gaudriole) sans en souffrir.

    Et pourquoi ne pas faire cela dans une ville de quelques dizaines de milliers d'habitants avec hôpital, puis re-tester au bout de quelque jours pour voir ce qu'il en est, le tout avec un suivit médical.

    Puisque Mr. Raoult a affirmé que grâce à ce traitement, en peu de temps la masse virale disparaît des sujets.

    Mais pour que cela soit effectif, ben il faudrait un très grand nombre de tests, or notre équipe de  ribouldingues gouvernementaux a oublié ce tout petit détaille.

    Enfin, s'il n'y avait que ça qu'elle avait oublié...

    Dès lors que nous considérons que vu ce manque cruel et, oserais-je le dire, meurtrier, leur discours à l'un comme à l'autre ne vaut absolument rien, sauf à jeter la population les uns sur les autres, leur réflexions n'a plus dès lors aucune espèce d'importance.

    Ce qui est aussi, me semble-t-il, la preuve de leur propres angoisses.

    Ces deux messieurs feraient bien mieux de militer pour que leur gouvernement en acquière l'équipement nécessaire plutôt que de se pourfendre par vidéo interposée, puisqu'ils pérorent ainsi à l'aveugle.

    La qualité génère de la qualité, la médiocrité génère de la médiocrité.P1020168.JPG

    Nous pouvons percevoir ici que nos décennies de perte intellectuelle en Europe mène à des égarements pouvant se révéler grandement nocifs.

    Et là, la complexité ne provient pas d'un ensemble de réflexions personnelles ou collectives, mais de la confrontation de positions opposées sur un sujet important sans que ne soit pris en compte un élément clef et majeur: des tests!

    Et sans ces tests vous aurez beau vous engueuler, chers vidéophiles, cela ne fera en rien avancer la réduction de cette crise sanitaire.

    Tout simplement parce que nous le sommes tous aveugle de ce qu'il se passe vraiment.

    PS: dans un texte précédent j'avais expliqué que de tester tout le monde était ardu en raison du nombre d'habitant, voire impossible, or, c'était de ma part un grosse bêtise.

    Depuis lors, j'ai appris que c'était de cette façon que la Chine et la Corée, font pour lutter contre le COVID-19, ce qui leur a plutôt réussi ne trouvez-vous pas?

    Nous en connaissons le résultat.

    Alors, quelqu'un a-t-il des idées pour accroître le nombre de ces tests, pour en acquérir?

    P1030450.JPGCe billet venant en complément de celui précédent.

    IL NOUS FAUT DES TESTS, MERDE!

     

     

    THEURIC

  • L'or dinateur.

    Un ordinateur

    Qui n'avait plus d'heure

    Se promenait sur la place du marché (poils au nez).

    Il n'avait plus l'heur

    De connaître l'heure

    Qui était un leurre

    D'une pauvre lueur

    Qui embrouillait les pleures

    Des quidams en fleure

    Qui fleuraient bon le chez-Soi bon marché.

    Et l'ordinateur

    Qui ne savait plus l'heure

    Rentra enfin chez-lui 

    En disant au-revoir à la place du marché (poil aux pieds).

    Cela fit que les frites,

    Le poulet bien cuit,

    Les légumes et les fruits

    Sentaient tout bon dans la place du marché.

    Et tout le monde dansèrent

    Sur une chanson légère

    Comme une bergère

    Au bras d'un ouvrier

    Qui se marièrent 

    En âme primesautière

    Près d'une pissotière

    A la mairie du quartier.

    Ils eurent beaucoup d'enfants (poils aux dents)

    S'aimèrent tendrement

    Tout près d'un marché

    Qui a ses plaisirs dinateurs (poils à ma sœur).

     

     

    THEURIC

  • idée n° 6 : Élément, Instant & Temps d'Existence

        Chaque élément de l'univers et l'univers lui-même ont leur propre temps d’existence.

