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Rechercher : un économiste pour moi inconnu

  • De notre perte intellectuelle.

    Une structure politique est naturellement intimement liée à sa société, sauf dans les moments historiques où une puissance supérieurs, le plus souvent impériale et/ou hégémonique, force la-dite société militairement, culturellement, économiquement et/ou par tout autre moyen.

    Une fois ce processus de domination mis en place, l'élite de cette ou ces sociétés perpétue cette domination en influant sa population puisque celle-là se retrouve à subordonner son existence à l'impérium sous lequel elle est elle-même sous le joug.

    L'élite de ces colonies ayant dès lors tendance à suivre les mêmes biais, en positifs ou en négatifs, de celle du pays colonisateur.

    Ainsi avons-nous pu voir émerger dans les années trente à cinquante un ensemble d'intellectuels de très haut niveau provenant des colonies françaises, à l'exemple d'Ho-Chi-Minh et de Félix Éboué, ceci en écho de la vigueur de l'intelligentsia française de l'époque, en un même phénomène de ce qu'il se passait dans lesP1020190.JPG possessions de l'empire britannique.

    Il est d'ailleurs à se demander si ce penchant imitatif ne serait pas l'un des signes annonçant un achèvement de l'action colonisatrice impériale et de sa prochaine disparition, ce à quoi je pense.

    Or il est à remarquer que ce même cas se retrouve aujourd'hui dans les pays européens colonisés par les États-Unis-d'Amérique sous la forme de l'Union-européenne.

    Sauf que contrairement à ce qu'il se passait à cette époque devenant lointaine, nous ne voyons pas se développer une même intelligentsia européenne mais, à l'inverse, prendre place une semblable médiocratie que celle qui a cours chez notre dominateur outre-atlantique.

    Non pas qu'il n'y ai pas de tête pensante de qualité chez nous autres les colonisés, ainsi que chez notre colonisateur, mais bien plutôt que ceux qui sont maintenant honorés à l'aune de leurs créations, ici comme là-bas, ne sont pas de ceux qui font preuve d'une grande inventivité remettant en question les concepts du temps, mais, tout au contraire, suivent et développent avec déférence et obséquiosité les moindres des chimères de l'air du temps.

    P1020165.JPGIl n'est en outre que d'observer qui, aujourd'hui, dirige la France, l'Union-Européenne, Ursula Von Der Leyen, proposée par notre cher Macron (tout y est dit), tout comme il en est de Christine Lagarde, nouvelle dirigeant de la banque centrale européenne, plus étasunienne que vraiment française (nos travailleurs immigrés l'étant infiniment plus qu'elle).

    Quand à nos réels intellectuels, ils se retrouvent dorénavant censurés dans les médiats, hormis de très rares exceptions.

    Cette monté en force de la vulgarité, aussi que de la sottise, facilement compréhensible si nous effectuons la simple comparaison de ces  deux réformateurs impériaux U.S. que sont Roosevelt et Trump, ce dernier infiniment plus intelligent qu'Obama, ne peut qu'être que le révélateur de cette déchéance impériale naturellement accompagnée par celle de ses colonies que sont les pays de l'U.E..

    L'art aussi en est un révélateur primordiale où, là encore, il ne suffit que de ne comparer ce que fut le Jazz des années 40 avec ce que peut être le rap d'aujourd'hui tout comme il en est de la musique classique composée il y a encore 70 ans et celle dite contemporaine manquant de toute structure (non, tout ne vaut pas tout, autre croyance débilitante accompagnant notre époque).

    Ou entre la statuaire en création par ce passé et celle reconnue d'aujourd'hui ressemblant à des bonbons acidulés.

    Quand tout ce qui se fait de qualité est toujours écarté, il en devient ardu de l'apprécier, ainsi a-t-il fallu qu'une chanteuse, Marguerite, et son mari compositeur fassent une chanson sur les gilettistes pour enfin être vraiment connue.P1020779.JPG

    Comme j'ai pu déjà l'expliquer, ce fait n'est que transitoire et sous peu disparaîtra, du-moins en Europe.

    Mais ce qu'il est le plus intéressant c'est d'en définir le soubassement idéologique.

    Je le perçois à trois niveaux intimement liés:

    Le premier concerne le violent conformisme qui fait que la classe sociale supérieur, suivit par une partie de la population, rejette automatiquement toute opinion, quel que soit le domaine évoqué, sortant des fantasmagories, des approches, des hypothèses, des analyses et théories actuellement acceptées.

    Le second, toujours dans le même milieu, fait que ne soit plus considéré comme progrès que les seules créations et fabrications des objets manufacturés, ceci en la fable d'un rejet en rien factuel et, ce, dans le même temps, quelque peu hypocrite.

    Le troisième  qu'il m'a déjà été donné d'évoquer, fait se confondre les causes et les effets et, encore une fois, les-dites classes supérieurs emmènent, en cet P1010725.JPGembrouillamini, une bonne part de la population.

    C'est Charles Sannat qui, dans l'une de ses interventions vidéos, vers 3mn. 36s., m'a fait comprendre, bien malgré lui, ce triple mécanisme où, après qu'il ait donné la définition économique du progrès, m'a fait me lever de mon siège comme un beau diable en disant: " Mais ce n'est pas ça le progrès!" (j'aime bien soliloquer, je me suis un excellant compagnon de conversation, d'ailleurs, là, j'ai failli sursauter de surprise, me retournant et me regardant droit dans les yeux en m'entendant m'exclamer de la sorte).

    De fait, il ne peut y avoir de progrès matériel tant que le psychisme n'a pas atteint lui-même un niveau collectif le lui permettant, ce qui mène à des qualités mentales présentement quelque peu oubliées.

    Un louis XVI dépressif, laissant Marie-Antoinette prendre les manettes du pouvoir (l'une des causes de la réussite de la révolution républicaine de la France) parce que sa fille chérie était  morte en bas âge était plutôt inenvisageable des siècles plus tôt où la vie et la mort étaient considérées comme allant de soi.

    ( Tout du-moins, auparavant, les enfants étaient-ils baptisés dès leur naissance pour que Dieu puisse les reconnaître au Paradis, ce qui, déjà, montrait une avancée conceptuelle par rapport au passé. )

    Ce fut à la même  époque où les révolutionnaires considérèrent que la  guillotineP1020490.JPG était une condamnation à mort plus humaine que d'être roué vif pour vol ou d'écartelé sur place publique, après moult  torture, pour avoir voulu tuer le roi, comme il en fut 142 ans plus tôt lors de l'attentat de 1757 de Damien contre Louis  XV.

    Faire preuve d'humanité envers ses proches et ses semblables est, à mon sens, l'un des effets de ce développement mental, tout comme il en fut de l'inventivité de la première machine à vapeur, le fardier de Cugnot, ou de la première montgolfière des frères Montgolfier en 1782, par exemple.

    Ce furent les réflexions et évolutions humanistes, mathématiques, philosophiques, politiques, artistiques, économiques, technologiques..., du proche moyen-âge à la renaissance, de la renaissance au siècle des lumières, de ces lumières à la révolution, suivit de la révolution industrielle mais aussi scientifique qui complexifia progressivement la sensibilité humaine.

    N'empêchant en rien l'esclavagisme et la colonisation il est vrai, mais nous ne devons surtout pas faire d'anachronisme, ce processus fut lent et nous pouvons même considérer qu'il en fut l'un des effets paradoxal de ce progrès antérieur, n'ayant pris fin que quand la machine à vapeur, l'usage de l'énergie chimique, devint efficace.

    P1020108.JPGCe qui, de même, engendra au XX° siècle deux guerres mondiales en raison des troubles que cela généraient chez nos anciens et ancêtres.

    Et c'est bien cet esprit de progrès qui régressa à la suite de quatre formidables et violents coups de butoirs, ces deux guerres mondiales, la guerre froide angoissante et, enfin, notre domination pleine et entière par un empire devenu vacillant dès le début du XXI° siècle, les États-Unis-d'Amérique, sous l'égide d'une philosophie économique absurde, avilissante et ruineuse, le néolibéralisme, impérium lui-même en une défaillance multifactorielle montrant un affaiblissement constant de cet esprit l'amenant aujourd'hui en un état de décrépitude avancé.

    Défaillance dedans laquelle il nous entraine plus encore dans la mesure où, justement, nous nous retrouvions à être auparavant psychiquement gravement diminués et perturbés, mais aussi parce que nous souffrons aussi de cette même inadaptation sociale au grand nombre d'habitants, la surpopulation, et à un accroissement du nombre de vieillard.

    Ce brusque arrêt graduel de l'évolution du-dit esprit de progrès des nations européennes, débuté dès l'achèvement de la grande guerre, soit il y a un siècle, mène aujourd'hui à un phénomène que j'appelle "une phase historique inachevée" qui fait que, comme son intitulé le montre, les peuples européens n'ont pas accompli leur évolution progressiste, que ce progrès a été stoppé net, en quelques décennies, et qu'une tension croissante à sa reprise est dores et déjà présente.P1010654 - Copie.JPG

    (  Contrairement à ce qu'il peut en être des U.S.A. qui, eux, entrent en un même mécanisme que ce qu'il se passait lors de la disparition de l'empire romain d'occident, soit leur entrée dans une époque semblable de ce qui fut pour nos ancêtres ces deux périodes dites des grandes invasions puis du haut moyen-âge, ne sachant quelle forme cela prendra ni pour combien de temps.   )

    Les russes se retrouvant dès lors à être précurseurs de ce retour au-dit progrès en raison de la disparition de l'U.R.S.S. il y a déjà 37 ans quand, sous le joug de l'Union-Européenne germanico-étasunienne, le reste de l'Europe régresse encore.

    La disparition de notre cher oncle, tonton Sam, aura le même effet sur les populations qu'un ressort qui se détend après qu'il ait été étendu à son maximum, un retour rapide vers ce qui faisait la réelle puissance européenne, l'idée et le goût au progrès, ceci accompagné d'une rétrogression historique  dont je vous avais déjà fait cas, plus les autres processus en cours auxquels je vous avais aussi entretenus.

    Le siècle qui vient sera européen, d'abord français, britannique et italien, les trois peuples qui, dès maintenant, ne sont pas loin de quitter cette union d'une façon ou d'une autre, en tous cas qui n'en veulent plus.

    Bien entendu et c'est devenu traditionnel en ouest-eurasiatique, c'est la Grande-Bretagne qui est la première en cela, elle sera rapidement suivie par la France et l'Italie juste avant que cette construction politique crétine ne s'évanouisse dans le néant.

    P1010804.JPGLa reprise de l'esprit de progrès ne pouvant qu'être accompagnée tout autant d'une très forte natalité, de celui du retour à la terre d'un grand nombre d'agriculteurs, mais aussi, momentané, de celui des structures familiales antérieures.

    Il est toutefois fortement possible que dans certains pays il y ait, peu de temps après la disparition de l'U.E., des massacres populaires de travailleurs provenant de l'immigration.

    Ce ne sont, je vous l'accorde, qu'un ensemble d'hypothèses qui se doivent d'être confirmés par des faits.

     

     

     

    THEURIC

  • Voici venir l'ère terrible!

    Les jours terribles commencent et l’Ukraine n’en est qu’une pâle illustration.


    Les cartes le montrent, la Russie a absolument besoin du port de Sébastopol, quelle erreur stratégique, de l’Europe-Amérique, que d’avoir agité le sentiment des russes d’être privés de leur débouché en Mer Noire, et dès lors en Méditerranée plutôt que de laisser le statuquo.


    Surtout, l’Europe-Amérique nous montre sa faiblesse (Europe-Amérique et non plus Amérique-Europe): plus de sou.


    Surtout que la Russie est un allié essentiel de l’Europe, cette dernière, bientôt éclatée, souvent vieillissante, bientôt vacillante et déjà blessée.


    Seuls les pays, les états, les nations pourront sauvegarder ce qu’ils pourront de ce machin informe aux deux voyelles et douze étoiles brandies en pauvre oriflamme.


    Mais tant que l’économie-monde continue son lent effondrement en donnant l’insouciant sentiment d’une forme et force suffisante, l’Ukraine ou le Centre-Afrique ne paraîtront que des épiphénomènes, eux qui ne sont, en réalité, que les résumés annonciateurs du futur de l’humanité.


    Le champ idéologique mettant l’économie sur un pied d’estale, sous toutes ses formes, disparaîtra dans peu de temps des esprits et des cœurs et ce sera la politique qui viendra au-devant de la scène.


    La politique ce n’est pas l’économie, l’économie n’est que l’une des nombreuses matières de la politique pour laquelle il n’en est aucune d’ultime, pas même pour elle-même, la politique, qui est et ne peut être que multiple et infiniment plus complexe que la seule économie.


    L’explosion des faillites qui, sous peu, traversera, en champ de ruine, le rêve illusoire de l’enrichissement éternel d’un Éden improbable, fracassera les utopies alanguies de leurs deux siècles de règne.

    Hormis, peut-être, de l’anarchie politique, toutes les autres s’annihileront sous le poids défaillant de leurs paradoxes abyssaux: ainsi en fut-il du communisme et de la sociale-démocratie transformée en social-libéralisme, son contraire, ainsi en sera-t-il du néolibéralisme et de toutes ces autres tentatives, théories éphémères, de rendre acceptable, sous une manière présentable, un champ idéologique aujourd’hui exsangue.


    La politique c’est la vision de l’histoire, de la géographie et, surtout et avant tout, de tout ce qui de près ou de loin ressemble à de l’entraide et aux rapports de forces et, dès lors, à l’organisation.


    Parce que chaque Être Humain fait de la politique, est politique, depuis toujours, depuis avant Homo Sapiens Sapiens.


    Nous sommes tous d’un peu de gauche, d’un peu de droite et parfois la gauche est de droite et la droite de gauche, quand la politique est bien faite.

     

    Cette ruine advenant rendra l’Homme malade, parce qu’il avait cru en rêve impossible, parce qu’il a crû trop vite en nombre incommensurable, parce que son monde n’est plus et que son monde n’est pas encore.


    Les enjeux, bientôt, des plus dérisoires feront signe de discordes, le voisin rejettera le voisin, de vieilles querelles renflammeront au risque des périls…


    La Chine en sera la fin et le commencement et l’Europe en sera le centre.


    La puissance et la richesse ne sont pas là où il est habituel de les croire, l’Europe l’a vécu mais a voulu oublier, non pas de leçon, l’histoire fait rejouer l’amnésique jamais d’un même mode mais de même façon.


    Soyons conscient des enjeux, infiniment majeurs, des vrais promesses, des faux espoirs, l’Europe, non pas en union mais en réelle confédération, se fera d’elle même contrainte et forcée, ou l’Europe des nations ou ne sera pas, ou ne sera plus!


    Nous entrons dans une ère où la légèreté fera un grand péril, l’Eurasie de l’est, l’Eurasie de l’ouest, tout se jouera là, à ces deux pôles, et nul part ailleurs.

     

    THEURIC

  • Petit avis sur une petite affaire.

    Je ne sais pas ce qu'il en est pour vous mais la petite escapade nocturne de notre Président de la République n'est pas pour me déplaire, eh oui, c'est aussi ça la France.

    C'est vrai, je m'étais promis de ne pas commenter l'actualité mais en entendant cette belle âme qu'est Monsieur Jean-François Copé, je n'ai pu résister à prendre, non pas la plume, mais le clavier.

    Enfin, enfin, enfin nous quittons la vulgaire fièvre de ce pro-américanisme primaire, ce pauvre puritanisme grossier qui empoisonne les esprits de ses préceptes nauséeux pendant que ces messieurs de wall street et d'ailleurs se gobergent de nos sous au nom du dieu dollar.

    Il ne faut pas fumer, c'est mal, un président ne doit pas recevoir quelques caresses labiales d'une petite secrétaire, c'est mal, de créer une sécurité-sociale à l'américaine, c'est mal, mais déclarer une guerre en mentant, c'est bien, en envoyant des jeunes gens tuer et se faire tuer pour rien si ce n'est en raison de calculs imbéciles, c'est bien, espionner l'O.N.U. qui se trouve sur leur sol, c'est bien, d'espionner les peuples du monde entier c'est bien, et c'est ça, ce pays déjanté où le peuple n'a plus le droit que de crever, de maladie et ruiné, où les seules personnes ayant compris ce qu'il se passe vraiment ne sont pas écouté (ici non plus), d'où on ponctionne jusqu'à la moindre peccadille d'euro en faisant les gros yeux à nos gouvernants: "si vous bougez, on vous ruine", d'où l'or allemand a disparu et d'où, surtout, viennent les délires économico-mystiques  qui vont sous peu tous nous ruiner, et c'est ce pays là dont s'inspirent nos pauvres néolibéraux sans cervelle, et c'est de leur langue d'un pauvre anglais que tout le monde parle et qui s'égraine à longueur de rue sur les devantures de boutiques.

    Les titres de films et de feuilletons américains ne sont même plus traduit, où en sommes-nous arrivés.

    Et vous acceptez cela!

    Et personne ne dit  rien!

    Et tout le monde trouve ça normal!

    Alors oui, Monsieur le Président de la République Française, Monsieur François Hollande, alors oui, mille fois merci d'avoir été pris en photo par un malotru de presse de caniveau et j'espère tout votre bonheur avec cette dame.

    Maintenant nous savons qui vous êtes, un homme comme un autre!

    Un homme normal qui aime le vin et la bonne chair, qui va voir sa maitresse la nuit tombée, qui ose aller dans un pays où règne la guerre à l'occasion de la mort de deux soldats et non pas qui va courir comme seul plaisir, qui demande à ses adhérents de rembourser ses propres mécomptes, va faire une conférence payée par et pour Goldman Sachs (il aurait pu rembourser ses dettes) et va vendre l'or de son pays aux américains au plus bas prix!

    Soyez comme Henri IV, Monsieur Hollande, lui qui disait que: "jusqu'à quarante ans j'ai cru que ce n'était qu'un os"!

    C'est tout ce que je vous souhaite.

    Et haro sur cette bien-pensance dégoulinante dont on nous tartine les miasmes à longueur de temps, d'onde et de mœurs, et haro sur tous ces hurluberlus qui prennent pour argent comptant les théories fumeuses du libre-échange absolu venant de l'oncle Sam, qui nous sont bassinées par tant de médiats et pourrissent les économies européennes après celles des américains, et haro sur ces feuilletons débiles, ces reportages dérisoires, ces émissions crétines qui viennent d'Amérique, ou pire, sont copiés ici.

    La France ce n'est pas l'Amérique, l'Europe ce n'est pas l'Amérique, en France je parle le français, sauf aux étrangers, bien sûr...

    ...Et honni soit qui mal y pense!



    THEURIC

  • Chers gilets jaunes.

    Chers gilets jaunes,

    Au vu des tensions qui s'accumulent aux risques de grands dangers il y a une bonne solution pour la réduire: faire carnaval, faire rire.

    Faites le carnaval Macron, moquez-vous de lui, soyez ironiques, irrévérencieux, insolents, et pourquoi pas incongrus et grossiers.

     

    Parce que infiniment plus que les blocages de routes et la violence, ce que craignent nos oligarque dont Macron n'est que l'un des nombreux  employés, c'est de montrer qu'ils sont tous ridicules, c'est que nous puissions rirent d'eux.

    Et là, je vais vous dire, tout le monde sera tellement surpris que vous ne pourrez être en aucun cas manipulable, comment manipuler un mec et une nana qui s'en paye une bonne tranche?

    Et franchement, qui n'aurait pas envie de ridiculiser tous ces crétins?

    Et puis, carnaval, cette dérision envers les puissants, n'est-il pas une vieille tradition française?

    P1020170.JPG

     

    THEURIC

  • Je vais publier sur papier.

    Messieurs-mesdames et chers lecteurs,

     

    Je vous prie de ne pas vous en attrister mais, et ce depuis longtemps, ce blog était bien trop de repos en raison d'empêchement, pour le moins ridicules, que je vous conterai peut-être plus tard ici-même.

     

    Pour l'instant je me penche au-dessus de ma poésie et de mes petites blagues que je songe d'ardemment publier sur papier, ceci en en changeant de pseudonyme.

     

    Je vous remercie chers lecteurs de vos lectures, même si je n'en connais aucun, ne serait-ce en commentaire, et vous souhaite de la plus meilleurs des nouvelles années, 2023, quand bien même bien des tracas ne peuvent que s'abattre dessus de nos pauvres têtes.

     

    Ceci n'est pas un adieu mais bien un au-revoir.

     

    Salut à tous et, me le demandant, quand le canadien prend-il son élan?

     

     

    THEURIC

    PS: J'aime les oiseaux, j'adore le poulet!

     

  • De petites idées en goguette...

    Bon ben, je suis allé voir le graphique de l'évolution des prix des matières premières produit par l'I.N.S.E.E. et, comme je l'avais supputé précédemment, ils recommencent à descendre ( theme.asp?id=18 ).

    Ce qui veut dire que la désindustrialisation reprend son cours après la brève accalmie du printemps et du début d'été.

    Ceci dit, ne m’appesantissant pas réellement directement sur des questions économique désormais inéluctables, soit l'effondrement de la globalisation économique, thème que j'ai déjà mainte fois traités, mais je vais ici m'essayer de préciser ma pensée sur des sujets parallèles, ceci pour  affiner notre perception de cet effondrement de l'économie-monde.

    Je vous propose aussi que nous allions rapidement nous balader sur les chemins sinueux de la géostratégie, puis d'aller faire une promenade, toujours aussi rapide, au sein de l'empire U.S. et de sa colonie principale, l'U.E., ensuite, nous verrons bien les thèmes qui émergeront, pour l'instant, je n'en sais pas, en cela, plus que vous...

    P1000840.JPG

    Les composants de la ruine universelle:

     

    C'est hier au soir, en allant me coucher, que je me suis demandé si je ne devais pas, pour comprendre ce processus de ruine universelle et tenter d'en percevoir l'évolution, commencer par décomposer ce système en ses composants les plus importants.

    J'en ai décompté huit: les états et unions, les banques centrales, les hypers-productions monétaire, la désindustrialisation internationale, les banques et fonds spéculatifs et de pensions, les crédits, les bourses et actions spéculatives, et enfin, les bulles spéculatives.

    En fait, je ne me soucie plus des acteurs puisque ceux-ci n'agissent plus mais ne font que réagir aux événements, quand bien même certains tenteraient une quelconque action pour tenter de redresser la situation déplorable dans laquelle se trouve le système économique globalisé, ils ne feraient qu'en accélérer l'échéance funeste.

    1) Les états et unions: pour pouvoir rembourser leurs dettes, ils font naturellement monter les impôts et baisser leurs dépensent, ce qui accélère la désindustrialisation.

    Dans le même temps ils emprunte en négatif, ce qui veut dire que ceux leur prêtant de l'argent doivent en plus leur en donner, ce qui pose d'énormes soucis aux assurances-vies et autres fonds de pensions qui auparavant versaient les intérêts de leurs fonds grâce à ceux des prêts faits aux états, comme ceux des retraités, merci à notre retraite par répartition (voir aussi à quelle date apparue en France les assurances-vies et les retraites complémentaires par capitalisation, il me semble qu'une partie de nos dettes d'états se trouvent dans nos poches).

    De plus, pour sauver leurs banques, ils ont  autorisé celles-ci à IMGP0447.JPGponctionner les comptes des particuliers si elles se trouvaient en mauvaise posture, ce qui ne  saurait tarder, ce qui a fait que nombre de gens ont utilisé leurs économies pendant le printemps et, de façon moindre, en ce moment pour les vacances, d'où le renouveau de la baisse des prix des matières première après leur légère remonté printanier.

    Ils ont aussi créé de toute pièce des banques poubelles pour y jeter toutes les crasses qu'ont accumulé les établissements bancaires tels que des crédits, créances titres titrisés et autres joyeusetés dans l'espoir illusoire que seules ces banques poubelles feront faillite.

    2) Les banques centrales: elles inondent le monde de monnaies, autant pour tenter de renflouer les banques que pour acheter les actions qui se cassent la figure (ce qui est une nationalisation larvée) et, cerise  sur le gâteau, elles vont distribuer de ces monnaies hyper-produites aux populations.

    Tout cela étant naturellement hyper-inflationniste là où cette monnaie parvient, puisque la valeur d'une monnaie est directement proportionnelle à la masse monétaire en regard de la richesse du pays ou de l'union qui l'émet, P.N.B. et non pas P.I.B. bien sûr.

    C'est pourquoi,  si il y a un hélicoptère monétaire, comme il se ditP1000668.JPG sottement dans ce milieu, soit la distribution pour tous de cet argent gratuit, dépensez tout le plus rapidement possible parce que rapidement il ne vaudra plus rien, comme vos paies, retraites et autres émoluments et aides.

    De plus elles prêtent cet argent aux banques à 0% d'intérêt, ce qui montre bien qu'il n'a plus de valeur.

    3) Les hyper-productions monétaire: en faisant perdre aux monnaies leur valeur intrinsèque, cela génère une inflation égale à leur production là où elles sont utilisées.

    De plus, cela encourage certaines entreprises spéculatives de racheter des entreprises avec cette monnaie de singe pour en pomper leurs richesses, ce qui accélère la désindustrialisation mondiale.

    4) La désindustrialisation internationale: sujet abordé maintes fois ici, débuté lors du rapport de force entre l'U.E. et la Grèce qui a amené à l'appauvrissement de cette dernière, ce qui a largement  suffit à littéralement vider les entreprises de leurs clients.

    En fait, ce processus n'attendait, si je puis dire, qu'un événement relativement mineur survienne pour débuter, même si, pour les grecs, leur ruine n'est pas un événement mineur, cela va de soit.

    P1000896.JPGSon origine est à rechercher  dans le déclassement et l'appauvrissement des ouvriers et classes-moyennes dû à la fermeture et/ou exportation des entreprises dès la fin des années 70.

    5) Les banques, fonds spéculatifs et de pensions: Tous sont ruinés, officieusement mais pas encore officiellement, tout le monde le sait, du-moins ceux se trouvant aux manettes politiques et économiques des pays.

    Sinon les Q.E. n'auraient jamais existé.

    Nous pouvons les voir s'agiter en tous sens pour tenter de sauver leur existence, jusqu'à, il y a peu de temps, une proposition de crédit à la consommation, de je ne sais plus laquelle, à 0,5% d'intérêt.

    6) Les crédits: en fait, ce qui est rigolo dans cette  histoire c'est que tout le monde a des dettes, du particulier aux états, des banques aux assurances, des fonds machin chose aux industries..., enfin, tout le monde, quoi.

    7) Les bourses et autres actions spéculatives: plus rien ne vaut quoi que ce soit, gangréné par les surproductions monétaires, les planches àP1000812.JPG billets, puisque plus personne ne connait la valeur réelle des actions achetées grâce aux hyper-productions monétaires sus-cités, ceci dues, à l'origine, à ce que, en 2008, il fallait bien les sauver, leurs directoires desquelles ayant pleurés dans le giron des gouvernements et de leur chef pour que ceux-ci sauve leur cul.

    Ce sont ces mêmes banquiers, qui avaient conduit leur banque et le monde à la banqueroute et qui  avaient fait l’aumône aux états, qui, aujourd'hui, accusent les  banques centrales de ruiner le monde de leurs hyper-productions monétaires.

    Ces hypocrites, parfaitement incompétents pour la plupart, paieront un jour leur forfaitures de leur ruine..., mais aussi de la nôtre.

    Enfin, là encore, le fait amusant est que le rachat par les banques centrales des actions génère une nationalisation qui ne dit pas son nom, même si c'est grâce à la planche à billet.

    8) Les bulles spéculatives: la plus belle est celle industrielle, mais celle-là n'a rien à voir avec celles qui ont traversé ce début de XXI° siècle, en fait, je devrais plutôt parler de bulle des baisses salariales.

