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Rechercher : un économiste pour moi inconnu

  • Idée n° 9) appel à de nouveaux concepts

     

    Il nous faut commencer à penser que nos concepts sont dépassés, donc remettre en question ceux-ci, et non pas les remettre en cause ce qui est absurde .

    Cela est le plus ardu parce qu'il est toujours déstabilisant de comprendre que ce sur quoi s'appuie notre représentation mentale du monde est biaisé et, de ce fait, inopérant.

    J'ai pour rendre compte de cela inventé deux concepts, celui de "composition de sens" et de "structure de socialité", le premier représentant l'ensemble des acquis culturels aussi bien sociales (l'inconscient social étudié par les sociologues) que familiales (liés au premier) ainsi que ceux venant de notre confrontation au monde depuis notre plus tendre enfance, la "composition de sens" étant, comme son nom l'indique, ce qui nous permet de donner sens à ce que nous percevons, le discourt que nous nous en donnons, la compréhension que nous en avons, c'est pourquoi, au sein d'une population, il y a une unité générale de pensées communes mais aussi des différences, parfois importantes, de pensées entre les individus;

    La "structure de socialité", elle, vient compléter la première en ce qu'elle concerne les discours partagés par un groupe et donc les actes de chacun de ses participants, qu'il soit professionnel, confessionnel, militaire, politique, associatif (nous pouvons en avoir plusieurs) ou autre, c'est au cœur de la souplesse de notre esprit qui fait notre adaptation et notre désir d'appartenir à un groupe que se trouve son ferment (il était dit, lorsque je faisais mon service militaire que "penser c'est déjà désobéir").

    Cette deuxième notion nous fait comprendre pourquoi beaucoup de personnes ont tendance à adopter le discourt, les agissements, jusque la gestuelle et l'accent du groupe dans lequel ils sont, auquel, à ce moment là, ils appartiennent (c'est appartenir à un groupe qui produit ce processus).

    Une troisième notion se montre par un aphorisme: "qui observe transforme!", étant entendu que c'est aussi bien le sujet ou l'objet observé que l'observateur lui-même qui se trouvent transformés par l'action d'observation de celui-ci, ceci partant du principe que l'on ne peut observer quoi que ce soit sans exercer une quelconque activité sur le sujet / objet ou sur les traces que celui-ci a laissé avec le temps, et que l'observateur lui-même sera transformé en raison de la compréhension qu'il aura du sujet / objet ainsi observé.

    Ce sont trois des outils que je me forge pour que je puisse comprendre le monde qui m'entoure bien qu'il m'arrive parfois de m'apercevoir que ce que j'avais découvert le fut auparavant par quelqu'un d'autre.

    IL en est ainsi de "l'idée force", découvert bien avant moi par des universitaires américain sous un nom que j'ignore et qui dit que si une idée est répétée suffisamment de fois par des personnes ayant une certaine autorité, elle deviendra, avec le temps, une conception que tout le monde adoptera, que celle-ci soit logique ou pas.

    Bon, je vous laisse cogiter là-dessus, étant entendu que toute idée ne peut être adopté par quiconque que si chacun, en son fort intérieur, en jauge et juge de sa validité.
  • La police.

    Pour le moins, les réactions policières face aux gilettistes relèvent de l'incongruité la plus totale: comment ceux-ci peuvent-ils imaginer que le système qu'ils protègent puisse perdurer ad vitam æternam?

    Ceci d'autant plus que leur manque criant de personnel les mène  à devoir faire des heures supplémentaires qui, tant que la France restera dedans l'Union-Européenne et que les partis politiques pro-UE, réformateurs ou pas, seront au pouvoir et dans les chambres délibératives, ne seront jamais payées.

    Payés des clous, sous équipés, avec peu de repos, ceci ruinant leur famille et leur santé, pour sauvegarder ce système néolibéral euro-atlantiste à l'agonie dont ses représentant n'ont pour eux aucun respect, les plus agressifs d'entre-eux ne se rendent même pas compte qu'ils risquent, en plus d'être haïs par la population, de se retrouver en prison dès que celui-ci se sera effondré et le pouvoir changé de main.

    Je comprends parfaitement ce qu'il se passe en eux, ayant été moi-même conducteurP1020193.JPG de bus à Paris, avec des horaires très irréguliers, des pressions continuelles pour que nous roulions de plus en plus vite, sachant que nous risquions d'être virés s'il y avait un grave accident, dans la peur qu'il y ait un mort en ce cas, et, pour ma part, d'avoir été manipulé par un pervers narcissique pendant trois décennies:

    Ainsi, ces policiers et gendarmes, totalement épuisés, ce qui diminue leurs capacités mentales, certains d'entre-eux devant même dormir à la moindre occasion, angoissés, soumis par des pressions continuelles de leur hiérarchie générant en même temps de la peur qu'ils ne se retrouvent au  chômage ou devant des juges, peur aussi de recevoir un mauvais coup, les menant à de l'immense colère d'être contraint d'agir de la sorte, à l'encontre de la morale et de la probité, qui, normalement, devrait se tourner à l'endroit de ceux qui donnent les ordres mais qui est en réalité refoulé par leur soumission.

    Cette soumission étant la complexe résultante de l'activation de ces deux émotions primaires, la colère et la peur.

    Avec de plus des délateurs au sein de leur groupes, qui, par intérêt et/ou par perversité, pour qui il leur est fait miroité un avancement hiérarchique rapide, ce à quoi seuls les naïfs peuvent croire, désignant ceux qui ne se montreraient pas suffisamment violent.

    Sans compter un discours rabâché par cette même hiérarchie les désignant comme P1030475.JPGétant l'élite de la nation (écoutez bien votre petite voix intérieure, amis policiers et gendarmes, elle vous dira que ce ne sont que des mensonges, cette hiérarchie n'a pour vous que du dédain!).

    Variant ainsi entre la carotte et le bâton, un barbecue de temps en temps aussi.

    ( Je n'y suis pas, certes, mais c'est tellement classique, sinon évident, qu'il ne suffit que de quelques réflexions pour le conceptualiser, bien que j'aie mis du temps pour cela.  )

    L'une des résultantes de tout cela étant le nombre de suicidé parmi les policiers et les gendarmes, sans compter tous ceux qui, empreints d'un stress intense, ne font plus rien quand il ne sont pas au travail, ne se rendant pas compte qu'ils ne sont pas loin d'une profonde dépression.

    Renforcée par ces discours hiérarchiques, c'est cette colère qui, en réalité, se porte à l'endroit de ceux qui les dirigent et discourent de la sorte que tous savent parfaitement incompétents, cette colère, ai-je dit, qui, alliée à la peur et à l'épuisement, conduit à leur soumission à leurs chefs.

    Colère qui est, comme toute émotion peut l'être, déplacé à l'endroit des gilettistes et de tous leurs alliés ou considérés comme tels, seule manière pour eux de conserver un semblant d'équilibre mental.

    Leurs époux ou épouses percevant bien que ce qu'il se passe en ce moment les déstabilise mais comprennent bien qu'ils ne peuvent rien faire, hormis, de plus en plus, une fuite avec les bagages et les enfants, ce qui accroit d'autant plus pour les policiers et gendarmes leurs désarrois, du moins les femmes policières peuvent-elleP1020928.JPG tout faire pour être enceinte et s'éloigner de cet enfer, ce qui ne peut que soulager leur mari.

    Ce que je montre là n'est en rien fait pour excuser qui que ce soit mais pour montrer une mécanique de manipulation mentale menant policiers et gendarmes à agir de la sorte.

    C'est la seule explication que j'ai pu trouvé donnant du sens à leurs exactions, d'ailleurs s'ils me lisaient la plupart nieraient, dans un premier temps, ces faits, mais dans un premier temps seulement (si quelqu'un à quelque chose de mieux à me proposer pour décrire ce paradoxe que je viens d'énoncé, j'en serais ravi).

    Seule la conscience en effet de cette machinerie infernale peut permettre aux policiers et aux gendarmes de recouvrer leur libre-arbitre.

    Ce gouvernement et tous ceux qui les suivent ne sont en rien des démocrates et il leur faut à tout prix maintenir leur contrôle de la population qui, plus le temps passe, mieux comprend l'incohérence et la malfaisance des allégations déplorables et mensongères de tous ceux qui profitent de l'existence de l'Union-européenne, dont le nombre se rétrécit comme peau de chagrin.

    Union-européenne qui, part ailleurs, détruit les tissus sociaux, politiques et économique de la France.

    P1020917.JPGIl faudra ensuite, pour chacun d'eux au métier du maintien de l'ordre et gardien de la paix sociale, un long temps de repos, pouvant se compter en mois pour certains, pour qu'ils puissent récupérer de cette réelle folie.

    Or, cela ne pourra que survenir que quand le pays, d'une manière ou d'une autre, sera sorti de l'UE et qu'un changement de gouvernement se fasse.

    Si cela arrive en raison d'un effondrement de l'économie mondialisée monétariste, il est à craindre que beaucoup de ces policiers et gendarmes ne pourront pas être aptes, par épuisement tant mental, nerveux que physique, à faire leur travail, ce qui surajoutera grandement à nos difficultés d'alors.

    Ceci sachant qu'il nous faudra aussi remplacer cette hiérarchie décadente.

    Ce billet étant, vous l'aurez remarqué, d'essence pacifique.

     

     

    THEURIC

     

    PICT0111.JPG

  • Sur les routes de l'incertain.

    Comme vous avez pu vous en apercevoir, je fais dorénavant des textes courts.

    Je peux vous en présenter deux dans une journée ou un tous les deux à trois jours, cela suivant les événements et mon inspiration.

    Quand je prendrai des vacances je mettrai mon site, bien entendu, en repos, il en a bien  besoin, je vous en avertirai, cela va de soi.

     

    Ne nous le cachons pas, nous sommes tous en pleine incertitude: de quoi demain sera-t-il fait?

    A la pauvreté qui s'accroit et qui a mis les gilettistes dans la rue;

    Une équipe gouvernementale incompétente où nombre de gens se demande si elle ne virerait pas en un fascisme monétariste sous obédience oligarchique et germanique;P1020108.JPG

    Une désorganisation du pays qui gagne tous les secteurs de la société;

    Les usines et les exploitations agricoles qui disparaissent les unes après les autres;

    Une Union-Européenne dont tout le monde a bien compris qu'elle est à l'origine de quasiment tous nos problèmes mais de laquelle la majorité d'entre-nous, de peur, n'ose même pas songer à en sortir bien que le voulant résolument (d'où ce vote Le Pen qui est la résultante de cette double contrainte);

    Les mouvements politiques qui se délitent et dont ne reste plus qu'un R.E.M. que presque tout le monde déteste, un R.N. pour qui les électeurs votent en se pinçant le nez, se demandant à chaque fois s'ils n'avaient pas fait une grosse sottise, et une F.I. dont plus personne ne comprend rien;

    Des tensions internationales, entre les U.S.A. et l'Iran notamment, dont on nous promet la guerre sans que n'en soit saisi vraiment les raisons et en soupçonnant qu'il n'en  sera rien;

    Un président U.S., Mr. Trump, qui nous est présenté comme le pire des renégats mais que chacun au fond de lui-même plébisciterait presque pour la France;

    P1020040.JPGUn Poutine dirigeant la Russie et qui serait un tyrannique va-t-en-guerre mais que les français aimeraient tant en tant que président;

    Un président de la République Française dont chaque concitoyen conçoit autant comme étant un mioche, un drogué, un pauvre type, un malade mental ou un total incompétent, sans savoir vraiment ce qu'il est réellement et en ayant pour lui un important dédain;

    Une Allemagne qui, une fois encore, a réussi à se faire haïr des populations européennes et où, en France, il n'est pas loin que les vieux termes injurieux à l'égard des allemands reviennent;

    Une situation où tout le monde sent bien  qu'elle est bloquée, qu'elle nous conduit vers toutes les calamités, que chacun souhaiterait que tout se casse pour tout reconstruire tout en craignant que cela se fasse, tout en voulant que, surtout, plus rien ne bouge, en étant conscient que cela est impossible et en désirant une révolution que personne ne veut.

    A une dame à Paris a qui j'avais donné quelques conseils pour prendre en photo un bâtiment, je racontais ensuite, et elle était chaque fois d'accord avec moi, que les immeubles modernes sont laids au regard de ce qu'il se faisait auparavant, puis que le pays se désindustrialisait, que nous nous retrouverons à un moment donné à faire face à une effondrement économique généralisé, que notre équipe gouvernementalP1020069.JPG est composé d'incompétents qui fuiront leurs responsabilités dès alors que l'Union-Européenne s'en délitera... 

    Puis je commença à lui expliquer les immenses difficultés que nous aurons à affronter dès que le système économique globalisé aura cessé de fonctionner, à ce moment là elle avait fuit en ne cessant de me répéter 4, 5, 10 fois peut-être: "Je ne veux pas savoir, je ne veux pas savoir, je ne veux pas savoir...".  )

     

    Messieurs-mesdames mes lecteurs, à mon sens aujourd'hui nous nous devons de faire simple, foin de toutes ces angoisses.

    Certes la période est brouillonne, confuse, nébuleuse, désordonnée, désorganisée, tumultueuse, embrouillée, violente, excessive et cruelle, de telle façon que plus grand monde n'y comprend grand chose, en en étant anxieux sans en comprendre pourquoi.

    De telle sorte qu'une truie y perdrait ses petits au milieu de sa bauge et que le meilleurs des latinistes y perdrait son latin.

    P1020886.JPGEt que tous nous en souffrons d'une manière ou d'une autre, que certains en ont même perdu un œil ou une main.

    Mais il est plus vrai encore qu'un jour, bientôt, il nous faudra reconstruire le pays, comme après une guerre de grande ampleur, et à ce moment là tout le monde aura besoin de tout le monde, chaque français de chaque français.

    Personne ne sera là pour nous y aider, les Amériques seront aux cents-dixièmes dessous, l'Allemagne, détestée, se délitera, la Grande-Bretagne sera dans la même panade que nous en moins pire, nos autres voisins auront les mêmes chats à fouetter que partout ailleurs et la Russie devra revoir ses alliances à l'est de l'Eurasie.

    Nous nous retrouverons dès lors au-devant d'un beau merdier....., la belle affaire, c'est aujourd'hui qu'il nous faut donc nous y préparer et non pas quand nous serons les deux pieds dedans.

    C'est ça, faire simple: voir l'essentiel de la situation et écarter ce qui est inutile dans nos réflexions.

    Ainsi, c'est le bordel en France, c'est vrai, nous ne pouvons pas y faire grand chose pour le moment, c'est vrai aussi, nous devrons reconstruire un tissu industriel et agricole en partant de quasiment rien, c'est vrai également, la structure économique du pays est bousillée, c'est tout autant vrai, les mouvements politiques anciens neP1020020.JPG seront plus, oui, c'est encore vrai.

    Mais là, le renouveau est déjà présent, l'U.P.R., le connaissez-vous? Même d'autres partis existent, bien que souvent encore en jachère.

    Les médiats nous racontent presque que des foutaises, notre langue, le français, est bafouée tous les jours, l'école perd de son savoir quand elle arrive à le transmettre, le mensonge est érigé comme une preuve de probité, la publicité est vulgaire, l'Union-Européenne est dirigée par des médiocres, elle est irréformable et destructrice, c'est vrai, cent fois vrai, mille fois vrai, et alors?

    Les médiats nous content des salades, nous mentent ou rabâchent les mêmes sornettes que ce que l'oligarchie euro-atlantiste leur enjoignent de dire, alors, controns-les, lisons entre les lignes comme le fait si bien Tatiana Ventôse et son équipe du "Fil d'actu", vous verrez c'est très instructif (demandez-vous et demandez autour de vous pourquoi il faut dire aujourd'hui "changement climatique" sans rien y rajouter et répétez la question puisque personne n'en connait la réponse, moi si, allez voir ce que je dis au sujet du brouillard conceptuel).

    ( N'oubliez pas ce que je me répète sans cesse quand je ne comprends pas un événement: toute action humaine est toujours le résultat d'une résolution, quand  bien même serait-elle insensé: tout fait et est sens chez l'Être Humain même si ce sens est extravagant, absurde, sot, excessif ou dément. )

    La langue française est outragée, réapproprions-nous la, bannissons-y les mots anglais inutiles, travaillons jour après jour à y retrouver son exactitude qui fit d'elle P1020090.JPGce langage si apprécié d'antan partout en Europe, jusqu'en Russie.

    Redonnons lui ce renouveau qu'elle nous réclame et montrons par l'exemple et par l'éducation aux enfants que savoir est gratifiant.

    Quand à l'Union-européenne, ma foi, plus ça va et plus il y a de monde qui veut sa peau, même les classes-moyennes les plus hautes commencent à se demander si, par hasard, ce bidule plutôt débile ne serait pas la cause des déboires de leurs progénitures.

     

    Alors résumons-nous en y posant une conclusion:

    La société française est actuellement un véritable capharnaüm où tout part à vau-l'eau et il ne peut qu'en être de même partout en Occident au moins.

    L'économie mondiale est très mal en point et va craquer à un moment ou à un autre.

    Mais il faut dès maintenant commencer à nous préparer à réparer cette double déconfiture actuelle.

    Seules les savoirs, les connaissances et une entraide généralisée peuvent nous le permettre et que cela se fasse avec la plus grande des promptitudes.

    Nous serons seuls et devrons faire avec ce que nous avons.P1010260.JPG

    C'est pourquoi c'est maintenant qu'il nous faut y songer.

    Quand aux complexes divagations de l'époque, elles ne sont complexes que parce qu'elles ne sont que de pures divagations, ni plus, ni moins!

     

     

    THEURIC

  • Qui a peur?

    Oserais-je le dire, quasiment tout le monde, moi compris.

    Je le sais, je le sens, le 14 juillet nous fut une date butoire: l'Europe a basculée et ne sera plus jamais comme elle se donnait à paraître depuis cinq à six décennies.

    Depuis 7 jours, une semaine, 90% de lecteurs en moins parcourent ce blog, cela signe, à mon sens, un basculement psychosocial de notre société.

    Cette peur s'inscrit au sein de toutes les strates de la société, au sein de tous les niveaux hiérarchiques, au coeur de toutes les institutions.

    Mais surtout elle empoisonne la raison des élites politiques, économiques et médiatiques qui ne cessent, de toutes leurs forces et au tout les jours, de cacher leur faillite morale.

    Cela veut dire, surtout, que ce processus de cristalisation duquel je vous ai entretenu le 7 Juillet est, dès à présent, en marche.

    C'est à dire que nous allons voir, et ce très rapidement, se transformer le monde à un point tel que dans très peu de temps celui-ci ne ressemblera plus en rien à celui que nous connaissons aujourd'hui encore.

    Si notre gouvernement ne prend pas, pour notre pays, dès à présent, soit trois semaines, les mesures qui s'imposent en mettant, par exemple, derrière les barreaux les petits et les grands truands, malfaiteurs, voyous, fripouilles, mafieux, crapules et malfaisants de tout ordre et de tous niveaux sociaux, je crains que, d'une façon ou une autre, d'autres institutions sociales le feront à sa place, que cela plaise ou non à ses représentants élus et non élus, avec ou sans leur consentement et que nous pourrions même avoir affaire à un débordement des métiers d'armes et de savoirs.

    Si notre président ne fait pas cette rupture qu'il sait depuis longtemps inévitable, et ce dans ce même laps de temps, je crains qu'il ne se retrouve confronté, sous peu, aux mêmes débordements, quitte à nous faire quitter un euro devenu de plus en plus indéfendable  avec sa monnaie en déshérence et ses billets d'une laideur inconcevable, insoutenable qui nous le montrent et démontrent tous les jours: des portes, des fenêtres ou des escaliers ne menant nul part ne peut mener où que cela soit une quelconque société, et encore moins une économie.

    L'heure est grave, très grave, la faillite de la ville de Détroit est une annonce symbolique, comme  le frissonnement du sol avant un terrible séisme, plus personne n'est dûpe mais une majorité, une très large majorité est aveugle, nos élites plus encore!

    Pour nous, il n'y a, maintenant, plus rien à faire que de se protéger et, autant que faire se peu, protéger ses proches si ils comprennent, si ils peuvent comprendre, si ils veulent comprendre la puissante déferlante devant laquelle nous sommes.

    J'ai, maintenant, dis quasiment tout ce que j'avais à dire et vais pouvoir passer à autre chose.

    A bon entendeur,

    salut!


    THEURIC

  • Florilège 6

    Les jeux de mots déjouent les jeux de maux.

     

    Genêt

     

    Pour les garagistes:

    Chacun sait que les roues sont, par une évidence première, fragiles, car les roues pètent (ha, ha, ha, ah, aaah...).

     

    Pour les indiens et les russes:

    Si l'on veut prendre le train? il n'y a pas intérêt de leur demander leur nom, le train risque de partir avant.

     

    Pour les fées (et la fée raille):

    Il y a le loup garou et le chamane.

     

    Pour les métallurgistes (pourquoi eux et pourquoi pas que non du contraire?):

    Il ne faut pas confondre: le dollar, de l'art, du lard, des laarrhes et un avion à réaction!

     

    Pour les mérous:

    En y réfléchissant bien, un bateau à moteur est aussi une automobile sans roue.

     

    Jeunet

     

    Ne comprenant pas ce que veulent dire les acronymes des partis politiques, pour vous, amis lecteurs, je vais, de ce pas, vous expliquer de ce qu'il en est réellement:

    PS: polissons sérieux;

    PCF: petits coquins fripons;

    LR: libertins rugissants;

    UDI: Ultra-dévergondés impatients;

    ELV: élégants licencieux viveurs.

    En espérant que cela vous serve pour les prochaines élections!

     

    Pour les nonnes:

    Qui n'aime pas les religieuses (enfin, moi, ce que j'en dis...)?

     

    Envers les neurologues zoologues:

    L'on dit: "dormir comme un loir", mais qu'en est-il du dodo?

     

    La ronde du foulard: 

    C'est un jeu collectif pour les jeunes enfants qui se joue avec un adulte.

    Une vingtaine de gamins serait au minimum nécessaire.

    Faire une ronde puis asseoir les enfants là où ils sont, sauf l'un d'entre-eux.

    Celui-ci tient le foulard dans la main en tournant autour de la ronde puis discrètement lâche ledit foulard derrière l'un des marmots en continuant de marcher.

    Ce dernier, dès qu'il s'en aperçoit, prend le tissu, se lève et lui court après, ainsi tous-deux se poursuivent en courant.

    S'il est rattrapé, le premier reprend le foulard puis recommence de tourner en marchant,  sinon celui qui fut choisi reprend sa place assise.

                                             ........................................... 

     

    Pour les géographes:

    A Cuba il y a-t-il des hauteurs?

     

    Jeu n’ai

     

    Pour les vietnamiens:

    La Grèce: cela ne m'étonne pas qu'y pousse tant d'olivier.

     

    Pour les grecs:

    Au Vietnam, qui nem pas çà, tant-pis pour lui.

     

    Pour les versaillais:

    Jouïe-en-Josace, qui est-elle?

     

    Pour les météologues:

    Quel est le chiffre du beau temps?

    Le 6!

    Il faut en effet attendre que le temps s'éclaircisse.

     

    Pour les amateurs du J:

    Il joue à un gentil jeu joyeux de jouissance assis sur un cageot: le banjo (enfin, ce que j'en dis: au dé il fait ce qu'il peut).

     

    Jeûne n'est

     

    Pour les italiens:

    Ils ne peuvent avoir de manque de Pô.

     

    A l'endroit des officiers de justice:

    Il y a le cri qui tue: tut; et le cri qui pue: proute. 

     

    Pour les dentistes radiologistes:

    Un micro est la moitié d'une dent.

     

    Pour les géographes:

    Science PO, n'étudier qu'un seul fleuve... .

     

    Pour les pêcheurs au-long-cour:

    Il ne faut pas jouer les thons nés (il est vrai que certaines de mes blagues sont nulles mais, là, la nullité atteint un niveau artistique rarement égalé, là se trouve toute ma fierté).

     

    Jeune haie

     

    Pour les amateurs du K:

    Le képi en kit du gendarme en kilt, buvant un bock de bière, kiffe bigrement.

     

    Pour les mineurs de fond formés par les militaires de carrière:

    Mine de rien??? Ne serait-ce là juste qu'un trou?

     

    Pour les amateurs de douche:

    L’inconvénient avec la pluie c'est que ça mouille, dès-lors, préférons-y les grêlons (ma fierté s'accroît).

     

    Pour les historiens:

    Les allemands sont-ils nos cousins germains (bof, que dis-je)?

     

    Pour les amoureux du dictionnaire (oui ça existe, il s'agit de cas rares comme le dirait un bijoutier):

    Le K est rare contrairement au Q!

     

    Je nais

     

    Pour nous les hommes:

    Par certains moments de la vie, les toilettes nous paraissent bien étroits!

     

    Aux impudiques:

    Ce n'est pas seulement en raison de quelques questions de cultures ni même de culte que l'on parle de Q, vous n'êtes vraiment que des dévergondés!

     

    Pour les amateurs de mes blaguounettes nullissimes et de vins fins:

    Il est tout à fait normal que celui qui est rond un soir ait la tête au carré le lendemain: c'est le carré de l'hypoténuse divisé par π/vache.

     

    Je n'hais

     

    La danse du tapis:

     

       Çà, c'est une danse de fête familiale ou entre amis.

       Une musique entraînante pour une ronde que vous formez,  une personne seule, homme ou femme, garçon ou fille, étant au milieu, tenant un rectangle de tissus qu'elle ou il dépose au-devant de la personne de son choix.

       Celle-ci sort du cercle qui, à ce moment arrête de tourner un instant, puis tous deux s'agenouille l'un en face de l'autre et se font quatre bises (quand aux gourmands...).

       Enfin la personne sortie de cette ronde prend le tapis et celle qui le détenait prend sa place, et la ronde recommence à tourner.

                                              .................................................

    Avis aux africains ainsi qu'à ceux qui en sont d'origine:

    Saint-Affrique est une ville.

     

    Pour les lexicographes:

    Devant autant qu'autant on ne prononce pas le T se trouvant derrière!

     

    Pour les tourneurs-fraiseurs:

    Avec une fraise des bois, de combien serait-il possible de faire un trou?

     

    Pour les météorologues:

    La canicule..., que fait la canne?

     

    Pour être sérieux il faudrait parfois savoir en manquer.

     

    Jeune n'est.

     

    Pour les yougoslaves:

    Les peuples slaves doivent être ceux des plus propres.

     

    Aux restaurateurs:

    C'est bien parce qu'on a faim qu'un plat a toujours un petit creux.

     

    Pour les  juges d'instruction:

    Un suspect a-t-il mauvaise halène?

     

    Pour les boulangers:

  • Fiction 7) Reconstruction

     

    « Mais comment veux-tu que je fasse, nous manquons de tout, tu ne veux tout de même pas que je te le ponde, ton acier, nous avons fermé nos fonderies, nos aciéries, nos mines, nos papèteries, nos usines ont fondu comme neige au soleil, et même si certaines reviennent, tout a augmenté, le prix de la moindre fourchette a bondit de plus de mille pour cent, quinze euros pour une fourchette, te rends-tu compte ?

    -Franc, et non plus euro...

    -Franc, si tu veux. Et pour l'agriculture, ce n'est pas mieux, nous manquons de terre arable et il nous faut défricher par hectares entiers, nous manquons de fruits, de légumes, de céréales, nous n'avons même plus de métal pour fabriquer des conserves, nous avons abattu des cheptels entiers parce que nous ne pouvions plus nourrir le bétail, l'importation d'aliment pour bestiaux se fait au compte goute, et pour le carburant, c'est pire, près de soixante dix pour cent des voitures restent au garage faute de diésel, ceux qui ont une automobile à essence s'en sortent encore mais payent leur carburant une fortune, et tiens, mis à part le train, le reste des transports est quasiment bloqué, les bus, les camions sont en pane sèche, et j'ai dû réquisitionner ce que je pouvais en carburant pour les péniches, les transports ne fonctionne plus convenablement, je fais tout passer par voies de chemins de fer ou par bateaux... »

    André laissait passer l'orage, il le connaissait bien, Loïc, organisateur hors pair, doté d'une volonté incroyable mais totalement réfractaire à toute autorité, entêté et râleur.

    Mais combien avait-il raison, la situation de l'Europe et de la France est bien telle qu'il l'avait décrite, effroyable, pour calmer la population il avait fallu trouver des boucs émissaires, les banquiers et boursicoteurs véreux, les hommes politiques les plus magouilleurs et les cadres de l'administration malhonnête avaient servi d'exutoire mais maintenant l'effet de cette purge commençait à s'estomper, surtout qu'il avait fallu prendre des mesures impopulaires comme de demander aux chômeurs de défricher les sols, payés au S.M.I.G., c'était bien le moindre mais ça n'avait pas été simple de refaire travailler des personnes qui, pour certaines, ne savait même plus ce que c'était, il fallu aussi détruire des maisons de campagnes bâties sur des terres arables, de réquisitionner les retraités pour former les plus jeunes, de rétablir le service militaire ou de rouvrir les mines... .

    Au moins d'avoir mis tout le monde sur le même pied d'égalité avait-il évité que les différences d'origine n'accentue le racisme, quand on met hommes et femmes de couleurs de peaux dissemblables ensemble sur de tels chantiers, la dureté du travail relie les gents plus que ça ne les sépare.

    Cette réunion se passait chez André De Couberlin, conseillé du ministre du redressement productif, les satiristes disaient de lui : « le principal, avec lui, c'est de participer ».

    C'était lui qui avait nommé Loïc Leguéan comme chargé de mission, ils avaient été tous deux sortis de leur placard en même temps, l'administration ne supportait plus, à l'époque, leurs critiques continuelles des choix politiques et économique que faisaient les hommes politiques de ce temps là.

    Puis, il lui avait laissé toute latitude pour former son équipe et s'organiser. Cet homme accomplissait des prodiges.

    Il était assis en face de lui, de chaque coté de la table sur laquelle étaient étalés les reliefs du repas, sûrement premier vrai diné qu'il avait du prendre depuis pas mal de jours.