        Mais ne confondons pas existence et vie.
        La vie et l'existence sont de sens en tous points distincts :
        La première désigne « l'état d'activité de la substance organisée. Chez les plantes, la vie est constituée par deux fonctions, la nutrition et la génération ; chez les animaux, il y a en plus la contraction et la sensibilité. » (dictionnaire Le Littré). Bactéries, champignons, virus,..., répondent, bien entendu, à ces critères.
        La seconde, elle, défini tout ce qui existe, à leur état.
        La Vie est donc Existence mais l'Existence n'est pas obligatoirement la Vie, l'Existence est même rarement la Vie.
        Ces éléments de l'univers, dont nous sommes, naissent, se développent puis meurent (ou disparaissent), hormis, peut-être, certaines particules qui sembleraient éternelles.
        Mais  que deviendraient ces dernières si notre univers, lui-même, achevait son existence ?
        Nous pouvons appeler « Temps d'Existence » , le temps écoulé entre le moment où un élément parait et le moment de sa disparition ou de son observation.
        Pourquoi ces considérations ?
        Maintenant  que nous nous sommes convenus que chaque élément constituant  l'univers et l'univers lui-même, écrivons-le « Élément », que chaque Élément, donc, a son propre Temps d'Existence, nous pouvons nous demander ce qu'est, pour chacun de ceux-ci, l'Instant (là encore, la majuscule marque un principe).
        Pour commencer, disons que l'Instant, pour un être vivant, est une fraction de son Temps d'Existence.
        Mais si nous considérons que tout ce qui existe est Élément, alors chacun de ces Éléments a son Temps d'Existence avec la même définition de l'Instant.
        Ces Éléments sont, tout autant, une étoile, une histoire, une société, un astéroïde, un caillou, une agrafeuse, une chanson, une idée, une idéologie, un atome, une molécule..., toutes choses, donc, dont l'Instant est une fraction de leur Temps d'Existence.
        Cette fraction étant proportionnelle au Temps d'Existence.
        Je ne sais pas si l'Instant de chaque Élément est toujours de même proportion.
        Mais cela veut dire que l'Instant de la biogée (soit l'ensemble de la vie terrestre depuis son apparition) est plus important que l'Instant d'une société, comme l'Instant d'une société est plus important que l'Instant d'un être humain.

    THEURIC

  • De la conduite suicidaire.

    La conduite suicidaire, autrement nommé "fuite en avant", voilà ce que plus de toutes choses au monde ne cesse de me questionner et, ce, depuis fort longtemps.

    La raison en est là, il y a les processus d'aveuglements, c'est à dire ces personnes qui ne perçoivent pas, qui ne peuvent percevoir ni concevoir, quelles qu'en soient les raisons, que la situation qu'elles vivaient auparavant se transforme et que si cette personne ne fait pas évoluer sa manière d'être et de faire, cela la conduira, à terme, à une catastrophe.

    P1000825.JPGCela à ne pas confondre avec l'adolescent, jeune ou vieux, qui prend des risques juste par manque de maturité, parce qu'il ne comprend pas la nature de ces risques.

    Tout comme les suicides, soient en raison appels au-secours qui peuvent tuer si la personne n'est pas sauvée à temps, ou le suicide vrai, de celui ou celle qui a le sentiment, réel ou supposé, qu'il n'y a plus d'existence sociale pour lui ou elle.

    Donc la conduite suicidaire existe et, là, vraiment, je me perds presque en conjecture, c'est pourquoi je me vais tenter d'en démêler les mécanismes.

    Une conduite suicidaire consiste à avoir en main toutes les informations et les capacités requise pour agir au mieux mais de ne pas en tenir compte ou, même, d'agir à l'inverse de ce qu'une action adaptée réclamerait.

    Bien évidemment, des causes psychologiques profondes sont à l’œuvre pour que le sujet prenne ainsi de mauvaises décisions, contraire à ses propres intérêts ainsi que ce ceux des responsabilités dont il a la charge.

    Ce processus, individuel et/ou collectif, ne peut avoir, en effet, d'origine que dans les basfonds de la psychologie humaine.

    Celui-ci, provenant donc d'un aveuglement, c'est à dire d'une impossibilité de percevoir la réalité, ne peut qu'être que la résultante d'une inadéquation plus ou moins totale entre ce qui est perçu et le sens qui en est donné, en une façon d'autosuggestion inconsciente.P1000896.JPG

    Nous avons tous vécu, sous une forme ou une autre, des situations analogues où nous nous retrouvions à nous débattre dans un imbroglio événementiel, parfois plus que détestable, provenant de ce que nous n'avions pas saisi, sur le moment, que nos actions étaient défectueuses parce qu'inadapté au moment vécu.

    Mais c'est lorsque la personne ou le groupe de personne, voire la société, ne perçoit pas l'imbroglio dans lequel il patauge et ne cesse de s'enferrer en continuant d'agir comme à l'accoutumé que nous pouvons parler de conduite suicidaire.

    Et il s'agit donc bien là d'un aveuglement que nous pourrions dire pathologique si la conduite inadaptée se perpétue, quand bien même les effets produits par les actions et les choix faits se révèlent inefficaces, ou pire encore, contreproductifs.

    Ce sont donc ces aveuglements qu'il s'agit ici d'analyser puisque c'est de là que proviennent les conduites suicidaires.

     

    Le cerveau humain est, de nature, extrêmement jeune à l'échelle de l'évolution, c'est pourquoi ses mécanismes de fonctionnement sont très fragiles.

    Maladies mentales nombreuses, phobies diverses, névroses multiples, perversités infinies, ..., cette fragilité de notre système nerveux centrale provient de ce qu'il dû P1000853.JPGévoluer en seulement un petit peu plus de deux millions d'années et que les mécanismes sociaux, censément faits pour aider l'enfant et le jeune adulte à le structurer, ne cesse de se transformer depuis seulement une quinzaine de millier d'années (avènement du néolithique), au même rythme rapide que celui des sociétés.