    Parce que, en fin de compte, ce sont les salaires des gens, les bénéfice des P.M.E./P.M.I. et des grandes entreprises qui font fonctionner l'économie et non pas les énooormes fortunes qui, elles, les détruisent.

    P1000130.JPGLes autres bulles, gigantesques, imploseront/exploseront lorsque la désindustrialisation mondiale sera arrivé à un point tel que cela stoppera totalement toutes les activités économiques, régionales, nationales et mondiales.

    Ensuite la reprise se fera d'abord régionalement, puis nationalement et enfin à l'échelle internationale, il est à craindre que la remilitarisation du monde en deviendra l'un des ferments les plus puissants.

     

    DSC_9620.JPG

    Champ idéologique et économisme dogmatique:

     

    Un champ idéologique est un système doctrinal complexe composé d'une doctrine de base, de son inverse et d'un ensemble de nombreux composants gravitant autour de ses deux fondements en des positions subtiles, contradictoires et complémentaires.

    Il est difficile de s'abstraire de celui-ci et ceux qui le font, par nature ou par réflexion, seront irrémédiablement chassés de la sphère des conversations et des  questionnements collectifs, non pas par méchanceté mais plus sûrement par incompréhension.

    Un champs idéologique, et non pas un mème, bien plus restrictif, est donc, dans leP1000771 - Copie.JPG même temps, un phénomène individuel et collectif puisque c'est autour de quoi va se structurer la pensée commune mais aussi la position politique, religieuse, économique, scientifique, artistique...etc... de chacun.

    Nous pouvons donc spéculer du fait qu'un champ idéologique est fait de la somme des croyances d'une époque et d'un lieu donné en un tout dual et composite en une dualité contradictoire et complexe, dont la remise en question ne peut que se révéler difficilement envisageable.

    De plus, s'y intègre, lorsqu'il atteint sa toutes puissance, l'ensemble des connaissances et savoirs sociétaux, ce qui fait  que c'est le-dit champ qui définira pour tous la réalité de ce qui est compris et su.

    C'est cette complexité du champ idéologique, toujours largement majoritaire, qui le rend difficilement discernable pour celui le vivant en son lieu et son époque, ne serait-ce du fait qu'il soit quasiment impossible de le questionner publiquement, même lors de discussion informelle entre amis.

    Un champ idéologique, tout comme un mème qui n'est, après tout, que le nom donné aux composantes de celui-ci en tant que croyance constitutif au-dit champ, a une  existence propre en ceci qu'il nait, évolue puis s'intègre, avec le temps, à l'inconscient social ou disparaît totalement.

    Celui dont nous causons ici nous concerne directement puisque c'est sous son emprise que nous vivons et  que je nomme l'économisme dogmatique.

    P1000825.JPG

    L'économisme dogmatique est le champ idéologique faisant considérer l'économie comme étant la composante essentielle de toute société moderne et démocratique (ce que nous pouvons voir comme étant faux, démocratie et économie de marché étant deux choses tout à fait différents) au-delà de tout autre domaine et composante de la vie sociale.

    Nous pouvons remarquer que celui-ci s'exprime de manière différente suivant les lieux, les milieux, les thèmes abordés mais que diverses mèmes le composant seront niés ou affirmés suivant la personne avec qui nous pouvons échanger.

    Mais, au total de l'ensemble de ces  discours paraissant contradictoires se révèle,  en fond complémentaire, de même schème.

    La particularité de notre époque, et ceci en raison de l'effondrement idéologique ne se produisant pas seulement en France mais  bien partout dans le monde, est que le champ idéologique existant, l'économisme dogmatique, tend à réduire son  ensemble conceptuel en y intégrant les traits les plus représentatifs des structures d'états du XX° siècle, à l'exemple du fonctionnement institutionnel de l'Union-Européenne ressemblant à s'y méprendre à celui de l'Union-des-Républiques-Socialiste-Soviétique, de cette alliance de l'U.E., des U.S.A. et de l'O.T.A.N. avec les nazis ukrainiens ou du rejet de 70% de la jeunesse étasunienne de la société de marché, centre  doctrinal, depuis ses origines, du fonctionnement des Etasunis...

    Ce sont ces signes, avec d'autres, qui me permettent de conjecturer cet 100_1633.JPGeffondrement idéologique actuel, et son inintelligibilité quasiment total rend son processus invisible.

    C'est bien d'être parvenu à la fin de son dynamisme évolutif qui génère son effondrement de part son autodestruction, tant doctrinal qu'effectif, c'est pourquoi considérer, comme je le fais, l'économie monde comme étant en plein dans un mécanisme de délitement ne pouvant que conduire, d'abord à son arrêt total dans un laps de temps proche, puis, par  phases successives et au  fil des années et de  quelques décennies, à l'anéantissement définitif de ce-dit champ idéologique et des bribes d'économie globalisées subsistant encore, ne me peut que me paraître de la plus pure des logiques.

     

    DSC00103.JPG

    Rapide visite en terre géostratégique:

     

    Je soupçonne, comme j'ai pu déjà l'écrire, l'empire U.S. de vouloir démembrer l'Union-Européenne, ce qui a déjà commencé lors du référendum britannique (et qui rend compréhensible les étranges erreurs de Monsieur Obama consistant à s'en mêler en en intervenant au pire moment pour les eurolâtres anglais).

    L'attente annoncée du gouvernement de sa très gracieuse majesté de déposer sa demande de sortie de l'U.E. par l'article 50 de sa pseudo-constitution serait, à mon sens, un moyen de désorganiser l'union en laissant sa direction dans l'expectative.

    Si en cela  j'ai raison, alors cette demande sera déposée à un moment où personne ne s'y attend.

    De plus, cela ne pourra pas ne pas s'accompagner d'un début de IMGP0335.JPGdéstabilisation des partis de gouvernements français, P.S./U.D.I./L.R./F.N., ceci a fin de rendre éligibles les courants anti-U.E. lors des élections présidentielles, ce qui, en ce cas, ne devrait pas tarder à survenir.

    Les raisons pour lesquelles les Etasunis

  • Déchirons le voile de l'illusion: ils sont ridicules.

    Il s'agit là d'une abeille mellifique, Apis Mellifera, que j'avais prise en photo je ne sais plus où ni quand.

    Étrange et beau cliché où l'inflorescence semble être celle d'un Bergénia Cordifolia et le feuillage d'un Laurier Cerise, Prunus Laurocerasus.

    Je suis content de constater que quelques noms de plante des jardins me restent de mes trois ans d'études dans l'école horticole de l'EDHM, M pour Montreuil.

    Comme quoi choses bien apprises et comprises ne s'oublient jamais, cordifoliaP1060577.JPG voulant dire en forme de cœur, Prunus Laurocerasus parce que ce laurier est de la même famille que le prunier (ce qui m'avais surpris à l'époque), deux bons moyens pour se souvenir de ces appellations.

     

    Préambule:

    Je me suis aperçu dernièrement, en vous en faisant rapidement cas antérieurement, que ma démarche, tout comme celle d'autres intervenants sur le WEB, consistait à tenter de contrer la vulgate manipulatrice provenant des discours officiels et médiatiques, ceci en amenant une parole inverse, en en faisant tout pour être au plus proche de la réalité.

    Ce qui, je le souhaite, mène à un processus similaire de celui de rechercher d'éliminer un bruit désagréable et/ou puissant en en générant un autre contraire de même P1040120.JPGintensité.

    Ici, en préambule, je vais faire l'essai de décrire ces adultes qui sont de fait restés toute leur vie que de grands enfants, ceci pour corriger une erreur mienne faite par le passé.

    Il s'agit d'une névrose (qui, parmi nous-autres être humain, ne serait-il pas plus ou moins névrosé?) qui a de nom syndrome de Peter Pan, cet homme et cette femme vivant en leur monde au nom de Jamais-jamais, provenant d'une éducation défectueuse constituée de graves manques où les interdits du surmoi ne furent pas suffisamment élaborés et établis dès la plus petite enfance, si tant est qu'ils le fussent.

    ( Une éducation défectueuse composée pour partie d'interdits absurdes ne conduisant pas à un tel syndrome, pouvant aisément évoluer, ceci d'autant plus si l'instruction de la personne fut bien composée, ou, si c'est sous une forme légère, facilement guérissable. )

    Doublé de ce que les sujets ne se furent que peu ou non confronté, dès l'arrivé à l'âgeP1050134.JPG adulte, à la réalité de la dureté de la vie, les empêchant toute remise et question et en cause de leurs multiples faiblesses.

    Contrairement à ce que j'ai pu concevoir par le passé, ces être sont non pas, à de rares exceptions près, pervers-narcissiques, puisqu'ils ne souffrent ni d'un état psychotique latent, ni furent victimes de graves sévices psychologiques et/ou physiques lors de leur tendre âge, ni n'ont refoulé leurs émotions pour cette raison, ni ne sont pervers pour tenter de sauver leur narcissisme gravement malade, ni ne se nourrissent de leur culpabilité due à leur perversité...

    A mon sens, nous pourrions plutôt concevoir la dénomination de cet étrange mal comme étant du narcissisme pervers, puisque là il s'agit de mouflets ayant normalement largement dépassé l'âge des caprices, où, pour défendre leur monde imaginaire, seul point commun d'avec les précédents, dedans lequel ils se sentent en sécurité, ils vont agir et réagir de manière de continuer d'y vivre en évitant, s'ils le peuvent, leur confrontation d'avec la réalité,  ou alors en en ayant un déni absolu, en écartant tout ce qui pourrait pour eux constituer une menace à l'encontre dudit monde.

    P1060046.JPGAuquel cas une démarche pervers en en étant l'un de leur principal moyen pour se faire, leur culpabilité due à leur inconduite leur étant automatiquement refoulée, tout en conservant l'entièreté de leurs réactions émotionnelles et ne prenant de plaisir que ceux, naturellement, des plus infantiles.

    Et si ces enfants gâtés, dans tous les sens de ce terme, apprécient d'avoir du pouvoir, ce n'est qu'en raison de perpétuer leur existence puéril en leur univers constitué d'affabulations constantes faites de bêtes naïvetés déconcertantes, mais, à terme, dangereuses pour toute l'existence de leur vie d'adulte.

    N'étant pas structurés ni mentalement, ni moralement, devenus sots de fait, ne voulant jamais reconnaître leurs erreurs, ils feront tout pour en accuser l'un de ceux ou le groupe qui est sous leur gouverne, voire une population entière si ledit pouvoir est gouvernemental.

    Et si ceux se retrouvant en face d'eux leur résisteraient, leur réactions peut être de l'ordre du caprice et/ou de la maltraitance.P1060725.JPG

    Contrairement aux pervers-narcissiques, les narcissiques pervers peuvent, sans que cela ne leur pose le moindre problème, vivre, s'associer et partager la même sphère chimérique et fabuleuse avec leurs semblables, dans l'espoir de faire joujou jusqu'à la fin des temps, Peter Pan éternel dans le pays de Jamais-jamais.

    ( Je pense dès lors définitivement que le pervers-narcissique ne peut qu'être un solitaire ne supportant pas ses semblables, contrairement à ce que j'ai pu en concevoir par le passé. )

    L'un et l'autre se devant de ne pas être confondu avec l'homme ou la femme souffrant, quand à eux, d'un trauma profond, resurgissant par moment sous formes diverses, parfois violentes, à cause d'un événement pouvant être anodin pour tous, mais qui, pour leur inconscient, leur est grandement significatif. 

     

    Avant-propos:

    P1060463.JPGUn empire, au-delà de tous les outrages qu'il peut accomplir, n'a d'existence, à la suite de sa constitution, que tant que persiste quatre déterminants, quand bien même que de bonnes représentations impériales ne sont plus que de l'ordre d'un vestige dû à sa décadence, se sont souvent les dirigeants de ses possessions qui s'y raccroche le plus longuement.

    En étant de même, d'ailleurs, pour un gouvernement, voire d'un pouvoir de quelconque autre facture.

    Ces trois déterminant sont:

    1) La puissance sous toutes ses formes;

    2) La probité;

    3) Cette forme de sagesse qu'est la raison;

    4) La cohérence, quelle soit économique, politique, militaire..., toujours décisionnelle...

    Qui suscitent tous quatre la confiance nécessaire pour que perdure cette domination impériale envers desdites colonies, ad minima pour le pouvoir installé parP1060805.JPG l'imperium, mais aussi celle du peuple à l'endroit du gouvernement d'alors ou de l'ensemble du système politique en place.

    Dés lors qu'entre en déclin ledit pouvoir, quel qu'il soit,, il y a une désagrégation progressive de ces quatre caractéristiques centrales de l'autorité, apparaissant progressivement leur contraire:

    1) La faiblesse;

    2) La prévarication;

    3) Le ridicule;

    4) La confusion, l'inconséquence et le désordre.

    Le pire poison pour une légitimation impériale, d'une prépotence ou gouvernementale, c'est ce ridicule, dont le film éponyme, peut-être prédictif de ce qui  survient aujourd'hui (l'oeuvre est toujours plus, voire au-delà, que son créateur, là se place l'art, le reste n'ayant que l'importance du snobisme), a su en donner sa P1040403.JPGdimension tragique, histoire se passant à la veille de la révolution française.

    Ne pouvant que s'y rajouter une faiblesse grandissante et une tendance de ses acteurs au trafic d’influence tout autant potentiellement qu'à la violence.

    Ce à quoi nous ne pouvons que d'y adjoindre en notre époque une baisse gravissime de leur capacités intellectuelles.

     

    Le déclin de l'empire thalassocratique US:

    Les Etats-Unis-d'Amériques nous montrent désormais leurs os en faisant rire le monde entier.

    La lutte véritablement à mort que les deux partis de pouvoir, les démocrates et les républicains, représentant clairement deux forces dorénavant divergentes au sein des USA, l'oligarchie ploutocratique et les GAFAM pour les premiers, l'état-profond impériale et les industriels pour les seconds, même si le camp de chacun ne semble pas aussi bien établi.P1040526.JPG

    Cette lutte à mort lors de leurs élections nationales, conduisant les  dits démocrates à faire montre d'un amateurisme invraisemblable lors de leurs multiples triches (  ici, , ailleurs et autre-part ), ce qui déjà fait réagir certain de nos compatriotes stupéfaits, le site de businessbourse en venant à en traduire un autre, étasunien, ne devant pas être le seul en ce cas.

    Charles Sannat nous mettant en garde contre ce qu'il y nomme un signe noir, soit la survenue de moments difficiles dues à une période, au mieux d'une immenses tension dans le pays de Tonton Sam, au pire d'une guerre civile qu'il n'ose clairement signaler.

    Charles Gave nous en en relatant les péripéties sur Radio Sud. 

    C'est cette histoire de cornecul, ce ridicule ne pouvant que conduite à la raillerie et au mépris à l'endroit du, paraît-il, pays le plus démocratique au monde, qui, plus que toute autre chose, fait que l'imperium a définitivement perdu tout prestige, quand bien même en Europe le rêve américain reste grandement présent.

    P1030782.JPGC'est pourquoi les médiats n'en parlent plus que très succinctement.

    Tout autant que de cette perte de représentation du sérieux d'un imperium déclinant, celui de sa puissance ne peut dorénavant que faire débat, voire à ce que ledit débat en soit désormais dépassé, passant à celui de l'évidence pour tous, sauf si, évidemment, le fort déni de certains quant à sa situation réelle n'en fasse censure.

    Lors, quand bien même en France notre conjoncture se retrouve à être en tous points détestable, que la disette mène de plus en plus de familles à demander de l'aide aux associations caritatives, les Etats-Unis sont eux en une position de pauvreté bien pire.

    En cela une raison fort simple: en tant qu'étant notre maître impérial sa désindustrialisation avait débuté bien avant que ce qu'il en fut de la nôtre, alors même que la double création de l'union-européenne et de l'euro en accéléraP1060202.JPG grandement le processus, l'état déplorable de ce pays ne pouvait pas se rattraper.

    Il n'est que de lire quelques traductions d'auteurs US, d'y percevoir leur stupeur impuissante, leur consternation, leur accablement, pour comprendre à quel point l'état des choses y est gravissime ( ici les enfants ont faim, là Thanksgiving, leur fête national, est au désespoir

  • Pour qui je conseillerais de voter et DE ne pas voter?

    Il y a quatre partis politiques pour qui il ne faut surtout pas voter:

    -Le Parti Socialiste (c'est un crève cœur que de l'écrire);

    -L'union des Démocrates et Indépendants;

    -L'Union pour un Mouvement Populaire;

    -Le Front National.

    Sauf à considérer que l'Union-Européenne et la gouvernance actuelle  a une quelconque valeur, ce qui est le droit le plus strict de chacun.

    Mais n'oubliez pas que l'U.E. est, de jure et de fait, chapeauté par notre bien trop cher Oncle-Sam aux embrassades étouffantes et une Allemagne aux tendances bismarkiennes d'antan, le marteau et l'enclume quoi.

    Il y a trois partis politiques qui, chacun à sa façon, lutte contre l'Union-Européenne:

    -Le Parti de Gauche;

    -Debout la République;

    -L'Union Populaire Républicaine.

    Personnellement j'ai un certain attrait pour ce dernier mais je trouve que ces trois partis se complète bien.

    Il est à remarquer que les deux derniers sont d'essence gaulliste bien que le troisième soit, à mon sens, plus radical, plus bonapartiste dans le meilleurs des tendances.

    Chacun de ces trois partis ont leur blog nominatif:

    -Monsieur Jean-Luc Mélenchon;

    -Monsieur Nicolas Dupont-Aignan;

    -Monsieur François Asselineau.

    Je visite régulièrement chacun de ces trois blogs, ils sont tous fortement instructifs et, là encore, se complètent bien.

    Il est a remarquer que Monsieur Asselineau n'est pas présenté sur Wikipédia en français mais en anglais, en allemand, en espagnol et... devinez quoi... en espéranto.

    La censure serait passée par là mais chuuut, il n'y aurait pas de censure, nous serions en démocratie..., ce ne serait qu'un vaporeux fantôme, hou, hou.

    Je vous l'ai dit, l'U.P.R. est le plus radical et vous verrez qui se présente pour ce parti aux prochaines élections européennes, une surprise, et j'ai eu la même pour le D.R..

     

     

    THEURIC

  • Réflexion sur une plaisanterie de bas de page dont pas grand monde fait cas.

     Il s'agit d'un aveu, de ces mouches piquantes lancées en signe d'agacement ou de dédain envers une personne qui semble inférieur à soi, un moins que rien.

    Mais en aucun cas il est bienvenu de traiter son hôte, hôte de marque, de cette manière, surtout en publique, c'est autant le signe d'un manque de goût et de tact, de grossièreté que d'agir de la sorte, ou bien il est inutile d'inviter cette personne.

    Quelle est cette injure proférée sous forme d'une plaisanterie mesquine et douteuse qui ne peut que faire perdre la face à celui qui en est le sujet?

    Quelle est cette injure que fait le sot en marque de domination sur l'autre?

    Quelle est cette injure que fait un dominant perdant sa prédominance?

    Monsieur Barack Obama, Président des États-Unis-d'Amérique a comparé la Grande-Bretagne et la France à ses filles lorsque, répondant à la question d'un journaliste, il disait, qu'entre ses filles c'était pareille qu'entre ces deux pays, paraît-il alliés, il ne savait qui choisir.

    Mais pourquoi donc le peu de réaction de monsieur François Hollande en réponse à cette pique?

    Parce qu'il en a aussitôt compris les détestables implications nationales et internationales et lui n'avait pas vraiment besoin de cela, surtout maintenant, à la veille de deux élections dont celle européenne.

    Ce fut pour lui, me semble-t-il, d'une violence inouïe qui, en quelque mots, ont effacé toutes les bonnes intensions et sentiments qu'il avait pour le président américain.

    Demain il ne fera que donner le change avec lui parce qu'il ne sait pas si c'est ou pas une manipulation, il ne sait plus si il peut ou non avoir confiance en lui surtout il ne sait plus comment il est considéré ou déconsidéré.

    Souvenez-vous de ce que j'ai écrit dans:

    "Aphorismes!"

    Toutes dominations emploient trois subterfuges sous des formes parfois subtiles, parfois vulgaires:

    -La féminisation de l'homme;

    -L'infantilisation de l'homme ou de la femme;

    -L'animalisation de l'homme ou de la femme (j'y rajoute, aujourd'hui, l'enfant).

    Il s'agit donc, sous cet air de rigolade, en plus de l'aveu d'un fait, notre vassalisation, d'une double injures proférée à l'endroit de notre Président de la République et, dès lors, une double injures à tous les français et, bien entendu, double injures faite aux anglais et à leur gouvernement qui s'en complait.

    Il y a eu, en effet, féminisation et infantilisation de monsieur Hollande, notre féminisation et infantilisation de nous tous.

    Mais le président américain était-il conscient que cela fut injurieux?

    Est-il de cette crétinerie là?

    Et vu la manière qu’il a, lui et son équipe, de se conduire avec l’un et l’autre de ces états-nations, je ne peux que plaindre ses enfants.


    Mais bon, que peut-on faire d’un pays qui a inventé le macdo, le créationnisme et le rapp et de gens qui le considère comme le centre du monde et qui prient pour que leur pays en soit vassal, sinon rien.

    Sommes-nous les esclaves de l'Amérique?

    Dans la bouche de monsieur Barack Obama, le mot "bon" est-il sans c?

    Pour faire rire son publique à bon compte cela ne gène pas ce môsieur le pitre de mettre les gouvernements français et anglais dans les pires difficultés, sans s'excuser sans même comprendre et, peut-être, sans même percevoir que cette triviale légèreté, cette médiocre indifférence peut mener au rejet, à terme, de son pays.

    Sans compter les conséquences désastreuses autant du regard porté des autres peuples européens, surtout du sud, sur nous que celles de l'ensemble des peuples mondiaux: ne serions-nous, pour Môsieur Obama, que des femmelettes et des enfants, des pantins?

    C'est la vulgarité avec laquelle s'exprima monsieur Obama, ce contentement non feint, cette gourmandise du maître  parlant de son larbin en sa présence (sa fifille) mais, surtout, du sentiment étrange que celui-ci avait, en des mots proches, émis la même idées avec ses conseillés qui me confond: monsieur Obama est-il aussi stupide, sait-il si peu tenir sa langue ou serait-il si désespéré?

    Cela nous montre, surtout, combien nous sommes tous les serviteurs dociles de ces pervers que sont la gouvernance américaine.

    Demain monsieur Obama dirait-il qu'il aime la France comme il aime son chien?

    Ô tempora, ô mores…

    Alors, fut-ce un lapsus linguae révélateur ou la tentative ridicule de monsieur Obama de se valoriser aux yeux de ses convives en proférant ces insanités, surement les deux.

    Pauvre monsieur, lui qui sait son empire finissant, fini même, pays n'ayant même plus la force de sa politique et qui, comme seul exutoire, ne trouve rien de mieux à faire que de se moquer de deux de ces derniers alliés, de ces deux derniers alliés.

    Voyez ce que j'ai pu écrire, là encore, dans "Aphorisme":

    La violence d'un pouvoir montre toujours sa faiblesse, quelle que puisse être cette violence, quel que puisse être ce pouvoir.

    Pensez, lecteurs, ce que vous voulez de notre Président de la République, mais ne laissons pas un pays, à ce qu'il paraît, ami, l'injurier et nous injurier de la sorte.

    Mais cette injure ne se montre pas que lors d'un dîné d'état, la bassesse des feuilletons d'Amérique, les anglicismes récurant et imbéciles jusqu'aux portes de nos magasins, la pensée néolibérale qui a envahi toutes les sphères sociales, les titres des film américains non traduit, et bien d'autres signes que nous ne voyons plus de notre asservissement, tout cela ne sont qu'injure continuel à notre intelligence.

    Alors monsieur Obama a beau jeu de nous considérer comme sa fifille parce que nous nous considérons nous-même ainsi!

    Et cela depuis fort longtemps, allez voir les différentes vidéo de monsieur Assélineau, vous comprendrez.

     

    THEURIC

  • B.R.I.C.A. et coquin de sort: néolibéralisme, quand tu nous tiens.

    Comme les médiats officiels français tendent au vide cosmique, cosmétique, parfois même comique, je suis allé voir ce que Sputnik pouvait avoir à raconter par les temps qui courent.

    Je suis tombé là-dessus ( https://fr.sputniknews.com/international/201708041032519401-brics-plan-essor-industrie/ ) où y était expliqué que les ministres de l'industrie brésilien, russe, indien, chinois et sud-africain s'étaient réunis pour, ont-ils dit, "adopter un plan pour favoriser l'essor industriel".

    Rrrraaa lovely, comme aurait dit Super-Dupont de Gotlib, pourquoi donc ces pays ne reprendraient pas les recettes néolibérales qui conduisirent les européens, les étasuniens et autre occidentaux à leur ruine.

    Ben oui, pourquoi pas...

    Certes, cela semble se passer en une belle entente entre ces cinq états discutant enP1000749.JPG toute égalité: "Les B.R.I.C.A. font un pas en avant vers la mondialisation et le libre commerce..." y est-il explicité, la belle affaire.

    Les mêmes causes faisant les mêmes effets, cet accord ne pourra que mener ces pays qu'à leur ruine: le plus gros et le plus dynamique mangera les plus fragiles par la concurrence débridée, comme l'Allemagne le fit en Union-Européenne, qui ne leur vend désormais plus rien puisque le reste des nations de l'U.E. ont ainsi été ruinées.

    D'ailleurs c'est le but des accords de libre échange entre la même U.E. et le Canada, les allemands veulent manger les canadiens et les canadiens manger l'U.E..

    Si tant est que le système économique globalisé n'explose pas avant, bien sûr.

    Et après ça les imbéciles crieront: il faut faire des économies pour rembourser nos dettes, dettes que les mêmes, ou leurs semblables, ou ceux qui voudraient l'être (imbéciles, peut-être) ont générées ou ont accepté qu'elles le soient, d'ailleurs.

    Les états font des dettes parce que l'impôt diminue, sinon ils ne fonctionneraient plus, l'impôt diminue parce que des entreprises ferment (montée du chômage) et que les gens s'appauvrissent puisqu'il y a baisse des émoluments, il y a fermeture P1000865.JPGd'entreprises et baisse des émoluments parce qu'il y a la monté de la concurrence sans régulation entre les entreprises des différents pays et que, surtout, l'état ne peut pas soutenir les domaines où le pays est le plus fragile.

    En fait, si accords il y a entre les états, ce doit être au niveau de la régulation et de la légitimation de l'aide aux domaines faibles au sein de chacun des pays et non pas ouvrir les frontières à grands vents comme c'est la mode aujourd'hui.

    Ensuite nous pourrons dire: "Que le meilleurs gagne", mais pas avant!

    Ceci dit pour montrer que chacun des B.R.I.C.A. n'auront pas d'autres choix, à un moment ou à un autre, que de faire, pour chaque nation, pour les raison exposées plus haut, de la compétition salariale face aux autres pays, soit de faire baisser les émoluments de ceux qui sont en haut (pas trop haut tout de même), au milieu et en bas de l'échelle des payes.

    Ce qui entrainera la diminution des capacités d'achat des populations et la faillite des entreprises puisque, je le répète, les plus gros, les plus dynamiques, et/ou les plus malins, mangerons les plus petits ou les plus faibles et que les états auront de moins en moins les capacités d'action sur l'économie réelle de leur pays.

    N'oublions pas que seules les classes-moyennes font fonctionner la machinerie économique à l'intérieur des frontières d'un pays, et plus il y a de classes-moyennes, intellectuelles et/ou économique, mieux l'économie nationale fonctionne et, ceriseP1000718.JPG sur le gâteau, moins il y a de pauvre et de milliardaire.

    Appauvrir et déclasser les classes-moyennes ne mène, à terme, qu'à un seul effet: la ruine de tous, banques et milliardaires compris.

    C'est ce dont l'Occident et les pays pauvres crèvent!

    Mais pourquoi donc perpétuer des frontières à l'heure de la mondialisation?

    Bonne question à l'heure où la propagande néolibérale n'a même plus besoin de s'exercer.

    En fait, si les frontières deviennent si poreuses que la souveraineté économique s'en trouve tant affaiblie que l'état et son administration ne sait plus vraiment ce qui rentre et sort du pays, il n'y a plus échange entre état mais juste des mouvements de marchandise et d'argent entre particuliers, commerces, entreprises et banques.

    Et cette hyper-concurrence, qui ne pourra que monter en puissance, fera qu'à un moment donné seul une minorité des établissements subsisteront, les autres disparaîtrons inéluctablement.

    Des impôts peuvent certes être perçus, mais cet accroissement de la puissance des plus imposantes de ces entreprises, banques comprises, fera qu'il leur sera possible soit de soudoyer le personnel politique et administratif, soit de faire passer, via la P1000698.JPGpropagande, leur doctrine sur laquelle s'appuie leur puissance, soit, le plus souvent, ces deux actions simultanément.

    Ce qui fera que ces entreprises survivantes pourrons échapper à l'impôt en raison même de leur puissance.

    Elles deviendront, non pas un état dans l'état, mais d'une position mondiale au-dessus des états.

    Comme les gens, appauvris, auront de moins en moins la capacité d'acheter et que les états seront dans la situation de ne plus pouvoir fonctionner, la seule chose qui leur restera sera de contracter des crédits à certaines sociétés, soient aux banques, soient aux commerces de type hypermarchés.

    Pour les états, il en sera de même, sauf que, bien entendu, ils n'emprunteront pas aux hypermarchés, mais aux banques, aux assurances, aux sociétés spéculatives et à d'autres états, puis commenceront à échanger, via leur banque centrale, de l'argent papier ou électronique des Q.E. contre des reconnaissances de dettes qui s'appellent des bons du trésor.

    En fait, c'est plutôt imprécis, ce n'est pas comme ça que ça se passe et c'est beaucoup plus délirant, les banques-centrales des états prêtent de l'argent aux banques qui ensuite prêtent ce même argent aux états contre ces reconnaissances de dette bon du trésor qui, si j'ai bien compris, sont rachetés, pour partie, par les mêmes banques-centrales, avec un bénéfice pour les banques.

    Argent des Q.E. qui, rappelons le, ne vaut plus pipette puisque excessivement produit en rapport avec l'effondrement industriel du pays émetteur.

    Je crois que Pignouf n'aurait pas imaginé mieux, ou Quiri le clown ou n'importe quel comique troupier...

    Mais ces dettes, ben, il faut les rembourser, et ce remboursement fait que c'est de l'argent en moins pour pouvoir acheter ce qui est produit pour les particulier, mais aussi pour les états (le militaire, la police, la justice, l'instruction publique, ...etc, etc..., etc...).

    Phénomène qui appauvrit les entreprises puisqu'il y a moins à vendre, ce qui fait donc monter la concurrence inter-entreprise, et le cycle recommence (entre chaqueP1000878.JPG crise), jusqu'à ce que, à un moment donné, tout s'arrête.

    Je pose donc le postulat que ce sont donc les béances frontalières, accompagnées, il est vrai, de la charge doctrinale ad oc, le néolibéralisme, qui est la cause première de la situation catastrophique dans laquelle se trouve le monde d'aujourd'hui.

    Sans compté les délires dont je ne viens de ne vous montrer qu'un tout petit exemple.

    En France, ce processus a pris plus de quarante années pour que nous en arrivions à la situation industrielle actuelle, sans l'Union-Européenne fascisante telle qu'elle est, plus que néolibérale, voire sans Union-Européenne du tout, nous n'en serions pas là, il est vrai, mais le chômage, avec ce néolibéralisme, bien que moindre, serait, je le pense, néanmoins bien présent.

    Et au niveau mondial la situation, bien moins catastrophique, serait tout de même préoccupante si les étasuniens n'avaient pas ouvert leurs frontières aux quatre vents mais juste de trois.

    Donc, la décision des B.R.I.C.A. est une erreur, compréhensible si nous songeons qu'elle a d'origine de pouvoir contourner la prédominance, la suprématie du dollar pour tout échange marchand international.

    Et puis, des pays comme la Chine et l'Inde purent se développer rapidement grâce, justement, à cette béance frontalière occidentale et aux faibles revenus de leur P1000724.JPGpopulation, qui aujourd'hui s'accroissent.

    Mais l'un comme l'autre, ainsi que les trois autres participants, hormis peut-être la Russie, se trouvent dans une situation difficile puisque l'appauvrissement continuelle des occidentaux fait que le nombre de leurs clients diminue, encore plus depuis 2008, ce qui ne peut que les appauvrir également.

    Or, ce fait ne peut que mener qu'à une scission de leur peuple d'avec l'état puisque celui-ci peut de moins en moins leur offrir ce rêve de classe-moyenne que chaque citoyen de ces pays commençait à voir venir sur le pas de sa porte.

    Et puis, l'appauvrissement de la population veut dire aussi appauvrissement de ces états, avec tous les dangers que cela comporte dont je vous ai entretenus plus haut.

    D'où leur nécessité de trouver une réponse rapide à cet affaiblissement étatique, ce qu'offre cette décision néolibérale d'accord qui ressemble infiniment, à s'y méprendre, à du libre-échange.

    En est puisqu'en porte de nom.

    De fait et par ce simple exemple, nous pouvons voir que tout le monde est piégé par un système économique qui, bien que totalement délirant, n'en est pas moins devenu absolument incontournable.

    Et cela n'ayant d'effet que de déstabiliser un petit peu plus un système économique globalisé déjà au seuil de son implosion.P1000879.JPG

     

     

    THEURIC

  • Je reste intrigué!

    Oui, je suis et reste intrigué par notre époque.

    Certes, je me suis essayé de comprendre pourquoi sévit un tel aveuglement, un tel déni de ce vers quoi nous nous conduisons.

    De ce fatras idéologique et d'événement, j'en ai cherché des principes internes pour tenter d'en rendre compte, pour le comprendre, ceci tout en en faisant ressortir des lois évolutives des sociétés humaines.

    Tout en sachant que ma toute petite voix ne peut pas porter bien haut.

    Il est visible, pourtant, que le système économico-politique néolibéral est entré dans une phase de panique, la présence absurde de la gamine Gréta Thunberg au-dedans d'instances nationales et mondiales le montre plus que tout autre chose.

    Les jours précédents la FED, la banque centrale US, a injecté des centaines de milliards de dollar (entre 250 à plus de 300) dans les banques pour les soutenir,P1030098.JPG après que les houthis du Yémen aient mené une attaque de drone sur les installations pétrolières d'Arabie-Séoudite.

    Sinon nous nous précipitions dans l'implosion de la multitude de bulles spéculatives qui, quoi qu'il en soit, imploserons toutes un jour ou l'autre, mais surtout qui, plus le temps passe, s'accroissent tant en nombre qu'en taille.

    Et cela parce que, d'après Mr. Béchade, toutes ont joué le prix du pétrole à la baisse et qu'après cet attentat ses prix ont naturellement monté, les-dites banques se sont donc retrouvé sans liquidité, ce qui veut dire sans argent, et ne pouvaient et/ou ne voulaient plus s'en prêter des unes aux autres.

    Mais pourquoi donc le prix du pétrole baisse-t-il?

    Il se dit que ce serait à cause d'une récession mondiale, un beau joli mot qui veut dire en langage plus cru mais plus exact: une désindustrialisation internationale, mais qui est moins compréhensible pour la population, et ça fait depuis longtemps que je vous en parle, amis lecteurs.

    Nous ne devons pas savoir, en effet, que tous ces banquiers sont entrain de ruiner le monde.

    P1030121.JPG(Et pendant ce temps là on nous parle d'un prétendu réchauffement climatique cataclysmique, le cataclysme ne se trouve pas là.

    Que je vous dise, dans peu de temps, quand ce système sera forclos et que tout le monde aura faim, de ce réchauffement ils pourront se le mettre........ailleurs.)

    La seule chose qui empêche la mondialisation heureuse de faire faillite c'est la monstrueuse production de monnaie des banques centrales, déversement qui accroit les instabilités de l'économie réelle tout en faisant tenir debout l'économie bancaire et, donc, monétariste.

    A la déflation provenant de cette désindustrialisation détruisant les entreprises, vient s'y greffer une inflation due à ce déversement de monnaie, et si nous avons affaire à de l'inflation, ce qui est visible par la diminution de la quantité de marchandise achetée pour un même prix, c'est bien que ce déversement monétaire est plus rapide encore que la-dite désindustrialisation.

    Processus qui conduit à ce que nous achetons moins de chose et que, donc, la déflation s'enfle, les banques, prises à la gorge par cette baisse de capacité d'achat populaire, cette inflation, diminuant d'autant l'usage du crédit, ou ne pouvant plus rembourser leurs dettes, et par les taux d'emprunts négatifs des états (elles payent pour prêter), ne peuvent qu'être contraintes d'aggraver leurs opérations spéculatives pour tenter de survivre, ce qui accélère d'autant cette désindustrialisation et leurs risques pris...

    P1030024.JPG

    Et la boucle est bouclée.

    Ainsi, l'économie mondiale, plutôt que de tourner rond, tourne en rond, ou plutôt en spirale vers son néant.

    Et je suis intrigué du fait que rares sont ceux des classes-moyennes supérieurs qui en comprennent les dangers.

    Mais il n'y a pas que l'économie qui montre d'inquiétantes fragilités, la politique, française, britannique, unioniste, étasunienne, entre tant d'autres nations, se trouvent dans un même état de délabrement.

    Plus que partout ailleurs, au pays où les armes sont rois, les États-unis-d'Amérique,  depuis longtemps en un conflit ouvert restant encore politique, idéologique et institutionnel, peuvent, en raison même de la tentative de l'oligarchie US de renverser Mr. Trump, de basculer dans une guerre civile.

    Là encore, il n'est nullement besoin d'avoir suivit de longues études pour le comprendre: le désespoir populaire y est immense, aussi grand que son ressentiment envers cette classe dirigeante.

    Dans ce pays, les trois forces dont je vous avais fait cas dans mon billet précédent, les deux qui s'affrontent sont celles des pro-Trump, classes-moyennes basses à intermédiaires et des pro-oligarchie, les classes-moyennes hautes à supérieures, ceci sans compter ceux qui ne font que survivre au jour le jour et qui n'ont pas la possibilité d'y penser.

    P1030344.JPGCelles plus ou moins communistes tendant à renvoyer ces deux camps dos-à-dos.

    En Grande-Bretagne, les forces unionistes font tout, elles aussi, pour renverser Boris Johnson et empêcher que le peuple et le pays s'échappe de l'emprise de l'Union-Européenne, mais, là encore, l'autisme collectif, d'une même sorte que de cette maladie mentale, ce totalitarisme mou et hypocrite, ce  fascisme non assumé, cette haine rageuse envers les plus pauvres qu'eux, ce double fantasme de toute puissance  et d'omniscience des mêmes classes-moyennes supérieures  est flagrant.

    Et sachant la colère du peuple britannique, personne ne peut dire comment cela se finira.

    En Allemagne tout tourne à la farce et au comique troupier où, par exemple, il s'y fait construire des centrales à charbon pour faire fonctionner ses éoliennes, elles mêmes présentes pour remplacer ses centrales nucléaire, ce qui lui coûte un fric de dingue, ceci pour faire plaisir aux mêmes classes-moyennes théoriquement éminentes d'esprit.

    Quand au bilant carbone, que je considère comme une pure crétinerie mais que les écolos ignares adorent comptabilisé, il y est de fait déplorable.

    C'est en France où, peut-être, celles-ci pourraient bien se montrer dorénavant plus raisonnables et posées, plus réfléchies surtout, tout simplement à cause de la présence de la petite linotte Thunberg à l'assemblé-national, de par la question qui ne peut que se poser dès lors (en un langage bien moins châtié):

    "Mais diantre, que fait donc cette petite donzelle en cet endroit si sérieux parler deP1010743.JPG réchauffement climatique, là où des questions urgente engageant (normalement) notre devenir s'y débattent, et pourquoi donc nos représentants applaudissent-ils de la sorte une gamine à peine pubère n'ayant pas l'air d'avoir grand chose dans le crâne?

    Cela m'intrigue et m’ébaubis, il y aurait-il quelque malfonction politique en notre beau pays?

    Et pourquoi  nos élus ont-ils voté en même temps leur approbation pour le traité de libre échange entre le Canada et l'Union-Européenne qui, en terme d'écologie, est néfaste?

    Pourquoi ensuite a-t-elle déblatéré de même à l'ONU?

    Quelle-est cette mascarade?

    Bigre, serais-je donc le sujet de quelques manipulations?"

    Ce questionnement ne peut qu'être souvent qu'inconscient mais il ne peut pas ne pas se poser au pays de Descartes.

    Mais il faudra du temps entre le moment où cette interrogation plus ou moins subliminale se fait et l'instant où la réalité, dans son principe, émergera à la conscience.

    Et ce temps là aussi m'intrigue.

    Ce qui m'inquiète le plus c'est que personne ne semble concevoir les effets que cet P1030108.JPGeffondrement économique génèrera, hormis les survivalistes qui, eux, les exagèrent.

    Du fait de la déferlante monétaire des banques centrales dès que les banques privées ont des difficultés et que, vaille que vaille, l'industrie tourne toujours tout en ralentissant de plus en plus vite, je pose l'idée, inverse de ce que j'ai pu raconter par le passé, que ce ne sera pas l'économie qui en sera la cause mais bien la politique.

    Et ce seront les Etasunis qui en seront l'épicentre.

    En y faisant l'hypothèse que cela débutera en un lieu  quelconque, peut-être retiré des centres urbains, en un désaccord agressif entre des pro et anti Trump qui, de cris en invectives, des coups jusqu'aux armes sortantes, en un phénomène de diffusion de proche en proche, un embrasement guerrier s'y fasse.

    Puis qu'à un moment donné l'empire US en vienne à sortir du jeu international parce qu'il  ne sera plus, peut-être seulement en tant qu'empire, peut-être en tant que pays.

    Et de ça aussi je ne le comprends pas: pourquoi cela n'est-il pas envisagé?

    Cela m'intrigue.

     

    P1030162.JPG

     

    THEURIC

  • Confinement: nous y revoilà!

    Une mouche, Diptère comme toutes ses copines, Muscidae, de ce que j'ai pu le comparer sur ce site, ce serait Madame Phaonia cf. Palpata.

     

    Préambule:

    Notre époque me fait me souvenir de ce qu'il se disait d'antan au sujet des régimes totalitaires de type Chilien sous Pinochet de 1973 à 1990, remarque que nous faisions dire par la bouche des dirigeants de ces régimes fascistes néolibéral mis en place par les USA:

    "Quand j'entends le mot culture, je sort mon pistolet!"

    Certes, nous n'en sommes pas tout à fait là, il est vrai, mais cette détestation du fait culturel, visible autant par les fermetures des opéras, des  salles dédiés au  rock queP1050337.JPG les librairies... me fait remonter ces réminiscences.

    Il est perceptible pour l'homme et la femme de bien, curieux de notre temps, que les décisions de nos évanescences intellectuelles manque singulièrement de cohérence.

    En fait, la raison en est que nos comiques troupiers prennent des décisions sans en avoir soupesé les effets par avance, ce qui met en colère certaines portion de la population, là, par exemple, les libraires, qu'ils essaient de remédier en se mettant à dos les directeurs et propriétaires des grands magasins.

    Cela me fait souvenir d'un gag de Laurel et Hardy (attention, rigolade obligatoire, de regarder ces films, vous risquez d'en oublier de lire ce billet)  où, l'un d'eux plante un clou dans le mur, ce qui génère une fuite d'eau qui, bien sûr, arrose l'autre, le premier met un doigt sur la fuite, l'eau coule à coté, il bouche l'autre trou et ça gicle ailleurs et ainsi de suite...

    Je soumets à vos zygomatiques celui-ci où vous pourrez assister à la plus grande bataille de tarte à la crème de tous les temps, si vous ne riez pas c'est que vous n'êtes pas sérieux.

    Fêtons ainsi dignement les élections étasuniennes par leurs véritables héros!

    Au sujet des comiques troupiers, en voici un qui n'est pas piqué des hannetons, pour qui l'élégance naturelle ne peut être qu'égal à sa sagacité ainsi qu'à sa sagesse (étant entendu que ce ne peut qu'être là qu'un geste irréfléchi, ce qui ne peut qu'en montrer le sens profond, une façon de lapsus gestuel).

                                   

    Petite photo chipée chez Charles Sannat, quand bien même je peux ne pas être d'accord avec lui sur certaines de ses approches, il reste de ces personnes inintéressantes à entendre, parce qu'il semble être sincère.

     

    Avant-propos:

    Après que nous ayons subi une incroyable masse propagandiste, médiatiques, tout l'été au sujet de la pandémie, à l'automne venu nos falots gouvernementaux nous claquemurent chez-nous une fois encore pour, censément, nous protéger contre un coronavirus infiniment moins dangereux que leurs propres et stupides oukases: ainsi détruisent-ils l'économie mondiale.

    ( Il se dit que, dans des hôpitaux, aux familles des défunts, quelles que soient les raisons de ce décès, est demandé si elles veulent bien que leur trépassé soit déclaré P1040459.JPGmort du vilain virus, l'hôpital recevant dès lors des subsides et pour les proches une aide pour l'enterrement.

    Il y a quelque chose de pourri au royaume de France. )

    Comme par magie, comme par hasard, un ou plusieurs attentats islamistes ensanglantent nos rues, églises ou écoles, lorsque survient une décision gouvernementale qui appauvrit et révolte les français (en serait-il de même pour ce qui est arrivé en Autriche?).

    Le ou les prochains surviendront-ils à l'orée de l'une des prochaines décisions de nos héros ubuesques du totalitarisme médiocratique, se faisant croire à eux-même démocrates?

    Qui, de ses commanditaires, ont du sang sur les mains?

    Serait-il possible que ce serait pour cela que tous les journaux appartenant à nos oligarques auraient publié ces fameuses caricatures et qu'ordre aurait été donné aux professeurs de faire cours sur la liberté d'expression en se basant dessus?

    Donc, pour la seconde fois en un an, nous nous retrouvons emprisonnés chez-nous et, pour une énième occurrence, ces agent étasuniens, ( ne se sachant pas comme tel) qui se pensent messagers du sunnisme, tuent au nom d'Allah, sans qu'ils neP1030268.JPG puissent comprendre combien ils sont manœuvrés par des agents qui se moquent de leur religion comme d'une guigne.

    Nos olibrius français, quant à eux, unionistes et américanolâtres, tout comme leurs donneurs d'ordre, ne peuvent pas percevoir les effets de leurs actions au-delà du jour suivant, continuant invariablement leurs plans ourdis depuis quelques temps déjà, quoi qu'il puisse se passer, qui, à bien y regarder, ne peuvent que se révéler économiquement funestes à terme pour tous, même pour eux.

    Ou bien pire encore, signant de fait une mienne réflexion passée sur mon blog d'une tendance suicidaire, d'une fuite en avant allant bien au-delà, cela est remarquable, de la seule France.

    Jusqu'à ce que cela même ne les conduise au-devant de juge et fassent face à la vindicte populaire.

    Ainsi se dirait-il que la date et le jour de notre enfermement se susurrait déjà dès Septembre.

    Quoi qu'il en soit, que nous nous retrouvions, une fois encore, à devoir rester chez-P1030512.JPGnous parce que notre système de santé public est grandement affaibli, soit, mais que ce soit quasiment la même chose pour l'Allemagne pour qui le sien en est bien moins affecté ne peut que nous laisser suspecter que d'autres causes sont en oeuvre.

    Gardez à l'esprit, amis lecteurs, que nous ne devons pas restreindre notre approche de tous ces événements qu'à la seule dimension de notre nation, cela nous empêchant de percevoir le jeu dedans lequel nous ne sommes que des pions.

    Sauf à ce que lesdits pions, en en étant devenus conscient, en soient acteurs.

     

    L'erreur de ces assassins et leurs manipulateurs:

    Ce thème ayant de valeur en raison de ce que j'ai pu écrire en Avant-Propos.

    Il n'est pas que l'économie mondiale qui ne peut qu'être touché par notre emprisonnement, la profonde spécificité de l'âme française est elle également chamboulée par ce quadruple crime commis au nom d'une religion dévoyée.

    De l'effondrement idéologique qui est devenu dorénavant manifeste par le regard porté sur l'acquiescement quasiment absolu des chambres délibératives (assembléeP1030177.JPG nationale et sénat) des pleins pouvoirs donnés à l'exécutif (en un écho de celui donné au maréchal Pétain en 1940), ne peut que répondre par un retour, comme j'ai pu déjà le raconter, de la religion séculaire du pays, le catholicisme.

    Ceci accompagné des mouvements politiques anciens: l'anarchisme, la sociale-démocratie vrai, le républicanisme musclé, le libéralisme économique national, voire nationaliste.

    Or, nos idiots utiles et meurtriers de l'imperium US, via nos alliés turques et qatariens, ont réveillés ce qui, au plus profond dudit catholicisme premier, ce que peut être que la sainteté  de ses martyres, ce sur quoi s'est bâti l'église de Rome.

    Ces saints anciens, hommes et femmes, décapités, dits céphalophores (je ne connais ce mot qu'à l'instant d'écrire ces lignes), ne peuvent que venir en écho de ce Professeur qui, à Conflans-Sainte-Honorine, fut lui-même occis de la sorte, suivit du triple meurtre à Nice où, pour l'une de ces personnes assassinées, l'un de ceux-là, une dame, l'a été quasiment de la même manière.

    Réveillant de fait un inconscient social qui est indéfectiblement lié à celui collectif tel que ce dernier fut formulé par Carl-Gustave Jung

    Ceci englobant autant la connaissance dans son sens le plus large, prodigué par le professorat, humaniste et dynamique, que de l'ensemble de la symbolique P1020964.JPGstructurant l'église catholique de son socle le plus obscure et puissant, les liant de manière définitive, ne pouvant que venir se confronter aux inepties d'une stupidité affligeante de nos dirigeants.

    Il est à remarquer que ces meurtriers et leurs sponsors font montre tout autant d'une haine pour le savoir et, dès lors, pour l'intelligence, tout autant que pour le catholicisme.

    Ces premiers faisant montre d'une détestation profonde pour les femmes plus âgées qu'eux, détesteraient-ils leur mère, cela serait-il le secret inconscient de ces petits soldats étasuniens?

    Voyez de plus ce qu'en déduit un cinglé.

    Je me dois de rajouter que les parole de Monsieur Poutine déplorant ce qu'il s'est passé en France ne furent pas relayés par nos médiats ou si peu.

    Tout comme ceux-ci, naguère, n'eurent pas un mot au sujet de hommage rendu par la Russie aux 155  soldats français tombés lors de la guerre de Crimée (1853/1856) retrouvé depuis peu, notre gouvernement n'y ayant pas envoyé le moindre plénipotentiaire, nos édiles ne se pensant plus français.

    Voilà ce que c'est qu'être inféodé aux dictas de notre Tonton Sam et de haïr son pays en en ignorant son histoire.

     

    Retour vers le confinement:P1030991.JPG

    Nous voici une fois encore emprisonnés chez-nous.

    Il en est beaucoup à en dire.

  • Quatrième aphorismes.

    Je reprends cet exercice pouvant se rapprocher d'un art, portant la concision de l'expression de l'idée à son extrême achevé.

     

    Un aphorisme, de sa concision, est l'expression d'une idée laissant libre le lecteur de sa propre réflexion, à lui d'en jauger et juger de sa justesse.

    Tout savoir n'a d'utilité que de par sa pratique et de son usage.

    Tout conseil et toute idée ne sont que des pistes de réflexions.

    Celui qui oublie la profondeur de l'esprit ne sera plus que sa marionnette, quand bien même en certifie-t-il le contraire.

    Le chemin véritable de la liberté est de comprendre ses propres contraintes, la solitude en étant une.

    En tant qu'être grégaire, nous ne saurions vivre sans contrainte au risque, sinon, de disparaître d'une mort sociale, psychique ou physique.

    Une religion peut être, comme toute institution, pervertie, faut-il être naïf de croire le contraire.

    Une philosophie n'ayant pas de substrat pragmatique ne peut qu'être que sans grand intérêt.

    Il est de la plus extrême importance de ne pas confondre croire et savoir, mais croire savoir est bien pire.

    Ce n'est pas d'affirmer son doute qui importe vraiment mais de mettre celui-ci au centre de ses réflexions tant qu'elles ne sont pas corroborées par des faits tangibles observés dans le temps.P1030012.JPG

    Il n'est de vérité que toute personnelle.

    La sagesse c'est de savoir qu'elle n'est toujours que toute relative.

    L'existence des biais cognitifs, tout comme de la folie, est la manifestation sensible de la jeunesse évolutive d'Homo Sapiens Sapiens.

    Ce qui est caché ou invisible est perdu.

    L'Europe et l'Amérique-du-Sud ont ceci en commun que leur domination impériale par les États-Unis-d'Amérique a stoppé leur évolution, ce qui ne reprendra que quand ce dernier aura disparu.

    Il ne peut y avoir de pensée politique concrète si l'histoire et la géographie ne sont pas comprises dans leur essence.

    L'on confond souvent liberté, indépendance et autonomie:

    -la première  est de comprendre ses propres contraintes (nous l'avons vu);

    -la seconde est de penser et d'agir de et par soi-même;

    -la troisième est la résultante d'être pleinement adulte.

    P1030464.JPGCe sont, dans l'esprit, les mêmes que dans les années 30, de par leur aveuglement, leur lâcheté et leur dogme, qui laissèrent à Hitler le libre champ de ses exactions, que de ceux qui, aujourd'hui, gouvernent l'Union-européenne et de tous ceux qui les suivent et leur obéissent.

    Il y a un aspect suicidaire chez tous ceux qui soutiennent l'Union-Européenne, quelles qu'en soient les raisons, quelle que soit leur classe sociale, quelle que soit leur citoyenneté.

    Être déterminé veut autant dire de connaître et reconnaître son identité que d'avoir la volonté dans l'action et la pensée, l'un ne pouvant aller sans l'autre.

    Le choix existe, il est rare et bref, mais est pleinement déterminant dans notre existence.

    Le futur est incertain et parfois potentiel.

    Le cryptage sur internet nous permettrait, nous est-il dit, de protéger toutes les informations sur notre identité, mais de tous les temps toutes serrures surent être forcées.

    Pourquoi donc vouloir faire des vols à main armée quand il ne suffit que d'apprendre  la programmation informatique pour voler de l'argent en prenant beaucoup moins de risque?

    Un végan c'est un âne qui mange du foin.P1030150.JPG

    Ceux qui disent vouloir sauver la planète se devrait, d'abord, de songer à sauver leur intelligence.

    En 1990 le GIEC annonçait que tous les glaciers auraient fondu à l'orée du XXI° siècle, j'attends toujours, c'est étonnant comme les simples d'esprit ont peu de mémoire.

    Il est criminel d'instruire les enfants de faussetés quand cela est fait d'une manière délibérée.

    Un oligarque de tous temps est un imbécile et un voleur, que l'on croit brillant, détruisant la société qu'il asservit pour s'enrichir et qui pense que son pouvoir durera éternellement, rêve pour quelques-uns, cauchemar pour les autres, puis avanies pour tous.

    Il y en a qui déclarent que l'Être Humain est le cancer de la vie sur Terre, pourquoi donc ne se suicideraient-ils pas, cela ne manquerait-il pas de logique?

    Le journalisme est dit le 4ème pouvoir, oui, pour une infime minorité des gazetiers.

    Pourrait-on m'expliquer la différence entre les musiques des peuples chasseurs-cueilleurs et le rap?

    La qualité des programmes télévisuels est inversement proportionnel au nombre de chaînes proposées.

    P1030431.JPGComment les gilettistes peuvent-ils croire au réchauffement climatique anthropogénique dont la propagande essentielle provient des mêmes médiats qui n'ont de cesse que de propager des mensonges sur leur compte?

    La concomitance est d'importance pour comprendre les dynamiques sociales, politiques et historiques du moment, mais il faut bien faire attention de ne pas confondre avec ce qui n'est dû qu'au seul hasard.

    La majorité de la population angoisse à ce que l'empire US disparaisse, non pas pour ce qu'il est mais pour ce qu'il représente, non pas la paix, la richesse ni la puissance, mais le libre cour à l'infantile rêverie du paradis terrestre, quand bien même tournerait-il au cauchemar.

    La vengeance est un plat qui se mange froid de bien mauvais goût.

    Hier on pouvait vendre sa salade pour une poignée de cerise, aujourd'hui c'est hors de prix, c'est ça l'inflation.

    Pour toutes choses les débuts sont simples mais on ne les comprend pas vraiment, ensuite elles se développent et on les comprend de mieux en mieux, puis elles périclitent et on ne les comprend plus, ce n'est que quand elles disparaissent que l'on peut en saisir la substance.

    P1030325.JPG

     

    THEURIC

     

  • La poésie comme combat.

    De l'ennui en sa table ouverte

      De cette sienne découverte

      Faisait de fragilités vertus.

     

     

    A Baudelaire, en siècle révolu!

     

    Être un poète veut dire que les mots

    Doivent révéler, aux bornes d'impudeur,

    Ses faiblesses, forces, bonheurs, malheurs,

    De donner la beauté à ses joies et ses maux.

     

    Aussi d'affirmer, les deux pieds bien sur terre,

    Ce qu'il voit et pense des faits des temps présents.

    La rime étant une aide argumentaire :

     

    Le rythme dédié aux événements pesants,

    Le chant porté aux justes contestataires,

    Vante les idées en dédisant les bien-disant.

     

    Le poète peut ne pas, tel l'albatros,

    Être gauche et veule, boitant, infirme,

    Il peut voler sans aile, je vous l'affirme,

    Et si l'on le hue, s'il est lu, il s'en gausse !

                                          ------------------------------------------

     

     

                 Les foules

             Éternellement

    Ne peuvent être leurrées

     

     

    0, 17 %

     

    Il est zéro virgule dix-sept pour cent,

    De moyenne d'age de quatre-vingt-un an,

    Qui sont décédés de ce vilain virus

    En nombre de mort qui n'est que de minus.

     

    De cela, d'en faire pire calamité

    Ne peut que se percevoir que de folie

    De ne pouvoir saisir cette absurdité :

     

    Menant l'économie à être abolie

    En une hystérie de contrevérité

    Conduisant le peuple à la mélancolie.

     

    Il n'est plus que de temps que nous retrouvions

    Une santé mentale, notre complexion,

    Qu'ils restent fous, cela seul les concerne,

    Mais qu'à le moins, notre esprit discerne !

                                                 ----------------------------------------

     

     

    L'Homme et l'eau

    Seront de toujours

    De bienséance

     

     

    Sous la douche

     

    L'eau chaude coule sur les têtes et les corps.

    La vapeur enveloppe toute la salle de bain.

    Les quatre mains parcourent en gracieux accords,

    Réciproquement, la peau de l'une et de l'un.

     

    Puis, doucement, tour à tour, en suaves douceurs,

    Chacun fléchis affin d'embrasser l'exquis mamours

    D'où les hanches s'alanguissent de grands bonheurs.

     

    Reviennent ces caresses gracieuses qui courent

    Dessous la cascade en autant d'agaceur,

    En embrassements onctueux et glamour.

     

    Puis, peut-être acrobatique et impétueux,

    Leur essence s'unissent et s'épanouissent,

    Sous l'onde enchanteresse, plaisante, jouissent

    De cet affectueux amour voluptueux.

                                ------------------------------------------

     

     

     

    Celui qui se veut autre

          Que ce qu'il est

                Se perd

     

     

    Rêve insane d'Amérique

     

    Les États-Unis démontrèrent au monde,

    Lors d'élections en tricheries immondes

    Que cet empire n'est plus un règne parfait,

    Que sa démocratie n'est plus que contrefait.

     

    Que s'agitent en eux des forces contraires,

    Qu'y croît en outre un bel esprit belliqueux :

    De deux sont dos-à-dos ou plus en de mêmes airs,

    L'outre-Atlantique est rêve merdiqueux.

     

    Las, là, la fantasmagorie ricaine

    Ruine l'esprit d'hautes classes-moyennes

    Se croyant de ces intelligences

    Qui, en vrai, ne sont que de viles engeances.

     

    Et ils sont de ceux-là gouvernant le pays,

    Ladres et lâches,infime minorité,

    Menant la France, par eux, à l'état faillis,

    Détruisant ainsi tout ce qui fait société.

     

    Se conduisant dès lors comme des souillures

    Car échouant en tout, même du facile,

    Ils éructent de rage en petites raclures

    D'un peuple tant exaspéré qu'indocile.

     

    Lors, d'une jeunesse tellement angoissée

    De voir leur faculté perdre leurs facultés,

    Veulent s'en faire leur milice béate,

    Leur faisant croire la foule ingrate.

     

    Comme Mao d'antan en la Chine lointaine,

    Ils accuseront séant la population

    D'être coupable, pour eux, l'aubaine,

    De leur propres errances et malversations.

     

    Il n'est plus que temps de chasser ces infâmes,

    N'est plus de supporter leur odieuses laideurs,

    Et vous, les jeunes, innocents quidams,

    Désobéissez sur-le-champ à tous ces nauséabonds charmeurs.

                                                      -----------------------------------------

     

     

          Quand on a plus que patates

                  Pour toute votation,

    Nous ne sommes plus que cornichon

     

     

     

    Le vote des légumes

     

    Dans le potager d'une humble chaumière,

    Une élection s'y fait affin d'élire

    Quelle plante parmi celle à choisir

    Serait la plus belle, serait première.

     

    Toutes en sont à extrapoler en son mieux

    Celle qui, de ses fruits, aurait le plus beau bleu,

    Celle qui, lors, serait d'un bleuir si radieux.

     

    Elles furent deux premières, morbleu,

    Ni persil, ni radis, ni chou, si chatouilleux,

    Ne surent arbitrer ces produits fabuleux.

     

    Ce fut le bel azur d'un cucurbitacée,

    Un beau pied de courge qui en reçut ce prix

    Et un framboisier d'un cyan qui surprit.

    L'humus qu'ils obtinrent fut leur panacée.

                                                          ------------------------------------

     

     

     

  • Pause prudentielle et son substrat

    Je suis surpris de lire, dans mon ouvrage traitant des hyménoptères (à l'époque de son achat puis de sa lecture je n'avais pas l'esprit bien en place), qu'existent des bourdons parasites et celui-ci, qui me semble être Psithyrus (encore les russes) Rupestris me paraît en être, colonisant les nid des bourdons des pierres qui en viendront à nourrir leurs larves.

    Je suis content de cette photo où l'animal fut pris en plein vol, juste en dessous de cette belle inflorescence bicolore.

     

    Pause prudentielle:

     

    Divers éléments me suggèrent que je me dois d'être prudent dans mon expression ici même et que je me devrais ensuite, pour un temps que je ne saurais définir, cesser toute écriture.

     

    Je vous proposerais la lecture de cette réflexion des interarmées françaises, restant elle aussi prudente.

     

    Ce que je puis rajouter à ce court message tient en quelques formules que j'ai, pour certaines d'entre-elles, mainte fois répété:

     

    - Tout système politique triplement verrouillé, telle l'Union-Européenne, institutionnellement, idéologiquement et politiquement, ne peut évoluer et, dès lors, ne peut que s'acheminer vers son démembrement dès que la nécessité de le réformer, quelles qu'en soient les raisons, s'y fait montre, ce que nous conte les tribulations de l'URSS de la nomination de Monsieur Gorbatchev jusqu'en 1991.

     

    - les dernières élections US démontrent que deux forces impériales, aux frontières floutées, s'y confrontent: l'état-profond d'essence politique (le trumpisme) contre l'oligarchie ploutocratique, dont les GAFAM (le bidenisme), d'essence économique monétariste, les fraudes électives qui y ont eu lieu de la part du second ne pouvant qu'y avoir fait perdre autant de sa crédibilité que de son sentiment de toute puissance, tant politique, monétaire que militaire.

     

    Aux vues de ces insanes malversations, l'état-profond n'a plus d'autre choix que de détruire l'oligarchie US pour tenter de rétablir, ne serait-ce qu'un peu, de sa légitimité impériale et de son crédit politique à l'international, ce pays n'en en ayant plus aucune économiquement.

     

    Quand bien même une guerre civile ne s'y produirait pas, celui-ci deviendra bientôt ingouvernable, si ce n'est pas déjà le cas.

     

    - Valeur d'une monnaie : la valeur nominale d'une monnaie est proportionnelle à la richesse industrielle, minière, agricole et marchande, présente, potentiellement future et des réserves d'état faites de métaux précieux, or, argent, platine, du pays émetteur, au regard de la quantité qui en est conçue sous quelle que forme que ce soit.

     

    Ce qui ne veut qu'expliciter que plus une monnaie est surproduite pour une richesse donnée d'un pays, plus elle perd de sa valeur intrinsèque, ce qui se nomme de l'inflation.

     

    Il ne s'agit plus aujourd'hui d'un risque systémique bancaire, boursier ou d'endettement et de non remboursement (des particuliers, des industries, des acteurs spéculatifs, des banques, des états...) pesant sur les économies mondiales, comme il se le fait dire, mais plus sûrement de celui d'un arrêt, pour une période non déterminé, de la valorisation des monnaies les unes par rapport aux autres, donc, suivant, celui de tous les échanges marchands internationaux.

     

    - Depuis 2008 au moins, voire en 1999, a commencé une désindustrialisation mondiale (le nombre de gens pouvant acheter se réduisant) conduisant à une déflation, soit la perte de valeur des marchandises (baisse des coûts de production et donc des salaires plus mises au chômage, pour pouvoir les vendre), quelles qu'elles soient, compensée par l'inflation sus-montrée, elle aussi d'échelle internationale.

     

    Ce double phénomène s'accélérant continuellement, accélération accrue lors de la survenue du SRAS-COV2, c'est pourquoi nous fonçons vers une banqueroute  généralisée.

     

    - Le " Grand Reset" ne peut que nous démontrer l'inanité peine et entière de l'oligarchie ploutocratique mondialiste, surtout étasunienne, puisque l'industrie, les mines et l'agriculture, contrairement à la monnaie, étant la réalité économique des pays, ce qui n'est pas pris en compte par ces olibrius transatlantiques la composant, celle européenne ne comprenant pas qu'elle se fait spolier par elle.

     

    - De mes aphorismes: Lors d'une crise économique quand l'homme politique ou le journaliste incompétent en parle peu c'est que la situation n'est pas trop grave, quand il dit que la crise est derrière nous c'est que la situation est grave, quand il n'en fait pas mention c'est que la situation est très grave, mais si l'homme politique confirme l'existence de la crise c'est que la situation est désespérée.

     

    Je vous ai proposé-là un certain nombre de mes bases réflexives, vous en trouverez d'autres tout au long de mes billets, éparpillées tel un puzzle.

     

    Je ne peux connaître le choix de chacun, souvenez-vous, du-moins, que prendre un risque inutile est imbécile.

     

    Cela ne veut pas dire qu'il ne faudrait pas agir mais que toute action et son but se doivent d'être au mieux pensés et conçus en amont, individuellement et collectivement (je sais ce qui me manque...).

     

    Soyez et restez conscient de la nature des passions et des pulsions qui vous animent, que vos résolutions soient comprises dans leur nature.

     

    Ceci pour n'être pas les pions de puissances et de ces passions, quelles qu'elles puissent être, mais surtout de celles collectives, soyons des acteurs conscients de leurs actions et de leurs raisons d'être.

     

    Nous sommes devenus, si je puis le dire ainsi, les sujets, à l'insu de notre plein gré, d'un moment historique majeur pour notre espèce, Homo Sapiens Sapiens, il nous faut en être conscients.

     

    Quelle que puisse en être ses freins actuels, notre développement anthropologique et notre réel allant vers le véritable progrès se fera quoi qu'il en soit, en une bifurcation sociétale de première importance.

     

    La vie n'est en rien un long fleuve tranquille, qu'il s'agisse de notre existence individuelle, de celle du groupe formé de nos proche, de notre pays, comme pour tout le genre humain: les tribulations nous suivent tout au long de notre existence.

     

    Ne soyons dupe de rien ni de personne, et surtout, non pas de soi-même, ce qui veut dire que, comme l'affirmais Socrate: "Connais-toi toi-même et tu connaîtra l'univers et les Dieux", j'y rajouterais en notre époque moderne, dans leur nature réelle.

     

    Nous avons tous nos bons et mauvais cotés, nos forces et nos faiblesses, il en est pour qui la balance se porte plus d'un coté que de l'autre...

     

    Soyez prudent et déterminés en votre nature...

     

     

     

     

    THEURIC

     

    PS.: Quand je reprendrai ici l'écriture, cela voudra sûrement dire que cette bifurcation anthropologique sera en ses tous débuts.

  • Des services publics et ceux en réseaux.

    Je me disais qu'il me faudrait bien aborder la question des services publics en réseau.

    Ce thème d'actualité ne peut plus être du ressort idéologique parce que devenu, en raison de la complexification croissante de nos sociétés, d'essence socialement mécanique, c'est à dire d'une logique interne à nos sociétés en raison de cette complexification croissante.

    Il est, par exemple, impératif que tous, jusqu'aux plus pauvres, nous puissions voyager à un prix abordable, que ce soit par nos autoroutes, les métros, les bus, les tramways et la S.N.C.F., en raison de ce que nous ne pouvons plus vivre en autarcie, ne serait-ce que pour aller travailler et acheter de quoi manger.

    La question de l'existence des frontières, je l'analyserais plus tard, mais elle est, en réalité, centrale.

    Et celle-ci est inextricablement liée à notre double et bientôt triple domination, par l'Union-Européenne, d'essence totalitaire, de l'empire U.S., en situation avancée de dépérissement et de déclin, et d'une Allemagne, étoile montante de l'U.E., ne comprenant pas que si elle se débarrasse de l'euro elle détruira inéluctablement l'union.

    Ce phénomène a un nom: la mondialisation, qui serait le parangon de modernité.

    Or, cette globalisation, autre nom de la mondialisation, comprend deux processus diamétralement opposés:

    _Une mondialité intellectuelle, et donc également technique, technologique,P1010609.JPG scientifique, philosophique, religieuse, politique et j'en  passe..., à l'image de celle qui se construisit en Europe du moyen-âge jusqu'à la moitié du XX° siècle, qui fait qu'aujourd'hui un mathématicien chinois et français, par exemple, trouveront facilement plus à se raconter que chacun d'entre-eux d'avec l'un de leur concitoyen;

    _Une idéologie conservatrice mondialiste économico-politique, dite néolibérale, dont le socle doctrinal a plus de deux siècles d'âge, aux origines bourgeoises, soit d'une pensée marchande antérieur même à la période médiévale, voire antique, dont le vecteur majeur contemporain fut l'empire ultime qu'ont été les États-Unis-d'Amérique, faisant suite à ceux européens.

    Autant le premier est, en effet, progressiste dans le sens où cet échange continuel est l'un des multiples gages que les sociétés humaines vont dans le développement d'elles-mêmes.

    Autant le second, lui, est la tentative malheureuse d'un petit groupe de personnes, les oligarques et leurs serviteurs, de conserver et faire croitre un pouvoir, ici monétaire, qui, du fait de  leurs errements provenant de leur médiocrité structurelle, ne pourra que se perdre, quoi qu'ils décident et fassent.

    La privatisation, entre-autre, des services publics, dont ceux en réseaux, n'étant que l'une de ces multiples tentatives de conservation de ce pouvoir par une transformation accrue de la richesse réelle des nation en masse monétaire.

    Ce qui, indirectement, ne pourra qu'appauvrir encore plus les peuples et, donc, de détruire encore plus le tissu industriel mondial, cause véritable de la faillite généralisée en cours.

    P1010594.JPGCe que je veux montrer là c'est qu'en effet, et comme déjà dit ailleurs, tout se tient.

    Alors, quand bien même je vais vous montrer que privatiser un service public est une pure foutaise logique, politique et économique, cette idée absurde n'est que l'un des multiples exemples,  criant il est vrai, de l'incompétence et de l'inconséquence formelle de ceux qui ont la charge des nations et de leur économie.

    De leur médiocrité (ce que je ne cesserais de répéter jusqu'à plus soif).

     Par nature, une entreprise doit faire des bénéfices, il ne peut en être autrement, sinon c'est la faillite, d'autant plus que les grandes entreprises tendent à en verser une part de plus en plus importante aux acteurs boursiers.

    De plus, pour le bon fonctionnement de nos sociétés complexes, l'élimination et le retraitement des ordures, la fourniture en énergie, en eau, ainsi que de son évacuation devenue sale, la bonne marche des communications, rails, routes, courriers, télécommunications, un service de santé, une instruction publique, un système judiciaire, une police, une armée, une banque centrale et sa gestion du monétaire, et une administration efficace sont tous nécessaires pour le pays et l'ensemble de la population.

    Tous ont deux particularités, ils ne dégagent aucune plus-value et tendent à un coût d'usage important.P1010448.JPG

    La plus-value étant le gain dégagée par une entreprise quand, d'une matière brut, en sort le produit fini, ou, en-deça, un produit semi-fini, c'est elle qui génèrera le bénéfice de l'entreprise.

    Nous pouvons considérer la même chose en ce qui concerne les matières premières, agricole et minier, énergie comprise, qui, de la plante ou l'animal, tout autant de l'extraction, du pétrole ou du fer par exemple, ont tous besoin qu'un travail productif soit effectué, puis qu'à la mise vente une plus-value en soit dégagé.

    Entre la terre d'un coté, le blé, le poulet, le pétrole, le fer de l'autre, une plus-value ne peut que s'être développée.

    C'est cette plus-value qui, de proche en proche, permet, de la nation (le peuple) au pays, du pays à l'état, à ce que la société, vaille que vaille, fonctionne au mieux.

    C'est pourquoi l'appauvrissement de l'Occident provient essentiellement de la fuite des usines et fabriques de ses régions et de l'accaparement de cette plus-value par l'oligarchie financière (bien qu'il soit à remarquer que, dorénavant, ce sont toutes les plus-values de toutes les entreprises mondiales qui s'en voient spoliées par cette oligarchie mondialisée).

    Les quatre derniers de cette liste, police, armée, banque centrale et sa gestion du fait P1010484 - Copie.JPGmonétaire et administrations sont ou devraient ressortir du seul pouvoir régalien de tout état, si cela n'est pas, alors la société peut être considérée comme étant gravement viciée, sûrement par une domination oligarchique.

    Celui qui précède, le pouvoir judiciaire, fait parti, avec celui exécutif et législatif, de ces trois pouvoirs qui se devraient d'être indépendants les uns des autres, l'inverse montrerait une tendance totalitaire de l'état, ce qui, vous le remarquerez, est le cas en France.

    Un service public de santé efficace est d'une obligation majeur, toute faiblesse faciliterait l'apparition d'épidémie et de pandémie en raison de la fragilisation de la population.

    De plus et c'est le plus important, cet affaiblissement ne peut que mettre les sociétés modernes à un niveau infiniment plus bas que les sociétés dites premières, et même de celles antérieurs, des plus primitives, qui toutes soignent et soignaient, d'une manière ou d'une autre, le moindre de ses citoyens.

    Même les femelles chimpanzés apprennent à leur petits le petit nombre de traitement qu'elles connaissent, pour se débarrasser des vers intestinaux par exemple.

    C'est pourquoi un service de santé efficace dédié à tous les habitants du pays est une évidence morale archétypale que seuls des malades mentaux pourraient remettre en question, et là, mes mots sont pesés à leur juste dimension.

    Ou alors que l'on laisse les plus pauvres crever, mais en ce cas, foin d'hypocrisie, que cela soit affirmé et assumé: l'argent est plus important que la vie de nos semblables.

    Vous remarquerez que celui des États-Unis-d'Amérique est pour l'essentiel privé etP1010594.JPG que, de plus, il n'y existe pas ou peu de sécurité sociale mais des assurances santé privées, ce que nos maîtres voudraient voir à l’œuvre en France, ainsi, qu'une grande part des étasuniens ne peuvent être soignés ou se ruinent pour tenter d'être guéri n'y pose aucun cas de conscience.

    C'est en cela qu'il est possible d'affirmer que les États-Unis-d'Amérique est un pays anthropologiquement malade.

    Une instruction publique efficiente est, comme la précédente, une évidence à l'heur de nos sociétés devenues si complexes.

    Est définitivement fini, à de rares exceptions près, le temps ou les anciens apprenaient aux plus jeunes l'agriculture, la menuiserie ou l'art de la guerre..., et ne savoir que lire, écrire, compter n'est plus suffisant pour chacun d'entre-nous.

    Tous les porteurs de mémoire, l'informatique et internet, même si nous risquons fort de nous en retrouver en panne lorsque le système économique globalisé s'effondrera, mais aussi le livre et l'archivage papier, nous dégageant de devoir tout mémoriser, il est désormais de la plus absolue nécessité que tous aient une culture large et étendue.

    Tout autant que d'apprendre à penser par soi-même.

    D'où l'exigence à ce que l'instruction des enfants, des jeunes, mais aussi des adultes, soit placée hors de tout champ doctrinal, soit laïc dans son sens le plus large, ni régenté par une religion, ni par une idéologie politique, ce qu'est le néolibéralisme, ni par quoi que ce soit d'autre que la connaissance et le savoir.

    C'est pourquoi une éducation part trop spécialisée ne peut que générer de futurs P1010665 - Copie.JPGcrétins-savants ne sachant pas faire à terme, hors du domaine appris, de distinctions entre la réalité et l'irréalité.

    Instrumentaliser les jeunes pour les déterminer à un métier est une horreur sociétale, une erreur politique et le résumé des faiblesses conceptuelles de nos élites et édiles.

    Mais comment voulez-vous que des médiocres puissent concevoir quoi que ce soit hors de leur petit champ d'idéalisme béat?

    Les quatre restants, les services publics en réseau, sont: l'évacuation des déchets et leur traitement, la fourniture & l'évacuation de l'eau, l'énergie fournie par fil, électricité, ou tuyauterie, gaz, les communications, routier, rail, courrier et télécommunications sont devenus nécessaire à chacun d'entre-nous pour le bon   fonctionnement des pays (les transports maritimes et aériens pourraient peut-être être mis à part, cela demandant réflexions suivant les cas).

    Vous remarquerez que tous les services publics en réseaux ont la particularité, en plus de leur prix importants tant dans la mise en place de leur infrastructure que de leur entretien, de leur impossibilité d'en dégager la moindre plus-value puisqu'il ne saurait y avoir de produit fini en bout de chaîne, ces réseaux ne peuvent pouvoir être dédoublés, ne serait-ce qu'en raison de leurs coûts.

    Qui imaginerait ce doublement par une autre entreprise, du passage d'un autre camion poubelle dans les mêmes rues chaque semaine, d'une voie de chemin de fer, d'un même parcours de ligne de bus pour deux entreprises (les britanniques s'y sont essayé et s'y sont cassé les dents), d'une autoroute, de lignes hautes-tensions, des tuyauteries de gaz ou d'eau ou de fils téléphoniques, ceci sur les mêmes tracés, ce serait profondément absurde.P1010358.JPG

    Qui imaginerait cela, personne, cela va de soi.

    Alors, prenons l'exemple de la S.N.C.F. et voyons ce que produira inéluctablement sa mise en concurrence et sa privatisation, puis les raisons qui font que les chemins-de-fer britanniques sont aussi onéreux qu'inefficaces.

    Comme dit plus haut, une entreprise doit faire des bénéfices sinon elles fait faillite, ce qui aurait dû se produire pour les banques en 2008, cela montrait déjà, toutefois, la mainmise oligarchique sur le personnel politique occidental.

    Il y a deux types de privatisation possible pour un service public en réseau:

    1) soit la concession vendu à un opérateur pour un temps déterminé, ce qui, me semble-t-il, est ce qui a eu lieu en Grande-Bretagne, ce qui est aussi le cas de nos autoroutes;

    2) soit la possibilité pour plusieurs opérateurs d'utiliser le même réseau, ce qui est le fait, entre-autre, des chemins-de-fer en Union-Européenne et en France.

    Faisons donc cette analyse logique de ces choix qui s'offrent à ces opérateurs dans cette absurde concurrence libre et non faussée qu'à institué l'U.E. en notre beau pays.

    (  Comprenons bien les raisons d'être de la colonie qu'est l'Union-Européenne de l'empire U.S., consciemment et inconsciemment: il s'agit, pour lui de détruire les pays européens autant par leur haine de ces pays qui forcèrent leurs ancêtres de les quitter, quelle qu'en soient les causes, de l'intelligence que les européens surent P1010498.JPGdévelopper pendant des siècles, et aussi de pomper jusqu'à plus soif la moindre parcelle de richesse de cette région, ainsi que d'empêcher l'ouest eurasiatique de prendre leur place dominante.

    Et oui, l'empire U.S. est en même temps la résultante de la haine envers leur pays originels, de leur jalousie maladive collective, d'un immense et violent complexe d'infériorité, d'une sordide avidité à la cupidité et du sentiment réaliste de la puissance véritable des européens, si tant est que ces derniers puissent se débarrasser de leur rêveries américanolâtres sous toutes leurs formes.    )

    Dans la possibilité numéro 2), pour faire  son bénéfice, dans une situation, donc, où les opérateurs passent par le même réseau, l'entreprise acquéreur a plusieurs choix:

    -Soit augmenter les prix, mais la concurrence l'en empêche, sauf s'il y a accord entre les différents acteurs, phénomène ancien ayant commencé dès les années trente aux U.S.A. pour la vente des ampoules à incandescence, ce qui génère déjà des effets pervers;

    -Soit tout faire pour réduire le coût de réparation des infrastructures, c'est pourquoi l'état a, depuis quelque temps, séparé l'entretien des voies et gares du matériel roulant, mais pensez-vous vraiment que leurs propriétaires ne feront pas tout pour verser le moins possible d'argent à la société chargée de cet entretien, quitte, pour cela, à faire quelques trafiques d'influences?

    Ne soyons, là encore, pas naïfs, déjà que nombre de hauts fonctionnaires ne cessent de passer des administrations au banques et vice et versa, pourquoi pas la même chose provenant des services publiques, si ça paye bien;

    -Soit faire des économies à tous les échelons de l'entreprise: salaire et entretien des machines et des wagons pour l'essentiel.P1010579 - Copie.JPG

    -Soit n'avoir à charge que les lignes les plus rentables, vous remarquerez à ce propos que les pouvoirs publiques ont déjà pris grand soin d'écarter celles ne fournissant que peu de voyageur.

    Ainsi, voyez-vous, nous nous retrouverons sous peu, si le système économique globalisé n'explose pas avant (ce qui remettrait tous les compteurs à zéro), au-devant de grands dangers, ne serait-ce d'accidents ferroviaires mortels et du délaissement d'une large part du territoire du pays.

    Ce dont la chapelle bruxelloise et sa camarilla, l'oligarchie ubuesque et dangereuses et leurs petites mains gouvernementales et journalistique, se foutent comme de l'an quarante, tant ils s'arcboutent sur leurs absurdes idéologies: leur fortune, leur équilibre psychologique et leur survie sociale étant à ce prix.

    Les britanniques, eux, qui commencèrent leur révolution néolibérale avant nous-autres, choisirent la voie, si je puis dire, de concessions vendues séparées en plusieurs tronçons.

    Ce qui fut choisi en France pour nos autoroutes.

    Là encore, les effets pervers tournent toujours autour des deux point d'achoppement que peuvent générer la privatisation de services publics en réseaux, soient le bénéfice nécessaire aux entreprises et, lié, l'entretien de ces réseaux:

    -Cette entreprise peut considérer avec raison qu'elle a un temps déterminé pour faire du profit, auquel cas elle

  • Le retour du fait politique.

    Voici venir le temps ou la politique reprend ses droits.

    Ne la croyez pas bardée de certitudes, elle ne se montre ainsi qu'aux benêts, c'est justement en cela que se prouve sa puissance.

    Elle qui fut, pendant près d'un siècle, voire doublement plus, abaissée et meurtrie d'avoir été remplacée par des idéologies ne plaçant que l'économie comme seul vecteur de convictions, reprend une place qui ne lui aurait jamais dû être ôtée: celle de la gouvernance.

    Ô certes, nous voyons, ici et ailleurs, se débattre tous ces idéologistes, ces songe-creux tenter désespérément de sauver une doctrine moribonde d'un monde qui désormais se refuse à eux: la ruine universelle est à notre porte, pour notre plus grand bien, pour leur plus absolu malheur.

    Il est sot de penser que ces misères économique ne concerne que la France, ou l'Allemagne, ou l'Europe et sa pauvre union, non, cette misère s'étend à la Terre entière, s'insinue jusqu'au moindre interstice de la plus infime richesse perdue dans le plus petit des ignorés recoins.

    Comme un monstre blessé à mort, un sanglier sentant sa fin prochaine, un lion d'avant son agonie chargeant une dernière fois ses chasseurs...

    Comme cette étoile titanesque tentant de survivre en brulant en son sein un carbone qui ne fera plus que fer avant qu'elle ne se fasse supernova en une implosion, explosion gargantuesque, en illumination des cieux d'une déflagration dantesque, éclairant de sa mort jusqu'aux confins de l'univers, n'en restant plus, ensuite, que les scories, les restes fumants d'une grosse boule faite de neutrons tournant en toupie folle...

    Comme tout cela, les néolibéraux, les petits et les grands, s'enflent d'aigreur et de violence autant que s'enflent ces monnaies produites ne valant plus pipette d'en avoir tant fait paraître, autant que s'enfle le nombre de ces gens entrant au chômage pareil qu'hier leurs aïeux entraient dans les tranchées pour se faire massacrer sur les sols boueux de cadavres de la Marne, de la Somme, de Verdun.

    Nos pauvres avares, pauvres fortunés, nos pauvres rapiats, pauvres grippes-sous, ces pauvres fesse-mathieu en sont, de ne demeurer si peu de temps encore maître des monnaies, maître des fortunes, maître de l'humanité, en sont à vouloir nous confisquer, à tous nous confisquer le pain et le toit, ce pain et ce toit de chacun des humains, sans comprendre que chaque dollar, chaque euro, chaque yen, chaque livre sterling, chaque billet produit, chaque zéro de plus sur un écran est une pelletée de plus du creusement du trou de leur tombe, que chaque usine fermée forge leur cercueil.

    Ils luttent à mort contre la simple réalité de leur prochaine ruine, c'est elle qui déjà les tue, les détruit, les submerge, c'est contre elle qu'ils ruent, contre elle qu'ils se révoltent, aidés en cela par toutes ces petites mains ne voulant que donner le saint baisé à la bague d'abondante gloutonnerie que porte ces nababs, en pâle imitation des catholiques embrassant pieusement l'anneau papal du pêcheur.

    Lutte entre l'apparence et le concret, entre le m'a-tu-vu et l'existant, entre le paraître et l'être, l'Être, entre la beauté de façade et la simple élégance, entre la simpliste évidence et la complexe complexité, entre l'illusoire et le réel, entre l'ostentatoire infamie de la béance narcissique d'un ego boursoufflé et la discrète splendeur de l'intime lumineux.

    Lutte, surtout, entre l'individu toujours et à jamais humain, si humain, du pire au meilleurs, et le rêve fou, délirant, aliéné des adeptes et apôtres de ce néolibéralisme des marchés et fonds de tous types rêvant de rendre chaque semblable semblable à son semblable, clones universels n'achetant jusqu'à plus soif que du tout et n'importe quoi, du moment qu'il achète en pauvre marionnette et robot.

    Lutte enfin de chacun contre chacun en une concurrence devenue rance à force de rendre ennemi le moindre des voisins, tous partagés entre pigeons, loups et hyènes, en un jeu fait de mensonges et de triches ou il ne s'agit pas de vendre de la qualité à son juste prix mais de faire croire le médiocre de qualité pour le vendre au-delà du plus cher, de ne plus vendre que du médiocre à force de ne vouloir fabriquer qu'aux prix les plus bas, les plus vils.

    Cette lutte paraissant prendre fin dans cet espace semblant ouvert d'une planète sans frontière ou une économie reine s’annihile, en vrai, du mirage de tous ses simulacres et affole de son affaiblissement, de sa prochaine chute, tous les prétendants à sa dote ultime et ridicule: le commandement du monde par la richesse absolue et suprême.

    Ce monde sans temps, sans passé, sans présent, sans futur, aux commémorations vides de sens, où seul l'achat, la vente et le P.I.B. font réels débats, gouverné d'une ploutocratie mondiale, invisible et voilé, alliée, d'un bord, d'une myriade de commerciaux besogneux et soumis, de l'autre, de gouvernances complices, élues ou pas, ce monde, dis-je, se brise sous les coups vigoureux de leur propres manquements, leur propres forfaitures.

    Et c'est de cette brisure que nous entrons péniblement en politique, nous, les peuples, hagards d'avoir trop bien, hier, écouté l'utopie marchéiste, épousé leur doxa, adoré leurs délires.

    Peuples, maintenant, ne sachant plus vraiment du dedans, du dehors, où se trouve leur identité, où se trouve les frontières du corps et de la terre, du sexe et de la peau, du langage et du lignage.

    Peuples égarés de ne plus savoir que l'intérêt ne concerne pas que celui de l'argent, que rien, hormis la ruine universelle, ne peu plus les protéger des délires funestes de nos gouvernances perdues en Ukraine, étouffées de chômage, elles qui, sous peu, seront fiévreuses et épouvantées de n'avoir rien compris de la marche du monde.

    Peuples blessés de ne plus savoir être, de ne plus savoir qui être, de ne plus savoir sur quoi fonder le Je et le Nous faisant le Tu, le Vous, le Il et le elle, le Ils et le elles, ne leur laissant plus qu'un "on" diluant toutes âmes.

    Peuples vidés de triviales images et divertissements imbéciles et frivoles polluant les esprits, les cœurs et les corps en histoires insensées et arts stériles, déversées en tombereaux par des canaux abjects de sottises dont peu ont la maîtrise sauf ces cancres, maîtres des monnaies, des crédits et des bourses.

    Peuples effilochés par la disparition des barrières douanières, frontières formulant le Soi et le Nous pour que chacun se comprenne en Soi, en Nous et comprenne l'Autre en semblable différent.

    Parce que seule la limite, toujours danger du rejet des différences ou de l'épanchement agressif, libèrent et protège des carcans du vide, de l'égarement dans l'infinité, de l'impossibilité du choix, du superficiel, de la puérilité du caprice et des simagrées des gamineries du temps.

    Seule la limite permet l'imagination, l'invention et le plaisir de la découverte du monde.

    Permet l'intelligence!

    Parce que politique est frontière et identité et que les guerres ne viennent que de la perte de l'une, de l'autre ou des deux, le reste n'étant que de les justifier.

    C'est ainsi que se fait le retour du fait politique: en disant le Je et le Nous!

    Les frontières du Corps et de la Peau, de l'identité de ses paires en la reconnaissance de Soi, en la limite de toute chose, du sol, des pouvoirs, de ses nobles droits et devoirs.

    Frontière  du citoyen sachant qu'il est le signe de lui même et de l'humanité parce que se sachant semblable et différent.

    Frontières, surtout, qui doivent se fermer au langage en charabia d'un anglais baragouiné en un phantasme vain de reconnaissances vagues d'une déplorable liturgie au dieu dollar et à ses saints dirigeants d'une maison blanche déjà avachie d'être dérisoire, d'un Wall Street qui n'est après tout que la Rue du Mur, de la rue murée, rue que personne ne peut dépasser, contre quoi chacun ne peut que se fracasser, s'y détruire d'avoir roulé trop vite, pris par l'ivresse des vapeurs de fortunes.

    Le français, en France, est notre frontière de langue!

    Sauf à être en une fédération dont la Suisse est l'exemple.

    Et non pas cette déplorable Union-Européenne dont les mérites sont autant vantés qu'elle est en vérité minable, dangereuse, certes, mais minable: n'étant que parodie de démocratie, de sagesse, de rigueur, de probité et de clairvoyance, que promesses de richesse qu'elle n'a jamais tenu d'en être totalement incapable, elle est cette incapacité, absolue incapacité, elle est parangon de cette suffisance faisant l'insuffisance, elle est infirmité institutionnelle et idéologique.

    Elle n'est rien et notre pays fait parti de ce néant.

    Alors, en une étrange aventure, ce néant se fend, se fissure, en vient à disparaître, néant retournant au néant de n'avoir été trop longtemps cru qu'en dogme illusoire.

    Ensuite la politique recouvrera ses œuvres et la société sa place.

    Elles n'est ni bonne ni mauvaise, elle est juste ce qu'elle est, juste serons-nous moins naïf après que nous ayons appris à penser par nous-mêmes.

    Ainsi ferons-nous de la politique.

     

     

    THEURIC

     

     

  • États-Unis-d'Amérique, une fin impériale.

    Je viens de découvrir ce site par le renvoi d'un commentateur de "chronique du grand jeu" à ce texte où "Poutine annonce une confrontation globale avec les Etats-Unis".

    Certes, celui-ci est pro-russe, pourquoi n'y en aurait-il pas puisque la glose euro-atlantiste se déverse chaque jour partout et tout le temps en France (ça me fais me souvenir de quand, enfant, je voyais mon père, communiste, allumer de poste de radio à lampe pour écouter radio-Moscou sur les ondes courtes).

    Il est toutefois de constater combien il est regrettable qu'en notre beau pays il faille, pour trouver à s'informer, de chercher des traductions provenant de Russie, d'ailleurs, voire même des Etasunis.

    Nos oligarques auraient-ils tant peur des français qu'ils entourent à tel point les médiats d'un si puissant halo de censure et de propagande?

    Ce billet, que je vous conseillerais de lire, est des plus intéressant.P1020011.JPG

    Si Mr. Poutine se permet d'être agressif face aux U.S.A. c'est qu'il sait la situation réelle de cette nation, qui ne peut qu'être que grandement catastrophique, ne pouvant plus avoir les capacités de sa politique.

    Ou dit autrement,  Tonton Sam est dans un état de faiblesse tel que tout ce qu'il peut faire ce sont des gesticulations inutiles.

    Soit dit en passant, si les eurolâtres lui obéissent encore ce n'est pas tant parce qu'ils l'aiment ou le craignent, mais juste qu'ils savent très bien que sa disparition signera inéluctablement la leur, c'est aussi simple que ça.

    C'est pourquoi la bande à Macron lui vend à tout vent la moindre de nos richesses industrielles et que les fameuses économies ne sont faites que pour soutenir notre vilain oncle en envoyant tout ce fric à Wall Street et non pas pour composer une armée européenne dont les langues sont pléthores et cadres plutôt rares.

    En me référant à mon hypothèse d'un effondrement des U.S.A. suivant, en un miroir inversé, celui de l'U.R.S.S. en 1991, cette agressivité à l'endroit de cet empire ultime, que certains disent avec raison hégémonique, annonce sa fin prochaine: Gorbatchev recherchait un accord de paix avec Reagan quand, aujourd'hui, Trump ne peut qu'être que dans un rapport de force avec Poutine, son oligarchie ne lui en laissant P1020124.JPGpas le choix.

    Il serait dès lors logique de penser que, si la-dite hypothèse se montre être une théorie, ce seront les États-Unis-d'Amérique qui disparaîtrons les premiers et qu'ensuite l'Union-européenne se délitera, à l'inverse de ce que fut la dissolution du pacte de Varsovie précédant l'abrogation de l'Union-Soviétique.

    De même, autant ce fut le président soviétique qui voulait que son union se débarrassât des pays dits de l'est, ne pouvant plus les soutenir financièrement, autant le président U.S. veut conserver l'U .E. en corsetant l'Allemagne (d'où les nominations d'allemands pro-U.S. à la direction économique et politique de l'union)  le temps pour lui de piller le peu de richesse y subsistant encore.

    (   Ce que j'écris là étant en désaccord d'avec ce que j'affirmais précédemment, mes approches évoluant au fur et à mesure des informations qui me parviennent.   )

    Si nous poursuivons cette réflexion dans sa logique, autant ce fut l'anéantissement des liens politiques et économiques entre les nations du  bloc de l'est qui fit s'évanouir leurs accords militaires, autant il est à présager que ce sera l'effacement de l'O.T.A.N. qui mènera à celui de l'U.E ou, du-moins, qui la précèdera.

    De la même manière, s'il fut déclaré la fin de l'U.R.S.S. lors de la prise de pouvoir de Mr. Eltsine, nous ne ferons qu'observer l'absence de fait des U.S.A. sans queP1020504.JPG quiconque n'en fasse, sur le moment, mentions.

    Cela sera précédé soit du début d'une guerre civile, de l'effondrement de Wall Street ou d'un coup d'état, le premier scenario me paraissant le plus logique.

    Je pense que ce sera le silence politique provenant d'outre-Atlantique et d'un affolement visible des équipes gouvernementales européennes qui sera, pour nous, le signe infaillible que ce délitement des E.U.A. aura atteint le niveau où sa disparition ne sera plus qu'une question de temps, ce qui est déjà vrai par ailleurs mais n'est pas encore en voie d'accomplissement.

    Mais cela ne reste qu'un ensemble hypothétique puisqu'il me faudrait infiniment plus d'informations que le peu que j'ai à ma disposition pour pouvoir concevoir un scenario logique quand au destin des U.S.A. et dès lors de l'U.E..

    Toutefois il serait logique de penser que, comme dans le bloc de l'est défunt, désormais le mensonge à tous les étages soit de mise, et qu'autant le gouvernement et les médiats nous mentent effrontément, autant les informations qui leur parviennent sont au mieux restreintes, au pire totalement fausses.

    Ainsi est-il possible d'imaginer que les banques cachent (pour une large?)  partie leurs faiblesses tout en faisant pression pour que ne soit pas révélé l'état déjà préoccupant de ce qu'elles en annoncent.

    P1000853.JPGOu que les services de renseignement intérieur ne transmettent pas l'entièreté de l'état d'esprit de la population, voire le tait.

    La raison en est simple à comprendre, si un chef de service veut que le rapport fourni par ses agents lui soit favorable, il amoindrira l'étendue de la colère populaire, rapport lui-même atténué par son supérieur et que, de hiérarchie en hiérarchie, les renseignements en soient tellement transformés que cela n'ait plus rien à voir avec la réalité.

    D'où les surprises de tous lors de l'apparition des gilettistes.

    Ce phénomène ne pouvant que, plus ou moins, s'être étendu à l'ensemble de l'Union-Européenne, mais, surtout, de ne fournir à l'administration de  notre union chérie que des indications absolument infondées puisque le plus haut de cette hiérarchie... c'est l'U.E. et que les gouvernements des états n'y agissent plus que comme de petits chefs de service.

    Désormais, tout comme il doit en être aux U.S.A., plus aucun décideur ne sait ce qu'il se passe réellement dans les pays de l'U.E., même les statistiques doivent y être faux ou tus, et il n'est que les réactions populaires pour en faire paraître la vrai substance.

    Le vidéonet sera bientôt censuré, ce qui cachera d'autant plus la réelle réactivité de la population.

    Les U.S.A. et l'U .E. sont toutes deux intimement liées comme il en fut de l'Union-P1020186.JPGSoviétique et de ses satellites, pareil que dans les années 80 du coté de l'est, l'ouest d'aujourd'hui se désagrège sous les coups de butoir des médiocres qui nous gouvernent, et le dernier des réformateurs impériaux, Gorbatchev il y a quarante ans en U.R.S.S., Trump aux U.S.A. présentement, héritent d'une situation plus que misérable, funeste.

    Le premier cherchait à faire redémarrer une économie exsangue et à ce que cessât la course aux armements, il à échoué, le second tente de réindustrialiser son pays à tous prix, même une guerre de grande ampleur, ce que pronostique certains, ne peut améliorer sa situation et il le sait, pour lui cela ne ferait qu'empirer la conjoncture de son pays.

    Il échouera aussi inéluctablement.

    Autant pour le premier ça s'était fini dans une relative paix, autant pour le second il est à craindre qu'un conflit intérieur en souligne la fin.

    S'il m'était donné de passer ici un conseil pour tous les français expatriés outre-atlantique, rentrez chez-vous, quand bien même ici ce sera dure, là-bas ça n'en sera que plus sévère!

     

     

    P1010594.JPGTHEURIC

  • Verre d'eau, pensée, inconscient et identification.

    Choses promises, choses dues, comme il se disait d'antan: je me présente à vous avec mon verre d'eau.

    "A quoi se rapporte-t-il?" Me demanderiez-vous.

    De montrer les limites de toutes choses dans un sens comme dans l'autre.

    Prenez un verre d'eau et, ayant soif portez-le à vos lèvres, vous pouvez boire en toute quiétude la quantité qui vous agrée.

    Maintenant prenez la même quantité d'eau et versez la au sol, je dirais qu'ensuite il vous sera, ainsi, devenu infiniment plus ardu d'étancher une même soif.

    La psyché est comme l'eau, elle a besoin d'un contenant pour que notre esprit puisse se bâtir, d'une structure qui, comme le verre  nous permettant de boire de l'eau, fait que l'intelligence se construise en toute grâce.

    Ce contenant à deux noms complémentaires:P1030589.JPG

    -l'éducation qui conduit, normalement, à offrir les premières bases à l'enfant puis à l'adolescent devenu d'une vie sociale la mieux adaptée possible, par les jalons qui lui sont posés de ce qui est correcte et incorrecte de faire;

    -l'instruction qui se devrait de permettre à ces jeunes de développer leurs capacités physique, intellectuelles et morales pour qu'ils deviennent des homme et des femmes instruits, autonomes et indépendants ainsi que des citoyens de raison, c'est à dire  aptes à comprendre le monde, d'y agir au mieux et à faire des choix.

    Mais aussi de ce qu'ils puissent faire œuvre d'invention et d'innovation en sachant s'écarter suffisamment des interdits du surmoi mis en place par l'éducation, ceci tout en en ayant conscience.

    Le tout en un juste milieu constructif.

    Or si, après un certain âge, le conscient est affaibli en raison de la dégradation ou la non mise en place de cet ensemble, c'est l'inconscient, avec toutes ses complexes composantes, qui  prendra, si je puis dire, les commandes décisionnelles de la personne, sans que le filtre, il est vrai imprécis, de la pensée consciente ne puisse venir à en ordonnancer les décisions et actions.

    P1030608.JPGAvec, lié, une difficulté, au pire absolue, d'extrapoler les conséquences futures des-dites décisions et actions.

    Mais ce verre c'est aussi la frontière qui nous permet de porter de l'eau à notre bouche, le-dit verre étant la représentation de la limite entre le dedans et le dehors, de ce contenant que l'on peut remplir à loisir et vider selon nos besoins.

    S'il est scellé l'eau ne pourra pas tarir notre pépie, si elle est vidé par terre notre boisson ne servira non plus à rien, nous ne pourront plus que de laper ce que nous pouvons, comme un chien pourrait le faire.

    Il en est de même d'un pays et de ses frontières trop refermées, celui-ci conserve son peuple en l'état  en en ralentissant grandement son évolution naturelle, ce qui était le cas dans les pays de l'est à l'époque, si elles sont ouvertes en béance, comme il en est aujourd'hui, les forces vives de la nation se répandent comme le jus de fruit sur le parquet, ne nous restant plus que des  gouttelettes que nous lécherions à  quatre pattes, si nous nous laissions aller à nous rabaisser ainsi qu'un animal.

    Ainsi la France a-t-elle vu se répandre partout dans le monde ce qui faisait d'antan son économie, les  usines et fabriques, et disparaître une à une ses mines et ses terre agricole redevenues forêts, disparaissant de chez-nous comme de l'eau s’épandant sur le sable (saviez-vous qu'il y a encore 3 décennies environ notre pays était encore le producteur quasi exclusif des terres rares?)

    Ceci aggravé par une éducation et une instruction limitées générant, en France notamment, un ensauvagement de la population, ceci touchant toutes les strates de P1030674.JPGla société.

    Phénomène pour l'instant bien moins important en province.

    ( Je l'ai dit, si nos gouvernants actuels, politiques et économiques, continuent de vouloir l'accroitre qu'ils ne soient pas surpris de se retrouver un jour la tête au bout d'une pique. )

    Réduire la pensée en abêtissant l'école et la langue et dès lors le langage de la population, d'autant plus des moins âgés, réduit d'autant la pensée, c'est pourquoi nombre de jeunes n'arrivent même plus à exprimer une idée un tant soit peu complexe, comme l'explique très bien Madame Nogaret dans cette vidéo.

    Comme j'ai pu l'exprimer en Décembre 2017 dans un billet au titre de: "De la nature de la pensée", il y a un lien logique entre le niveau d'intelligence, la vigueur de la conscience et de la pensée, la capacité de se projeter dans le temps en concevant les effets futurs des décisions et actions de chacun, mais aussi de la puissance de notre raison et d'un surmoi harmonieux et bien proportionné pouvant se façonner au fil de la vie.

    Cela se  constitue grâce à une éducation, dont la première provient de la mère, suivit de celle du père, et d'une instruction, donc d'une école bien faite.

    Ce qui n'est pas le cas aujourd'hui et dont la cause première se trouve dans les P1030502.JPGhautes instances du pays ayant perdu la part la plus importante et essentielle de leurs facultés, ceci par identification à l'empire US, il n'est qu'à voir ce qu'est Mr. Macron, qui l'a choisi et qui a voté pour lui (j'y reviendrai à la fin de ce libelle).

    Ceux qui, par leur famille, reçurent une éducation convenable peuvent palier à leurs manques d'instruction le temps passant, mais ceux qui, pour une cause quelconque, n'en reçurent pas une telle bien édifiée, ceci lié à cette instruction défectueuse (je ne jette pas la pierre aux instituteurs et aux professeurs qui font ce qu'ils peuvent avec ce qui leur est institué comme formation), se retrouvent à ne plus avoir une pensée solide et efficiente et à ce que leurs pulsions ne soient que peu, voire pas soumises par le surmoi.

    De n'avoir pas été structurée correctement, leur intelligence s'est répandue au sol et n'est, de ce fait, pas en capacité de mettre en place une pensée féconde, ne restant plus que cet ensauvagement mortifère.

    Mais en quoi l'identification multidécennal à l'empire d'une partie importante de la haute hiérarchie  sociale aurait-il mené à cette insane situation?

    Parce que la plupart de la haute hiérarchie française a de tout temps considéré, à tort ou à raison, que les étasuniens sont des imbéciles et que son identification, en tant que colonisé, a fait que, pour pouvoir ressembler aux étasuniens, il lui fallaitP1030571.JPG elle-même atteindre un niveau de  sottise égale, voire supérieur, à son maître.

    Ceci accentué, bien entendu, par le déversement sans limite d'un art provenant de la sphère impériale en décadence progressive ( j'adore le jazz, surtout celui des années 40 à 70), art qui du-moins, de lui-seul, se disant comme tel, dont l'abêtissement  est devenu égal à l'abrutissement, et à une idéologie nombriliste et infantilisante tendant autant à l'égoïsme qu'à la méchante veulerie.

    Ainsi que de leur perte d'identité provenant de leur indétermination d'Être telle que je l'ai étudié par trois fois, en cet endroit, puis ici et , montrant que les français, surtout en ce plus haut hiérarchique, ne savent plus qui ils sont, s'ils sont français, allemands, étasuniens, unionistes européens, savent-ils même s'ils sont humains, s'ils sont quelque chose ou rien?

    Cette insigne faiblesse mentale constitutive de notre domination impériale outre-atlantique, se répandant dans la population de haut en bas, ne pouvant que faire remonter les archétypes les plus anciens, dont celui du mythe de destruction du monde suivit de son rétablissement qui a de nom moderne de réchauffement climatique anthropogénique.

    P1030598.JPGMais pour que cette élite mentalement décatie, l'oligarchie, puisse entrainer à sa suite l'ensemble du peuple, encore faut-il que les instituteurs et professeurs soient en tous points pervertis par cette perte de nos potentiels réflexifs, d'où cette baisse continuelle de la-leur formation au professorat, et pour cela ne leur reste plus qu'à choisir les plus sots et obéissants de nos prochains élus pour qu'ils formulassent les lois éducatives ad oc.

    Or, pour que cela se fasse il leur fallait contrôler les médiats et chasser les journalistes les plus intelligents et indépendants d'esprit, écoutez donc le langage de ceux officiants, ainsi que de la majorité du personnel politique du REM, il est affligeant en tous points.

    C'est ainsi que les lois élaborées depuis des décennies par nos gouvernements soient proviennent de l'UE, ce qui ne leur nécessite aucune réflexion, hormis de faire passer la pilule amer à la population tout en lui en cachant l'origine, soient sont sujette à des effets pervers qu'ils sont dans l'impossibilité de conceptualiser, l'incendie de Rouen de la société Lubrizol serait, se dit-il, de ce cas là.

    C'est pourquoi deux journalistes météos remettant en question ce fameux réchauffement furent virés de France-télévision et rembauchés par des chaînes privées, à la conditions sine qua non qu'ils taisent leurs compréhensibles doutes sur ce sujet.P1030652.JPG

    Pour ces médiocres, savoir réfléchir c'est déjà leur être ennemi.

    En fait, ce que nous observons depuis de mêmes décennies, c'est que nos-dites élites, pour pouvoir être dominés par les oligarques des États-Unis-d'Amérique qu'ils considéraient comme étant autant le summum de la modernité que comme les plus vils des crétins d'une grande avarice.

    Et parce qu'elles perdait leur détermination d'Être, se devaient de devenir à l'image de leurs maîtres tels qu'ils les concevaient, soit des imbéciles et des crétins se pâmant pour ce qui pourrait ressembler à du modernisme, d'où leur amour immodéré pour la langue anglo-américaine qu'ils balbutient et de leur même avarice.

    Dans leur fantasme, il veulent être américains et que la France devienne le 51ème état des USA.

    Mais ils ne pouvaient concevoir que le peuple qu'elles dominent puisse les surpasser, elles n'ont donc eu que de cesse que de vouloir baisser le  niveau scolaire des enfants, cela en engageant, comme futurs élus et cadres des institutions du pays, que des gens sous leur domination et, donc, à leur image.

    P1030534.JPGAujourd'hui nous en sommes là et il est à craindre que la disparition des USA, de l'UE et la faillite économique généralisée ne les conduise à en être gravement perturbés, pouvant aller, pour certains, à de graves crises psychotiques.

    Il n'est de voir l'affolement, pour ne pas dire la panique, de par la simple existence d'un président US s'appelant Donald Trump, cela déjà palpable dans cette vidéo en ce simple exemple.

    Ce n'est pas tant leur disparition qui posera problème que de remplacer toutes ces personnes qui, pour ces raisons, ne sont pas à leur place, et aussi de reformer une institution de l'instruction publique grandement mise à mal.

    C'est pourquoi aussi depuis tant de temps j'annonce le retour à la religion séculière de notre nation, le catholicisme, ainsi que du patriotisme qui, pour certains, prendra la forme d'un nationalisme échevelé.

    Il n'est pas étonnant ainsi que ce soit la Marseillaise qui, chez les gilettistes, soit la chanson de ralliement, eux qui surprirent nos chroniqueurs et autres relatifs spécialistes médiatiques d'être intelligents.

    Alors, vers quoi allons-nous pour un temps?

    Vers quelque chose comme çà en

  • Ma philosophie et la chute finale.

    Chers lecteurs, bonjour.

    Je n'arrive pas à placer la grande photo d'entrée de page, excusez-m'en, Hautetfort me faisant une petite taquinerie, peut-être est-ce parce que cela lui fait trop de mémoire ou qu'un bug ferait des siennes...

    Ça y est, cela fonctionne.

    Question avec réponse en fin de page: quel est le plus petit nombre?

     

    Je suis, comme je l'ai déjà écrit, un penseur brut dans le sens où je ne me suis jamais véritablement instruit de la philosophie, piochant, par ci par là, autant des réflexions des anciens, de celles des modernes, des scientifiques, des psychologues, des psychanalystes, des essayistes..., ainsi que de tout ce que j'ai pu rencontré tout au long de mon existence.

    Ainsi le principe de parcimonie demandant à ce qu'une théorie scientifique doit être aussi simple que possible en prenant en compte l'ensemble des observations faite sur le sujet donné peut, également, être employée pour étudier bien d'autres matières, telles que la psychologie et la politique notamment...

    Ma philosophie est simple à définir, plus nous sommes conscient tant de nous-même que du monde qui nous entoure, mieux nous nous acceptons tel qu'en nous-même, mieux nous ressentons notre physique et le comprenons, le mieux nous nous adaptons aux situations et, dès lors, mieux nous sommes et y sommes apaisés et savons réagir face aux vicissitudes de la vie.P1040895.JPG

    A cela s'ajoutant le fait que notre pensée, en tant que fonction psychique, ne peut que se développer au meilleurs possible et, ainsi, conscient et inconscient remplissent leur  rôle d'échange continuel sans interférer de l'un sur l'autre en tous sens, ce qui est toujours dommageable.

    D'où l'un des sens de mon aphorisme: "Qui observe transforme!"

    En son centre j'y place des notions telles que l'identité individuelle comme collective, d'une grande modernité et bien plus centrale aujourd'hui qu'hier.

    Puis celle de frustration qui y est liée dans le sens où, si  l'on nie la nature de chacun, si  on ne la reconnaît pas dans ses dispositions, si elle marque son manque (bien que ne pouvant qu'être toujours présente mais en ce cas refoulée ), qu'elle soit sexuée, nationale, professionnelle, de discernement et d'intelligence ou de toute autre constitution, la personne ne pourra que s'égarer et se morfondre dans la sottise, le vice infantile,  un désaccouplement d'avec la réalité, une temporalité réduite à un présent restreint et à des angoisses terrifiantes non reconnues.

    La complexité de notre esprit venant de ce que tout ce que nous sommes dans le monde commence d'abord par soi, mais que tout ce qui nous détermine en premier lieu se fait par le regard des autres et, au premier chef, de celui de notre mère et de notre famille.

    Être déterminé relève donc autant de la dynamique de nos décisions et actions que de P1040902.JPGnotre assurance en notre identité: naissance, qui nous sommes, connaissance, ce que nous savons en expérience et en apprentissage, provenant de nos faits et d’autrui, des écoutes, lectures, gestes..., ainsi que reconnaissance, ce que nous sommes en tant qu'individu individuel qui fait société, cela étant pour nous un tout en un lien indéfectible de nos actions et de notre état d'être.

    N'oublions pas non plus notre corps que nous nous devons d'apprendre à ressentir au mieux.

    Notre psyché profonde est, à mon sens, triple, l'inconscient collectif qui est la nature de notre espèce depuis l'origine de la vie, voire de l'univers, la présence de notre instinct enfoui profondément, l'inconscient social qui est notre héritage multi-millénaire de ce qui nous fait société, tout autant notre personnalité originelle, celle dont nous sommes doté au moment de notre mise au monde, tempérée par nos obligations et interdits du surmoi.

    Pour Homo Sapiens Sapiens le verbe est de la première importance, rien ne peut s'établir sans lui, c'est pourquoi le mot juste et précis de sa langue maternelle employé avec justesse est central.

    C'est pourquoi l'empire thalassocratique (océanique) US, dans sa nécessité de dominer les pays européens pour contenir et contraindre la Russie, en tant que puissance terrestre, sur son ouest, nous a manipulé pour pervertir la langueP1050100.JPG française par le biais de sa domination culturelle multi-décennale, seule façon pour elle de nous tenir au sein de l'Union-européenne et de l'OTAN.

    ( Nous nous devons donc de récupérer la qualité de notre langage pour nous retrouver nous-même. )

    Ce phénomène, débuté dès la sortie de la seconde guerre mondiale (1939/1945), a atteint un tel niveau  en France que l'affaiblissement continuel des USA mène, dès qu'y a lieu une crise sociale d'une certaine importance, comme il en fut de l'affaire George Floyd, à ce qu'une crise d'hystérie collective s'y déclare chez-nous à la suite pour singer nos colonisateurs, prenant une forme semblable mais sans qu'aucun contexte similaire n'ait paru.

    Ainsi celle d'affaire Adama Traoré avait eu lieu il y a 4 ans, cet homme n'était pas une personne de la classe-moyenne apaisée mais faisait parti de la petite délinquance multirécidiviste plus ou moins violente (ce qui n'excuse en rien son décès mais montre les différences flagrantes entre ces deux cas).

    D'ailleurs l'oligarchie US (en lutte contre l'état profond, je le suppute) ne s'y est pas trompé qui,  pour verrouiller encore plus notre domination économique par l'empire, a offert le prix BET (interdit de rire) à sa sœur, Assa Traoré, qui, se dit-il, ne serait pas non-plus elle-même blanc-bleu, sans jeu de mot.

    Cet exemple caricatural montre bien que ledit phénomène transcende aussi bien les P1040978.JPGcouleurs de peau, les origines ethniques et religieuses des français, touchant de plus nombre de personnes qui, d'une manière ou d'une autre, voudraient que notre pays ne soit plus sous contrainte de l'Union-Européenne et de l'OTAN, tout en désirant secrètement que ces deux entités persistent dans le temps.

    Ainsi va notre vie psychique dans sa complexité individuelle et/ou collective, nous ne voudrions plus vivre dans un système social ou une situation quelconque malfaisant, dépassé ou simplement rejeté, tout en se refusant qu'il disparaisse.

    Telles certaines obédiences et formes de protestantismes chrétien ainsi que d'athéismes qui rejettent, voire haïssent le catholicisme mais, d'une façon de la faire perdurer mentalement, d'en conserver un lien, penchent vers et louent l'un de ses interdits centraux, symbolique, celui du vau d'or, qui mène au précepte de ne devoir pas faire d'argent avec de l'argent, conduisant en cette caricature absolument inverse qu'est l'économie monétariste spéculative néolibérale.

    ( "Le taureau de Wall Street" aujourd'hui faisant face "à la fillette sans peur" est, symboliquement d'importance.

    Cet animal est représentatif de ce "vau d'or", quoi que puisse en dire l'artiste, une oeuvre étant toujours plus que son créateur et de son commentaire envers icelui.

    La figure féminine, la femme, Marianne pour la République Française, ou ici une demoiselle, cette jeune fille au-devant de cet animal sauvage, est la représentation de l'anima dans la psychanalyse de C.G. Jung, soit la figure féminine guidant l'homme, pour la femme se sera l'animus (il est dommage, à mon sens, que peu de littératureP1040939.JPG ne se soit développé au sujet du dernier, ceci provenant de femmes, Jung étant un personnage de son époque avec toute sa subjectivité, je pense son approche n'être pas suffisamment mesuré et ses études, comme toutes autres anciennes, ne pas être assez approfondies aujourd'hui, l'animus ne peut que guider les femmes, alors mesdames, à vos méninges et votre plume, sans extrémisme féministe ).

    Quoi qu'il en soit, la pose de ce dernier bronze annonçant, à mon sens, une transformation radicale tant politique qu'économique des USA. )

    L'autre exemple en est de vouloir, en réaction à l'économie capitalistique d'essence entièrement privée, ceci en raison de sa perversion néolibérale terriblement destructrice des peuples et des pays, de désirer que celle-ci devienne entièrement publique quand, de tout manifeste, ce qui serait à rechercher en serait une juste harmonie régulatrice entre ces deux perceptions politiques, leur juste milieu.

    Cela concernant ma recherche des équilibres des contraires, soit la compréhension du pourquoi ces variations d'un extrême à un autre par réaction non réfléchie, plutôt que de se pencher sur une harmonisation desdits contraires.

    D'avoir fait depuis des années erreur quand à une faillite généralisée de l'économie-monde, du dollar, des autres monnaies et de la disparition de l'Union-Européenne, P1040895.JPGtant en leur date comme de leur processus, je me suis vu contraint de réévaluer mon approche de la dynamique historique en cours.

    Ceci d'autant plus quand j'ai découvert les écrits de Christian Greiling qui, sur le site: "Chronique du grand jeu", montrant cette guerre souterraine entre l'empire thalassocratique US et les deux puissances terrestres, la Russie et la Chine.

    J'ai donc dû en faire évoluer mon approche et, dès lors, ma philosophie, ceci parce qu'une philosophie, pour être valide, se doit d'avoir la capacité d'être évolutive.

    Je reste sur une assurance: l'économie-monde ne peut pas ne pas disparaître en une échéance relativement courte, il en est de même des trois créatures US, les UE/€/OTAN, ceci à cause des déséquilibres extraordinairement importants en leur sein ne cessant de croître.

    En France, la situation politique semble être devenue inextricable pour trois raisons: sa désorganisation s'accroissant, un verrouillage électoral et idéologique médiatique mettant en scène des personnalités de plus en plus incompétentes, un appauvrissement tant économique qu'intellectuel du pays.

    L'euro étant indéfectiblement lié à l'Union-Européenne, vouloir déconnecter le premier d'avec le second me paraît aléatoire, peut-être même impossible, à cause du contrôle politique que l'administration bruxelloise exerce sur les pays y étant liés, ainsi que des pressions économiques qu'elle peut leur pratiquer.P1040998.JPG

    De ce fait, il n'est d'autre solution que de quitter l'union pour se débarrasser de cette monnaie et, en cela, je rejoins Emmanuel Todd quand il affirme que seule une alliance d'avec l'état profond US, ennemi, je le pense, des oligarques, qui est vent debout contre l'Allemagne à cause sa domination quasi  définitive de l'UE, peut nous permettre de nous en débarrasser.

    ( C'est pourquoi les USA retirent ses troupes de la Germanie pour les installer en Pologne. )

    L'OTAN, quant à elle, est l'un des outils impériaux, avec l'union elle permet d'éviter, paradoxalement, que le sud européen ne vienne en conflit avec la Turquie.

    De prendre en compte l'extrême affaiblissement des Etats-Unis-d'Amérique, nous pouvons facilement en conclure que son existence, ad minima en tant qu'imperium, va sous peu, de l'ordre de quelques années, disparaître, cela dépendant entièrement de la pérennité du dollar.

    Y rester en toute vigilance, comme le font les britanniques, ne serait pas, dans un premier temps, une mauvaise idée, il serait idiot

  • idée n° 7): Les dualités complexes: l'économisme dogmatique.

    (Texte publié le 2 Avril 2012, imprécis et bâclé, réécrit et largement remanié ce jour.)

    Il est dans la nature maints exemples de relations duales, que ce soit dans le monde de l'énergie, plus, moins pour la charge électrique, chaud, froid pour la température (relatif à une moyenne), dans le monde des particules, l'atome composé d'un noyau positif et d'électrons négatifs, dans le monde du vivant, mâle et femelle pour la reproduction, végétaux, herbivores puis herbivores, carnivores pour la prédation au sein des animaux supérieurs, le lichen, cette symbiose entre un champignon et une algue en exemple d'un lien symbiotique, la tique et son hôte en exemple de parasitisme... .

    Mais bien entendu, quelque soit les divers échelles, et natures de notre univers, l'entrelacement des relations entre les différentes parties le composant est ô combien plus complexe que de simples dualités, mais peut-être pourrions-nous nous demander si ces relations duales ne seraient pas la plus petite dimension inter-relationnelle entre deux composantes de la nature, une unité inter-relationnelle?

    Nous retrouvons de même types d'unités dans les sociétés humaines, notamment la représentation opposée et duale d'un même dogme ordinairement en constante confrontation.

    J'émets l'idée que, bien avant la guerre froide, une idéologie s'est progressivement développée en Europe puis dans le monde, mettant au-dessus de toute autre représentation sociale l'économie sous les deux formalismes que furent le libéralisme économique et le communisme et, ce, sous des formes variées et changeantes suivant les époques et les pays: l'économisme dogmatique.

    La deuxième idée émise est que cet économisme dogmatique n'est en rien lié à la manière de gouvernance qu'est la démocratie mais, bien qu'ils aient cru en concomitance, sont d'essence dissemblable puisque le premier est d'une considération purement économique et la seconde une façon autant de régenter une société que de réguler l'ensemble des rapports de forces sociales et politiques.

    Notre malheur d'aujourd'hui vient de ce que dès le XIX° siècle et peut-être avant la puissance d'argent (la bourgeoisie d'alors, devenant plus tard le capitalisme et pour ensuite, ce jour, se transformer, un petit peu avant la chute de l'U.R.S.S., en néolibéralisme) et son idéologie encore balbutiante d'économie libérale que nous pouvons nommer l'économisme de droite a commencé à prendre de l'ascendance et de l’influence sur les autres corps sociaux en en appauvrissant les strates les plus fragiles des sociétés, le prolétariat, et entrainer certains gouvernements à la colonisation (bien que les causes de cette colonisation soit sûrement plus complexe que cela), ce qui, en réaction, à fait émergé un économisme de gauche sous la forme, d'abord du socialisme puis, à son extrême, du communisme.

    La démocratie libérale aux États-Unis, le communisme en U.R.S.S. se sont développés, le premier dès la fin du XVIII° siècle, 1776, lors de la fin sa guerre d'indépendance contre les Anglais (advenue en raison du refus de taxes), le second en 1917 et la révolution bolchevik, c'est, dès 1946, la froide confrontation de ces deux bloques qui a cristallisé cette scission duale et tendue qui s'est étendue à l'ensemble de la planète.

    Après la fin de la seconde guerre mondiale et le début de la guerre froide s'est construit, en Europe de l'ouest, la sociale-démocratie, dans une tentative d'harmoniser le capitalisme en piochant dans ces deux puissances antagonistes les éléments les plus efficaces.

    Elle a  ainsi émergé sous des formes multiples suivant les sociétés et n'a pu être que différente suivant les nations, qu'ils soient pays nordiques, germaniques ou latins.

    Ce fut pendant la même période que la Communauté-Européenne se construisit sous l'ascendance progressive des États-Unis-d'Amérique.

    En cette période nous avions donc trois types de démocraties, libérale, populaire et, en leur centre, sociale.

    (Les extrémismes de droite qui furent au centre de la deuxième guerre mondiale, nazisme et fascisme ainsi que le pétainisme, ne furent que la tentative psychopathique et meurtrière de replacer la société allemande et italienne ainsi que française dans son état originel, d'où l'aversion de ses fanatiques pour les démocraties, quelles qu'elles soient.)

    Mais, et je le répète, ce terme de démocratie était déjà pour partie usurpé puisque ces trois gouvernances, même si personne n'en avait conscience, étaient pour l'essentiel sous la gouverne de la doctrine de l'économisme, c'est de cela que des hommes tel que De Gaulle voulaient nous prévenir dans les années soixante, la politique devenant avec le temps subsidiaire, la dépendance de l'Union-Européenne à l'asservissement américain ne faisant que s'accroitre et s'étendre pour aujourd'hui être devenu une colonie en déshérence de comprendre la prochaine disparition de son maître.

    La raison pour laquelle je parle ainsi de dualité complexe vient de ce que cette dualité qu'a représenté la confrontation est/ouest lors de la guerre froide, et même avant, ne s'est pas faite au travers de seulement deux forces antagonistes mais, au contraire, que cette opposition s'est établie dans un complexe rapport de force où, mis à part les deux belligérants principaux et dans une moindre mesure leur peuple, chaque pays, chaque société, chaque individu, même, définissaient un entre-deux composite souvent enchevêtré et parfois réagissaient par un rejet plus ou moins formel sur des bases archaïques, c'est cet ensemble idéologique que j'appelle "l'économisme dogmatique".

    Maintenant que nous avons vu, en bousculant quelque peu les conceptions préétablies de ce que chacun d'entre nous pouvions avoir de ces trois types de sociétés, que démocratie libérale, populaire et sociale sont de même ordre, voyons maintenant pourquoi, dès les années 1980, la folie néolibérale, sous toutes ses formes, s'est emparée autant des sociétés que des esprits.

    Pour cela je me dois, là encore, de renverser les notions usuelles telles qu'elles nous le sont démontrées continuellement: mon avis est que les U.S.A. se sont effondrés en même temps que l'U.R.S.S. mais pas de la même façon!

    Le début du basculement qui allait conduire irrémédiablement au futur désastre de l'économie mondiale ne se situe pas au début des années 90  mais bien 80 et si Madame Thatcher, Premier Ministre d'Angleterre et Monsieur Reagan, Président des États-Unis-d'Amérique prirent tous deux les décisions de libéralisation boursière qui furent aux origines de la bientôt débâcle économique, ce fut bien en raison de la lente dégradation d'alors de ces deux pays.

    Le reste de l'Europe, aussi, en connaissait déjà les prémisses, il m'était arrivé, dès la fin des années 70, de rencontrer un entrepreneur en confection désirant, dès cette époque, de faire fabriquer sa lingerie de l'autre coté de la Méditerranée.

    De fait, c'était en réponse à la déchéance économique de l'Occident que tout cela fut décidé, dans le souci de maintenir notre dynamisme, en France, il en est de même sauf que ces décisions furent d'un autre ordre, plus étatique, ce fut le "programme commun de la gauche" mis en place lors de l'élection de Monsieur François Mitterrand et dont le plan consistait en une relance de l'économie par la consommation, ce qui devait faire repartir les entreprises de la nation, d'où l'embauche d'employés dans les services publiques et autres entreprises d'état, ce qui devait naturellement s'accompagner de la nationalisation des banques puisque il n'était plus possible, depuis 1973, d'emprunter à la banque de France, l'état empruntait donc directement aux banques.

    Ce fut un échec parce qu'il aurait fallu fermer les frontières pour permettre à nos marchandises d'être compétitives, au moins dans le pays et alors, adieu l'Europe (du-moins est-ce ce que j'ai déduit des différentes informations que j'ai pu glaner).

    Ensuite, le gouvernement Mitterrand fit, à l'époque, ce que les allemands firent quelque vingt ans plus tard: une dévaluation compétitive en faisant baisser les salaires et les prestations sociales pour retrouver une compétitivité à l'exportation.

    Seul problème, et de taille, qui rare est soulevé et peut être formulé d'une phrase: il est toujours possible de trouver plus compétitif quelque part.

    En effet, nous aurons beau faire baisser salaires, prestations sociale, administrations publiques et n'importe quoi d'autre, appauvrir des légions d'habitants, ruiner les commerces de centre ville, diminuer drastiquement le nombre de militaires, de policiers, de médecins, de postiers, de professeurs, de scientifiques il sera toujours possible, facile, même, de trouver un pays, quelque part, où une paye de moins du dixième du S.M.I.C. sera considéré comme considérable.

    Ce qui engendre un deuxième problème là encore résumé simplement: ensuite, qui va acheter?

    Aujourd'hui nous en sommes là, une économie saine est celle où tout le monde peu acheter parce que gagnant suffisamment, si le chômage monte et que les salaires descendent, les gens achètent de moins en moins, donc les usines ferment pour ouvrir ailleurs, là où les salaires sont au plus bas, pour vendre cette marchandise là où les usines ont fermé et les salaires baissé, donc il faut encore baisser les prix, donc déménager les usines dans des pays encore plus pauvre, etc...etc...etc... .

    Les américains avaient, depuis trente ans, trouvé le truc, eux qui, bien avant nous, s'étaient, petit à petit, débarrassé de leurs usines (sauf militaires): faire des crédits, à tous et pour tous, d'abord pour ceux qui travaillaient et avaient quelques fonds en banque, puis, au début de ce siècle, à toutes les classes de richesse, appuyés sur le prix de l'immobilier qui, là-bas, ne cessait de grimper, maisons que chacun achetait et mettait en hypothèque, avec des histoires de taux de base du crédits au plus bas (je vous laisse vous renseigner la-dessus), comme est pris en compte, dans le P.I.B., qui représente, paraît-il, la richesse, l'achat de bien de consommation même importé autant que les productions et ventes des entreprises même en disparition, tout allait bien, il nous était dit que l'U.S. était riche surtout que le dollar en tant que monnaie de change ultime pouvait permettre à l'Oncle Sam d'acheter ses marchandises et ses guerres à crédit, ce pays ne produit plus rien mais achetait à crédit et ce depuis les années 80, de plus en plus, comme les anglais et après chaque crise la folie du crédit augmentait encore jusqu'en 2008.

    Badaboum, le prix des maisons commença à chuter et nous avec.

    Ce bref résumé pour vous expliquer que maintenant tous les décideurs, sauf les imbéciles et ils sont nombreux, comprennent que nous sommes au bord du gouffre parce que, pour soutenir les banques, il a fallu que tous les pays mettent les milliard sur la table (paraît même que les cartels de la drogue en firent autant) mais milliard qui ne valent rien puisque les pays occidentaux n'ont quasiment plus d'usine et que l'usine est la réelle valeur d'un pays (quand il vend les marchandises d'abord chez lui) et que, maintenant, arrêter le robinet à dollar, livre, yen, euro et d'autres ferait véritablement exploser toutes les bulles spéculatives existantes à l'échelle mondiale, surtout que de nouvelles apparaissent.

    C'est pourquoi nous sommes ponctionnés, pour empêcher la machine de périr, il faut rembourser encore et encore, nourrir la bête sinon elle meurt.

    Et là c'est le troisième problème, incontournable: la bête mourra, bientôt, d'une indigestion de dettes!

    Mais pourquoi ai-je dit plus haut que les U.S.A. se sont effondrés en même temps que l'U.R.S.S.?

    Parce que leur effondrement a pris la forme de la dette, de toutes leurs dettes, colossales et qu'ils nous y ont entrainé, yen, livre sterling, euro et d'autres, nous ployons tous sous des tombereaux de dettes.

    En 1991 les U.S.A. en étaient déjà pourri, aujourd'hui c'est la gangrène et ils en ont infecté l'ensemble des pays, qui soit sont endettés, soit fabrique des produits qu'ils ne peuvent que de moins en moins vendre à qui que ce soit à bon prix et un jour, ne vendrons plus à personne.

    U.R.S.S., U.S.A., tous deux se sont ruinés à force de forger des armes toujours plus puissantes ainsi que de vouloir prendre l'ascendant sur l'autre, le premier en ponctionnant son pays et ceux sous sa domination, le second en générant une chaîne de montagne de dette, tout le monde à cru que les américains avaient vaincu par K.O., c'était faux, ils étaient tout simplement dopés à la dette.

    Je finirais par une remarque, un outil intellectuel sert, entre autre, à définir l'événement, dès que s'amorce une nouvelle découverte fondamentale, c'est le regard porté sur l'événement qui évolue, de plus, ce regard évoluant est plus à même de porter plus loin, de mieux comprendre ce qui suivra, d'avoir une portée prédictive plus efficace.

    Mais ces nouveaux outils portent en eux-mêmes un risque, celui de marginaliser celui qui l'utilise et/ou qui en fait la recherche.

    Ce risque, ne serait-il temps que nous le prenions, en fin de compte, que risquons-nous?

     


       

     THEURIC

  • idée n° 8: Essai de début de réflexion sur le temps présent et notre proche avenir.

    Nous sommes face à ce qui nous semble être, politiquement, une impasse, or je suis convaincu que cela n'est pas et que cette impasse ne vient que de ce que nous n'avons pas, au-devant de nous, les outils conceptuels nous permettant d'envisager d'autres horizons que ceux auxquels nous fûmes antérieurement confrontés.

    Or, depuis déjà plusieurs décennies, toutes les sociétés ont évolués et évoluent toujours à un rythme accéléré et elles se transforment sous nos yeux à une vitesse prodigieuse sans que nous n'en ayons pleinement conscience.

    De plus, ceci s'est accompagné d'une théorie politico-économique dite néo-libérale, autrement appelée marchéiste qui, mettant la pensée politique au second plan, nous empêche la formulation de nouveaux concepts.

    Cette théorie n'est pas d'une grande nouveauté, ses deux siècles d'existance la place, au contraire, dans le prolongement de réflexions pûrement économiques dont les fondements s'ébauchèrent à une époque ou vivaient sur Terre moins d'un milliard d'habitants et, aujourd'hui, avec une population mondiale multipliée par plus de sept, nous sommes au seuil de son achèvement.

    Mais il est à remarquer que ce qui fut des trois ordres anciens: le religieux, le guerrier et le marchand, les deux premiers se retrouvent dans les pays européens, sous une forme ou sous une autre, sous le contrôle étatique: l'anglicanisme de Grande-Bretagne sous la férule de la reine, laïcité française, l'impôt religieux allemand,..., pour ce qui est des religions (avec des exceptions telles que la Grèce); les forces armées, quand à elles, sont assujéties, de par leurs fonctions régaliennes, à l'état montrent la nécessité des gouvernements de maîtriser ces vieux ordres.

    Cela se fit, dans l'histoire avec beaucoup de difficultés, des avancées et des reculs

    Il n'est, donc, que les puissances financières qui échapent encore à la régulation des nations.

    C'est, je le pense, la cause majeur des difficultés devant lesquelles nous sommes: n'avoir pour seule horizon d'une pensée politique et de la chose publique que des considérations de l'ordre de l'économisme et du monétarisme arc-bouté sur une philosophie sociale purement individualiste (pensée archaïque totalement différente et opposée de ce que peut être l'individualité) en mésestimant ce que peut-être l'organisation et la régulation, les équilibres des pouvoirs, la recherche de la justesse des prises de décisions, les avis contraires, le symbolisme, l'histoire et la géographie,..., toutes ces dimensions pénétrant les sociétés, d'autant plus quand leur complexité atteint, comme en Occident (Japon compris) ou dans les pays émergeants un certain seuil nécessitant une démocratie représentative.

    Ce pouvoir, dit néo-libéral ou marchéiste, d'essence oligarchique de type ploutocratique et de genre ubuesque semi-totalitaire perd progressivement de ce qui fait la force et la durée de tout pouvoir, son intelligence et son esprit de création: soit par le rejet de ses éléments les plus contradicteurs donc ceux qui sont  intellectuellement les plus vigoureux, indépendants et inventifs, soit par l'éloignement décidé et délibéré de ceux-ci pour divers raisons.

    Nous sommes dans ce moment où ces forces gangréneuses ne sont plus dans la capacité de leur propre survie, mais entre temps elles aurons destabilisé l'ensemble des sociétés et, tant qu'elles tiennent encore, et la survivance du dollar en est l'étalon, nous pouvons considérer deux choses: la première est une déstabilisation accrue des sociétés, la seconde que  nous ne sommes pas encore dedant l'immense cataclysme accompagnant cet effondrement, la question n'étant pas de savoir si il aura lieu mais quand.