    « Je t'avais juste demandé comment tu t'en sort avec l'approvisionnement en acier... »

    Un visage féminin apparu par l'encoignure de la porte :

    « Eh, un ton plus bas, tout les deux, le premier qui réveille les enfants va se charger de les rendormir.

    -Ne t'en fais pas, chérie, nous parlerons plus bas. » puis l'adjoint, se tournant vers son auxiliaire, « Alors, que ce passe-t-il pour l'acier, les entrepreneurs pressent le ministre de toute part, nous n'avons quasiment plus de réserve...

    -L'équipe de technicien a réussi à remettre en route les deux derniers hauts-fourneaux qui avaient été éteint, ça n'a pas été une mince affaire, pour l'un d'eux cela faisait des années qu'ils ne fonctionnaient plus mais nous manquons de minerais...

    -Je m'en occupe, j'ai demandé à Pierre Verneuille de lancer des pourparlers avec différents pays producteurs mais ça va nous coûter cher, et pour les mines, où en est-tu ?

    -Beaucoup sont inondées, des pompes ont été installé pour celle qui ne sont pas trop délabrées bien que nous ne puissions être sûr de rien, ensuite il faudra attendre que ça sèche puis en contrôler l'état, certaines vont pouvoir être exploitées à ciel ouvert, ce sera plus rapide mais ça prendra tout de même du temps.

    -Combien ?

    -Avec un petit peu de chance, dans un trimestre il y aura les premières extractions. »

    La femme de Pierre apparue portant en mains un plateau sur lequel il y avaient trois tasses fumantes de café, des petites cuillères et une sucrière.

    Elle servit l'invité le premier.

    « Sans sucre, merci. » Dit-il. Il bu une gorgé du breuvage bouillant puis, se tournant vers son hôtesse : « Dis-moi, Éveline, à ton avis, quel spectacle dois-je proposé à toutes les personnes qui triment en ce moment ? »

    Elle réfléchit un instant puis dit :

    « Propose leur toute sorte de spectacle mais de qualité, il faut, me semble-t-il, que tout le monde se souvienne de l'année passé ensemble comme les meilleurs de leur vie, surtout, il ne faut pas que quiconque s'ennuie.

    -Je vois, merci Éveline. » Puis reprenant la conversation précédente : « Quand bien même nous avions le minerai nécessaire, deux hauts-fourneaux ne seront pas suffisant pour le pays et les autres pays européens ne sont pas mieux lotis que nous. Tu te rends compte que nous tous, pays européens, sommes contraint de mener une politique du tout état d'une planification quasiment communiste ?

    -Qu'y a t-il de mal à cela ? » Demanda Éveline qui s'était assise après avoir servi le café. « Nécessité fait loi. Bien que nous puissions considérer, » continue-t-elle, « comme réalité qu'une mauvaise politique ne peut que mener à de la mauvaise économie il est tout aussi vrai qu'une bonne politique ne génèrera que de la bonne économie, en revanche je suis sûr que la meilleurs économie qu'il soit ne peut mener qu'à de la mauvaise politique, comme le disaient les anciens : «  l'argent est un bon serviteur et un mauvais maître » et de quoi discutez-vous, messieurs, depuis tout à l'heure, sinon que de politique même si cela ne concerne qu'un pan limité de celle-ci : la réorganisation de la société après une calamité, et un effondrement économique est une calamité.

    -Tu aurais dû, » lui répondit son mari en l'embrassant, « te présenter à des élections, ton esprit en ces choses est toujours aussi agile.

    -Et moi je dis que nous ne sommes pas encore sorti de l'auberge, » répliqua Loïc, « pour construire de nouvelles usines, par exemple, il me faut du ciment, or, comme pour beaucoup de choses, le ciment, aussi, manque, nous en fabriquons, mais pas suffisamment, nous en consommons tellement que les fabriquant ont de la peine à fournir, il nous est même arrivé de reprendre de vieux truc comme le mélange de chaux et de vieille briques concassées...

    -Loïc, » l'interrompit Éveline qui voyait les yeux de son époux se fermer, « excuse-moi de mettre un terme à votre conversation mais il se fait tard, peut-être serait-il bien que nous allions tous trois nous coucher, vous pourrez reprendre votre discutions demain, au petit-déjeuné ? Ta chambre est la première à droite en haut de l'escalier, la nôtre se trouve en face.

    -C'est la première fois depuis mon enfance que quelqu'un m'envoie me coucher comme ça, » répondit-il en souriant, « mais j'obéis à ton ordre et c'est vrai qu'André m'a l'air de dormir debout. »

    Et tous trois de monter.

  • Chère Tatiana Ventôse.

    Que je vous dise, une vive intelligence telle que la vôtre ne se trouve pas sous les pattes d'un cheval ( que voulez-vous, j'adore aux plus hauts points user des expressions anciennes, je leur trouve de ce charme suranné qui fleure si bon le verbe d'antan, comme le chantait Brel  ).

    C'est dans votre vidéo du 28 Juillet 2019 où j'ai vraiment admiré vos capacités de réflexion, d'ailleurs si j'avais eu un enfant j'eusse aimé qu'il ou elle ait un esprit aussi bien fait qu'il peut en être du-vôtre.

    J'écarte dans ce billet les questions climatiques, sujet que je reconnais clivant, que j'ai pu traiter de nombreuses fois et qui, en réalité, n'est pour moi pas d'une importance majeur, il se passe des choses autrement plus importantes que cela, tant en politique, en économie qu'en pollution.

    Quand à la petite demoiselle, Greta Thunberg, j'avoue ne l'avoir considéré au début P1010825.JPGque comme une vague curiosité quand, après avoir regarder votre film, j'en ai compris le plan politique: détruire E.E.L.V. et F.I. de l'intérieur, ce qui semble, de vos dire, se réaliser.

    Il va s'en dire, bien que je l'écrive, qu'utiliser ainsi une très jeune femme, ayant quelques défaillances mentales de ce qu'il s'en dit, ne peut que nous montrer l'état de délabrement de l'humanité du système politique français sous la botte de l'oligarchie, et au-delà européen et occidental, si tant est qu'elle en ait eu un jour, de l'humanité.

    En un mot comme en cent, c'est ignoble et digne des plus vils personnages, qui se devraient de passer devant le juge pour abus de faiblesse.

    Si donc vous avez parcouru ici mes nombreuses lignes, vous vous serez aperçue que je m'étais laissé pareillement entrainé dans les méandres mortifères d'un de ces malades mentaux profonds, pouvant être diagnostiqués par les professionnels comme étant pervers narcissiques.

    Je l'ai vu mentalement détruire ses compagnes et conquêtes tout en considérant ses agissements normales, puis, quand la dernière, après avoir tout fait pour qu'il la rejette, se fut définitivement débarrassée de lui, il déversa toutes ses agressives angoisses et sa folie à mon encontre.

    Là où ça devient intéressant et directement lié à l'affaire Greta, c'est que j'y retrouve,P1020922.JPG sous des formes, bien sûr, différentes, les moments de manipulations outrés, outrageant, injurieux, culpabilisant et violents que j'ai pu vivre juste avant que je ne décidas qu'il était enfin temps de ne définitivement plus avoir affaire à cet incohérent et halluciné énergumène.

    Le tout teinté d'une médiocrité qu'il lui devenait vain de dissimuler sous un masque de fausse bienséance et connaissance, qu'il tirait, pour cette dernière, de phrases qu'il devait ici et là trouver au hasard de ses lectures rapides de livres compulsés dans des librairies où toute sa suite, dont moi, l'accompagnait de temps en temps, ce dont il devait se recharger de manière régulière et qu'il répétait de façon péremptoire sans lien avec une quelconque conversation en cours (il me fallu du temps pour comprendre tout ça).

    C'était là l'une de ses techniques de manipulation.

    Mes capacités de discernement étant à ce point amoindries que je n'en trouvais pas là la moindre chose à en redire, 25 ans de conduite d'un autobus parisien et mon état dépressif qui s'en suivit m'en étant d'une cause majeur.

    Si  je vous fait cas ainsi de mon vécu c'est pour vous  montrer combien je peux autant saisir ce qui peut animer ainsi de vos proches à l'égard de la mademoiselle P1020020.JPGpapillotine discourant devant ces bons et si importants messieurs de l'assemblée nationale, mais surtout ce que sa simple présence  démontre: le début de panique qui habite l'oligarchie financière euro-atlantiste et ses petites mains françaises des radioéléments, dites du R.E.M..

    La monté en puissance de cette violence, entre-autre envers les gilettistes, montre en effet que les-dits oligarques sentent perdre leur pouvoir sur les gens, d'où la présentation de cette gamine, dont le baragouin ressemble beaucoup aux petites phrases sortant de tout contexte dont je vous entretenais plus haut.

    Vous remarquerez que Mr. Macron  fit de même lors de sa compagne électorale avec, par exemple, son "Pensez printemps" totalement abscons, signe pour les même de leur affolement déjà présent.

    Mais là il s'agit d'une véritable violence culpabilisante, c'est pourquoi ce fut elle qui fut choisie, une petite fille fragile toute mignonnette, et qui doit parsemer ce boniment appris par-cœur partout dans une Union-Européenne perdant sa maîtrise sur les peuples.

     

    L'un de vos commentateur n'a pas eu l'air de saisir ce que vous vouliez dire par : "En politique ne pas avoir d'avis c'est déjà en avoir un."P1020038.JPG

    Pourtant là se trouve l'un des fondements les plus importants du positionnement politique.

    Mais aussi de la réflexion métaphysique et philosophique, mais ça c'est une autre histoire.

    Comprendre cela est d'une puissance incroyable.

    Il peut s'employer sous différentes formes, pour l'action, la décision, le choix, voire parfois de la compréhension puisqu'il est possible de comprendre que l'on peut ne pas comprendre.

    Ainsi au même  titre que de choisir de ne pas faire un choix est déjà un choix en lui-même, je choisis de ne pas en faire un, décider de ne pas décider c'est décider de fait puisque ce fut décidé, tout comme la non-action est réellement une action de par son immobilité puisque décider de rester sur place est en soi une action.

    Avoir un avis cela veut donc dire d'avoir une position, ici politique et économique, sur un sujet donnée.

    Dès lors qu'il s'agit d'un positionnement, ne pas avoir d'avis se trouve être de-même un positionnement, quelle qu'en soient les raisons, puisque cela place la personne au sein d'une mouvance idéologique officielle et/ou officieuse de neutralité, celle du: "Je n'ai pas d'avis sur la chose!".

    P1020045.JPGUn non-avis devient donc dès lors un choix politique, celui du non-choix, puisqu'il y a affirmation de n'y avoir pas de décision par ce choix de n'avoir pas de choix, cela mène mécaniquement, de part cette position, à la non-action.

    Bon, ne soyons pas naïfs, il a été dit à notre petite fanfreluche de donner cette réponse à toute question sur le G.E.T.A., cela va de soi, pour la bonne raison qu'elle ne saura jamais quoi en raconter, sinon des sornettes.

    Mais là encore, il est à noter que cette réponse en vient à fragiliser le message de notre falbala.

    De fait et comme dit auparavant, sa présence, dans l'hémicycle, de notre petite joliette, démontrant que le système est désormais aux abois, est la preuve tangible autant de sa fragilité extrême que de sa réelle vacuité, voire même de ce que sa fragilité intrinsèque provient en réalité de sa vacuité effective de toujours.

    C'est pourquoi, je le pense maintenant, je n'avais pas considéré ça comme étant d'une grande importance, tout en estimant maintenant qu'elle ne fait qu'accélérer le processus du délitement de l'euro-atlantisme béa.

    En revanche, je pensais que l'oligarchie était déjà entré dans sa phase de décompensation quand, en fait, il semble ne rien en être, il faudra pour cela attendre encore un peu, peut-être juste que quelques fortunes commencent à s'effilocher...P1020062.JPG

     

     

    THEURIC

  • florilège 8

    Pour les clarinettistes et les pianistes:

    Les seuls à avoir des bajoues sont les hamsters et les trompettistes (jaloux!).

     

    Aux éloquents:

    Il parle, en effet, du sujet duquel de ce quoi, s'en exprimant, il en discute en en énonçant les faits, tel qu'il expose les pendants des points et contrepoints qu'il détaille en en révélant les traits passés qu'il montre ainsi présentés présentement présents, tout en un signifiant signifié significativement de circonstances d'une condition qu'il rapporte, conté de manière circonstanciée, dans la volonté d'affirmation pleine et entière de cet ensemble événementiel, entre-autre, en son sens premier.

     

    Avez-vous tout compris?

     

    Et bien;

     

    Moi non-plus!

     

    Pour les linguiste distingués:

    A ne pas confondre loi et l'oie: vous remarquerez que le premier mot ne se termine pas par un E.

     

    Pour les astrophysiciens tennismans:

    Le parsec: s'il est appelé ainsi c'est que, en l'espace, il n'y pleut pas, du-moins, peut-être, s'y joue-t-il au golf, comme au Morbihan.

     

    Pour les amateurs de courses automobiles:

    A ne pas confondre: le scooter et le scout erre (bof).

     

    Aux amateurs de proverbe:

    Ne mangeons pas la peau de l'ours avant de l'avoir tué!

    Moi non-plus!

     

    Pour les étudiants:

    Quel est l'âge du capitaine?

     

    Pour les promeneurs du dimanche:

    Ne confondons pas il est en plein milieu du chemin, il est en plein milieu, Duchemin.

     

    Aux belles de jour autant que de nuit:

    Une belle plante: qui fait quoi?

     

    A nos chers élus:

    Ils s'avançaient, le front haut de leur noblesse élective, légers de la sentence  électorale, de cet auguste et si lent pas que seule leur grave distinction du cénacle sénatoriale leur conférait.

    Tout bruissait, tout briait en eux de la majestueuse solennité de cette grande et infinie sagesse en leur mesure et raison ainsi manifeste que seul leur noble âge détient, quand, tout à coup, ils furent doublés par une vrombissante tortue!

     

    (vroum, vroum!)

     

    En science, une expérience qui échoue ne peut que vouloir dire que le résultat n'est pas celui escompté mais est autre.

     

    Pour les gourmets:

    Quand on a de l'appétit, est-ce le début de la faim?

     

    Pour les pâtissiers:

    Avec le curry on rigole (bon ben bof!)!

     

    Pour les musiciens:

    Un concert---,

     

    Tout dépend comment on l'entend!

     

    Pour les femmes:

    Tout ce que je dis vient de Clairette (Cela vous éclaire-t-il?)!

     

    A l'endroit de l'homme au chapeau mou, en l'honneur de son auteur:

    Quand le pire n'est pas sûr, il n'est pas sûr que le sûr soit le pire!

     

    Pour les restaurateurs:

    Être chambrière, c'est très bien, mais qu'en sera-t-il demain?

     

    A l'endroit des chimistes:

    Le bismuth, c'est pourquoi il passe au ter!

     

    De Socrate: Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement.

     

    Pour les golfes au matin clair:

    Le golf, si j'ai bien compris, ce n'est pas compliqué:

    On a une cane avec laquelle on tape dans une balle pour la mettre dans un petit trou comme on  le fait quand on joue aux billes, sauf que là il n'y en a qu'une, non pas de bille (logique).

    Au départ on part d'une part à part par un par et un tee, ou un thé, c'est au choix.

    C'est la même chose qu'au foot, sauf que ce n'est pas, là, un trou vertical mais horizontal et que ledit trou est un petit plus petit et que le terrain est légèrement plus grand.

    Il est à remarquer qu'à ce sujet on ne peut pas saisir mais surtout envoyer la balle ni par les mains, ni par les pieds, c'est pourquoi il faut bien faire la distinction entre ces deux sports!

    Il me faut de préciser qu'au golf il y a beaucoup de trou, ne sachant si chacun peut choisir le trou de son cru (c'est à chacun de préciser cela).

     

    Il est à remarquer également que le tennis est similaire au golf mais que, en plus qu'il n'y a pas de trou mais trois filets, le terrain de jeu se trouve être encore plus petit que le terrain de foot, avec, toutefois, quelques similarités, comme l'existence de filets, deux pour le foot, trois donc pour le tennis.

     

    Comme j'ai pu l'exprimer plus haut, le tennis ressemble au golf, sauf, donc, qu'à la place de trous, un grand filet sépare le terrain de jeu en deux parts égales, comme, vous le remarquerez au foot où, là, les filets du footisme (autrement dit le jemen) se trouvent à chaque extrémité du terrain de jeu (poils aux yeux).

    Ce sport se joue à 2 + 11.

    Deux joueurs ont, comme au golf, une cane chacun au bout de laquelle se trouve un petit filet sur lequel rebondit la balle.

    Le but dudit jeu consiste à ce que ces petits filets renvoient ladite balle en évitant que le grand filet n'attrape cette dernière pour la manger.

    Il y a un joueur assis sur une très grande chaise en hauteur et non pas en largeur (sans qu'il n'y ai de table) et regarde la balle faire des allers-retours.

    Huit joueurs, quand à eux, vérifient bien que les lignes qui font le tour du terrain ne bougent pas, on ne sait jamais.

    Enfin, les deux derniers joueurs se trouvent de chaque coté du grand filets et attendent qu'elle tombe pour la ramasser avant que cette balle soit attrapée par celui-ci, ils la garde pour la mettre ensuite coupée en deux dans leur poche, tout en câlinant ledit filet sur ses cotés pour qu'il reste calme et ne court pas après la balle.

     

    Il y a donc également le football, à ne pas confondre avec les petits trous du golf, ceux de ce sport se trouvent donc, comme dit plus-avant, en plus d'être plus grand et verticaux, aux extrémités d'un terrain un petit peu plus grand que celui du tennis, mais plus petit, si peu, que de celui dudit golf (qu'il soit clair ou non).

    Ce jeu se joue à 22+5 joueurs.

    Les vingt premiers courent après la balle qui s'appelle un ballon et tapent dedans avec les pieds, les genoux, le torse, les fesses la tête, alouette, alouette, haaaaaa.

    Deux se trouvent de chaque coté du terrain et attrapent ledit ballon quand il arrive près d'eux pour le renvoyer aux autres joueurs.

    Un des joueurs, le 23ème, n'a pas le droit de toucher au ballon et, dès lors frustré, suit celui-ci où qu'il aille, à remarquer qu'il est muni d'un sifflet avec lequel il s'amuse de temps en temps, ainsi que de petites cartes de couleur qu'il aime faire admirer de temps à autre.

    Deux autre de ces participant courent le long des lignes blanches, sûrement en faisant un concourt de celui que fera le plus grand nombre d'allers-retours (eux-aussi,  ne sachant pas pourquoi eux-aussi).

    Enfin, les deux derniers sont assis sur un banc de chaque coté du terrain et, de manière régulière, se lèvent, crient, se rassoient, se lèvent, crient, se rassoient, se lèvent, crient, se rassoient et, ce, d'un nombre incalculable de fois.

     

    Pour ceux qui, de mes amis lecteurs, ne les connaissaient pas, j'espère que ces explications, toutes en cohérences logiques, vous permettront d'avoir en main l'ensemble de cette connaissance en ces sports que j'ai  pu accumuler avec le temps et, qu'en humble serviteur du savoir, j'ai pu vous offrir ici.

    A remarquer que la différence entre un port et des sports se perçoit au nombre de S.

     

    Pour les éclairagistes:

    Combien doit-on avoir d'ampoules aux pieds pour avoir l'esprit clair?

     

    Pour les cruciverbistes:

    Avez-vous remarqué l'acronyme de papier-toilette?

     

    Pour les militaires (et vive les mineurs de fond):

    Le militaire qui grogne le plus c'est le caporal.

     

    Pour les magasiniers:

    C'est bien la forêt, il y a des toilettes partout!

    La prochaine fois, c'est là que je ferai mes courses!

     

    Pour les torréfacteurs:

    Être une chocolatière, c'est très bien, mais qu'en sera-t-il à deux mains?

     

    Pour les musiciens

  • Détermination & indétermination.

    Bon, j'ai mis la journée à taper ce texte, ouf, c'est terminé, je suis épuisé, demain je le décorerais de mes photos florales et le corrigerais, en y laissant, comme à chaque fois, quelques coquilles, ce à quoi je vous prie de m'excuser.

    L'idée de l'indétermination m'est venu en pensant à l'électron, oui, je sais, je ne suis pas physicien.

    Je l'imaginais se baladant seul, de ses 300 000 km./s. dans la noire nuit silencieuse des confins de l'univers et, disent les professionnels de la chose, qu'il n'est pas possible de savoir si, dans ce cas, c'est une onde ou un corpuscule, ni même, c'est là que c'est amusant, si j'ai bien compris tout cela, où il se trouverait, il P1000745 - Copie.JPGpourrait se situer un petit peu partout en même temps dans l'univers, ce qui est, ma foi, quelque peu singulier.

    Ce ne serait que quant il interagirait avec un bidule quelconque, l’atmosphère d'une planète, une montre-à-gousset, un astéroïde, une pivoine, un vaisseau spatial ou un cheval à bascule qu'il dirait: "Coucou, j'suis là", puis qu'il disparaitrait en interagissant d'une manière ou d'une autre d'avec ce bidule.

    Parce que sa rencontre bidulienne (néologisme), d'une certaine façon, déterminerait son existence,  puis le ferait disparaître lors de cette interaction, enfin, c'est ce que j'ai compris de ce machin, hein, si je fais erreur quelque part, n'hésitez pas à corriger ma ou mes inexactitudes.

    Enfin, partant de cette idée, tout à coup je me suis dit: "Tiens, en fait, la raison en serait parce qu'il est indéterminé puisqu'il n'a aucune relation, si je puis dire, d'avec aucun autre corps physique jusqu'à ce qu'il ait une interaction bidulienne qui le déterminerait".

    Et puis je me suis demandé, de fil en aiguille, si, pour nous autres Êtres Humains, l'indétermination ne serait pas l'un des maux psychologiques dont nous pourrions souffrir (bon, c'est ça l'intuition, ça te passe du coq à l'âne sans hésitation en faisant des correspondances parfois hasardeuses, et le pire c'est que ça marche).

    Quelques temps après, je ne pourrais pas vous dire combien, des mois, ça oui, pour que murisse cette idée, je me suis demandé si cet obscurantisme, dont mes anciens lecteurs, ou ceux qui eurent la patience, la curiosité et la persévérance de tout lireP1010043.JPG virent que j'en faisais souvent mention.

    Si l’obscurantisme actuel, donc, ne serait pas en lien étroit avec cet indétermination psychologique qui est le sujet de ce billet.

    Ensuite, ben ensuite je n'ai que peu creusé ce thème, attendant, comme d'habitude, pour l'approfondir, que je le pose sur le papier le dépose dans mon blog par écran interposé.

    (D'ailleurs il va falloir que je rapatrie tous mes textes à partir, si mes souvenirs sont bons, de mes troisièmes aphorismes, allez-y voir, ceux qui ne les ont pas lu, j'en suis particulièrement content, il y aussi des poésies, tapez aphorisme ou poésie sur le moteur de recherche du blog, il les trouvera tout seul, comme un grand.).

    Vous trouverez en seconde partie de ce long billet, en toute fin, mes explications des immenses difficultés dans lesquelles nous nous retrouverons en France, mais aussi partout ailleurs, lorsque le système économique globalisé sera forclos, ce qui arrivera, n'en doutez pas.

    J'ai amené ça de manière assez subtile et j'en suis plutôt content.

    C'est vrai, j'ai la manie de mélanger les sujets, c'est que pour moi ceux-ci sont liés, et puis quand j'en ai un en tête il faut que je le note ici.

    P1010084.JPGJe n'écris pas ça pour me justifier, bien que cela pourrait sembler tel puisque j'affirme que je ne me justifie pas, ben oui, c'est comme ça que nous fonctionnons, nous-autres Homo Sapiens (pas encore vraiment) Sapiens, mais pour montrer comment je fonctionne: à l'intuition, ce n'est qu'ensuite que la logique prend le relais.

    Si je puis rajouter comme un Post-Scriptum avant la lettre (ouarf, la blague), ce n'est que quand un système débilitant tel que le nôtre, l'U.E. néolibéral, arrive à la fin de son existence, que collectivement nous en venons à le comprendre au mieux, il en fut ainsi pour l'U.R.S.S..

    Voilà, bon courage à vous, ce billet est long et je ne suis pas mécontent des hypothèses que j'y dégage.

    Quand à moi, il est tard, je vais manger, j'ai une faim de loup, hou, hou, hou, hou.

    En soi ( d'en soit à en soi, j'ai longtemps fais la faute de sens, mieux vaut tard que jamais, n'est-ce pas?), en soi, donc, il ne peut que paraître singulier de considérer la notion d'indétermination (site que je conseille pour toute recherche du sens d'unP1010086.JPG mot et d'un synonyme) comme étant majeur pour comprendre notre situation psychologique et sociologique d'en ce moment (ce texte faisant suite au libelle précédent).

    De fait, le mot détermination renvoie autant à ce qui conditionne notre condition d'Être Humain (ça c'est de moi), notre volonté dans l'action et celle de la compréhension du monde ainsi que la précision de notre verbe (dans le sens ancien du terme, celui de s'exprimer à l'oral comme à l'écrit).

    Certes, pour Spinoza, "toute détermination est une négation", mais ne faut-il pas nier ce que nous ne sommes pas pour pouvoir affirmer notre identité?

    Parce que c'est bien cela qui fait le thème de ce billet: montrer comment l'indétermination de notre identité, autant individuelle que collective et, ce, sous toutes ses formes, mène inéluctablement à de l'anxiété, de l'acculturation, de la sauvagerie par la perte culturelle que cela induit, d'où, entre-autre, la faiblesse actuelle de l'orthographie, du sens des mots et des idées.

    Ainsi, les inverses du substantif détermination, ses antonymies, dont celui le plus évident d'indétermination, montre, s'il en était besoin, l'inquiétude angoissée que génère cette perte de repère moderne.

    J'aurais pu choisir les mots d'indéterminisme, d'incertitude, de confusion, d'indécision par exemple.

    P1010055.JPGMais celui d'indétermination montre bien ce à quoi nous nous confrontons aujourd'hui, soit autant les effets psychologiques que cela produit, de l'anxiété, de l'angoisse dû à notre sentiment plus ou moins flou et inconscient de non existence.

    Que de nos difficultés d'agir, de réagir réellement et sainement, de réfléchir par nous-mêmes, de considérer le vrai du faux, en un mot comme en cent, de pouvoir être en plein de notre détention de notre libre arbitre tant dans nos réflexions que lors de nos actions, mais aussi et surtout de l'ordonnancement et de la structure de notre pensée et dès lors de notre raison.

    C'est pourquoi tant de gens vivent de la seule représentation, faisant de l'apparence le nec-plus-ultra de la vie sociale, ne se souciant que de l'image qu'ils produisent, masque cachant ce vide de sens de l'existence en un simulacre de bonheur.

    Notre indétermination mène donc à un affaiblissement, une désorganisation, une destructuration, voire à une destruction de la structure de notre psychisme, parce que nous ne savons plus qui nous sommes., nous n'avons pas ou plus d'identité ou, ad minima, nous n'avons plus qu'une identité incertaine et confuse.

    Pouvons-nous être déterminés dans nos pensées et nos actes si nous sommes indéterminés dans notre identité?

    Notre détermination d'existence en tant qu'Être Humain se construisant pas à pas à deux niveaux intimement liés: individuelle (le qui je suis) et collective (le ce que je suis) et, ce, dès notre naissance.

    C'est dans nos relations aux autres, à la mère d'abord, au père et à la fratrie, si il y enP1010128.JPG a une, ensuite, puis dans notre relation au monde que nous nous déterminons progressivement.

    (Quand bien même, après notre naissance, notre individualité n'est encore que potentielle, celle-ci se construit progressivement au même rythme que la-dite double identité, j'émets donc l'hypothèse que notre détermination d'Être détermine cette double identité individuelle et collective et que, de ce fait, l'affaiblissement de l'une ou de ces deux identités est directement proportionnelle à nos capacité de nous déterminer dans la vie, soit de penser, de décider, d'agir, d'aimer, de se considérer en tant que Soi..., soit de devenir et être un Être responsable.) 

    C'est quand cette détermination se construit d'incohérences, de paradoxes et de non-sens, d'une confrontation d'avec des transformations sociales soudaines, rapides et/ou violente comme il peut en être aujourd'hui, lorsqu'il n'est plus possible, pour la personne, de pouvoir dire qui  elle est, tant individuellement que socialement, qu'il y a indétermination de l'Être en une grave perte d'identité, voire une identité quasiment inexistante, ce qui conduit à une instabilité du narcissisme (ce qui définit l'individualité de chacun dans le regard de l'autre et dans celui du sien propre), déstabilisant de fait l'égo (ce qui définit l'extension de nous-mêmes par nos créations et nos avoirs sous forme de biens, de savoirs et de compréhensions du monde...).

    Ainsi, pendant la seconde guerre mondiale en France, les résistants, mais aussi les collaborateurs (ignobles, cela va de soi), ainsi que les juifs et les tziganes, de ceux qui les y aidèrent, fuyant et se cachant du danger mortel des nazis et leurs collabos, se déterminèrent par leurs actions mêmes et le choix de leur camps, contrairement P1010099.JPGau reste de la population qui, elle, fut dans une situation de survie, ce qui est compréhensible, mais rendit leur conscience de Soi, l'identité d'une majorité de Français instable, surtout de ceux qui ne collaborèrent que pour les seuls appâts du gain, puisque de camps ils ne choisirent que le leur.

    Les manipulateurs pervers narcissiques et psychopathes usent justement de la faiblesse de cette détermination de leur proie pour prendre le contrôle de son ou ses victimes par la remise en cause et accusation de leurs pensées, paroles, conduites, décisions, actes, allant parfois jusqu'à la remise en cause de leur existence en attentant à leur vie.