    Certes, divers mécanismes de préservation sont en place, évanouissement lors d'un choc psychologique brutal, distanciation émotionnelle pour éviter un stress trop violent, endormissement, état d'hébétude, vive colère, crise hystérique, recherche d'ivresses de toutes sortes, ..., etc..., et aveuglement psychologique, au centre de notre réflexion du jour.

    La raison en étant de protéger au mieux nos complexes et fragiles fonctionnement neuronaux à une douleur se révélant, lorsque les mécanismes de compensation psychique se retrouvent dépassés, par une situation ou un événement donné, tel que des contradictions entre les désirs et les habitus sociaux, un risque mortel, corporel ou social, passé ou présent, un rejet social, la confrontation avec un concept, voire une conjoncture contraire aux présupposés du sujet.....

    Ce qui peut, sinon, conduire, si ce mécanisme de préservation se retrouve débordé, voire déficient,  à une dépression, un état délirant, un abandon de la vie sociale, une tendance à la dépendance aux stupéfiant, de la violence souvent idiote, ..., tous ces processus mettant en lumière la déstabilisation des fonctionnements neuronaux.

    L'aveuglement psychologique, donc, est l'un de ces mécanismes salvateurs quiP1000909.JPG peuvent permettre, pour un temps, au cerveau d'éviter de se retrouver perturbé de telle sorte qu'il en vienne à dysfonctionner.

    Pour un temps seulement car la nature des faits s'accumulant en vient à déborder les capacités de négation  de la réalité du sujet, ce qui permet à celui-ci de donner du sens à ce qu'il vit se retrouvant donc, de ce fait, nié par la matérialité de ce qu'il se passe.

    De plus, au fur et à mesure que cette matérialité se fait plus présente et pressente, la négation, par le sujet, de son existence ne peut que monter en puissance, ce qui peut s'accompagner d'une reformulation de cette négation de la réalité en lui redonnant un sens différent.

    Le plus souvent sous la forme d'une radicalisation de la position prise et d'une projection sur d'autre(s) de l'inefficacité des actions menées.

    Jusqu'à ce que, les conditions évoluant continuellement, en contradiction accrue d'avec les croyances du ou des sujets, en viennent à un tel point que ceux-ci ne sont plus en capacité de nier la réalité.

    Dès ce moment, les mécanismes de compensations psychiques se retrouvent débordées et, dans l'incapacité de protéger les circuits neuronaux, cèdent, ce qui conduit à une violente décompensation psychologique de ce ou ces sujets par la P1000449.JPGdéstabilisation de leur "composition de sens" (j'appelle "composition de sens" l'ensemble des compréhensions que chacun de nous se fait du monde avec toutes ses composantes conscientes et inconscientes), menant à ces désordres mentaux dont je vous ai rapidement entretenu plus haut.

    Cet aveuglement psychologique, cette fuite en avant, est parfaitement lisible et visible dedans les décisions gouvernementales actuelles qui ne sont, en réalité, que les recommandations et demandes pressantes des oligarchies européistes germano-françaises (Merkel) et bancaires franco-allemandes, européennes et étasuniennes (de moins en moins pour ces dernières), ainsi que tous ceux qui les accompagnent en leur prêtant mainforte.

    Leur conduite suicidaire se poursuivra de tout son cours, je le pense, tel que je l'ai montré ici, jusqu'à ce que la réalité, devenue incontournable, ne vienne fracasser leurs dangereux fantasmes.

    Ainsi, à mon sens, ce n'est pas seulement l'Union-Européenne, sa soit-disant construction et l'économisme-dogmatique, idée que j'avais développé ici ( de-la-fin-de-l-economisme-dogmatique-5973481.html ), qui serait pour eux en jeu aujourd'hui, mais aussi la structure même de leur mental qui pourrait bien exploser dès que cet ensemble idéologique aura volé en éclat.P1010158.JPG

    Parce qu'autant les russes, même les plus empreints de l'idéologie communiste, à la disparition de l'U.R.S.S., purent se reposer sur un capitalisme certes violent et rapace, mais pouvant sans problème prendre la place du régime soviétique disparu.

    Autant en France et dans le reste de l'Europe, rien ne pourra remplacer la doctrine complexe de ce que ne sera bientôt plus l'économisme dogmatique, n'ayant plus qu'une seule formulation, celle du néolibéralisme en voie avancée de délitement.

    Hormis, comme j'ai déjà pu en parler, de structures politiques et/ou conventionnelles plus anciennes encore, telles que la religions traditionnelle du pays, le catholicisme en France, le patriotisme pouvant prendre forme, parfois, du nationalisme et un anarchisme multiforme.

    C'est pourquoi je ne serais pas surpris que les plus conscients, les plus intelligents et/ou les plus fragiles des oligarques nationaux et européens, du personnel politique qui y est lié, écologistes et F.N. compris, des journalistes officiels et de bien d'autre personnalités composant cette mouvance néolibérale aux multiples facettes doctrinales, dont celle dite du réchauffement climatique anthropogénique.