    Or, quand cela aura lieu, l'ensemble des vieilles forces inconscientes, parce que misent sous le boisseau, rejailliront au grand jour chez tous les peuples et, parce que le politique reprendra ses droits, les jeux de force à l'intérieur des pays et entre les états, la géopolitique, l'inconscient des peuples, les contradictions entre traditions, conservatismes et la modernité, les frustrations... pourrons facilement se muter en agressivité, parfois la plus extrême.

    N'oublions jamais cet étrange attraction des peuples pour leur inconscient social. Étrange parce que les peuples sont attirés, aspirés par cet inconscient en en ayant véritablement ni le désir, ni l'envie et sans même que cet inconscient s'exprimât jamais d'une semblable manière.

    Tout compte fait, le véritable danger, de tout temps, fut et reste la passion des hommes, elle peut-être constructive et bâtisseuse en un éros fabuleux, flamboyant ou, quand elle s'est tournée vers le sombre regard des pulsions destructrices, peut devenir un thanatos grimassant.

    Il est, à mon sens, totalement inutile de considérer la perversité du néo-libéralisme ni même son effondrement, tout simplement parce que ce n'est que s'encombrer l'esprit d'évidence puisque cet évènement aura lieu, quelque soit la façon que cela se fera. En revanche il est d'une extraordinaire urgence de songer l'instant de cet effondrement et de sa suite dans le court terme, de s'y préparer, non pas en individualiste, avatar désuet et morbide du marchéisme, ni en un réflexe purement collectif, réaction primitive et dangereuse qui ne viendrait qu'en réaction de la tentative d'effacement de la notion même de peuple mais dans une action dont le socle serait l'individualité, c'est-à-dire la compréhension conscience de sa propre existence et de celle de l'autre, de la conscience en son inconscient mise en corrélation avec l'existence propre et distinct de chaque autre être humain, de son respect, ainsi que de la compréhension et du respect de la vie en société (compréhension et respect voulant dire, aussi, souplesse et égratignement des dits respects de l'autre et la vie en société). Cela ne retire en rien la nécessité absolue que chacun d'entre nous, ainsi que les sociétés ont de se défendre.

    Des questions telles que qu'est-ce que la démocratie, qu'est-ce que notre modernité, qu'est-ce que la propriété, à qui appartient véritablement une usine, une liasse de billets, un sol, le ciel, une molécule, une idée, une oeuvre, un homme, une femme, un enfant, un chien, une touffe de cheveux, quel taux de perméabilité pour les frontières, quel est le minimum de savoir que doit avoir acquis chaque enfant, quelle est la place du citoyen dans la société, la place du religieux, la place du bandit, du gendarme, du politique, la place du savant, de l'ignorant, du différent, du géni et du crétin,...,etc,...? Toutes ces questions et une myriade d'autres, tant d'autres, ne doivent plus être dans l'obscurité de notre peur du savoir et du comprendre, de son rejet, mais jaillir, rejaillir au grand jour en une force irrésistible.

    Parce que, en fin de compte, le néo-libéraliste, l'individualisme sont, pour l'essentiel, que pures pensées obscurantistes, que purs obscurantismes d'où ego et narcissisme, ces deux frères jumeaux, puisent leurs puissances.

    C'est la raison pour laquelle j'appelle à une nouvelle renaissance!


    THEURIC

  • De l'accélération des processus historiques.

    Je viens de retrouver cette vidéo de Monsieur, ou plutôt maître François Boulo, n'oublions pas qu'il est avocat, et de Charles-Henry Galois, débat animé par Zamane Ziouane, ceci sur UPRTV.

    Du 24 Octobre 2019 à aujourd'hui, le 24 Janvier 2020, soit juste un trimestre, dès la présentation du projet de loi sur les retraites par le gouvernement, la situation a radicalement changé, et il est loisir d'observer, surtout, l'accélération des processus historiques.

    Qui n'a pas l'impression qu'entre le dernier trimestre de l'année 2019 et ce début 2020 nous ne sommes déjà plus dans la même situation qui prévalait alors?

    Comme très souvent je vais vous proposer une série d'hypothèses qui, quand bien même en aurais-je aucune preuve, parce que juste déduite, n'en resteront du-moins logique dans la dynamique en cours.

    Ce projet des GOPE sur les retraites touche toutes les strates sociales, hormis bien sûr les oligarques, leurP1020478.JPG employés du gouvernement, de la majorité des chambres délibératives et leur bouclier, la presse de toutes sortes et la police, pour ces derniers j'y reviendrai.

    En revanche nul n'est fait mention des militaires et de leur statut si particulier puisque ces professionnels ne sont engagés, pour le simple troufion, que pour un temps donné de quelques années et je ne pense pas que ledit projet soit de leur intérêt, loin de là...

    Donc, nous pouvons percevoir facilement que celui-ci touche également à la catégorie sociale intellectuelle et économique que j'appelle la classe-moyenne haute à supérieure, dont celles dédiée aux lois, celle des avocats étant la plus visible pour l'instant.

    De cette classe sociale, que monsieur Boulo disaient ne pas pouvoir saisir les implications de notre domination par une oligarchie avaricieuse euro-atlantiste via l'Union-européenne, ne peut qu'en émerger l'entendement, eux aussi ont à y perdre.

    Il ne peut qu'être que d'évidence qu'une grande part de ceux-ci n'en viennent à agir, certains n'en étant encore qu'en pleine réflexion,  mais dès que cette actions deviendra tangible, ceci en reviendra à redoubler et aider les grèves portées par les agents et ouvriers des transports, des dockers, des raffineries...

    Il est possible dès alors de postuler que cette accélération de la dynamique P1020251.JPGhistorique française, commencée par le mouvement des gilettistes en Décembre 2018, ne commence à accroître encore plus sa vitesse de développement dans peu de temps.

    Par exemple, s'il en est qui savent lire et comprendre le droit, national, certes, mais aussi international, et là, plus spécifiquement, du traité de Lisbonne de 2007 faisant suite et éliminant de fait le référendum de la prétendu constitution européenne de 2005 rejeté par les français et les hollandais, ayant voté non, ce sont tous ceux-là qui ont de métier celui de la législation dans son sens le plus large.

    Je ne serais dès lors pas surpris d'apprendre qu'une guérilla judiciaire et juridique débute en un temps court puisqu'il doit  y avoir un ensemble de contradiction entre la constitution française, même si elle fut largement amendée, et ce fameux traité.

    Voire même à ce qu'il y ait quelques paradoxes entre les GOPE et celui-ci.

    Des sciences humaines, de la vie ou de celles dédiées à l'étude de la matière, il n'est pas possible que chacun ait, dans sa besace, en raison de ses connaissances, quelque moyen pour faire pression sur l'état.

    Pour en revenir aux policiers, ceux-ci commencent aussi à appréhender qu'ils ne furent que des pions utiles pour faire rentrer chez-eux les gilets jaunes mais que, comme le gouvernement s'est fait taper sur les doigts par l'union et l'ONU, rendreP1020206.JPG borgne des manifestants ça fait mauvais genre pour un pouvoir bruxellois qui se dit censément démocrate, alors les juges vont envoyer quelques-uns de ces représentant de la loi au gnouf, de ceux les plus violents et répressifs, voire même à ce que ne soient choisis que de naïfs boucs-émissaires.

    Non pas pour l'exemple mais parce que nos ministres en notre président sont dans la plus totale incapacité d'assumer leurs décisions.

    De plus, le retrait de la retraite à point pour la maréchaussée par le gouvernement, annoncé avec grand fracas par nos journalistes cornichons, n'est que partielle et fragmentaire, ce qui nous montre encore l'inconséquence foncière de ceux qui nous dirigent, ne comprenant pas que les forces de l'ordre ne sont plus loin de ne plus défendre celui oligarchique euro-atlantiste eurobéas.

    J'écoute en ce moment même France-musique et qu'entends-je?

    Une reprise de la Carmagnole réarrangée d'une manière plus classique, ce que je ne retrouve pas dans les vidéos du net, écoutez les paroles et pensez au sentiment de trahison que ressentent les classes sociales qui avaient voté Macron.

     

    Ceux pour qui comprendre des textes de loi parfois alambiqués leur est d'une grande P1030530.JPGfacilité, ce qui n'est pas mon cas, il ne peut que leur être visible que l'Union-européenne  est verrouillé institutionnellement.

    Changer la moindre de ses virgules nécessiterait un accord de tous les états et de leurs chambres délibératives.

    Ce qui conduit mécaniquement à un autre verrouillage, politique et idéologique (thème que j'ai déjà traité part ailleurs).

    Ne restant plus, en effet, ce suivant les pays, ceux de ces partis qui veulent y rester, ceux qui veulent en sortir, avec ou sans l'activation de l'article 50, ceux qui veulent la réformer et ceux, comme en Hongrie, qui tentent de plus ou moins tricher avec lesdits traités.

    L'état hongrois semblant rentrer dans les rangs puisqu'il risque de prendre une amende importante de plusieurs points du PIB, provenant de l'UE.

    A la vue de cette accélération croissante de la dynamique historique en cours en France, il serait prévisible de concevoir que la lucidité en ce triple verrouillage se fasse jour ici pour un nombre de gens accru.

    Cela ne se reflète pas encore vraiment politiquement, à l'UPR notamment, pour cela il faut tout de même encore du temps, mais je suis grandement optimiste.P1010577.JPG

     

    Le Liban amorce un virage à 180 degrés: les libanais quittent désormais leurs luttes confessionnelles et, tel qu'en Syrie et en Irak, deviennent patriotes, disons plutôt que les difficultés politico-économiques de ce pays mènent à ce qui n'était encore qu'en jachère il y a peu de temps s'exprime maintenant.

    Là aussi les événements y accélère le temps.

    Vous trouverez deux vidéos complémentaires, ici et , si vous ne les avez pas vu pour l'instant, qui vous en expliqueront les raisons.

    Ce qui il y a à y remarquer c'est qu’Arte n'y parle pas des verrouillages bancaires, empêchant la population de pouvoir utiliser, dépenser leur argent, ce qu'explique très bien Mr. Jovanovic, et que ce dernier paraît avoir enfin saisi que marine Lepen, avec son entreprise, RN, n'est en rien l'alpha et l'oméga d'une quelconque rébellion mais, tout à l'inverse,  l'un des acteurs obéissant à la volonté unioniste contre intérêts forts bien compris.

    Je pense que ce qu'il se passe tant en France, en Irak, en Syrie, au Liban, mais aussi en Grande-Bretagne avec son brexit, ceci entre-autre, n'est que le reflet d'un mouvement de fond, général à l'échelle mondial, d'une émergence ou d'une P1030120.JPGréémergence des états-nations accompagnant très exactement l'effondrement de l'idéologie néolibérale.

    Deux processus, me semble-t-il, sont en ce cas en jeu:

    -les politiques suivies en raison de cette doctrine tendent vers leur inefficacité absolue, tant parce qu'elle mènent à des incohérences économiques formelles en privilégiant la virtualité monétariste au-devant d'une économie réelle s'effondrant doucement;

    Que de ce qu'elle entraine avec elle une bonne part de l'élite économique et politique mondiale à la prévarication et à la concussion, ce quoi observent les français chez-nous.

    -le retour croissant à l'identité de Soi à cause même de cet affaiblissement, le système ne parvenant plus à subordonner les peuples à leurs désidératas.

    Ce dernier mécanisme, à mon avis le plus important, redonnant aux populations l'intégrité de leur détermination, dans tous les sens du terme, conduit à ce rejet des classes dominantes, les divers chocs sociaux dus à des décisions gouvernementales, suivant les nations, n'étant que les détonateurs de ce processus.

    S'il y a donc une accélération des dynamismes historiques c'est parce que, dorénavant, le bloc néolibéral multifonctionnel se délite tant dans les esprits que par les choix politico-économiques faits par leur détenteurs directes, ceux qui en tirent toutes leurs prébendes, choix qu'ils ne pouvaient qu'effectuer pour tenter de sauver la structure même tant de leur doctrine, de leur narcissisme que de leur richesse.

    C'est bien parce que maintenant, en France, les classes-moyennes hautes àP1020603.JPG supérieures recouvrent leur identité propre en tant qu'élites réelles du pays, ce qu'elles pressentaient déjà inconsciemment lors de leur réaction après l'attentat de Charly-Hebdo en janvier 2015, mais aussi parce que l'oligarchie ploutocratique est désormais aux aboies et que l'Union-européenne se corrompt,  s'altère et se dégrade, que le cycle des événements tend à s'accélérer, quand bien même les médiats n'en relatent que peu la trame.

     

     

     

    THEURIC

    PS: Voilà vers quoi mène un processus de panique dépassé, ici il s'agit de Mr. Macron, cela va de soi, quand à Tatiana Ventôse, ma foi, elle a tout dit, ou presque!

  • De l'ébranlement qui vient.

    Être conscient de ce qui nous anime individuellement comme collectivement, sans nous laisser subjuguer par quoi que ce soit, en les comprenant, en portant également nos réflexions sur nos instabilité mentales, sur nos faiblesses et nos forces, est, ce me semble, ce qui ne peut que nous permettre autant de nous réaliser pleinement que de nous adapter aux péripéties de la vie.

    Cette vie ne peut être un long fleuve tranquille mais est traversée autant par des étapes, des difficultés et, parfois, par de dures tribulations, voire à ce que des horreurs en viennent à se fracasser à l'encontre de notre existence.

    Conserver cette conscience pleine et entière, d'évidence autant que faire ce peu, tant de notre état physique, mental, nerveux, de comprendre au mieux les passions collectives qui peuvent nous traverser, de saisir, au meilleurs possible, la dynamique historique de l'époque, que nous y participions ou non, bien que la non-action reste en lui-même un choix et, dès lors et de ce fait une action;P1040802.JPG

    De tout faire pour garder cet esprit  clair et, mieux encore, clairvoyant, de ce qui nous anime, nous, nos proches, notre société et l'humanité est, je le concède, une gageure, mais du-moins d'être et de rester dans cette disposition ne peut qu'être profitable pour tous.

    Quand bien même certains resteront aveugles, quoi qu'il se passe, à ce qui deviendra ainsi pour les autres une réalité, ou à se qu'ils souffrent mentalement et/ou physiquement à de tels changements.

    Ceci parce que les temps qui viennent ne peuvent que se révéler une étape ardue à traverser.

    De fait, il devient de plus en plus évident pour tous que le régime néolibéral sous l'égide impérial US et de son dollar, tendent à se déliter au même rythme que leur déclin.

    ( Voici le copier/collé d'une toute petite partie d'un texte du site or.fr, traduit de l'étasunien provenant de cet autre, où s'y trouve le meilleurs résumé de ce que j'affirme, bien que j'y adjoins deux réflexions:

    1) l'hyperinflation y a bien lieu, centré dans les opérations spéculatives et boursières, mais puisque les USA importent quasiment tout et dès que la population recevra de l'argent gratuitement, cela ne pourra que s'étendre à son ensemble;

    P1040886.JPG2) s'il y a guerres, elles ont lieux: celles du Proche- Orient étendue à l'Afghanistan sont de celles-là, sans compter les guerres politiques et économiques que l’imperium conduit envers la Syrie, l'Iran, le Venezuela, la Russie, entre-autres...:

    "Les États-Unis réunissent tous les ingrédients pouvant entraîner la destruction d'un empire : déficits, dettes, dépenses militaires excessives, dépréciation de la monnaie, effondrement du commerce, épidémie, ébranlement de l'ordre public et émeutes.

    Deux choses manquent pour compléter le tableau : les guerres et l'hyperinflation. Malheureusement, ces deux facteurs sont susceptibles de se produire dans les années à venir." )

    Ce fait majeur, central, grandement accéléré en raison de la crise sanitaire due au SRAS-COV-2, nous mène, nous, français, déjà, à de grandes difficultés qui ne pourrons que gravement s'accentuer au fil du temps.

    Or, le fait qu'une part, heureusement se restreignant mais lentement, du plus haut de notre hiérarchie sociale est dans l'incapacité de le reconnaître, ou, sinon, de façon fragmentaire, mène à ce que, dans un futur plus ou moins proche, nous nous devrons, dans l'urgence, de suppléer à son incapacité et inaptitude, entre-autre du gouvernement, dès lors que les Etats-Unis-d'Amérique ne pourront plus cacher, même aux esprits les plus obtus, leur situation pitoyable.P1040617.JPG

    Comme j'ai pu déjà vous en entretenir, nous nous retrouverons dès lors face à deux éventualités:

    I)-soit le dollar tient et, auquel cas, seule l'Union-européenne subira un ébranlement de grande ampleur la faisant disparaître, ce qui serait pour nous la meilleurs des choses, ou plutôt la moins mauvaise, nous pourrons continuer de commercer d'avec le monde;

    II)-soit cette monnaie périclite et en ce cas ce sera ledit monde qui se retrouvera aussi au-dedans d'une telle situation.

    Ces questions économiques déjà présentes sont au premier chef politiques dans le sens où ce rêve d'Amérique formalise idéologiquement, même l'Allemagne, les décisions des acteurs gouvernementaux, administratifs, industrielles, bancaires et autres...

    Puisque s'établissent trois approches face à notre soumission à l'union: conservatrice, réformatrice et d’indépendance, et que les réflexions des deux premiers ne se posent que sur la continuité de son existence, que la seule crainte en sa disparition et à celle US mène dès son abord à diverse crises d'hystéries, angoisses morbides et autres agitations extravagantes et insensées;

    P1040918.JPGAlors nous pouvons considérer probable qu'un grand nombre de ceux qui  font décision en France ne seront plus en capacité de la moindre décision et action dès lors que l'UE et/ou les USA se seront plus.

    Comme j'avais déjà pu l'expliquer, il y a de forte probabilité que notre indépendance nationale nous ne l'obtiendrions pas par une haute lutte décennale mais bien plutôt ne l'aurons que par une manière ou une autre d'absence de ceux tenant la laisse qui nous enchaîne à ces unions, ceci de par la chute de l'une, de l'autre ou des deux.

    Certes, en ce moment les choses sont plus complexes que cela.

    De ces forces conservatrices, voulant que l'UE perdure telle quelle, et réformatrice, désirant réformer cette union irréformable, deux camps s'y affrontent en leur sein, celui américanolâtre et celui germanolâtre, certains passant de l'un à l'autre suivant les événements.

    Scission qu'il est possible de percevoir à l'intérieur du gouvernement jusqu'à la présidence, président y navigant d'aller en retour de Merkel à Trump.

    L'Allemagne, tergiversant depuis quelque temps entre ses intérêts propres, se sortir de l'union, et sa jouissance de dominer l'Europe, y rester, a choisi le second sur le premier de ces choix.

    Cela ne pouvant que conduire les USA, la Grande-Bretagne ainsi que d'autres pays à chercher à déstabiliser l'Union-européenne en accentuant les désaccords déjàP1040903.JPG présents entre les pays la composant ainsi qu'à l'intérieur de ceux-ci.

    Or, de  toutes, la France est, de fait, la nation la plus instable.

    Nous auront donc à gérer quatre, voire cinq difficultés majeures, des défis que nous devrons relever et pouvant s'étendre pendant un certain et indéterminé temps, soient:

    I)- une crise économie importante au mieux centrée sur l'UE, ou un effondrement économique mondial si le dollar disparaissait entant que monnaie d'échange internationale, provenant de la survenue de la pandémie, toutefois déjà entrain depuis Juillet à Août 2019;

    II)- une partie importante de la haute hiérarchie sociale devenant progressivement inopérante, elle qui est déjà totalement inefficace mais détient toutes les manettes du pouvoir;

    III)- des actions de déstabilisation du pays aux origines anglo-saxonnes dont nous devons avoir une absolue conscience,  quoi que nous pensions, et de ne pas confondre d'avec les réactions populaires normales face aux décisions absurdes, mortifères et contre-productives de notre gouvernement pour tenter de sauver ses union et euro chéris;

    IV)- la fuite, l'inhibition, les divagations et discours absurdes, le déni et scotomisation, les accusations imbéciles ou des réactions parfois violentes de la part de ceux qui nous gouvernent et d'une partie de notre intelligentsia;

    P1040919.JPGV)- le risque d'un retour de la pandémie au milieu de ce capharnaüm comme l'explique Charles Sannat.

    Notre nôtre autre gageure, amis lecteurs, est dores et déjà double, de ne pas nous laisser entraîner par des passions dangereuses et inutiles ainsi que de nous préparer à ce qu'il faut bien appeler un ébranlement, soit ce qui est plus qu'une crise et moins qu'une catastrophe.

    De ne pas se retrouver excités par des exactions d'extrêmes droites blanches, noires (surtout africaine) ou musulmanes.

    Tout autant que de mouvements anarchistes qui se montrent toujours absurdes et allant à l'encontre de nos intérêts.

    De nous y préparer tant en intendance (faire ses réserves), physiquement qu'intellectuellement, aussi que de prendre soin de nos proches qui risquent de péter un câble lorsque tout cela surviendra.

    Bien entendu, il est impossible de prévoir avec précision le futur et l'ensemble de ces événements pourraient, sait-on jamais, ne pas avoir lieu, ou, du-moins, de ne pas survenir aussi violemment, certains même se passer en douceur ou de ne pas advenir.

    Toutefois, de se préparer au pire ou, suivant le vieille adage : "qui peut le plus, peut le moins", ne peut que nous permettre d'agir avec la meilleurs efficacité possible.

    Mais pour cela il nous faut et faudra avoir la vision la plus concrète possible du sensP1040583.JPG des circonstances.

     

     

    THEURIC

  • Petite valse des idées.

    Nous sommes le 30 Novembre et le 11 je vous avais prévenu d'au mieux une quinzaine de jours de silence, je vous prie de bien vouloir me pardonner de ce retard d'une semaine.

    Ici je vais renouveler un mixe de textes courts sur des sujet différents.

    Ceux-ci traiteront d'une vidéo Ruffin/Macron, des extraterrestres que je dis EINT, des boucs émissaires modernes, de la sottise oligarchique et enfin du pourquoi de l'existence de nos poils si fins et si nombreux.

     

    Maître Ruffin serait-il un petit malin?

    Je vous propose, avant toute chose de regarder cette courte vidéo (3mn 48s) si, toutefois, cela ne fut pas fait, ceci pour comprendre où je veut en venir.

    Il y a deux questions qui émerge automatiquement après l'avoir vu: P1030785.JPG

    -Monsieur Ruffin fait-il ou non face à une cabale et, dès lors, si oui, qui pourrait en être l'instigateur?

    -Qu'il y ai ou non la volonté de lui nuire, quels pourraient être les effets de cette vidéo sur le système politique français?

    Parce que sachant que le complot, parfois plutôt tordu, fait parti entièrement des processus politiques, que je puisse en poser l'existence possible ici, sur un tel sujet, ne peut qu'être naturel, surtout comprenant ses effets grandement destructeurs sur la classe politique officielle.

    De fait, il ne s'agit pas que j'exprime un doute quand à la validité de ses contenus mais bien plutôt une prudence.

    En effet, ce film commence par de la pure audio, plus facile à trafiquer que de la vidéo, là juste se trouve le point de mon interrogation.

    Tout du moins, me souvenant de l'étrange échange qu'eurent Messieurs Mélenchon et Macron l'année dernière, où ce premier fît preuve d'une certaine révérence, voire d'une révérence certaine à l'égard du second, ne peut que me laisser à penser qu'ils  sont loin d'être de ces ennemis de classe qu'ils se déclarent être, au point que, comme il aurait pu en être par le passé entre gens de gauche et de droite, ils auraient pu ne pas P1020639.JPGvouloir se voir ou sinon de s'agonir d'injure.

    A ce premier appui montrant la forte possibilité que la vidéo qui fait l'objet de ce texte n'est pas un trucage, s'en rajoute un second, plus parlant encore, celui où, vers la fin, nous voyons une dame qui, ayant parfaitement compris ce que l'on attendait d'elle, répéta de nombreuses fois le nom de Ruffin sans jamais parler de son parti politique, la France-Insoumise.

    Montrant dès lors que ce futur député n'a qu'un lien très lâche envers son organisation qui, s'il était empreint d'une vrai idéologie sociale-démocrate ou  communiste, comme il le laisse entendre, se devrait, au sein de son groupe, d'avoir au centre de ses intérêts d'abord ceux collectifs de son parti.

    Si cette affaire se révèle extrêmement grave aujourd'hui, bien plus que lors des dernières élections nationales il y a deux ans (étant entendu que je n'y réagis que maintenant avec retard, il est vrai), c'est parce que dorénavant et après le début du mouvement des gilettistes, ce n'est pas tant le REM (des microéléments) et la  FI qui se retrouvent décriés par cet événement mais bien l'ensemble de la classe politique.

    Car quand bien même le Rassemblement National se retrouva à avoir un pourcentage intéressant d'électeurs aux élections européennes, le dernier en ce cas, ses gesticulations contradictoires au sujet de l'UE€ le mena, en réalité, à unePICT0114.JPG stagnation, voire à une baisse de leur nombre, ce qui ne pourra que se poursuivre.

     Le seul parti politique officiel, avec FI, à avoir encore un peu d'écoute populaire.

    En réalité la population se trouve dans la situation angoissante de ne plus avoir aucune confiance en leurs élus nationaux, mais aussi d'être devant une importante anxiété de quitter l'union mais aussi de remplacer cette classe dirigeante périclitante, tout en se voyant s'appauvrir, en percevant la ruine du pays et de sa désorganisation.

    Tout en désirant que la nation n'ai plus affaire à ces magouilleurs et à  cette union délirante, menant à une double contrainte hautement douloureuse, l'une des causes majeurs des manifestations populaires qui ont plus d'un an déjà.

    C'est pourquoi aussi l'UPR ne se développe, en terme d'adhésion, que très lentement quand, à la vue de la situation, cela se devrait d'être l'inverse.

    Les français se retrouvant là au-devant d'une contradiction difficilement surmontable les paralysant.

    Enfin, s'il s'agit bien d'une cabale tendue à l'encontre du sieur Ruffin, ce à quoi je ne crois guère, à qui cela en profiterait-il?

    P1030475.JPGPeu de temps avant les élections municipales le REM, LR, le PS et le RN, voire le PCF, soit quasiment tout le monde seraient ceux qui en auraient le plus d'intérêts au regard de leurs résultats électoraux en 2019, mais il serait aussi possible que cela provienne du sein même de la FI, Monsieur Mélenchon jugeant, en ce cas, que Monsieur Ruffin  lui ferait trop d'ombre.

    De toute façon qu'il s'agisse d'une malfaisance à l'endroit du peuple en cette  alliance entre Macron et Ruffin ou d'un complot dirigé contre le second, cela met en lumière la véritable déchéance de l'ensemble des partis politiques officiels du pays.

    Et, amis lecteurs, peut-être serait-il bon que nous songions, dès l'abord, à ce que nous les remplacions rapidement, ne trouvez-vous pas?

     

    Retour sur nos visiteurs du soir, les EINT.

    Je sais qu'aborder le sujet des extra-terrestres laisse à penser la douce rêverie ou la démence légère.

    Or soit ceux qui racontent d'avoir observé des événement ou véhicules bien étranges et hors de nos capacités techniques, ont perçu quelque chose montrant qu'il est possible de dépasser la vitesse de la lumière, ceci au moment où l'astrophysique bute sur des observations incompréhensibles.IMGP0098.JPG

    Soit ce ne fut que le fait de divagations, d’hallucinations collectives nous laissant, pour ce qu'il en est des voyages spatiaux au long-cours, dans la plus totale des expectatives.

    Je vais, toutefois, considérer qu'en effet nous sommes bien visités par des êtres venus de l'espace interstellaire comme j'ai pu déjà le conjecturer ici et .