    De même de la fameuse tartuferie de la théorie du genre voulant que la sexualisation de l'enfant ne se fait, essentiellement, que par la seule éducation et, qu'en cela, la biologie et la génétique ne peuvent en être, de quelque façon que ce soit, responsable, ce qui mène filles et garçons à ne plus savoir qui ils sont, en cela, plus tard, les psychiatres, voire les policiers, par ces dérives pseudo-philosophiques, auront infiniment de travail pour contrôler des adultes psychologiquement désemparés, faisant n'importe quoi.

    Ne serait-ce qu'en détruisant les rapports hommes-femmes.

    Cette perte d'identité, réelle, que nous vivons actuellement, par celle de notre détermination d'Être Humain, a de nombreuses causes, que j'ai pu étudier tout au long de ce blog.

    Il en est de même de leurs effets qui, aujourd'hui, mène à une sorte de boucle rétroactive où ces effets en viennent à accentuer la violence de ces causes.

    En deux seuls exemples, que les écologistes politiques prônent les réductions de pollution est en soit une bonne chose, mais qu'ils se laissent enferrés dans le présupposé réchauffement climatique anthropogénique dû à un excès de C.O.2 dans l'atmosphère, puis que cela les mènent à réclamer la mise en place d'éoliennes qui, en plus d'être très peu efficace, tendent à détruire et tuer oiseaux et chauves-souries est un paradoxe niant le caractère véritablement écologiste de leur mouvement, ceP1010127.JPG qui ne peut qu'affaiblir leur identité politique et donc collective de chacun et du groupe.

    Il en est ainsi aussi de l'économie monétariste, l'indétermination pathologique de l'oligarchie française, européenne et étasunienne, due à ce que l'empire qu'est les États-Unis-d'Amérique se trouve au bord de sa disparition, en en entrainant, dans ce néant, dans cette faillite, le joyau impérial qu'est l'Union-Européenne, mais aussi le Japon, la Chine et nombre d'autres pays, provoque un paroxysme, quasi caricatural, de décisions économique délirantes pour tenter de sauver l'empire et sa monnaie, le dollar, ne pouvant qu'accroitre l'instabilité de cet empire et de ses colonies.

    Mais surtout de générer un affaiblissement croissant de leur détermination d'Être par la perte de confiance en leur propres croyances idéologiques (d'où l’exacerbation, en France, de la propagande néolibérale et de la censure macronien, réaction logique aux doutes puissants qui se développe chez nos oligarques et leurs zélés zélotes et leurs angoisses de perdre un pouvoir qui n'existe que parce que la France est une colonie américaine d'un empire finissant).

    Ces décisions n'étant qu'une parodie ridicule de la manière que notre oligarchie fantasme l'empire U.S..

    Cela provenant de ce que nos richissimes ne peuvent que se déterminer en négation, c'est à dire en générant une différentiation: il y a nous, les riches, et eux, les pauvres, ce qui leur permet d'avoir une identité à moindre coût (ce qui est le cas de le dire).

    (Pour les classes-moyennes intermédiaires à hautes intellectuelles c'était, jusqu'à présent, un petit peu la même chose, il y a ceux qui savent, nous, et ceux qui ignorent, eux; C'est parce que les  classes-moyennes intellectuelles et économiques [ces derniers proches des oligarques] s'appauvrissent que, progressivement, elles prennent faits et causes des classes-moyennes basses et des ouvriers et employés maintenant chômeurs.)

    J'ai appris, de la sorte, qu'en France, un projet de loi, caricature d'une américanolâtrie frénétique et fanatique, voudrait qu'un homme ayant, dans la rue, un regard trop appuyé à l'endroit d'une femme pouvait être puni d'une forte contravention, cela faisant suite à ce que nous apprîmes des Etasunis des viols et tentatives DSC00065.JPGque des hommes aux métiers de pouvoir y firent subir à telles ou telles actrices ou journalistes.

    (Hommes et femmes de pouvoir sont sans limite, d'où la nécessité des contrepouvoirs.)

    Allez donc prouver qu'il y aurait eu ou non un regard appuyé, moi-même pouvant, à certains moments, porter un regard vague n'importe où, sans regarder quoi que ce soit, si je réfléchis à quelque chose ou tout simplement quand je laisse mon esprit vagabonder.

    Et puis, combien de femmes trouvent-elles qu'un tel regard est le reflet du désir qu'elles inspirent ou de la simple admiration et affirmation de leur féminité?

    Combien seraient déstabilisées et frustrées, et donc d'amoindrir leur identité féminine, dès lors leur détermination d'Être, de ne pas le rencontrer, s'y confronter à ce regard masculin, même si, parfois, il peut se faire égrillard?

    Ce qui montre le délire dedans lequel est plongé la-dite oligarchie, laquelle appartient, obéit et participe le macronisme-philippard, mais aussi et surtout d'une mouvance d'élites intellectuelles, journalistiques et politiques, sans laquelle cette oligarchie n'existerait pas, perverties par leur perte d'identité, leur perte de détermination d'Être, ce qui génère chez elles la même unilatéralité idéologique et doctrinale, caricaturant leur maître étasunien, que nous pouvons observer aussi chez nos oligarques.

    C'est pourquoi ils tiennent tous presque le même discours, à quelques détailles près.

    Ceci provenant de ce que ce discours tenu en commun, souvent délirant, sert, pour cette collectivité plus ou moins formelle, à tenter de donner du sens, de se déterminer collectivement, dans une situation où leur perte d'identité devient évidente en raison de l'effondrement en cours de cet empire U.S. et de l'économie-monde.

    Détermination qui se fait également contre et à l'encontre de la population qu'elle déteste, puisqueP1010153.JPG sachant encore qu'elle est française avant tout et s'accrochant à cette idée, même si l'intense propagande européiste de l'oligarchie et du macronisme-philippard fait que souvent le discours pro-unioniste se produise presque en boucle, jusqu'au paradoxe le plus étrange.

    Ainsi ai-je entendu dans une vidéo, après qu'un agriculteur ait égrainé ses difficultés dues à l'U.E. :"Sans l'Europe on est, restera dans la misère dans laquelle on est actuellement."

    Elle, l'oligarchie et ceux qui la suivent, qui, parce que l'Union-Européenne et sa construction multi-décennale avait brouillée leur identité nationale, avait adopté, en une Amérique fantasmée, une façon de se déterminer en une modernité illusoire mettant le monétarisme mondialisé au centre de leur réflexion, se retrouve désormais, dès l'élection de Monsieur Trump à la présidence étasunienne, au-devant de la réalité: l'empire U.S. n'est plus que l'ombre de ce qu'il fut et, ce, de tous les points de vues.

  • Façon de réflexions sur les contrôles des flux internets.

    A n'en pas douter, de par les discours que je tiens, un œil informatique doit être jeté sur mes écrits, peut-être bien par les services d'écoute français, assurément par ceux des américains.

    Que les services français m'aient lu me paraît normal puisque, dans plusieurs de mes fictions, j'ai imaginé notre Président de la République dans des situations, il est vrai, plutôt avantageuses pour lui, moi qui aie, il y a peu de temps, écrit un texte à son attention.

    Je ne serais pas surpris, également, que les services américains me lisent, vu mes remises en causes continuelles de la domination de notre maître sur notre état, sur notre pays et sur nous, le peuple.

    Mais ce maître est bien malade et cette écoute forcenée des textes du monde le montre: un pouvoir puissant n'a que faire de tous les petits écrivaillons qui, de leur chambre, gesticulent et vocifèrent, surtout au vu du faible nombre de leurs lecteurs, de 10 à 1 500 par mois.

    De dire cela me met-il en danger sans savoir si il existe vraiment et de quelle sorte il pourrait être?

    Mais allons plus loin dans cette façon de réflexion sur ce service d'écoute et la faiblesse constitutive actuelle du pays qui l'abrite, les U.S.A..

    En vrai, j'ai grande pitié pour les américains, même pour leurs plus grandes fortunes, tous se retrouverons bientôt nus de tout bien en revivant un far-west et une guerre de sécession plus terrible encore que ceux d'il y a cent cinquante ans.

    Alors, imaginons ce que pense celui recueillant de mes textes, des vôtres et de tous ceux écrivant dessus chaque clavier, imaginons comment cela se passe là-bas.

    Écartons le rideau, écoutons et voyons...

     

    Ce moindre des employés contemple autour de lui la triste pauvreté de la pensée des chefs.

    Amély passe rapidement en emplissant son parfum de ce pur bonheur, sans un regard, craintive, aussi, ici tout le monde a peur, ces chefs sont bêtes mais méchants et se font plaisir de tourmenter l'employé.

    Pourquoi faut-il toujours que cette bêtise s'allie de méchanceté?

    Pourquoi faut-il que ce ne soient que des niais qui commandent ici.

    Voyant et comprenant comment se délite une société sous ses yeux, il comprend d'un coup ce qu'il se passe réellement chez lui.

    Lui n'a même plus le choix, comme là-bas en France, d'une attente de fin d'empire, il n'a plus juste que celui de s'armer ou de s'enfuir, il n'a même plus celui de la révolte.

    "Viens, traducteur, va en France, la cuisine y est bonne et les femmes jolies."

    Lui murmure une petite voix du tréfonds de son âme.

    "Ou pars te réfugier dans des réserves indiennes, seuls lieux où encore la paix serait peut-être permise parce que là-bas ce ne sera pas le chacun pour soi et le sauve qui peut."

    Mais comprendra-t-il, ce cher traducteur, arrivera-t-il à s'arracher de cette peur tenace qui le fait partir au travail l'angoisse au ventre et le fait trembler chaque fois qu'un chef passe?

    Et pourtant il a tout compris, lui, cet amoureux de la langue française, de sa culture, de son histoire et se ruine de vins, de livres et de foies gras.

    Et puis, pourra-t-il s'éloigner de ses livres, ses chers livres, ses délectations, sa culture, sa vrai culture?

    Il a compris les terribles chemins de traverses, lui qui aime autant son pays, son Amérique, qu'il dévore le foie gras et ses chers et tendres livres, le bon pain français qu'il trouve si loin de sa maison, boit ce vin de fortuné et écoute la musique du temps ancien d'une Europe glorieuse.

    Il sait mais ne comprend pas pourquoi ce savoir vient à lui, il ne comprend pas et souffre de son intelligence et se cache.

    Alors il reste là et reste silencieux, se tait de crainte et de l'incompréhension des autres, sourit quand il faut, rit plus fort que les autres, mange quand on mange de ce n'importe quoi qui fait gras et fait gros et boit ce café qui n'a plus jamais de nom.

    Il se cache à tous en étant devant eux.

    Et traduit parce qu'il avait été choisi pour ça, qu'il aime ça et peut-être aussi parce que c'est son rôle, le seul qu'il lui ait été offert, un peu, un tout petit peu d'une reconnaissance, les miettes d'une renaissance.

    Mais au plus profond de lui il sait que ce n'est pas sa vie, une voix le lui a dit, cette même voix qui se rit de lui quand il fait ce n'importe quoi, une voix qui est lui en son plus profond de Soi, qui s'est assoupit et se réveille ainsi, qui lui dit qu'il est bien plus que ça.

    Lui, ne sachant pas vraiment qui il est, où est son Soi.

    Lui, paraissant si discret, évanescent, transparent, furtif, effacé, il lui est même attribué du bête le sobriquet de "bonhomme invisible".

    Si tous savaient mais le sait-il lui-même qui réellement il est?

    Il ne sait pas encore que de comprendre ouvre les portes et anime les chemins, que le seul futur se trouve au présent quand on en comprend la trame subtile du passé.

    Alors, il traduit encore et encore, des notes débiles, des manuscrits sublimes, des pages sans raison en de pure verbiage ou de délicats contenus aux sens lumineux.

    Mais de traduire ainsi il sait que son monde est fini à jamais, il l'a lu mainte fois, sa patrie est perdue pour toujours dans un jeu obscur qui enfonce peu à peu son pays dans le puits sans fond des erreurs cumulées...

    Alors il ne sait que faire et que dire, continue de traduire, et encore, et encore et de s'oublier ainsi, lui.

    Et peine à vaincre sa peur, de l'oublier aussi.

    Que faire?

    Va-t-il fuir ce prochain désastre comme le firent d'autres, ces cadres des banques déconfites aux semblances de vaillance?

    Ou rester là à traduite encore plus de ce que ces grandes oreilles et ces gros yeux globuleux gobent à longueur de temps d'en espionner le monde.

    Et d'attendre que ce monde gobe à son tour son pays ruiné de s'être voulu se croire enfin empire lorsque l'autre, le concurrent, était un jour redevenu Russie.

    Il remarqua la poussière, la moquette est sale, même la saleté ne craint plus l'Amérique.

    "A quoi je sers", se dit-il, "ici, à rien!".

     

    Quittons-le maintenant, laissons cette solitude, cette tristesse, cette brisure, refermons le rideau, partons à pas de loup...

     

     

     

    THEURIC

     

     

  • Aux journalistes cornichons.

    Chers journaliste des médiats officiels,

    Certes, ici je ne fais que reproduire une image que j'ai récupéré sur ce site, et, à tout le moins, la liste des médiats contrôlés par ceux-ci est loin d'être complète.

    Il ne suffit pour cela d'observer le simple fait que, depuis Mr. Sarkozy, les présidents de la république française sont adoubés par les mêmes et que, de ce fait, les médiats publics sont aussi placés sous surveillance par ces mêmes quelques personnages, pour comprendre que nous vivons sous une unilatéralité idéologique où le monde de ceux-ci font l'information et l'opinion.

    Pourrions-nous le dire totalitaire et en seriez-vous les propagandistes?

    Cet état de fait n'est pas, en soi, un problème pour ceux que vous servez puisque cela leur permet d'assoir une puissance qui, part ailleurs, n'aurait jamais eu d'existence si nous n'avions (biplans) pas été dominés par l'empire étasunien depuis de très longues décennies.

    En revanche, cela ne peut, pour vous, que créer des ennuis psychologiquesP1030232.JPG importants d'être contraints de tordre et transformer de trop la réalité.

    C'est non pas que je sois puritain, le mensonge est un trait humain naturel que l'on retrouve chez les animaux les plus évolués, les singes anthropomorphes en étant l'exemple le plus marquant.

    Mais bien plutôt que vous vous retrouviez à trahir, pour un grand nombre d'entre-vous, ce qui fait la raison même de ce qui fait que vous vous soyez sentis attirés par ce métier dès votre jeunesse: relever, pour le partager, par l'écrit ou par la voix, les faits tels qu'ils adviennent.

    Hormis, bien sûr, les quelques personnalité affligés de désordres mentaux tels que j'ai pu les définir dans quelques-uns de mes billets.

    Il ne peut qu'être évident, en effet, que vous ne pouvez que savoir ce qu'il se passe réellement tant dans le monde, en union-européenne, ainsi qu'en France, mais que vous êtes empêchés d'en divulguer la nature, voire même souvent de la tronquer ou, pire, d'en raconter l'inverse.

    De se renier ainsi  jours après jours, mois après mois, années après années, là se trouve le vrai danger psychique, et non pas physique, dedans lequel vous vous P1030196.JPGmenez.

    En effet, il vous sera toujours temps, quand l'oligarchie aura, pour une raison ou une autre, disparu, de prestement retourner votre veste pour servir le nouveau pouvoir qui se mettra en place.

    Bien que je vous conseillerais de commencer ce mouvement dès que les signes de ce revirement social deviendront évidents.

    Ce qui fait que quant bien même vous puissiez continuer votre travail, les désordres mentaux dus à  vos manquements à la probité journalistique vous poursuivront, quoi qu'il arrive.

    L'autre souci qui se pose à vous c'est qu'il vous faille, pour sauver votre psyché, adopter d'une manière pleine et entière les informations fausses ou dénaturées qui vous sont demandé de répandre, nonobstant tout penchant idéologique qui serait profondément le vôtre, de plus.

    Employant parfois même des expressions et allégations injurieuse pour quiconque en nierait, en toute cohérence, la raison d'être, en vous contrant souvent, s'il est présent, de manière logique et concrète.

    Expressions et allégations, de plus, qui vous sont demandées de répandre par vos maîtres envers les mêmes (comment désigner autrement, en effet, ce que sont les oligarques pour vous?) en ce que vous savez très bien être de la neuvlang (je n'enP1030251.JPG ferais pas la liste, ce serait fastidieux).

    Ce que vous devez faire obligatoirement, je le conçois, mais ce qui accroit d'autant plus cette vôtre instabilité psychique délétère, injurier son semblable a toujours des effets néfaste sur Soi, surtout si l'on sait que c'est notre vis-à-vis qui a raison.

    Il est vrai que, désormais, vous n'invitez plus tous ces gêneurs, sur ordre ou non, ne restant plus, dès lors pour vous, qu'un entre-soi doctrinal, dans les journaux, télés et radios, ce qui est pire encore, puisque scindant supérieurement votre mental entre ce que vous savez et comprenez plus ou moins inconsciemment d'un coté et de l'autre de ce que vous devez penser et dire en toute conscience à tous, ce qui ne peut que créer, en vous, une névrose importante menant à une angoisse de même ordre.

    Cet ensemble de biais cognitifs mène à ce que cela vous fait perdre vos capacités intellectuelles et vous contraint de rechercher à faire plaisir à vos supérieurs, du bas des chaînons hiérarchique jusqu'à ceux sus-nommés, en une soumission le plus souvent absolue qui ne pourra que s'amplifier.

    Étant donné les décisions gouvernementales que vous devez soutenir, dont l'origine se trouve autant dans les GOPE de l'Union-Européenne que des pressions ploutocratiques, qui en viennent désormais à atteindre toutes les classes sociales, même les classes-moyennes les plus hautes, vous ne devez plus pouvoir côtoyer une P1020429.JPGbonne partie de vos amis, familles et connaissances qui, sinon, ne peuvent qu'en venir à vous en sermonner, parfois sèchement.

    Ce qui fait que, en toute logique, vous vous retrouvez à devoir ne plus vivre qu'en un entre-vous augmentant de fait vos tensions intérieures.

    Je ne serais donc pas dès lors surpris d'apprendre que vous utilisez, plus que de raison, des produits psychotropes légaux ou pas, de manière récréative dites-vous, mais qui, en réalité, ne sont là qu'à cause des angoisses majeurs qui vous accablent, puisque touchant à votre identité professionnelle dévoyée.

    Mais de tout cela je vous comprends au moment où, contrairement à ce qu'il s'en dit, le chômage explose et dès lors de votre nécessité de faire bouillir la marmite pour votre famille.

     

    Ce papier est conçu pour être subversif, ceci parce que je vous montre, bien que ne puisse en avoir aucune preuve, que votre emploi, conduit en cette manière, ne peut que vous causer des tracas psychologiques grandissants.

    Qu'un seul d'entre-vous me lise et c'est toute la chaîne de désinformation qui en sera déstabilisée par un lent processus de contagion inconsciente, effet d'autant plusP1020380.JPG important du fait de la lecture de cette dernière phrase et surtout si vous, vous vous taisez de cela à vos confrères.

    Ce que vous devrez obligatoirement faire puisque vous ne pourrez pas être compris par vos pairs (essayez, vous verrez), ce sera donc parce que votre façon d'être se sera légèrement transformé qu'il y aura cette contagion en un processus très lent mais, aussi, puissant.

    Là se trouve le secret de la force de la réalité.

    Vous remarquerez que je ne vous injurie, sauf de ce petit cornichon ma foi approprié, ni ne vous enjoins à agir à l'encontre de ce que l'on vous dit de faire, je ne fais que vous montrer les dangers psychiques véritables dedans lesquels vous ne pouvez pas ne pas être plongés.

    C'est à vous de gérer ça au mieux, mais la prise de produits psychotropes naturellement dangereux, dut-il n'être que de l'alcool léger sous forme de vin ou de bière bu régulièrement , ne peut pas vous permettre d'y remédier.

    Être conséquent avec soi-même consiste d'abord de comprendre ses propre contrainte, parce que c'est là et nul part ailleurs que se trouve notre liberté.

    P1030063.JPGCeci reposant sur une règle simple: qui observe transforme!

     

     

    THEURIC

  • De la cohérente incohérence du temps.

    J'avais, par mégarde, publié hier ce billet avant son plein achèvement, veuillez m'excuser de cette étourderie.

     

    Nous vivons une période pour le moins incongrue et, pour en montrer l'essence, il n'est rien de mieux que le paradoxal titre de ce libelle.

    Hier encore, allant siroter mon café en la terrasse de mon troquet préféré, j'ai discuté avec un homme de mon âge, sûrement d'un certain niveau social, à qui j'avais, après moult circonvolutions, expliqué que les Etats-Unis se trouvent, en ce moment même, en une situation de grand danger de disparition.

    Lui démontrant, de plus combien nous en sommes encore et toujours assujettis sous la forme de l'Union-Européenne.

    Comment décrire le soulagement qui fut sien quand des amis à lui survinrent, la douleur générée par cette idée le malmenant quelque peu.

    Il est vrai que, le pauvre homme, je fis de même au sujet du réchauffement climatique anthropogénique que je remettais en cause.P1040653.JPG

    Ce qui est proprement incroyable c'est à quel point il y a une importante inhibition  collective pour ce qui concerne un ensemble de sujets desquels je vous ai déjà fait part de nombreuses fois.

    Ainsi:

    Hubert Védrine, ancien ministre des affaires étrangères, raconte, dans le journal Le Point, que: " l'Europe (entendez  l'union) est devenu une sorte de petit paradis pour bisonnours", où il y affirme que c'est à la demande des européens, à la sorti de la seconde guerre mondiale, de ce que les étasuniens en viennent  à les protéger, quand en fait ce sont les USA qui avaient contraint l'Europe-de-l'Ouest à entrer autant dans la construction européenne qu'à l'OTAN dès cette époque, aidé en cela par d'anciens nazis et vichystes.

    En ce face-à-face d'avec l'URSS lors de la guerre-froide (pour les plus jeunes, de 1946 environ jusqu'en 1991).

    Je ne reviens pas sur le pétage de plomb de Monsieur Asselineau, ici et , qui survint, dès lors qu'il avait compris que l'Union-Européenne et l'empire US ne peuvent que disparaître dans un relatif court laps de temps de quelques années.

    Et que dire de cette crise d'hystérie collective des français après la mort d'un noir américain tué par un policier blanc, où il est visible qu'en France la police, bien P1040833.JPGqu'en son sein il puisse y avoir des éléments qui soient racistes et qu'une cinquantaine de pour-cent vote pour RN, n'en ont pas moins commis les mêmes exactions envers les banlieusards qu'envers les gilettistes, autant envers les noirs qu'envers les blancs.

    D'en être obligé d'aller rechercher un fait légèrement ressemblant en France vieux de quatre ans pour tenter de trouver un petit peu de similarité d'avec notre bon maître US décati, ceci pour ridiculement singer ce que les américains font.

    ( Les policiers sont, certes, responsables de leurs actes mais, de fait, la véritable comptabilité de toute cette gabegie judiciaire sont:

    -I), ceux qui considèrent que quelques mois suffisent pour former les policiers, ceci d'autant plus d'un seul entrainement pour une telle technique dangereuse (c'est encore une fois Sputnik qui traite de cette sorte d'information);

    -II), ceux qui considèrent qu'il n'est nul besoin de subir un test psychologique pour remplir cette fonction;

    -III), ceux qui, par faiblesse mentale et politique, laissent des zones entière de la république sans foi ni loi sans ne rien jamais décider, à environ 40mn;

    -IV), ceux qui, par esprit de classe et de caste, par sottise et incompétence, par morgue, par idéologieP1040794.JPG et par obéissance veule à l'union et ses GOPE en sont venus à faire des économies sur le dos du pays et de la nation, de l'en avoir gravement déstabilisé et désorganisé, sans que ces crétins ne s'en soient rendu compte, en en étant totalement incapables.

    N'étant juste que de petits comptables ou petits commerciaux (je n'ai rien contre les comptables et commerciaux honnêtes qui ne font pas politique de leur métier). )

    Ces quatre petits exemples, simples échantillons d'une foultitude d'autres phénomènes de même types, montrent qu'il ne s'agit pas là de mensonge, de manipulation ou de véritables malfaisance(ils pensent pour la majorité d'entre-eux bien faire, si tant est qu'ils puissent penser), bien qu'il y ai des malveillants dans ce milieu composé de pur naïfs, mais plutôt de plus qu'un déni, d'une scotomisation (mot découvert après recherche d'un synonyme sur le CRNTL plus appuyé que celui de déni et dont voici la définition: en psychopathologie et en psychanalyse, refus inconscient de percevoir une réalité extérieure indépendante du sujet, mais sur laquelle il projette des désirs et des fantasmes subjectifs contre lesquels lui-même se défend.), ici collective.

    Il s'agit du rêve américain qui, d'avoir traversé nos psychismes pendant plus de 70 ans au travers de biais culturels US tendant à la nécrose, de nous avoir, nous aussi bien que nous en sortons sinon je n'écrirais pas ces lignes et vous ne les liriez, depuis si longtemps seriné la même rengaine de la puissance américaine, relativement réelle il y a encore 10 ans mais aujourd'hui totalement obsolète, les conduisant à fantasmer de vouloir y ressembler par le biais de l'union.

    P1020958.JPGParce que en vrai l'Union-européenne est pour nombre d'entre-eux ce fantasme de toute puissance impériale sous égide US.

    Mène à ce que, maintenant, pour une part non négligeable de la population, la simple idée de la faiblesse de l'empire, de celle de l'UE, voire d'observer que l'OTAN est en voie de délitement, une grave instabilité psychologique émerge telle que cela les en conduit à un refoulement absolu.

    Cela est particulièrement visible pour beaucoup de ceux dénommés bobos parisiens, que Monsieur Todd appelle les CPIS, que moi-même désigne être les classes-moyennes hautes à supérieures de la capitale, où, cela devient caricaturale aujourd'hui, BFMTV met en place comme émission télé traitant de la campagne électorale seule celle dédiée à celle de Paris.

    Leur repli nombriliste sur Paris intra-muros signant, à mon sens, cette angoisse existentielle collective due à la compréhension non consciente de cette prochaine double disparition UE€ / USA$ et, dès lors, de l'OTAN, les conduisant à un pathologique repli sur soi, ce que les programmateurs de cette chaîne nous démontre.

    Et il faut être de ces enfants dont de la bouche sort la crue vérité, même atteints des quarante ans passés, comme Monsieur Macron, pour pouvoir affirmer que ladite OTAN puisse être en mort cérébrale.

    Ce qui a fait hurler, prudemment tout de même, les journalistes et chroniqueurs biens pensants sur la scène théâtrale médiatique.

    Voyez-vous, amis lecteurs, nous surnageons dans un monde fait de faussetés et l'école de la république, la télévision, la radio ainsi que les médiats officiels, en sont les vecteurs.P1040411.JPG

    Ce n'est même plus, ce ne sont même pas des mensonges mais juste des vérités abracadabrantesques desquels les porteurs croient puissamment.

    Vous les penseriez menteurs quand, la plupart du temps, ils ne sont juste qu'imbéciles, et la méchanceté surnage toujours autour de l’imbécillité, dut-elle être heureuse.

    Et il est malheureux de constater que pour retrouver les faits réels dans ce fatras d'absurdité il nous faut faire ces recherches par nos propres moyens et les trouver décrites, parfois, dans des ouvrages vieux de décennies, voire des siècles antérieurs.

    Par exemple, il est de fait que les propositions des écologistes neuneus ne peuvent que se révéler plus polluants que tout autre choix politique: ainsi les éoliennes détruisent toutes les créatures ailées sans que cela ne les émeuvent quand les mêmes pleurent quand un ours est tué dans les Pyrénées.

    Cherchez-y l'erreur (tout comme pour les comptables, les commerciaux et les policiers, je n'ai rien contre les ours ( second degré)).

    Notre ennemi véritable ce n'est pas toute cette bande d'olibrius qui s'agite à dire n'importe quoi en pensant, si tant est qu'ils pensent, qu'ils disent la vérité vrai de la P1040600.JPGmarche du monde.

    Mais c'est bien la bêtise qui, ayant grandement envahi les cerveaux, mais surtout le leur, nous pollue autant les cœurs que les esprits.

    Et c'est cette pollution là la première de toutes puisque nous faisant perdre le sens de toute cohérence.

    Nous avons, avec toutes ces conneries dues à notre domination impériale par la thalassocratie US au sein de leurs créatures, les UE€/OTAN, aidée en cela, en ses tous débuts, par d'anciens nazis et autres vichyste recyclés par les officines US, dont il reste de graves traces aux hautes hiérarchies de notre société, perdu 70 ans d'évolution sociétale et, ce, sur tous les plans.

    Quand bien même, comme j'ai pu l'expliquer antérieurement ici puis , ce processus avait déjà débuté dès avant la fin du XIX° siècle, sinon le reste n'aurait pas eu lieu.

    Rien en cela n'est perdu et la France, une fois de plus, ne peut que réémerger de l'ornière dedans laquelle elle est.

    Cela ne pouvant qu'être un travail autant personnel que collectif.

    Jamais de nos aïeux n'eurent de tâche aussi importante, passionnante qu'éblouissante, alors, amis lecteurs, ne serait-il pas temps que nous nous y mettions tous au plus tôt?

     

     

    P1040756.JPG

    THEURIC

    PS.: De monsieur Delamarche: "Si j'était au gouvernement, la première chose que je ferais sera de virer tous les incompétents...!"

    Ce qui est tout un programme...

  • Réflexion mathématique sur le pourcentage de chômeurs aux U.S.A..

    Je vous propose ici un calcul de pourcentage sur le nombre de chômeurs aux U.S.A..

    Sachant qu'instruire de la règle de trois n'est, dorénavant, plus toujours la règle à l'école, j'en profite pour en exposer au mieux les mécanismes.

    Mais il est vrai que j'ai, depuis que je suis môme, toujours bien aimé ce truc.

    Et que,  surtout, en fin de page, vous vous apercevrez que le réel pourcentage du chômage aux U.S.A. fait froid dans le dos.

    Pour ceux connaissant ce type de calcul, vous pouvez au moins voir si dans ma formulation, je suis suffisamment clair et précis, ce fut pour moi, en effet, un exercice de style.

    IMGP0055.JPG

    Sur le site businessbourse, je suis aller voir cette page (http://www.businessbourse.com/2016/10/14/marc-fiorentino-leconomie-americaine-reste-en-pleine-incertitude/ ) où y était donné quelques chiffres sur le chômage aux États-Unis-d'Amérique:

    -nombre d'habitant: 325 millions, sur cet autre site ( https://www.populationdata.net/pays/etats-unis/ ) j'y ai trouvé celui de: 324 204 115 millions, que je vais reprendre en l'arrondissant à 324 millions;

    -nombre de chômeurs officiels: 7, 939 millions, soit 5% de la population;

    -nombre de personnes sans emploi non inscrit au chômage: 94,184 millions;

    -le total des chômeurs y étant donc de 102,123 millions, ce que naturellement j'arrondis à 102 millions.

    Ensuite je suis parti de l'idée que le pourcentage de chômeur avancé sur la page de IMGP0139.JPGBusinessbourse, 23%, ne pouvait pas représenté la réalité, il suffit de multiplier rapidement 102 par 3, ce qui se fait de tête, ça  nous fait 309, trop proche pour cela du nombre total d'habitant des U.S.A. en million: 324, pour ces 23%.

    D'ailleurs, si vous voulez en avoir la preuve, je vous propose le calcul suivant pour savoir le nombre de chômeur que renvoie ce pourcentage :

    324 000 000 / 100 x 23 = 74 520 000 millions   (vous retrouvez là la division par cent suivit du multiplicateur 23, d'où le signe / représentant la division 23/100).

    Ces 74 millions sont bien en-dessous des 102 millions, 23% étant là carrément faux.

    (Vous pourrez faire vous-même, en exercice, les mêmes calculs avec le nombre d'habitant en âge de travailler, vous constaterez là encore que 23% de chômeurs dans l'empire U.S. ne colle toujours pas.)

    Me suivez-vous?

    Je sais que ce type (pas si) ancien de mathématique n'est plus vraiment compris aujourd'hui, pourtant il est d'une importance capitale pour un grand nombre de choses dans la vie quotidienne.

    Pour ceux n'en connaissant pas le principe (il se dit que ça n'est plus enseigné), ça s'appelle la règle de trois, en voici un exemple très simple que je me suis amusé de calculer de tête: comment faire le rapport entre temps et distance sur autoroute.

    J'étais parti de 120km/h, soit 120 km en 60 minutes, vous remarquerez que si je divise les 120 km par 60 ça nous donne 2, donc pour une minute je parcours 2 km.

    Si j'ai 44 km à parcourir, je pourrait diviser par deux et multiplier par 1, /2, x 1, pour savoir que je mettrais 22 minutes pour arriver.

    Je peut aussi faire le même calcul ainsi: 44 / 120 * 60 = 22mn ( faites le vous-même), ça revient au même.

    Maintenant, si j'ai 1h 06 de route, ce qui nous fait 66mn, pour savoir le nombre de kilomètres parcouru, j'inverse le calcul, je divise par ce que je multipliais  etIMGP0175.JPG multiplie par ce que je divisais.

    66 x 2 / 1 = 132km parcourus.

    ou

    66 x 120 / 60 = 132km.

    La règle de trois peut intervenir n'importe quand dans notre vie pour des  questions de vitesse, mais aussi de quantité, de prix (les intérêts d'une dette), de surface d'une habitation ou d'un jardin, de cuisine (un plat prévu pour quatre quand il y a sept convives)...

    Elle est le B.A. BA mathématique que chacun d'entre-nous devrait maîtriser, une grammaire de base ,en quelque sorte.

    Revenons maintenant à nos pourcentages du nombre de chômeurs aux U.S.A., pourcentage se basant sur une pure règle de trois X x Y / Z ou X x Z / Y, suivant ce que l'on recherche, en pourcentage, Z = 100.

    Nous commencerons donc notre réflexion par le fait qu'un certain nombre d'habitant U.S. n'est pas en âge de travailler, je propose 20%, qui est une valeur basse, très basse, même.

    Si il a 20% d'habitant trop jeune ou trop vieux pour travailler, cela veut dire que 80% de cette population a cet âge.

    Pour savoir combien ils sont, toujours ma règle de trois, soit mes 324 millions divisés par 100 (je fais 100 tranches de mes 324 000 000 et n'en garde qu'une seule) puis je multiplie par 80 (ma tranche je la multiplie 80 fois).

    324 000 000 /100 x 80 = 259 200 000 habitants des U.S.A. en âge de travailler.

    Maintenant, voyons comment nous allons faire pour savoir quel pourcentage IMGP0317.JPGreprésente 102 millions de chômeurs pour 259, 2 millions d'américains en âge de travailler.

    Pour cela il va falloir commencer à mettre au même niveau le nombre d'habitant en âge de travailler H et le nombre de chômeurs C.

    Soit mettre H à 1 en le divisant par lui-même, ce qui ne sert à rien puisque H / H = 1, quel que soit le nombre que représente H.

    Mais mettre au même niveau C nécessite de le diviser par le même nombre que H, c'est à dire H, soit C / H.

    Donc, faisons le calcul:

    102 000 000 / 259 200 000 = 0, 393 518 518 518 518 5 (que nous pouvons arrondir à 0, 393 518)

    (je vous avoue avoir laissé la calculette faire la division pour moi.)

    Ensuite nous allons multiplier le tout par 100, ce qui nous donnera le pourcentage:

    Ce que nous pourrions écrire par C x 100 / H x 100.

    Sachant que H = 1, H x 100 = 100.

    C x 100 nécessite juste de déplacer la virgule de deux chiffres vers la droite, ce qui donne:

    0, 393 518 x 100 = 39, 351 8 ou 39, 35 18.

    Nous pouvons donc en conclure au vu des chiffres que j'ai récolté sur Businessbourse que le taux de chômage aux Etasunis est d'environ 39, 35 18 %, environ puisque j'ai fait de nombreux arrondis pour faciliter les calculs et les rendre plus clair.

    Et là vous pouvez voir comme moi, et hier au soir j'en fus vraiment ébahi, que le taux de chômage aux U.S.A., la première puissance économique au monde, paraît-il,IMGP0488.JPG est proche de 40%.

    En non pas de 23% et encore moins de 5%.

    Pour finir si nous prenons de base les 40%, ils peuvent s'écrire 40 / 100, et comme je vous l'ai expliqué pour les vitesses, nous pouvons réduire ces pourcentages et en faire une fraction, ainsi:

    40 / 100 = 4 / 10 = 2 / 5.

    Nous pouvons donc affirmer sur la foi des chiffres fournis par le site sus-nommé que deux-cinquième, 2/5ème, 40% de la population étasunienne est au chômage.

    Que dire de plus, les faits sont là, alors, vous savez quoi, du rêve américains qui capturées 2003-12-31 00012 - Copie.JPGnous est bassiné à longueur de temps, je m'assoie dessus et y lâche une longue, bruyante et nauséabonde flatulence.

    Et tous ces demis-sels qui nous la joue à l'amerloque, l'amère-loque, comme ces clowns de primaires qui déversent leurs fadaises pour des primaires P.S. et L.R., je leur rote au  visage, après avoir mangé de l’ail et de l'échalote, cela va de soit.

    Sans compter de tous ceux-là, dérisoires et ridicules, qui profitent sur notre dos, Macron et son parti tout neuf, Madame Le Pen et Monsieur Hollande et leur médaille en chocolat, Monsieur Attali est sa baguette de chef d'orchestre, Monsieur Barroso et son petit fauteuil de chez Goldman Sachs, et j'en passe, et des meilleurs.

    Tous ceux-là qui suivent, comme de merveilleux toutous et pour leur maigre picotin, ce maître américain si décati.

    Tous ceux-là qui ne comprennent pas et ne veulent pas voir que les U.S.A. ne sont plus qu'une ombre, un mirage, presque un souvenir, un fantôme grimaçant.

    Tous ceux-là et bien autres qui auront bientôt le réveil bien douloureux, parfois en prison, quand cet empire U.S., si mal en point de sa morbidité, aura dépassé l’embrasure de sa faillite définitive.

     

    PICT0426.JPG

     

     

    THEURIC

  • Exercice de style.

    Je vais m'y essayer en parlant ici de choses et d'autres sans vraiment de logique les rattachant.

    Je changerais juste de couleur du texte lorsque j'aborderai un nouveau thème.

    Par exemple, je peux vous dire que nous aurons bientôt une baisse du C.A.C.40 en raison de l'affaire Benalla, la raison en étant que le système n'aime pas trop les instabilités politiques.

    En fait cette affaire m'amuse comme un petit fou.

    Tiens, autre chose de que je peux en dire, nous ne sommes plus loin d'arriver au point de non retour, c'est à dire que le moindre élément supplémentaire sur cette affaire et plus personne ne pourra en éteindre l’incendie.

    Il faut dire que ce personnage était peut-être bien le garde-chiourme de Macron à l'Assemblée-Nationale.

    Si mon hypothèse voulant que quelqu'un est emprunt de soumission en raison deP1010709.JPG deux émotions primaires le contraignant de manière complexe face à quelqu'un le dominant: la colère et la peur, alors, logiquement, un certain nombre de député d'En-Marche ne va pas tarder à réagir vivement à l'encontre de son parti et devant micro.

    Cela en raison du fait que la disparition de Banalla des bancs de l'assemblée fera disparaître la peur qu'il générait, n'en restant plus que la colère, ceci d'autant plus que Macron se trouve maintenant gravement affaibli.

    Je lis en ce moment un bouquin sur l'émergence du langage "La langue l'Adam", de Dereck Bickerton, vaste débat.

    J'ai bien des difficultés à en poursuivre la lecture puisque, à mon sens, ses présupposés de départ sont faux, il part du principe que l'homme s'est érigé de sa station debout dans la savane, ce qui est pour moi une incongruité.

    Comme j'ai pu déjà en faire mention dans un texte précédent datant de Mai de cette année, nos ancêtres auraient plutôt évolué au sein de mangroves qui se situaient dans la dépression de l'afar ou de Danakil, ce serait la même chose, et qui, si j'ai bien compris, subit, au fil des ères, des mouvements tectoniques importants et se situe en-dessous du niveau des océans.

    Sans compter les descentes et montés des eaux suivant les périodes glacières et inter-glacières.

    P1010510.JPGPour faire rapide, nous produisons des sons parce que nos si lointains ancêtres ne pouvaient pas voir les gestes de ses potes la tête sous l'eau et que, comme les dauphins, un son modulé et des claquements, de bouche pour le paléo-Homme, se propagent facilement dans la mer.

    Ces sons émis remplacèrent progressivement l'ensemble gestuel qu'expriment les grands singes, les bonobos et les chimpanzés.

    Du fait de la richesse de la nourriture, fruits de mer et des arbres, algues, poissons, voire certaines plantes et racines, ceci doublé de la difficulté, tout de même, de trouver leur pitance et aussi pour se déplacer (trouver son chemin au milieu des photophore ne devait pas être une mince affaire), le cerveau des proto-homos a dû évoluer, jusqu'à ce qu'il découvre le moyen d'apprivoiser le feu, et là le processus s'était accéléré.

    Comme, de plus, une forêt touffue comme l'est une mangrove ne permet pas de voir ses compagnons de loin, le son a remplacé progressivement le geste dont usent nos proches cousins (pas très germains, d'ailleurs).

    Puis de sons et de cris aux sens simples, de "nourriture ici" par exemple, ils étaient passés à "crabe" ou "poisson", puis à un truc du style "par là".

    Comme de plus l'odeur et le physique de chacun était invisible aux congénères sous l'eau, chaque individu devait avoir son propre son en une sorte de paléo-nom.P1010576.JPG

    Il y a quelques temps de cela, des drones, paraît-il, auraient survolé des centrales et des sites militaires nucléaires français en 2014.

    La question, dès lors, qui importerait mais à laquelle il serait quasiment impossible de répondre, ce serait "pourquoi".

    Une réponse, que je jugerais particulièrement naïve et sotte, serait de dire: "C'est pour nous prévenir que tout cela représenterait un danger pour l'humanité."

    Il m'a été donné de la lire plusieurs fois.

    Suivant ma façon d'aborder le problème posé par les E.I.N.T., les Êtres-Intelligents-Non-Terrestres, comme je les dénomme, plutôt que de celui d'extra-terrestre que je trouve gnangnan, à l'image de Macron, aborder le sujet sur une base politique me semble le plus logique en se demandant qu'elle serait le but de ces explorations.

    Puisqu'il s'agit bien que quelque chose de cet ordre, à la place d'un:"Coucou, je suis là, fermez vos centrales nucléaires, pauvres minables humains, ou alors vous allez détruire votre planète si fragile", planète et la vie qui l'abrite qui, d'ailleurs, se foutent royalement de nos agissements, ils en ont vu tout deux de bien pire.

    Là il faut faire preuve d'imagination et songer à toutes les éventualités possibles, comme:

    P1010593.JPG-de nouveaux venus curieux de voir ce que sont ces drôles de machines et installations, peut-être accompagnés d'une ou de plusieurs autres espèces plus anciennement installées près de chez-nous et leur servant de guide (c'est fou comme le nucléaire les intéresse depuis les années cinquante);

    -une réflexion militaire d'E.I.N.T. se demandant s'ils ne trouveraient pas là des idées pour des armes efficaces;

    -une visite touristique, eh oui, pourquoi pas;

    -se renseigner avant un envahissement, bof, je ne vois pas l'intérêt d'attendre près de 70 ans pour cela;

    -faire un ensemble de recherches anthropologiques, dans le sens propre du terme, par pure curiosité ou pour toutes autre raison;

    -... etc... .

    Il est possible que l'affaire Benalla (oui, j'y reviens) soit le début d'une attaque multiforme à l'encontre de l'Union-Européenne, dès lors contre aussi l'euro et l'O.T.A.N., entrepris par un ou plusieurs pays dont celui le plus important serait les États-Unis-d'Amérique trumpiens.

    N'oublions pas que les président U.S. avait proposé à Monsieur Macron, il y a un à deux mois de cela, de se désolidariser de l'union pour faire affaire avec les U.S.A. de pays à pays.

    Ce que le nôtre, de président, a rejeter avec un grand silence.P1010781.JPG

    En fait je pense qu'il y a désormais une attaque tout azimut sur l'oligarchie mondialisée et la France, comme je le dis depuis pas mal de temps déjà, se retrouve en première ligne bien malgré elle.

    Il faut dire que les français ont la réputation d'avoir le sang chaud.

    Faisons donc la liste, non exhaustive bien sûr, de ce qu'il se passe un petit peu partout:

    -la Russie poutinienne vend ses bons du trésor américains à tout va, ici et ;

    -la .F.E.D., la banque centrale U.S. ne cesse de remonter ses taux, pour faire simple, comme les prêt aux américains sont variables, ce qui veut dire qu'ils évoluent à la hausse ou à la baisse suivant les taux directeur de la banque centrale, ce qui donc fait que si ces taux augmentent, les particuliers et les entreprises devront plus d'argent au prêteur, ce fut la raison principale qui fit que nombres de particuliers U.S. se retrouvèrent ruinés en 2008, c'était ça qui avait mis les banques en danger;

    -le gouvernement italien refuse de ratifier l'accord de l'Union-Européenne d'avec le Canada, ce qui génère une belle crise dans l'U.E., si vous rajoutez à cela l'affaire Benalla, c'en devient croquignolesque;

    -les U.S.A. font pression partout dans le monde pour obliger les entreprises à rentrer au pays, ce qui s'appelle une guerre commerciale, et nous n'en sommes qu'au début;

    -les troupes U.S. rentrent au bercail, de ça je n'en ai que très peu de preuve, mais ça P1010832.JPGme semble tellement logique...;

    -Mr. Trump c'était montré intransigeant lors du dernier G7, en refusant de signer la déclaration collective (je ne sais plus comment çà s'appelle), à croire qu'il voulait le torpiller...;

    Pour l'instant je n'ai pas grand chose d'autre à raconter là-dessus, mais nous ne sommes qu'au début du processus, alors restons à l'écoute, d'autre nouvelles arriveront.

    L'économie mondiale ne cesse de se détériorer.

    Nous ne pouvons n'en avoir que très peu de preuve tant que nos magasins seront normalement achalandés.

    Mais, de manière indirecte, il est possible de percevoir l'état industrielle générale.

    Ainsi, l'évolution du prix du cuivre à la baisse est un bon facteur pour percevoir s'il y a désindustrialisation internationale.

    Ce qui, vous le voyez, est le cas, ce qui était prévisible lors de la remonté du prix du baril de pétrole.

    Vu que cette remonté n'a rien à voir avec une croissance industrielle, alors cela veut dire qu'une partie de la masse monétaire qui se trouvait dans la spéculation boursière se déverse actuellement dans les matières premières primaires: l'énergie et la nourriture.

    Ce dont personne ne peut se passer.P1010826.JPG

    Si des fonds d'investissement et de pension, ainsi que des banques, s'éloignent de la capitalisation boursière, cela ne peut que vouloir dire qu'en réalité les bourses, dont Wall Street et la City, se retrouvent dorénavant dedans d'immenses difficultés qui, pour l'instant, ne sont perceptibles que par une très petite minorité de ses acteurs.

    Ce processus ne pourra aller qu'en s'accentuant, mais peut rester en un développement pour l'instant lent.

    Lorsque l'espèce humaine partira voyager au loin au milieu des étoiles, Homo Sapiens Sapiens divergera inéluctablement en une multitude de genres différents.

    C'est que nous sommes loin, très loin même d'avoir épuisé tout notre potentiel évolutif.

    Il est bien difficile de déterminer dès à présent toutes les formes que cela prendra.

    Mais, au sujet de l'évolution, j'ai  en moi quelques hypothèses que je vous exposerai un jour, ce sera un texte peut-être long, mais surtout complexe, le sujet n'étant pas simple à développer.

    Toutefois je vous propose les bases qui me permirent de construire cet ensemble de réflexions, et elles sont extrêmement simples: l'automobile, l'ordinateur et

  • Florilège...

    Le bonheur est comme un cheval: il n'est nul besoin de lui courir après, il viendra vers chacun d'entre-nous dès lorsque nous voudrions bien l'accueillir.

     

    Un stress post-traumatique a deux raisons d'être complémentaires:

    -Le choc psychologique et/ou corporel violent;

    -Venant à se confronter à l'incompréhension des raisons et causes audit choc.

     

    Boire mon thé voudrait-il dire que, plus tard, il me faudrait descendre?

     

    Et, dès lors, qu'avait dit Jeanne-d'Arc sur son bûcher?

    ...........Je veux descendre, je veux descendre!!!!!!!!!!

     

    Si l'on veut comprendre la réalité, il faut aller la rechercher au-delà de l'apparence de toutes choses, ce qui est, dans l'absolu, naturellement inatteignable.

     

    De Hernesto Pagliano, offert obligeamment par une amie: "Le concept est toujours moins que la réalité!"

     

    Peut-on en même temps monter des cendres?

     

    Pour trouver du bien-être dans la vie, il faut : se sourire à Soi-même, parfois devant un miroir, rire de bon cœur, de clowns, de bons mots, de blagues et d'autres ( sans rire des malheurs des gens ), savoir bien manger sans excès, faire de l'exercice ni trop, ni trop peu, et aimer l'amour des femmes pour les hommes et l'amour des hommes pour les femmes.

     

    Ce qui importe en ce que l'on apprend c'est de comprendre cet apprentissage quel qu'il soit et de le rendre, de ce fait, utile.

     

    Faut-il être aviateur pour s'envoyer en l'air?

     

    Lois de la thermodynamique:

     

    1) Le chaud monte, le froid descend;

    Le chaud va vers le froid, jamais l'inverse.

     

    2) Tous effets de mouvements énergétiques ne peuvent revenir en arrière, ce qui démontre la flèche temporelle.

     

    3) Toutes création ne peuvent se faire que grâce à de l'énergie, cela mène naturellement à une perte d'énergie sous forme d'entropie (  le moteur de la voiture chauffe quand on roule, cela est dû aux frottement dans celui-ci, cette entropie là se fait sous forme de chaleur, ce qui est la majorité des cas   ).

     

    4) Dans un milieu hermétiquement fermé à toute énergie pouvant provenir de l'extérieur, l'énergie se trouvant à l'intérieur dudit milieu y tend à partout s'égaliser.

     

    J'y rajouterai, quand à moi, la chose suivante:

     

    Un tuba est un instrument de musique que l'on joue sous l'eau ( hi, hi, hi, ha, ha, ha, ho, ho, ho )

     

    La femme est semblable à l'homme en son inverse complémentaire..., et réciproquement.

     

    Quand l'écrivain écrit, il s'exprime toujours de Soi: soit de ce qu'il en sait, soit de ce qu'il se pense être, soit de ce qu'il suppose de ce que l'Autre pense de lui, soit de qui il se conçoit, soit de ce qu'il est, soit de qui il est, soit de tous cet ensemble.

     

    Pour un astrophysicien un trou-noir est-il troublant?

     

     

    THEURIC

  • Nouvelles idées éparses.

    L'évolution de la société des hommes est mue, aujourd'hui, d'une accélération vertigineuse, jusqu'à la psychologie de chacun qui est en proie à des modifications constantes au gré des événements et suivant les variations incessantes de ce champs idéologique néolibéral qu'il me fut loisir de déjà vous entretenir de nombreuses fois.

    Il m'est donc nécessaire de continuellement redéfinir un certain nombre de mes prévisions, la désindustrialisation mondiale comme amorce du prochain effondrement économique est de celles-là, moi qui auparavant pensais que ce serait l'effondrement soudain de tout le système financier qui déterminerait celui-ci.

    Quoi qu'il en soit, ce blogue a pour but, pour l'essentiel, de prévenir des effets désastreux qu'un effondrement économique universel produirait, fait futur qui est, pour moi, d'une certitude absolu, ce qui plongera les pays et les peuples dans les pires des difficultés.

    Maintenant nous arrivons à la phase finale de ce processus et, comme c'est chaque fois le cas lorsqu'une doctrine soutenant une structure socialo-politique est sur le point de disparaître, celle-là tend à entrainer ses acteurs dans l’excès et l'outrance.

    Je vais donc continuer ici ce travail ayant principalement une base intuitive ayant de socle les diverses informations qu'il m'est loisir de glaner çà et là.

    Quoi qu'il en soit, il est d'évidence que je ne peux me prévaloir d'une absolue exactitude, qui le peut, il est même probable que notre situation future soit meilleurs ou pire que ce que je pourrais envisager.

    Comme d'habitude, je vous propose un ensemble de textes disparates sur des thèmes qui, bien que de sujets différents, ont, de point d'appui, l'idée centrale exposée plus haut.

     

    Quand la colère passe:

     

    Il est vrai que dans mon texte précédent j'ai laissé passer quelques irritations et cette colère m'empêcha d'avoir une réflexion posée sur la réalité de notre époque et, surtout, sur l'Union-Européenne et les États-Unis-d'Amérique.

    Tout autant, le fait que, dès Novembre, Décembre l'assemblée grecque, le Vouli, ait ainsi démissionné quand nous-mêmes pouvions déjà savoir, par le matraquage médiatique, que le parti Syriza, qui est, réellement, de centre-gauche, était en tête dans les sondages, pouvait laisser entrapercevoir une manipulation.

    Je suis toujours agacé lorsque je m'aperçois avoir été berné et je le fus, comme nous tous!

    Tout le monde a suivi, jour après jour, les négociations haletantes entre le gouvernement grec et la troïka (quelle drôle d'idée journalistique d'affubler ainsi d'un terme russe l'association du F.M.I, de la B.C.E. et l'U.E. quand cette dernière se fait parfois appeler du sobriquet d'U.E.R.S.S., inconscient, inconscient, quand tu nous tient).

    Chacun connaît, également, comment cela s'est conclu, il n'est pas besoin que j'y revienne.

    D'autant plus que mon propos serait, ici, de m'essayer de découvrir l'écheveau complexe de cette histoire, d'y montrer les soubassements, du-moins tels que je les perçois.

    A y regarder de près, en effet, la défaite en rase campagne de ce gouvernement, du parti Syriza et de Messieurs Tsipras et Varoufakis ne fut en réalité, pour les vainqueurs, qu'une victoire à la Pyrrhus, et, de plus, il est probable que ce ne fut qu'une ultime tentative pour contrôler des peuples européens les abhorrant de plus en plus en une manœuvre ayant pour but, au premier regard, de discréditer toute tentative, pour un gouvernement, de sortir de la zone euro.

    Au vu de la glorieuse équipe de bras cassés gouvernant l'U.E. et la majorité des pays la composant, en contemplant les actions passées et présentes d'un Monsieur junker, ô combien représentatif des élites de notre époque, nous pouvons, avec raison, ne pas nous étonner que ce plan, si magistralement exécuté par tous les acteurs européens et du Fond Monétaire International, aura à terme des effets dévastateurs sur notre union.

    Ont-ils envisagés tous les effets que peuvent causer leurs tripatouillages?

    Tout simplement pas.

    Les partis politiques européens et leurs électeurs, comme le Front de Gauche, doutant déjà réellement de la validité des décisions économiques et politiques dictées par l'Eurogroupe, l'Allemagne et l'administration européenne, mais voulant tout de même rester dans la zone euro et dans l'Union-Européenne pour en amender le caractère néolibéral, ne peuvent plus, désormais, que se radicaliser en voulant définitivement rompre avec l'européenne union et sa monnaie.

    Se rendant compte des conséquences désastreuses de la lutte à mort qu'avait entrepris l'Eurogroupe et la troïka contre l'exécutif grec et sa population, ils ne peuvent plus désormais que parvenir à la conclusion que le blocage idéologique, institutionnel et politique de l'Union-Européenne la rend irréformable.

    Ne reste plus, dès lors, qu'un seul choix, celui d'en sortir.

    Les populations ne peuvent pas être en reste et, d'une manière ou d'une autre, elles ont compris, de par l'exemple grec, quel piège infernal représente l'euro et l'Union-Européenne.

    Pour tous ceux qui nous gouverne, ce qu'il vient de se passer chez les Hellènes les sépare encore plus d'électeurs déjà sur la défensive, leur victoire ne fut qu'une défaite.

     

    Petits détour géostratégiques:

     

     Pendant que les U.S.A. se désagrège jour après jour un peu plus, que l'Allemagne se suicide de ses vieux en emportant avec elle l'Union-Européenne, la France, elle, s'avance tout doucement au Moyen-Orient et partout ailleurs.

    C'est vrai, ce n'est pas la panacée, il n'y a pas, dans ces petits pas, de flamboyance ni de distinction, tout est discrétions, calmes et pondérations.

    Une base française se trouve au Qatar, pourquoi ne pas signer des accords seulement économique avec l'Iran, les américains le font bien, et puis, où se trouve donc notre premier intérêt, dans la péninsule arabique ou dans ce verrou centrale qu'est l'ancienne perse?.

    Et qui a demandé aux égyptiens et aux indiens de commander des avions rafales, les étasuniens ou les russes?

    Ah, les Mistrals, pour qui sont-ils les plus utiles, pour la Russie ou pour la France?

     

    Pour qui jette un œil sur notre monde ne peut que contempler l'affaiblissement continu de l'empire U.S.

    -son dollar se dilue à vue d'avoir trop été édités, en même temps que les pays du monde de désolidarisent de sa monnaie;

    -son président, après avoir bredouillé une supplique aux européens de ne pas trop fragiliser la Grèce, accourt à leurs appels pour la contraindre de suivre leurs mortelles servitudes;

    -la Turquie, centre névralgique de l'O.T.A.N. n'en fait plus qu'à sa tête;

    -Israël, allié de toujours, comprend la faiblesse tragique de son mentor et commence, doucement, à changer sa vision des choses, elle ne peut plus se permettre que des juifs extrémistes la mettent en danger;

    - la Californie se désertifie d'avoir trop pompé ses nappes phréatiques, ses fleuves et ses lacs, ses pluies s'éloignent et ses forêts flambent d'arbres ne trouvant plus leurs eaux en profondeur;

    - partout, les puits de pétrole et de gaz schisteux s'assèchent, comme s'assèchent les banques qui ont trop prêté aux mêmes, mais aussi aux étudiants, aux villes, aux états, pour des achats immobilier et pour tant d'autres choses encore.

     

    La Russie, mais ne le dites à personne, se trouve en position dominante dans le monde et l'est européen lorgne sur ce géant et lui  jurerait bien allégeance si Dame Merkel ne le vrillait pas d'un regard sourcilleux.

    Les russes désireraient-ils pas que disparaisse cette Union-Européenne délirante et dangereuse?

     

    L'Angleterre, pauvre Angleterre qui tente désespérément de se réindustrialiser, devenue efflanquée d'avoir voulu trop bien suivre les délires thatchériens, encore aujourd'hui, si les bourses meurt elle vivra sa famine...

     

    L'Europe du Sud attend son leadeur, scrute la France et attend...

     

    La Chine et l'Inde commencent à se dévisager, ce n'est pas encore la mésentente cordiale, cela viendra à son heure, l'empire U.S., enfin, ce qu'il en reste, devenu l'ennemi commun, bouge toujours en faisant craindre le pire, rien de mieux que de partager un ennemi pour avoir un moment de paix.

     

    Au Proche-Orient, chacun attend que l'empire U.S. expire pour faire parler la poudre, entre temps, les vieilles rivalités se réveillent, entre sunnites et chiites, turques et séoudiens, turque et iraniens, iraniens et séoudiens (et Israël commence à serrer des fesses), les kurdes, quand à eux, patientent le bon moment pour enfin avoir une terre à eux, et les petits pays, Qatar, Koweit et autres, pendant ce temps, tremblent, quand aux fondamentalistes religieux, ils seront balayés par ces tourmentes.

     

    Le centre des événements futurs se trouvera en Égypte, détentrice du canal de Suez, c'est là que se portera tout le poids des desseins et enjeux géostratégiques, entre l'Afrique, l'Asie et l'Europe, l'Atlantique et le Pacifique, ce pays sera bientôt la clef et le verrou ultime des puissances.

    Le canal de Panama, pas encore agrandi, est bordé par l'archipel des Antilles, bientôt la chasse gardée des sud-européens et des russes, à Cuba, sans compter le brésil, l'une des puissances montantes.

     

    Voyage au bout de l'univers:

     

    Je ne rêve pas de parcourir les mondes lointains tant au-delà de notre soleil mais sais que seul ces voyages au long-cours offriront à Homo Sapiens Sapiens l'immensité dont il a besoin pour s'épanouir (j'aimerais toutefois visiter la banlieue de Saturne et ses anneaux).

    Il est vrai qu'un bon nombre de nos congénères restera sur notre si belle planète mais tant d'autres partiront.

    Il se dit que la vitesse de la lumière ne peut se dépasser, il y a deux siècles était affirmé la même chose des cent kilomètre/heure, puis il en fut de même pour la vitesse du son, et puis, tant de mystères demeurent, comme peuvent l'être l'énergie sombre et la matière noire.

    Que nous manque-t-il?

    En vrai, pas grand chose, quelques découvertes fondamentales en science physique, de solides avancées technologiques, une volonté politique inébranlable, un coût moindre pour se délivrer de l'attraction terrestre, les fusées, en effet, sont trop chères et sont parvenus au maximum de leur puissance depuis déjà soixante ans, et puis, quelques zigotos pour faire les premiers pas.

    Ensuite, l'intendance suivra...

     

    La faillite universelle:

     

     

    Encore une fois je vais me pencher sur son évolution possible.

    La désindustrialisation a un petit peu infléchit sa courbe, les graphiques de l'I.N.S.E.E. s'étant développés jusqu'en Juin montrerait un renchérissement des prix des matières premières dès Avril.

    Le plus amusant c'est que des usines chinoises ferment chez elles et s'installent dans les Amériques, les paies, dans leur pays, y étant plus importantes que celles des étasuniens.

    C'est loin l'Amérique? Tais-toi et rames!

    Mais il est vrai que la Chine voit ses bulles spéculatives imploser, son gouvernement finira bien par calmer l'affolement, pour l'instant.

    Ce n'est juste qu'une répétition, nous avons encore quelques semaines à quelques mois devant nous, et si nous avions encore une année à attendre.

    C'est qu'il faudrait bien que l'U.E.€ et ses folies disparaissent au plus tôt, ils nous mettent dans la mouise, tous ces hurluberlus d'eurolâtres.

    Alors, ce qui est encore fabriqué dans le monde est-il et sera-t-il vendu ou restera-t-il dans les entrepôts?

    Vas savoir avec le peu d'information à notre disposition.

    J'ai l'impression que ce début de délitement marque un temps d'arrêt, mais il reprendra, quand il l'aura décidé, personne ne connait son tempo.

    Ensuite, quand les choses sérieuses commenceront, comme je l'ai déjà écrit, le signe en sera le vide grandissant de nos grands magasins, non pas de la nourriture mais plutôt des vêtements et de l'électroménager.

    Puis la Chine jouera aux bulles de savon s'échappant au gré du vent puis disparaissant d'un plop, ce qui sera accompagné d'un bel affolement là-bas.

    Après la Chine, les U.S.A., et dès que ce pays sera touché ça ira très vite.

    Le dollar s'effondrant, peut-être bien que l'euro montera jusqu'à des hauteurs jamais atteintes, ce qui sera faux, l'euro ne montera pas, seul le dollar s'effondrera, accompagné par le yen.

    De-ci, de-là, les informations nous conteront comment un trader fit perdre une fortune à une banqu

  • De la logique intérieur.

    Comprendre un système c'est en saisir la logique intérieur.

    C'est ce que je m'essaie de faire ici.

    Vu que ce site est surtout dédié à la politique, créé à l'époque où, justement, cette pensée se retrouvait grandement récriée, c'est dès lors à deux niveaux que je tente de démêler les complexes écheveaux des-dits systèmes: ceux de la psychologie et de l'organisation, là ne me penchant que sur le premier.

    Bien qu'il soit impossible, en effet, d'analyser l'un sans questionner l'autre, ce que je ne cesse de faire dans ce blog, au risque, sinon, de rendre cette réflexion imprécise, voire caduque.

    Quand bien même mes réflexions tendent à être parcellaire, peut-être à l'image d'un puzzle, vu que je note mes idées au fur et à mesure que celles-ci arrivent à mon esprit, sans en faire un tout cohérent, ce dont je doute de pouvoir faire.

    Dans ce court billet, je vais donc vous en donner deux exemples basés sur mes propres bourdes.

    Ainsi, d'oublier, comme je l'avais fait dans mes deux derniers billets, que notre oligarchie nationale eurolâtre souffre d'une avarice maladive due à leur délire de vouloir à toute fin de dépasser, en tant que richissime, l'oligarchie étasunienne, fut une erreur.

    P1020055.JPGCeci parce que cela réduit ma perception de la dynamique interne prévalant au sein de toute cette mouvance néolibérale du pays et, au-delà, dans l'Union-Européenne.

    Ainsi s'explique les décisions de la magistrature macronnienne, en tant qu'employés de nos oligarques et des G.O.P.E. de l'union, mais aussi les justifications qu'il en a été porté, soit d'expliquer qu'ainsi ce seront les détenteurs de fortunes qui pourront bien mieux investir dans le pays, puisqu'une manne d'argent leur est offert.

    Mais aussi que la mise en concurrence des services publics ne pourra que les améliorer en en faisant baisser les prix.

    Du fait que les modèles britanniques et américains passés et présents nous montrent et démontrent l'inefficacité pleine et entière d'une telle approche, essentiellement contraire à ce qu'il en est et en sera, pour nous, en France, nous pouvons dès ce moment saisir en plein les très grandes faiblesses intellectuelles de cette ploutocratie, de l'administration de l'U.E. et de leurs commis.

    Ce qui, donc, nous démontre d'autant plus leur fuite-en-avant mortifère, en raison de l'accélération foudroyante de ces décisions, toutes provenant naturellement de l'Union-Européenne via ces fameux G.O.P.E., mais aussi de l'approbation discrète d'une oligarchie qui, peut-être, craint que, tout de même, cela ne soit, justement, trop rapide et trop voyant.

    Ils rentreront un tas d'argent, c'est vrai, mais en se conduisant ainsi, à terme, il ne pourront qu'entièrement le perdre, inéluctablement, s'ils ne se retrouvent pas, pour certains, en prison.

    Tout comme l'appauvrissement rapide de la Grèce entama une désindustrialisation mondiale qui, il est vrai, était déjà présente mais plutôt lente, celui actuel de la France, deuxième économie de l'U.E., ne peut qu'en accroitre la vigueur d'une manière considérable.

    Vous remarquerez, dans cette longue vidéo, la sincérité du conseillé du président de la République, intervenant dans la seconde partie au-delà des 38 mn 30 s.

    Ce qu'il dit est absurde et de la plus parfaite langue de bois, certes, mais en cela il est sincère, et comme j'ai pu déjà l'écrire, le pire se trouve là: la plus pure des âneries faite d'un galimatias de la plus pure sincérité.

     

    Ici vous pouvez observer l'authenticité plutôt sotte d'un personnage, Monsieur Carlier, qui, paraît-il, serait humoriste (lui qui ne m'a jamais, au grand jamais fait rire), et qui fut depuis des décennies l'un des multiples adhérents télévisuels de cette mouvance synarchique, montrant une position ambiguë face aux grévistes d'un magasin proche, si j'ai bien compris, de chez lui.P1020041.JPG

    Plutôt que de faire rire les rieurs, soient ceux qui, comme lui, ont, pour la majorité de leurs concitoyens, de cette fausse commisération bienpensante qu'ont ceux qui, bien qu'ils en pensent et en vivent l'inverse, se voudraient d'une gauche sociale;

    Ne vaudrait-il pas mieux que ce sieur aille à la rencontre de ceux-là qu'il ironise pour, ensuite, rendre compte à ses paires de la situation précaire dans laquelle vit une majorité des français, voire tout simplement les instruire de la meilleurs manière d'écrire et de parler, plutôt que de se moquer comme cela éhontément de quelqu'un qui fait ce qu'il peut avec ce qu'il a et, si j'ai bien compris, le fait bien.

    Si tant est qu'il en soit lui même capable, ce dont je doute fort: critiquer est aisé quand on prend le gueux de haut.

    Va-t-il déplorer la baisse de niveau d'instruction de nos contemporains?

    Bien sûr que non, et ce d'autant plus qu'elle se retrouve au plus haut de l'état ( moi-même ne cessant de me corriger ).

    Va-t-il critiquer la réalité de l'Union-Européenne et de l'oligarchie, sources premières de nos difficultés?

    Évidemment que non, déjà parce que cela ne ferait pas rire son publique, ses P1020059.JPGsemblables, mais aussi et surtout parce qu'il se retrouverait au chômage, et puis il l'aime tellement son union préférée.

    Comme nous le montre son cher et génial président, Mr. Macron, il lui faut être fort avec les faibles et faible avec les puissants.

    Là encore je n'avais pas pris suffisamment en compte ce fait capital: Guy Carlier et ceux qui l'entourent nous montre là, lors de son intervention dans cette radio, la violente dissonance cognitive qui agite une partie des classes-moyennes intermédiaires à hautes, ce qui est audible en ce qu'il se sent obligé d'adoucir, en fin de texte, un discourt pour le moins violent qu'il tient à l'endroit du meneur de cette grève.

    Cette dissonance cognitive provenant de ce que les-dites classes-moyennes sont pris entre deux forces opposées tenant à leur idéologie complexe et contradictoire:

    -européiste et néolibérale d'un coté, avec tout ce que cela sous-entend;

    -de l'autre un humanisme mal structuré, réducteur, racialiste (il ne peut y avoir de français pauvres, surtout s'ils sont blancs), méprisant, condescendant, parce que essentiellement émotionnel.

    C'est cette impossibilité structurelle, tenant plus à la résultante d'une propagande impériale (U.S.) s'étendant sur trois à quatre décennies, dont le but était de détruire, chez les européens et, donc, les français, les notions de nation et de patrie, qui conduit à tous ces égarements et à une perte structurelle d'identité.

    Ce qui a généré une déstabilisation culturelle et sociale de ces deux classes sociales, étendue à l'ensemble de la population, ainsi qu'une position sociologique paradoxale, qui mène à cette indétermination psychologique que j'avais exploré par trois fois, , ici et , raison pour laquelle le public de Mr. Carlier a ainsi pu rire de si bon cœur, mais, ce, avec uneP1020054.JPG culpabilité discrète et sûrement inconsciente.

    Perte d'identité de plus compensée par le rejet culpabilisant des classes considérée comme inférieures, rejet lui aussi compensée par cet humanisme réducteur tourné, pour l'essentiel, envers les immigrés, tout en oubliant, par aveuglement, la part de la population la plus pauvre qui, pour certaine d'entre elle, souffre aussi grandement de manques, voire de disette.

    C'est pourquoi le silence qui entoura la toute fin de cette bêtise, où le chroniqueur avait, maladroitement, plaidé en faveur de cette grève, ne peut que nous indiquer que cela avait naturellement rassurés les autres intervenant en les déculpabilisant de leur amusement, amusement lui-même provenant de cette même culpabilisation (c'est fou ce que l'esprit humain est complexe).

    Étant entendu qu'une part de mes lecteurs sont eux-mêmes de cette classe-moyenne intermédiaire ou haute, économique et/ou intellectuelle, cela va de soi, ce qui ne peut qu'être rassurant pour l'avenir, moi-même m'étant laissé prendre par cette propagande, et il me fallut bon temps pour m'en défaire.  )

    Cette dissonance cognitive, telle que je vous l'ai décrite, ne pouvant s'achever collectivement que quand ceux pris dans ses rets se retrouveront déclassés et/ou ruiné, ou angoissés dans leur crainte de l'être, par les exigences d'une Union-Européenne dorénavant germanique, tendant à la maniaquerie idéologique.

    Allemagne qui, dès maintenant, se confronte aux mêmes réflexes autodestructeurs que d'antan, ceux-ci s'étendant sur quatre siècle et, ce, depuis le début de la guerre de trente ans en 1618.

     

    Ces deux illustrations nous montrent qu'il nous faut faire tout notre possible de percevoir, sinon l'ensemble de ce qui compose un système complexe, du-moins ceux d'entre-eux qui en sont les plus représentatifs, afin d'en conceptualiser au mieux la logique intérieur.

    Parce que c'est cette logique là qui peut permettre d'en comprendre la dynamique interne et, de ce fait, d'en percevoir, autant que faire se peut, l'évolution future.

     

     

    P1020120.JPGTHEURIC

     

    P.S.: Vous trouverez ci-joint un billet, datant un peu, le 30 Mai 2017, où j'y avais exploré les effets, à mon sens les plus durs, de la catastrophe économique qui vient.

     

     

     

     

  • De la trahison et de la faillite généralisée!

    Allez, ne nous le cachons pas, nous tous, autant que nous sommes, nous nous sentons trahi par le revirement du gouvernement grec et du parti Syriza.

    Mais bon, cet erreur de jugement a-t-elle de l'importance?

    Elle l'est grandement pour moi, parce que j'avais oublié ce que j'avais pu écrire auparavant, soit que c'est l'ensemble des partis politique européens anciens qui ont perdu leur propre socle idéologique pour ne plus adopter que le néolibéralisme et son pendant allemand de l'ordolibéralisme.

    Cet économisme dogmatique, réunissant tous les composants des doxas anciennes sous cette unique forme, ne pourra que se fracasser contre le mur du délitement économique global.

    Mais, surtout, il rend déjà totalement inapte ses adeptes à une adaptation rapide à un brusque changement de conjoncture comme peut l'être un effondrement global de l'économie.

    Certes, la colère que je peux ressentir à l'annonce de ce revirement de Monsieur Tsipras me fait me délecter par avance des nombreux égarements et délires, autant de ceux qui nous gouvernent que de ceux qui, innombrables, de part les peuples des pays européens, croient toujours mordicus que seul le monétarisme et la comptabilité des états et des sociétés peuvent avoir une valeur politique quelconque.

    Mais il me paraît que cette manipulation, quelle qu'en ait été son origine, était une erreur.

    Elle met en effet à bas tous les partis politiques officiels, de la droite extrême nazi, fascisme et pétainisme, jusqu'à un Front de Gauche et ses semblables européens qui, de ne pas être d'une gauche réellement radicale, loin de là, n'en est pas moins son représentant le plus à son opposé.

    En passant, bien sûr, par tous les partis politiques officiels de l'U.E., dits de droite, du centre et des pseudo-gauches et écologistes inclus.

    En réalité n'existe plus qu'un seul et unique parti politique officiel, celui des européistes et eurolâtres.

    Nous sommes donc bien entré dans une ère d'un totalitarisme mou à parti unique, de type U.R.S.S., dans une version néolibérale, et dirigé par une oligarchie financière et une administration d'état, là européenne.

    Ne restent plus que des mouvements épars, seuls se déclarant lutter contre l'Union-Européenne, et voulant soit en sortir leur pays, soit même la détruire (ce qui serait une faute, ne serait-ce qu'en raison de sa puissante inertie idéologique, politique et institutionnelle).

    Je le redis, une structure étatique telle que l'est l'U.E. bloquée institutionnellement, politiquement et idéologiquement ne peut pas être réformé ou détruite, quelle que soit la volonté et l'action de chacun, quelle que soit l'intégrité de celui ou ceux en en ayant la résolution et le courage.

    Nous ne pouvons qu'attendre que cette tyrannie s'anéantisse par elle-même.

    Cet événement ne pouvant que survenir que quand l'économie-monde, nos grands argentiers et les États-Unis-d'Amérique auront définitivement fait faillite.

    Je dois toutefois faire observer que deux organismes officiels qui, jusqu'à présent, exposaient, sur internet, divers graphiques à l'international, sur les prix des matières premières par l'I.N.S.E.E. ( theme.asp?id=18 ) et le seul prix des carburants par France-Inflation ( graph_oil.php ), ont cessé de délivrer leurs informations depuis le mois de Mai pour le premier et Février pour le second.

    L'interprétation que j'ai de cet arrêt c'est que ces informations divulguées par ces deux institutions, qui permettaient de visualiser dans le temps l'évolution de l'économie internationale, montreraient, depuis quelques mois, le redémarrage de la désindustrialisation mondiale qui ne peut qu'être, à mon sens, que le signe de cette bientôt ruine universelle (pour quand? Je n'en sais toujours rien).

    Ce qu'il faut, pour notre gouvernement et nos oligarques, à tous prix dissimuler!

    Bien que France-Inflation continue de donner le prix de l'essence et du gasoil en France, chose qu'il n'est pas possible de cacher pour quiconque ( prix-carburants.php ).

    Vous remarquerez la pente redescendante de ceux-ci après une brève remonté de Janvier à Mai, logique si nous songeons qu'à la lente baisse de 2014, marquant, justement, cette désindustrialisation mondiale, fut suivi, début 2015, d'une brève remonté, montrant une diminution de la production pétrolière des producteurs.

    L'inertie à la baisse des prix des pays consommateurs de carburants étant due à leur réserves stratégiques, les entreprises en avaient repris leurs activités, mais ne trouvant pas preneur de leur marchandises, les nations occidentales étant peu ou prou ruinées, les-dites entreprises réduisent maintenant leurs productions ou ferment, d'où cette baisse actuelle du prix de l'essence et du gasoil.

    C'est pourquoi cette manipulation des grecs est doublement dommageable, politiquement d'abord, comme je viens de le montrer, économiquement ensuite puisque de ruiner ainsi les européens, ou simplement de le leur faire craindre, les incitant à thésauriser, ruine, par là même, le monde entier, puisque nous étions il y a quelque temps encore les derniers clients des entreprises internationales encore à peu près valides, n'achetant plus aujourd'hui que de moins en moins de choses.

    C'est pourquoi nous retrouvions, dans les mesures de l'I.N.S.E.E., une remonté du prix des métaux d'Avril à Mai, celui de la nourriture, quand à elle, continuant sa dépréciation, ce qui montrait que la population mondiale s'appauvrissait déjà continuellement, à un point tel qu'elle en rognait dès cette époque sur sa pitance.

    Je conçois que mettre en parallèle la trahison de Syriza, totale ou partielle, et la prochaine ruine universelle, peut paraître osé, mais à y regarder de près nous pouvons comprendre que ce coup manipulateur du peuple grec, que je reconnais comme étant un coup de maître, est une opération de la dernière chance pour les instances dirigeantes de l'Union-Européenne et, surtout, pour  notre maître colonisateur étasunien.

    Mais cette opération leur est à plus d'un titre, à terme, néfaste.

    Les peuples européens ne donnant dorénavant plus leur confiance aux partis réformateurs, de type Front de Gauche, ils vont naturellement se tourner vers ceux de ces partis qui sont contre l'union.

    Il est vrai que ceux d'extrême droite s'affichent tous comme tel, mais vu que le gouvernement grec s'est maintenant allié, pour l'accord très néolibéral paraissant définitif avec l'Union-Européenne, en plus des partis "classiques", à un autre de même base idéologique que notre Front National, il sera facile pour les partis anti-U.E., de France, de Navarre et d'ailleurs, de dénoncer cette collusion.

    Cela à rajouter à celle d'avec les médiats, ceux-ci ayant montré en France, lors des dernières élection, sa prédilection pour le-dit Front National sur tous les autres.

    Si cette opération est tant néfaste pour l'Union-Européenne, c'est parce que les populations n'auront, progressivement, définitivement plus confiance dans les partis politiques passant dans les médiats et seuls ceux qui sont marginalisés en raison de leurs positions anti-U.E., comme l'est l'U.P.R., ne pouvant s'exprimer que sur internet, obtiendront une écoute croissante.

    Lors de la ruine universelle et des multiples et longs égarement de nos élites politiques et de nos oligarques, ce seront ces nouveaux mouvements, aujourd'hui écartés, qui, naturellement, prendront la relève de cette coterie de partis politiques qui, certes, eurent leur utilité par le passé, mais qui maintenant s'égare, chez les plus honnêtes, dans des perspectives impossibles ou, pour la majorité d'entre-eux, n'agissent plus que pour leurs propres bénéfices et prébendes.

     

    N'oubliez pas, amis lecteur, que toute soumission s'établit sur de la peur et de la colère refoulés.

    Que plus cette peur et cette colère sont refoulées, plus la soumissions est puissante.

    Que toute soumission génère la perversité ainsi que ses doubles rejetons: le pervers-narcissique et le psychopathe.

    Que la soumission nécessite, pour exister, une échelle hiérarchique avec, aux derniers barreaux, les proscrits, naturellement considérés comme boucs-émissaires, et/ou les femmes et/ou les enfants, sur lesquels peut se projeter et s'épancher la colère.

    Supprimez l'une de ces deux émotions, la colère ou la peur, ou mieux encore, elles deux, et il n'y aura plus de soumission qui puisse tenir.

    N'oubliez pas: soumission = peur + colère!

    Restez conscients!

     

     

    THEURIC

  • C'est la fête à Neuneu.

    Cela fait depuis des décennies que c'est la fête à Neuneu.

    Aujourd'hui il s'agit d'une bringue à tout va et tous les neuneus de France et de Navarre s'en donnent à cœur joie, ceci pour oublier les faiblesses grandissantes de l'Union-Européenne, de l'Allemagne et des États- Unis-d'Amérique, leur idéologie chérie.

    Il faut sauvegarder le libre échangisme, la société de service, les banques, les bourses et tout le reste du pataquès..., pour sauver nos trois compères, même Charles Sannat est atteint de cette rêvasserie, même des chômeur et des travailleurs pauvres, même des bac plus, plus, plus y croient....., aussi....., encore....., un peu.

    Et ce qui me le fait dire c'est que personne ô grand jamais ne fait mention des exigences de l'union, regardez donc les réaction gênées du journalistes de Radio-Sud quand François Asselineau remet en cause le bienfondé de l'UE, son angoisse qui l'étreint, ses tourments.P1030571.JPG

    Parce qu'il leur faut des neuneus pour gouverner la France, que ce soit Macron ou Le Pen, de l'équipe de l'un ou de l'autre, les macro-lepénistes, c'est du pareil au même, ils veulent sauver ces trois coquins qui leur offrent si obligeamment des idées prêtes-à-porter qui ne leur donnent pas mal à la tête, neuneus qu'ils sont.

    Et puis cela leur permettra de gagner de l'argent, tout travail de pleine obéissance mérite bien salaire, n'est-ce pas?

    En fait, si vous voulez comprendre les raisons de leurs actions il faut conceptualiser leur psychologie simplement, il est inutile, à leur propos, de se questionner le manière alambiquée.

    Par exemple, leur incompétence seule n'est pas la seule raison de notre confinement, ainsi, si l'état ne veut pas qu'un citoyen, une commune, un département ou une région achète et détienne des masques ou des tests c'est tout simplement pour que les gens restent cloîtrés le plus longtemps possible chez-eux, le gouvernement a désormais trop peur de la population et à n'importe quel prix la bande à croncron ne veut voir le peuple dans la rue.

    Ayant également mis les avocats et les autres métiers de justice à dos qui, de plus, sont ulcérés par la manière particulièrement incompétente avec laquelle le gouvernement agit face à cette crise sanitaire, juste accompagné de justifications P1030252.JPGfallacieuses et verbeuses, les neuneus se retrouvent dès lors avec un monceau de plaintes de toutes sortes à leurs basques, ce qui ne peut qu'accroître leur panique et dès lors leur incompétence.

    Leur seul façon de se sortir de ce cercle vicieux allant s'amplifiant, ce serait qu'ils démissionnent tous en même temps, le président compris, en  nous demandant pardon de leurs erreurs et méfaits, ou bien qu'ils fuient et que nous n'entendons plus parler d'eux.

    C'est pour tout ça qu'ils envoient Macron au charbon, le pauvre ne comprend pas ce qu'il se passe et est toujours sur son petit nuage, je me demande même si sa dépression ne serait pas entrain de s'aggraver.

    Il dit ce qu'on lui dit de dire, fait ce qu'on lui dit de faire, pense ce qu'on lui dit de penser, sans plus.

    Et demandez-vous si nos vieux placés en EHPAD sont laissés en plan à crever autant de maladie que de solitude de ne pas voir leurs proches, ce ne serait pas sous le conseil malfaisant de cet hurluberlu de Jacques Attali qui, je l'avait raconté à mon billet précédent, avait doctement expliqué que "les vieux coûtes chers parce que non solvable", rajoutant que "l' euthanasie sera un instrument essentiel pour nos sociétés futurs".

    Ce beau neuneu, peut-être le plus beau de tous, né en 1943, a donc 77 ans, s'il se trouve de trop sur terre, ma foi, il y a une foultitude de moyen à sa disposition pour régler ce problème.P1030108.JPG

    Quand à l'opposition de la députation et sénatorial elle brille de mille feux de son absence silencieuse, elle aussi serre des fesses de leur craintes de ce que leurs donneur d'ordre unioniste,  étasunien et germanique disparaissent, voire à ce qu'il s'éloignent d'une France devenue l'enfant  malade de l'Union-européenne pouvant tous les entraîner par le fond.

    ( Un pervers narcissique, naturellement incompétent, naturellement un neuneu neuneuant, ne peut pas reconnaître ses erreurs, ni même la moindre de ses fautes, sinon cela déstabiliserait son narcissisme malade en un point tel qu'il peut en devenir fou, parce que, mis en face de ses faiblesses, c'est toute la masse de sa culpabilité qui y est liée qui remonte d'un coup, avec le souvenir du trauma originel.

    C'est pourquoi il se justifie, il ment, il altère et modifie la réalité ou la tait, se donnant, quoi qu'il se passe, le beau rôle puisqu'il se doit de se placer au centre de son monde imaginaire et fantasmatique dont il est le héro.

    S'ils se retrouvent dans un groupe fait, ne serait-ce qu'en partie, de leurs semblables, partageant de plus une idéologie similaire, se définira rapidement deux mouvements opposés:

    -Une reconnaissance pleine et entière de la similarité de leur maladie mentale, qu'ils P1030226.JPGne reconnaîtront jamais comme telle, en considérant ceux n'en souffrant pas comme étant des sous-hommes (là, çà, ce n'est pas de moi).

    Et en même temps une concurrence acharnée entre-eux puisque chacun a un besoin vital de se retrouver au centre de son monde fantasmatique qu'il doit, dans ce cas, de partager, ce qui place  chacun d'entre-eux dans une position de double contrainte, celle de rester dans ce monde imaginaire partagé avec ses semblables, en même temps que de tout faire pour s'en placer en son milieu (çà c'est de moi).

    Dès lors que ledit monde tend à se fissuré, le sujet commence à décompenser en quatre stades au fur et à mesure que celui-ci s'effondre:

    1) La fuite en avant: qui le mène à accentuer son discours devenant de plus en plus incohérent;

    2) L'affolement: où cette incohérence devient tellement évidente que ses proies en viennent à se poser des questions;

    3) La panique: où à cette incohérence s'y rajoute une violence qui, suivant l'individu, peut être langagière et/ou physique et qui met sa proie en état de soumission (qui est la résultante de la relation complexe de ces deux émotions primaire que sont la colère et la peur);

    4) Enfin la décompensation: ou de cette violence s'accentuant faisant fuir sa proie, de laquelle il tente de se venger puisque elle redevient elle-même et n'est plus lui, il lui faut donc la détruire pour tenter de retrouver son état initial, pour ensuite, quoi qu'il se passe, son état psychotique latent remonte à la surface de son mentalP1030575.JPG menant à des crises de folie plus ou moins prononcée suivant le cas.

     

    Alors prenez plaisir, chers et amis lecteurs, que je vous confie encore une fois ici quelques considérations qui mettront à bas nombre de ces fantaisie  absurdes qui nous mènent, en ces temps obscures, aux pires des situations.

    Certes, et en cela je ne suis en rien naïf, je devine comment sont reçus mes petits billets, dans le même temps nombre d'entre-vous se sentent agacés de les lire mais ne peuvent s'empêcher d'y plonger avec délectation à chaque parution, là se trouve toute la complexité de notre  condition si humaine.

    Certains journalistes, à la majorité des plus jeunes, viennent même y lire en un esprit de revanche des masses inimaginables de mensonges qu'ils sont contraints de vociférer ou d'écrire.

    Alors, quelles sont ces pensées que je vous propose en ce jour?

    Je ne reviens que peu sur l'hydroxychloroquine (coquine, hi, hi, hi), vous trouverez dans cette vidéo (et vit des bas comme le dirait une dame pauvre aux jambes délicieusement galbées les admirant) une exposition succincte de l'énième trahison de nos élites neuneus au sujet du SARS-COV-2.

    P1030280.JPGIl sera un moment où la justice se devra d'aller un petit peu fouiller dans les méandre de la neuneuïtude multiforme, mais aussi qu'elle aille farfouiller en elle-même des graves et neuneus manquements qu'elle ne cessa de faire pour plaire à notre gouvernement neuneuïte, dans la relation violente, manifestante et gilettiste entre la police et la population.

    Le plus amusant dans tout cela ce fut qu'il y a sûrement eu un nombre égal de policier et de gilets jaunes qui votèrent pour le Rassemblement National, ils va falloir qu'ils nous expliquent qui est avec et contre qui dans cette histoire de corne-cul dont Marine Le Pen ne parle pas.

    Quand dans le même temps des gens aux hautes et longues études votaient pour le sieur Macron, confondant allègrement la colombe de la paix d'avec le pigeon, sûrement d'un sentiment écologiste, ils en oublièrent le classement des espèces.

    En parlant de sentiment, j'ai l'impression que les français, considérant que, justement, ce gouvernement étant.... composé de neuneus, prennent les choses en main, pour cela ils ont raison, que peut-on en effet attendre de nos ministres sinon de la parole et du vent, du bassement d'air en quelque sorte et rien de plus.

    Parce que c'est seulement cela qu'il savent faire.

    En fait ce ne sont que des commerciaux, les mêmes qui, dans l'entreprise Boeing,P1030155.JPG firent sortir un avion, le 737 MAX, qui ne peut voler et qui donc en a ruiné l'entreprise.

    Monsieur Macron n'est juste qu'un petit commis voyageur dépressif qui, plutôt que de vendre des cravates ou des aspirateur au porte-à-porte, nous vend, sous les ordres de je ne sais qui, en plus d'une Union-Européenne en perte de vitesse, une médication non encore produite mais potentiellement  cher plutôt que le traitement proposé par l'équipe de Didier Raoult qui ne coûte rien, ainsi que des masques qui n'existent pas, ou au mieux existeront un  jour.

    Il nous avait déjà fait le même coup avec la vente des fleurons nationaux et, auparavant, en tant que ministre de l'économie (interdit de rire) de François Hollande, un autre neuneu, d'un aéroport qu'il vendit à des truands.

    Comme quoi la fête à Neuneu avait commencé bien avant 2017, ainsi Nicolas Sarkozy s'était, en tant que leur semblable, déjà entouré d'un même type d'une bande intellectuellement évanescente.

    D'ailleurs il en reçu nombre de ses petits picotins.

    Là où la neuneucherie se déverse encore avec faconde en un jet toutefois en ce moment réduit, la pandémie étant, pour le journalisme cornichon, moyen de ne pas parler de ce qui fâche, soit l'économie, et de ce que l'immensité de l'inaction P1030059.JPGgouvernementale génère de fragilité, en cela, de toutes sortes.

    Or et je le dis avec assurance, deux thèmes économiques ne sont que peu ou pas du tout évoqués, ou de manière absurde: la plus value et la valeur ajoutée.

    Vous allez voir, amis lecteurs, c'est un truc simple comme chou à comprendre si, encore une fois, on ne l'entoure pas d'un fatras de considérations inutiles pour les béotiens que nous sommes, mais que nous devons aborder dès maintenant puisque cette crise s'achèvera bien à un moment ou à un autre et qu'il nous faudra reconstruire notre pays.

    C'est un truc que j'ai compris aujourd'hui même et qui remet totalement en cause tout ce qu'il se raconte en ce moment en économie et met à terre tous nos savants neuneus sur ce sujet.

    Voici l'histoire:

    Connaissez-vous la bauxite, ce minerait qui, après traitement puis électrolyse, donne de l'aluminium?

  • A vous les jeunes!

    J'ai soixante ans et, à la suite de mes nombreux billets, il me semble qu'il soit temps pour moi de m'adresser tout spécialement à vous.

    Nous vivons une période tout autant dangereuse, ne nous le cachons pas, spécifique à toute autre ère et pour le moins impénétrable.

    Or c'est à vous que va se révéler la tâche de rendre intelligible ce qui ne l'est pas, inventif face à ce qui n'est, en ce moment, qu'un rabâchage ennuyeux, ruineux, imbécile et, surtout, obscurantiste.

    Beaucoup d'entre-vous recherchent désespérément une raison d'action sociale dans ce chaos mortifère, en la trouvant dedans des problèmes écologistes désignés par ceux-là même qui génèrent cette confusion collective, soit les médiats officiels.

    Comme je pus l'être à vos âges, vous êtes facilement manipulable.

    De ce fameux réchauffement climatique anthropogénique qui en constitue la trameP1030162.JPG première, cachant là où se situent les réels enjeux, réchauffement qu'il y a beau jeu d'observer en toutes faces, sa vérité est ainsi: cette théorie scientifique, ou se voulant se dire tel, n'en est pas une.

    Pour cela il n'est que de reprendre la science à sa base: Une théorie scientifique, en plus de n'avoir de valeur que par son caractère prédictif, se doit d'être réfutable, c'est à dire de pouvoir être remise en question.

    Si ce n'est pas le cas, alors il ne s'agit pas d'une théorie, ni même d'une hypothèse qui, normalement, se doit de prendre en compte l'ensemble des éléments pour se formuler, mais tout juste une croyance ordinairement sans grande importance.

    Vous remarquerez ainsi que nos journalistes et chroniqueurs bienséants ne présentent jamais quiconque, climatologue ou physicien (puisque les questions du climat relèvent surtout de la physique la plus pointue), venant critiquer cette nunucherie.

    Sachant qu'il n'existe pas, en science, d'unanimité, cela n'existe pas et est le mensonge le plus grossier qu'il soit: oui nos journalistes et nos élus sont soient des imbéciles, soient des naïfs, soient des menteurs ( je vous revoie une fois encore vers ce site où tout cela est, au fil des billets, montré de toutes sortes de façons ).

    P1030306.JPGQu'est-ce qu'un Nagui, un philosophe lambda un intervenant quelconque ou un journaliste du 20 heure connaissent là-dessus, sûrement bien moins que moi  qui n'en comprends juste que les bases.

    Mais me penchant au-dessus de ses dimensions politiques, il me deviens évident que tout cela n'est que de la communication faite pour éviter que vous regardiez là où se trouve les réels sujets: la pire des vilénies de nos oligarques, de l'Union-Européenne dans son entier, de l'OTAN et du néolibéralisme économique.

    Bien que cela fasse intervenir aussi l'un des nos archétypes les plus puissant, le mythe  de la destruction du monde par Dieu suivit de son rétablissement, mais vous remarquerez que Dieu, ici, c'est nous, l'Être Humain, se prendraient-ils, nous prendrions-nous pour dieu lui-même?

    Redescendons donc de ce piédestal stupide et angoissant ( même des enfants en feraient des cauchemars ) et demandons-nous donc pourquoi aucun débats avec des professionnels du pour et du contre de cette fadaise n'est jamais médiatiquement organisé.

    Pourquoi des historiens n'y viennent-ils plus pour nous montrer qu'au moyen-âge et plus encore sous l'empire romain le climat était infiniment plus chaud qu'aujourd'hui, qu'aucun climatologue ne nous y montreraient-ils pas, de plus, enP1030789.JPG combien de temps cette chaleur d'antan prit corps ( l'une des réponses qui m'en fut rapporté en effet, au-devant de mon plus que scepticisme: que ce qui serait catastrophique ce serait la vitesse d'avènement de la-dite chaleur, ce qui reste part ailleurs à montrer )?

    Tout juste sais-je que, de tout temps et toute ère, la monté du taux de CO² suivit et non  pas précéda cette hausse des température, article trouvé sur Science-et-vie datant de trois décennies environ.

    Ceci avant que, comme toutes les publications, ils n'en deviennent à être contraints de suivre, entre-autre, cette pauvre superstition au risque, sinon de se retrouver, pour ses gazetiers, au chômage, comme il failli arriver à ces deux journalistes météos, Messieurs Verdier et Cabrol, dont je vous avais déjà narré les mésaventures.

    Mais pourquoi donc m'appesantirais-je encore une fois sur ce sujet que j'ai de maintes manières déjà abordé?

    Pour vous montrer, chère jeunesse, que nous sommes en plein dans une période d'obscurantisme obtus et que c'est à vous, dorénavant, de reprendre le flambeau de la découverte intellectuelle en toutes les fonctions qui font sociétés.

    Si vous pensez réellement qu'aucune place ne vous est accordée, détrompez-vous, vous avez en réalité celle la plus noble et remarquable de toutes: réamorcer la soif de P1030616.JPGla découverte, de l'inventivité, du désaccord et de la querelle théorique, de la recherche véritable, de la philosophie novatrice, des nouveaux concepts et conceptions, de l'étude des anciens, de leur critique et réexamen... .

    Mais aussi pour  concevoir de nouvelles technologies, nouveaux abords politiques, économiques, sociaux, professionnels, artistiques, nouvelles techniques de conceptions d'usines et de fabriques, de vision de l'état de droit, de la démocratie, des services  sociaux et publics, de la médecine dans toutes ses dimensions...

    Enfin bref, de tout ce qui fait la-dite société et qui, aujourd'hui, part à vau l'eau.

    Et je puis vous affirmer que vous avez loin d'avoir toute une vie pour ce travail admirable, il n'est dès lors plus que temps, pour vous, de ne plus vous laisser entrainer dans les méandres malsains et pervers des mensonges qui vous sont déversé par multitude.

    Alors instruisez-vous et je puis vous assurer que bien des textes jusqu'aux années 80, voire 90, se révèleront, pour vous, fort précieux.

    En revanche c'est en cette époque que se développèrent les bases nauséabondes du délitement intellectuelle actuel, alors faites toutefois attention aux ouvrages queP1030365.JPG vous choisirez et montrez-vous analyste sensible aux contradictions internes des sujets abordés.

    Soyez examinateurs passionnés mais scrupuleux des notions exposées par les penseurs anciens, ce n'est pas parce que c'est vieux que c'est bien, ce n'est pas parce que c'est moderne que c'est mauvais, à vous d'en peser et soupeser tout le pour et le contre, seules la raison, la logique et la cohérence vous le démontreront.

     

    Pour ceux ayant eu le temps et le courage de parcourir une bonne partie de mon blog, ce seront aperçu que j'ai pu aborder certains sujets, dont celui de l'apparition de l'ancêtre du singe, de celle du premier du genre Homo, notre très lointain aïeul, de la nature de la pensée, ainsi que de tout un ensemble de thèmes différents.

    Ce n'était pas dans le but de vous démontrer la faisabilité de remettre en question, voir parfois en cause, les hypothèse posées actuellement, mais tout simplement pour m'en exprimer, pour y exposer mes idées: comment voudriez-vous que, sinon, je puisse me faire entendre autrement du haut de mon faible cursus et classe sociale?

    Combien longtemps ai-je été inconsciemment jalousé sans même que mon vis-à-vis et moi-même n'en percevions le trait, ce qui  fonde aussi ma prudence.

    Parce qu'il est terriblement douloureux de percevoir des biais sociaux là où ils se trouvent, de comprendre certaines choses et de ne pouvoir les partager avec P1030271.JPGquiconque, sachant que je remets en cause en cela bien des préceptes sociétaux non-dits.

    Certes, depuis ces tant d'années j'ai pu faire des erreurs conceptuels, voire prévu des événements qui n'eurent pas lieu ou qui arriveront que bien plus tardivement, mais je n'ai eu que de cesse de corriger ces-dites erreurs et faire preuve de bien plus de prudence, de retenue et de mesure dans mes prévisions.

    Il faut en effet être son pire objecteur pour pouvoir développer au mieux sa pensée.

     

    Dans ce monde incompréhensible, ou du-moins aux sens discrets, il n'est pas facile d'y trouver sa place, phénomène renforcé par l'union-européenne et son ensemble idéologique ad oc mélangeant le pire au meilleurs, rendant la notion d'identité floue, nous faisant confondre loup, chèvre et chou nous faisant perdre toutes les notions du commun et nous égarant dans l'infinité de l'illimité, nous laissant, pantelant, dedans la béance de l'infantile infertilité.

    Alors,  pour s'échapper aux angoisses de ces égarements de ne plus se sentir déterminé, tant dans l'action que de son identité, diverses stratégies psychologiques s'y côtoient.

    Il y a par exemple d'inscrire sur sa peau sa marque identitaire pour qu'en cela savoirP1030550.JPG par la douleur du piercing et/ou de celle du tatouage, de son souvenir, où se trouve la limite du corps, de part sa peau tracer une frontière entre le monde et Soi.

    Il peut aussi y avoir les beaux habits et beaux maquillages, avoir la parole haute, de se muscler indéfiniment, de se filmer sur un ordiphone, divaguer sur des réseaux dits sociaux, de se montrer en réel ou en virtuel, pour dire: "J'existe!", de l'affirmer ou de tenter de le faire.

    Ce sentiment de ne pas exister en raison de limites peu ou non formulées, du sentiment de se perdre dans un grand tout où chacun aurait le sentiment de n'être que poussière perdu dans l'univers, de celui de n'avoir qu'une identité de Soi comme de celle sociale confuse, nébuleuse, mène à une souffrance psychique à peine audible que seule la boule à la gorge permet de retenir et de percevoir.

    Cette douleur mentale silencieuse conduisant à la recherche de l'oubli, de l'hébétude, de la folle frénésie dans toutes sortes d'intempérances enivrantes.

    Des drogues, il y en a de trois sortes: celles menant à de l'ivresse, celles excitantes et les hallucinogènes.

    L' alcool, le hachich, les opioïdes sont des premier, la cocaïne, les amphétamine et P1030165.JPGméthamphétamines sont des seconds, quant aux troisièmes ils se trouvent dans les alcaloïdes de certains champignons.

    ( Le tabac est spécifique, peu ou non enivrant ni  excitant, il a de fonction de faire baisser le taux d'agressivité, de réduire le sentiment d'ennui, de diminuer la timidité et de combler une béance affective, mais c'est l'une des drogues dont il est le plus ardu de se débarrasser. )

    Toutes les drogues ont des effets néfastes autant sur l'organisme que sur le cerveau.

    Il y a des drogues qui, d'une manière ou d'une autre, sont acceptées et contrôlées socialement en raison de la multitude des générations qui s'y sont confrontées,, le vin en France, en Allemagne la bière, les alcools en Occident donc, l'opium dans certaines régions orientales, le hachich réservé (normalement) à des situations et rites  religieux ou spirituels, en Inde notamment.

    En revanche toutes les drogues de synthèse, comme celles installées dans des pays hors de leur contextes anthropologiques, sont d'autant dangereuses de tous points de vu que les corps sociaux n'en ont construit aucune appropriation, ni cultuelle, ni culturelle, ni même de restriction formelle par un surmoi collectif conscient et inconscient.

    Soyez  au fait, donc, de ces causes qui font cet attrait, seul ou en commité, pour une ivresse dépassant largement le seul plaisir de se retrouver grisé au milieu des amis,P1030104.JPG en partageant le vin pendant le repas en devisant gaiment en bonne compagnie, de danser aussi, de chanter à tue-tête.

     

    Je me suis moi-même diagnostiqué pseudo-asperger, qui est un mixe de haut-potentiel ou de sur-doué avec un état autistique plus ou moins léger.

    Son origine, je le pense fortement

  • De la nature de la pensée.

    Voilà une chose bien mystérieuse de ce que peut être que la nature de la pensée.

    Alors, en attendant que pour nous s'apaisent les tensions du système à notre endroit, je vous propose de vous confier ce que, de la pensée, j'ai pu en concevoir.

    Ben oui, que voulez-vous, mes doigts s'agaçaient de ne pas clavioter (pas mal ce néologisme, non?) sur mon blog.

    Alors, plutôt qu'ils ne se morfondent et se chagrinent, je me vais me pencher sur ce sujet, mais je vous préviens, ceci n'en est qu'une ébauche.

    Allons camarades, à chacun d'en compléter la trame:

    J'ai pu croire un moment que la pensée, qui est, d'une certaine façon, se parler en P1000850.JPGsoi, avec, en plus de l'audio, la possibilité de la vidéo puisqu'il est parfaitement possible de générer des images mentales.

    J'ai pu croire, donc, que la pensée était la résultante de l'apparition du néolithique, soit le début de l'agriculture et de l'élevage.

    Qu'elle serait paru pour que, dans les sociétés complexes que ne put que générer la vie agropastorale, chacun puisse conserver en soi ses petits secrets, son quand-à-soi.

    Or, après réflexion, je pense maintenant qu'il n'en est rien.

    Tout juste cela n'étant que l'un des effets émergeant de l'apparition de la pensée et non pas l'inverse.

    Alors, quel en serait l'origine?

    A mon avis, la nécessité de la planification temporelle de la vie sociale, de son organisation, de sa complexification progressive.

    Ce serait même la raison pour laquelle le néolithique serait survenue: il fallait déjà avoir les capacités de réfléchir après avoir observé comment plantes et animaux réagissent, pour pouvoir, ensuite, mettre en place l'organisation nécessaire pour l'ébauche d'agriculture et d'élevage.P1010035.JPG

    Mais avant de continuer, permettez-moi de remonter dans le temps (ce que je viens déjà de faire).

    Ainsi, comme je le conçois, la pensée serait la dernière fonction mentale humaine déterminante (dans le sens qui détermine l'individu en tant que tel) et régulatrice, comme il en serait (normalement) pour l'égo et le narcissisme, (je ne dis pas qu'il n'y en aura pas d'autres plus tard), celle-ci ne peut que s'être développer sur, si je puis dire, un terreau fertile: la conscience.

    La conscience, elle-même, résultante de la monté en puissance de l'intelligence.

    Conscience qui ne peut que se concevoir que comme étant la conscience de Soi, il est d'ailleurs possible, à l'aide d'expérience, d'en observer une, archaïque, chez certains animaux tels que les chimpanzés, les éléphants ou les orques.

    C'est la fameuse tâche de peinture tracée sur le dos ou sur la tête d'un représentant de chacune de ces espèces et de laisser un miroir dans son enclos ou son bassin, et vous le verrez s'y mirer, toucher leur parti du corps peinte, preuve de leur conscience d'eux-mêmes, frustre, certes, mais présente.

    Mais la conscience seule ne suffit pas à projeter dans le futur le résultat d'actions présentes, tel que le semage ou le pâturage, juste aide-t-elle à déterminer la période P1000884.JPGpropice pour la chasse d'un gibier ou la cueillette d'un fruit, de retrouver un long chemin ou l'emplacement d'un point d'eau.

    Ceci parce qu'il n'y a pas de temporalité pour la conscience tant qu'elle reste intimement liée à l'inconscient, tant que toutes deux forme encore un tout.

    C'est pourquoi la pensée a émergé, sûrement en raison d'une plus grande efficacité de la vie de nos ancêtres à la toute fin du paléolithique, qui leur permit d'amorcer une vie sociale plus large, entraînant ce temps libre et ce bienêtre utile pour que la nouveauté paraisse: la pensée.

    Mais pourquoi donc la pensée aurait-elle comme attribut la perception temporelle du futur et, donc, de la détermination du passé et du présent?

    Parce qu'elle est le filtre, ou mieux encore, la membrane semi-poreuse, en quelque sorte, permettant un aller-retour entre le conscient et l'inconscient.

    Ce qui, je le conçois, ne peut pas être une notion simple à appréhender pour l'Homme moderne que nous sommes pour qui, justement, cela relève aujourd'hui de notre plus ordinaire nature.

    Alors, essayons-nous de comprendre en quoi le fait que la pensée puisse être laP1010050.JPG membrane entre conscient et inconscient fit émerger la temporalité du vécu.

    Le corps, le métabolisme, le cerveau qui, bien entendu, fait parti du corps, n'ont que le temps de l'âge, c'est-à-dire qu'ils évoluent et s'adaptent, de la naissance à la mort, d'abord à la monté vers la vie adulte puis à la dégradation lente vers la senescence.

    En soit, ils n'ont pas besoin d'une temporalité quelconque puisqu'en eux-mêmes, que ce soit par l'apprentissage et l'expérience passée grâce à la mémoire, ainsi que l'action dans le monde, la vie sociale, au travers des us, coutumes et tabous, et la résistance aux agressions de toutes sortes, ils ont en eux l'ensemble des ingrédients nécessaires à la vie.

    De nature nous sommes et restons toujours les chasseurs-cueilleurs du paléolithique, ce sont l'éducation et l'instruction aussi bien que la vie sociale dans toute sa complexité, de l'enfance jusqu'à la vieillesse, qui fondent cette structure psychique très particulière que peut être la pensée.

    D'ailleurs, si un stress intense survenait, tel que se retrouver au-dedans d'une bataille dans une guerre moderne, voire ancienne, ou une vie misérable dans les campagnes perdues et oubliées ou dans des banlieues infâmes, un grand nombre de nos contemporains retrouve(raient) des réflexes antédiluviens qui, actuellement, ne s'expriment plus qu'au travers des symboles ou de ces réflexes à peine pensés (justement): cette temporalité sera momentanément P1010151.JPGécartée par l'exigence de survie.

    D'où la nécessité d'une formation poussée du soldat qui, sinon, retrouverait rapidement ses automatismes séculaires et instinctifs, ce qui, pour un certain nombre d'entre-eux, se passe, quoi qu'il puisse en être de cette formation.

    Pour qu'une planification puisse s'effectuer, il faut, pour que la personne puisse se projeter dans un futur d'essence incertaine, que s'établisse cette membrane entre un inconscient, une corporalité de substance intemporelle, et un conscient qui a la faculté, restant potentielle tant que la pensée n'aura pas émergé, de délimiter les contours du passé, du présent et du futur.

    Dès que cette pensée prit forme, de nouvelles dispositions l'accompagnèrent, se parler en soi, imaginer et visualiser des situations, des histoires, des formes, des techniques, des expériences, des conceptions nouvelles, les mettre en pratique, les essayer, et même trouver des procédés pour s'aider à mémoriser, à agir de manière plus efficace, à imaginer ou a mener son corps au-delà d'une limite théorique, comme il peut en être des arts martiaux ou de la danse classique notamment......

    Notre souci est que la pensée n'est parue qu'il n'y a que très peu de temps, quinze, vingt milles ans à tous casser, et que la méthode principale pour l'organiser, la philosophie, n'a elle d'existence que de quelques milliers d'années tout au plus.

    Quand bien même cette philosophie soit chinoise, grecque ou de toute autre origine, l'imprécision fonctionnelle de la pensée rend celle-ci profondément instable et la tend régulièrement à ne pas agencer correctement cette temporalité devenueP1010055.JPG incontournable dans la société moderne telle que nous l'avons bâtie.

    Ainsi en est-il, en quelques exemples rapides et des plus anodins, de la procrastination, des oublis de rendez-vous, de ne pas savoir prendre son temps ou de s'ennuyer à ne rien faire, de l'impression du déjà vu.....

    La pensée peut aussi se rigidifier de façon telle que la conscience se fragilise et que dès lors la personne n'agit plus que sous la gouverne d'un inconscient devenu tout puissant, lors de maladie mentale, entre-autre...

    Parce que jeune, donc, et parfois, voire souvent, peu maitrisable, la pensée est, comme je l'ai dit, fragile, c'est pourquoi elle est facilement rejeté comme n'étant pas essentielle, c'est pourquoi également la conception de la temporalité, elle aussi, peut-être répudiée.

    Il est vrai que celle-ci ne peut pas gérer  plusieurs choses à la fois, d'une certaine façon elle éclaire, le plus souvent, un et seulement un lieu précis dans l'inconscient pour le faire remonter à la conscience, soit pour agir, prendre une décision, faire une évaluation, un choix, remonter un souvenir, ou pour toute autre raison.

    Mais vouloir écarter la pensée, comme le prône certaines religions, techniques de méditations ainsi que des philosophies, ne me paraît pas être une très bonne chose, en faite dire que la pensée est mauvaise ou que l'on peut trop penser est faux.

    Nous ne pensons jamais trop mais souvent nous pensons mal, ce qui veut dire que nous n'utilisons pas cet outil extraordinaire, notre pensée, de la bonne manière.

    P1000880.JPGMais qu'est-ce que peut être que de penser d'une bonne façon, soit de façon efficace?

    Très souvent nous nous arcboutons, focalisons, nous nous contractons sur une seule idée sans laisser la pensée faire son travail naturel.

    Il lui faut, en effet, de façon régulière, lorsque la concentration pour l'accomplissement d'une tâche n'est pas nécessaire, la laisser vagabonder entre conscient et inconscient, pour qu'elle remplisse son rôle de membrane psychique entre ces deux dimensions primordiales de notre esprit.

    C'est lors de ces instants que des images mentales vont et viennent, un petit peu pareillement lors d'un endormissement ou d'un rêve, à la différence fondamentale qu'il est bien plus aisé de comprendre ce qui a pu émerger de ces moments de repos.

    Là, toutes les techniques sont permises, relaxation, douche, lecture, marche, course à pied ou autre....., du moment que celles-ci ne demandent pas un grand effort intellectuel.

    Ainsi en ai-je posé les premières bases, de cette ébauche, pour que nous le comprenions, un jour, collectivement, mais cela ne peut que commencer que par unP1000863.JPG travail d'individualités.

    N'est-ce donc pas, l'esprit, le pari de ce blog, d'appeler chacun d'entre-nous à une nouvelle renaissance, de questionner les évidences, de les remettre sur l'établi, les pétrir, les malaxer pour voir si d'autres jus de connaissances n'en sortiraient point?

    Et quoi de mieux pour cela que de cultiver notre pensée, l'aider à se développer?

    Allons, foins de mascarade, camarades, travaillons le, ce renouveau de la pensée humaine.

    Et tant pis pour l'erreur possible ou plausible, plutôt avancer sur la route que de rester au bord du chemin à se lamenter.

    Moi, ici, je le continue, mon petit bonhomme de chemin réflexif...

    Est-ce du-moins ainsi de ce que je la pense.

     

     

    THEURIC

  • Florilège 5

    Pour moi:   

    Il est des moments où, quand je blague, la boutade me monte au nez ( c'est pour tout dire et ne rien dire en même temps et......................... réciproquement ).

     

    Pour les historiens:

    Il se disait d'antan qu'un sir concis était un roi à la rare parole ( et dire qu'il y en a qui ne me croit pas, snif  ).

     

    Pour les astronomes et autres astrophysiciens:

    Lorsque je regarde les étoiles, je ne peux pas ne pas considérer, avec ce bonheur ineffable, infini et transcendant du philosophe pantelant,  que je vis dans le plus bel univers du monde ( la preuve en est, j'y suis né ).

     

    Les emmerdes, disait le Président Chirac, volent en espadrille escadrille, cela ne peut que vouloir dire qu'il arrive souvent qu'à un problème, une difficulté rencontrée, en surviennent d'autres quasiment en même temps qui, potentiellement, seraient liées les unes, les autres, voire à ce qu'ils l'y soient intrinsèquement.

     

    Pour les météorologues:

    Quand il ne cesse de pleuvoir au mi-temps de l'année, tout le monde, en le déplorant, parle d'un été pourri, or, en y réfléchissant bien, entre deux longues averses, il y a toujours un tout petit peu de soleil.

     

    Pour les restaurateurs:

    Dans certains restaurants c'est une femme qui devient maître-queue, où va la vie...

     

    Pour les amoureux du théâtre de Shakespeare:

    Toubib or note toubib, zate ine ze kéchtionne ( quand le Shakespeare n'est pas sûr il n'est pas sûr que le sûr soit Shakespeare ).

     

    ( Ça fait plaisir, hein, l'absurde, alors continuons...

     

    Pour nous, les hommes:

    Moi, en tant qu'homme, quand je me sens bien, je me sens mâle ( ben oui, bof ).

     

    Avis pour les sportifs:

    Faire des pompes ce n'est pas  marrant et c'est fatiguant, alors, un bon et solide conseil, faites-les couché sur le dos ( en même temps vous pourrez ainsi admirer les étoiles... ).

     

    L'apparence n'est que l'ombre de la réalité.

     

    Petite expérience pour les enfants: la loupe et l’albédo :

     

    L’albédo est la mesure de réflexion de la lumière, plus ladite réflexion est forte, plus il y a d’albédo, ne connaissant pas comment cela se mesure exactement par les scientifiques.

     

    Il faut, pour cette expérience, une paire de lunettes de soleil pour se protéger les yeux, une loupe, une ou plusieurs feuilles de papier blanc, un crayon à papier, s'il y a, des feutres de différentes couleurs, voire des marqueurs, et un chronomètre (du téléphone par exemple), une planche de bois, un verre d'eau pour éteindre une flamme qui pourrait survenir et du soleil ( plus il est proche du 21 Juin, les jours les plus longs, plus il est fort ).

     

    Toujours poser la feuille de papier sur la planche avant de faire cette expérience, ceci  pour ne rien esquinter.

     

    Pour commencer, brûler une petite partie de la feuille de papier grâce à la loupe ( il faut que le point lumineux soit le plus petit possible ) sans que rien ne soit griffonné dessus, donc parfaitement blanche, vous vous apercevrez que cela prend du temps, voire beaucoup de temps pour cela.

     

    Ensuite, mettez du crayonnage à un endroit sur la feuille et vous verrez que le papier brûle beaucoup plus rapidement.

     

    Enfin, si vous avez des feutres et marqueurs de diverses couleurs, il est probable, n'ayant fait cette expérience moi-même puisque quand j'était enfant il n'y avait que peu de feutre, que le jaune brûle plus lentement que le bleu.

     

    De plus, si un nuage passe devant le soleil, vous le verrez à l'envers sur la feuille de papier.

     

    N'oubliez pas de remettre le soleil dans votre poche, il pourra resservir.

                                                            ............................................

     

    Pour nous, les français :

    L'armée dont les citoyens ne peuvent qu'avoir une confiance absolue c'est l'armée militaire ( et le militant alors? ).

     

    Pour les belges:

    Comment dire oui en Suisse?

    Oui;

    Ya;

    Si;

    Saka;

    Il existe donc bien une union-européenne: la confédération helvétique en quelque sorte!

     

    Pour les ingénieurs:

    L'on parle de chaîne stéréo, bien, mais où se trouve les maillons?

    Où alors il s'agit d'une tronçonneuse, mais alors, dans ce cas, cela devrait s'écrire et se dire "chaîne à stère hé-ho" ( c'est maintenant qu'il faut rire )!

     

    Pour les cascadeurs:

    Si un parapluie est là pour éviter la pluie ( bien sûr quand il pleut... ), alors un parachute est là pour éviter les chutes ( non pas de pluie ), un parasol pour éviter le sol ( surtout pour les cosmonautes ) et, dès lors, une parade pour éviter le de.

     

    Comme je suis, je ne suis pas.

     

    Pour les ophtalmologistes:

    Des jumelles ont-elles une bonne vue?

     

    Pour les entomologistes:

    Ce qui m'ennuie chez les insectes c'est qu'ils ne prennent pas de repos le Dimanche ( ils devraient faire grève ).

     

    Le lapin chasseur:

    ( Pan )

    Pour ce plat il faut d'ingrédients:

    -Un lapin découpé en morceau;

    -Du lard;

    -Du vin;

    -Des champignons;

    -Des aromates dont 2 clous de girofle, sel, poivre, bouquet garni, du curry ( hi, hi, qu'il fait );

    -Des pommes-de-terre;

    -Une ou deux tomates;

     

    Faire rapidement revenir les viandes dans la cocote-minute ou la marmite, y rajouter ensuite les champignons et la ou les tomates, y mettre une bonne poignée de farine et bien mélanger le tout, bien recouvrir de vin, y rajouter les aromates.

     

    Dès le pchit-pchit ou l'ébullition, comptez 1 h pour le premier et le double, soit environ 2 h, pour le second, à feu doux, on oublie, quoi, sauf que les patates doivent y être rajoutées à mi-cuisson, alors si la durée de cette cuisson est approximative, celle des pommes-de-terre la sera aussi (cui-cui).

     

    Mais ce n'est pas grave, ça se mangera avec gloutonnerie, avec un bon petit vin et un bon petit pain, le petit dessert et la petite entrée qui suit, ce sera super et non pas ficiel.

                                                  ..........................................

     

    Pour les ornithologues:

    Quand je vois les oiseaux voler je me demande toujours où se trouve la tour de contrôle (cui-cui).

     

    ( Je fais une pose méditative! )

     

    ...Quelque temps plus tard...

     

    ( Ah la légèreté de l'Être! )

     

    Pour les philosophes:

    Il n'y a rien de plus sérieux que le rire, sauf quand on ne rit pas!

     

    Pour les politiques:

    Quand une situation tire vers sa fin, la question de quand se rallongeait son début du commencement se pose, et vice et versa.

     

    Pour les ingénieurs, encore eux:

    Les moulins à vent ont-il une marche arrière?

     

    Pour les suisses:

    Il se dit communément que pour avoir la frite il faut être belge ( je vous ai bien eu, hein ).

     

    L'oeuvre d'art ne transige que pour lui-même mais de comprendre l'artiste permet d'en tout saisir.

     

    Pour les nord-américains;

    Le Québec, en voilà un drôle d'oiseau ( cui-cui )!

     

    Réclamation à l'endroit du Président des Etats-Unis-d'Amérique:

    Chaque hiver les américains nous volent et le froid, et la neige (gla-gla).

     

    Pour les occidentaux:

    Ceux qui aiment les américains sont-ils des pros-State?

     

    Question-réponse au Président de la Fédération-de-Russie: 

    Où les russes boivent-ils leur cafÃ

  • Une époque passante maintenant de versifier.

    Présentation:

     

    Le second poème commence par un quatrain transformé d'un de ceux que mon maître en poésie avait écrit (perdu depuis) qu'il m'avait offert, ouvrier-philosophe, charron de son état, forgeron-carrossier, que j'avais rencontré jeune homme quand j'était OS en dépôt d'autobus, à les nettoyer.

     

    Nous avions fait ensemble un "cadavre exquis", recopié sur le tableau syndical, il avais aussi jugé mes toutes premières œuvres encore approximatives.

     

    Du premier, il est temps de ne plus se morfondre mais de penser l'avenir.

                                            -----------------------------------------

     

     

     

                 Il est temps passé

              D'explorer ce miroir

    D'une époque insolite et odieuse

     

    Maintenant de la poésie

     

    J'ai tout dit sur mon blog en ces années passées,

    Contant ce que je peux penser de cet époque,

    Où j'y ai fait l'essai de vous débroussailler

    Les si inouïs chaos que ce temps évoque.

     

    Je vous laisse lire, en prose profuse,

    De ces billets anciens racontant le présent

    D'ères finissantes en leurs sens abstruses :

     

    Cet avilissement tant déshumanisant

    Que tout ces bornés, qui, doucement, l'infuse,

    Ne sont plus qu'ombres de rêves agonisant.

     

    Certes, parfois, j'ai pu produire des erreurs,

    Et le reconnais là, avec humilité.

    Mais le moment n'est plus de s'abattre de peur,

    En revanche de vivre joie et acuité.

                                           ----------------------------------

     

     

     

                           Il est de ceux-là

    D'où bruissent vanité autant que vacuité.

                              En serais-je?

     

     

    Le président

     

    Un petit président, invétéré bavard,

    Derrière son bureau, pérorait à foison.

    Ses concitoyens écoutaient, goguenards,

    Du sermon magistral la rime et la raison.

     

    « Mon génie reconnu transcende l'univers,

    A moi tout seul, je suis la civilisation,

    A chaque décisions ne pense que nation,

    Vous aime, mon peuple, je suis votre convers.

     

    Toute décision est mûrement réfléchie,

    Toute action pesée, mes idées rafraîchies,

    Je médite chaque jour pour le bien commun,

    Ne bafoue pas les lois d'un revers de main.

     

    Je suis votre lumière, ma vie, exhalaison

    De la bonté et de gouverner sur terre,

    De faire mon mieux bon sens en floraison,

    Phénix de tout savoir, sagesse exemplaire.

     

    Je suis le créateur au-delà de tout art,

    Le démiurge fondateur d'absolu savoir,

    Déniant à quiconque le droit de vouloir croire

    Que ce que je conte est le fait d’un ignare. »

     

    Quand ce prêche finit, silence s'établit.

    La gêne légère de visages pâli

    Donnait en salle l'allure d'un sépulcre,

    De perdre l'esprit de ne penser qu'au lucre.

     

     

     

    THEURIC

  • Penser l'après pandémie dès maintenant.

    Il ne fait aucun doute que nous ne pouvons compter sur l'équipe dirigeante du pays pour prévoir par avance les événements futurs et s'y préparer.

    Et il en est de même d'un nombre très important des élites de la nation.

    Il s'agit là d'une perte, parfois gravissime, des capacités intellectuelles d'une partie plus ou moins importante de ces personnalités du plus haut de la hiérarchie, touchant quasiment tous les milieux socio-professionnels, des sciences à l'économie, des institutions de l'instruction jusqu'à la politique...

    C'est donc à nous, le peuple, aidé en cela par tous ceux de ceux-là qui ne sont pas atteint de ce mal qu'est cet abêtissement, de prendre la relève de l'intelligence, quel que soit le statut de chacun.

    Mon maître en écriture n'en étant pas moins charron, forgeron ouvrier philosophe dans un dépôt de bus RATP, sûrement décédé depuis, qui ne cessait de répéter au P1040555.JPGgamin que j'étais, nettoyant les bus avant que je ne les conduisisse: "Travaille tes textes jusqu'à ce qu'ils soient  au point!"

    J'y laisse encore quelques coquilles, ma foi.

    Nous avions, tous deux, écrit un "cadavre exquis", ce poème à quatre mains au moins, inventé par les surréalistes, où chacun concoctait ses douze pieds puis cachait la phrase ainsi écrite au suivant en pliant la feuille qui écrivait la sienne à la suite jusqu'à ce qu'il soit décidé qu'il serait achevé, pour en dérouler le résultat à la fin.

    Ce qui peut aussi amuser les enfants.

    Ceci pour vous montrer, amis lecteurs, que nous sommes tous capables autant de nous instruire que d'en faire un usage utile, autant pour nous-même, notre famille que pour le pays.

    En un seul exemple de cette perte de capacité de nos censément élites:

    Il est patent que nombre d'enfant n'apprennent plus la règle de trois qui consiste à savoir utiliser la multiplication et la division de façon complexe, ceci de manière à formaliser autant des proportions, des flux, des dimensions, les vitesses... dans leur complexité, même les mathématiciens les plus pointues en viennent à en faire, dans P1040699.JPGleurs calculs, usage.

    Or, nous pourrions nous dire que la raison en serait d'un plan machiavélique pour rendre imbécile la population.

    Personnellement je considérerais plutôt que ce fait provient de ce que ceux qui  planifient les programmes scolaires ne savent même plus composer ce genre de calcul, en sont devenu totalement incapables, l'ignoreraient même désormais.

    La preuve en étant que le ministre de l'agriculture, Bruno Le Maire, ne sut pas convertir l'hectare en mètre carré, s'avouant même incompétent en mathématique quand, là, il ne s'agissait pas de calcul mais de conversion, qu'avait-il donc bien pu apprendre à l'école enfant?

    Et aujourd'hui qu'est-il devenu ce brave homme si nul que cela de son aveu même?

    Ministre de l'économie et des finances.

    Je ne demanderais pas qu'il soit comptable de formation, certes, mais pour occuper un tel poste j'imagine qu'un tel ministre soit au fait un  minimum desdits mathématiques, ne trouvez-vous pas?

    Alors les deux autres questions désormais se posent: quel est le réel niveau d'étude demandé pour obtenir un diplôme de l'ENA, quel est le niveau de connaissance demandé pour en suivre la formation?P1040513.JPG

    Ceci sachant la modicité des cours faits tant en histoire qu'en français à l'école de ce que j'ai pu en percevoir.

    Si, ce qui est facilement imaginable, l'équipe qui est chargé de créer les programmes scolaires sont d'un même niveau intellectuel que l'un de nos ministres.

    Les événements récents de Mars à Juin au sujet de la pandémie laissant à penser qu'il en est de même pour tous ses confrères et consœurs, que ce phénomène n'est que la résultante d'une baisse de niveau intellectuelle de ces élites, quelles-mêmes ne sauraient supporter plus intelligent qu'elles en tant que subalterne.

    Alors nous pouvons, sans hésitation, poser le postulat que cela est aussi le fait d'une bonne partie de la haute administration, les plus capables ayant été placé en un beau placard, dont celle, en toute bonne logique de l'éducation nationale, lieu dédié à formaliser les programmes scolaires.

    Ceci ayant pris corps depuis de longues décennies.

    Et pensez-vous vraiment que ce soit cette équipe de ribouldingue et leurs conseillés qui serait en capacité de gérer une nouvelle crise de quelle que nature qu'elle soit, ceci au moment où l'économie européenne et mondiale montre des signes P1040614.JPGinquiétants de grandes faiblesses, la France n'en étant pas en reste, très loin de là?

    Si, de plus, nous y rajoutons le fait que la probable double disparition, dans un laps de temps relativement court de quelques mois à quelques années de l'Union-européenne et des Etats-Unis-d'Amérique les mèneront, pour la majorité d'entre-eux, à gravement décompenser psychiquement.

    Que, de plus, il est loisir de concevoir que cet état de fait ne peut que s'observer à l'endroit de nos édiles des assemblées d'enregistrement délibératives et, pour partie, de celles siégeant en région ainsi que de certains préfets.

    Que, de plus, cela touche tout autant l'administration unioniste qui, pendant la crise sanitaire, fit montre, non pas d'une incompétence, mais pire que ça, d'une totale et manifeste inaction, sûrement tous plongés dans un état de sidération, de décompensation, preuve, là encore, autant de son inutilité que de sa malveillance de part ses oukases des  GOPE qui sont, quoi qu'il s'en dise, la raison majeur, avec l'existence de l'euro, de nos difficultés passées, présentes et avenir tant nous resterons au sein de l'UE.

    Alors il nous faut considérer dès maintenant notre nécessité absolu de ce que nous commencions à conceptualiser notre futur plausible, possible au probable, ceci affin de nous y préparer, tout autant du meilleurs comme du pire, et ceci sur tous les plans.P1040591.JPG

    Ce sont tous les corps de métier qui se devraient, au plus tôt, de réfléchir à cela.

    Nous ne devons plus rester sur des concepts anciens qui montrèrent tous leurs limites, même l'écologisme dogmatique d'aujourd'hui montrant un réel potentiel de malfaisance proche de la folie clinique.

     

     

    THEURIC

  • Idée n° 11) Réflexion sur l'une des causes premières de la crise actuelle.

     

     Il est de fait que le sens que nous donnons à ce que nous percevons est inextricablement lié à la structure de notre psychée dans ses trois composantes, inconscient collectif, personnel et social.

    C'est à la suite de la lecture de Yung expliquant combien les démocraties populaires et les démocraties libérales sont la dissociation d'une réalité psychique commune que j'ai commencé à faire ce travail de mise en question de ce que peut être notre modernité et quelle différence il peut y avoir entre d'un coté la politique et de l'autre l'économie.

    Cela fait suite, il est vrai, au développement de l'idée des "entités sociales" après que j'aie lu un texte dont le sujet était la théorie des "champs sociaux" de Pierre Bourdieu.

    Les entités sociales sont les différentes composantes professionnelles, légales ou pas, structurant une société, chacune générant langages, discours, actions, gestuels,..., voir sexualités communes.

    De plus, chacune de ces entité sociales ont des intérêts particuliers, spécifiques.

    Les intérêts du scientifique seront différents, divergents, complémentaires de ceux du banquier, lui-même ayant des intérêts différents, divergents, complémentaires de l'entrepreneur (je ne parle pas là d'intérêt d'argent même si pour le banquier celui-ci est premier).

    Nous pouvons nous apercevoir, en regardant l'histoire, qu'il y a progressivement distinction des professions, le professionnalisme des métiers, deux des premiers furent sûrement le sorcier-guérisseur et le chef.

    Arrivé là de mes réflexions, j'en ai conclu qu'il est absurde de faire l'amalgame entre politique et économie parce que ce sont deux entités sociales en tous points dissemblables.

    En plus cela me permets de donner une explication à la crise actuelle dont la cause en serait la suprématie d'une entité sociale sur toutes les autres, cela voulant dire qu'il doit y avoir un équilibre entre les différentes entités sociales.

    Nous pouvons même nous demander si cet amalgame ne nous ferait pas régresser puisque il y a séparation, dans nos sociétés modernes, des divers professions: il serait improbable que, comme en 1870, à la guerre Prusso-Française, le chef de l'état, ici Napoléon III, prenne la tête d'une entreprise militaire.

    Alors pourquoi ce qui est vrai dans ce cas là, contrôle de la force militaire par la puissance publique mais, aussi, indépendance de la deuxième vis-à-vis de la première, ne le serait-il pas en ce qui concerne la banque et la finance?

    Et le communisme, était-il ou n'était-il pas soumis à la loi du marché?

    Il est vrai que la loi du marché ne le concernait pas, mais comme c'était le pouvoir politique qui décidait de tout ce qui concernait l'économie, cet amalgame était tout autant, sinon plus, radical.

    En fait ce sont les deux héros de la guerre froide, les U.S.A. et l'U.R.S.S. qui se sont effondrés en même temps sauf que pour le premier cela se fit de manière discrète et pour le second de façon retentissante.

    L'économie politique était au centre de leur organisation.

    Le problème en est aujourd'hui que nous confondons allègrement économie politique et politique économique, deux notions qui n'ont aucun rapport l'une l'autre, le premier est la domination du politique par la finance et les banques, le second est la domination des banques et de la finance par le politique.

    Cela est dû pour une large partie de ce que la démocratie et le libéralisme économique ont émergé en même temps, le communisme qui a suivit n'est apparu qu'en réaction à la trop grande puissance des forces économiques mises en jeu à ce moment là.

    Il y a eu, ainsi, concomitance entre l'émergence de la bourgeoisie et de la démocratie mais en vrai les deux ne sont pas tant liés que cela:

    -La puissance bourgeoise, l'ordre marchand, s'est accrue en Europe quand les deux autres ordres, guerrier aristocratique et religieux, ont cessé de le mettre sous le boisseau, ayant eux-même perdu régulièrement de leurs puissances;

    -La démocratie est apparu que quand il y eu suffisamment de gens qui surent lire, écrire et compter (Emmanuel Todd, "Après la démocratie").

    En réalité la politique et l'économie sont deux mondes mentaux en tous points dissemblables, leurs intérêts sont différents voire divergents.

    L'actuelle impasse destructrice majeur de l'économie politique vient de la sur-puissance présente de l'économie sur l'ensemble de la société et le vrai danger en est que ce monde politique a remis et remet toujours son pouvoir entre les mains de l'organisation économique, quelle que soit le type d'organisation de référence.

    C'est donc, pour moi, la politique qui doit dominer, j'écris bien dominer, pour le moins, tout ce qui concerne la finance et la banque, pas le contraire.

    Contrairement à l'économie politique, la politique économique, en effet, s'entend à ce que l'économie ne soit que l'un des multiples moyens d'actions pour mener une politique.

    Pour cela, et au même titre que l'armée, la monnaie et tout ce qui en est liée se doit absolument d'être assujettie au monde politique, elle doit être et rester l'un des pouvoirs régaliens de l'état!

    Évidemment, l'entreprise ne doit que très rarement (c'est à l'état de considérer les exceptions) être assujetti à la puissance publique hormis, bien sûr, le simple mais crucial respect de la loi bien que l'état soit, parfois, le plus à même de lui donner le dynamisme nécessaire ainsi que des orientations utiles, la protection des employés et ouvriers étant dévolu aux contre-pouvoirs syndicaux, les forces étatiques étant là pour éviter que l'un des deux partenaires n'aie la prévalence sur l'autre.

    Les services publiques, tous les services publiques, autoroutes incluses, se doivent de sortir des processus concurrentiels au risque, sinon, de leur affaiblissement.
     
     
    Pour finir, la raison de la nécessité de la démocratie c'est la complexité croissante de nos sociétés contemporaines qui fait qu'un pouvoir politique trop puissant, (comme celui-ci détient, en réalité, toutes les rênes d'actions sociales) n'agisse que pour l'intérêt des hommes et femmes qui le compose.

    Il faut donc chasser, régulièrement, les personnes qui sont au pouvoir et les remplacer.

    C'est en en arrivant là qu'une seule conclusion s'imposait à moi: il y a plus que nécessité à la démocratie en raison de la suprématie potentielle de la politique sur toute les autres entités sociales.

    C'est ainsi que j'ai compris que notre démocratie, bien que se devant d'évoluer, était plus qu'une absolue nécessité dans nos complexes sociétés modernes.

    THEURIC
  • De la prédictivité.

    Préambule:

    Je me dois, tout d'abord, m'expliquer des raisons pour lesquelles je n'ai pas écrit depuis près d'un mois et demi.

    Au décès de ma mère  en Mars et de la réorganisation de ma vie qui ne peut qu'accompagner mon deuil, je devais tout autant me débarrasser définitivement de ce pseudo-pote qu'est le pervers narcissique dont je vous avais fait état en Septembre et Octobre de l' année dernière.

    Il avais laissé chez-moi une multitude de choses, derniers liens qui subsistait de cette fausse amitié, ce qui, je m'en rend compte aujourd'hui, embrouillait d'un bon peu mon esprit, il est venu les récupérer il y a de cela un peu plus d'une semaine, c'est pourquoi, maintenant, je peux de nouveau m'épancher ici de mes conceptionsP1010793.JPG iconoclastes.

    De plus, de ce deuil de ma mère qui n'est jamais vraiment une chose simple, je dois réaménager mon emploi du temps puisque, depuis 8 ans environ, je faisais la navette de chez moi à chez elle, d'une heure et demi de route, pour lui tenir compagnie une semaine sur deux.

    Cette triple contrainte une fois disparue laissait en moi un compréhensible sentiment de vide qui s'acheva lorsque le malade mental qui me manipulait me libéra définitivement de son empreinte en emportant ses encombrants.

    C'est pourquoi j'ai pu écrire trois longs textes desquels je n'ai pu aboutir ni publier, n'ayant pas pu, pour se faire, retrouvé une stabilité suffisante.

    Bon, vu votre long temps d'attente je vous laisse un billet aux mensurations respectables, vous y aurez de quoi lire en vous y laissant en profonde réflexion.

     

    Prologue:

    Tant que l’on tiendra pour des demi-dieux omniscient et que tous voudront ressembler à ces êtres cupides, stupides, primitifs et ignares que l’on appelle les oligarques, ceci pour la seule raison de leur richesse monétaire, ainsi que de lorgner avec envie de l’autre coté de l’Atlantique, en direction de l’ultime empire en P1010827.JPGpleine décadence, les États-Unis-d'Amérique, en voulant faire de l'Europe un même empire, en pire, ou de n'avoir comme désir que de se vouloir devenir cet allemand toujours souffrant de son antédiluvien hybris, ceci dans la détestation de soi en tant que français, nous ne serons pas capable d’une efficacité quelconque.
    Le problème des personnes et des peuples intelligents provient de quand ils se pensent plus sots que des crétins desquels ils sont en relation ou quand ils désirent suivre la folie des autres.
    La bêtise et la passion sont comme des pandémies, elle se propagent et se partagent, de çà, c'est mon expérience qui me le susurre.

     

    Avant-propos:

    Ceci dit, venons-en au titre de ce billet, soit la prédictivité.

    J'ai inventé ce néologisme pour désigner notre capacité, plus ou moins efficace, de prévoir certains événements futurs, majoritairement dans les grandes lignes, que ce soit par intuition et/ou réflexion.

    Je n'y écarte pas les phénomène de voyance qui, à mon sens, appartiennent de la même dimension que la synchronicité, je ne vais ici que frôler ces deux sujets, ne lesinflorescence de mahonia ayant pas encore vraiment conceptualisé, mais, contrairement à ce qu'il s'en dit, l’a-causalité y est impossible, ce n'est pas en effet la causalité qui y est en jeu mais la nature du temps qui, de ce fait, n'est pas tel qu'il est perçu.

    Il n'y a pas, il n'existe pas de paradoxe temporel mais une inconnaissance de ce que peut être que le temps.

    Mais de conceptualiser cela va me nécessité de longues réflexions et j'en ferai peut-être cas un jour.

    J'y préfère pour l'instant de ne me pencher que sur les processus de causes et d'effets, si je puis dire mécaniques, en montrant que, déjà, de percevoir les règles et lois qui président aux situations peut permettre, dans les grandes lignes, de concevoir la dynamique historique du moment et, dès lors, d'en extrapoler un avenir d'un plausible au probable.

    Je vais donc tenter de dégager quelques outils qui vous permettront de mieux comprendre ce vers quoi nous allons.

    J'ai décidé d'être plus rude dans mes écrits, la raison en étant que nous nous rapprochons de la dernière phase de désintégration de la société néolibérale internationale à la forte tendance haute-moyenâgeuse, il me faut donc secouer mes lecteurs bien plus qu'à présent.

    Je centre toujours mes réflexions sur la France, autant parce que c'est mon pays, que j'y connais plus de faits, que parce qu'il est de nature de se retrouver au centre de toutes les attentions internationales, ceci d'autant plus depuis l'advenue du P1010336.JPGtraité d'Aix-La-Chapelle et du mouvement des gilettistes (J'abandonne définitivement le terme gilet  jaune qui, en réalité, est infantile et infantilisant.).

     

    Les ferments de nos divagations:

    Pour pouvoir comprendre le fond originel des folies de notre époque, l'ouvrage d'un anthropologue étasunien publié en anglais en 1966 et traduit en français en 1971, Edward T.Hall, "La dimension cachée", est d'une grande importance (lecture que je vous recommande vivement) où il y écrit ceci à la page 130 à la dixième ligne :

    (...si l'homme continue d'ignorer les faits observés au niveau infrastructurel concernant les conséquences du surpeuplement, il risque de provoquer un équivalent du comportement cloacal, si ce n'est pas déjà fait. L'aventure des cerfs de l'île James évoque l'image macabre de la peste qui anéantit les deux tiers de la population de l'Europe au milieux du XIV° siècle, bien que cette mortalité massive ait été causé par le bacillus pestis, la virulence de ce dernier fut incontestablement accrue par l'état de moindre résistance qu'avait entraîné pour leurs habitants le surpeuplement des villes médiévales et l'état de stress qui en résultait.)

    ( Dans cet ouvrage, il y montrait que dans l'île britannique de James, aux dimensions limitées, des cerfs y vivaient sans prédateur (je ne sais pas de ce qu'il en est aujourd'hui) mais mourraient en grand nombre de façon cyclique, du fait du seul stress dû à leur surpopulation, puisque il y avait encore suffisamment de végétaux pour alimenter tous ces animaux.P1010730.JPG

    Il est aussi à remarquer que la fameuse grippe espagnole,  de 1917/18 à 1919, qui fut plus meurtrière que la guerre elle-même, fait suite au stress intense due à la première guerre mondiale, vous constaterez aussi, sur ce texte de Wikipédia que le nombre par siècle de pandémie de cette maladie s'accroit au même rythme que s'amplifie la population mondiale, ce que vous trouverez également sur le même site, c'est la vaccination et les antibiotiques qui ont permis de réduire l'extension et les effets des maladies.

    Bien que vous pouvez noter, là encore, le délaissement de cette vaccination par une part notable de la population, phénomène notoirement autodestructeur et l'une des multiples conséquences de cette importante instabilité sociale.  )

    Ce n'est pas tant que cette surpopulation humaine soit en soi néfaste, mais qu'aucune société n'était prête à s'y confronter.

    Tout comme dans la profondeur de l'âme nous sommes toujours les chasseurs-cueilleurs que nous fûmes des centaines de millier d'années,  notre esprit, lui, reste forgé par les sociétés agropastorales qui durèrent dix à vingt siècles,  passant, parfois, pour certaines d'entre-elles, de la préhistoire à l'histoire moderne en quelques générations seulement, certaines société n'y entrèrent en effet qu'au milieu du XX° siècle à peine.

    DSC00103.JPGEt oui, notre modernité ne débuta qu'avec la renaissance européenne il n'y a que cinq cents ans tout au plus, lente en ses début, le siècle qui passe vit une accélération croissante des avancées philosophiques, artistiques, scientifiques, technologiques et de bien d'autres spécialités.

    A la fin du XX° siècle, elles furent, pour certaines d'entre-elles, foudroyantes, sans que cette évolution rapide n'ai engendré de nouvelles approches fondamentales depuis les 70 dernières années.

    Vous en remarquerez la contradiction.

    Et depuis le tout début de ce siècle il apparaît qu'un arrêt s'est produit en ces domaines fondamentaux, tout au plus pouvons-nous assister à quelques améliorations de détails, preuve que ce stress social atteint, aujourd'hui, son point culminant.

    Cette surpopulation est le facteur premier d'un choc civilisationnel d'une violence extrême que même l'européen peine à contextualiser, l'Union-Européenne tendant de plus à leur embrouiller une raison déjà défaillante.

    C'est le nombre qui rend fou par l'incompatibilité qu'il crée entre les us anciens, le sens donné au vécu, la compréhension de la vie et de la mort bâtie pendant de longsP1010447.JPG lustres, et une confrontation entre des vieux toujours plus vieux et une marée humaine qui se bouscule toujours plus.

    Et plus les villes sont grandes et peuplées, plus grande est cette folie.

    ( Commencez-vous à comprendre le phénomène du R.E.M. et du délirant attrait pour une union autant débile que débilitante, ruineuse de toutes les facultés et richesses des hommes autant que des femmes, auquel s'y rajoute les pressions déculturantes constantes d'un empire U.S. entré en déclin dès l'assassinat de J. F. Kennedy en 1963 et du retour actuel de l'hybris germanique autodestructeur.

    Mais ce n'est pas seulement l'ouest eurasiatique qui souffre de ces maux d'inadaptation, loin de là, mais bien quasiment toutes les sociétés d'homo Sapiens Sapiens. )

    L'informatique y venant rajouter sa fulgurance de communication, plus encore que la radio, la télévision, l'automobile, l'avions..., blessant parfois gravement les relations aux autres, des proches comme des lointains, en sa fausse évidence d'une connaissance encyclopédique tout autant virtuelle que partielle et de pauvres relations humaines par de seules images d'écrans.

    De dire cette évolution trop rapide est stupide, elle est ce qu'elle est et nous nous P1010482.JPGdevons de faire avec.

    Il n'est dès lors, pour chacun d'entre-nous, de sauve conduite que de prendre une conscience pleine et entière de ce phénomène, d'en dégager le substrat fait de délires nombreux et composites, puis d'aller puiser à l'essentiel l'entendement de ce qui nous anime, de comprendre puis de réduire en nous les effets de ce que nous croyons être la réalité mais qui n'est que la résultante d'un formidable stress collectif qui traverse autant les pays que les nations et qui nous conduit vers une abyssale divagation.

    Il faudra un choc violent pour que nous nous réveillions puis du temps avant que les populations comprennent ce qui leur est arrivé, mais avant cela nous devrons traverser bien des calamités, nous sommes allés trop loin sans que nous ne l'ayons recherché, il nous faudra faire un retour en arrière, revenir à un avant où nous ne nous décomptions pas encore en 7, 6 milliards d'Être Humains sur Terre.

    Encore une fois, je ne promets ni le pire, ni le meilleurs, je vous confie juste de ce qu'il me semble être notre proche devenir en analysant de ma position une  situation présente qui, si nous l'observons de près, recèle une multitude de contradictions dont il faut bien comprendre le sens, je vous soumets ici le résultat de mes méditations sur ce sujet primordial.

    P1010789.JPG

    De la cause à ses effets:

    Il est possible également de faire la liste non exhaustive des effets et contraintes sous-jacentes et inconscientes qui en découlent qui, dès lors, nous animent, ce sont ces bases sur lesquelles je m'appuie pour mes réflexions, les voici:

    -la compulsion de répétitivité centrée sur l'Europe, Russie comprise, et les États-Unis-d'Amérique, menant  à un ensemble d'événements semblables à ce qu'il s'était passé lors de la seconde guerre mondiale sous une forme surtout économique, le tout se centrant sur l'Allemagne.

    (Je suis tout de même stupéfait, quoi que je puisse en dire et puisse faire mon cake, de ce qu'il se passe actuellement où, en Grande-Bretagne, une Theresa May remplace formidablement un Neville Chamberlain, tout autant que Boris Johnson remplace à la perfection Wiston Churchill.

    Plus encore, Mme. Merkel fut prise par deux fois d'un fort tremblement, ce  qui ne faire me fait penser à ceux dont souffrait Hitler, parkinsonien, vers la fin de sa vie.

    A suivre...)

    -tout début de la réappropriation populaire du passé et des traditions du pays par P1010741.JPGcet "Étrange Attraction des Peuples pour leur Inconscient Social"  que je n'ai encore pas vraiment développé mais dont j'avais proposé la définition suivante:

    Tendance naturelle d'un peuple, d'une population, d'une nation, de revivre les périodes passées favorables et/ou critiques lorsque le-dit peuple, population, nation en est venu à oublier son histoire et, ce, quelles qu'en soient les raisons.

    Étrange parce que tous ces petits morceaux inconscients du passé du pays dans lequel nous sommes nés et avons vécu, et dont nous avons chacun conservé une partie en nous, parfois en de seules reliques, se recompose en un tout collectif, puis remonte à la surface et socialement ré-existe, visible sous des formes parfois semblables, parfois étonnamment voisines;

    -Effondrement du champ idéologique de notre époque en raison de la disparition de ce qui le composait, soit l'économisme dogmatique et, dès lors, de tous les mouvements politiques ayant eu cours au XX° siècle, plus que visible lors des dernières élections et dont je trace le portrait depuis des années;

    -brouillard conceptuel qui, en raison des délires  émis par les détenteurs de la parole politique, économique, médiatique et, pour parti, scientifique et philosophique, rend illisible la réalité, ce que j'avais conceptualisé précédemment pour rendre compte du monde imaginaire dedans lequel vivent les pervers narcissique, monde de du même type de celui à l'intérieur duquel nous baignons;P1020793.JPG

    -indétermination psychologique et psychosociologique d'une partie représentative des plus hautes classes sociales, les trois quart environ, leur faisant perdre leur identité et leurs capacités mentales, thème que j'avais abordé lors du billet précédent;

    -usage de très nombreuses drogues absolument pas anthropologiquement contrôlées comme peut l'être d'antan encore l'alcool en Europe et l'opium au moyen-orient (j'émets l'idée que le taux d'usage de drogue, toutes sortes confondues, ainsi que toutes formes de dépendances technologique ou de loteries, est corrélé  au niveau d'instabilité social qu'une société donnée a atteint);

    -commencement d'une "nouvelle renaissance", ce phénomène étant loin d'être anecdotique, il est celui qui, dans l'avenir, deviendra d'une importance capitale pour comprendre le dynamisme futur des nations, d'où le nom de ce blog;

    -désagrégation de ce qui fut le bloc de l'ouest, soit l'Occident sous l'égide de l'empire U.S., en un reflet inversé de ce que fut la désintégration du bloc de l'est, intégré à l'ouest-européen devenu depuis lors l'Union-Européenne, par l'absorption des pays anciennement du pacte de Varsovie par l'empire U.S., en les faisant entrer au sein de P1010584.JPGl'U.E.€.O.T.A.N., thème étudié dans: U.R.S.S./U.S.A., d'un empire à l'autre;

    -L'inéluctable disparition prochaine des États-Unis-

  • Petit conte pour grands enfants.

    Il était une fois, il y a très très longtemps de cela, une toute petite sourie qui fuyait un gros chat et, de cette folle cavalcade, elle entra dans une tente se trouvant au milieu du bois et se réfugia dans une redingote bleu ciel dont elle se fit un sac de couchage. 

     

    C'était une redingote magique et dès qu'elle entra dedans, elle lui fit un beau manteau avec plein de décorations de fleurs, de soleils et de lunes de toutes les couleurs, composées par des micro-barre, cela se passait dans le Missouri, aux Etats-Unis-d'Amérique.

     

    Et tout à coup, la petite sourie disparue et se retrouva assise sur une minuscule chaise, au très longs pieds, posée sur une table et, devant elle, il y avait un jeu d'échec, de taille normal bien sûr, et un homme était là et lui dit:

     

    "Bonjour mademoiselle, vous avez les pions blancs, c'est à vous de jouer, ce n'est pas compliqué, vous n'avez qu'à penser celui que vous voulez bouger et où il doit aller et, vous verrez, il se mettra tout seul en place."

     

    Alors la petite sourie pensa au pion devant la reine qui avança tout seul, reine qui, par ailleurs, ressemblait à Mistinguett, qui avait de belle gambettes, c'est vrai.

     

    C'était une belle entreprise, pour la petite sourie, qui demanda au monsieur tout en jouant:

     

    "A votre avis, quel est le plus petit nombre?

     

    -Le un", répondit le monsieur.

     

    "Non, c'est le seize, parce que treize et trois!

     

    _ Oh, quel beau calembour bon digne d'un whisky, voici votre verre."

     

    Et apparu une petite table et le petit verre plein à coté de la petite sourie et dessus la petite table y était écrit : " Pour le volontaire involontaire et de toutes ces sortes de joyeusetés, mais un morceau pas trop épicé aussi loin que je suis concerné, quoi!"

     

    "Mais," dit la petite sourie, "ça ne veut rien dire ce qui est écrit sur ma table.

     

    _ C'est normal," répondit le monsieur, "Vous venez des USA et, là-bas, plus rien ne veut dire quelque chose, mais vous avez gagné, votre cadeau est le bonnet phrygien des révolutionnaires français qui, parait-il, sont de retour.

     

    - Oui," dit la Sourie, "j'ai une martingale pour tous les jeux et je gagne tout le temps, votre bonnet me sied à ravir et je serait comme un caméléon au milieu de ces nouveaux révolutionnaires.

     

    _ En voilà un mystère, je réclame que vous me là confiez, cette martingale.

     

    _ Je le peux pas, déjà parce que c'est plutôt emberlificotée, et puis c'est un système magnifique que nous nous confions de petite sourie à petite sourie de parent à enfant depuis des générations."

     

    Comme elle disait ces mots, surgit de nul part une belle femme et sa chatte et, derrière elle, une oie la suivait qui portait dans son bec un gros sac d'os.

     

    "Elle a un splendide minou, "dit l'homme, "elle devrait l'exposer plus souvent.

     

    _ Mais où va-t-elle?" Demanda la petite sourie.

     

    "Près de l'érable magique, " répondit l’homme, "avec ces os de mammouth elle va en rétablir le canevas pour faire revivre l'animal à l'aide de sa baguette magique.

     

    _ Y arrive-t-elle?" Questionna la petite sourie.

     

    _ Jamais," répondit l'homme "ce qui est autant risible que prévisible, mais tous les jours elle recherche des os de mammouth en oubliant que ceux-ci viennent de bêtes différentes.

     

    _ Bon," dit la petite sourie," je crois que le chat qui me poursuivait s'est éloigné de la tente où je m'était réfugié...

     

    _ Ben oui, bien sûr," réagit l'homme, songeur, "c'était la chatte de la belle dame, je me demande par ailleurs pourquoi elle ne montre pas plus souvent son si joli minou.

     

    _ Peut-être cela provient-il de l'un de ces interdit absurde, n'est-ce pas," poursuivit la petite sourie,  "quand à moi je vais retourner dans la tente où je m'était réfugié, rendre la redingote magique puis, quand j'en sortirais, de cette tente, j'en tirerai le rideau, puis je deviendrai une grosse sourie qui adorera les chattes des belles dames.

     

    _ Au-revoir monsieur, je ne jouerai plus aux échecs, mais vous non-plus, d'ailleurs, tout ceci fut un rêve avec pleins de sens, les dames ont une belle chatte et les monsieur une grosse sourie, mais ces chatte là ne mangent pas les souries, elles les accueillent, n'est-ce pas, d'ailleurs, ne serais-je pas la petite sourie du petit garçon que vous étiez?"

     

    " Ci-fait, ci-fait," répondit l'homme," D'ailleurs, voyez, vous commencez à grandir..."

     

     

    THEURIC

  • Troisième exercice de style.

    J'appelle ça de l'exercice de style parce que je m'y essaie d'en dire le plus possible en un minimum de phrases.

    Donc comme les 2 précédents, je vais aborder ici différents thèmes en ne faisant que changer de couleur d'écriture à chaque changement de sujet.

    Le premier aura de sujet les catastrophes marseillaise et parisienne.

    Le second traitera du traité d'Aix-La-Chapelle.

    Le troisième parlera des sites des partis politiques français.

    Le quatrième montrera que le gouvernement allemand est autant inepte que celui français.

    Le cinquième expliquera pourquoi nous devons impérativement comprendre notre nature profonde.

    Bonne lecture.P1010605.JPG

     

    Paris et Marseille ont tous deux essuyés une catastrophe où, d'une explosion de gaz pour le premier à un effondrement d'immeuble pour le second, la capitale et la deuxième métropole de la France montrèrent à tous que la vétusté touche dorénavant le cœur même du néolibéralisme: les capitales et grandes métropoles.

    Ne nous manque plus qu'un désastre de même sorte à Lyon, Bordeaux et/ou Toulouse survienne et nous pourrons contempler, mi narquois, mi effaré, la résultante de trois à quatre décennies d'une politique où une comptabilité de fesse-mathieux de courte vue, dont l'internationalisme de ses serviteurs n'a de frontière que leur nombril et le porte-monnaie de chacun et où il est de bon ton de se vendre et de vendre le pays au plus offrant, avant anglo-saxon, maintenant germanique ou à n'importe qui d'autre, tout en dénigrant une valetaille populaire (certains, chroniqueurs, oligarques, pseudo-philosophes, députés et ministres penseraient, diraient même populacière) qui, aujourd'hui, se vêt de jaune comme hier se couvrait P1000822.JPGle chef d'un bonnet phrygien;

    Ne nous manque plus,  dis-je, que de tels désastres adviennent et, peut-être, un peu, un tout petit peu, ces gens si plein de sous et d'orgueil, les sous-oligarques aux minuscules fortunes dues à leur dur labeur, mais aussi ceux de la classe-moyenne la plus haute, si plein de certitudes, aux cursus si étendus qu'ils en sont de temps long, si bien dressés qu'ils en répètent les mêmes fadaises que leurs maîtres et passent à ravir se mirer leur image dans les médiats tout en ne comprenant jamais grand-chose à grand chose, peut-être tous saisiraient-ils enfin un petit peu combien les présupposés construction européenne et économie de marché ne sont que de viles calembredaines n'ayant d'existence que pour remplir les comptes en banque d'une infime minorité de oisifs et de flemmards n'ayant de seule qualité que celle d'être bien né d'avoir hérité de parents fortunés qui, eux, avaient bossé dur.

    Ces richissimes gens de rien, n'ayant d'importance que celle qu'ils se portent à eux même, mais aussi de celle de cette destruction à petit feu de tout ce qui fait société en laissant se pourrir sur place tout ce qui fait l'infrastructure d'une société bien faite et en laissant partir les usines de toutes sortes, n'ont que faire de ces morts et blessés, seul compte leurs comptes, du reste ils s'en foutent: le millionnaire peut crever d'une explosion de gaz dans le centre ville d'une capitale, que leur importe.

    Il leur faut juste transformer une économie internationale réelle en flux informatique d'une monnaie créée de rien et leurs comptes en banqueP1010327.JPG suffisamment, grandement remplis leur permet d'être repu, pour un temps, un court temps seulement, à s'en péter la panse et à en  ruiner le monde, de tout le peuple, tous les peuples, de partout, du tout en bas jusqu'au plus haut.

     

    Madame Merkel et son petit chéri, Monsieur Macron (à chacun ses fantasmes et ses amours), se sont fait huer à Aix-La-Chapelle: les gilets jaunes s'étendent partout, crotte, zut et nom dela..., comme dirait ma vieille mère.

    Ce rendez-vous ayant de but de signer un traité au nom de cette ville qui, il y a 1 200 ans environ était la capitale de Charlemagne et de son empire, et oui, toujours ce si vieux fantasme allemand de recomposer l'empire carolingien en un délire encore, encore et encore recommencé.

    Ce traité est la plus grande absurdité politique de ce début de XXI° siècle qui, pourtant en seulement moins de vingt ans, a su en accumuler une bonne masse.

    Mais pourquoi donc celui-ci, en plus d'être une forfaiture et de la haute trahison de notre président, du gouvernement, des élus du R.E.M. que je dis des radios-éléments, ainsi que de tous ceux qui, de simplement par leur silence, en avalisent le fait, pourquoi donc, dis-je, est-ce une absurdité, plus même, d'une pure connerie politique?

    P1010577.JPGParce que de confier progressivement (même si nous n'en sommes qu'au début, si rien ne se fait il aura une suite) l'entièreté des intérêts géopolitiques et géostratégiques de la France à  la Germanie ne peut, en plus de révolter les populations françaises et allemandes, que de conduire les trois pays, qui vaille que vaille, sont internationalement centraux, militairement, économiquement et politiquement, soient les États-Unis-d'Amérique, la Grande-Bretagne et la fédération de Russie, à ne pas faire autrement que de démembrer l'Allemagne et détruire le gouvernement français et, ce, quelles qu'en soient les conséquences.

    Ceci sans compter que les autre pays de l'Union-Européenne ne peuvent que se révolter face à cette nouvelle alliance.

    Qui donc dans les cénacles des pays européens et du monde ou dans la population française montrerait quelque mauvais gré à ce qu'un coup de force se fasse en France ou à ce que la Deutsche Bank ne soit définitivement mise en faillite?

    Pas grand nombre de gens, je le crains, hormis au sein d'une oligarchie financière franco-allemande, et on doit pouvoir voir poindre un désaccord plus que formel entre ceux-ci et tous les autres des autres nations.

    Mieux même, cet étrange traité pourrait fort bien mener à une pacification  des relations entre Donald Trump et les élus démocrates, au moins le temps que les U.S.A. règlent ce problème européen.P1010746.JPG

    Il pourrait aussi conduire le Royaume-Uni à faire un brexit des plus durs en pacifiant, eux aussi, leurs désaccords entre ceux qui y sont pour et ceux qui y sont contre, s'il ne conduit pas à la charge outre-Manche contre ces deux imbéciles alliés complètement azimutés, les britanniques ne verraient-ils pas d'un bon œil disparaître l'U.E. par celle de cette France-Allemagne?

    Et que dire des russes sûrement pas vraiment charmés de voir la Germanie prendre progressivement le contrôle sur l'arme atomique française, certains souvenir ont la vie longue.

    Tout cela nous met étrangement dans une situation analogue à 1944/1945, avec infiniment moins de mort, il est vrai, et le gouvernement ne se trouvant pas dans la ville de Vichy, mais le reste y ressemble sacrément.

    L'histoire est, il en est ainsi, traversé de décisions aussi stupides que suicidaires, mais là il faut dire que ce drôle de couple doit, en cela, battre tous les records toutes époques confondues.

     

    Les gilets jaunes changent de registre, d'un mouvement revendicatif informel, Il se sent qu'y prennent place progressivement des positions politiques. (à lire P1010532.JPGabsolument pour comprendre le reste de mon texte)

    Hormis un tout petit peu France-Insoumise (à l'insoumission toute relative) qui se voit légèrement se développer, le Rassemblement National (ne rassemblant pas grand monde, ah les vœux pieux), D.L.F. de Monsieur Dupont-Aignan, les autres partis politiques officiels, dits de gouvernement, subissent un terrible effondrement de leur popularité.

    C'est ça qui est chouette avec l'existence des sites écrits et de vidéovisionnage (néologisme), il est possible d'en relever les statistiques, ce que je n'ai pas encore trouvé comment faire, d'ailleurs, pour mon blog.

    Je m'attacherai ici non pas à la place que chacun des partis occupe mais à la dynamique du nombre de visionnages.

    Revenons donc à nos bêlants moutons.

    Comme il était prévisible le R.E.M. radioactif descend doucement et s'enfonce dans le rouge, ce qui était prévisible et que je prévoyais depuis longtemps: au fur et à mesure que ses adhérents et ses soutiens se trouvent touchés par les décisions débiles de l'Union- Européenne (les G.O.P.E) et que le gouvernement relaie sans état d'âme, ils renient leur vote de 2017, sans pour cela retourner vers les anciens partis politiques auxquels ils étaient, pour certains d'entre-eux, affiliés.P1010221.JPG

    La France Insoumise, le P.C.F., le N.P.A. font montre d'une légère dynamique plus ou moins stabilisée.

    S.&P. de Jacques Cheminade est pour moi un étrange parti politique, qui, bien qu'il soit le seul à prévenir de l'effondrement définitif prochain de l'économie monétariste, est bien en peine de proposer un programme clair à adopter dès que celui-ci aura cessé de fonctionner;

    Le S.&.P., donc, montre une dynamique d'intérêt populaire lente mais régulière, il est dommage, à mon sens, que dans son site ne soit pas fait mention ni des terribles pressions que l'Union-Européenne génère sur notre pays, ni de la ruine vers laquelle elle nous conduit, ni de la domination germanique sur l'union et notre pays, ni de l'aspect impérial en cours de délitement que sont devenus les U.S.A..

    Ce qui me chagrine le plus c'est que ce parti politique qui, il est vrai, est le seul à expliquer que la globalisation heureuse s'en va vers son explosion, ne propose aucunement un ensemble clair, simple et peu cher d'actions pour que chacun d'entre-nous puisse s'y préparer.

    Ce que moi-même aies fait ici et que vous retrouverez au niveau de la "pensée", la fleur, bien entendu.

    Les verts de E.E.L.V. stagnent, comme je l'ai dit, ceci en raison de leurs incohérences politiques, économiques autant que scientifiques, tout le monde fait reposer sur eux la taxe carbone, bien injustement il est vrai, mais qu'ils veuillent à toute fin rester dans l'U.E. les mène à une impasse politique on ne peut plus logique.

    P1010376.JPGDieu se rit toujours de ceux qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes.

    Les P.S., L.R., MoDem et U.D.I. descendent dans les basfonds et nous n'en voyons plus que les os.

    Génération  S., ce truc de Bernard Hamon qui se voudrait de devenir le remplaçant du Parti Socialiste, après une brève remonté, tend à les suivre, lui qui n'est que le succédané d'un P.S. vaguement fumant ne peut que descendre inéluctablement.

    Lutte Ouvrière se dissout doucement à mesure que ses anciens adhérents disparaissent au fil de l'âge.

    Les Patriotes de Philippot amorce lui aussi une courbe descendante, ce qui est un phénomène normal, toute scission politique, ici avec le F.N., se termine par la disparition de l'un ou de l'autre parti.

    Le P.R.C.F. lui aussi voit ses lecteurs diminuer, Je trouve cela dommageable puisque ce parti peut représenter une opposition cohérente à l'U.P.R. auquel j'ai adhéré, lorsque ce dernier prendra le pouvoir, ce à quoi je suis sûr (nous pouvons être sûr qu'une chose se produise sans que cela soit suivi d'effet, bien sûr).

    C'est, je le pense, sa radicalité qui en éloigne les gens puisque ce parti propose une sortie sèche de l'U.E., bien que je ne soit pas d'accord avec ce choix, j'en apprécie la cohérence de vue.P1010461.JPG

    U.P.R. qui, maintenant, doit commencer à avoir une certaine renommée, voit son audience augmenter régulièrement.

    Conclusion:

    Le paysage politique français est en train d'évoluer, voir de muter à grande vitesse.

    Des mouvements puissant se font au sein des trois composantes politiques(au niveau de la rose trémière rouge) de notre pays et, peut-être bien en l'Union-Européenne, ce que je vous avais proposé en réflexion en Octobre 2018 : conservateur et réactionnaire,

  • Nouveau Marché Transatrantique ou le Dérisoire du Désespoir.

    J'aime les utopies les plus absurdes quand elles ne viennent pas rendre ma vie invivable, autant les laisser aux autres, c'est hypocrite, je le conçois.

    C'est pourquoi je n'aime pas ce dérisoire mais dangereux Nouveau Marché transatlantique  qui ne fera qu'affirmer qu'un peu plus notre dépendance culturelle, symbolique, économique, politique, linguistique et institutionnelle à un empire déjà vieillard et moribond en quelques seuls siècles d'âge.

    Déjà que nous suivons, que nous nous laissons entrainer dans ces dérisoires (parce que tout cela est dérisoire) mais dangereuses aventures guerrières en Syrie, en Ukraine et bientôt ailleurs, que nos gouvernements et journalistes aux ordres suivent avec l'empressement du valais suivant son maître.

    Déjà que nous nous retrouvons avec et sommes pollués d'un pauvre sabir anglo-américain dont même les élites intellectuelles anglaises se désolent.

    Déjà que la France et une large majorité de pays de l'Union-Européenne sont dès aujourd'hui ruinés d'avoir trop suivi les plus mesquins désidératas d'une ploutocratie française, européenne et américaine et d'avoir voulu, hier, sauver des banques et des fonds spéculatifs qui maintenant crèvent de leurs excès.

    Déjà que nous nous retrouvons en but avec un euro € incohérent qui ne fut que le rêve collectif d'avoir une monnaie ressemblant au dollar $, rêve déjà ancien de vouloir être l'énième état U.S., même rêve que les japonais et leur yen ¥, rêve faisant écho à celui des américains qui depuis si longtemps auraient voulu être anglais à la place des anglais, d'être l'empire à la place de l'empire, d'avoir une livre sterling £ à la place d'un dollar $.

    C'est cela le secret inconscient de ces monnaies, d'un vouloir collectif d'être le pays ou les unions qu'aucun d'eux ne sont et ne pourront être un jour: £; $; €; ¥.

    C'est de ce rêve impossible dont nous nous réveillerons un jour, l'ivresse fut forte, la gueule de bois terrible.

    Nous nous en réveillons, l'ivresse fut excessive et la gueule de bois en est réellement terrible.

    Et nous pouvons contempler combien de nos têtes pensantes prises dans un étau.

    Oui, ami lecteur, nous sommes entrés dans l'ère du dérisoire désespoir, courte ère qui voit tous ces gens bien intentionnés s'embourber avec zèle dans de méphitiques marais en pensant y trouver des chemins d'espérances et de certitudes quand ils ne s'engluent que dans la vide puanteur de la débandade et de la défection, que du n'importe quoi porté aux pinacles.

    Mais tu, parce qu'ils savent que cela ne pourra pas nous plaire.

    Nouveau Marché Transatlantique, ils font ça dans notre dos, en le cachant, en le taisant, en en faisant secret, comme un enfant faisant des bêtises et craignant quelques gronderies, comme un bandit préparant de ses mauvais coups au loin de la justice, comme le coupable se cachant de ses ignominies.

    Alors, que nous prépare donc cette administration d'une Union-Européenne aux mains des allemands et des étasuniens essayant de sauver leurs maîtres ruinés de leur banqueroute assurée?

    Que veulent échanger les allemands contre nos économies qui seront définitivement livrées pieds et points liés à ces étasuniens?

    Leurs marchandises qu'ils ne peuvent même plus vendre à des chinois qui voient leurs usines quitter leur pays pour trouver ailleurs des salaires plus insignifiants?

    Marchandises qu'ils ne peuvent même plus vendre à des européens au bord de la débâcle?

    Mais les américains, eux-mêmes, peuvent-ils encore acheter quoi que ce soit, eux qui se sont brisés à force de crédits absurdes disséminés partout sous forme de subprimes et de titrisations qui ont pourri les banques du monde entier en ruinant par là même les peuples et les états?

    Et les étasuniens ont-ils encore de quoi nous vendre, eux qui ont, les premiers, délocalisé usines, fabriques et centres de recherches, se sont vidés de tout ce qui pouvait faire un tant soit peu l'économie, eux dont les banques, en semblance de richesses, ne sont plein que du vide abyssal des rentes d'une bourse au faîte de sa prochaine chute, eux qui sont toujours infectés de crédits épars et nombreux dont ceux sur l'immobilier n'était que la pointe immergé d'un iceberg n'attendant qu'une vague pour se renverser?

    Eux qui ne sont même plus capable d'entretenir l'armée de leur empire et sont contraint de faire appelle à des mercenaires, quand nous savons ce que Monsieur Machiavel en pensait et disait comme signe de faiblesse des états et de fin des puissances impériales.

    Alors, ami lecteur, contemple avec moi cette pauvre et dangereuse dérision que peut être cette espèce d'accord inepte que je ne peux comprendre que comme une tentative ultime et ridicule de préserver d'une inéluctable faillite deux unions qui se voudraient n'être qu'une en un songe faustien.

    Ce Nouveau Marché Transatlantique n'est que du dérisoire désespoir!

    Bien que misérable, il n'en est pas moins sinistre!

     

     

    THEURIC

     

  • Démocratie!

    Il est tout à fait remarquable que le mot démocratie sorte si peu de la bouche de nos élus, du-moins de ceux dit des partis de gouvernement.

    Le Front-National en détourne même la revendication (le F.N. démocratique, pourquoi pas libellule ou papillon, emprunt à Jacques Prévert), comme ce parti sait le faire, en s'inspirant des notions qu'il "emprunte" ça et là à toute opposition de cette triple gouvernance: P.S., U.D.I., U.M.P., en un amalgame bizarre et souvent contradictoire:

    Un jour ce parti déclare vouloir la sortie manu-militari du pays de l'U.E., le lendemain il dit vouloir que cela se fasse après un référendum on ne sait quand, (à la Saint-Glinglin ou à la Sainte-Nitouche: "Cachez-moi cette démocratie que je ne saurais voir...!"?), quand on sait qu'en 2009 le F.N. déclarait ne pas vouloir sortir de l'Europe en union.

    Un autre il dit vouloir le retour à l'étalon or quand hier il se déclarait plus néolibéral que les néolibéraux ou même rendait visite (par Madame Le Pen) à des élus américains, républicain du Tea Party, dont l'un voulait légaliser toutes les drogues, dont les plus dures, si il avait été élu à la présidence américaine.

    A croire que Madame Le Pen veut se faire adouber par des néolibéraux originels: pourquoi ce double langage, pour quels intérêts?

    Celui du seul pouvoir, du seul intérêt de ses électeurs ou de ses seuls dirigeants?

    C'est pourquoi ce parti me paraît être l'allié objectif de ceux désignés plus haut, des (dés)investisseurs et de l'Union-Européenne en forçant et pourrissant  tous les débats en absorbant l'ensemble des discours et thèmes des réelles oppositions que sont les "Parti de Gauche", "Debout la République" ou "Union Populaire Républicaine".

    Revenons à ce mot de démocratie.

    Il ne doit pas être confondu avec celui de république qui renvoie, tout simplement, à l'abandon de la monarchie.

    Ainsi l'Angleterre reste une monarchie bien qu'elle soit une (très relative) démocratie, personne de parle de la république anglaise.

    Nous devrions donc dire que la France pourrait être une république démocratique mais qu'aujourd'hui elle n'est juste que république.

    Que je sache, le Chili de Pinochet était une république sans être le moins du monde démocratique, sinon ça se saurait.

    Nous pourrions penser que les représentants des partis dits de gouvernement font un abus de langage, or il n'en est rien, de manière consciente ou non, ils affirment, de fait, en oubliant le mot de démocratie et en préférant celui de république, l'absence de plus en plus affirmée de démocratie au sein de la politique française, de la politique des autres pays européens comme dans le dispositif politique prévalant en Union-Européenne.

    Mais qu'est-ce donc qu'une démocratie?

    Une démocratie est  juste un mode de gouvernance aux formalismes stricts reposant sur sept bases indispensables (peut-être plus, j'en oublie sûrement...):

    1) un équilibre des pouvoirs, de quelque nature que soit ce pouvoir, d'abord des trois premiers d'entre eux: exécutif, législatif et judiciaire;

    2) une équité en droit, en confiance, en liberté d'expression de chaque citoyen;

    3) le respect ferme mais proportionné à la loi: faire payer la même amende pour tous est une idiotie, une contravention pour un stationnement interdit est proportionnellement bien plus lourde pour un chômeur que pour un cadre supérieur;

    4) le contrôle et l'aide pour tout pouvoir: le producteur et le marchand de nourriture, agriculteur, restaurateur, épicier ou autres détiennent un pouvoir, celui de nourrir, l'artiste détient aussi un pouvoir, le type de contrôle et d'aide devant être déterminé suivant l'entité sociale (voir le deuxième texte précédent);

    5) la maîtrise, régalienne ou pas, des métiers des armes (armées, polices), des religions et des métiers d'argent (sous toutes ses formes);

    6) la sortie de concurrence, sous tout ses aspects, des services publiques fonctionnant en réseau, route et autoroute, gaz par canalisation, eau, de sa distribution, traitement et évacuation, électricité, de sa production à sa distribution, télécommunication, évacuation des ordures, transport de voyageurs, sauf, peut-être, aérien, transport ferroviaire de marchandises, ceci en raison du très grand coût de leurs infrastructures.

    Il est à remarquer que les entreprises détenant un ou plusieurs de ces services publiques s'enrichissent à grande vitesse et, ce, au détriment de la population, laissant, souvent, également se dégrader ces services publiques.

    Ces entreprises doivent naturellement faire des bénéfices, les infrastructures des services publiques en réseaux sont coûteux à l'entretient et, parfois, même le surcoût de ces services ne suffisent pas à en dégager assez, d'autant plus à notre époque au monétarisme cinglé, féroce et vorace.

    Cela pose la question, lors de cette privatisation, en amont et en aval, de fait, de la probité des contrôleurs et décideurs, élus ou non.

    (Il est criminel d'avoir privatisé les centrales nucléaires, ceux qui ont fait cela auraient dû se retrouver devant le juge, peut-être même pour haute-trahison, et seront les premiers responsables de tout accident!);

    7) bien sûr des élections ou l'égalité des chances doit être totale pour chacun des participants, cette égalité des chances devant commencer dans les médiats, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui où les héros de l'heure sont les représentants du Front-National (allez voir à "Aphorisme").

    A croire que les journalistes de nos médiats télévisuels sont encartés à ce parti.

    Il est à remarquer que l'on nous rejoue la même pantomime délirante avec notre Président actuel, monsieur François Hollande, qu'avec le précédent, Monsieur Nicolas Sarkozy:

    Ils sont tous deux continuellement déglingués, et là dans tous les médiats, et il n'est  pas une heure où ici et ailleurs le pire des accusations ne soit porté contre celui-ci et, hier, celui-là, de façon plus ou moins subtile, il y a, chez ces journalistes soumis (pour quels avantages?), comme partout, des gens plus ou moins intelligents.

    Notre Président de la République Française n'est plus là pour gouverner mais pour obéir servilement aux désidératas des pleureuses étasuniens, européens et néolibéraux, banquiers, M.E.D.E.F., ainsi que pour servir de bouc émissaire aux décisions absurdes et destructrices prises par ces même pleureuses étasuniens, européens, néolibéraux, banquiers, M.E.D.E.F.!

    Et nos journalistes ne sont plus là pour nous informer!

    Ça, nous le savons tous déjà!

    Vive la Démocratie!

     

     

    THEURIC