    C'est pourquoi, dis-je, je ne serais pas surprit qu'un certain nombre d'entre-eux P1000637.JPGcommencent à décompenser de la disparition prochaine de ce qui avait structuré leur mental tout au long de leur vie, sans qu'il puissent s'en soustraire et, ce, quelle qu'en soient les raisons psychologiques.

    C'est pourquoi aussi la violence d'état, en France, ne pourra que s'accroitre au même rythme que le néolibéralisme montrera ses signes de faiblesse.

     

     

     

    THEURIC

    P1000924.JPG

  • Appel réitéré à une nouvelle renaissance!

     

                   Appel réitéré à l'émergence d'une nouvelle renaissance

     

     Sous peine de voir notre vrai but se perdre à jamais, je ne vois pas d'autre échappatoire à ce dilemme que d'admettre que quelques-uns d'entre nous se hasardent à un essai de synthèse des données expérimentales et des théories, fût-ce avec des connaissance incomplètes et de secondes main pour certaines d'entre elles; et au risque de se rendre ridicules.

    Erwin Schrödinger

    Peut-être devrions-nous être plus nombreux à nous ridiculiser?

    Ulf Danielsson

     

     Nous buttons!

     A tous les niveaux nous buttons contre ce sentiment diffus et effrayant qu'une immense muraille nous empêche de percevoir un avenir dont nous sentons tous l'avènement prochain.

     Jusqu'à même notre Q.I. donnant l'impression de s'affadir, de s'affaiblir, de baisser en un obscurantisme dont rares sont ceux se pouvant en dire le nom.

     Oh, bien sûr, la dangereuse et trouble période dans laquelle nous entrons, dans laquelle, dès à présent, nous sommes, parce que nous en refusons d'en simplement entrevoir les épreuves et périls en un déni collectif en France comme en Europe, pourrait se supposer être la cause majeur de cette paralysie, de cette léthargie, cette torpeur.

     Mais étant donné que nous pouvons trouver la source de ce frein mental aux décennies antérieures, les années cinquante et la sortie de la seconde guerre mondiale, sa cause en serait certainement plus profonde.

     J'en donnerais ainsi l'origine fondamentale au cœur du puissant traumatisme européen que furent les deux guerres mondiales qui se succédèrent en seulement vingt ans d'intervalle.

     

     Aujourd'hui se font signes la fin de cette stagnation parce que, justement, commence à poindre, ça et là, écrits et discours portant un regard critique et intelligent sur un monde, le nôtre, où l'évolution ne se pense et s'œuvre encore que sous l'augure des seules évolutions technologiques et sentences économiques et où la création ne se fait, au mieux que dans le fignolage et perfectionnement des inovations et découvertes préexistantes, au pire dans leurs dérisoires rabâchage.

     Cette époque paradoxale qui maintenant s'achève nous a amenée, il est vrai, une paix relative et une prospérité que nous ne pouvons pas ne pas regretter, nous a apporté des outils de l'information, sous forme, entres autres, d'ordinateur et de téléphone qui ont révolutionnés autant nos relations à nos prochains, au savoir, à nos potentiels créatifs, au temps comme à la distance, transformée les villes et les campagnes pour le meilleurs et parfois le pire, nous a montré combien nos actions peuvent générer des effets aussi bénéfiques que maléfiques, la pollution n'en étant que l'un des aspect, a démultiplié la population mondiale par plus de deux avec sept milliards d'être humains vivant actuellement, nous a fait découvrir des goût et des saveurs que nos anciens avaient à peine idée... .

     Surtout, cette modernité qui se clôt présentement a fait se connaître et reconnaître des peuples qui, auparavant, n'avaient de relations que fantasmatiques où chacun projetait sur l'autre ses propres tourments et désirs inavouables et même si nous restons tous, individuellement et collectivement, à nous questionner, consciemment et/ou inconsciemment, sur la réalité de l'humanité de la personne si différente se trouvant en face de nous, même si en nos seins persistent de ces souvenirs refoulés que nos aïeux nous ont légués hiérarchisant, en réflexe, l'homme et la femme suivant la couleur de sa peau, même si, toujours en Europe, persistent de ces discriminations nord/sud, est/ouest en un automatisme que parfois la réalité veut à tous prix démontrer, même si le tourisme donne parfois l'allure d'une colonisation voilée, même si nous restons tous toujours encrés à d'anciens mécanismes paysans, voire à d'antédiluviennes pulsions chasseurs-cueilleurs limitant, en nous, la reconnaissance d'humanité chez l'autre, même si, enfin, nous risquons d'entrer en conflit majeur avec tel ou tel pour des raisons aussi vieilles que le furent toutes guerres depuis ses premiers commencements, même si tout cela et bien plus encore, nous savons maintenant que l'humanité est, en vérité, une et indivisible et que l'espèce humaine, Homo Sapiens Sapiens, est fait en vrai d'une seule et même nature.

     Nous savons maintenant que c'est uniquement sa culture qui fait sa réelle différence d'avec son semblable.

     Mais saurons-nous tous considérer la réalité de ce fait dans sa juste mesure ?