    Si je m'appuie sur la résultante des travaux de Jean-Pierre Petit effectués au sujet de sa théorie dite de "l'univers Janus", de sa résultante et non pas de ces recherches mathématiques qui me dépassent, nous pouvons parfaitement y apporter plusieurs conclusions:

    -L'Être Humain n'est pas très loin, ni techniquement, ni scientifiquement, de ces Êtres Intelligents Non Terrestres, des EINT, sinon Monsieur Petit n'aurait jamais put  mettre en place ses formulations quand à la structure biface de l'univers;

    -Il serait temps que soient imaginées et misent en place les expériences nécessaires démontrant la validité de ce qui reste une construction mathématique qui, il est vrai, offre, si j'ai bien compris, une explication infiniment plus rigoureuse des observations empirique effectuées grâce aux télescopes et autres satellites d'observation;

    P1030750.JPG-D'après ses explications, il serait  donc possible de se déplacer dans l'espace à très grande vitesse dans cet univers inverse par un effet répulsif, en ce cas, des grandes masses, étoiles et planètes, nous pourrions donc conjecturer qu'au vu de leur déplacement relatifs au sein de notre galaxie, la Voie-Lactée, divers routes spatiales s'ouvrent et se ferment suivant l'emplacement de chacun des astres se trouvant relativement aux horizons des autres;

    -Dès lors, si, comme je le pense, les EINT existent bien, il est possible de considérer que notre système solaire se trouve être à un carrefour momentané, d'où leur visite actuelle;

    -En ce cas, nous pourrions tout autant  envisager que ce que ces êtres attendraient de nous puisse être à ce que nous signions un traité les autorisant à traverser ce qu'il faut bien considérer comme étant notre espace propre, notre système solaire, ce qui expliquerait dès lors pourquoi Monsieur Petit fut ainsi guidé puis aidé dans ses-dites recherches;

    -Si cela se révèlerait, dans le futur, exacte, alors nous devrions considérer le fait qu'existerait une manière de confédération ou d'ONU, ou tout simplement d'accord entre divers de ces peuples comme il peut en être pour nous des traités internationaux des propriétés maritimes de chaque pays.P1030081.JPG

     

    De l'instabilité sociale en France et en offrande au peuple un bouc émissaire idéal: l'Islam:

    Tout état, de tous temps, quand il se retrouvait  à être en proie à des difficultés insurmontables et, en réaction, à être rejeter par la population, recherchait le bouc émissaire idéal lui permettant de détourner le regard populaire de ses propres faiblesses.

    Ceci d'autant plus en France où, l'histoire nous le montre depuis longtemps, ce sont les élites du temps qui, en ce cas, sont désignés par la vindicte populaire.

    Et celles d'aujourd'hui, notre oligarchie nationale, font montre, sous des atours idéologiques néolibéraux justificateurs, d'une incroyable vile et morgue indécence doublé d'une très sotte avarice sans limite aucune, cause première de la faillite du pays, avec, intimement liée, notre appartenance à l'Union-Européenne et à l'euro sous commandement germano-étasunienne.

    Bien qu'ils fassent tout pour nous convaincre du contraire, ces êtres sont particulièrement stupides mais savent s'entourer de personnes qui, contre appâts de gains sûrement substantiels, savent user et abuser des techniques manipulatoires diverses pour que l'oligarchie conserve sa domination sur les français, dont celle destinée à nous désigner l'un de ces boucs-émissaires nécessaires : les musulmans.

    P1030813.JPGIl faut déjà relever que ceux-ci ne sont pas désignés comme blancs mais arabes, sachant que les arabes sont des blancs, que certains sont chrétiens, et que la grande majorité des musulmans ne sont pas le moins du monde arabe.

    Les Eric Zemmour n'étant que les  idiots utiles des oligarques qui, quand le plan musulmans n'aura plus cours, seront jetés comme des malpropres de toutes les chaînes télés, thème que j'avais abordé il y a peu.

    Là où cette histoire devient intéressante  c'est de constater que les journalistes télévisuels tendent à montrer, à la insu de leur plein gré pour la plupart, l'Islam extrémiste comme étant la force luttant contre le système néolibéral sous égide de l'empire US, en remplacement du communisme, en lui désignant à lui-même un ennemi, Israël et les juifs.

    Or Israël est allié à l'Arabie-Séoudite wahhabite, qui est à l'origine même de Daesh et de toutes les autres obédiences islamistes, et nous-même le sont puisque, par l'OTAN et dès lors par les États-Unis-d'Amérique, nous sommes liés à tous les pays prônant ce type d'islam radical, celui séoudite, donc, mais aussi turque et qatari.

    Ce qui veut dire que tous ceux de ces esprits fragiles pensant, plus ou m

  • C'est marrant des abrutis qui nous prennent pour des crétins.

    J'avais émis précédemment une idée, celle de faire carnaval, ce n'était qu'une idée, sans plus.

    Le président et les ministres employés bancaires commencent à s'affoler.

    La police est épuisé en réalité de quoi surtout.

    Les gilets jaunes se radicalisent-ils?

    Et les médiats officiels continue de nous raconter des sornettes.

    Qu'en pense-je?

    P1020059.JPG

    Ce qui y a d'épatant (j'aime bien les vieilles expressions) chez ceux qui nous gouvernent c'est qu'ils pensent nous manipuler quand ils peuvent l'être eux-mêmes si facilement.

    Ainsi la meute des biens-pensants oligarchiques commencent à accuser la Russie d'être l'élément manipulateur des gilets jaunes en en visant principalement les médiats Sputnik et R.T. France.

    Bon, déjà, les-dits gilets n'ont pas besoin que des agents provocateurs quelconques provenant de Russie ou d'ailleurs les excitent, il ne suffit juste que l'un des ministres macronniaiseux parle pour faire monter la tension, avec les chroniqueurs télévisuels les agents provocateurs ce sont eux.

    De plus ces médiats prennent grand soin de parler de réchauffement climatique anthropogénique, sujet central des délires oligarchiques, quand bien même une bonne part des décisions politiques et géopolitiques russes sont en prévision d'un refroidissement.

    Et s'ils se prenaient de vouloir manipuler l'Union-européenne et par là même la France, ils sont tellement subtiles que nos baltringues seraient bien en peine d'en percevoir quoi que ce soit.

    Non, s'il y a manipulation cela ne peut provenir que de l'Allemagne merkélienne, qui serait heureuse de voir disparaître l'euro à cause des gesticulations oiseuse du gouvernement français plutôt que de son propre fait, d'une Grande-Bretagne qui serait contente de se débarrasser de l'U.E. à moindre frais ou des États-Unis-d'Amérique dont le président Trump ne peut pas avoir digéré l'idée du sieur Macron de créer une armée européenne, ce qui est pour l'empire une cause de conflit évident.

    P1010563 - Copie.JPGCe dernier, notre cher président, d'ailleurs, se montre, si je puis dire, plus que discret, invisible.

    Il se fait dire qu'il ne serait pas bien portant, pour ma part je ne serais pas surpris qu'il puisse souffrir d'une dépression nerveuse carabinée et que, quand nous pouvons le percevoir un bref moment, ce ne serait que lors de brefs instants de rémission.

    Au risque de me répéter, ce n'est pas un psychopathe ni un pervers narcissique, tout juste est-il, à mon sens, la victime de ce genre de dépravé.

    Pour les repérer, c'est très simple, voyez qui reste impassible lors d'une dispute ou, si la personne réagit, se calme aussitôt après de ce qu'il semblait être une monté d'adrénaline.  )

    Peu de temps après son élection j'avais dit de lui qu'il était psychologiquement fragile et instable, ainsi que doté d'un mode de penser très infantile.

    Que dorénavant il puisse craquer et gravement décompenser psychologiquement au vu des événements n'est donc pas pour me surprendre et c'était même prévisible, d'autant plus que l'affaire Bennala l'avait déjà rendu extrêmement instable.

    Je ne serais pas même étonné que notre hurluberlu de président commençât à avoir des tendances suicidaires.

    De fait, maintenant, si le gouvernement n'annonce pas une reddition, même partielle, en rase campagne, ce n'est pas seulement l'économie nationale qui est en jeu, mais bien celle mondiale qui, quoi qu'il en soit, est déjà au bord de sa faillite.

    D'ailleurs les délires économiques en France de nos singuliers dirigeants politique etP1020088.JPG économique, nationaux et européens, nous conduisaient déjà dans ce gouffre abyssal monétaire international, les manifestations, que j'approuve, des gilets jaunes ne faisant qu'en accélérer l'échéance, ce qui n'est pas plus mal.

    Au sujet des anars violents, qui se nomment eux-mêmes les blacks blocs, ceux-là ne se rendent pas compte qu'en fait ils sont sujet d'une manipulation impériale et gouvernementale, pourquoi, sinon, se désigneraient-ils de ce sot sobriquet fleurant bon la neuvlang anglo-américaine que portent aux nues tous ceux qui adorent l'empire étasunien?

    Les blacks blocs ne sont que des pigeons sans cervelle, des crétins, des abrutis!

    Quand aux fachos violents, eux aussi ne sont que des pions d'un jeu qui les dépasse et, également, ne sont que des pigeons sans cervelle, des crétins, des abrutis!

    Tous deux n'étant que les domestiques du pouvoir, là où ces derniers disent où il faut qu'ils aillent, ils y vont en remuant la queue, comme les bons toutous qu'ils sont.

    Et ces deux groupes qui, en réalité, n'en font qu'un, ne sont là que pour que le mouvement des gilets jaunes soit un échec.

    Pour aider l'oligarchie monétariste à conserver son pouvoir.

    Cui, cui, cui, les p'tits oiseaux...

    Bon, sinon, l'effondrement idéologique continue et tous les partis politiques ayant des représentants au Sénats et à l'Assemblée Nationale se dissolvent doucement.

    P1020008.JPGAinsi le parti de Monsieur Asselineau, l'U.P.R., a-t-il présenté un plan pouvant permettre  autant à ce que les manifestants se calment que de ce qu'ils retrouvent un tant soit peu d'écoute dans cette partie la population qui s'était éloignée d'eux lors de la manifestation du Samedi passé.

    Ce plan est fort simple et très gandhiste si je puis dire (du Mahatma Gandhi), bien qu'il ne s'agisse pas de désobéissance civile mais plutôt de l'emploi des institutions du pays, tout en affaiblissant le gouvernement et le R.E.M. et en mettant nos élus de la pseudo-opposition au devant d'une situation de piège logique.

    Il ne s'agit, ni plus ni moins, de ce que la population demande à chacun de ses élus de se composer en haute cour affin de destituer Monsieur Macron de son poste de président de la République pour fautes graves.

    Et tous ces couillons des deux chambres délibératives ont plongé dedans ce piège évident les deux pieds en avant, schplafff, en ne voulant pas répondre à cette demande devenant populaire ou à déclarer ne pas vouloir prendre cette décision, tout simplement parce qu'ils ne pouvaient pas faire autrement.

    C'était soit ça, soit se retrouver devant des juges pour malversation lors des dernières élections nationales.

    Avez-vous remarqué que le Modem, R.N. et F.I. furent ennuyés par des juges, justement, puis que, par miracle, tout cela c'est calmé peu de temps après?P1020011.JPG

    Ne vous en faites pas, L.R., l'U.D.I. et E.E.L.V. auraient subit le même sort s'ils avaient été trop remuant.

    Et oui, vu que tous avaient plongé la main dans le pot de confiture des petits arrangements pour pouvoir pourvoir à ces élections passées et de faire survivre leur parti si mal en point de perdre leurs adhérents, le message de nos oligarques est très clair: "si vous vous montrez un tant soit peu désobligeant à l'égard du gouvernement, nous vous foutons les juges aux fesses!".

    Mais tout cela a un coût, l'existence même des partis politiques officiels français, tous confondus.

    Pendant ce temps là nos ploutocrates nationaux et leurs petites mains chroniqueuses si dociles, tentent d'éteindre l'incendie qu'il avaient eux-mêmes allumé, ô les beaux pompiers pyromanes.

    Et elles y vont ces pleureuses, pour explique que ce vilain petit peuple des gilets jaunes ne sont que de méchants pas beaux, même quand, aujourd'hui le Samedi 8 Décembre 2018 en début d'après-midi, ils agissent, eux aussi, tel que l'enseignait Gandhi, ou au moins s'essayent de le faire au mieux, ce qui met en émoi la gente médiatique (rassurée parce que des "casseurs", ces pigeons débiles, mettent en vrac les centre-villes).

    Tout en oubliant de préciser que c'est bien en raison de leur appui ardent pour P1020032.JPGl'équipe gouvernemental en place que nous en sommes tous là, gouvernement qu'ils ont tous aidé à se faire élire par un acharnement médiatique à la limite de la légalité, et en se faisant foin de tout esprit démocratique.

    Tout en oubliant que c'est lors des présidences passées que ce marasme s'était mis en place, depuis des décennies.

    Ce sont bien  eux, tous, sans une exception (le dernier journaliste-chroniqueur indépendant d'esprit, Frédéric Taddeï, fut lui chassé de France Télévision et travaille dorénavant sur  R.T.), qui sont au premier chef responsable de ces manifestations.

    Il est une chose que je me doit de rajouter, c'est le racisme discret dont font preuve ceux de la classe-moyenne la plus haute jusqu'à l'oligarchie la plus riche.

    Si en effet les gilets jaunes sont ce qu'ils sont et font ce qu'ils font c'est bien parce que la province, soit la majorité de la France tant en dimension qu'en nombre d'habitants, fut depuis ces décennies délaissée au profit des cinq à six plus grandes agglomérations du pays, dont les banlieues où se trouve une grande part des immigrés, servant de réservoir à serviteurs bien obéissants.

    C'est pourquoi ceux-ci ne prennent que peu part à ce mouvement gilettiste, ce qui est, à mon sens, d'une grande dangerosité sociale pour eux.

    Avant d'aller plus loin dans ces réflexions je vous propose d'écouter et voir cette courte vidéo de Charles Gave, dont je suis part ailleurs en désaccord avec nombre deP1010194.JPG ses considérations en théorie économique, mais là sa courte intervention montre la logique sociale du moment.

    Je suis aller voir aussi ce qu'explique Monsieur Guilluy en tant que géographe dans cet entretien de 33mn., à lui déplaire si tant est qu'il me lise, il n'a pas perçu certains phénomènes tels que l'effondrement idéologique allant à son achèvement, celui de l'économie mondialisé et de tout un tas d'autres choses encore.

    En revanche, cette perception d'une division du pays, phénomène touchant la majorité de l'Occident, en trois parties, les grandes villes dont l'économie est basée sur le tourisme, la financiarisation et la très haute technologie, les banlieues où s'y trouvent les travailleurs des services dédiés aux précédents et une province délaissée m'est cohérente.

    C'est cette France que nous pourrions nommer exo-périphérique, soit hors du  champs des-dites grandes villes qui, dorénavant, s'affirme autant en tant que constituant une patrie une et indivisible, d'une nation, mais aussi d'être l'un des acteurs de la vie politique du pays, peut-être le principal.

    Quand bien même les exactions brouillonnes et destructrices des groupements plus ou moins formels, anarchisant et monarchisant, aient fait perdre une partie du soutien de la population au mouvement des gilets jaunes, les 66% restant montrent que la population reste en accord avec lui.

    Ce retour à cette double idéologie, se retrouvant ensemble ainsi à Paris, ce qui est un comble, montre qu'en effet la société effectue ce retour en arrière sociologique que j'appelle une rétrogression historique, il en est de même d'une Marseillaise chantée en cœur par les gilettistes.

    Photo0001.jpgIl ne s'agit ni d'une insurrection, ni d'une révolte, ni même d'une jacquerie, il s'agit de quelque chose de nouveau qu'il m'est encore difficile à définir, de quelque chose plus proche de ce que peut être une révolution dans le sens le plus large du terme, reposant en même temps sur ces bases anciennes d'une rétrogression, au-dedans de processus collectifs, politiques et sociaux novateurs.

    Avec, en même temps, une recomposition de la société française sur des bases plus saines.

    Cette révolution doit, pour l'instant, faire face à

  • De la stupidité faisant sa loi

    Il n'est que pire méchanceté

            Que de celle du fat

        Se croyant de la sainteté

     

     

    Bêtes et méchants

     

    Il n'est nulle différence de violence

    Entre des ados et hautes classes sociales

    Qui montrent, d'empathie, la même carence,

    En manque tant d'instruction que de morale !

     

    Journalistes hypocrites se dédouanant,

    Accusant en cela les fredaines du net,

    Sans vouloir voir les flashs permanents

    Si tant angoissant qu'ils, toujours, émettent.

     

    En larmes de crocodile, pleurent l'enfant

    Tabassé par ses pairs, qui blessé, qui tué,

    Mais s'aveuglant séant de leurs plis étouffant,

    Comme faire croire ce virus tous nous faucher.

     

    Bête immonde des tromperies éludés,

    Cuistres s'épanchant de basses inhabiletés

    En un sérieux mortel sapant des esprits

    Prenant argent comptant leurs pauvres récits.

     

    Discourant comme héro l'être malfaisant.

    Voulant pour toujours enfermer les français

    Affin qu'un vaccin d'un prix autant opulent

    Qui, de plus, pourrait mener nombre de décès.

     

    Sachant, ineptes : des traitements existent

    Peu chers, aux oligarque ne ferait leurs affaires

    Puisque ne coûtant rien, mais ne sont altruistes :

    La pharmacie, pour eux, c'est de l'argent, se faire.

     

    Cette besogne n'est pas que de tous ces niais :

    La classe politique est aussi coupable

    Qui, tous, à l'unanimité, ont mêmes biais :

    D'être patriotes, en sont incapables.

     

    Tous aiment tant l'union qu'en fin la détruisent,

    Ruinant l'ensemble de ce qu'ils peuvent toucher :

    A chaque décision qu'ils prennent épuise

    Nous autres citoyens, nous voulant voir couchés.

     

    De ceux-là, le journalisme aux ordres

    Fait pire, voulant, du réel, le tordre,

    Faire, de la vérité, que du mensonge,

    Que la réalité ne serait que songe.

                                             ----------------------------------

     

     

      Foin des puritains

    Appelons une chatte

            Une chatte

     

     

    Doux emports 

     

    Je lèche ton vagin et ton clitoris,

    Tu me suce autant le pénis que mon gland,

    Ton con m'excite, ma douce fellatrice,

    Ta bouche, tes lèvres sont douces et en allant.

     

    Ma langue caressent en délicate vigueur

    Ton bouton délicieux, tes tendres babines,

    Visitant l'un et l'autre au gré des humeurs

    De ton corps vibrant, belle gourmandine.

     

    Tu happe mon phallus en merveilleux suçoir,

    Ta lavette rappeuse m'avive le bout,

    De tes doigts frôle dessous mon étendard

    Mes couilles ravies d'un attouchement si doux.

     

    Puis je pénètre de mon sexe bien bandé

    Ta vulve humide et si accueillante.

    Mes hanches se meuvent d'un rythme bien scandé,

    Puis jouissons de ma semence extasiante.

     

     

    THEURIC

  • Début d'essai théorique des difficultés de se faire entendre!

     

    Toutes les informations font sens, en cela leur vide et leur plein renseigne et instruit.

    Toutefois, comme souvent, une information peut faire paraître divers interprétations plausibles, possibles ou probables, les trois dimensions du doute et du choix bien pesé.

    Le plus complexe réside dans la distance que doit conserver l'observateur avec ce qu'il doit observer, d'autant plus lorsque cet observateur a, avec le sujet, un lien affectif.

    Il n'a plus, dès lors, d'autre possibilité que de comprendre ses liens.

    Mais n'y aurait-il pas, toujours, un lien affectif quelconque entre l'observateur et le sujet, ne serait-ce les raisons qui firent qu'inconsciemment cet observateur ait choisi ce sujet d'étude?

    Le symbolique ne serait-il pas le lien que chaque être humain tisse avec le monde depuis des temps immémoriaux?

    Le symbole est le socle constitutif de notre psyché depuis que l'ancêtre de nos ancêtres eut vu le jour.

    Le symbolique et la mémoire seraient, dès lors, tous deux, au centre de ce secret bouillonnement qui nous feraient cultiver notre futur par nos choix multiples aussi que des événements et rencontres dignes de pures synchronicités.

    Symbolique et mémoire seraient ainsi au cœur de ce type de liens affectifs.

                        ................

    "On ne peut pas ne pas communiquer", disait Monsieur Watzlawick, de l'école de Palo-Alto.

    Mais qui disait: "la communication tue le dialogue"?

    La communication tue-t-elle vraiment le dialogue ou ne serions-nous pas continuellement en train de communiquer et de dialoguer en en forgeant ainsi la vérité partagée?

    Pouvons-nous nous passer de dialogue lorsque nous communiquons, pouvons-nous nous passer de communication lorsque nous dialoguons?

    Communication et dialogue, seraient donc de ses deux nécessités incontournables de chaque être humain autour desquelles que se construit la vérité.

    Quelle grande puissance que ne peut qu'être une vérité partagée par tant de personnes depuis deux siècle au moins (l'économisme dogmatique), quelle énergie psychique représente la simple idée de sa prochaine disparition, quel choc lorsqu'elle ne sera plus, quel traumatisme, même.

                       ..................

    De fait, chaque vérité n'est que transitoire et se bâtit continuellement pour expliciter, pour rendre sens au réel en permettant à chacun d'entre-nous d'appréhender la réalité.

    Parce que l'être humain est un être de sens, d'abord et avant toute autre chose avec, central, le symbolique indépassable mais d'une immense souplesse.

    La pire des craintes, des angoisses est celle partagée par tous, quel qu'en soit la cause, toutes ces causes collectives ne se résumant qu'en la crainte de voir son monde disparaître et devenir, ainsi, sans sens.

    Voit-on donc les gesticulations de tant de décideurs s'engluant encore plus dans cette toile d'une crainte compréhensible parce que la disparition de l'économie mondiale et de l'empire américain leur fera perdre le sens d'un monde déjà, pour eux, insaisissable.

    Tout cela si bien partagé par tant de gens hormis ceux qui, de leur assiette vide, se voilent l'esprit en pensant que leurs seuls sauveurs ne pourraient être que des braillards se donnant du parfum d'une extrême-droite elle aussi dores et déjà en finitude.

    Il y a aussi, pour d'autres, la pertinence du jeu politique et social, nécessaire parce que humain, qu'ils y participes ou qu'ils en soient pantins, pour essayer de sauver ce qui peut l'être en vaines tentatives.

    D'autres encore cherchent à trouver des réponses à des questions qui bientôt n'auront plus lieux d'être, ces mêmes questions  posées à un présent d'appauvrissement, bientôt pire, sous peu, lors de la faillite universelle.

    C'est cette bientôt faillite qui fait le silence de tant d'hommes et de femmes qui m'afflige tellement.

    Un couple d'amis en a même passé une nuit blanche de ne m'avoir écouté qu'un court instant.

    Je préfère encore qu'ils n'aient souffert de cette seule nuit blanche et de quelques alarmes que de l'épouvantable désarrois qu'ils éprouveront quand leur monde basculera.

                       ........................

    Ce qui me navre surtout c'est que je sais combien l'humanité incessamment souffrira de cet infini manque de prévoyance dont seul, peut-être, les russes auraient compris la pertinence.

    Serait-il envisageable que cette haine des russes que montre nos décideurs viendrait de là et de seulement là, dans l'étape du deuil qu'est la colère?

    J'en suis convaincu!

    Il n'est pas que du présent qu'il faut porter au centre de la communication et du dialogue, ce qui fait réellement sens aujourd'hui ne peut qu'être notre proche avenir, l'aujourd'hui n'étant plus que l'ombre d'un univers en phase de basculement.

    L'advenir est ce qui compte mais l'avenir nous est d'une extrême dangerosité, c'est pourquoi nous devons absolument l'estimer à sa juste mesure, celle des grands chambardements!

    Mais c’est notre présent qui nous en montre et nous en formule le cours si nous percevons les signes, parfois infimes, qui produirons cette marche en évolution future!

    Nous nous devons donc d'observer le présent pour en estimer un futur qui, quoi qu'il en soit, ne pourra qu'être chaotique.

    De quoi demain sera fait?

    Question pertinente et déjà pesante, devenant terrible si, dès maintenant, nous ne nous la posons pas!

     

     

     

     

    THEURIC

  • Une fois n'est pas coutume...

    Une fois n'est pas coutume, je vais vous renvoyer, ô lecteurs, vers un site où, bien mieux que je ne puis le faire et bien mieux que je ne l'ai fais, vous est expliqué ce qui, dans peut de temps, se produira aux U.S.A. et chez nous.

    Sont détenteur et écrivain s'appelle Monsieur Dmitri Orlov, russe d'origine, immigré aux U.S.A. à l'âge de 12 ans, il a pu suivre le cours de l'effondrement de l'U.R.S.S. et en a tiré une série d'enseignements qu'il livre sur son site.

    Voici son adresse:
    http://www.orbite.info/traductions/dmitry_orlov/

     

     

     

    THEURIC

  • Essai d'une petite réflexion géopolitique.

    Un affrontement majeur n'aura pas pour cause le Proche-Orient, qui reste, quoi qu'il en soit, comme toutes régions frontières et frontalières, une marge, déstabilisé et déstabilisante parce que toujours aux marches de et entre plusieurs puissances (comme les Balkans),  mais il se situera plutôt à la frontière de deux géants voisins en puissance et en développement: entre la Chine et l'Inde.
    Certes, le Proche-Orient peut être un déclencheur (comme aux Balkans et l'attentat de Sarajevo en 1914) mais pas la cause première (les tensions entre Allemagne/Autriche et France/Angleterre/Russie).
    Pour l'instant les évènements probables sont peu lisibles parce qu'il n'y a pas encore une structuration géopolitique véritablement définie, la crise économique première qui ne va pas tarder à advenir, que tous attend et redoute, n'est pas encore passée.
    Elle verra et mettra fin, au mieux, à l’hégémonie américaine, mais plus sûrement à l'existence même des U.S.A..
    Pour l'instant ce pays gesticule pour cacher ses insurmontables faiblesses, l'Europe et Israël a essayé, jusqu'à présent, de s'en voiler la face, mais frémissent les signes d'un revirement, jusqu'à l'Angleterre qui se détourne de son mentor.
    Le reste du monde à d'ores et déjà compris la situation réelle du déclin du second protagoniste de la guerre froide: les États-Unis-d'Amérique suivront sous peu l'U.R.S.S. dans sa disparition.
    Mais à ce jour aucune véritable composition géostratégique ne s'est réellement faite bien que quelques trais se détachent tel que les dissentiments entre la Turquie et l'Iran mais cela même peut évoluer avec le temps.
    Quand à l'Islam, il est traversé d'une contradiction quasiment insurmontable entre une religion et une modernité inconciliables et des enjeux géopolitiques et pétro-politiques dantesques à l'heure de l'épuisement progressif d'une extraction pétrolière de faible coût.
    La multitude de bulles spéculatives parsemant le monde, dont la profusion de surproductions de dollars, yens et livres sterling est moteur, risqueront fort d'éclater quasiment dans le même temps.
    Cet éclatement est déjà par avance et sera sous peu le véritable détonateur de toutes les tragédies des prochaines décennies.
    Ce sera lui le facteur essentiel de la cristallisation, entres autres, des diverses alliances et discordes internationales futures.
    Mais ce qui est aujourd'hui visible ce sont les puissantes forces  centrifuges qui agitent l'Inde comme la Chine dont la modernité n'en est pas moins, ici aussi, le premier responsable (si tant est  que la modernité, comme tout processus, puisse être responsable de quoi que ce soit).
    C'est le déplacement de ces fortes distensions internes à chacun de ces pays hors de leurs frontières qui me fait craindre le risque d'un conflit majeur entre ceux-ci en raison du jeu géostratégique complexe que cela ne pourra pas ne pas générer en Asie.


    THEURIC