     

     Ainsi ce présent, bientôt proche passé est-il double : d'un coté il nous a confronté à un conservatisme béa, à un obscurantisme abrutissant, à une crétinisation des esprits et d'un autre coté il nous a apporter des outils merveilleux, la paix, la prospérité et la connaissance, même relative, du monde, en cela il fut et est encore pour peu de temps paradoxal, mais il est finissant, agonisant, moribond.

     Et à sa mort le choc sera terrible, d'autant plus que nous seront dans le même temps, en Europe, confrontés à d'immenses défis dont le manque de tout et n'importe quoi sera le moindre, en France seule la nourriture ne nous manquera pas.

     Notre principal souci, dans le court terme, sera tout simplement que peu de gens mais surtout nos élites et édiles françaises et européennes seront toujours à ce point formatés par cette idéologie néolibérale encore aujourd'hui largement dominante que peu seront capable de réagir avec justesse.

     

     Désormais c'est d'un renouvellement de la pensée qu'il nous faut construire et ce avec la plus extrême des consciences parce que c'est de cela dont nous aurons grande nécessité !

     Surtout pour que cette muraille nous empêchant de percevoir un avenir intelligible soit dépassé, que nos enfants (et nous mêmes?) partent conquérir les étoiles plutôt que de payer des dettes absurdes et inutiles.

     Voilà pourquoi je le dis et le répète : nous nous devons à une nouvelle renaissance !


    THEURIC

     

     

      

  • Penser demain.

    A plus de sept milliards d’êtres humains sur Terre, un début de carence d’un nombre de plus en plus important de matières premières et des énergies, un rêve partagé par les peuples de la richesse dont l’Occident est l’exemple, d’intérêts concurrents et divergents des états provenant, entre autre, de ce désir des peuples, place l’économie toujours plus au centre de la pensée des gouvernements.


    Le néolibéralisme n'étant là que la justification des relations de domination établies d'une minorité sur la majorité à l'échelle mondiale.


    Ce sont ces déséquilibres qui me font craindre le pire.


    Alors, quelle pourrait être la ou les solutions élégantes qu’à terme nous pourrions trouver.


    Liées, cinq questions centrales se montrent:


    1) Celle de la limite, autant de notre planète, de ce que nous pouvons en tirer et de ce qu’elle peut supporter sans que cela ne porte préjudice à notre existence, la vie, quand à elle, a son dynamisme se comptant en millions d’années et a connue bien d’autres calamités;


    2) Celui des déchets et de leurs natures;


    3) Celui du partage pour tous les êtres humains, harmonieux ou inharmonieux;


    4) Celle de la dynamique propre à notre espèce;


    5) Enfin, central, celle de la place réelle de l’économie au sein de la société humaine.


    Redonner la limite à des frontières ne pourrait être une fin en soit mais ne serait qu’une solution momentanée, le temps de résoudre l’immensité des problèmes auxquels nous seront bientôt confrontés, la refondation d’une économie n’en étant que le premier.


    Mais ou se trouverait, sans les frontières, le dedans et le dehors d’une société?


    Le manque de matières premières et même d’énergie pourrait peut-être être résolu par la découverte de nouvelles matières, alliages, procédés physiques, chimiques et biologiques…


    Le déchet (même du pot d’échappement) doit être pensé dans toutes les dimensions de sa nature, nous pourrions commencer par montrer que celui-ci est la perte de fonction de l’objet originel et est polluant lorsqu’il interfère de façon néfaste avec la nature et/ou avec les hommes.


    Pouvons-nous, dès lors, constituer des objets soit totalement recyclable, soit fait de matière n’interférant pas avec la nature et/ou avec les hommes ou, même, que ceux-ci n’aient qu’une interférence bénéfique?

    La question de l'énergie est la même: peut-il y avoir utilisation d'énergie sans que l'entropie qui l'accompagne soit nuisible?


    Le partage pose la question de la hiérarchisation des sociétés, y répondre est un projet immense.


    La dynamique d’Homo Sapiens Sapiens.


    J’émets le postulat qu’entre autre, toutes les espèces vivantes ne peuvent pas ne pas se confronter à la survie et, dès lors, à la catastrophe.


    De ce fait notre cerveau et notre corps sont conçus pour cette confrontation.


    Dans un système fermé, une planète avec sept milliards d'habitants, ne pas être confronté à sa survie pouvant, de ce fait, pour un être humain, générer un phénomène d’ennui.


    Et si, dans notre inconscient collectif, ce serait là l’une des causes profondes des dangers actuels provenant de la trop grande stabilité qui existait, au moins en occident, lors des trente glorieuses?


    Quelle est la place, certes, de l’économie, mais aussi celle de la politique, du militaire, du judiciaire, des religions, des sciences, des arts, de la technologie et de l’ingénierie et de toutes les autres dimensions humaines?


    La seule réponse que j’ai pu trouver à toutes ces questions ne se trouve que dans le voyage inter-stellaire.


    Sauf que la physique n’a encore pu répondre à d’importantes questions concernant autant l’univers que les particules.


    Je fais le pari que ces réponses apportées nous diront si oui ou non nous pourrons voyager plus loin que de notre seule banlieue terrestre.

    Au-delà des délires néolibéraux, la vertigineuse accélération de l’évolution humaine, qu’elle soit appréciée ou déplorée, mène à des contradictions majeures entre un passé encore présent et un futur encore en ébauche.


    Nous ne pouvons plus revenir en arrière mais il nous manque certains éléments, tant sociétaux que matériels, qui nous permettraient de pouvoir aller réellement de l’avant.


    C’est, en réalité, le véritable diagnostique que j’ai porté sur la situation actuelle de notre humanité, le reste n’étant que de l’agacement.


    Ce stress universel, en vrai, m’effraie et je ne vois que l’Europe pour en limiter les dégâts.

     

    THEURIC

  • Réflexion sur les crashs économiques.

    Après chaque crash, des systèmes de compensations et de corrections se mettent en place, c’est pourquoi aucun ne ressemble à ses précédents, je dirais même qu’il ne serait pas étonnant que pour pouvoir repérer le prochain, il faut écarter de l’esprit les processus annonciateurs des précédents.


    C’est pourquoi chaque crash est spécifique dans son développement, l’un est lent, le suivant rapide, l’un a son épicentre en Asie, l’autre en Amérique, l’un est centré sur la haute technologie, un autre sur des prêts hypothécaires… .


    En revanche, rien ne peut se faire sur les causes premières de ces crashs parce que ce serait remettre en cause, plus que des mécanismes économiques, une idéologie, un dogme, le néolibéralisme, largement partagé par les élites politiques, économique, journalistiques et populaire, pas seulement occidentales, ce dogme étant une structure psychique collective mondialisée.

    Ce sont ces structures psychiques collectives qui sont l’origines premières des bulles spéculatives, ensuite viennent divers formalisme d’actions qui y sont intimement liés qui, à la longue, produiront les crashs.


    Il est toutefois à relever que plus le temps avance, plus les crises deviennent importantes, s'enflent, et, comme toute crise, ce sont les suites qui deviennent de plus en plus désastreuses.

    C'est en raison de ces effets destructeurs que, par réaction, sont mises en place des tentatives de compensation par l’organisation de corrections de ce qui avait semblé être la ou les causes de cette dernière crise.

    Causes apparentes parce que, en réalité, effets de la cause susnommée, l'effet ayant été confondu avec sa cause.


    Or, comme tout processus de compensation, cette tentative se révèle toujours veine, puisque du fait de l’origine même de ces crises, de leur cause première, il serait nécessaire, pour qu’elles soient réglée, de remettre en cause l’idéologie qui les sous-tend.


    De plus, ces compensations tendent à accentuer, ensuite, encore plus, les déséquilibres économiques créateurs de ces bulles spéculatives générant ces crashs, d'où l'amplification, au fil du temps, des crises, conséquences de cet accentuation de ces déséquilibres.


    De plus, l’une des particularité de notre époque, en plus d’un nombre en augmentation des personnes se détournant, d’une manière formelle ou informelle, de ce dogme, du moins de ce que j'en sais en France, j'ignore de ce qu’il en est pour les autres pays européens ou non, l’une de ses particularité, donc, c’est le nombre effarant de bulles spéculatives s’étant développées depuis six à sept ans, et ce un peu partout dans le monde.


    Je suis sûr n'être au courant que d’une toute infime partie de celles existantes étant donné que le déséquilibre entre richesse et pauvreté ne peut que créer des bulles spéculatives, divergence entre richesse et pauvreté en accroissement constant.


    Nous avons donc là quatre versants que nous devons prendre en compte pour comprendre ce phénomène de crashs suivi de crises et leurs répercutions chaque fois démultipliées: l’inéluctabilité des crashs, leur amplification au cours du temps, leurs aspect destructeur des économies et, surtout, leurs caractères évolutifs et, dès lors, imprévisibles, du-moins pour leur date de survenue.


    Nous devons prendre aussi en compte un dernier fait:


    A la direction des grands groupes financiers, de quelque type que ce soit, ce que j'ai montré peut être facilement perçu étant donné le nombre important d’informations qui y transitent et la formation, souvent universitaire qu’ont pu recevoir ces dirigeants.


    Les plus conscients ou les moins joueurs ont très bien compris que nous étions entré dans une phase extrêmement dangereuse, c’est pourquoi un certain nombre d’entre eux ont démissionné et sont partis ailleurs.


    Ne restent plus, dès lors, que les plus inconscients (les plus fous?) à la direction de ces grands groupes avec tous les dangers que cela représente.

     

     

    THEURIC

  • Qu'il est donc étrange de vivre une période pré-révolutionnaire!

    Oui, qu'il est donc étrange de vivre une période pré-révolutionnaire!

    De voir l'histoire se faire devant soi, au-devant de soi, de contempler ce moment inouï où se renversent tables et chaises dans un accord de tous avec tous.

    Et là-bas, et ailleurs, tout le monde de guetter les moindres soubresaut d'un pays qui ne peut faire autrement que de faire ce que tous les autres peuples lui demande de faire: renverser tables et chaises.

    Jusqu'aux décisions politiques les plus absurdes, d'hier comme d'aujourd'hui, jusqu'aux larmoyantes plainte d'une opposition qui, il y a si peu, prenait des décisions absurdes sous les cris larmoyants d'une opposition aujourd'hui majorité, jusqu'aux inepties proférées par la majorité et l'opposition, jusqu'au silence lâche d'une Union-Européenne, ses élus et non élus, qui laisse au gouvernants de ce pays, la France, le soin de calmer un peuple aux abois en raison de ses décisions imbéciles, peuple qui se demande encore si ou quand il va renverser chaises et tables, jusqu'aux peuples de l'Union-Européenne qui n'attend qu'une seule chose, que le peuple de France ne renverse tables et chaises pour les renverser à leur tour, jusqu'à une Union-Européenne qui ne comprend pas qu'elle risque de faire l'Europe contre elle et non pas avec elle, jusqu'à un front-national pris dans la tourmente de leur propres contradictions, de leurs propres délires, de leurs propres jeux avec une Union-Européenne qu'il aide en toute connaissance de cause, jusqu'à un front de gauche qui ne comprend pas, qui ne comprend plus qu'il doit renverser les chaises et les tables de ses idéologies.

    Voilà, nous sommes au porte d'une révolution mais personne ne sait vers où, mais personne ne sait vers quoi, mais personne ne sait qu'une chose: contre qui.

    Révolution?

    Pour ceux qui me lisent, l'idée, la théorie de la rétrogression leur est connue, c'est le retour adaptatif, inconscient et psycho-social, au moment qui fut l'origine du blocage présent, c'est "l'étrange attraction des peuples pour leur inconscient social."

    J'avais pensé que cette rétrogression s'effectuerait par un retour de la fin du XIX° siècle, j'ai bien peur d'avoir eu tord, nous rétrogressons jusqu'à la période de la fin du XVIII° siècle et de la révolution française.

    Tout est là: une aristocratie, hier d'épée, aujourd'hui de finance, un pouvoir politique pas loin de la démence, un pays ruiné comme tous ceux d'à coté, des mesures dérisoire de fin de royauté, le déni, aujourd'hui, de la démocratie qui frise parfois la sotte autocratie, notre état, hier, qui sauve l'Amérique en mettant nos finances en crédits chimériques, Un peuple en chaud bouillonnement s'approchant, doucement, de son déchaînement, l'armée, la police s'approchant des rétifs, pas encore mutin mais interrogatif...

    Alors, pourquoi ne pas remplir des cahiers de doléances et les faire parvenir à notre roi républicain?

    Et demander, sous une forme moderne, la réunion du tiers état?

    Je ne plaisante pas: que s'emplissent les cahiers de doléances!


    THEURIC

     


  • Florilège 7

    Pour les géomètres:

    J'ai l'impression d'exprimer dans mes petites blagues l'endroit de l'envers dans tous leurs sens et réciproquement de l'inverse du contraire en antithèse opposé de son dissymétrique...

     

    Pour les bateliers:

    De ne pas comprendre, il faut faire gaffe quand on rame.

     

    Pour les bipolaires:

    Il y a des bicéphales et des bijoutiers.

     

    Pour les catholiques médiévistes:

    Une nef est un anciens navire à voile se trouvant au fond d'une église.

     

    Pour les déistes:

    Quel est le dieu le plus mou?

    Dionysos, mais en cela un rien ne peut être que vin!

     

    Pour les argentins:

    Avez-vous remarqué avec quelle gourmandise les britannique (enfin messieurs, ils font, comme nous tous, ce qu'ils peuvent) disent le mot splendide?

     

    Pour les sud-américains:

    L'argent tint quand de l'art ou du lard j'en teins (bon, ben, bof )!

     

    La qualité génère de la qualité, la médiocrité génère de la médiocrité.

     

    Pour les mammouths:

    Si l'éléphant fait erreur c'est qu'il se trompe (à remarquer qu'en quoi que se fasse en cette défense, quand on se trompe ça prend ce cher Eustache d'à coup faines (bon, je me souviens du pourquoi faines)).

     

    Pour les amateurs de fruit à pépin (mais là je ne souviens plus du pourquoi le pépin):

    La défense d'un avocat parfois aussi se trompe!

     

    Pour les vacanciers:

    J'aime les temps ensoleillés, surtout la nuit!

     

    Pour les amateurs du S:

    Je sens Sens dans tous les sens à sensation censément sensés et concentré, me le dis-je résolu en me le susurrant d'une manière réitérée mais avec la pressée résolution resplendissante de sensibilité, mes sens aux aguets de la beauté de cette précieuse ville (ah la sinuosité du S et non pas d'US).

     

    Pour les amateurs de bonne cuisine:

    Pour un rendez-vous galant, si vous avez mangé de l'ail avant, un conseil, faites lui-en manger aussi (il est dommage que ce type de bonbon n'existe pas, le goût de l'ail sucré doit-être d'une admirable panacée beurck !).

     

    Pour les services de renseignement:

    Serait-ce les RG qui auraient créé Tintin et Milou?

     

    Pour les pires aux mannes:

    Où trouve-t-on les pompiers ayant une meilleurs vue?

    A Bonneuil.

     

    Pour les cavaliers:

    Quand ça craint je monte sur mes grands chevaux ( aux plus jeunes, ceux-ci sont deux expressions accolées qui ne font rirent personne  ).

     

    La différence entre les Homo Sapiens Sapiens blancs, noirs et jaunes?

    La mélanine!

     

    Pour les amoureux des spirales:

    Avez-vous déjà vu des escargots se faire la guerre?

    Ben non, ils ont signé la paix des baves.

     

    Pour les italiens:

    La RAI suit son train-train quotidien ( quatrième blague pitoyable mais, ne vous en faites pas, je vais tenter de faire pire en un petit chemin de faire ).

     

    Pour les alpinistes:

    L'on dit le Népal, mais à l'évidence ses habitants ont l’appendice nasal plutôt foncé, toutefois ils se disent tous nés pas laids (et non pas lait).

     

    Pour les râleurs saisonniers:

    Pendant l'été, sous la chaleur, nous nous disons: "Vivement l'hiver qu'il fasse froid!" Puis.......................................... les frimas venus.....

     

    Pour les zoologues:

    Combien faut-il de bois à Renne (re-bof et locomotive, comme quoi les locaux motivent et mènent à tout...)?

     

    Pour les gourmands:

    Ce que j'adore: Manger des amandes dénoyautés sans excès de vitesse.

     

    Pour les neuropsychiatres:

    Quand on est en effroi, quelle est la température de notre appendice nasale (que disais-je).

     

    En  hommage de Gotlib:

    L’hypertrophie de lapereau se tâte.

     

    Pour ceux qui aiment les trucs débiles et bien écœurants:

    Il faut savoir voir le mou choir du nez quand l'éternuement surprend lorsqu'il n'y a nul mouchoir à soi (beurck et bœuf!)!

     

    Pour je ne sais pas qui:

    Orage, ô désespoir, ô quand la pluie me tombe dessus, ô merde alors!

     

    Pour les paléoanthropologues:

    Homo Sapiens Heidelbergensis: nos lointains ancêtres auraient-ils pu se choisir un nom un petit peu plus facile à prononcer, n'est-ce pas?

     

    Pour le pain portant sa boulangère:

    Il faudrait faire du pain en conserve.

     

    Pour les logiciens:

    Quand le plus devient le moins et le moins le plus, alors cela au moins détermine que, tout au plus, ce fait se fait au moins bien qu'au plus mais, tout du moins, ceci au plus, lorsque de ce plus se fait en un moins, alors, à ce plus s'y rajoute du moins et, ceci, plus ou moins, du-moins à de ce que plus il ne s'en fallait d'au-moins qu'une pour que s'en rajoute un petit peu plus à ce moins (enfin, bref, j'espère que pour vous tous, tout ceci est bien clair, vous m'expliquerez çà plus tard, tout du moins pour que chacun d'entre-vous tous vous le fassiez tout au plus au minimum au moins...).

     

    C'est beau la philosophie.

     

    Avis aux boxeurs:

    Si vous ne voulez pas prendre de coup, ceci est compréhensible puisque ça fait mal, alors, un bon conseil, sortez du ring (gag lamentable mais je ferais pire un jour, vous verrez......).

     

    Pour nous, les hommes (aidé grâcieusement):

    Par certains moments de vie, les toilettes nous semblent bien étroits (16).

     

    Pour les lorrains:

    Le loir et la Loire: ils devraient se marier ces deux là!

     

    Pour nulle personne (soyons généreux):

    Io est représentée par une vache, dès-lors pourquoi ne le serait-elle pas par un poisson, rouge par exemple: l'ide.

     

    Pour les climatologues horlogers:

    La joie ineffable, transcendante et profonde de comprendre la nue âge du nuage...(que disais-je)!

     

    Pour les nutritionnistes:

    Agresser: serait-ce pour retirer un trop plein adipeux (pire encore)?

     

    Pour les métronomes:

    Avant de s'y mettre il se devrait de bien mesurer la chose!

     

    Pour les policiers:

    Combien utilisent-ils de cire épilatoire?

     

    Pour les dames pipi:

    Aux toilettes il y a quatre écoles:

    -Ceux qui se lavent les mains avant;

    -Ceux qui se lavent les mains après;

    -Ceux qui se lavent les mains avant et après;

    -Et puis les autres... .

     

    Pour les mathématiciens:

    Quel est le plus petit nombre?

    Le 16!

     

    Pour les oiseaux:

    A ne pas confondre: 2 nids et Albert!

     

    13 et 3

     

    Pour les physiciens: