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Rechercher : un économiste pour moi inconnu

  • Florilège 3

    Avant propos:  

     

    Ceci étant précisé à l'endroit de ceux que j'imaginerais pouvoir croire que ce que j'exprimerais ici recèlerait quelque code abscons!

     

    Je me dois ainsi, par prudence, de noter que je n'envoie aucun message sibyllin et secret d'aucune sorte mais ne fais que poser ici autant de petites blagues, de rapides réflexions philosophiques, poésies, recettes de cuisines... et, ce, suivant l'esprit que je peux en avoir sur le moment.

     

    J'avais, part ailleurs, déjà exposé, auparavant, comment faire, pour ceux que cela intéresseraient, de déjouer toute censure.

     

    Je ne vois personne depuis ma dernière rencontre avec l'un de mes frères, hormis ceux et celles que je pourrais croiser pendant mes promenades, de plus,  je n'ai aucun contact téléphonique, courriel et courrier d'aucune sorte, hormis ceux que je peux avoir avec ma famille!

     

     

    Il ne faut pas confondre: Six et trois neuf...

     

    De jour ou nuit,

    Quand l'orage déguerpit

    Le ciel s'en apaise.

     

    Somme et pluie 

     

    Les ondées de minuit, quand mon couché se fait,

    Bercent mon sommeil de ses vents rugissants.

    M'endormir ainsi me berce, tant satisfait,

    D'ouïr folies d’Éole, d'Orage mugissant.

     

    La rincée versait son flot sur le sol asséché.

    S'entendant de toutes part, ce déluge

    M'y laissait, en mon lit, un si doux refuge.

    Rêvant les nuages comme de maints archers,

    Plantant en ses sons forts, en pleine terre,

    Ses eaux et grêles, sans vouloir se faire taire,

    Comme si, d''un coup, tout devait de se lâcher.

     

    La foudre éclaire, de sa voix tonnante, 

    La marche des très hauts cumulonimbus

    En leurs grandes marées tourbillonnantes,

    Sonnant l'éloignement de ces cumulus.

                                         ............................................

     

    ... Et Suisse et Troyes neufs.

     

    Le kiwi est un fruit plein de plume.

     

    Je ne dis pas mort aux cons parce que je ne sais pas, en ce qui me concerne, ce qu'il pourrait m'en être.

     

    3, 1416 est égal à π / vache.

     

    Samson était-il sourd ne serait-ce qu'à un cheveux près?

     

    Demandez-vous comment les oiseaux s'envoient en l'air!

     

    La bêtise se montre et se comprend à l'aune de l'intelligence.

     

    Un nouveau-né a-t-il un nouveau nez?

     

    Sortir des toilettes me donne le même sentiment que de quitter son psychanalyste: de s'être débarrasser d'un poids mort.

     

    A ne pas confondre couche du moche et mouche du coche.

     

    Petite réflexion du temps présent: Il a bu le thym!

     

    5ème loi de la thermodynamique: tout changement d'état de la matière demande plus d'énergie que ledit changement d'état le nécessiterait.

     

    Le britannique naît sir et fils!

     

    Les militaires de carrière forment-ils ces jeunes que sont les mineurs de fond?

     

    La cale en bourg bon laque son cale humé (çà ne veut rien dire mais moi, au moins, je le sais).

     

    C'est bien là chose exigeante et ardue que celle de saisir comment s'observer et de se comprendre soi-même.

     

    Comment nomme-t-on les jambes des étudiants?

     

    Quand on se soulage aux toilettes, rajeunit-on?

     

    Des pattes à potache.

     

    Toutes choses, tous événements, toutes décisions et actions humaines ont toujours leurs logiques internes.

     

    Avez-vous remarqué que l'eau est diurétique?

    La preuve en  est, quand il pleut on a envie de pisser!

     

    Un postier est-il timbré?

     

    J'accepte ce que je suis, ainsi que les événements de mon existence, et je fais tout pour que, de jour en jour, cela s'améliore.

     

    Quand elle pirate la pie rate!

     

    Un sot prend un seau dedans lequel se trouve un sceau, tout à coup tous trois tombent, comment l'écrire précisément?

     

    Le grand Bay naît fils.

     

    L'or papier est comme un petit lac dans un zoo: une Phi ( Φ ) loutrie, ceci quand le nombre dort.

     

    La soierie rit quand le Soi rit.

     

    A la question : "L'es-tu?", je n'en ferai pas une salade!

     

    La somme de mon somme me somme le réveil.

     

     

    THEURIC

  • De la nature d'une provocation.

    Hier au soir je me suis aperçu que quelque chose n'allait pas dans les explication données des dernières manifestations et, surtout, des réactions   gouvernementales et chroniqueuses (ô la coquine).

    Comme je me le dis sans cesse dans ce cas, quelque chose ne colle pas.

    Ceci d'autant plus que, pendant plusieurs jours, les sujets que je voulais aborder n'arrivaient pas à s'écrire, signe que ce n'était pas les bons.

    Après une longue réflexion j'en suis venu aux conclusions que je vous propose en seconde partie.

    Bien entendu cela reste une hypothèse qui, je le pense, regroupe l'ensemble des événements ayant eu lieu ces derniers mois.

    P1010616.JPGD'autres phénomènes sont peut-être en jeu, ce en quoi je doute fortement.

    Il est de fait que quand le sens donné à un événement ou à un fait ne se révèle pas pouvoir englober tous les éléments constituant ce fait ou cet événement, c'est que l'explication qui en est apporté ne peut pas en être empreint de justesse.

    Ou dit autrement, c'est qu'il est, au-moins partiellement, faux.

    En cela les multiples et de toutes sortes provocations gouvernementales qui, se dit-on, n'auraient de seuls buts que de conduire à une exaspération populaire, menant à une augmentation de l'agressivité du mouvement des gilets jaunes, ceci affin que cela conduise à la monté en force d'une dictature macroniaiseuse, me paraît limité.

    Non  pas que cela ne puisse pas être pensé, l'instabilité psychologique de ceux qui nous gouvernent pouvant facilement les conduire à ce genre de calcul idiot et inefficace.

    Mais plutôt à ce que cela me semble limité et ce qui me fait dire cela c'est la démission de conseillés gouvernementaux dont un au plus proche du Président de la république.

    ( A propos de l'action de la police lors des manifestations, je vous conseillerais de visionner cette vidéo du journal "Le Média" lors d'un entretien avec Monsieur Dufresne, vous y comprendrez le pourquoi des violences policières.

    Souvenez-vous qu'un incompétent nommera toujours, en tant que subalterne hiérarchique, au moins aussi incompétent que lui, voire plus, et cela date depuis l'époque Sarkozy.P1010805.JPG

    Souvenez-vous aussi qu'un C.A.P. horticole nécessitait trois ans d'apprentissage il y a 45 ans de cela quand, aujourd'hui, les policiers ne sont formés que dans le tout petit délai de dix pauvres mois.

    Étant entendu que je m'adresse ici autant aux gilets jaunes, aux policiers, aux gendarmes qu'au citoyen lambda, dont ceux de la classe-moyenne la plus haute et de leurs sots suiveurs qui peuvent eux aussi, un jour ou l'autre, être confrontés à une situation difficile face aux représentants de la loi.

    A l'ensemble de la population française donc!  )

    Je vous propose donc mon hypothèse.

    Une oligarchie n'est pas une association de personnes dont tous les buts seraient tous convergeant mais bien plutôt le ralliement de personnalités détenant le pouvoir du moment, aujourd'hui c'est l'argent, ce sont les ploutocrates, hier c'était celui des armes, c'était les aristocrates.

    Ce ralliement se fait sur des intérêts collectifs bien compris, bien qu'il puise y avoir des conflits entre-eux, qui, en l'instant, consiste à ne pas perdre d'argent (ce qui adviendra tôt ou tard par la faillite de la globalisation), même si cet argent ne leur sert strictement à rien, une richesse, au-delà d'une certaine somme, ne pouvant pas être dépenser.

    P1010593.JPGJusqu'à présent, cette oligarchie s'était scindé en deux composantes, la monétariste eurolâtre, dont la fortune provient pour l'essentielle de jeux spéculatifs monétaires de toutes sortes et de la confiscation de nos services publics, tels que les patrons de Vinci, et l'industrielle qui, me semble-il intuitivement, tend à devenir patriote par pure logique d'efficacité manufacturière.

    Or les derniers événement me laissent à penser qu'au sein de cette première composante, essentiellement ploutocratique, s'expriment une dissension entre ceux qui sont germanophiles et ceux qui sont américanophiles & anglophiles auxquels appartiendraient ceux des conseillés gouvernementaux qui ont démissionné de leur fonction.

    "Bon", allez-vous me demander, "que cela peut-il faire qu'ils soient pour l'Allemagne ou pour le monde anglo-saxon, que cela va-t-il changer?"

    Il faut déjà savoir que l'on ne se met pas la perfide Albion à dos sans en subir les terribles foudres et il n'est que la Russie pour savoir comment faire pour en éviter les coups tordus.

    Mais au-delà de cela, ce qui, à mon sens, il faut comprendre, c'est que l'autisme suicidaire et provocateur du gouvernement provient de ce que la Deutsche-Bank se trouve désormais au bord de sa banqueroute.

    Il faut bien comprendre la différence de situation entre la France et l’Allemagne.P1010498.JPG

    Autant notre pays a, en Europe, le plus grand nombre de banques trop grosse pour être nationalisées faire faillite, la Germanie, elle, n'en détient qu'une seule, mais celle dont la faillite potentielle est la plus colossale, peut-être de toutes les autres tous pays confondu, et, se dit-il entre les lignes, même nationalisée elle ne pourra que mener le pays de Madame Merkel à la cessation de paiement.

    Si la Deutsche-Bank coule elle entraine tout le pays dans sa chute, les banques mondiales, les monnaies, l'Union-européenne et bloque, in fine, tout le système économique international.

    De plus, autant la proverbiale efficacité germanique mène ce pays à un solide dynamisme, autant sa tendance à l’unilatéralité idéologique le tend à poursuivre son mouvement jusqu'à l'absurde, et ici son dogme c'est l'ordolibéralisme, un néolibéralisme germanique au nom duquel toutes les nations de l'Union-Européenne sont mises sous sa férule ruineuse dans une longue et douloureuse faillite des peuples.

    L'Allemagne ne nationalisera jamais ses banques parce que cela contrevient à l’orthodoxie ordolibérale.

    Quand en France, à l'inverse, en cas de banqueroute généralisée (qui, quoi qu'il en soit, surviendra un jour ou l'autre), une conversion économique à l'Islandaise ne peut que survenir, accompagnée des nationalisations bancaires et de la mise en prison des personnalités les plus mafieuses et traitres à la patrie.

    Revenons maintenant aux oligarques germanophiles et américanophiles.

    Il est facilement imaginable de concevoir qu'aucun gouvernement ne voudrait que P1010577.JPGl'histoire désigne son pays comme étant celui qui aurait déclenché la banqueroute internationale, sauf bien entendu celui français qui, plus le temps avance, moins comprend quoi que ce soit de quoi que ce soit.

    Il serait même possible qu'il en soit de même de nos oligarques germanophiles.

    Ceci pour les raisons que j'avais pu indiquer ici et .

    Or, les épouvantables trous de trésorerie qu'ont la majorité des grandes banques mondiales, ceci sans compter les jeux spéculatifs dangereux auxquels se livrent nombre d'acteurs richissimes dans le monde, que ce soit de ces mêmes banques, de personnalités, de familles ou par le biais de fonds d'investissement, mènent à une instabilité financière grandissante, dont les pertes ne sont plus, pas ou peu compensée par un afflux de monnaie des banques centrales désormais quasiment tari.

    Dès lors les états n'ont plus d'autre choix que de passer la patate chaude de la banqueroute future à l'état voisin, ceci en en retardant l'échéance puisque personne n'y est prêt, surtout les U.S.A. de Trump et la Grande-Bretagne du joli mois de May.

    La première parce qu'elle doit réindustrialiser son pays véritablement exsangue, à toujours 102 millions de chômeurs réels il est visible que cette réindustrialisation ne se fait que très lentement, ce qui est normal, faire revenir sa masse industrielle perdue sur son sol ne peut que prendre du temps, ceci d'autant plus que son pétrole et gaz de schiste n'en a plus pour très longtemps (c'est pourquoi elle fait tout pour seP1010605.JPG récupérer les pays d'Amérique du sud producteur comme le Vénézuéla).

    La seconde pour des raisons similaire, soit sa réindustrialisation, qui, bien que plus rapide grâce à la dévaluation de la livre sterling, n'en prend pas moins un long moment, ceci d'autant plus qu'il lui faut attendre le réajustement salarial entre les produits importés plus chers à cause de cette dévaluation et la baisse du chômage ainsi que de la hausse des salaires.

    En revanche l'Allemagne, quand à elle, fait tout pour sauver sa chère, sa grosse, sa si fragile Deutsche-Bank, parce que si elle disparaissait quand elle disparaîtra, c'est l'Allemagne en tant que pays qui pourrait bien exploser avec elle par une scission de ses länder d'avec le pouvoir central.

    Ce dont nos oligarques germanophiles ont fort bien compris (il faut bien qu'ils comprennent quelque chose une fois de temps en temps, non?)

    Il leur faut donc aider la Germanie à remplir ce tonneau des Danaïdes qu'est la Deutsche-Bank par le truchement de notre gouvernement macronniaiseux en pompant les richesses restantes de la population.

    Oui mais voilà, cela mène à une double bronca (olé), celle du peuple via les gilets jaunes, mais aussi de l'oligarchie américanophile pour qui la survie des États-Unis-d'Amérique compte plus que tout.

    Et la paupérisation de la population française et européenne, ainsi que de la plus que révolte populaire gilettiste, met à mal l'économie mondiale, donc celle du dollar P1020036.JPGet, dès lors, celle des Etasunis qui, je le répète, ne sont pas prêts, très loin de là.

    N'oublions pas que la faillite de la Grèce menée par l'Allemagne, l'Union-Européenne et le F.M.I. accéléra grandement la désindustrialisation mondiale à l'époque, en 2011 me semble-t-il.

    Il y a donc un désaccord absolu entre l'oligarchie germanophile et celle américanophile sur la conduite à tenir en ce qui concerne la population française (si rien n'est fait même la classe-moyenne la plus haute sera bientôt touchée par leur paupérisation, ce qui semble être déjà le cas).

    Les premiers, pour tenter de ressouder le ralliement oligarchique entre ces deux composantes susnommées, poussent à bout les gens par une série de provocations, ce qui, bien sûr, réanime la flamme revendicative politique et économique des manifestants, et, pour certains, de leur agressivité, ceci dans le calcul que, par solidarité de classe, les seconds les rejoindront.

    Ces seconds, eux, ne souffrant que du seul brouillard conceptuel et au regard des délires gouvernementaux, s'éloignent des premiers et, faisant suite à l'exhortation de Trump envers Macron de faire sortir la France de l'union, pourraient fort bien adopter la bannière du France-quitte, voire même, pour certains, des gilettistes, ceci, pour l'instant, en toute discrétion médiatique, cela se passant dans le milieu feutré de ce monde.

    C'est là la seconde raison pour laquelle des conseillés et des ministres, ainsi que des P1010461.JPGparlementaires, démissionnent de leur poste, la première en étant que, par prudence, ils préfèrent s'éloigner de ce navire prenant l'eau de toute part.

    Je pense que, de plus, c'est Angela Merkel qui donne ses ordres à Emmanuel Macron et que celui-ci n'écoute plus d'autre personne.

    Si j'ai raison, alors nous devrions bientôt voir un renversement complet des discours tenus au-dedans de tel ou tel média suivant qui détient lequel.

    Mais surtout, surtout, surtout et en toute cohérence, cela voudrait dire que la Deutsche-Bank détiendrait une très grande part des dettes française, mais aussi celles de l'Union-Européennes, voire même celles de tous les autres pays européens.

    Sachant que le gouvernement allemand à placé des hommes à lui partout dans l'administration de l'union.

    Puis ce pays fera son germanoxit une fois que sa grosse banbanque sera sorti d'affaire, peut-être le 30 Février 20 019, à la saint-glinglin, quoi...

     

     

  • Perversité narcissique et brouillard conceptuel.

    Voici un long mais important texte que j'avais écrit le 11 Octobre 2018, il y a donc onze mois.

    Je le remonte dans le présent pour que ceux découvrant mon site puissent le lire en tout confort.

     

    Avant d'aborder l'avant-propos de ce billet, je me dois de préciser en préambule qu'auparavant je n'avais pas saisi la dimension particulière que la perversité narcissique a pu prendre au sein de nos sociétés modernes.

    Cela ne retire en rien les idées que je dégage de mes textes précédents, tout au contraire, cela vient en compléter l'ouvrage et en préciser certaines de mes approches.

     

     

    Je reviens donc sur ce thème en montrant que nous sommes tous plongés dans cet ensemble nébuleux de croyances plus ou moins délirantes, de laquelle il est plus ou moins facile de montrer l'aspect débilitant.

    C'est certes une hypothèse et cela ne peut que rester ainsi tant que des études cliniques ne seront pas entreprises.

    Je l'ai bâtie d'après l'expérience de mon vécu, d'une suite d'intuitions et, en suivant, d'une profonde réflexion.

    Comme j'ai pu l'expliquer dans mon texte précédent du début Septembre (à lire si ce n'était fait avant de poursuivre cette lecture) traitant de ce sujet, j'émets doncP1020124.JPG l'idée qu'une part de nos oligarques monétaristes, ainsi que nombre de notre personnel politique de haut niveau, souffrent de perversion narcissique.

    Ceux n'étant pas atteint de ce mal sont soient de petits malins qui profitent de leurs faiblesses mentales pour leur propres comptes (les pervers narcissiques étant tous facilement manipulables), soient sont pris dans les rets de ce brouillard conceptuel leur faisant croire qu'ils agissent vraiment pour le bien commun, même si beaucoup d'entre-eux peuvent, plus ou moins inconsciemment, en douter du bienfondé.

    (   Si j'ai appelé "brouillard conceptuel" le phénomène d'être entrainé au-dedans du monde fantasmagorique du pervers narcissique, c'est parce que, même s'il nous est possible de rester pour partie conscient de ses incongruités et délires multiples, notre soumission à ce type de malade mental nous en fait accepter l'univers délirant, ne rendant pas compte d'une quelconque réalité.

    Il s'agit en effet, pour nous, d'un biais cognitif dont il nous faut, quoi qu'il en soit, du temps pour s'en défaire, sauf à ce que l'urgence du moment nous contraigne, pour nous y adapter, à nous confronter à un réel, certes tel qu'il se présente, mais notre perception nous en sera pour le moins momentanément tronqué, ce qui nous fera perdre un temps précieux.

    Ce délire [ N'oublions pas que le pervers narcissique souffre en réalité d'une schizophrénie latente que sa dépravation viendra compenser ] est propre à chacun de ces insensés, bien qu'en groupe ils puissent en générer un collectif sur lequel reposera, de plus, les divagations propre à chacun  d'entre-eux.

    Il leur faut en effet se retrouver au centre de leur monde pour pouvoir préserver P1020059.JPGleur narcissisme dévoyé et fragile.   )

    Je vous propose donc un complément de mes réflexions précédentes en m'essayant de vous montrer, amis lecteurs, combien nous pouvons être berner par cet ensemble hétéroclite de malades mentaux que nous appelons l'oligarchie.

    Sachant, part ailleurs, que ce qu'ils craignent avant tout, hormis de ce que leur monde ne s'efface, à ce qu'il leur soit montré et décrit leur complexion démentielle et, surtout, à ce que cela soit exposé à la face du monde.

    En plus de ne cesser de nous tromper, surtout de ce que peut être leur véritable nature, ils nous entrainent plus ou moins  dans leur monde irréel, parce que détaché de la réalité, ce brouillard conceptuel.

    Cela en nous faisant croire, comme le font tous pervers narcissiques, en leur toute puissance, leur savoir absolu et leur omniscience, eux qui ne sont, en vrai, de par la nature même de leur maladie, que des êtres incompétents et plutôt cornichons et incultes.

    C'est cela que je vais vous narrer ici en vous en montrant quelques exemples, quelques-uns seulement parce que le pire dans tout cela c'est que ce brouillard recouvre une immense étendue en un très grand nombre d'idées toutes faites et fausses.

    Deux choses importantes que je n'avait pas clairement noté dans mon billet précédent:

    -le pervers narcissique et le psychopathe ne peuvent pas se sentir responsable de la moindre de leur vilénie, sinon cela mettrait en danger leur narcissisme;

    -ils ont tendance à projeter sur l'autre le moindre de leurs aliénations, angoisses,P1020165.JPG abjections, bassesses et infamies et ceci pour les mêmes raisons, c'est en cela qu'ils sont pervers.

    Avant que je ne débute la seconde partie de ce billet, je vais effectuer un très bref résumé de la nature très particulière et discrète de cette grave maladie mentale, étant entendu que le psychopathe à une origine similaire à celui-ci et une structure mentale relativement semblable:

    1) refoulement des émotions conduisant à un surmoi quasiment inexistant;

    2) narcissisme instable que le sujet tente de sauver;

    3) état psychotique latent que seule la perversité du sujet parvient à maîtriser;

    4) culpabilité importante amenant une souffrance se muant en plaisir, d'où sa perversité envers son ou ses souffres-douleurs;

    5) un monde fictif, propre et différent pour chaque sujet, dedans lequel vit celui-ci, n'ayant qu'un lien lointain d'avec la réalité, ce que nous vivons sous la forme de ce brouillard conceptuel;

    6) une sclérose mentale importante se développant avec le temps, rendant les sujets stupides, due à ce que toute leur intelligence n'est tournée que dans le but de compenser leur schizophrénie latente, en vivant dans leur monde fantasmatique dont ils seraient le centre, ceci pour sauver leur narcissisme, et avec des victimes sur lesquelles reposeront leurs faiblesses, leur démence, leurs incohérences structurelles et leur méchanceté primaire (étant entendu que le psychopathe tue pour tenter de détruire en lui ces mêmes tourments quand le pervers narcissique peut, lui, tuer pour écarter le risque d'être découvert ou pour sauver son monde P1020041.JPGimaginaire).

    Cette mouvance oligarchique nationale, européenne et internationale est hiérarchiquement structurée.

    Ce qui, pour un pervers narcissique, ne peut qu'être qu'un terrible calvaire, d'autant plus que cela est le fait de ses semblables en démence, il faut donc pour chacun d'entre-eux entretenir un monde propre, à l'intérieur de celui collectif, dedans lequel il se retrouvera au centre, au risque sinon de ne plus pouvoir compenser leur état psychotique latent.

    Mais quoi qu'il en soit, cet univers fantasmatique collectif nous est déversé continuellement, dans les médiats notamment, au corps défendant de nombre de journalistes subalternes et/ou pigistes, envahissant d'autres sphères sociales, scientifique et artistique, par exemple, contraints, forcés et/ou manipulés par ces insensés.

    L'un des exemples les plus frappant est ce qu'il se dit au sujet de l'Union-Européenne, soit qu'elle ne serait en rien une colonie des États-Unis-d'Amérique.

    Or, pour en débusquer la réalité je vous propose une expérience simple mais éclairant les multiples occultations et/ou dissimulations, ô combien symptomatiques, que génère l'existence même de ce brouillard conceptuel.

    Voici plus bas la liste des 26 pays de l'union, et il n'y a pas grand monde pour déjà l'égrainer, moi-même pouvant difficilement en citer une dizaine.

    Je vous propose donc de nommer un artiste pays par pays, tous domaines, peintre, chanteur, écrivain... et époques confondus, même datant du moyen-âge, sachant que censément notre pays ferait parti d'une union, un petit peu comme il en est des U.S.A. et comme il en fut de l'U.R.S.S..

    Sachant qu'existe l'eurovision, j'en apporte cette précision que les chanteurs doivent être connus au sein de leur pays et ne pas chanter dans la langue impériale, j'ai-nommé l'anglo-américain:

    . Allemagne

    . Autriche

    . Belgique

    . Bulgarie

    . Chypre

    . Croatie

    . Danemark

    .Espagne

    . Estonie

    . Finlande

    . France

    . Grèce

    . Hongrie

    . Irlande

    .Italie

    . Lettonie

    . Lituanie

    . LuxembourgP1020178.JPG

    . Malte

    . Pays-Bas

    . Pologne

    .Portugal

    . Rép. Tchèque

    . Slovaquie

    . Slovénie

    . Suède

    Combien seraient-ils capables en l'Europe d'effectuer avec brio un tel exercice, dix, vingt personnes à tout casser, des historiens d'art peut-être?

    Maintenant, je vous propose de donner le nom de cinq artistes britanniques, puis de dix artistes étasuniens, pour ces derniers une trentaine de nom ne doit pas être impossible à trouver...

    Voilà, vous avez compris, la preuve est là, visible, éclatante: notre pays ne se trouve  pas au sein d'un union politique et marchande composé d'un ensemble de nations indépendantes, mais fait parti intégrante d'un agrégat de colonies étasuniennes regroupées, ceci pour qu'elles soient contrôlées plus facilement par une bureaucratie coloniale située à Bruxelles, elle même issue des pays composant l'union, en un même mécanisme qu'usait, dans le temps, le Royaume-Uni impérial en Inde.

    (   La désintégration de cette union provenant, pour l'essentiel, de ce que l'empire U.S. s'en désengageant, n'y jouant plus, dès lors, de rôle régulateur, les conflits P1020170.JPGlarvés qui y préexistaient s'expriment désormais en plein.    )

    Commencez-vous à percevoir comment fonctionne un brouillard conceptuel?

    En effet, c'est bien parce que nos oligarques européens doivent nier l'existence de cette domination, désormais passée mais dont la fable perdure, qu'ils traitent ceux qui osent en avancer l'idée de complotistes ou de tout autre expression aussi dérisoire qu'injurieuse.

    La raison en étant que, sinon, cela mettrait plus à mal leur narcissisme déjà gravement malade, puisque avouer cette domination montrerait leur asservissement, démontrerait, surtout, qu'aucun d'entre-eux n'est le nombril du monde.

    Tout en chantant les louange des Etasunis, contradiction perceptible par le déversement continuel d'un art outre-atlantique désormais en plein déclin ou d'une langue anglo-saxonne débilitante, comme il peut en être du reste des U.S.A. d'ailleurs.

    (   Il est ainsi symptomatique que les titres des films et feuilletons étasuniens ne soient même plus traduits en français, contrairement à ce qu'il se passe au Québec, ce qui montre également et surtout le profond dédain dans lequel nous tient l'oligarchie U.S..    )P1020478.JPG

    Ce paradoxe étant dû à ce que "le rêve américain" fait parti intégrante de ce monde fantasmatique collectif dedans lequel vivent tous ceux de ces malades qui, de près ou de loin, sont affiliés à l'oligarchie.

    C'est pour des raisons semblables que les informations et la météo qui nous sont présentées dans les mêmes médiats ne concernent que la France tout en chantant les louange de l'Union-Européenne, les mêmes voulant cacher ainsi qu'ils sont dominés par les oligarques européens au sein de ce système hautement hiérarchisé.

    Ce même rêve américain se retrouvant ici, dans l'esprit de l'oligarchie française, sous la forme d'une soit-disant construction européenne, c'est à dire de vouloir, dans leurs délires, transformer cette union en États-Unis-d'Amérique.

    Il est vrai que toutes ces petites cachotteries existent aussi pour éviter que la population comprenne d'où proviennent nos lois, soit des directives de l'Union-Européenne sous domination étasunienne et, maintenant germanique, mais vous en remarquerez avec moi leur incohérence, puisqu'il leur serait facile, ainsi, de dédouaner le gouvernement,  sous leur ordres, de ses décisions, ce qui, par le passé, se faisait en toute aisance (comme l'aurait dit Faust).

    (   Ce désengagement Étasuniens par l'équipe trumpienne de l'U.E. menant, bien P1020071.JPGentendu, nos oligarques à l'affolement puis à la panique.)

    C'est pourquoi elles sont là: pour ne principalement pas montrer à la face du monde qu'eux-mêmes sont, de fait, sous cette triple domination, U.E., U.S.A., allemande, ceci, encore une fois, pour sauvegarder leur narcissisme détraqué, eux qui se croient, en leurs délires, au centre de l'univers.

     

    Un autre exemple de l'existence de ce brouillard conceptuel: pourquoi donc déverser un tel tombereau d'injure à l'égard de Donald Trump?

    Si nous y réfléchissions bien, si l'Union-Européenne et donc la France étaient vraiment indépendantes, comme cela nous en est rabâché, les décision du président U.S. ne devraient nous concerner que si elles impliquaient directement l'union et/ou notre pays, non?

    Dès lors, en toute cohérence, la politique intérieur de cette nation ne devrait être suivie par les médiats que comme il devrait en être pour toute autre et il ne devrait pas y faire grand cas, en ce seul exemple, des catastrophes naturelles, comme il en est, encore une fois, de tous les autres pays mondiaux, ceux de l'union compris.

    Or, en ce qui concerne celles se trouvant à l'intérieur de l'U.E., nous en avons infiniment moins que de celles qui  nous sont transmises de l'empire et, ce, à l'inverse de toute logique d'avec ce qu'il nous en est conté.P1020251.JPG

    Monsieur Trump se devrait aussi d'avoir le même traitement médiatique que ses prédécesseurs, ce qui, là encore, est contraire  du récit qui nous est fait de ce que serait l'Union-Européenne.

    Or, il est donc parfaitement visible que nous sommes au-devant d'un nouveau paradoxe entre ce qu'il se dit de la construction  européenne, de notre relation d'avec les E.U.A. et les informations qui nous sont prodiguées sur ces deux sujets, mais pourquoi donc?

    Tout simplement parce que Mr. Trump ayant déclaré, lors de sa campagne électorale, que l'O.T.A.N. et l'U.E. devraient disparaître, cela met en danger leur monde fantasmatique, ce qui fait que nos oligarques européens s'affolent et déversent leur haine à son endroit dans les médiats (faisant dès lors remonter leurs émotions, ce qui les déstabilise d'autant).

    D'autant plus que, outre que ses actions mènent à un affaiblissement de l'Allemagne, de la France et de l'Italie et, dès lors, de l'U.E., en raison, entre-autre, de l'interdiction de commercer avec l'Iran, la lutte qu'il mène contre son oligarchie affaiblit celle-ci à un tel point que ce dernier président (peut-être vraiment le dernier) n'est pas loin de les vaincre, du-moins peut-il mener à peu près sa politique à sa guise.

    Or, l'oligarchie monétariste européenne n'existe que parce que celle des États-Unis-P1020443.JPGd'Amérique la mise en place, sans la seconde la première disparait.

    C'est pour cela que, dans l'affolement, pour que leur petit chéri Macron soit élu haut la main, que notre "élite économique" a détruit les partis politiques français lors des élections nationales de l'année dernière, aidé, il est vrai, en cela, par un François Hollande bien content de se venger de ses avanies en tant que président.

    Le surgissement de l'affaire Bennala fin juillet ne peut qu'être que la marque d'une semblable panique des mêmes, celle-ci provenant de ce que Monsieur Macron prenait son indépendance de ses commanditaires.

    Sûrement conseillés par des vieux de  la vieille de la politique qui sentaient venir une plus qu'exaspération de toute la population, due autant à l'insane brutalité économique du gouvernement  macronnien que de la médiocre vulgarité avec laquelle Monsieur Macron occupe son poste électif.

    ( Le délitement psychologique des pervers narcissiques et des psychopathes, à cause principalement de la disparition de leur monde, de leur perte de proie sur laquelle déverser leurs déséquilibres mentaux et/ou de l'exposition à la face du monde de leur aliénation, s'effectue en quatre temps:

    1) la fuite-en-avant: débutant dès qu'ils sentent perdre leur pouvoir et/ou voient leur fantasmagories se confronter à la réalité, consistant en une amplification de leurs agissements, allant jusqu'à une caricaturisation extrême  de ceux-ci...;P1010825.JPG

    2)

  • Syrie: réflexion (panphlétaire) sur une manipulation possible (probable)!

     

    Syrie : réflexion (pamphlétaire) sur une provocation possible (probable) !

     

     «Contre ma volonté, 
    je fus témoin de la plus terrible défaite
    de la raison et du plus sauvage
    triomphe de la brutalité jamais documenté.
    Jamais auparavant une
    génération n’avait essuyé

    un tel échec moral après avoir atteint
    de tels sommets intellectuels.» »

     

      Stefan Zweig (1942)

     

    Après la rocambolesque affaire que fut la pantalonnade du détournement de l'avion du président de la république brésilien, monsieur Evo Morales, en raison, disait-on, de la plausible présence de monsieur Edward Snowden à l'intérieur, et ce dans la plus totale violation du droit international puisque cet aéronef voyageait sous la protection de l'immunité diplomatique, voilà que le chef de gouvernement des États-Unis-d'Amérique alliés de leurs dérisoires supplétifs et pieds nickelés, la France et l'Angleterre, songeraient à intervenir en Syrie, hors du cadre onusien et dès lors, encore une fois, dans la plus totale illégalité du droit international (les américains commencent à être habitués du fait).

    Eh ! Oh ! Monsieur Hollande, peut être faudrait-il que vous vous réveilliez un peu, un tout petit peu, arrêtez de suivre tous les plus infimes désidératas d'une Amérique qui bafoue jour après jour toutes les règles régissant le droit international, celui des peuples, jusqu'à sa propre démocratie qu'elle démantèle allègrement.

    Amérique, de plus, d'ores et déjà ruiné !

    Je n'ai pas envie que mon pays, et donc moi-même, se retrouve à jouer à qui perd gagne avec cette folle indigence que sont devenue les U.S.A..

    Une Amérique jouant son dernier va-tout en un baroud qui n'aurait d'honneur que de nom d'un gouvernement aux aboies d'une fin prochaine de ce pays agonisant!

    Et vous nous faites suivre cet agonisant dans sa folie par réflexes pavloviens, automatismes béats mais surtout, en raison de la simple crainte de sa disparition, tellement vous et vos semblables avez perdu l'habitude de la complexe gouvernance d'un pays dans un monde compliqué: quel soulagement que de suivre des directives, souvent stupide et aberrantes, vous évitant de prendre des décisions, qu'elles proviennent d'une Union-Européenne pas même démocratique ou d'un gouvernement U.S. qui ne l'est désormais plus!

    Dans quel délire nous entrainez-vous là ?

    De plus, ne trouvez-vous pas que tout cela fleure bon la bonne vieille manipulation et pas des plus subtile, encore ?

    Que vous vous soyez fait avoir dans l'affaire Snowden, passe encore, pourquoi ne pas croire qu'une obscure fonctionnaire ait pris, de son propre chef, la décision d'interdire le survol de notre territoire par l'avion de monsieur Morales (j'eus attendu qu'ainsi elle reçoive quelques remontrances officielles...), mais permettez, monsieur le Président de la République Française, qu'au regard de votre suivisme actuel (je vous pensais plus subtil et retord), et en notre nom en plus, des psychopathiques et dangereuses excitations internationales de l'Oncle Sam, je puisse douter de la véracité de ce qui se dit, soit que cette obscure décision ait pu être prise par la dite fonctionnaire; ainsi suis-je donc en droit de penser cette dame n'être juste que lampiste, non?

     

    Manipulation !

    Parce que tout cela sent la manipulation à plein nez !

    N'oubliez pas que nous avons affaire à des champions d'échec, les Russes, et aux inventeurs du jeu de go, les chinois.

    Résumons : après que nous ayons perdu la face en montrant au monde entier que l'Europe n'est que le caniche servile d'une Amérique exsangue de sa ruine, obéissant toujours plus à ses injonctions, allant jusqu'à enfreindre, pour cela, les règles internationales qui furent mises en place en Ouest-Eurasiatique, ici même, donc, ceci en raison de ouï-dires que les « grandes-oreilles » américaines auraient pré-supposément captées, voilà que, gonflant des muscles que nous n'avons plus, vous-même n'avez-vous pas décidé de restreindre les subsides de notre armée pour rembourser des dettes antidémocratiques, voilà, donc, que nous gonflons nos muscles après que le gouvernement Syrien ait, là encore, pré-supposément utilisé (tant que l'O.N.U. n'aurait pas rendu son verdict) pour la seconde fois, des gaz de combats dans la guerre civile qui sévit actuellement dans ce pays et menaçons la Syrie d'agir militairement contre ce gouvernement en rupture absolue des accords anciens (1948) que nos représentants d'alors avaient signés lors de la création de l'O.N.U. qui interdisent tout usage de la force avant l'assentiment préalable de l'Organisation des Nations Unies, de son assemblée générale et du conseil de sécurité.

    Et puis, pourquoi, à l'époque où Saddam Hussein en avait utilisé également, contre les Kurdes me semble-t-il, personne ne poussât pareillement de ces mêmes cris de vierges effarouchées (attention, je ne suis pas pour les gaz de combats, je montre juste quelques incohérences et manipulations) ?

    Alors la question que nous devrions tous nous poser est simple : Ne serait-il pas possible que la cause de l'usage qui se fit de gaz de combats en Syrie, quelle qu'en soit l'origine, ne soit le fait d'une manipulation (pour moi, grossière), dont le but ultime serait le désintérêt, voire le rejet des U.S.A. et de l'Europe par le monde entier aussi que de cristalliser une alliance Chine, Russie, Iran qui nous ferait perdre une position géostratégique qui, depuis le gouvernement de monsieur Sarkozy, s'effiloche ?

    Et qui sont, dans cette aventure, nos alliés ?

    Ne seraient-ils pas la Turquie, l'Arabie Saoudite et le Qatar ?

    La Turquie, passe encore, mais l'Arabie Saoudite et le Qatar, quelle dégringolade, quelle rigolade quand on sait combien leur pétrole ne se compte plus que dans le fond de leurs puits bientôt à sec, quand on sait aussi combien des attentats manqués ou réussis provenaient de cette région là, quand on sait combien ils nous rachètent jusqu'au reste, le peu de reste de nos bijoux de familles d'un dollar qui ne vaut, décidément, plus pipette, plus rien, nada, que dalle.

    De quoi nous parliez-vous, déjà ?

    De démocratie ?

    Ô, la belle démocratie existant dans ces pays !

    Ô, le droit des femmes, si respecté, tiens, si nous leur proposions le mariage pour tous, pendant que nous y sommes ?

    Le premier coup de gaz n'avait pas marché, allez hop, on en remet une deuxième giclée et nous nous tombons, comme d'un seul homme, dans le panneau, les deux pieds en avant, chplaff.

    Après s'être mis à dos l'Amérique-du-Sud, c'est tout le Moyen-Orient chiite qui nous regarde de travers, la Russie et la Chine.

    Parti comme c'est, nous allons également nous faire rejeter par l'Inde, les pays africains et d'autres... .

    Ah, oui, j'oubliais, tout ceci n'est qu'une question de principes, comme en Irak ?

    Alors voilà, pendant que les Russes et les Chinois poussent tranquillement leurs pions, nous, nous nous laissons faire, nous nous laissons manipuler par ces ruses grossières que même un enfant percevrait.

     

    Mais vous ne comprenez pas que cette région est une véritable poudrière et que les américains sont tellement désespérés qu'ils sont près à tout, je dis bien à tout, pour essayer de survivre ne serait-ce qu'une minute de plus même si cela nous conduisait, nous, européens, à la pire des catastrophes ?

    Américains qui, eux aussi, nous rachète avec leur dollar qui ne vaut que le prix de mon papier toilette, nos derniers fleurons !

    Et vous, vous laissez faire, pour payer quoi ?

    Une dette qui n'a aucune raison économique sauf la sempiternelle loi du marché.

    Hou, hou, loi du marché, où es-tu ?

    Je te cherche partout et je ne t'ai vu nul part !

    Pourriez-vous, je vous prie, me présenter monsieur Loi du Marché, s'il vous plait, monsieur le Président de la République, hein, dis, s'il vous plait, hein, dis, tout le monde m'en parle mais personne ne me dis qui il est, hein, c'est qui ?

    Ah, peut-être est-ce Dieu, c'est Dieu, hein, dis, monsieur le président de la République, c'est Dieu, Loidumarché, c'est ça, et faut qu'je prie Dieu Loidumarché?

    C'est LE Dieu Loidumarché, hein, dis?

    Ou alors est-ce de la science qui nous a montré depuis longtemps  toute son efficience, en Russie, en Argentine et ailleurs, hein, monsieur le Président de la République, dis?

    Me montrez-vous ses textes de lois, scientifique, nous dites-vous, hein, dis ?

    Ah, c'est vrai, ces lois ne peuvent que nous conduire qu'à la prospérité, comme en Russie, en Argentine et ailleurs, hein, monsieur le Président de la République, dis.

    C'est bizarre, depuis que ces fumeuses lois furent adoptées dans les cénacles et salons de la bienpensance (il a tout de même fallu attendre que le cadavre du général De Gaulle refroidisse), la situation économique de la France et de l'Europe ne va que de mal en pis !

    Et tous, vous vous réclamez de Jaurès et de De Gaulle !

    Pauvre d'eux !

    Pauvre de nous !


    (Rajout du 31 Août 2013!

  • Que faire au-devant d'une crise ultime et dès lors inévitable?

    Rien d'autre que de s'y préparer, c'est tout!

    Mais avant toute chose je me dois de définir ce que peut être une crise et une crise ultime.

    Tout le monde à vécu des période où, progressivement, la situation antérieur se détériorait de plus en plus, ceci accompagnée de façons répétées de moments d'accélérations voyant se cristalliser cette détérioration, suivit peu après d'instants de stabilisations, voire d'un léger retour à la situation antérieur, en raison d'aménagements léger que chacun fit, laissant à penser que la rupture qui était en ferment n'était qu'une impression jusqu'au jour où, parfois pour des raisons insignifiantes, de manière soudaine, nous tombait dessus la rupture définitive.

    Or cette soudaineté n'est qu'apparence et que ce soit une séparation ou un divorce, un accident ferroviaire ou aérien, un conflit armé entre nations ou tout autres événements à l'avènement brutal, toujours les signes annonciateurs en préparation peuvent se lire.

    Ce sont les crises, en vérité simples crises secondaires, qui sont, en amont, les signes de cette crise ultime.

    Cette suite de crises suivit de la crise ultime vient des conditions originelles des relations entre les acteurs: dès le commencement, les fondements sont pernicieusement et discrètement déséquilibrées aboutissant, au bout d'un certain temps, à une rupture violente.

    Plus la crise ultime met de temps à se produire, plus violente sera la-dite crise ultime, lorsque, de plus, toute la palette des solutions non essentielles de "sortie de crise" (secondaire) sont utilisées, cela ne fait que retarder la survenue de la crise ultime en rendant celle-ci progressivement irréversible dans  une conflagration d'une dimension incontrôlable et chaotique.

    Effectivement, la suite des crises secondaires réglées provisoirement par des solutions non essentielles ont eu pour effet d'amplifier chaque fois un peu plus l'ensemble des déséquilibres précédents.

    Les solutions de crises consisteraient donc, en fait, en des actions énergiques consistant à percevoir et réduire les causes profondes et dès lors premières qui mènent aux crises avant que la situation ne devienne l'irréversible crise ultime.

    "-J'appelle principe de rupture endogame une crise ultime survenant en raison de désordres internes au sujet en relation avec son milieu ou aux relations établies entre différents sujets, cela s'étendant à certains processus évolutifs du monde vivant, d'une espère ou entre espèces aux relations plus ou moins étroites.

    -J'appelle principe de rupture exogame une crise survenant à cause d'une catastrophe totalement indépendante des processus évolutifs des sujets, l'exemple en est la météorite qui, il y a soixante cinq million d'années, s'est abattue sur le Yucatán et fit disparaître les dinosaures.

    -La série de crise suivie de sa crise ultime est un processus naturel d'évolution."

    Pourquoi ai-je dit plus haut que nous ne pouvons plus, dès à présent, faire grand chose lors de la survenue d'une crise ultime hormis nous y préparer?

    Étant donné, comme je l'ai expliqué plus haut, qu'une crise ultime, de nature irréversible, survient à la suite d'une désorganisation régulière et continuelle de la situation, ceci ponctuée de crises secondaires présageant et accélérant celle-ci, si il n'y a pas de véritables solutions adoptées et décisions prises régulant et/ou réglant, en amont, avant l'avènement de la-dite crise ultime, la décomposition, juste avant la survenue de cette crise ultime, est telle que chaque décisions prises, à partir de ce moment là, ne fera qu'en amplifier les effets, c'est ce que nous vivons actuellement.

    De plus, comme chaque crises secondaires ne dégénérant pas, du-moins le donnèrent-elles à penser, en désordres majeur, le sentiment de continuité dans la situation passée perdure sans que le ou les acteurs ne prennent conscience de la gravité de la conjoncture, croyant, le plus souvent de bonne fois, qu'il sera possible, comme auparavant, de trouver la solution qui permettra de stabiliser une fois encore l'état des choses sans comprendre qu'au moment de la survenue de cette crise ultime les conditions passées auront irrémédiablement disparu (parce que une crise ultime ressemble beaucoup à ses crises constitutives les plus proches, d'autant plus à celle qui l'a précédée).

    La gravité d'une crise ultime provient de ce que, justement, comme les conditions passées ne sont plus mais que dans le même temps ne sont pas encore apparu, pour les acteurs (êtres humains, sociétés, pays ou autres...) les nouvelles conditions, dispositions et constitutions régulant de nouveau leurs existences, leur situation s'en trouvent désorganisés à l'extrême les mettant dans un état de perte de sens, de biens, de repères, voire dans un état de chaos.

    Subsiste, cependant, des dispositions qui furent moins ou pas du tout concernées par la-dite crise ultime, capacités encore valide pouvant aider et permettre la recomposition de la situation des acteurs sur de nouvelle bases.

    Ce sont ces dispositions, ces qualités qui fondent les facultés centrales sur lesquelles s'appuyer pour le redressement futur, souvent celles-ci sont oubliées, parfois rejetées, il faut donc aller les puiser là où elles se trouvent: dans la mémoire.

    J'en fait ponctuellement mention dans les divers textes de ce blog.

    D'où le titre de celui-ci: "Appel à une nouvelle renaissance".

    Renaissance qui doit être la reprise et reconnaissance commentée, analytique, critique, sérieux et contradictoire des anciens et non pas le rêve fantasmatique d'un retour à un passé glorieux et paradisiaque.

    Pour l'affaire qui nous préoccupe tous, soit la disparition des États-Unis-d'Amérique (sous une forme ou une autre) et l'effondrement de l'économie monde, nous nous demandons tous si, dans les jours, semaines ou mois qui suivent, nous y assisterons et en vivrons la crise ultime ou si, une fois encore, par quelques décisions hasardeuse que ce soit, l'échéance en sera une fois encore ajournée.

    Ce sera pour nous une bien mauvaise nouvelle mais je n'y crois guère, au vrai je n'y crois pas du tout, mais sait-on jamais...

    La question est donc de savoir si nous entrons dans une phase de crise ultime ou si ce n'est que l'une des multiples crises secondaires que nous avons déjà vécu par le passé, à n'en pas douter les U.S.A. ne sont plus, maintenant, la puissance d'empire qu'ils ont pu représenter et le moindre amoindrissement de leurs capacités en diminuera encore d'autant leur domination, la surproduction délirante de dollar, livre sterling, yen et euro a fragilisé les américains à l’excès (plus que les européens ou les japonais, me semble-t-il, du-moins), Wall Street est monté jusqu'à des hauteurs infinies sans qu'une réelle efficience économique puisse en être la raison, tout au contraire, l'élection par deux fois de Bush fils et surtout la perpétuation, pendant huit ans, de l'équipe de loufoques dangereux gravitant autour de lui ne peut qu'avoir gravement affaiblit leur armée parce que l'homme compétent, surtout haut gradé, se révolte toujours contre les crétins et que les incompétents ne supportent pas plus intelligents qu'eux sauf quand ils peuvent les écraser (plusieurs officiers de haut rang furent mis à la retraite d'office), leurs industries sont exsangues contrairement à ce qu'il peut s'en dire, l'Arabie Saoudite, l'Angleterre, le Japon, voire Israël et l'Union-Européenne prennent, à leur rythme, leur indépendance, le gaz et le pétrole de schiste ne paraît pas aussi avantageux que ce qui en est dit, la bulle des crédits aux étudiants d'aujourd'hui y ressemblent à la bulle des crédits immobiliers d'hier, la faim s'y propage, les amérindiens commencent à revendiquer leur terres autrefois spoliées preuve de la faiblesse de la gouvernance, ..., ...!

    Ce ne sont là que quelques et divers informations glanées ça et là en précisant que je ne suis pas anglophone.

    Mais la question de l'économie-monde est aussi d'importance, peut-elle perdurer à la chute de l'empire américain, d'autres pays, tel que la Chine, le Brésil, l'Inde et/ou la Russie peuvent-ils, veulent-ils prendre la relève de ce géant agonisant et  si oui sous quel risque, la puissance d'argent qu'est l'économie-monde va-t-elle réellement disparaître, jusqu'à quel taux les bourses mondiales baisseront-elles, les usines réparties un peu partout dans le monde pourront-elles écouler leurs stokes et à qui, le commerce international fonctionnera-t-il encore et à quel point, qu'en sera-t-il de la marine marchande, jusqu'où ira la réduction des vols commerciaux, combien d'avion survoleront le territoire américain, le nord de l'Atlantique, survoleront le monde, qu'en sera-t-il des pays ayant tout misé sur la monoculture, ..., ...?

    Les questions sont innombrables aussi nombreuses que celles concernant l'Europe et la France.

    Ainsi: l'euro va-t-il pouvoir survivre au dollar, l'Union-Européenne va-t-elle pouvoir survivre à l'effondrement de l'empire américain, comment le monde politique européen va-t-il réagir à la disparition de leur mentor et maître, comprendra-t-il réellement ce qu'il se passe, comment réagiront les peuples, ceux du sud, du nord, de l'est et de l'ouest, y aura-t-il une révolution et si oui, où, quel est l'état de l'industrie en France et en Europe, quelle est la réserve d'or de notre pays et de l'U.E., tous les pays européens ont-ils une production agricole suffisante pour vivre en autarcie en nourrissant tout le monde au moins pendant un an, quels sont les biens qui nous parviendrons encore puisque tant et tant ont été délocalisés parfois très loin, ..., ...?

    J'ai fait quelques réserves de produits d’entretien ainsi que de toilette et acheté trois batteries de téléphone en espérant que ma machine à laver, mon automobile ou mon réfrigérateur ne tomberont pas en panne, je n'ai pas de jardin mais ai accumulé quelques petites choses pouvant se revendre, c'est là le minimum que je me devais faire.

    Surtout, j'écris dans ce blog.

    Le reste ne dépend plus d'aucun d'entre nous, le reste ne dépend plus de qui que ce soit, les événements présents et futurs sont à ce point arrivés à un tel degré de complexités, d'irréversibilité que plus personne ne peut plus faire quoi que ce soit pour en renverser la vapeur que d'attendre et de se préparer.

    Ce sera lorsque ces forces puissamment destructrices de la crise ultime se mettront en branle que chacun d'entre nous se devra d'agir, suivant sa conscience, suivant son savoir, suivant ses capacités, suivant ses possibilités, ce sera le moment mais pas avant, sauf, bien sûr, les manifestations montrant que, tout de même, le peuple n'est plus un mouton.

    Si au moment de cette crise ultime là nos gouvernants ne prennent pas, en plus de la pleine mesure de la situation d'alors, toutes les décisions de sauvegarde du pays, la décision d'explorer par la justice les livres de comptes de toutes les banques et autres fonds d'investissement ruinés ou en difficultés économiques ainsi que de faire que nous puissions avoir de l'argent liquide en poche et de quoi payer les loyers, puis pendant les six mois suivant tout faire pour que reparte la machine économique, alors, si cela n'est pas fait ad minima et que la tentative ne perdure de nous égarer dans des palabres inutiles et sans fin pour des sujets futile comme le mariage pour tous, si cela n'est pas fait alors nous aurons à redouter des emportements, fureurs et frénésies inextinguibles.

    Déjà, il y a peu de temps des policiers italiens ont retiré leur casque en signe d'entente avec les manifestants, pour les militaires cela s'appelle mettre crosse en l'air.

    Messieurs, mesdames les socialistes, je vous en conjure, arrêtez vos simagrées inutiles de mariage pour tous et autres fadaises, nous n'avons pas à rembourser des dettes à des créanciers bientôt ruinés ou nationalisés, nous n'avons pas à obéir à une instance européenne n'ayant aucun lien avec des électeurs, à un Barroso, le pauvre, mais où l'avez-vous trouvé, celui-là?

    Obéir à Barroso, quelle dérision!

    Tout accord entre état à la valeur que chacun lui donne, surtout à propos de l'article 50: en quoi un état ne pourrait-il pas, lors d'une crise ultime ou même avant, décider de faire cavalier seul, un état n'est-il donc plus maître chez lui?

    Un peuple n'est-il plus maître chez lui?

    Est-ce l'éléphant ou le moustique qui résiste le mieux à la pression de l'homme, sont-ce les petites ou grandes structures qui résistent le mieux à une crise, surtout ultime?

    Avez-vous donc si peur d'un retour à la guerre mondiale européenne pour que vous nous liiez ainsi tant les pieds et les mains que vous nous conduisez inéluctablement vers une troisième guerre mondiale?

    Mais lisez donc Machiavel, il vous l'écrit, lui, ce que vaut un traité (dans l'idée): "Ne le respectez que tant que c'est à votre avantage!"

    C'est simple, non?




    THEURIC

  • Idée n°13): Les modèles historiques.

     A situations analogues, événements similaires, c'est dans cette similitude entre le présent de relation entre des peuples qui restent, quoi qu'il en soit, singuliers et le passé de relations entre d'autres peuples toujours existants ou disparus, qui, bien entendu, conservent la particularité temporelle de leurs développements et de leurs structures propres, sociales et technologiques, ainsi que les représentations symboliques évidemment anciennes que ces sociétés antérieures ont du monde que nous pouvons aller rechercher un modèle dynamique, bien qu'approximatif, nous permettant, par une approche empirique, de comprendre quels peuvent être les grandes lignes de l'évolution des relations entre sociétés présentes en les comparant aux relations géopolitiques et géostratégiques que les-dites sociétés anciennes avaient entretenues avec ses voisines.

    La recherche de modèle historique consiste donc à rechercher des corrélations entre les relations géopolitiques et géostratégiques anciennes et présente.

    Dès lors, un modèle historique, de ce seul domaine de l'empirisme, ne vaut que ce qu'il est : un modèle imprécis et relatif aidant à la compréhension du devenir en œuvre entre un moment présent et leurs développements futurs plausibles, possibles ou probables.

    C'est donc un outil à manier avec grande circonspection, d'autant plus que le choix de ce modèle peut se révéler compliqué, une situation présente doit-elle ou non donner lieu à une comparaison avec une époque passé et si oui, laquelle et pourquoi ?

    Nonobstant  la nécessité de cette prudence que nous devons tous avoir à l'esprit quand nous cherchons un modèle historique nous permettant de mieux rendre compte d'une situation présente lorsque nous avons de grandes difficultés à en comprendre les progressions historiques futures et, ce, en raison de la complexité de la dite progression, ce qui veut  dire que cette recherche de modèle historique ne peut être qu'un pis aller, nonobstant cette prudence nécessaire, trois points sont à remarquer dans les relations internationales actuelles :

    a) La similitude entre, d'un coté, les liens qui unissaient Rome et Grèce antique ainsi que leurs évolutions conjointes, et de l'autre ceux établis entre les États-Unis-d'Amérique et l'Union-Européenne ainsi que la façon avec laquelle les américains s'y sont pris pour prendre le contrôle de l'ouest-eurasiatique depuis la fin de la deuxième guerre mondiale et surtout l'achèvement des guerres d'indépendances coloniales, à mettre en parallèle avec la manière dont s'y était pris Rome pour conquérir la Grèce : tous deux n'ont fait que répondre par deux fois aux sollicitation d'une des partie placée en état de faiblesse (je fais la part lors de cette démonstration sur la deuxième guerre mondiale entre la prise de pouvoir économique américaine sur une Europe las de son histoire et les génocides perpétrés par les nazis, cette réflexion est d'un autre ordre, la nécessité devant laquelle se trouvait les américains à cette époque de renverser les pouvoirs de l'Allemagne nazi, l'Italie fasciste et celui militaire du Japon du fait de leurs crimes ne retire en rien la prise de contrôle de l'Europe par ceux-ci dû entre autre, il est vrai, à la complexe situation de la guerre froide venant après la deuxième guerre mondiale).

    Pour aller plus loin, la ressemblance frappante entre le sigle représentant le dollar $ et celui de  l'euro € avec sa barre surajoutée ne peut  qu'être troublante, aussi troublante que celle, en vérité, de la même barre traversant le L du sigle représentant la livre sterling £ du même dollar $, la seule différence se présentant dans l'identité de la lettre, £ pour livre, € pour euro, $ pour dollar, ce symbole américain, détaché du nom de sa monnaie, a un sens symbolique que j'ai peine à interpréter n'étant pas anglophone.

    b) Les relations entre l'Inde, le Japon, la Chine et les petits pays alentour d'aujourd'hui font montre, aussi, une certaine forme de symétrie avec celles qui prévalurent entre la France/l’Angleterre/Russie et l'Allemagne /l'Autriche-Hongrie et les états de moindre importance en périphérie d'avant 1914.

     Même sentiment d'encerclement de la part de la Chine à l'image de celui qui existait pour l'Allemagne/Autriche-Hongrie, même ressentiment d'un territoire perdue pour l'Inde après une guerre contre la Chine lors de l'achèvement de sa révolution politique (le Ladakh en 1959) que celle que mena la France contre la Prusse bientôt allemande qui lui fit perdre l'Alsace et la Lorraine en 1870, même relative jeunesse des systèmes politiques en Inde comme en Chine au regard de ceux qui étaient en place en France comme dans la jeune Allemagne, même contrepied économique, hier comme aujourd'hui, pour de même causes de modernisation technologique et industrielles suivit d'une mondialisation économique (bien que les formes et les causes en soient différentes), même transformation sociale et début de désertification des campagnes dans ces deux pays, enfin, dû aux bouleversements économiques, en Europe, hier, et en Asie aujourd'hui.

     c) Balkans/proche-orient, voilà encore une fois des similitudes pour le moins troublantes.

     La faiblesse de l'empire turque, le désir d'émancipation de peuples balkaniques, le jeu complexe des allemands, de l'Autriche-Hongrie, des anglais, des russes, des Français et, en Libye, des Italiens, les guerres d'indépendances que se livrèrent la ligue balkanique (Monténégro, Bulgarie, Serbie et Grèce) contre les turques puis la guerre serbo-bulgare et les tensions qui perdurèrent furent les détonateurs de ce qui deviendra la première guerre mondiale suivit de la seconde vingt ans plus tard.

     Bien que les origines en soient autres, les questions géostratégiques d'hier ayant, pour partie, laissées la place à celles du pétrole, la déstabilisation du Proche-Orient par les américains lors de leur attaque de l'Irak, pays déjà bien déstabilisé depuis sa défaite au Koweït, la guerre civile en Syrie, la faiblesse patente des U.S.A. (aussi que de la France et de la Russie) lors de la crise des gaz de combats il y a quelque mois dans ce même pays, l'affaiblissement de l’Égypte dû à sa révolution démocratique en cours, les gesticulations d'Israël en raison de cette faiblesse U.S. qui lui fait perdre toute circonspection, les jeux troubles de l'Arabie Saoudite et du Qatar dans leurs triples craintes d'un pétrole en début (?) de fin de réserves, de mouvements de démocratisations des peuples arabes et d'un Islam en déshérence face à la modernité, les tensions en début de développement entre la Turquie et l'Iran nous montrent deux régions charnières, la première, passée, entre l'Europe et l'Asie, la seconde, présente, entre l'Asie, l'Europe et l'Afrique en situation de grandes perturbations, là en 1914, ici à l'orée de 2014.


    THEURIC

     

  • La marche du temps!

    En chaque chose et événement se confronte l'important et l'apparence.

    Le premier est ce qui fait signe du futur, le second représente les informations n'ayant juste que l'utilité de l'immédiat, voire simplement l'interprétation erronée d'une situation.

    Nous vivons une période d'accélération constante, non pas tant des péripéties et circonstances en elles-mêmes, mais de l'évolution conjointe des états d'âmes collectifs et des déséquilibres économiques.

    Là se cache le soubassement véritable du dynamisme du monde, là se trouve la réalité humaine d'aujourd'hui.

    De fait, notre développement mental a subit un coup d'arrêt depuis environ soixante-dix ans, ce coup d'arrêt fut général à l'ensemble de l'humanité.

    Ce qui ne nous a pas empêché de déployer une technologie hors commune mesure avec ce qui avait pu se créer aux temps anciens.

    Ce qui n'a pas empêché, non plus, que des peuples prennent leur indépendance, ce qui n'a pas empêché bien des passions, des cris, des larmes et des souffrances, mais quoi qu'il en soit l'humanité est resté tout ce temps figé en lui-même.

    Mais les faits sont têtus: les immenses découvertes que nos aïeux firent avec des moyens dérisoires sont ô combien plus grandioses que celles qui se sont faites depuis les années quarante.

    Ce frein historique aux causes multiples, dont la principale vient de la confrontation d'un Janus fait de deux frères ennemis, deux unions, deux démocraties, populaire et libérale (dont nous étions le centre), l'U.R.S.S. et les U.S.A. qui avait envahi le monde.

    Janus en un rêve édénique du bonheur éternel d'une économie commune pour l'un, une économie libérale pour l'autre: la mise en commun et le particulier, le collectif et l'individuel, deux des traits les plus profonds de la psychologie humaine.

    C'est cette scission psychotique qui prend fin, scission qui, en vrai, avait déjà pris fin depuis 1991 avec la disparition de l'U.R.S.S., les U.S.A. ne survivant que grâce aux crédits dont ils s'étaient pourvu par un dollar devenu valeur de réserve mondiale.

    Nous n'avons eu deux décennies de répit qu'en raison de ce florilège de crédits.

    Et cela s'achève, se termine.

    Demain.

    Demain sera de deux périodes:

    D'abord cette fantastique entrave, en rompant, déversera sa formidable énergie psychique au cœur même de l'esprit des hommes, là sera la résurgence des passions anciennes qui nous entrainèrent, nous, européens, aussi que des japonais se voulant plus Occident qu'Orient, dans deux conflagrations dont le monde ne put que suivre.

    C'est là, en son centre, qu'en trente ans c'est scindé l'humanité.

    Et ce sera, dès lors, d'avant cette double explosion guerrières que nous retrouverons, que nous retrouvons déjà une unité mentale n'empêchant en rien toutes les folies et les affres de la violence.

    C'est ce d'abord là qui me fait craindre le pire du premier temps.

    Et combien ailleurs rêvent tant d'Europe qu'ils en viendraient à en copier les pires de nos défauts passés, les pires de nos dérives?

    Nous pouvons en percevoir les débuts en persistantes tensions dans ce si haut Himalaya, rochers vertigineux aux dédales de vallées dont l'intérêt n'est là que des frustrations passés pour des bouts de roches aux valeurs succinctes.

    En vrai, ce seront les ressources que chacun cherchera pour lui-même, le manque fut de toujours l'énergie de l'action.

    Aussi pourrions-nous voir ressurgir les terribles frénésies dont nos anciens émaillèrent de tant de turpitudes l'histoire européenne si, encore et toujours, se perpétuent, par nombre de chefs de gouvernements d'ici et d'ailleurs, ces actions malencontreuses et parfois pervers qui, déjà, fait s'ébrouer d’excitation les peuples de l'ouest eurasiatique.

    Des plus folles des sociétés, les pires sont celles d'Europe, et déjà son union en agasse les nations, fous et inconscients qu'ils sont, pauvres inconséquents.

    Ensuite.

    Ensuite le génie humain reprendra ses droits et nous nous émanciperons enfin du berceau de l'humanité: la Terre.

    Notre humanité commencera alors son existence d'adulte en une longue existence de voyages et de découvertes.

    N'oubliez pas, l’Éden existe mais seulement pour neuf mois,  après commence, non pas l'enfer, mais la vie, tout bonnement la vie.

     

    THEURIC

     

     

  • Seconds aphorismes.

    Voici le second de mes trois séries d'aphorismes, celui-ci écrit en Mai 2015.

    Je vais, comme pour le premier, aller voir si des coquilles ou des imprécisions ne s'y cacheraient pas.

    A l'époque ce fut un exercices intéressant qu'il me faudra un jour reprendre.

    Tiens, je vais même tenter d'en recomposer quelques-uns.

    Le tout premier de cette série est l'un de ceux qui m'amuse le plus parce qu'il fait P1020261.JPGécho à lui-même.

    Pour le troisième, vous attendrez un peu.

    Bonne lecture.

     

     

    L'aphorisme est le pari stupide et impossible consistant à tenter d'en dire autant sinon plus dans une courte phrase ou un minuscule paragraphe que dans un livre de plus de deux cents pages.

    Les idées contemporaines sont comme les plats en boite vendus dans les grands magasins: elles ne sont pas cher, elles ne sont pas bonnes et ont toutes le même goût, à de rares exceptions près, mais dans ce cas là, quel extase.

    Ce n'est pas l'ignorance qui est grave, ce qui est grave c'est de vouloir rester ignorant!

    Ce n'est pas l'erreur qui est grave, ce qui est grave c'est de vouloir rester dans l'erreur!

    Un empire est ce qu'il est et agit en tant que tel, il est possible de lui reprocher n'importe quoi, sauf cela; la première chose que toute nation colonisée doit faire c'est d'extirper en elle le verni culturel du colonisateur, ensuite l'intendance suivra.

    Le seul et réel ennemi d'un empire c'est lui-même; quand son élite commence à P1020228.JPGcoloniser son propre peuple en le paupérisant, c'est que sa fin est proche.

    Connaissance, croyance et foi sont tous trois différents, les confondre c'est s'égarer.

    La foi est un sens nous donnant le sentiment de l'infinité de l'univers qui, parfois, se fait appelé Dieu.

    Il y a Moi, ma Famille, ma Société, mon Espèce, comprendre l'un permet de comprendre les trois autres et ainsi de faire cesser leurs chamailleries.

    Tout projet de destruction provient de la fascination qu'exerce sa propre annihilation, c'est cela le mal.

    En été tout les français savent que nous avons deux heures de décalage avec l'heure solaire et qu'en hivers nous n'en avons plus qu'une heure, et ce, pour cette dernière restante, parce que nous vivons toujours sous les horaires allemands, nazis et vichystes depuis 1940, ceci expliquant peut-être cela.

    Connaître le passé permet de comprendre le présent et de percevoir le futur; rendre, pour la population, incompréhensible l'histoire rejaillira toujours contre ceux qui en furent les promoteurs et/ou sur leurs descendances, il en est de même d'y raconter des mensonges sur un fait capital.

    La meilleurs façon d'être heureux c'est de ne pas être malheureux, parce que le bonheur n'est pas un fait mais un état, mental et métabolique et dès lors physique.

    Lorsqu'une catastrophe inévitable va survenir, il n'est plus de solution que de s'y P1020262.JPGpréparer, ignorer son avènement en doublera ses effets par la surprise que cela génèrera, en nier sa survenue sera pire encore puisque celui qui en réfute le commencement en niera ensuite toujours le fait, quand bien même cette catastrophe serait déjà pleinement là.

    Les puissances marchandes font ce qu'elles savent faire, elles marchandent, c'est de ne pas avoir compris cela que nous en sommes arrivés là où nous en sommes.

    Nous savons tous ce que nous sommes mais savons-nous qui nous sommes?

    Qu'y a-t-il de philosophiquement plus beau que le brin d'herbe poussant au milieux de l’asphalte?

    Légaliser le hachich comme le proposent certains laudateurs, pourquoi pas, les gouvernements ont toujours besoin de citoyens imbéciles et sans mémoire, il est ainsi plus facile de les manipuler.

    Nos sens sont limités, certes, mais l'interprétation de ce que nous percevons aussi, nous ne sommes pas sorti de l'auberge entre l'apparence du monde que nous donnent nos sens et celle de ce que nous en concevons.

    Quand une idéologie en arrive à sa fin, ses porteurs tendent à une violence accrue à mesure que cette idéologie s'effiloche, comme aujourd'hui en France, en Europe et aux U.S.A.; cela devait faire depuis longtemps que l'idéologie communiste s'était effilochée en U.R.S.S., 1991 n'en ayant été que la ponctuation.

    En vrai, nous voudrions tous cheminer vers la sagesse mais cela ne peut que se faireP1020268.JPG qu'en bon ordre: d'abord nous sommes adeptes aux opinions simplistes, comme il en est pour la majorité de l'humanité, ensuite nos conceptions du monde deviennent complexes, ainsi devenons-nous savants, puis, enfin, nous abordons la simplicité de notre compréhension des principes universels, c'est cela être un sage, mais ils sont bien rares et je ne pense pas être tel.

    Depuis que la vie existe sur Terre, les catastrophes ont traversées le monde, notre cerveau s'est, entre autre, bâti au fil des ères pour s'y adapter, quand le bien-être fait société, le cerveau, le corps des êtres humains s'ennuient; jusqu'à quel point la catastrophe économique universelle qui vient ne proviendrait-elle pas de cela?

    Rien ne se fini, rien n'est achevé, tout est en devenir!

    Tout juste avons nous eu le temps de nous adapter à la société d'agriculteur-éleveur que, déjà, nous devons la quitter: qu'est-ce donc que quinze milles ans pour une espèce?

    Je ne comprends toujours pas quel est l'utilité d'avoir une fortune telle qu'une grande proportion est improductive et ne sert qu'à gonfler ce capital, paraît-il que ça s'appelle le faire fructifier; fructifier du superflu ne serait-il pas vain?

    P1020268.JPGLes premiers racistes ne seraient-ils pas ceux qui, de part leur immense fortune, appauvrissent les peuples, soit la large majorité de l'humanité, nous, en ne considérant pas ceux-ci comme faisant parti du genre humain, c'est à dire eux?

    L'une des origines de l'intelligence, c'est le degré d'attention que l'être vivant porte sur le monde, ainsi Homo Sapiens Sapiens a-t-il un degré d'attention au-dessus de tous les animaux, ce n'est pas pour cela qu'il s'évite d'être bête et bestial, que voulez-vous, on ne se refait pas...

    En France, le peuple n'aime pas être trahi par leur gouvernement, ça l'agace, 1789 nous le montra, cycliquement, le pouvoir politique glisse sur cette pente savonneuse, la politique rendrait-elle certains masochistes?

    Lorsque quelqu'un ne se laisse guider, pour ses décisions et actions, que par son seul dogme, toujours cela le conduira à la catastrophe, mais il pensera à chaque fois que ces catastrophes ne surviennent que parce qu'il n'a pas su suivre suffisamment correctement ses préceptes.

    Parfois rien n'est plus douloureux que d'entendre quelqu'un d'autre décrire la réalité et de le comprendre.

    Une croyance n'est que relative à elle-même, il est toujours possible de croire l'inverse, mais ainsi s’annihileraient-elles l'une l'autre.P1020164.JPG

    Sans intelligence il ne saurait y avoir de conscience, sans conscience il ne saurait y avoir de pensée, sans pensée il ne saurait y avoir de raison, et dire que c'est notre inconscient qui guiderait tout ça.

    L'aventure nous l'attendons mais nous la craignons aussi, ceci expliquant peut-être cela.

    La patience c'est bien, encore faut-il savoir de quoi nous nous patientons: l'attente sans but est dérisoire.

    La plus belle des élégances ne se combine pas.

    Il y a mieux que de se sauver d'un danger, le prévoir.

    Il y a-t-il de la justesse dans la justice et de la justice dans la justesse?

    Le hasard existe, sinon le photon ne serait pas en même temps onde et corpuscule.

    Tout dictateur et toute oligarchie oublient une toute petite chose: ils sont mortels.

    La gentillesse est une belle et douce douleur.

    Le plus beau cadeau de la vie c'est son écho.

    P1020267.JPGla différence entre le christianisme et le bouddhisme? Le premier est de passion, le second de compassion.

    L'insatisfaction n'est qu'un long ennui.

    Faut-il ne pas aimer sa mère que de vouloir brusquer et injurier une femme plutôt que de lui sourire?

    Le savoir n'a de valeur que quand on en fait usage.

    Nous sommes tous double entre Soi et les Autres, entre les deux il y a le narcissisme et l'égo.

    Je préfère la recherche de la compréhension de la réalité à la croyance, la première ne se suffit pas d'une vie, la seconde apaise de sa satisfaction de répondre à toutes les questions desquelles nous n'avons plus à nous poser.

     

     

    THEURICP1020264.JPG

  • Les choses de l'esprit: l'agoraphobie.

    Si je traite de ce sujet maintenant c'est en raison de mon sentiment d'urgence que vous comprendrez, que de sortir de chez-vous puisse vous causer quelques douleur ou non.

    Ayant remis le texte que je vous promettais à plus tard.

     

    Tel que j'avais pu vous l'exposer  le 27 Avril au sujet de notre déconfinement, nous sommes, plus ou moins, naturellement envahis par des angoisses à l'idée de retourner dehors après environ deux mois d'être resté chez-soi.

    Hier matin je suis allé marcher au marché et, quelques temps auparavant, j'ai senti une tension, une inquiétude due au fait que, justement, j'allais sortir de chez-moi.

    Puis, lors de cette réflexion me posant, si je puis dire, ce diagnostique, j'ai pressenti que je ne devais pas être le seul dans ce cas, loin de là.P1030007.JPG

    Ce phénomène, je l'ai dit, est naturel, ceci d'autant plus d'une pandémie que l'on nous dit, dans les médiats, sûrement récidivante, ce que nombre de professionnels contestent, en un seul exemple où vous y comprendrez l'historique de notre confinement;

    Nous nous retrouvons, de fait, tout autant à percevoir plus ou moins intuitivement que notre monde dedans lequel nous vivions il y a encore peu de temps en vient à vaciller gravement, nous qui le sentions déjà en phase de délitement avant même l'advenue du SRAS-COV-2, que bien que nous ne connaissons que celui-là nous en venions à le détester, ressentant qu'il ne pourra pas perdurer encore longtemps, sans que nous sachions de quoi notre futur sera fait réellement.

    Or, d'une certaine manière, quittant ce mode honni mais reconnu, de nous retrouver confiné, nous nous sentions ainsi en sécurité cloîtrés chez-nous de ne pas voir ainsi notre univers se chambouler, en une sécurité illusoire, j'en conviens, mais rassurante.

    Cela étant accru par lesdits médiats et, au travers d'eux, l'oligarchie strato-financière qui les détient, ainsi que du gouvernement, qui n'eurent que de cesse d'accroître notre frayeur pour que la majorité d'entre-nous reste le plus longtemps possible chez-eux.

    La raison en est simple à comprendre: du fait de leur immense impéritie lors de cette crise sanitaire, de ce que la plupart des français a plus que du ressentiment à son égard, ce qu'Emmanuel Todd a compris, faire de manière à ce que son plus grand nombre de gens ne sorte pas de son habitation,  tout en tentant de faire P1030281.JPGrepartir la machinerie économique, leur est devenu leur enjeu majeur du moment.

    Ceci en prolongeant l'effroi populaire en cette épidémie.

    Souvenez-vous de ce que je vous avais exposé par le passé, toute soumission est la résultante de la double activation complexe de ces deux émotions primaires que sont la colère et la peur se retrouvant en relation confrontante de blocage et dès lors d'obéissance, ce qui fait que ladite soumission tombe quand ces alarmes ne sont plus en relation de conflictualité paralysante ou que l'une ou l'autre disparaît.

    Mais au-delà de cette tentative de manipulation dans le but chimérique de nous asservir dans leur crainte que nous nous révoltions, reste toutefois la question de nos craintes légitimes en un bouleversement sociétal d'importance.

    il est à envisager qu'infiniment plus encore que les exactions policières envers le mouvement populaire des gilettistes et des divers manifestants, soignants venant en réaction à l'appauvrissement du système de santé, dont des hôpitaux, ainsi que du projet de réforme des retraites, de la tendance totalitaire du gouvernement français et de l'oligarchie, l'ensemble des ministères européens ne purent qu'être horrifiée par l'incompétent amateurisme dont notre gouvernement fit preuve lors de cette crise sanitaire.

    Il est même possible que tous, d'une manière ou d'une autre, envisagent de seP1020775.JPG défaire de l'union, voyant que la France tend, désormais, à les attirer vers le fond de la faillite généralisée en raison de l'incompétence grandissante, foncière, de son gouvernement et de son président.

    Qui sait quelle bévue feront-ils encore?

    Telle est la question ne pouvant que se poser un  petit peu partout dans le monde mais, surtout, en UE.

    Je me demande même si, ayant fait une relative erreur dans mes considérations, même l'Allemagne n'aurait pas décidé, possiblement avant le début de cette crise, de se retirer de l'UE.

    L'idée de la double disparition de l'Union-Européenne/euro et des Etats-Unis-d'Amérique est, par essence, angoissante, parce que cela représente un chamboulement sociétal de première importance, c'est pourquoi tant de monde dans ces mêmes médiats, mais aussi sur le WEB, n'évoque jamais l'existence même de l'union.

    Les effets des décisions du pouvoir exécutif, mais aussi législatif français, que chacun soit pour ou contre celle-ci, ne pouvant que conduire de fait, à terme, à sa disparition.

    Dès lors, il est logique de penser que, en même temps que de ne même pas citer son nom marque une façon de la protéger en la cachant, cela signe aussi, et peut-être surtout, un comportement d'évitement provenant d'un tourment majeur, plus ou moins inconscient, de concevoir la disparition de l'UE€, et dès lors de se protéger de P1020873.JPGce futur choc.

    A tout cela, l'évidence de problèmes économiques liés à ce confinement de plus de la moitié de la population mondiale mène aussi à une toute autant intense anxiété.

    Pouvant aller jusqu'à l'arrêt du fonctionnement de l'économie-monde purement et simplement, ce que, là encore, nombre de personnes ressent, ne sachant, de plus, jusqu'où tout cela pourrait aller.

    Alors, de ces futurs chamboulements sociaux, politiques, économiques, de ce vers quoi la société va et que nous ignorons tous, s'il c'y rajoute des faiblesses psychologiques personnelles, ce qui m'a mené à ma solitude d'aujourd'hui, qu'une forme ou une autre d'agoraphobie, soit la peur des milieux ouverts et/ou du grand monde autour de soi, soit présente, plus ou moins fortement suivant chacun, ne peut ni ne doit nous surprendre.

    Et la meilleurs façon de s'en soigner c'est de la comprendre, d'en saisir les origines au cas par cas, d'en être conscient, et, si ce phénomène est puissant, de s'en désensibiliser progressivement en se forçant à sortir de plus en plus longuement et, pour les cas les plus graves, de commencer par l'imaginer de chez soi avant de faire le premier saut dehors.

    De ne pas repousser, de plus, les émotions, images mentales, chanson, mot ou expressions venant à l'esprit, puisque ce sont eux qui guideront ceux en souffrant ainsi, ces remontés mnésiques en  appelant à être décryptés.

    La vie n'est pas un rêve éveillé baigné de douceur, elle est telle qu'en elle-même, gracieuse parfois, âpre ou terrible aussi.P1030668.JPG

    Nos sociétés humaines sont en pleine mutation, elles ont évolué, certes, mais la nôtre d'évolution de chacun d'entre-nous nous mène a des difficulté, nous nous retrouvons à ne pas vraiment être adaptés à la société que nous avons nous-mêmes bâtie: nous sommes toujours autant chasseurs-cueilleurs, cultivateurs-éleveurs que d'une modernité que nous peinons de suivre.

    Ceci accompagné par un égarement de notre identité qui amplifie nos incompréhensions de ladite mutation, thème que vous retrouverez plus loin sur mon blog.

    C'est pourquoi s'agitent en nous des forces inconscientes que nous avons des difficultés à définir: cela parce qu'il nous faut faire un pas en arrière pour que nous recommencions d'aller résolument vers l'avant.

    Et si nous nous retrouvâmes en nos logements c'est bien parce que ces forces inconscientes firent émerger un archétype de notre inconscient collectif similaire pour tous les peuples de la terre affin que nous nous retrouvions nous- même en nous-même.

    Le monde change comme il se dit, cela est vrai, tout comme il peut en être pour nous, mais bien fou celui qui pourrait dire comment cela se fera, c'est çà qui P1030271.JPGangoisse, alors préparons-nous au moins à l'imprévisible, à nous y adapter.

     

     

    THEURIC

  • Le début du basculement: la rupture.

    Nous sommes entrés dans le basculement des sociétés des hommes, la disparition prochaine des U.S.A. et l'effondrement de l'économie-monde en seront le déclenchement véritable.

    Ce basculement sera certes rapide mais d'une rapidité se comprenant sur une période qui s'étendra sur des décennies.

    Ce basculement sera la mutation profonde de notre humanité, la plus profonde, la plus essentielle que notre humanité ait vécu depuis qu'elle est telle.

    Mais ce basculement ne se fera pas sans que les vertigineuses forces qui sont tapis dans les sombres recoins de notre esprit ne nous poussent aux plus exécrables et destructrices des folies.

    Aujourd'hui nous n'en sommes juste qu'aux prémisses, c'est cela qui fait l'objet de ce texte, c'est pourquoi son sujet premier en sera la rupture.

    Rupture du passé n'ayant plus de raison d'être, mais rupture seulement, pas en lien avec un avenir pas encore en germe, le germe du futur, le basculement.

    Que ceux considérant que je suis trop pessimiste soient rassurés, je ne le suis pas, pas plus que je ne peut être optimiste, à quoi cela me servirait-il?

    Il me paraît plus important d'essayer d'analyser au mieux les dynamismes historiques en cours en ne penchant ni d'un coté, ni de l'autre.

    Comment voulez-vous sinon que chacun puisse se faire son idée?

    Ce qui est en train d'éclater ce sont les infinis déséquilibres mondiaux, sociaux, économiques, politiques, qui rompent les uns après les autres comme peut se rompre un barrage, d'abord pierre après pierre, puis l'eau, entrainant d'un coup le reste de la retenue, se déverse en une déferlante impétueuse et sauvage, fracassant et détruisant tout en contrebas.

    Aujourd'hui, contrairement à ce qu'il peut se dire çà et là, la baisse du prix du pétrole, même après sa rapide et timide remonté ( graph_oil.php ), montre et démontre à ravir la désindustrialisation rapide du monde et non pas de présupposé jeux spéculatifs provenant de la volonté étasunienne de ruiner la Russie, ou de celui des saoudiens déterminés à anéantir l'empire U.S..

    Peut-être l'un ou l'autre, voire l'un et l'autre, n'auraient-ils fait qu'accélérer ce processus, en brusquer l'avènement par des plans sans réelle vision, même à court terme, mais ces déséquilibres sont à ce point faramineux que, même sans le moindre incident, ces mécanismes de délitement se seraient activés.

    Les transports internationaux commencent à souffrir de cette désindustrialisation, maritime d'abord, celui des conteneurs, l'aérien suivant bientôt.

    Les monnaies ne sont pas reste et la valeur et valorisation de chacune ne dépend plus d'une réalité économique d'aucune sorte, tant en fut produite plus qu'à profusion, mais à quelques caprices spéculatrice dont personne, en vrai, ne peut connaître les raisons, même les spéculateurs.

    Les bourses aussi sont dans un état lamentable et, à l'image des monnaies, ne sont plus le reflet de la nature des entreprises d'une région, d'un pays, d'un continent, mais de celle de cette masse monétaire incommensurablement engendrée en une prolifération débilitante, à croire que la seule industrie encore vaillante ce sont les rotatives des banques centrales.

    Bourses montées aujourd'hui plus haut encore que le ciel par de seules manœuvres chimériques faisant croire richesse une montagne d'un argent électronique n'existant que parce que chacun d'entre-nous veut croire que cela veuille dire autre chose que: ça ne vaut rien!

    Mais il n'est pas que de la seule économie dont nous pouvons contempler ce début de désagrégation.

    En politique également nous pouvons voir cette rupture en œuvre.

    Passons rapidement sur les différentes élections dans les pays sud-américains qui virent, depuis maintenant des années, y devenir chef de gouvernement de divers états des personnalités n'étant plus en rien inféodé aux dictats U.S., démontrant par là même la terrible faiblesse des États-Unis-d'Amérique.

    Tout autant, ne nous attardons pas sur le désengagement des pays dits B.R.I.C.A. (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) du dollar et de leur soutient inconditionnel les uns des autres (tant que les U.S.A. resteront un danger), cela pour réduire autant que faire se peut les effets délétères des gesticulations dangereuses de Tonton Sam égalant son manque de prudence et de subtilité.

    Non, pour moi, le fait le plus marquant démontrant cette faiblesse fut la visite que Monsieur Hollande et Madame Merkel rendirent à Monsieur Poutine, qui aboutit à l'accord Minsk 2 pour une paix en Ukraine, en opposition marquée avec les multiples prédispositions des U.S.A. et de l'équipe de Monsieur Obama pour une monté en puissance du conflit civile ukrainien, voire leur tendance sinistre pour développer des querelles avec la Russie.

    Peut-être également y eut-il lieu des échanges au sujet de la Grèce, ce qui ne serait pas pour me surprendre.

    Sachant le besoin crucial des U.S.A. de conserver à sa botte une Union-Européenne qui, comme a pu l'affirmer Monsieur Sapir, est, avec sa monnaie, l'euro, la dernière protection du dollar contre les spéculateurs.

    Ceci expliquant cela, connaissant l'étroite connexion entre l'empire U.S. et l'U.E., cette dernière et sa monnaie ne pouvant survivre sans l'existence de son maître, nous pouvons comprendre les raisons de cette violence économique qui s'abat avec fureur, aujourd'hui sur la tête des grecs, demain sur n'importe quel autre peuple: les dirigeants de notre union ont parfaitement compris que leurs jours sont comptés et suivent le même compte-à-rebours que leur seigneur outre-atlantique, que faire survivre encore quelque temps les banques, assurances et fonds spéculatifs c'est les faire perdurer encore un peu.

    Parce que aussi et également, paradoxalement, aujourd'hui, si l'Union-Européenne lâche, les États-Unis disparaissent.

    Ce contre quoi aucun gouvernement d'un quelconque pays européen ne peut, pour l'instant, économiquement lutter, quand bien même s'appellerait-il Allemagne ou France, même si ces deux puissances indépassables se sont alliées et même si ils ont osé prendre des décisions politiques et diplomatiques.

    Ceci explique également les reculades passées de l'Autriche et de la Hongrie.

    L'histoire a toujours montré qu'une idéologie finissante, grandement partagé par les élites, tend toujours à la monté de sa violence, de sa dangerosité et de son autodestruction, au même rythme qu'elle décline.

    C'est pourquoi, également, les discours sur Monsieur Poutine et l'Ukraine tendent à se scinder de plus en plus entre les médiats publiques (la 2) et ceux du privé: cette mince fissure, encore qu'entrouverte, montre également l'éreintement, l'affaiblissement de cette redoutable ploutocratie dont il est inutile de prononcer le nom de ses représentants tant ils sont visibles, connus et ne sont, en vrai, que de pauvres et ridicules radoteurs de ces mêmes vieilles, sottes et ruineuses sornettes.

    Mais que ce soit au niveau politique ou économique, ce qu'il se passe actuellement n'aura que peu d'incidence dans le futur, hormis, bien sûr, du rapprochement franco-allemand et celui de ce couple d'avec les russes, auquel il faut, bien entendu, rajouter la Grande-Bretagne et son suivisme maladif de l'empire U.S., éloignant encore plus le Royaume-Uni de cet émancipation politique progressive que prend chaque pays de l'union, pour le meilleurs et parfois le pire.

    Le gouvernement d'Angleterre, en de ces ironies que l'histoire aime bien échafauder, risquant de devenir le dernier pays europhile de l'Union-Européenne.

    C'est pourquoi je crains tellement une ruine catastrophique pour une Albion tellement vidée de ses entreprises et de son agriculture, lorsque cette rupture, cet effondrement de l'économie-monde s'abattra sur nous.

    Ce qui disparaîtra également, ce qui disparaît déjà, c'est l'idéologie néolibérale, ce dogme mortifère faisant de l'argent la seule balance mesurant la valeur de toutes choses, qui sut phagocyter jusqu'à la moindre parcelle de sensibilité, par la publicité, notamment, ce viole immonde des consciences, ou par la divulgation d'un art vulgaire et niais, tel que le rap, et qui, en politique, sait si bien s'acoquiner avec les discours les plus creux et les personnalités les plus viles.

    Ce qui est important, en revanche, pour l'avenir, c'est ce qu'il se passe sociologiquement chez chacun des peuples de l'Union-Européenne qui, à son rythme propre, tend à reconstituer une identité devenue indistincte et confuse, malade d'une propagande continuelle datant d'il a des décennies, des exigences folles et dispendieuses de l'U.E. et d'une société marchande néolibérale internationale matraquant continuellement son dogme de telle sorte que chacun en avait perdu son sentiment d'être de sa société, d'être citoyen.

    Parce que tout cela, les populations en avaient perdu toute raison d'être Soi, en avait perdu toute identité.

    (Comment voulez-vous que des gamins paumés puissent se construire dans une telle société où même les élites, pour une large part ignorantes, ne savent même pas ce qu'elles sont et, pire, qui elle sont, tellement elles se haïssent de se vouloir et ne pas pouvoir être Américaines.)

    Maintenant, c'est cela qui revient: l'identité.

    En France ce retour fut tempétueux, farouche, même, lors des attentats qui eurent lieu en Janvier et qui firent vingt morts (j'en avais écrit quinze dans des textes précédents, pardonnez-moi de cette erreur), les dix-sept personnes assassinés et les trois kamikazes.

    Ce fut une explosion identitaire de la classe-moyenne blanche éduquée, ceux qui par dérision furent surnommés bobos, ceux qui, dans très peu de temps, remplaceront cette caste lessivée qui, depuis le milieu des années 70, a gouverné le pays et l'Europe.

    Ce retour d'identité s'exprimera bientôt, comme je l'ai déjà noté, par le retour du fait religieux suivant les antécédents majoritaires dans chaque pays, catholique en France, par exemple.

    Ce retour d'identité s'accompagnera également, paradoxalement, de cette sorte de renvoi sociologique à une époque antérieure que j'ai appelé rétrogression, comme une reprise en main des peuples qui, pendant un siècle, se sont égaré dans le labyrinthe tumultueux des idéologies économiques, l'économisme dogmatique, et qui aujourd'hui ont un immense besoin de poser enfin leurs deux pieds sur un sol solide, même si son essence est quasiment ancestrales.

    Cette rupture commencera par ce retour à des valeurs anciennes, surannées, il ne pourrait en être autrement, tous, nous sommes bien trop meurtris de ne plus savoir, en vrai, qui nous sommes du pays qui fait nôtre.

    Industriel, commercial, monétaire, boursier mais surtout idéologique, avec, central, la dernière utopie encore vivante: l'américanolâtrie, c'est tout ça qui, déjà, s'effrite devant nos yeux et qui, quand ça se sera abattu par les incommensurables forces des contradictions accumulées, sera balayé par cette lame titanesque que sont les incohérences misent en place par l'oligarchie nationale, européenne, étasunienne et mondiale.

    Ne restera, alors,  que l'immense vide laissé par cette déferlante, qui se comblera de lui-même du meilleurs comme du pire.

    Parce que la rupture n'est que le tout début de ce basculement et que nous ne sommes qu'au tout début de cette rupture, nous devons comprendre au mieux tous les dynamismes en jeu, en rester conscient, il n'y a que cela à faire mais c'est d'une importance vitale: "Qui observe transforme!".

     

     

     

    THEURIC

     

  • C'est parti mon Kiki!

    C'est parti mon Kiki!

    Allez, vas, le titre de ce billet n'a que de but de montrer que les instabilités tant politiques qu'économiques tendent à s'accentuer plus encore que part le passé.

    Nous, français et européens, n'avons qu'un seul intérêt dans cette histoire: que se passe-t-il et qu'arrivera-t-il dans le futur, le reste ne nous concerne, pour le moment, que parce que c'est toute l'humanité, notre humanité d'Être Humain, qui est également concerné.

    Dans combien de temps ces instabilités deviendront-elles telles (comme Guillaume, hi, hi, hi) que tout le système économique globalisé s'effondrera?

    Je pense qu'il est impossible pour quiconque de le dire.

    En revanche, de poser un certains nombre de suppositions en faisant de manière d'être au plus proche de la réalité des faits, mais aussi d'en prévoir l'évolution du  possible au probable est réalisable.

    Certes, comme d'habitude il s'agit d'un survol, d'autant que, je l'avoue, je fais beaucoup d'extrapolations, ce qui, ma foi, a donné, dans l'ensemble, d'assez bons résultats.P1010499.JPG

    Intuitivement je sens que nous arrivons à une bifurcation, quelque chose comme un long virage qui se resserre de plus en plus à certains moments, plutôt que d'une ligne droite avec un virage au bout, suivit d'une nouvelle ligne droite.

    Phénomène accompagné d'une accélération.

    Du-moins est-ce l'image que j'en ai.

    Depuis son élection, Monsieur Trump, quoi que nous pensions de lui, de ses décisions dedans et hors de son pays, rebat les cartes, ce qui ne peut que mener à une redéfinition des situations qui prévalaient il y a un an seulement, que ce soit aux U.S.A., dans l'U.E., en France et à l'international.

    Il est vrai que les gesticulation de notre petit, petit, petit, petit empereur national, j'ai nommé Emmanuel Macron, a également un peu perturbé son monde, il l'a surtout agacé.

    Il a particulièrement engendré, de par ses décisions et tocades, un déséquilibre en France qui peut, désormais, dégénéré à n'importe quel moment et, ce, pour un événement important ou futile: la population en ayant plus qu'assez des dispositions de l'Union-Européenne et de l'oligarchie que lui et son équipe suivent et, parfois, anticipent, avec l'empressement digne d'obséquieux petits chefs de services.

    Je me demande encore une fois s'il ne fut pas choisi en raison,  justement, de sa forte tendance naturelle à la médiocrité.

    Bien qu'il soit tout autant possible de nous interroger sur la médiocrité constitutive de ceux qui l'ont choisi, le patron d'A.X.A., Madame Merkel, Monsieur Attali et le collectif Bilderberg, officine impériale où l'on forme nos croquemitaines nationaux, entre-autre.

    La photo de notre Président de la République, que j'avais laissé en page de garde P1010587.JPGd'un billet de fin Avril, où nous le voyons conduit par le Président des États-Unis-d'Amérique tel un petit garçon par son papa, me laisse à penser que si le premier fut choisi pour son poste, ce fut pour,  justement, détruire l'Union-Européenne.

    C'est pourquoi, partant de cette idée, j'en suis venu à penser que l'élection de Donald Trump ne fut en rien un hasard mais, tout au contraire, une décision collégiale murement réfléchie.

    De mettre un trublion plutôt jobard à la tête de la deuxième puissance européenne dont le but est de perdre notre sainte union par ses erreurs, maladresses, inepties et autres bêtises.

    D'ailleurs, il doit y avoir un mathématicien et un universitaire, et d'autres grands naïfs, qui doivent aujourd'hui s'en mordre les doigts.

    Donc, cet avant-propos venant compléter le billet qui suit, ce qui est amusant, je vous propose d'en continuer la lecture.

    J'y montre cet accroissement de l'instabilité nationale, unioniste et P1010609.JPGinternationale...

    Les fleurs du mal qui, depuis 2008 pour certaines, bien plus anciennement pour d'autres, avaient fleuri, commencent aujourd'hui à donner de ces fruits que nous aurons bien des difficultés à digérer.

    Mais pour comprendre ce qu'il se passe, il se faut de retourner notre vision les événements pour les percevoir dans leur juste proportion.

    Ainsi, nous est-il affirmé, les États-Unis-d'Amérique trumpiens ont amorcé une guerre commerciale à l'encontre de l'Union-Européenne.

    Et non, il ne s'agit pas pour eux d'une guerre commerciale mais d'une réindustrialisation de leur pays, ceci doublé de la poursuite de la déstabilisation de l'U.E..

    Ce qui pourrait ne sembler être qu'une simple nuance vaseuse mais qui, en réalité, se révèle être une représentation bien plus exacte de la réalité.

    Il y aurait guerre commerciale entre ces deux unions si leurs relations n'étaient pas tant ambigües, que les États-Unis-d'Europe (ce à quoi rêvent nos croquemitaines P1010631.JPGeuropéistes), perle impériale U.S., n'étaient pas en voie de délitement, et si les U.S.A. ne se trouvaient pas dans une situation industrielle tellement désespérée que seul le rapatriement de leurs entreprises, et la création de nouvelles, pourrait leur laisser l'espoir de leur survie.

    L'empire américain n'a désormais plus aucun autre choix que de détruire le peu de richesse industrielle européenne qui reste, ce qui ne peut que vouloir dire de détruire l'administration bruxelloise par l'ébranlement de ses pays qui comptent: France, Allemagne et Italie:

    -France: après la série de grèves, qui reprendront sous une nouvelle forme, une association, Anticor (aux pieds?) porte plainte contre le secrétaire général de l’Élysée, soit le conseillé principal de Mr. Macron;

    -Allemagne: dans le même temps, les concomitances font décidément bien l'affaire,  la Deutsch Bank voit sa note s'abaisser et se trouve attaqué sur les marchés actions (comme ils disent);

    -Italie: cela alors même que deux partis anti-euro (ne remettant pas en question  l'Union-Européenne, en voulant le beurre, son argent et les rondes grâces de la crémière), 5 Étoiles et Ligue du Nord, achèvent leur conflit avec leur président de la république, que la situation économique du pays s'avère désastreuse et que les banques italiennes, si tant liées à celles françaises, montrent toujours plus leur pudique faillite.P1010577.JPG

    Ceci pendant qu'un scandale commence à gicler sur le chef de ce cher Juncker, ce qui  risquerait fort de mouiller bien des têtes pensantes de l'U.E. ( enfin, tête pensante, l'expression n'est qu'un jeu d'esprit ).

    Ces quatre petits et seuls exemples montrent l'ébranlement continuelle de notre inénarrable union.

    Les tensions commerciales, en ce moment restreintes, n'en étant qu'un petit plus, utile pour la réindustrialisation de Tonton Sam.

    Comme vous le voyez, si nous réexaminions les événements sous un angle différent, nous nous retrouvons à en avoir une autre lecture que de ce qu'il s'en dit habituellement.

    Et si le titre de ce billet c'est: "C'est parti mon Kiki", c'est bien parce que, entre-autre, la déstabilisation de l'U.E. est dorénavant entrée dans une nouvelle phase, plus agressive.

    ( A ce sujet, les États-unis-d'Amérique et la Grande-Bretagne se trouvent tous deux au-dedans de mêmes difficultés.

    Pour se réindustrialiser ils doivent tous deux faire baisser leur monnaie, dollar et P1010510.JPGlivre sterling, et, pour le premier, faire monter des taxes d'importation.

    Or, dans un premier temps, cela fait mécaniquement monter les prix de ce qui est importé, dont celui des produits de bouche et du petit matériel, comme les appareils électroménager et les outils, sachant que, pire qu'ici en France, ils ne fabriquent quasiment plus rien chez-eux.

    Ceci sans compter les contremesures à l'importation prises par les exportateurs comme la Chine ou l'Allemagne.

    De ce fait, cela appauvrit les petites gens, bien que le travail industriel revient, mais si doucement, ce qui y détruit encore plus le commerce de détail, ce qui avait déjà commencé il y a longtemps, phénomène que nous vivons aussi chez-nous de façon moindre, ce à quoi je reviens de suite plus bas.

    Là encore, de percevoir les circonstances sous un nouveau point de vue ne peut que nous permettre de les concevoir à une plus juste valeur. )

    Mais il y a plus.

    Le système économique globalisé, centré sur le monétarisme échevelé, montre lui-aussi des signes de détresse.

    Thème déjà traité de multiples fois mais évoluant sans cesse.P1010696.JPG

    Vous trouverez ici cette petite phrase: " 1 Les gros fonds spéculatifs sortent des marchés actions à un rythme que nous n’avions pas vu depuis la crise financière de 2008. ".

    Quoi qu'il pouvais s'en dire, je vous avais annoncé, il y a un mois de cela, que l'augmentation du cours du pétrole depuis l'année dernière était le signe que les fonds spéculatifs sortaient des bourses et se reportaient sur les matières premières, de bouche, c'est pour nous le plus visible, mais aussi sur toutes les autres.

    Ce que j'avais pressenti dès Octobre de l'année dernière pour le beurre, le sucre et le chocolat, puis, le doute se faisant j'en avais écarté l'idée.

    J'y avais écrit ceci (en un coup de flemme, un copié-collé, pourquoi pas, et puis, que je ne cache pas ma satisfaction d'en avoir saisi les mécanismes, même si cela va nous conduire à la pire des mouscailles):

    ...cette hausse soudaine des prix et leur amoindrissement en quantité dans les rayons ne peut en être la cause directe, mais tout à plus un prétexte, avec, toutefois, une base de réalité: cette exportation ayant mené à une tension autant sur leur montant que sur les flux d'approvisionnement.

    Tension n'ayant pu que débuter il y a pas mal de temps déjà, raison sûrement de ces choix.

    C'est pourquoi je dis et affirme que cette hausse soudaine des prix et baisse en fourniture de ces articles signent le délaissement progressif de la spéculation P1010654.JPGboursière qui, désormais, se reporte sur les matières premières et de première nécessité.

    Comme ce fut le cas déjà en 2008, peu avant que nous n'apprenions que le système bancaire était aux portes de l'implosion.  )

    Cette tension sur les prix des matières premières ne peuvent qu'accélérer la désindustrialisation internationale et, dans le même temps, accentuer les Q.E., les hyper-productions monétaires des banques centrales.

    Qui se retrouveront à racheter les actions dès lors vendues sur les marchés boursiers des entreprises de leur pays respectif, ceci pour éviter que les bourses ne s'effondrent, monnaie tombée dès lors dans les poches de ces fonds et qui, comme je l'expliquais l'année dernière, se déversera dans la spéculation sur ces-dites matières premières.

    Ce qui mènera à une inflation internationale égale à la quantité de monnaie ainsi déversée, ce qui est dès maintenant devenu visible sur les pommes, le beurre, le chocolat, le pétrole.

    Ce qui ne peut qu'accroitre la désindustrialisation mondiale générant une instabilité des prix grandissante par la déflation que cela génère.

    Phénomène qui sera bientôt apparent pour un nombre toujours plus grand de produits.

    Alors, je vous renouvelle mes conseils: faites vos réserves.

    Parce que, là aussi, c'est parti mon Kiki, comme en l'an 40 2008, mais en pire, infiniment pire.

    Là encore, si nous observons les occurrences sous une perspective convenable, il estP1000706.JPG possible de concevoir les effets de cette débâcle économique qui, maintenant, s'accroit démesurément.

    Ceci ne pouvant se faire que dans les grandes lignes il est vrai, mais il ne peut en être autrement.

    Et, suivant les cas, les pays et les régions, ces effets peuvent être plus ou moins violents et importants.

    Or, le commerce international ne peut que souffrir d'une hausse du prix du pétrole, et pas qu'un peu.

    Le maritime, certes, mais aussi l'aérien et le routier, ce dernier étant celui nous permettant les échanges européens, tous en souffrent et en souffriront de plus en plus.

    Cela ne pourra que se traduire par un ralentissement de la circulation aérienne, maritime et routier, par un accroissement des prix du transport, ce qui, in fine, se répercutera sur notre porte-monnaie, puis mènera à des faillites de transporteurs et des compagnies.

    Et c'est parti mon Kiki (qui est-ce Kiki?) pour une augmentation des prix dans les magasins, pour les pièces détachées automobiles, les carburants.....

    Mais ce n'est pas tout, les états ne peuvent que remonter leurs taux (les U.S.A. ayant commencé les premiers), remonter les taux, c'est bien joli, mais les taux de quoi?

    En fait, les banques centrales prêtent aux banques privées de la monnaie, monnaie qui sert à spéculer sur tout ce qui peut être spéculable (néologisme, j'avertis dès que j'en crée un).

    Entre-autre aux états, qui émettent en échange des bons du trésor, qui ne sont que des reconnai

  • Trump, d'empire à colonie, fin...

    L'empire américain s'en va silencieusement, nous quitte sur la pointe des pieds, file à l'anglaise.

    Son repli sur soi affole la foule des eurolâtres et les américanolâtres tremblent de ne plus avoir de modèle à vénérer.

    Dorénavant ils se retrouvent seuls, sans maître pour dire le vrai et le faux, pour obéir comme les bons garçons et filles qu'ils sont, et errent sans but dans leur délire montant.

    Déjà les signes se font sentir de leur terrifiante détresse et la classe pathétique des chroniqueurs médiatiques officiels, d'un personnel politique au aboi et de la puissance monétaire épouvantée de sa crainte de perdre son bon argent commence à ravir l'homme et la femme de bien.

    P1000790.JPG

    Plus encore, les deux géants géopolitiques, la Russie et les États-Unis-d'Amérique, s'entendent désormais comme larron en foire et ne sont plus que les petites mesquineries des néocons U.S. pour retenir encore un temps la grosse papatte de Monsieur Trump, lui qui n'attend plus que de serrer  la paluche de Monsieur Poutine.

    Mais diantre, que j'ai pu faire d'erreurs d'appréciations sur trois des sujets les plus importants.

    Je crus ainsi que le nouveau président des Etasunis  était un pure isolationniste, ce qu'il n'est pas.

    Je crus aussi que la Russie de Poutine ne pourrait pas supporter que la France soit dirigée par une Marine Le Pen et que, surtout, que le président russe ferait tout pour que l'Union-européenne disparaisse, or les faits montrent l'inverse, ceci expliquant cela.

    Je crus également que l'équipe poutinienne de gouvernement avait compris que le système économique globalisé touchait à sa fin, contrairement à celle de Trump et de la majorité des chancelleries, alors que des signes ténus montrent que ce serait plutôt aux U.S.A. que cette conjecture se saisit, même si je doute de cela dans son administration centrale.

    Donc, je vais devoir revoir ma copie, repenser ma perception de la dynamique historique actuelle.

    Alors, allons voir de ce qu'il en est.

    PICT0111.JPG

    Il est rare qu'une élection ou la désignation d'un homme politique pour de très hautes fonctions, dans un pays ou une union quelconque, produise des effets géopolitiques tels que cela en fasse très rapidement évoluer l'ensemble des équilibres internationaux, voire en change du tout au tout les relations entre états.

    Au minimum en politique étrangère, la continuité de l'état fait que les évolutions se font, le plus souvent, à pas comptés.

    Lors de ces cinquante dernières années, cela survint par deux fois, à 31 ans d’intervalle, lors de la désignation au soviet suprême de Monsieur Gorbatchev en 1985, puis quand monsieur Trump fut élu président des États-Unis-d'Amérique en 2016.

    P1000834.JPGIl n'est pas clairement visible, pas vraiment clair que l'Union-Européenne soit visée à la destruction par les U.S.A., quand bien même Donald Trump avait déclaré cette union comme étant dépassée et vieillotte, rien ne semble avoir véritablement changé.

    Or, divers événements ou plutôt des indices, souvent ténus, me laissent à penser que des forces discrètes ont patiemment tissé des plans dont nous autres ne seraient que de vagues pions, nous changerions de camp tout en restant dans une situation similaire.

    Ainsi, en France comme dans le reste de l'Union-Européenne, en Russie, aux Etasunis et  en Brande-Bretagne, il semble se passer des événements bien étranges et cela aurait plusieurs années d'origine.

    Ainsi,rien que chez les américains, dans sa nouvelle administration centrale, nous ne comprendrions pas grand chose si nous ne trouvions pas le bon bout de fil pour en démêler l'écheveau.

    Alors je vous propose que nous revenions à la substance de qui est Monsieur Trump, quelle est sa doctrine véritable.

    Nombre d'entre-nous, et moi-même jusqu'à présent, pensaient que ce nouveau président U.S. était un pure isolationniste quand, en fait, il n'en est rien, en réalité c'est un réformateur, comme le furent en leur temps dans l'empire romain, César et Dioclétien par exemple.

    Ces deux exemples montrent qu'un réformateur impérial est de deux types:

    - celui qui chamboule l'ordre ancien lorsque l'organisation de l'empire, en plein dynamisme conquérant, le nécessite, César fut de ceux-là, mais vous remarquerez que cet exemple ne s'accorde pas à ce que peut représenter Monsieur Trump:

    - Celui qui s'appuie sur le socle structurel ancien, culturel, organisationnel, anthropologique, religieux, politique, militaire...,  pour rectifier et régénérer l'empire, Dioclétien ( http://www.lebreviairedespatriotes.fr/28/02/2013/non-classe/diocletien-portrait-dun-empereur-reformateur/ ) en étant un bon exemple, similaire, à mon sens, du président U.S. actuel à près de 1750 ans intervalle.

    Dès lors que l'on comprend sa nature réelle, la cohérence de son action devientP1000674.JPG évidente.

    Géopolitiquement, fragilisé au plus haut point, l'empire ne peut que se replier sur ses appuis les plus précieux et les plus sûrs, Grande-Bretagne, Arabie-Séoudite, Japon, Israël, canada, plus quelques autres plus discrets, le sous-continent sud-américain se devant d'être de nouveau sous son contrôle, d'où son éloignement de Cuba, et l'Océan Pacifique redevient le centre de toute son attention avec, en marge, nécessité faisant loi, la Mer Méditerranée, d'où son soutien d'Israël contre vents et marées.

    Pour le reste, oui les États-Unis-d'Amérique s'isolent, mais cela  est plus due à la conjoncture présente qu'à une véritable volonté de repli sur soi.

    Pour l'économie, matrice symbolique outre-Atlantique, sa situation plus que délétère nécessiterait des mesures vigoureuses, mais justement en raison de cette situation à la limite de la rupture, soit Trump casse tout le plus rapidement possible, ce qui mènera à la faillite généralisée, soit il temporise, auquel cas nous retournerons à notre point de départ.

    Quand à a politique, les forces industrielles qu'il représente font face à une lutte à mort contre les monétaristes néocons dont Madame Clinton est la représentante.

    Comme j'ai pu déjà l'écrire auparavant, la déstabilisation des Etasunis est tel qu'à mon sens la seule volonté de Trump de réformer son pays et son empire, sans même que cela ait apporté de quelconques effets, peut facilement mener à leur désagrégation, voire à leur destruction, d'où la prudence du président U.S..

    P1000807.JPGMais même cette prudence peut leur être néfaste, leur sera néfaste, à la simple vue de la formidable masse de crédits de toutes sortes qui empoisonne véritablement l'économie U.S. et l'Europe.

    Avant que nous n'abordions le triple sujet que sont l'Union-Européenne, les élections françaises et la position ambigüe de la Russie en Europe, je me dois de faire un détour par l'économie.

    En effet, le prix du pétrole reprend son effondrement, stagnant entre 53 et 54$ depuis quelques temps, il en est aujourd'hui à 47$70 ( http://www.businessbourse.com/2017/03/24/petrole-finit-baisse-a-new-york-a-4770-dollars-baril/ )  ce qui était à prévoir, sa baisse de production de l'année dernière et du début de l'année suivante en en ayant fait monté les prix, les industries nationales et internationales se retrouvent de plus en plus étranglées.

    Les classes-moyennes se retrouvant largement appauvries, en Occident et hors d'Occident, elles sont forcées de ne plus acheter que l'essentiel, de quoi se nourrir, de se vêtir et de se loger, délaissant de plus en plus cet accessoire qui fait la puissance des échanges marchands.

    Ce phénomène fut un moment légèrement compensé par les dépenses que firent, toujours en Occident, les petits rentiers qui craignaient, avec raison, que les banques ne leur confisquassent leurs petits pécules.

    Mais il est à craindre que ces dépenses en soient venues à se tarir, la voiture neuveP1000767 - Copie.JPG achetée, le toit refait, la maison réaménagée, les enfants et petits-enfants gâtés..., ne reste plus, dans les coffres des établissements bancaires, que le minimum pour le cas où...

    Ce qui a généré un effet pervers, celui d'avoir encore plus affaibli des banques ayant moins de fond en coffre, et qui, déjà, se retrouvaient toutes aux portes de leur banqueroute.

    A ceci, il faut y rajouter un étonnant blocage de Wall Street, au plus haut depuis mi-Février ( eod.aspx?s=DJIAx ), monté passée en raison des Q.E. qui ont pris fin, blocage dû à ce que les banques centrales, dont la F.E.D., savent pertinemment que dorénavant la moindre baisse boursière un petit peu rapide pourrait provoquer un affolement généralisé menant à l'effondrement de l'économie-monde.

    C'est pourquoi, maintenant, la dernière cartouche anti-crash ayant été épuisée, nous allons droit vers la faillite de la globalisation heureuse par la désindustrialisation généralisée, sans que quoi que ce soit ne puisse en freiner l'échéance, échéance qui, comme pour tout système chaotique, ne peut être intuitivement prévu que peu de temps avant son avènement, ici la pensée logique n'étant pas d'une grande utilité.

    C'est cet événement qui, pour beaucoup de monde, est devenu improbable puisque sa survenue se fait avec retard.

    P1000169.JPGSongez que depuis 2008 de nombreuses fois de maints signes montraient qu'il s'approchait de nous.

    De plus, de 2012 jusqu'à la fin de l'année 2016, ces signes devenaient visibles, évidents même, sans que quoi que ce soit ne se passe, ou n'aient eu l'air de se passer.

    Mais pendant ce temps là, silencieusement, sans faire le moindre bruit, les entreprises périclitaient, plus lentement, certes, mais elles périclitaient, les banques se fragilisaient et les pays ainsi que leur peuple s'appauvrissaient.

    Voilà pourquoi presque plus personne n'imagine que cela puisse arriver.

    De plus, songer que la société dans laquelle nous vivons puisse basculer comme cela avec une telle violence ne pouvant qu'être que de l'ordre du cauchemar, cette idée s'est retrouvée collectivement refoulée, plus encore au sein des élites des nations qu'au cœur des populations.

    Mais revenons à la Russie et à l'Union-Européenne.

    J'ai pu penser, un moment, que la Russie de Poutine, que son gouvernement était conscient de cet effondrement, or je pense aujourd'hui qu'il n'en est rien.

    La raison que je m'en fait est certes un petit peu complexe et pourrait sembler hors sujet mais laissez-moi m'en expliquer.

    Cela a un lien très fort avec la campagne électorale actuelle et le Front-National.IMGP0440.JPG

    Depuis quelques temps déjà ce parti est régulièrement invité par un média web d'essence russe, Sputnik, et ce sans que la nécessité ne s'en fasse clairement ressentir, ce qui avait quelque peu éveillé mes soupçons.

    Je les avais écarté, bien que mon intuition me susurrais des alertes régulières, c'est ainsi que survient le déni: je n'y croyais pas, je n'imaginais pas les russes assez sot pour aider à l'élection de la fifille de son terrible papounet.

    Donc, lorsque j'appris que la cheftaine F.N. fut invité à la Douma, l'assemblée législative russe, un mois seulement avant ces élections, le déni que je me faisait d'une Russie qui voudrait dominer l'Union-Européenne s'effaça et cette idée me devint une évidence.

    Pourquoi le F.N. serait-il ainsi si courtisé par la Russie, j'en vois plusieurs causes:

    -Il est facilement manœuvrable, le tout s'agissant d'offrir ce qui ferait plaisir à ses cadres;

    -Ce parti ne veut pas que la France quitte l'Union-Européenne, la preuve en est que lors du débat sur la première chaîne, Madame Le Pen avait bien dit qu'il fallait le pays se sépare de l'euro mais à aucun moment elle ne dit que la France doive se séparer de l'U.E. et de l'O.T.A.N.;

    P1000741.JPG-Il a, tout comme l'immense majorité des autres partis politiques, sauf l'U.P.R., absolument besoin qu'un pays dominateur lui dicte ce qu'il doit faire;

    N'oublions pas que Madame Le Pen s'était rendu à la tour de Monsieur Trump, juste après l'élection de son propriétaire, pour, je le suppute, se faire adouber par lui.

    Puisque le nouveau président U.S. n'avait pas daigné rencontrer sa visiteuse, il était logique qu'elle alla chercher ailleurs un seigneur par qui être commander.

    Ainsi, avoir maintenant la bénédiction de la Russie et de son président, Monsieur Poutine, le héro de l'anti-empire américain, lui offre une excellente écoute de ses électeurs, mais bien entendu cela ne peut qu'avoir un prix.

    Quel est ce prix?

    L'Union-Européenne et avoir la paix chez les français pardi, l'histoire de France montrant que notre pays est le plus instable politiquement, si les russes veulent que l'Union-Européenne soit sauvegardé tel quel, il leur faut absolument un parti politique à sa botte qui puisse conserver le peuple sous sa férule.

    Vous remarquerez que l'élection de Donald Trump et celles, présidentielles qui viennent en France, furent précédées par le référendum britannique dit du brexit.

    A ce niveau là, croire au hasard ce serait faire preuve d'une immense candeur, comment imaginer que les U.S.A. puissent se séparer de ce si proche allié, le seul véritable peut-être qu'est le Royaume-Uni?P1000758.JPG

    Mon explication logique de ces concomitances intrigantes serait que ce qu'il se passe actuellement soit la résultante d'un plan ourdi longtemps en avance, par une équipe tripartite britannique, étasunienne et russe.

  • Des choses de l'esprit: le paradoxe.

    Dans l'une de mes quatre séries d'aphorismes j'y racontait qu'un paradoxe est une vérité en devenir.

    Dans l'un de mes textes j'y montrais que le mental en a horreur, que ce soit l'injonction paradoxale ou la double contrainte, par exemple, c'est le type même de situation qui peut rendre quelqu'un de complètement fou.

    Le premier c'est, entre-autre du plus classique, le: "sois naturel!" Où la personne se trouverait dès lors à ne pas pouvoir s'exprimer pleinement de soi-même puisqu'elle aurait toujours cette injonction à l'esprit, comment pourrait-elle le faire entre énonçant sa pensée en toute liberté ou obéir?

    En effet, dès qu'elle s'exprime par elle-même elle ne pourra qu'être tenue par cette injonction en lui donnant le sentiment d'obéir en pervertissant ainsi ses propres élans.

    Le second c'est la situation collective devant laquelle le gouvernement français seP1020008.JPG retrouve où, à son obéissance aux ordres donnés par l'administration unioniste par l'entremise des GOPE, il doit faire face à la broncas et révolte de la population, à l'exemple de la retraite à point.

    S'étant placé de lui-même dans ce piège où, désormais, d'avancer, de reculer ou de rester sur place au sujet de ce projet de loi ne peut que le mener au désastre en emportant avec lui le macronisme puis l'Union-européenne.

    C'est donc la double contrainte dedans laquelle il se trouve entre les ordres données par l'UE et le refus des français de ces nouvelles formes de retraite qui ne peut que mettre ministres, président et élus du REM dans une situation psychologique épouvantable avec tout ce que cela entend, ceci sans compter les fragilités psychologiques précédemment présentes pour certains d'entre-eux, ceci expliquant autant leurs violences que leurs dénis de leur rejet du peuple.

    En fait, nous pouvons dire qu'un paradoxe se doit d'être réduit à l'image d'un os cassé en ce sens où il nous faut faire la synthèse de cette conjoncture ayant pris cette forme duale.

    Mais là où cela devient intéressant c'est que l'inconscient lui-même manie ce paradoxe avec une grande facilité tant que nous n'avons pas compris la complexité de son message.

    P1020914.JPGEn allant plus loin de notre réflexion et en reprenant le début de ce billet, il est quelque chose à remarquer, un paradoxe n'en est jamais un véritablement parce que nous le percevons comme tel en raison même de notre subjectivité perceptive et de compréhension.

    Ceci parce qu'un paradoxe révèle toujours une complexité non encore perçue et dès lors résolue.

    Ainsi me suis-je aperçu que bien que m’apaisant doucement d'un stress qui, à bien y regarder, dura une très grande part de ma vie (depuis l'âge de dix à douze ans environ), je n'en ressens pas moins des tensions intérieures importantes recouvrant ce bien-être, ce qui est en soi un paradoxe.

    Or, j'ai comprit que lesdites tensions provenaient de ce que ni mon métabolisme, ni mon cerveau n'étaient habitués à cet état de bienêtre, ce qui fait que cela les force tous deux à faire un important travail d'adaptation ne pouvant que mener à ces troubles corporels qui peuvent parfois être quelque peu douloureux.

    Là nous pouvons observer que ce paradoxe fut réduit en en comprenant les fondements: l'adaptation lente de mon corps et mon cerveau à une situation à laquelle ils n'étaient absolument pas familiarisé et qui me génère des raideurs, des douleurs et, parfois, de légers malaises.

    Un paradoxe peut aussi s'inscrire en ce que quelque chose peut, dans le mêmeP1030162.JPG temps, exister et ne pas exister.

    Qui est le fait de nos capacités créatives permettant, le plus souvent, de rendre compte d'une réalité discrète ou d'un sentiment.

    Le narcissisme et l'ego sont de ceux-là.

    Ces deux composantes de la psyché dont j'ai pu faire mention dans des textes passés, existent-elles réellement ou ne sont-elles désignées, les a-t-on nommés pour simplement rendre compte de notre manière de nous considérer dans le monde et de ce qui nous appartient en propre, de notre complexe façon de porter notre identité, différente pour chacun d'entre-nous, et de percevoir la relation de lien et d'appartenance que nous entretenons entre les choses, les gens, nos créations et nous même?

    De fait nous pouvons affirmer que le narcissisme et l'égo, dans le même temps, existent et n'existent pas, nous les avons nommés essentiellement pour rendre compte de processus mentaux  sans que, pour cela, nous puissions véritablement en déterminer leur matérialité, quelle soit ondulatoire, matérielle, tout juste pouvons-nous les définir comme informationnels, mais par ailleurs ils nous permettent de comprendre nombre de processus psychiques qui, sinon, resteraient incompréhensibles.

    P1030189.JPGMais plus complexe encore à déterminer ce sont les paradoxes que nous propose notre inconscient, lors de rêve ou de sensations notamment, où il est possible de percevoir que le sens à y donner y est contradictoirement double, en un sens et son contraire.

    En ce cas, que j'ai pu rencontrer il y a de cela fort longtemps et dont je ne me souvient plus du sujet, il faut comprendre qu'en effet il peut s'agir d'un état ou d'un fait qui peut, de sa définition, être non pas de l'un ou de l'autre, mais dans un entredeux précis, qu'il faut définir tel qu'un curseur gradué mentalement.

    Puis de ces réflexions, inachevées, sur ce paradoxe que nous cessons de rencontrer et qui ne peut que nous perturber, je ne peux également que d'évoquer notre relation au monde qui, parce que nous ne le comprenons que peu, fait que, face à des événements, traumatiques ou non, nous fait en donner un sens qui, à la suite de son développement, se révèle à nous paradoxal.

    Si nous en sommes conscient nous pouvons nous y pencher et, après réflexion, comprendre qu'en fin de compte ledit sens que nous y donnions se révèle à nous partiel ou tout simplement faux.

    En revanche, si, par déni ou bien parce que nous n'y avions pas porté une attentionP1030502.JPG suffisante pour l'avoir mémorisé consciemment, voire à ce que ce sens que nous en donnions préalablement n'était pas en adéquation d'avec la réalité, alors nous pouvons nous égarer au- dedans de considération oiseuses.

    Ce qui peut mener à un stress, à prendre des décisions contreproductives et inadaptées à la situation, voire à nous retrouver à souffrir de maux, d'angoisses, de difficultés parce que nous nous serions en ce cas en totale inadaptation.

    La politique telle que nous pouvons l'observer aujourd'hui nous en offrant une multitude d'exemples.

    Nos médiats, en cela, en étant la porte ouverte en béance.

    J'en veux pour preuve le moment de cette émission: "Balance ton poste" que je ne regarde jamais, la trouvant d'une beaufitude exemplaire, mais dont cet extrait, publié sur le site de Sputnik, ne peut que nous en montrer un magistral exemplaire.

    Vous remarquerez le paradoxe qu'exprimais Monsieur Messiha où à la question, plutôt bateau, de Monsieur Hanouna, de savoir s'il est ou non l'alibi du Rassemblement National, il aurait pu répondre tout simplement que ce parti n'était pas le moins du monde raciste, plutôt que de réagit avec une telle véhémence en affirmant que le premier tenait des propos de ce genre.

    P1030021.JPGPuis à Madame Myriam s'exprimant sur l'antisémitisme, le même lui a enjoint de "...retourner dans son pays d'origine", reprenant là des termes que nombre de français de souche ont pu tenir envers les arabes.

    Nous pouvons percevoir là, de part ses contradictions, un double phénomène collectif inconscient en jeu chez nombre de gens d'origine arabo-musulmane en un paradoxe que je vais tenter de réduire:

    -Une identification en tant que français, ce qui est normal puisqu'il l'est, mais excessive, montrant ainsi sa peu d'assurance de son identité, d'où son adhérence à RN;

    -De ce qu'il a pu dire tant à l'animateur qu'à l'autre intervenante, tous deux d'origine juive, montre, là, quelque chose de beaucoup plus subtil.

    Cela est à mettre en parallèle avec le fait que des musulmans radicaux aient mis, lors d'une manifestation, sur le vêtement des enfant présents, une étoile jaune, comme celle portée par les juifs lors de la seconde guerre mondiale en France.

    A mon sens donc, il y a le désir inconscient, pour ces français d'origine arabo-musulmane, de vouloir prendre la place historique des juifs, non pas pour les remplacer mais pour vivre les mêmes instants de terreur passé en de même sorte de héro.P1030466.JPG

    Là aussi nous pouvons considérer que cela devient franchement intéressant, c'est de constater que la position victimaire des uns et des autres ressemble à s'y méprendre à une tentation, toujours inconsciente, de ressembler aux saints chrétiens, martyres des premiers temps.

    Ceux-ci oubliant, part ailleurs, le rejet raciste que subissent les français d'origine asiatique, preuve s'il en est que chacun de ces deux groupes ne veulent en rien lutter contre le racisme mais veulent juste passer pour des victimes, tout en affirmant de cette façon tonitruante une identité communautaire à l'américaine, ne sachant plus dès lors qui ils peuvent être.

    (Pssst, entre vous et moi, voyez-vous, je vais vous dire un secret: vous êtes français.)

    Ce sur-jeu victimaire étant aussi perceptible par l'affaire Mila où une gamine de 16 ans reçu des messages haineux pour avoir fortement critiqué l'Islam.

    (Nombre d'officiels, imbéciles bienpensants, considérant, dans les médiats, que le crime de blasphème envers l'Islam, et non pas envers le catholicisme qu'ils ne défendent pas, est naturel, rejetant donc de fait le principe de laïcité, sûrement parce qu'ils ont reçu l'ordre d'aider RN à prendre le pouvoir lors des prochaines élections nationales.)

    Il est loisir d'imaginer que nombre de français de souche et des non musulmans, ainsi que des musulmans tout autant, ne peuvent que considérer, à tort sûrement je l'espère, les mahométans comme étant des lâches pour s'en prendre ainsi à une si jeune femme.

    P1030116.JPGOubliant par ailleurs l'oumma, la communauté des croyants, sachant le nombre de gens de leur religion qui sont contraints de vivre dans des bidons-villes aux abords du périphérique parisien, et c'est un chrétien, catholique, qui s'en offusque, Monsieur Asselineau, c'est comme ça que se détruit une religion.

    La raison que j'en donne, donc, ce serait leur volonté inconsciente de prendre la place des juifs, qu'ils jalousent, en tant que victimes de notre patrie.

    Enfin, je ne peux pas ne pas aborder le paradoxe que peut représenter les exactions de la police à l'encontre les manifestants, mais aussi de l'homme et de la femme de la rue.

    Vous remarquerez, dans cette vidéo, la façon avec laquelle les choses se passent, ressemblant à s'y méprendre à quelques événements d'un état tyrannique ou dans d'autres républiques bananières d'Afrique ou d'Amérique-du-Sud, voire à ce que fut notre pays sous... Napoléon III.

    Ce paradoxe étant de se demander pourquoi les policiers de la BRAV... (demandez-vous, chers policiers, comment vous considèrent vraiment les membres de notre gouvernement: seriez-vous de braves quoi?) agissent ainsi sans se rendre compte qu'ils risquent, un jour ou l'autre, de se retrouver au-devant de juge pour leursP1030126.JPG brutalités, ceci d'autant plus qu'ils ne doivent pas en recueillir quelques avantages pécuniers réellement gratifiants.

    Certes, nous pouvons estimer que ceux qui furent choisis pour ce poste le soit pour avoir un esprit plus ou moins évanesce

  • Nous ne devons plus penser l'économie qu'en terme politique et non pas la politique qu'en seul terme d'économie.

    Quand un système économique et social accumule part trop de paradoxes et de contradictions, ce qui est le cas autant en Europe, en Occident, Japon compris, que dans le reste du monde, le poids de ces paradoxes et contradictions et, surtout, les tensions qui les accompagnent ne peuvent que conduire:


    1) à la faillite totale du-dit système;


    2) ces mêmes tensions sociales s'étendant dès maintenant à l'ensemble des sociétés pouvant conduire à des conflits armés.


    Le reste ne sont que des discutions  sur le sexe des anges.


    Aucun, je dis bien aucun peuple ne peut supporter longtemps de telles discordances économiques et de tels bouleversements sociaux, s'agissant là de quasiment toutes les sociétés mondiales.


    Certes, ici et ailleurs, j'ai pointé quelques-unes de ces contradictions interne au néolibéralisme (d'autres le font bien mieux que moi), je me suis aussi agacé de certaines idées précontrainte, mais pour moi cela n'a plus aucune espèce d'importance: il ne sert à rien de se pencher sur les mécanismes internes d'un système moribond, ces mécanismes disparaîtront en même temps que ce système économico-politique.


    Et ce système, dans ses représentations philosophiques, sociales et politiques, ne concerne pas seulement que le seul néolibéralisme, loin s'en faut, il englobe également presque toutes les composantes idéologiques qui ont progressivement  émergé depuis  beaucoup plus qu'un siècle-et-demi, les unes liées à la bourgeoisie conquérante du XIX° siècle (qui plus tard deviendra capitalisme puis néolibéralisme, je me dois de préciser, cela comprend toute la droite d'aujourd'hui, l'U.D.I., l'U.M.P. et le F.N., hormis le gaullisme, historiquement spécifique) et les autres nées de la réaction à cette toute puissance bourgeoise (le socialisme, le communisme,  la sociale-démocratie, bien sûr le social-libéralisme, tous en disparition et, pour partie, l'écologie politique).


    J'appelle cet ensemble: "l'économisme dogmatique" puisqu'il place l'économie et tous ces formalismes, quels qu'ils soient,  comme primordial sur toutes autres sortes de considérations sociales.


    Et aujourd'hui nous en voyons l'aboutissement et,  bientôt, sa fin.


    C'est pourquoi il est impossible de réformer ce-dit système, autant pour des raisons institutionnelles, culturelles que politiques, les trois axes de toutes sociétés complexes.


    Mais, bon sang de bois, vous ne percevez donc pas devant quels cataclysmes nous sommes?


    Je puis vous affirmer que ce qu'il se passe en Ukraine n'est qu'une infime gesticulation en regard de ce qu'il se prépare.


    Et ne croyez pas qu'il se trouverait quelques manipulateurs de haut niveau pour fomenter je ne sais quel plan machiavélique, ce ne sera que le développement logique et chaotique d'une humanité en perdition.


    Regardez, même les américains, orfèvres dans le genre, ne sont même plus capable d'une manipulation de quelque envergure sans que cela ne leur pète à la figure.


    C'est ça le problème ukrainien, les américains ne savent même plus comment se sortir de ce bourbier, parce que, après avoir emporté l'or ukrainien, ils ont enfin compris que ce seront les russes qui vont en tirer tous les avantages futurs, quitte à ce que ces derniers vendent tous leurs bons du trésor U.S....

    Ce qui ne fera qu'accélérer ce processus de désagrégation économique mondiale.

    Le second problème de l'Amérique c'est que de laisser en Mer Noire leur marine de guerre trop longtemps risque de définitivement les ruiner, une telle flotte loin de ses bases coûte cher, le ravitaillement, la logistique est toujours terriblement onéreux pour une armée.

    Bel exemple de choix impossible, de double contrainte: soit les Amériques rentrent chez eux et déclarent de fait leur défaite aux yeux du monde, voire leur déroute, soit ils reste et se ruinent.


    Nous ne devons plus penser, aujourd'hui, au y-a-qu'à-faut-qu'on, cela ne sert plus à rien, il nous faut penser demain, les événements se suivront à une vitesse infernale et nous n'aurons plus que le temps de réagir sans vraiment pouvoir penser nos actions.


    La plupart d'entre-vous n'a même pas idée devant quoi nous sommes et quand j'y pense, cela m'effraie.


    Et je sais, de plus, que cet aveuglement a une large part d'inconscient, tout le monde comprend, du tréfonds de lui-même, que j'ai raison mais d'en être conscient reviendrait à remettre en cause tout ce sur quoi se sont bâtit près de deux siècles d'histoire, imaginez du peu...


    Il a fallu un siècle et trois révolutions pour que la démocratie s'installe en France, deux guerres mondiales pour l'Allemagne, 70 ans d'U.R.S.S. pour la Russie et, au XVII° siècle, une terrible guerre civile en Angleterre et ce fut la pensée économique qui fut le lien entre la période de monarchie plus ou moins absolue et la démocratie.


    Ce processus fut plus brutal encore pour le reste du monde, entre colonisations (Afrique), massacres, guerres civiles et génocides (Amérique), modernisations forcées (Japon) [les parenthèses étant ici des exemples].

    C'est pourquoi la politique, dans son complexe formalisme, doit impérativement prendre le pas sur une pensée néolibérale qui n'est que le dernier avatar grimaçant de cet économisme dogmatique dont  je vous ai, plus haut, entretenu.

    Mais quel est le socle sur lequel assoir une telle doctrine mettant la politique à sa juste place et l'économie en rôle subalterne?

    Il nous faut considérer  tout d'abord les quatre pôles structurant toute nation:

    1) Ses frontières en délimitant l'espace et, ainsi, définissant le dedans et le dehors de cette nation;

    2) Le peuple en déterminant ses habitants sous forme d'une société:

    La multiple complexité de son histoire, de sa géographie, de sa psychosociologie, le type de ses institutions aux origines souvent anciennes fondent, entres autres, ce que peut être un peuple.

    Les immigrés, légaux ou pas, acceptés ou pas, qu'ils se sentent ou non de la nation  accueillante, font partis, de fait, de ce peuple, sauf ceux qui partent, si ils partent;

    3) Le pays en précise l'ensemble en un tout reconnaissable autant par ses habitants que par les autres peuples en une unité relative de langue(s), d'institutions, de relations conscientes et inconscientes entre les ressortissants (la proxémie), sa géographie, les divers régions qui le composes et les spécificités liées à chacune d'elle...;

    4) L'état qui est le tout institutionnel qui formalise cette nation et, dès lors, l'entièreté de son organisation politique, j'entends ainsi que la moindre commune comme faisant parti de l'état, même si la-dite commune s'organise en propre, indépendamment ou non du pouvoir central.

    Une nation doit donc impérativement considérer le dedans et le dehors d'elle-même, c'est cela le socle et le ressort de toute politique.

    Étant entendu les jeux politiques complexes individuels et collectifs qui s'établissent autant à l'intérieur qu'à l'extérieur de cet état (le mot jeu doit être considérer ici comme les relations complexes d'intérêts convergents et divergents).

    Le rôle du politique, élu en démocratie (sauf, parfois, pour le pouvoir exécutif), c'est à dire de la personne dont est échu la responsabilité, en quelque dimension que ce soit, d'organiser tout ou partie de cette nation, en interne comme en externe, son rôle, donc, revient autant à ordonnancer les différentes et diverses compositions professionnelles, de bases économiques et non-économiques, constituant la nation (les entités sociales), les relations entre individus et, également, les relations établies avec toutes les autres nations, alliées, ennemies ou neutres (les géopolitique et géostratégie).

    Je propose, en discutions, de considérer comme nouvelle gauche toutes approches équilibrées des différentes et divers entités sociales structurant notre nation et, aussi, de considérer le peuple comme suffisamment adulte pour comprendre les nécessités politiques et, collectivement, de voter son accord ou désaccord sur tel ou tel point, votation ne devant pas être remis en question.

    Dès lors nous pouvons considérer que:

    1) La politique, en tant qu'entité sociale, détenant en vrai l'ensemble des leviers sociaux de pouvoir, se doit tout d'abord être sous le joug d'une stricte séparation des pouvoirs empêchant le législatif, l'exécutif ou le judiciaire d'accaparer et/ou dominer une autorité distinct (cela avait été dit bien avant moi, le rappeler est nécessaire).

    Elle doit aussi d'être maîtrisée par des élections permettant d'écarter régulièrement les précédents élus pour éviter tout abus de puissances, d'où qu'ils viennent, à un rythme à déterminer (c'est la constatation de l'uniformisation de la pensée politique et idéologique, dû au formalisme théocratique du néolibéralisme et de l'Union-Européenne ainsi que de la colonisation de fait par les américains de notre nation culturellement, économiquement et politiquement aussi que de toutes les autres nations composant l'U.E. qui, avec logique, pour une large majorité d'électeurs, détermine les errements et égarements électoraux actuels);

    2) Les relations extérieurs, diplomatique et/ou guerrière, ne doivent être considérer que comme du seul intérêt national et non pas pour des intérêts autres, qu'ils soient ceux d'une union (l'U.E.) ou d'une puissance étrangère (les U.S.A.).

    3) (rajout du 11/04/2014) Il est impératif qu'aucune entité sociale ne prenne l'ascendant sur le monde politique, sous quelque forme que ce soit, les aberrations et aveuglements de quasiment  toute la classe politique actuelle vient, justement, de sa domination multiforme, autant décisionnelle qu'idéologique, par l'ensemble de ce qui est dénommé les investisseurs et qui ne le sont plus, désormais, que de nom.

    (Je me dois de préciser que le rôle essentiel des médiats fait qu'ils doivent être placés hors de toute domination, dusse-t-elle être politique et, surtout, en ce moment, économique, ils doivent donc avoir un statut spécifique qu'il reste à définir, son coût de production rendant ce statut complexe à déterminer.)

    L'économie est donc l'une des infinités des composants de notre société, économie, elle-même, pouvant se subdiviser en une infinité de composants, tous, je le conçois, intimement liés, mais aux intérêts, parfois, largement divergents.

    Seuls les détenteurs des flux monétaires ont, aujourd'hui, droit au chapitre, les entrepreneurs et autres agents économiques prenant pour argent comptant ce dogmatisme néolibéral, ce qui n'est que de la pure sottise, parce que en total contradiction avec leurs intérêts propres et leur est de ce fait préjudiciable.

    Toute personne se réclamant de la gauche doit donc considérer, maintenant, comme impératif la soumission et le contrôle de tout flux monétaire, le social-libéralisme que représente en France le Parti- Socialiste ne peut plus, dès lors, être considérer comme représentant de la gauche gouvernementale.

    Je l'ai déjà dit, il y a un glissement de gauche à droite des partis politiques et des idéologies les traversant.

    Mais les nouvelles doctrines qui pourraient représenter une gauche novatrice et moderne ne sont encore qu'à l'état d'ébauche, de plus, il est fort possible que ce travail s'élabore par des personnes ne se considérant en rien de gauche ou même soient eux-même considérés comme ne faisant pas parti de ce mouvement, voire soient jugés d'extrême-droite par la bienpensance euro-béate.

    Mais la pire des difficultés de vouloir explorer de nouveaux horizons en philosophie politique, comme d'en bien d'autres domaines, vient de la solitude que cela risquerait de créer, solitude possible dû à la fuite des personnes proches en raison d'un discourt divergent de ceux ordinairement admis, ou même de l'obligation au silence de celui ne pouvant se permettre de dire ce qu'il pense réellement.

    Nous nous devons, donc, au-delà de tous les aléas, construire pas à pas ces nouveaux principes.

    Le problème est que nous n'avons que peu de temps.

    Sinon, ces nouveaux principes se structureront de par le simple fait des événements, avec tout ce que cela entend d'égarements et de tribulations.

    Que j’aie, en tout cela, tord ou raison.

     

     

    THEURIC

  • Nouvelles idées en vrac.

    Je vais, une nouvelle fois, vous proposer un ensemble d'idées qui, il est vrai, ne sont pas d'une suite logique reposant sur un thème unique.

    Je vous avoue même que, pour l'instant, je ne sais encore exactement quels sujets j'aborderais, hormis une ou deux approches.

    La première sera toutefois une réflexion sur les suites des meurtriers événements qui eurent lieux dans les bureaux du journal Charlie Hebdo et dans le magasin juif porte de Vincennes à Paris et des manifestations populaires qui suivirent.

    Je vous laisse donc, tout autant que pour moi, à la surprise des thèmes abordés.

     

    Ce qu'a pu vouloir dire le "je suis Charlie", au-delà de toute propagande:

     

    Nous sommes en Mai et quatre mois déjà se sont écoulés depuis que les attentats sus-nommés eurent lieux.

    Depuis, hormis une loi liberticide de notre gouvernement et de l'Assemblée Nationale aux ordres, qui, en vérité, se révèlera inefficace, autant pour contrôler le peuple que pour empêcher de quelconques attentats, ceci simplement en raison de son coût, et qui, à y regarder, ressemble à ce qui pu se faire chez nos maîtres étasuniens dans ce réflexe infantile du féal de vouloir ressembler à son seigneur et suzerain, hormis cela, ces événements semblent s'être éloignées de nous.

    Or, il n'en est rien, tout au contraire.

    Nous pouvons tout d'abord en tirer quelques leçons:

    -la première étant qu'en vrai, tout simplement, les états européens n'ont que faire d'une violence de faible ampleur de cette sorte, ils s'y sont depuis si longtemps habitués, et ce depuis des siècles, que cela ne représente, pour eux, qu'une gène provisoire, et, tout au contraire, nous pouvons voir que cela leur permet d'en utiliser le ressort, de l'instrumentaliser dans le cours et moyen terme;

    -secondement, comme à la fin du XIX°, début du XX° siècle l'anarchisme fut écarté du paysage politique français et européen en raison de la violence de ses adeptes les plus sectaires, ce qui fut suivit par son rejet du peuple, l'Islam subira le même sort, pour les mêmes raisons, quelque soit l'instrumentalisation qui en est fait et quelque soit la valeur de ses préceptes;

    -en troisièmement nous pouvons relever qu'il existe un certain nombre de contradictions dans la suite de ces événements qui, je le pense, nous en montrent leurs dynamiques cachées, la carte d'identité et les empreintes digitales retrouvées dans la voiture des kamikazes, par exemple, étant pour le moins étrange de la part de personnes encagoulées et, donc, sensément, voulant ne pas être reconnues et donc retrouvées par la police.

    Mais au-delà de ces faits, ce qu'il me semble réellement d'importance n'est pas cette ignominieuse tuerie mais les manifestations spontanées et officielles qui eurent lieu ensuite.

    Comme j'ai pu l'écrire auparavant, celles-ci furent l'affirmation du patriotisme des (majoritairement) blancs éduqués, de la classe-moyenne intermédiaire à haute, appelée par dérision bobos.

    Or, une telle réaction ne peut survenir par hasard mais ne peut qu'être la résultante d'une longue maturation individuelle et collective, cette tuerie n'ayant eu d'effet que d'en cristalliser l'évolution.

    Cette affirmation est d'une importance capitale pour comprendre le futur de la France de part les multiples implications qu'elle suggère:

    1) Montée en puissance d'une nouvelle classe dirigeante, là intellectuelle, en remplacement de l'ancienne, bourgeoise, capitaliste et maintenant purement oligarchie ploutocratique finissante, à l'image du développement puis la prise de pouvoir cette même bourgeoisie, du XVII au XVIII° siècle, au détriment de la noblesse et de l'église, ce qui donnera à l'époque la révolution de 1789; nous pouvons observer aujourd'hui le déclin définitif de cette aristocratie d'argent;

    2) Le sentiment nouveau d'unité que ressent cette classe-moyenne éduquée, intermédiaire à haute, fait qu'elle n'a pas encore réellement collectivement compris;

    3) Son rejet de l'Union-Européenne non encore avoué, qu'il est possible de percevoir, par exemple, au-travers de l'important progrès du nombre d'adhésion au sein de l'Union-Républicaine-Populaire ( les-partis-politiques-respectent-ils-lintelligence-des-francais );

    4) Sa particularité c'est d'être fractionnée en une multitude de champs professionnels qui, jusqu'à maintenant, l'empêchait de se comprendre en tant qu'unité sociale, unité qu'ont permis ces attentats, nous montrant ainsi qu'il ne suffisait que d'un événement pour que s'accélère ce sentiment d'identité partagé.

     

    De l'invisibilité de l'effondrement économique en cours:

     

    Cela fait depuis des années que je conjecture un effondrement prochain de l'économie-monde et,  jusqu'à présent, personne, du-moins en France, ne semble en avoir sentit le moindre effet.

    Certes, le chômage augmente très fortement, mais, pour le reste, rien ne paraît indiquer le moindre frémissement d'une telle tragédie, les magasins sont bien fournis en toutes sortes de choses provenant des quatre coins du monde, les banques font leur métier (du-moins paraissent le faire), les médiats nous content, par le menu, des événements sans grande incidence pour la vie de chacun: il fait beau, il pleut, il fait froid, il fait chaud, une gamine se fait tuer par un malade mental, ce qui est triste, c'est vrai, mais ne concerne en rien notre avenir à tous...

    Donc, rien ne semble se passer de dangereux, même la baisse du prix des carburant nous semble être une aubaine ( graph_oil.php ).

    Or, il n'en est rien, cette baisse, accompagnée par celle des matières premières, tel que le fer ( graph.asp?idbank=000810667 ), le cuivre ( historique.phtml?mo=0&form=OUI&code=XD0002742340&symbole=7xCAUSD&choix_bourse_graf=country%3A33&tc=line&duree=120&pe=1&is=0&mm1=50&mm2=&mm3=&comp=0&indiceComp=1rPCAC&codeComp=&i1=4&i2=no&i3=no&grap=1 ) et plus encore le sucre ( graph.asp?idbank=000495557 ), montre, si il en était besoin, que cette diminution du prix du pétrole brut est un événement bien plus important que de simples économies aux stations d'essence.

    Or, ce à quoi nous assistons c'est que, contrairement aux multiples crises passées, l'effondrement industriel précède, là, celui des bourses.

    Il est même probable que ce à quoi nous assistions n'est, ni plus, ni moins, que le premier crash industriel que le monde n'ait jamais connu, ce qui voudrait dire qu'avance discrètement la mise au chômage généralisée de quasiment l'ensemble de l'humanité.

    C'est pourquoi la crise qui arrive nous est, pour tous, invisible, chacun ne regardant que ce qu'il se passe dans son propre pays et, ce, à tous les niveaux hiérarchiques, personne ne percevant cette lente dégradation universelle, d'autant plus que le champ idéologique néolibéral, toujours extrêmement puissant, voile au plus grand nombre la réalité de ce fait.

    Surtout, nous faisons face, à chaque crise, à la certitude réductrice d'une grande partie des populations, de l'ensemble de leur gouvernement, des spéculateurs et des commentateurs que celle qui vient sera semblable à la précédente, ce qui à chaque fois se révèle totalement faux.

    (La raison de cet effondrement industriel est simple: les entreprises occidentales tendant depuis longtemps à s'expatrier hors de leurs frontières à la recherche de coûts de production encore plus réduits, cause de l'augmentation du chômage et de la baisse des salaires occidentaux, déménagent au fur et à mesure que les émoluments des salariés de chaque nation pauvre ainsi industrialisée s'accroissent et qu'émergent leur classe-moyenne.

    Ces industriels n'arrivent plus, aujourd'hui, à trouver suffisamment de clients pour vendre leurs produits puisque les classe-moyennes, pas seulement occidentales. sont pour une large part ruinés.

    Maintenant, pour tenter de survivre, ceux-ci réduisent encore plus le nombre de leurs employés, ferment de plus en plus de fabriques, voire se regroupent pour faire, comme ils disent, des économies d'échelles, ce qui veut simplement dire mettre les gens au chômage.

    D'autant plus qu'en raison des demandes exorbitantes en dividendes des marchés boursiers et autres (dé)investisseurs, les entreprises n'ont que peu, voire pas investi en recherche et développement, ce qui a, par là-même, affaibli leurs positions.)

    La faiblesse des états étouffés par leurs dettes abyssales, la surproduction délirante de monnaies de toutes sortes faisant mécaniquement baisser leur valeur, un déni généralisé quand au danger réel devant lequel nous sommes, les décisions contreproductives des institutions gouvernementales des pays européens, d'Amérique-du-Nord, d'Asie et de bien d'autres, tout cela fait que nos dirigeants politiques sont dans la plus absolue impossibilité d'une action quelconque.

    Il n'est qu'à voir l'incurie de notre gouvernement et de ses décisions calamiteuses pour saisir combien ceux qui nous gouvernent, tant en politique qu'en économie, ne comprennent rien de ce qu'il se passe actuellement, à de rares exceptions près.

    Déjà les premières banques font faillite et je ne serais pas surpris d'apprendre, bientôt, la ruine d'un fond d'investissement, de retraite ou d'une entreprise d'envergure internationale.

    Certes, les mécanismes économiques sont plus complexes que ce que j'en décris mais, dans l'ensemble, la relation de cause à effet de cette baisse du prix des matières premières liée à la désindustrialisation généralisée telle que je vous l'ai montré est cohérente.

    Il est à noter que le nouveau G.E.A.B. d'Avril 2015 s'égare encore plus dans son fantasme d'un système économique néolibéral perpétuellement valide et international en titrant: " Le crash 2015 n'aura pas lieu!", son déni de la réalité rend dérisoire le L.E.A.P..

     

    Des dérisoires tentatives de notre gouvernement pour contrôler le peuple.

     

    En ce moment, à l'Assemblée Nationale, est proposé un projet de loi sur le renseignement qui, je ne vous le cacherais pas, m'amuse beaucoup.

    Suite aux attentats qui firent 17 victimes plus les trois kamikazes, soit vingt personnes, ce qui représente 0, 000 000 3 % de la population française, bien que leurs dimensions symboliques soient patentes, un complexe texte de loi est proposé à nos législateurs, le plus souvent simples représentants d'une chambre d'enregistrement, permettant à la police et aux services secrets, dès lors aux seules forces administratives, d'écouter et lire ce qu'il peut se dire et s'entendre sur internet et par le biais des téléphones.

    J'avais montré, dans la fable: "Le paysan et les grandes oreilles" ( fable-1-le-paysan-et-les-grandes-oreilles-5549498.html ), que les écoutes électroniques demandent un personnel qui seul serait dans la capacité de trier les nombreuses informations saisis par les ordinateurs de ce futur service d'écoute.

    J'avais également montré l'inanité du contrôle du citoyen dans "Aphorisme" ( http://nouvelhumanisme.hautetfort.com/apps/search?s=aphorisme&search-submit-box-search-16212=OK ) dans ces trois extraits:

    -"Le contrôle des citoyens coûte cher quelque soit les moyens employés, c’est pourquoi toutes dictatures finissent toujours par s’effondrer, ruinées."

    -"Les magistrales avancées technologiques actuelles font oublier que tous systèmes trop complexes (et parfois simples) deviennent sensibles aux conditions initiales, c’est à dire chaotiques, comme la météo, vouloir faire contrôle de la population grâce à l’informatique, quelque soit la puissance de calcul, rendra ce contrôle impuissant: un facteur crucial sera toujours oublié, ou ignoré."

    -"L'illusion totalitaire c'est de croire pouvoir tout contrôler, cela ne dure qu'un temps, contrôler tout le temps épuise et, progressivement, des espaces d'éventualités se libèrent, puis de possibilités, de faisabilités, enfin le peuple s'émancipe et chasse cette caste éreintée."

    Les exemples sont nombreux dans l'histoire moderne de ces tentatives d'espionnage des citoyens, toujours ces régimes, de droite comme de gauche, se sont effondrés de part l'emploi immodéré d'agents de surveillance, eh oui, ça coûte cher.

    C'est pourquoi, nos gouvernants, nos agents nationaux de la ploutocratie internationales, m'amusent beaucoup, eux qui ne cessent de nous seriner le fait que le pays se doit de faire des économies vont, par cette loi, si elle est votée par les chambres d'enregistrement, ruiner tous leurs espoirs de voir notre pays enfin remis de dettes qui, quoi qu'il en soit, ne seront jamais remboursées.

    Allez, qu'ils fassent encore un petit effort et ils sauront accélérer cet effondrement économique qui, de fait, est déjà bien avancé.

    Toutefois nous montrent-ils, ces messieurs et dames qui nous gouvernent, leur véritable visage: celui, grimaçant et grippe-sou, d'un totalitarisme mou

  • Observer ses tensions.

    A se demander qui va s'envoler de l'abeille ou de la fleur...

     

    Nota béné:

    Je ne peux plus mettre de décoration florale autre que de la page de garde sur Hautetfort.

     

    La proprioception comme septième sens, sans promesse autre que de se connaître:

     

    Ce que je vous propose là n'est pas  vraiment de la relaxation, bien que j'en utilise le principe pour cela.

     

    Je ne suis ni médecin, ni masseur (je suis le frère de ma sœur, ouarf, est elle bonne, la blague bien sûr),  ni kiné (bien que je sois né il y a 62 ans de cela, hi, hi, hi), ni psy, ni guide de quoi que ce soit, ni aucun autre métier de cette sorte.

     

    Tout ce que je vais conter ici est le résultat d'une réflexion simple, évidente même, mais qui, vous le remarquerez, peut ne pas se révéler d'une si grande flagrance que cela : mon corps et mon esprit sont les miens propres et non pas de ceux de quiconque (ce qui ne m'avait en rien empêché d'être manipulé par un pervers narcissique).

     

    Ceci  dit, connaissez-vous ce septième sens appelé proprioception (et non pas d'autre chose,  coquin)?

     

    Je ne l'ai moi-même découverte, au travers de sa mal-fonction, qu'en visionnant la vidéo de cette demoiselle au pseudonyme de "Vue Autrement", traitant de ce sujet, pour qui cela conduisait à de la dyslexie, ma dysorthographie provenant de là.

     

    Je vais donc vous demander de sentir les articulations de votre corps en vous concentrant sur leurs tensions, juste là-dessus, non pas en les crispant, mais en observant, juste observer ces tensions sans vous contracter dessus, ni de créer des tensions.

     

    Il ne s'agit pas de rechercher quoi que ce soit d'autre qu'un petit peu de calme pour le corps et, dès lors, pour soi-même, le silence ou une musique douce est donc à préférer.

     

    Il s'agit autant possiblement d'imagination, sans chercher à inventer quoi que ce soit d'autre pour certains d'entre-vous, que de sensations corporelles.

     

    Je commencerai par les pieds et finirai par les doigts.

     

    Ne cherchez pas la perfection, faites ce que vous pouvez au moment où vous le faites, si cela vous est agréable, bénéfique, recommencez si vous le désirez.

     

    Si votre corps bouge, laissez-le faire, lui sais ce qui est le mieux.

     

    Si des douleurs surviennent, des idées, des images mentales, des émotions, observez-les sans plus, sans les retenir ni les repousser, puis passez aux articulations suivantes.

     

    Et puis, si vous vous endormez, c'est que vous en aviez besoin.

     

    Laissez-vous respirer tranquillement et ouvrez les mains, tranquille.

     

    A la fin, vous vous étirerez.

     

    Commençons:

     

     

    Les pieds et leur cinq doigts chacun...

     

     

    Les chevilles...

     

     

    Les genoux...

     

     

    Les hanches...

     

     

    Le sternum et les cotes...

     

     

    Les épaules...

     

     

    La gorge...

     

     

    Les coudes...

     

     

    Les poignées...

     

     

    Les mains...

     

     

    Les doigts, un à un:

     

     

    les pousses...

     

     

    Les indexes...

     

     

    Les majeurs...

     

     

    Les annulaires...

     

     

    Les auriculaires...

     

     

    Puis étirez-vous.

     

     

     

    THEURIC

  • Des idées au gré des flots.

    Ce billet, publié le 11 Janvier 2020 à 15 h 36, nécessite un rajout au lendemain, le 12 Janvier au sujet des syndicats en une couleur similaire à celle-ci, rajout que vous retrouverez dans la partie traitant de ce sujet.   )

     

    Chers lecteurs, bonne année,

    J'avais annoncé, il y a de cela déjà quelques temps, que je ferais un texte tous les trois jours environ quand se révèle à moi qu'un tel délais m'est impossible.

    De ce fait, vous devriez plutôt vous attendre à ce que j'en publie un tous les cinq à sept jours, bien que, suivant mon inspiration, il soit possible que ce délais s'écourte.

     

    Nous vivons une période autant dangereuse que passionnante et il est intéressant de faire un tour rapide sur ce qu'il se passe en ce moment.

    Par exemple, qui, de nos élus des chambres délibératives, a compris qu'en fait l'administration de l'Union-européenne est composé, objectivement, de personnalités pusillanimes qui, si elles ne se cachaient pas comme les derniers desP1020478.JPG capons derrière les états et les élus des pays composant l'union, n'oseraient même pas décider du millième de ce qu'ils exhortent aux états de faire?

    Qui, parmi ceux desdits gouvernements a saisi que les seuls à payer les pots cassés dus aux GOPE ce sont eux et ceux des partis politiques officiels ainsi que leurs composants d'un reste d'adhérent devenant élus parce qu'il n'y a plus qu'eux, et, de plus, il n'est que de craindre qu'un jour la population, incommensurablement exaspérée, n'en vienne, en France, à vouloir forcer la porte d'autres sièges que de celui du REM ou de Black Rock.

    Que de cacher ainsi l'origine véritable de nos ennuis, soit de nos liens indéfectible d'avec l'union qui, avec l'OTAN, dirigent désormais tout chez-nous, en France, pourrait fort bien, au vu de la colère populaire qui ne s'en vient qu'à croître, les mettre en grand danger de toutes sortes.

    Ce n'est pas ce que je souhaite, loin de là, mais il est facile de considérer possible que, dès lors que les français seront en connaissance de la véritable puissance nuisible de l'UE, de son origine, de son idéologie, de son cynisme et qui la dirige réellement, cette colère populaire se portera, en premier lieu, à l'encontre de ceux de nos élus nationaux qui leur obéissent et se taisent.

    D'ailleurs certains l'ont bien entendu qui se replient, depuis des années, voire des P1030668.JPGdécennies, sur les communes et les départements.

    Cette impossibilité de pouvoir concevoir un risque futur dû aux actions présentes ayant été le thème de mon billet précédent.

    Certes, il est logique de penser que s'ils ne le font pas, c'est précisément parce que celui de ceux-là qui, devant les caméras de la télévision, en révélerait la réalité pourrait bien subir autant le rejet de son parti que de se retrouver isolé au sein de l'Assemblée Nationale ou du sénat, d'en subir les foudres.

    Cette censure majeur signant, à mon sens, une ère d'un court moyen-âge fanatique que d'autres aussi comprennent, ce texte de Jacqueshenry et le commentaire qui en suivit d'un certain claude Brasseur le démontre.

    Ce dernier fait allusion à la dernière marotte débilitante à la mode en ce moment: la Terre serait plate.

    De ce niveau d'intransigeance et d'ignorance, nous ne pouvons plus parler de fanatisme mais de porter notre réflexion bien au-delà, dessus une folie des hommes multifactorielle contemporaine, ce que je m'était tenté, entre-autre, de définir en Juillet de l'année dernière ici.

    Il est vrai que ce n'est pas notre planète qui est plate mais bien leur cerveau.P1030020.JPG

    Cela pourrait vous surprendre, amis lecteurs, que je puisse faire un parallèle entre le silence de nos élus au sujet de l'UE et cette aliénation conceptuelle d'une présupposée Terre plate, qui, cela est visible sur le site vers lequel je vous renvoie, est elle aussi mise en corrélation avec cette histoire loufoque de réchauffement climatique anthropogénique censément catastrophique.

    Je pourrais tout autant y rajouter ce fumeux préjugé dit théorie du genre qui ferait l'imaginaire que ce serait la société qui déterminerait la sexualisation des personnes, et non pas la simple et pure biologie.

    Je vous renvoie là-dessus à cette vidéo de Tatiana Ventôse démontrant, surtout à mes yeux, que ce ne sont pas seulement nos élus des chambres délibératives et une part du peuple français qui souffrent d'une telle dérisoire démence, l'Espagne et sûrement d'autres peuples ainsi que de gouvernements et d'assemblées en souffrent tout autant.

    Oui, là se trouve la folie de nos élites, au même endroit de celle qui agite une partie, petite heureusement, de la population.

    Quand sa grande part n'est elle que plongé dans ce brouillard conceptuel dont je vous avais déjà fait écho précédemment.

     

    P1030038.JPGS'il y a, à mes yeux, un sujet géopolitique important, ce ne sont pas tant les événements se passant entre les USA, l'Iran et l'Irak qui, quand bien même un général iranien central dans la politique du moyen-Orient fut assassiné par Tonton Sam, ce qui ne peut qu'être considéré que comme un acte de guerre, une agression caractérisé contre un état souverain.

    Bien que cela soit gravissime et générera ses effets dans le futur, le fait majeur serait plutôt que dorénavant, les syriens comme les irakiens se révèlent être grandement patriotes, démocrates, avide de l'état de droit, au-delà de la confession religieuse de chacun.

    Du reste, de l'erreur de jugement d'une ou des deux parties impliquées, d'une provocation probable des faucons US à l'endroit de l'Iran, profitant des faiblesses d'un vieil homme, Donald Trump, ou d'une cabale ou d'un accord tacite que j'avais imaginé d'un: "Tu me tue Qassem Soleimani qui me gène, je t’éradique de tes mercenaires que tu m'envoie!", cette affaire se calmera, vous remarquerez que les iranien parle de 80 morts US lors de leur attaque aux missile quand le gouvernement étasunien, lui, affirme qu'il y en a eu aucun.

    Toujours est-il que cette affaire à assagit les rues iraniennes et irakiennes qui demandaient un changement de gouvernement, accalmie qui ne peut qu'arranger les leur respectif.

    Et que, le président US contraint et forcé d'envoyer des troupes au Moyen-Orient, se trouve donc en position de faiblesse lors des prochaines élections étasuniennes, lui qui avait promis, lors de la campagne électorale précédente, de toutes les rapatrier.

    Si d'ailleurs l'empire US ne réplique pas et ne s'engage pas dans un conflit contre lesP1020956.JPG perses après leur attaque contre deux bases c'est que, tout simplement il n'a plus aucun moyen de commencer une guerre de moyenne ampleur.

    C'est pourquoi ce fut plus qu'une faute, une gravissime erreur US, un abus de bêtise.

    Toujours est-il que cela ne peut que montrer les faiblesses grandissantes de l'empire US, ce qui ne peut que mettre les euro-béats en une panique ne pouvant que s’accroître, ce qui les poussera à accélérer encore plus leur politique néolibérale et de tenter de désintégrer les états-nations composant l'Union-Européenne.

    Voire même en ce que certains décompense gravement en montrant des signes de crise psychotiques, ou d'un usage immodéré de psychotropes.

    (Information de dernière minute: l'Iran reconnait sa responsabilité dans le crash de l’avion d’Ukrainian Airlines, ce qui éloigne définitivement tout risque de guerre avec les USA, tout en fragilisant ce pays de l'intérieur, mais aussi de sa position en Irak.)

     

    Il est possible que la grève de transports contre la réforme réactionnaire des retraites se révèle être un échec, que, faute d'argent, les agents de la RATP et de la SNCF reprennent le travail, ce ne serait, en ce cas, autant pour le REM des radioéléments, pour macron et son gouvernement, pour l'administration unioniste comme pour l'oligarchie ploutocratique euro-atlantiste qu'une victoire à la Pyrrhus.

    En effet, autant économiquement que politiquement cette grève à, pour beaucoup, contribué à affaiblir la ploutocratie française et le pouvoir en place,  rendant même l'Union-Européenne et ladite ploutocratie étasuniennes perceptible, voire manifeste, ceci tout en accroissant la colère populaire, ce qui peut mener à un début de P1030056.JPGsabotage des infrastructures ferroviaire, notamment.

    Mais il est de fait aussi, en percevant l'épuisement économique des cheminots, de ceux travaillant dans les dépôts de carburant et des conducteurs de bus et de métro, que d'autres fonctions sociales entrent dans la lutte, tel que les avocats dont la cessation de travailler ne peut qu'être que des plus visibles, sans toutefois que l'on ne nous soit fait mention dans les médiats d'autres professions moins apparents mais tous autant nécessaires pour le bon fonctionnement de la société.

    De surcroît et dans le même temps, ce même gouvernement vient de décider de suivre toujours les mêmes sommations recommandations expresses de l'UE, c'est à dire de remettre en cause le statut des fonctionnaires, ceci au moment même, je viens de l'apprendre dans l'instant, où les employés des banques se mettent en grève eux aussi.

    La question à se poser dès lors: serait-il possible que le pays ne soit en situation de blocage progressif, serions-nous en plein en une situation insurrectionnelle?

    Comme j'avais pu l'écrire précédemment, le macronisme, quoi qu'il fasse, se retrouverait au-devant d'une double contrainte difficilement surmontable: soit il cède, recule et retire ses projets de loi, auquel cas il se fera taper sur les doigts par l'union et par ses employeurs oligarchiques, soit il persiste ce qui détruira économiquement l'Union-européenne, sachant que la France est la deuxième économie de l'union.

    Il faut bien comprendre que, dorénavant, les français n'ont plus rien à perdre et je P1030218.JPG ne pense pas que les syndicats réussiront à faire rentrer le gréviste dans sa boite maintenant qu'il en est sorti.

    Vous remarquerez que nombre de postes importants de l'union est, dorénavant, occupé par des femmes, si, comme je le conçois, l'intelligence est asexuée, alors son manque ne peut que l'être tout autant.

     

    Une chose, peut-être la plus importante de toutes.

    Pour beaucoup de gens, ce qu'il se passe en ce moment est angoissant, la raison en étant que les événements actuels ne semblent pas avoir de sens.

    Pourquoi aujourd'hui se met-il en place autant de projets de loi néfaste pour la population sans aucune raison valide?

    Un réchauffement catastrophique se développerait-il, serions-nous en face d'un effondrement économique international, pourquoi les journalistes  des médiats officiels montrent-ils une telle morgue, un tel mépris, une telle haine envers le peuple?

    Certes des fonds vautours tournent autour du pays en attendant de se déchirer les lambeaux de richesse que la casse du système français apportera.

    Mais pourquoi donc le président de la République, son gouvernement et son parti P1030065.JPGpolitique, le REM, la classe politique officielle, bien que FI gigote un peu, RN faisant le mort, soit assassine le pays, soit ne montrent pas un acharnement quelconque pour le prémunir, pour le protéger?

  • De la Grèce!

    Voilà, les grecs ont voté.

    L'économie-monde, est dans un état similaire de ce que pourrait être une surfusion ( https://sciencetonnante.wordpress.com/2011/04/11/la-surfusion-de-leau-cest-supercool/ et surfusion.htm ) et va bientôt entrer dans une période appelée "transition de phase", qui est le moment ou un système passe d'un état à un autre, ce qui, pour nous, prendra la forme de la crise catastrophique qui vient.

    Ce sera donc l'ensemble des sociétés mondiales qui, d'un façon ou d'une autre, subira de profondes mutations et transmutations, après avoir vécu un effondrement global de l'économie international puis plusieurs décennies de terribles convulsions, voire probablement pires.

    Mais, pour l'instant, une sorte de stabilité économique universelle s'est établie depuis quelques années et, comme j'ai pu l'expliquer auparavant ( search?s=surfusion&search-submit-box-search-16212=OK ), cela est autant du à la rapidité avec laquelle cette économie internationale se décompose que des multiples et approximatifs rééquilibrages qui y sont effectués ne faisant, en même temps, qu'accentuer les déséquilibres.

    C'est cela même qui plonge le monde dans cette, pour l'instant, lente et continuelle asphyxie industrielle, commerciale, bancaire et monétaire: les bourses, fonds de pensions et sociétés spéculatives étranglent l'humanité, comme un boa étouffe progressivement sa proie, en suçant littéralement le plus possible des richesse des pays et des peuples par la dette, ceci pour tenter de survivre encore un tant soit peu de temps.

    Cela se faisant avec la complicité d'un personnel politique qui, de l'Occident au Japon, de l'Afrique à l'Asie, s'essaie de conserver une doctrine économico-politique, dite néolibérale, dans leur sentiment illusoire que seule celle-ci détient la vérité d'une légitime gouvernance et la solution à tous nos problèmes.

    Or, les déséquilibres grandissant au sein de cette économie globalisée la rend chaque jour plus fragile et n'est plus, maintenant, qu'un événement secondaire, comme la sortie de l'euro, voire de l'Union-Européenne, ou simplement la crainte en cette sortie possible, d'un pays pourvu d'une économie de faible ampleur comme l'est la Grèce (2% du P.I.B. de l'U.E.), pour que cet événement déclenche toute une cascade de réactions d'échelles nationales, continentales et mondiales conduisant à cette faillite universelle dont je ne cesse de vous mettre en garde.

    Et donc, voilà, les grecs ont voté non.

    Ce référendum, présenté par son gouvernement, n'avait pas pour but de proposer une sortie de la monnaie unique et encore moins de celle de l'union, il n'y était question que de savoir si les électeurs voulaient ou non poursuivre sur la voie qui est proposée par le triumvirat, commission européenne, banque centrale européenne et fond monétaire international, auquel il ne faut pas oublier de rajouter les divers intervenants allemands, Madame Merkel, la Bundesbank ainsi que le ministre de l'économie, Monsieur Gabriel.

    C'est cette voie, celle d'une récession perpétuelle, qui fut rejetée en masse par le peuple hellénique.

    Et quand bien même cette votation, à terme, conduisait au départ de la Grèce de l'U.E. et de l'euro, cela ne devrait pas, en temps normal, conduire à de quelconque effet désastreux, mais, tout au plus, à quelques remuements boursiers ainsi que d'ajustements monétaires et comptables relativement mineurs.

    Mais nous ne sommes plus en un temps normal.

    Déjà, de nombreux soubresauts frappent à nos portes:

    -La Chine s'effraie de sa gigantesque bulle immobilière faisant passer celle de l'Espagne pour une ridicule bulle de savon, elle qui arrive à peine à contenir un peuple qui, naguère, crut pouvoir s'enrichir de la désindustrialisation occidentale et qui, aujourd'hui, suit le même chemin de son appauvrissement;

    -Les étasuniens, eux, s'enfoncent jour après jour dans une pauvreté les faisant s'approcher des habitants de pays de misères, sans compter les armes à foison que beaucoup détiennent rendant les États-Unis-d'Amérique à l'orée du chaos, un personnel politique inepte à l'idéologie purement individualiste et des institutions gouvernementales aussi que les états tendant à leur indépendance d'un pouvoir fédéral finissant;

    -Toute l'Asie se désespère de ne pouvoir plus trouver preneur de leurs marchandises produites et voit, avec effarement, les délires des européistes unionistes germanolâtres ruiner encore plus leurs populations, les seuls clients encore à peu près solvables pour l'est eurasiatique;

    -L'est et l'ouest-africain, le proche et le Moyen-Orient se déchire toujours plus et Turquie, Iran, Arabie-Séoudite, Égypte, Israël ainsi que d'autres n'attendent que le signal de la ruine universelle pour se plonger avec délectation dans les affres d'une guerre indicible, meurtrière et générale;

    -La Russie et les pays d'Amérique-du-Sud, eux, patientent cette ruine universelle en se préparant à une momentanée vie en autarcie;

    -Et l'Europe, cette pauvre Europe, saccagée par des décennies de colonisation discrète U.S. et maintenant par une stupide et acerbe domination allemande, s'égare d'un monde politique, d'une puissance publique, de peuples divers et variés croyant avoir enfin trouvé la paix dans une union dissonante, dominée par un Tonton Sam déliquescent et une Germanie redevenue folle, se perd dans une déferlante idéologique néolibérale lui permettant, en un antédiluvien réflexe, de toujours nourrir, de toujours gaver la dernière aristocratie en date, encore pour quelque temps vivante, celle, bourgeoise, de l'argent.

    Elle qui ne sut, pendant bien plus de deux millénaires, que se faire des guerre incessantes reprend, par les armes de la monnaie, au sein de l'Union-Européenne, ses éternels conflits, retrouvant ses anciennes manies des haines et de la cruauté, guidée par une Allemagne sortie d'outre-tombe et qui, bientôt, se décomposera de nouveau, comme hier ce le fut pour le Saint-Empire-Romain-Germanique, de ne plus vouloir vivre d'avoir abouti à son seul et unique désir: dominer l'Europe.

    La France, quand à elle, se pourrit ne n'avoir pu remplacer des élites incultes, vieillissantes et harassées qui, une fois encore et depuis des siècles, trahit régulièrement leur peuple et leur pays, tant ils haïssent et l'un, et l'autre, au profit d'une Germanie qu'ils adulent en idolâtres transis.

    Ces élites, qui ont fait des Amériques, de l'Allemagne, de l'Union-Européenne et de l'euro l'horizon indépassable de leur imagination, savent inconsciemment les français devenu ces savants que dorénavant elles ne sauraient plus être, savent proche leur fin quand sonnera le glas de l'économie-monde, savent leurs remplaçants déjà présents bien que pas encore prêts, savent qu'elles disparaîtront bientôt, naturellement, sans même que le moindre frémissement d'aigreur et de manifestation ne vienne troubler la béatitude de leurs rêves eurolâtres, savent que le temps leur est maintenant compté.

    C'est cela qu'est devenue l'Union-Européenne, un désert dont les peuples, du nord au sud, de l'est à l'ouest, ne veulent plus, dirigée par une Allemagne suicidaire jouant sa survie, poursuivit par une France craintives aux élites décriées et suivit de loin en loin par une nation U.S. dont on ne peut plus contempler que les os (les accords de libre-échange ne sont pas un danger, un mourant est-il dangereux?).

    C'est cela que combattent les grecs, ces grecs qui, par ce seul référendum, vont peut-être, de domino en domino, faire s'effondrer ce château de sable fragile, évanescent, éthéré qu'est devenu une économie mondiale atteinte depuis si longtemps d'un délire monomaniaque fait de dettes infinies.

    Cette démence de dettes qui fait que plus personne ne sait qui doit quoi à qui, qui a tant et tant fragilisé les banques et les assurances qu'elles cachent à tous leur situation réellement désespérée, qui mène les fonds de pensions à bientôt ne plus pouvoir payer leurs retraités et fortunés, qui va sous peu conduire les bourses à un niveau proche du zéro, qui fera s'autodétruire toutes ces monnaies tellement surproduites qu'elles n'ont depuis longtemps plus de valeur, qui verra les états être contraint de nationaliser banques, assurances et entreprises multinationales, qui verra quasiment disparaître tout le commerce international, aérien et maritime, qui verra se refermer les frontières de tous les états-nations et qui, cerise sur le gâteau, ruinera aussi définitivement les divers maffias s'égrainant partout sur Terre......

    C'est cela que la votation de la Grèce pourrait bien avoir produit, quand bien même son gouvernement en viendrait à trahir ses électeurs, si cela commence, si cela a déjà commencé, cela s'achèvera implacablement.

    Quoi qu'il en soit, quand ce processus de transition de phase, similaire à celui qui advient lorsque l'eau devient glace, se mettra en branle, rien ni personne ne pourra l'arrêter, ni l'empêcher et deviendra totalement indépendant de toute volonté humaine.

    Aucune décision et action n'aurai prise sur un tel processus qui se développera inexorablement, les déséquilibres étant dorénavant bien trop importants, ses mécanismes destructeurs se poursuivront inéluctablement jusqu'à ce qu'un nouvel équilibre soit trouvé de façon naturel.

    Cela voudra dire qu'aucune démarche humaine de quel que sorte que ce soit n'y aura un effet quelconque, ce processus se poursuivra jusqu'à son achèvement.

    Quel niveau faudra-t-il atteindre pour que nous arrivions à ce nouvel équilibre?

    Personne ne peut le dire!

    Ne serait-ce qu'en raison de l'opacité incroyable de ce système d'endettement et de création monétaire faisant que les différents acteurs, pour certains inconnus et/ou tricheurs, pourraient très bien, par exemple, créer de la monnaie ex nihilo pour la transformer, pourquoi pas  ensuite, en or physique, cacher des dettes supplémentaires dans quelques paradis financiers, falsifier les comptes de concurrents ou, simplement, être parti avec la caisse électronique de leur société...

    C'est pourquoi ce sera terrifiant et extrêmement rapide!

    (J'oubliais de préciser que plus nous avançons dans le temps, moins de gens pensent qu'un tel processus systémique d'ampleur international soit possible et puisse survenir, surtout dans un avenir si proche.

    Et il en est de même pour nombre de mes lecteurs dont, nécessairement, vous êtes.

    Or, il est pour moi inévitable et logique.

    L'instabilité du système économico-politique ne peut que converger vers sa rapide déchéance.

    Cette instabilité est arrivée aujourd'hui à un point de rupture important, mais elle peut se poursuivre encore quelque temps.

    Certes, il y a quelques années, certains, dont je suis, pronostiquaient déjà que cela adviendrait, ce qui fut l'une des causes de cette dénégation.

    Mais la raison essentielle du sentiment que la majorité de la population mondiale a de l'impossibilité qu'un tel avènement puisse survenir se trouve autre-part.

    C'est la nécessité, pour cette majorité, de faire perdurer une structure idéologico-mentale, autrement nommée champs idéologique, sous une forme ou une autre, mais n'ayant plus maintenant de représentant que sous la forme du néolibéralisme, qu'il soit apprécié ou honni, qui forge réellement cette dénégation.

    Il me faut également préciser  que l'essai que je viens de faire de montrer l'aspect logique de ce processus peut également désorienter.

    L'obscurantisme du temps a fait se développer une pensée magique, c'est à dire dénuée de toute relation de la cause et de ses effets ( idee-n-10-essai-de-reflexion-sur-la-causalite.html ).

    Cela mène à divers égarements dont le plus sérieux consiste à considérer que ce qu'il se passe actuellement et se passera dans le proche futur est le résultat de plans complexes ourdis par je ne sais quels démiurges géniaux.

    Certains feraient même intervenir des extra-terrestres, je ne dis pas qu'ils n'existent pas, tout au contraire, mais le simple fait de l'incompétence de nos représentants et autres professionnels suffi largement pour expliquer notre situation déplorable.

    Bien sûr, il est possible de connaître des mécanismes mis en place par les États-Unis-d'Amérique depuis 70 ans au moins pour contrôler, contraindre et dominer les européens, mais il est à remarquer la perte progressive par les élites de ce pays, tout comme des nôtres, de tout esprit de raison, d'éthique et de culture, soit d'intelligence.

    Et je verrais difficilement les hurluberlus actuels, d'un bord à l'autre de l'océan Atlantique, continuer de fomenter quelque plan suffisamment bien conçu, l'Ukraine en est, pour moi, la preuve la plus frappante.

    Oserais le dire, ce à quoi nous assistons et bientôt vivrons, n'est pas autre chose qu'un déroulement naturel et, je le répète, logique, de mécanismes mis en marche depuis longtemps, que je situerais au début de la guerre du Vietnam (1955/1975) qui obligea le Président Nixon à désindexer le dollar de l'or en 1971.

    Étant entendu que nous pourrions faire remonter l'origine de ce mécanisme plus loin encore.

    Maintenant, à chacun d'entre-vous de faire, des idées transmises par ce texte, ce quoi bon vous semble, de pensée comme d'action, cela, naturellement, ne peut être aucunement de mon ressort.

    Du-moins ai-je tenter de prévenir du mieux que j'ai pu de la catastrophe qui vient.

    Mais ai-je été entendu?)

    [Je tiens à souligner la chose suivante: je me suis aperçu que l'I.N.S.E.E. a cessé de produire son indice des prix des matières premières depuis Mai 2015, sauf pour le pétrole brut, ( theme.asp?id=18 ) et France-inflation sur celui du pétrole brut depuis Février de la même année ( graph_oil.php )!

    Ce dernier ayant pu faire faillite, sait-on jamais...

     

     

    THEURIC

  • Du macronisme philippard en marche: en route pour les dérives.

    Je me fais penser au sieur tirant sur l'ambulance, mais que voulez-vous, ce qui était prévisible survient: nos zélés zélotes du macronisme philippard que sont les députés de la République En Marche font tout pour.

    Certes, je ne vais pas jeter le bébé avec l'eau du bain, certains ne peuvent qu'être que d’honnêtes et intelligents élus qui, bon an mal an, désirent remplir au mieux leur fonction électif, quand bien même je ne suis absolument pas d'accord avec leurs présupposés idéologiques.

    P1010080.JPGMais comment considérer avec sérieux ces derniers lorsque l'on connaît les dérives que certains de ceux-ci commettent.

    Bon, passons rapidement sur les, euh, imperfections (?) de certaines des candidates de ce parti lors de ces élections législatives ( video-une-candidate-en-marche-se-ridiculise-sur-internet-84991 ), ( video-performance-desastreuse-dune-candidate-en-marche-sur-france-3-84729 ), ( video-la-candidate-en-marche-dans-le-rhone-expose-son-incompetence-la-television-84949 ),  j'en comprends que personne ne leur a donné la possibilité ni le temps de s'instruire un minimum de ce que peut être la communication politique.

    Ces trois dames avaient juste voulu faire preuve d'un petit peu de langue de bois, malheureusement, çà, ça s'apprend, parler pour ne rien dire est un exercice difficile, même avec une anti-sèche devant soi, et qui, comme tout, doit s'enseigner, faites l'expérience, amis lecteurs, en vous essayant au gromelot, vous verrez, ce n'est pas si évident que ça.

    Cela ne peut que vouloir dire que celles-ci furent envoyées devant les caméras sans qu'elles aient reçu la moindre formation initiale, jetées en pâture devant les médias sans filet qu'elles ont été, comme le taureau dans l'arène, le lapin devant le furet.

    En fait, nos propagandistes en chef furent tellement assurés que leurs manipulations mentales fonctionneraient qu'ils n'ont même pas pris la peine deP1010046.JPG former leurs futurs élus.

    De plus, cela ne veut que dire que seul le formatage idéologique suffisait à ces propagandistes, du reste, ils s'en foutaient complètement, elles auraient pu bêler que c’eût été, pour eux, du pareil au même.

    Le principal ayant été que Monsieur Macron obtienne la majorité à l'Assemblée-Nationale, quelle que puisse être la personne qui serait élue du moment qu'elle obéirait aveuglément aux décisions de l'oligarchie.

    Or, comme écrit plus haut, ce qui était prévisible survient et les débordements de ces zélés zélotes se suivent, sans se ressembler, heureusement, pour eux, du-moins (et puis ça nous donne l'occasion de rigoler un peu).

    Ainsi a-t-on appris, il y a peu, qu'un de ceux-là, Monsieur El Guerrab, aurait tabasser l'un de ses anciens camarade du P.S., cadre de ce parti de son état, Monsieur Faure.

    J'en ai lu quelques articles et, ma foi, il est visible que les journalistes doivent vraiment ramer pour justifier cette agression, en  accusant, à demi-mots, la victime d'avoir été le premier agresseur.

    Elle aurait ainsi tenu le poignet de l'assaillant en le traitant de "sale arabe", plus P1000758.JPGquelques mots d'oiseaux, pourquoi ce dernier n'a-t-il pas porté plainte plutôt que de le frapper, avec son casque, au demeurant, l'envoyant à l'hôpital, manquant autant de jugeote que de contrôle.

    Croyez-vous vraiment qu'un homme politique d'expérience laisserait passer une pareille aubaine, un coup sur la tête et il peut dire n'importe quoi, perte d'équilibre, douleurs aux cervicales, troubles du sommeil, ça ne peut pas se prouver?

    Croyez-vous aussi vraiment que les gens du P.S., enfin ceux qui reste, n'ont pas l'envie vibrante de se venger?

    D'ailleurs, comme je l'ai déjà dit, ils ne sont pas les seuls, ceux de L.R. aussi doivent attendre les marcheurs à reculons au coin du bois.

    Pour l'instant, ils patientent, et vous allez voir un de ces quatre, quand les R.E.M.s ne s'y attendront pas, quand ils seront bien fragilisés, comment ces vieux de la vieille de ces anciens partis politiques vont te les piéger, comment ils vont te les éparpiller façon puzzle, et tous ensemble iront à l'hallali en plus, P.S. & L.R..

    "Sus au macronisme", qu'ils diront, "taïaut, taïaut, taïaut et Monjoie! Saint-Denis!"

    L'ennemi de mon ennemi est mon ami, n'est-ce pas?P1000879.JPG

    Enfin  bref, il aurait pu, si ces injures sont réels, ce qui reste à prouver, attendre, comme l'ont fait maints politiques, pour se venger plus tard, ou même, à l'ancienne, dans un style troisième république, proposer un duel à l'épée comme l'avait fait Gaston Defferre et René Ribière il y a une soixantaine d'année.

    Au moins aurions-nous rigolé un peu et ridicule pour ridicule, Monsieur El Gerrab aurait certes perdu également la face au-devant de ses électeurs, mais avec élégance.

    Il aurait même pu user d'humour, comme Monsieur Chirac en son temps qui avait répondu, en tendant la main à un quidam qui l'apostrophait en criant: "enculé: "Moi c'est Chirac, enchanté."

    Donc, il a certes été mis en examen par le juge d'instruction et, de ce fait, démissionné de R.E.M. mais devinez quoi, il se retrouve maintenant à la commission de la défense ( #more-106802 ).

    Comme quoi dorénavant les élus de R.E.M. ne peuvent que se sentir intouchables.

    Un autre cas, montrant et démontrant le sentiment d'impunité de ces élus, me paraît révélateur de l'incroyable impudence de ces gens.

    Madame Pascale Fontenel-Personne, propriétaire d'une agence de voyage dans la P1010071.JPGSartre, organisait de petites visites de l'Assemblée-Nationale, contre la somme sonnante et trébuchante de 119€ que, bien entendu, elle conservait ( visites-payantes-a-l-assemblee-que-risque-la-deputee-pascale-fontenel-personne_2363377.html ).

    Il n'y  a pas de petits bénéfices, n'est-ce pas?

    Sans comprendre le sens de sa fonction élective, de ses responsabilités majeurs face à ses concitoyens, de la représentativité qui est sienne face à la nation, de son simple sens du devoir, cette façon de faire éclaire de manière incontestable que pour une partie de ceux de R.E.M. (le rem est l'unité de mesure nationale des effets biologique de la radioactivité, à l'international c'est le sievert, comme quoi nous comprenons cette propagande, les R.E.M.s sont radio-actifs, hi, hi, hi) qui se devraient d'élaborer et de voter les lois, ne perçoivent, de leurs fonctions, que leurs intérêts propres.

    Et les autres, tous les autres qui y croient, et ben, ils commencent tout juste à comprendre qu'ils se sont fait couillonner dans les grandes largeurs.

    Je suis allé voir le site C.A.M.E.M. ( https://www.camem.org/ ), association des adhérents en désaccord avec la direction de la République en Marche sans démarche.

    Quels naïfs, mais quels naïfs ils font, il se font balader comme des gamins, n'ont rien compris de ce qu'ils représentent réellement (rien) et, surtout, à qui ils ont affaire.

    D'ailleurs, il doit en être de même de quelques députés d'E.M., comme ce P1010058.JPGmathématicien, Cédric Villani, loin d'être sot mais qui n'a pas saisi que ni la politique, ni l'économie, du reste, ne sont des sciences réellement mathématisables.

    Sciences humaines, oui, du domaine de la sociologie, c'est vrai, mais tout autant de l'anthropologie, de l'histoire, de l'organisation, de la philosophie et de bien d'autres domaines qui ne peuvent être ceux ayant trait aux mathématiques, ou à la marge.

    Pour l'instant tout est beau, tout est rose, mais bientôt les oligarques leurs montreront leur visage grimaçant et les lois qu'ils auront à voter se révèleront de plus en plus souvent autant absurdes que contrintuitives, voire parfois ubuesques et destructrice.

    Et alors là, cette bleusaille si naïve en politique, qui se rêvait de tracer la voie pour la modernisation de la France, qui se rêvait fondatrice d'un lendemain qui chante, pourra se dire honteux et confus: "Mais mon dieu, qu'ai-je fait dans cette galère!".

    "Tout beau parleur vit au dépend de celui qui l'écoute", disait d'antan Lafontaine par le  bec du corbeau.

    Cette leçon leur vaudra plus qu'un fromage, sans doute, parce que ce n'est pas un renard qu'ils ont ouï mais bien des loups, ressemblant à ceux qui, d'antan, étaient déjà entrés dans Paris.

     

     

    P1010040.JPGTHEURIC

  • Remarque, mais pas seulement, sur notre temps présent!

     

    La guerre du Mali, puisque c'est ainsi qu'elle risque bien de s'appeler dans un petit peu de temps, montre à quel point le néolibéralisme a militairement affaibli la France, l'Europe et surtout combien les États-Unis-d'Amérique et l'Angleterre n'ont plus de capacités opérationnelles hormis l'évacuation de leurs troupes.

    Du-moins se montrent-ils tel, eux qui aimeraient tellement cacher cette faiblesse.

    Les islamistes, bien que cette dénomination recouvre une réalité fort complexe, offrent à l'Europe le réveille dont elle avait besoin.

    L'économie-politique anglo-saxonne dont elle s'était, s'est entichée dans son aversion existentielle de vivre l'évènement, le sentiment que les U.S.A. resteront, jusqu'à la fin des temps, le garant d'une paix éternelle l'a persuadé que la chose militaire n'était plus que dérisoires souvenirs des époques où les conflits européens faisaient ceux du monde, où les siècles de chocs puissants et mortels répandaient morts et terreurs, où le souvenir du cataclysme exterminateur pervers et cruels de l'hitlérisme générât une culpabilité sans nom, où la scission en deux Europes en firent sœurs ennemies dans le même sentiment de devoir payer leurs fautes.

    Tout cela se fit avec de logiques raisons mais les temps changent!

    De puissants mouvements émergent dont l'extrémisme religieux, le plus visible vient de l'Islam, n'en n'est qu'un modeste échantillon.

    Le catalyseur en sera l'effondrement des U.S.A., du Royaume-Uni; l'Angleterre, elle, bien qu'elle traversera des années très difficiles, saura trouver le moyen de se sauver d'une totale décrépitude.

    Déjà tout le monde comprend que le roi est nu, l'Amérique n'est plus.

    Et ce magnifique bouclier, qu'il était, nous protégeait jadis sans effort des vicissitudes de la violence commune des états et des peuples, de l'histoire.

    Il n'est plus là pour nous offrir de cette paix éternelle à laquelle depuis tant de temps nos aïeux aspiraient, l’Éden.

    L’angoisse monte!

    Plus encore, bercés, hier, comme des enfants, par cette quiétude tiède dû à la rassurante mais apparente puissance d'un oncle Sam au fait d'une gloire dès maintenant en extinction, tous, ou quasiment, en notre doux continent, suivirent les consignes sottes de conseillés d'économie en tout point ruineuses.

    Ainsi est ce néolibéralisme, tare achevée des délires dérisoires mais mortels d'un obscur obscurantisme, ploutocratie orgueilleuse prétendant prendre place des aristocraties passées, en Europe comme dans les Amériques, en un délire psychopathique nous contraignant à la pauvreté, dans une dérive hallucinatoire de l'infinité de leur enrichissement nous entraînant sous peu dans une ère où monnaies et argents perdront toute valeur.

    Alors que tous contempleront, aux faîtes des calamités, la faillite commune des centres économiques, les banques en fermeture, les monnaies en dérision, viendra se signaler le frémissement d'éveille d'une Europe perdu sans son bouclier paradisiaque de cet Amérique en perdition.

    Mais voilà qu'au Mali quelques zigotos, héritiers anachroniques des flux périodiques des fous de dieu qui guerroyaient leurs semblables pour purifier un Islam qui ne leur semblait que si peu respecté par des croyants à leurs yeux faiblement vertueux, viennent vouloir déstabiliser l'un des nœuds majeur du nord-ouest de l'Afrique tant fragilisé où des minerais nécessaires à notre subsistance interdit à la France, à l'Europe de laisser cette massacreuse conversion religieuse donner toute sa puissance.

    Et là se contemple en directe le vide infini de la ridicule capacité d'action de tous les pays européens sauf la France qui ne peut qu'utiliser un matériel d'une telle ancienneté que l'usure y est au-delà de la panne.

    L'Allemagne aimerait tant nous accompagner sur les chemins mouvementé, tortueux des aventures guerrières, sans le dire, sans peut-être même le savoir, sans en être consciente, contrainte par le souvenir des terribles temps où elle se laissât entrainée par un fou et ses meurtriers truands, elle n'ose mais bave d'envie, retenue par un frein qui, en vérité, ne tient plus que par un frêle fil n'attendant que la moindre des péripéties pour rompre.

    Le reste de l'Europe, toujours psychologiquement scindée en ses deux zones, est et ouest, reliquat d'un temps pas si lointain où les deux démocraties régnantes, populaire et libérale, assouvissaient leurs puissances par d'autres, tant d'autres, chacune désignée d'un sigle au même commencement: "union", qui enfantèrent, en leur fin, l'Union-Européenne, le reste de l'Europe, dis-je, sud et nord, ouest et est, garde toujours en mémoire la riche et terrible histoire des tribulations historiques; tous voudraient partager en confédération pas encore satisfaite parce que toujours union.

    Deux milles, trois milles ans partagés, voire plus, tellement plus, de cette histoire ouest-eurasiatique voyant depuis tant de temps passer les envahisseurs déferlants, venant de ces contrées lointaines, arrêtes par l'Océan insondable et restés là de ne pouvoir aller plus loin.

    Europe, amoureuse du dieu des dieux, Zeus, amoureux d'elle, plus qu'une histoire, plus qu'un mythe, Europe et ses fils, presque dieux, futurs dieux, Europe enfantée de la Grèce, Europe reste toujours inscrite, en nom, comme socle et fondation, en filiation de l'ouest-eurasiatique, filiation oubliée, puissante filiation parce que oubliée.

    Peut-on comprendre l'Europe sans connaître rien qu'un peu de cette mythologie?

    Et voici que ces fous de dieu, chaperonnés par ces pays de l'arabique péninsule culpabilisant de leurs richesses provenant de puits de pétroles dont il est déjà perçu le fond, de leurs égratignement du rigorisme que leur habitat déclame, de faire appelle à ces barbares d'européens, seuls capables de bâtir cette modernité que leurs fortunes commandent, que ces fous de dieu, donc, raniment ce rêveur, ce géant endormi de ne plus vouloir être elle, l'Europe et qui, maintenant, en a oublié jusqu'aux raisons de son oubli.

    Et voici que cette Europe, encore ensommeillée, tout juste s'ébrouant, éberlué des craintes de voir s'affaisser le tout dernier titan, son gardien, son sauveur, comprend que la ronde de la vie, de la mort, de l'histoire arrive à sa porte, y toque, y sonne.

    Bien?

    Mal?

    L'Asie, les Amériques, l'Océanie, l'Afrique, des quatre coins du monde le retentissement de l'effroyable écroulement de ces U.S.A. déjà vacillants se redoute autant que la pire calamité, de ces pays s'achètent en dollar de rien leur remplissant les caisses, le reste des valeurs en usines et en biens que les européens vendent sans y comprendre goute; Le rire des acquéreurs, rire de bon cœur et avec raison, résonne sur la Terre comme si elle tremblait de toutes fondations: comment ne pas s'amuser de ces anciens maîtres qui se dépouillent ainsi de leurs derniers fleurons?

    Qu'y aurait-il donc à craindre de cette région du monde où on s'y déshabille sans pudeur et sans honte de ce qui fit d'elle première?

    Moi je la crains!

    Elle, l'Europe, conserve encore en elle de cette pure folie qui secoua l'univers, força l'humanité, domina bien des peuples.

    Arbitre ou acteur?

    Ou autre, aussi?

    A-t-elle dans ses rêve acquise une sagesse telle qu'elle saura peser et poser, en gestes de paix et en justes puissances, l’apaisement de pays aux conflits frontaliers?

    Saura-t-elle donner justice quand le faible et fragile état risque d'être avalé par un plus puissant que lui?

    Ou voudra-t-elle renouveler, triviales jouissances, de ses anciens pouvoirs, anciennes dominations, qui firent que du levé au couché du soleil, ses rayons y puisaient les sources de son empire?

    Ou bien, ou bien, de cette énergie encore balbutiante se fera-t-elle Ariane en fil inspirateur pour le voyage promis au sein de toutes étoiles, instigatrice des seuls chemins d'une destinée vouée à tout humain: visiter les planètes et le vide abyssal, transcender le destin des foules tempétueuses dans les folles poursuites des courses au long-cours?

    Voilà de ce réveille ce que je voulais dire, l'Europe est aujourd'hui à l'aube de son temps, soit ange, soit démon, voire un peu des deux, mais ce qu'elle se voudra être déterminera, à jamais, le futur d'Homo Sapiens Sapiens.

     

    THEURIC

  • Les choses de l'esprit: le faux sentiment de facilité, l'enfantillage.

    Il se dit que la différence entre le XVIII° siècle et aujourd'hui c'est qu'à l'époque avec des moyens dérisoires nos anciens avaient des buts grandioses quand aujourd'hui avec des moyens grandioses nous n'avons plus que des buts dérisoires.

    Ce qui est le plus fascinant en notre période c'est qu'il nous est possible de nous instruire d'une foultitude de sujets du passé comme du présent, de suivre, voire de prendre parti lors de disputes entre professionnels, mais de s'apercevoir qu'au plus haut de notre société ce fait ne semble pas être la norme.

    En effet, pour pouvoir faire des choix, décider, organiser, ordonner en période de crise, comme il en est de celle sanitaire en voie de résolution, certes, faudrait-il d'abord avoir le bagage de connaissance nécessaire pour pouvoir absorber et comprendre le nombre d'information survenant à grande vitesse, d'être dans la capacité d'en prévoir les implications probables, puis de décider au plus vite.

    Mieux encore, de prévoir en avance sa survenue puis d'agir, là encore, enP1020881.JPG conséquence.

    De ne pas, de plus, écarter les gens capables, ceci parce que l'incompétence craint toujours les plus compétents qu'eux.

    Puis que, pris dans la panique de l'indécision et de son incompétence devenu de ce fait notoire, de ne faire que répéter, en supplique à son mysticisme dogmatique, en le caricaturant, les mêmes actions mais accentuées qui conduisirent à la situation déplorable passée, conduisant à celle pire qui est nôtre maintenant.

    Mieux même, de ne pas faire comme notre gouvernement, de ne pas savoir se remettre en question, de ne pas percevoir, pour chacun, le très bas niveau de ses capacités véritables.

    Tout en tablant sur le fait que, d'avoir été pourvu, comme il en fut d'avant 1789 d'une bonne lignée généalogique, d'un cursus prestigieux, acquis quelques diplômes de haute facture, d'avoir été élus de longue date, ne  pouvait que déterminer ces acteurs politique de l'état d'avoir l'efficacité la plus totale.

    Puis de se rendre compte, lorsque survient la catastrophe, que leur parfaite incompétence, rendue momentanément invisible le mois suivant les élections nationales par le simple fait qu'ils n'avaient, jusque-là, que d'obéir aux injonctions des GOPEs provenant de l'Union-Européenne, mènerait la France au bord de sa banqueroute et de la guerre civile dès lors que la situation les mèneraient à devoir véritablement choisir et agir.

    Sauf à ce qu'il faille un Quotient Intellectuel important pour ainsi faire une telle remise en question de ses choix et de ses décisions, ce à quoi je ne souscris pas, je conçois que chacun d'entre-nous, sauf ceux souffrant  d'un crétinisme profond ou d'une psychose (telle que la perversité narcissique), est dans la capacité, au moins P1030521.JPGpartiellement, de cette remise en question qui, je le sais, ne peut qu'être que douloureuse.

    Ceci d'autant plus que le leurs dits acquis intellectuels se devraient de les mener à cette réflexion approfondie qui, en amont de toute prise de fonction, se devrait d'être la première de leur responsabilité: "Suis-je apte ou non à la fonction que l'on m'offre, et si non, suis-je en capacité de me développer, de m'améliorer pour avoir l'aptitude de l'assumer?"

    C'est pour cette raison même que moi-même ne ferais jamais de politique agissante, même en tant que simple militant de base.

    Qu'il en soit de la politique comme de toute autre fonction sociale, mais surtout politique, journalistique et économique, il est visible que cette faiblesse consistant à ne pouvoir utiliser ses connaissances et son expérience pour pourvoir à la résolution d'une crise d'une quelconque importance traverse, d'une manière plus ou moins grave, les plus élevées des hiérarchies des sociétés ouest occidentales où, au discernement, s'est substitué le dogmatisme le plus obtus.

    Qui, dans notre gouvernement  et sur les bancs de l'assemblée nationale et au sénat se serait posé cette simple question: "Suis-je à même d'avoir les capacités d'être désigné en tant que ministre ou éligible en tant que député ou sénateur de la nation?"

    Pays nordiques, anthropologiquement spécifiques, Suisse, hors de l'Union-P1030021.JPGEuropéenne, Allemagne, dirigée par des anciens de la RDA, Hollande, qui n'a d'intérêt pour l'union que de ses propres avantages, et Portugal, se situant à l'extrémité sud-ouest de l'union, tous ceux-là y compris mais de manière moindre, la pandémie au coronavirus SRAS-COV-2 démontre, par le nombre de morts, les manques criant d'intelligence réactive des pouvoir exécutifs et législatifs de ceux qui furent les pays de l'ouest, France, Espagne, Italie, Grande-Bretagne, Irlande, Grèce, tous ces pays qui se retrouvent, à cause même de l'UE, gravement désindustrialisés et, disons le, en ruine.

    Suivant en cela le même chemin que leur mentor, les Etats unis, se retrouvant dans une situation pire encore que la nôtre.

    S'il fallait en définir simplement au mieux les raisons, je dirais pour ma part que son origine se trouve dans la puérilité desdites élites de ces pays qui, bien qu'ayant sûrement accumulé une masse de connaissance importante, n'en sont pas moins dans l'incapacité d'en  faire un usage éclairant et utile.

    ( Le gouvernement de la Grande-Bretagne, lui, est dans l'état particulier d'un entre-deux de sa refondation en raison de son brexit, la France, quant à elle, n'est pas encore, toujours dans l'UE, d'être dans la capacité de pouvoir l'amorcer, mais auquel l'Italie semble s'ancrer, ensuite l'intendance intellectuelle suivra pour tous trois.)

    Ce simple exemple que raconte le docteur Violaine Guérin en est symptomatique.

    P1030089.JPGCes élites obéissent, elles ne savent que faire cela, d'ailleurs, hormis Boris Johnson et son équipe qui dut batailler ferme face aux universitaires pour pouvoir faire sortir sa nation de l'union et celles italiennes qui surent faire appel à des puissances hors Europe en raison de la pandémie, les autres suivent les désires des uns et des autres sans autre idée de comment faire gouvernement.

    Ce ne sont que des enfants qui suivent les directives sans vraiment en comprendre le traître mot.

    Bien entendu, il s'agit maintenant de définir en quoi ce sont des enfants ou, pour rares d'entre-eux, des pervers narcissiques.

    Il s'agit de faire la distinction entre l'adulte qui, l'âge venant, apprend de la vie en utilisant pour cela toutes lesdites connaissances et l'expérience accumulées, de la grande personne qui ne peut être dans la capacité d'ainsi évoluer au fil du temps et qui, quoi qu'il se passe dans sa vie et apprend, reste immobilisée par sa structure infantile passée, quelle qu'en soit les raisons.

    Il s'agit donc de personnalités immatures que nous pourrions dire seulement obnubilées par les seuls principes de plaisir, c'est à dire que par de la seule jouissance.

    Tel que l'oligarque contemplant avec plaisir le chiffre de son compte en banque bienP1030145.JPG rempli d'un argent qu'il ne dépensera jamais.

    D'un PDG d'une entreprise pharmaceutique qui, d'un ego démesuré, veut absolument mettre en vente un vaccin à un prix important pour une maladie pandémique que des médicaments peu chers peuvent guérir, entre appât du gain et perversité.

    D'un ministre qui ne reçoit que des réponses simples à des problèmes qu'il ne peut pas comprendre et qui s'en angoisse et auquel on dicte ce qu'il doit dire et faire, mais ravi du poste qu'il occupe, qui s'en délecte.

    D'un journaliste content de ne faire, écrire et dire que ce qu'il lui est intimer, parce qu'il lui est impossible de faire autre chose, abusant, là encore, du mensonge et de la perversité, mais jouissant de ce que son nom, sa voix et son  visage soient connu.

    D'autres exemples peuvent ainsi être déclinés où, au-delà de tout ce que j'ai pu démontrer, la base de nos difficultés se trouve être à ce que, à la direction de notre nation, ne se trouve le plus généralement que des gens qui n'ont de mode de pensée que celle de leur enfance.

    C'est ainsi que 50% des professeurs émérites votèrent pour Monsieur Macron au premier tour, ceci parce qu'ils reconnurent en lui leur semblable: un enfant incompétent et jouisseur d'une manière primaire mais déconnecté de toute réalité, d'esprit de responsabilité, de raison et de vertu.

    P1030571.JPGCe qui est le cas de tous ceux qui votèrent pour lui, sauf des vieilles dames qu'il faisait fantasmer.

    Vous trouverez dans mon texte précédent les raisons d'être de cet état de fait.

    Toutefois j'y rajouterais ceci: les outils informatiques donnent l'impression qu'ils offrent toutes les réponses aux questions que nous nous posons.

    Or, ledit outil ne fait que quatre choses, nous divertir, nous donner des informations, les déterminer plus justement en contrecarrant la propagande et la censure et nous aider à nous exprimer et à communiquer.

    Mais le jour où il nous répondra directement aux question que nous nous poserons il ne sera plus utile, simplement parce que devenu trop complexe, il fera des erreurs.

    L'informatique n'est qu'un outil et sans plus, un succédané d'une intelligence qu'il ne peut détenir mais qui peut nous aider à développer la nôtre propre.

    Mais c'est  bien parce qu'il nous semble détenir toutes les vertus que nous croyons qu'il contient toutes les réponses, ce qui mène à de la flemme intellectuelle.

    Ce serait comme si nous ne tenions pas le clou avant de l'enfoncer dans le mur parce que le marteau cloue n'importe quelle pointe.

    Le livre nous permet d'acquérir une grande culture, l'informatique, au travers duP1020050.JPG WEB,  qui en est son extension, nous permet, quand à elle, de découvrir ce qui, sinon, nous serait ignoré, mais aussi, je l'ai dit, de nous y exprimer tant par le son que par l'écrit, connaîtrais-je sinon la Chanteuse Marguerite?

    Alors, amis lecteurs, si le mot culture recouvre autant celui du sol nourrissant le corps que celui du savoir nourrissant l'esprit ce n'est pas pour rien, et autant l'informatique nous permet de découvrir ce que nous ignorions, autant l'ouvrage, lui, nous permet de profondément comprendre de quoi il s'agit.

    Alors, sinon que de devenir sages, commençons d'abord par devenir savants.

    Et pour notre nation, songeons à comment nous allons faire pour remplacer tous ces enfants qui nous gouvernent et qui, à la moindre anicroche, paniquent ne sachant que faire en écoutant le moindre gourou qu'ils décrètent conseillé-expert.

    Et le reste du temps s'admirent devant leur miroir déformant en obéissant qui à DC la folle US, qui à ceux leur étant supérieurs en France ou supposés tel ou munis de belles paroles, qui à des agents bruxellois, qui, tous,  pareillement infantiles, suivent les consignes de leur dogmes obtus sans même vraiment comprendre de quoi il s'agit, n'en en étant totalement incapables.

    Songez que cette crise sanitaire n'est pas la cause de celle économique qui arrive et il P1030600.JPGest à prévoir qu'à la vue de la manière avec laquelle notre équipe de branquignol à pu gérer celle d'aujourd'hui, celle qui s'approche les mènera à tous les travers possibles et imaginables, pire que précédemment et pour nous à des difficultés gravement redoublées.

    Alors, faites vos réserves...

     

     

    THEURIC

  • De la rétrogression historique à Macron: l'empereur sera-t-il bientôt déchu?

    A l'introduction qui vient, je le fais précéder de ce petit préambule de dernière minute qui me semble nécessaire.

    Ce fut hier, en effet, d'abord en regardant une vidéo de Monsieur Biberian que je ne retrouve pas, datant d'un mois (je vous conseille celle-ci pour celui qui ne connais pas grand chose aux atomes et de leur fusion et fission) traitant, lors d'une conférence, de la fusion froide, où il  y expliquait le conservatisme de ses paires face aux idées nouvelles.

    Puis c'est en songeant à l'accueil possible du billet que je vous propose aujourd'hui, que je me suis rendu compte que mon problème principal est que je sors doublement du cadre de référence conceptuel social de notre époque.

    Déjà en raison de mon statut auquel je ne fais que peu de cachotteries, j'ai le Certificat d’Étude Primaire en sa dernière année d'existence (allez-y voir, les jeunes, de quoi il en retourne), un C.A.P. horticole, été deux ans jardinier communal, pendant 25 ans conducteur de bus à la R.A.T.P. et entre les deux fait plein de petits boulots.

    DSC00065.JPGMais aussi du fait que je ne porte pas un regard habituel sur les événements et prend souvent des positions largement différentes de ce qu'il se dit sur tout un ensemble de sujets.

    Je sors donc doublement de ce cadre de référence et, en cela, je me retrouve à être provocateur sans que cela soit recherché de quelle que manière que ce soit.

    Si, ma seule provocation, si tant est que ça en soit une, est de montrer qu'il est possible de penser par soi-même quel que soit le niveau d'étude de chacun, le principal étant de s'instruire continuellement.

    Je conçois parfaitement que d'aborder des sujets comme il peut en être de l'évolution des ancêtres des singes ou de la présence des extraterrestres, que je nomme les E.I.N.T., les Être Intelligents Non Terrestres, peut surprendre, voire choquer.

    Mais je ne vois pas pourquoi je ne devrais pas écrire sur ces thèmes qui sont tout aussi sérieux que bien d'autres.

    Le cadre de référence conceptuel social étant l'horizon collectif de ce qui fait sens.P1000898.JPG

    Je ne vais pas m'appesantir la-dessus, vous laissant aux deux lectures suivantes.

     

    J'avais largement commencé à écrire ce texte avant de retrouver le précédent dans mes archives, puis de vous le proposer avant-hier.

    Or, il s'est révélé ces deux-ci sont intimement liés.

    Cette rétrogression historique (en  fin de page), dont je vous avais déjà fait part à plusieurs reprises, entre-autre en vous faisant remarquer le retour de la barbe et la ressemblance entre le burkini et les vêtements de bain que portaient les femmes françaises à la fin du XIX° siècle, pourrait, là encore, s'exprimer par la confrontation, aujourd'hui seulement économique et politique, entre un diablement dérisoire Macron se prenant désormais pour une sorte de Napoléon III dit, par Victor Hugo, le petit, et une Madame Merkel très loin de ce que fut Bismarck.

    Certes, il n'y a rien à voir entre la Prusse de l'époque qui, grâce à Otto Von Bismarck, sut recomposer, de 1862 à 1871, le Saint-Empire-Romain-Germanique défunt sous la forme de l'Allemagne, ainsi que Louis-Napoléon Bonaparte, neveu de Napoléon Ier, aventurier qui tenta un coup d'état en 1840, fut élu Président de la II° République en 1848 et, en 1852, fut sacré empereur sous le nom de Napoléon P1010318.JPGIII, puis qui abdiqua lors de la guerre de 1870 après la défaite de Sedan.

    Et l'époque actuelle où, de Bismarck nous avons, en Allemagne, Madame Merkel, et en France, de Napoléon III nous en sommes revenu à ce pauvre Monsieur Macron, grandeur et décadence.

    Mais ce qui est remarquable c'est la singulière similitude qui semble prendre corps entre la fin de ce troisième quart du XIX° siècle et l'achèvement de la deuxième décennies du XXI°.

    Bon, bon, je sais, cette similitude paraît tirée par les cheveux, d'autant plus que rien pour l'instant n'est réellement en place, comme souvent je fais ici de la prédictivité en partant du principe que nous sommes entrés dans une phase de rétrogression historique avec, lié, une manière de répétitivité historique.

    Ce fut le refus du Gouvernement allemand de participer aux (petites) frappes en Syrie qui me fit me demander si, par hasard, la Germanie n'aurait pas saisi le repli stratégique qu'effectue l'empire étasunien (là encore, je n'en ai que des preuves peu assurées).

    Mais cela me paraît logique au vu de la situation économique catastrophique dedans laquelle se retrouve les États-Unis-d'Amérique et, comme le firent les romains en leur temps en Bretagne (la Grande-Bretagne d'aujourd'hui), les américains retirent discrètement leurs troupes de l'Europe, mais pas seulement de là.

    C'est pour cela que ce sont les forces spéciales françaises qui furent envoyées aiderP1010087.JPG les kurdes pro-américains à lutter contre l'armée turque, plutôt que celles étasuniennes.

    Donc, bientôt, la France et l'Allemagne vont se retrouver à se regarder en chien de faïence au sein de l'Union-Européenne.

    Allemagne qui semble vouloir quitter une Union-Européenne débutant sa débandade, ceci du fait de l'éloignement progressif de Tonton Sam, mais surtout de percevoir la faiblesse montante de l'empire.

    Elle ne peut donc, à mon sens, que de décider de reprendre sa souveraineté, d'autant plus que l'U.E. la met au-devant de risques économiques ne pouvant que s'aggraver avec le temps (Target 2).

    Mais son problème est que, même si une bonne part de sa population ne serait pas vraiment contre, son oligarchie, elle, ne peut que rester, au moins pour partie, résolument unioniste.

    De l'autre coté du Rhin nous avons le gouvernement Macron et son  président (allez jusqu'à la rose rose pour savoir comment je le perçois) qui de Zeus en fut devenu roi, puis de roi en est maintenant à prendre des allures impériales, décidant de tout, même des actions militaires.

    C'est pourquoi il en vient à être comparé à Napoléon III.

    Ce qui correspond à ce que j'affirme depuis quelques temps, nous entrons dans une P1010215.JPGphase de rétrogression historique, en voici, me semble-t-il, les mécanismes politique qui l'y accompagnent.

    Je laisse à d'autres, qui le font bien mieux que moi, ici, , et encore en cet endroit (portez attention après 3mn 07, le sujet est d'importance et j'y reviendrai plus loin), en cette petite liste non exhaustive, le soin de développer leur réflexion sur les dernières événements syriens.

    Quand à ce qu'il en est des miennes, de réflexion, je les porterai sur ces effets de retour sociétaux passé, cette moderne rétrogression historique, que ces affaires ridicules et contreproductives syriennes (tout dépend pour qui) ne peut qu'avoir accéléré en France.

    Et oui, c'est qu'à force d'agacer l'ours russe, à cause de l'empressement à l'obéissance de notre gouvernement, la population française en est venu à avoir une trouille bleue des zèles guerriers de notre cher président.

    Et vous-mêmes, amis lecteurs, combien d'entre-vous n'ont-ils pas craint qu'à cause  des gesticulations militaristes de notre tout petit empereur national, notre pays ne se retrouve à se confronter avec une Russie qui, lorsqu'elle est attaquée, sait montrer des ressources insoupçonnées?

    Dès lors, comme affirmé plus haut, si je reprends ma théorie de la rétrogression historique, Monsieur Macron ne peut pas ne pas être comparé à un Napoléon III proche (déjà) de son abdication  avec, comme cour, ses ministres et notre oligarchie décatie à laquelle il semble ne plus vouloir se soumettre: ses maîtres ont perdu le contrôle de leur créature .

    A la place, il suit, avec l'appétit d'un enfant devant un monceau de soldats de plomb, les directives intéressés de Madame May (au joli mois), je ne trouve pas la vidéo, mais je me souviens de l'avoir vu, aux informations télé, entouré de gens si sérieux, regarder la caméra avec ce sourire enfantin aux lèvres du gamin qui va jouer à la guerre.

    Je me demande donc si, en réalité, lui, le nain politique, ne serait pas devenu le dindon d'une farce dont le but serait d'accentuer la déstabilisation de la France.

    C'est que sa position politique s'est plus que fragilisé, à ce Napoléon le tout petit, petit, petit, petit.

    Comment, déjà, croyez-vous que va réagir le peuple après une telle frayeur, juste au moment ou les grèves commencent à embraser le pays et que deux à trois milliersP1010118.JPG de policiers n'arrivent pas à calmer une poignée de zadiste?

    Et surtout, comment doivent déjà réagir les radio-éléments du R.E.M. de l'Assemblée-Nationale, qui doivent avoir en main bien plus d'informations que nous-autres, pauvres manants, ne pourrions jamais obtenir?

    Il se dit que des missiles envoyés par la tripartie U.S., R.U. et France sur la Syrie, 68% pour les russes, 69% pour des militaires étasuniens, furent descendus par de vieux anti-missiles modernisés fournis aux syriens par les  russes, des antiquités améliorées, soit plus des trois-cinquièmes des bombinettes dézinguées, mazette...

    Certes, il y a, chez les élus du parti macronien offert gracieusement à notre généralissime, certains qui doivent, dur comme fer, considérer que notre impérial président dit et agit avec la grâce du génie et de la lumière divine.

    Mais les autres, tous les autres, ne commencent-ils pas à se poser de sérieuses questions?

    Au début, soit maintenant, ils doivent juste ronchonner dans leur coin, s'interroger de savoir si Monsieur Macron ne risquerait pas de nous mener à une guerre qui ne pourrait qu'être désastreuse pour notre pays, se dire que leur chef n'est pas à sa place, qu'il est dangereux de suivre les recommandations empressées des U.S.A. et des britanniques, que lui-même serait dangereux.

    P1010376.JPGPuis, petit à petit, bientôt, plus tard, bruisseront des chuchotis dans les allées de l'Assemblée-Nationale, de se demander si cet homme est vraiment un démocrate, si, en vrai, il ne les conduirait pas à leur débâcle, si se qu'il se dit serait vrai, qu'il aurait la trahison dans la peau, que ce ne serait qu'un pantin, puis un minus et enfin un raté et un traitre.

    C'est fou ce que la peur peut générer de réactions.

    Dans la population il ne peut qu'en être de même, mais en pire.

    Tout le monde à pu voir à la télé son niais sourire quand il était entouré de ses conseillés militaires, celui d'un gamin qui fait joujou avec tous ses pouvoirs.

    Je vous l'ai dit auparavant, il prend son pied.

    Il n'est pas besoin d'être grand clerc pour imaginer ce qu'une multitude de gens doit penser dorénavant de lui en nombre noms d'oiseaux.

    Les citoyens ont eu trop peur, trop d'angoisses, furent part trop effrayés, que ce soit consciemment ou inconsciemment, et, quoi qu'il se passe et se passera à partir de maintenant, ils considèreront que celui qui est la cause de cette peur, de cette angoisse, de cette frayeur, que la raison de cette terrible douleur psychique et de tout ce qui la représente doit disparaître.

    (Étant entendu que je décris là un mécanisme de survie instinctuelle, primitive et le plus souvent inconsciente, les français ne vont pas tous se ruer du jour au P1010040.JPGlendemain à l’Élisée, à l'Assemblée-Nationale ou chez Monsieur Attali les armes à la main, bien sûr que non.

    Mais que maintenant que le tocsin a sonné dans leur tête,  même s'il ne tinte désormais plus du haut des clochers des églises, même si cela n'est pas conscient, même si les explications qui en sont et seront données n'aurions rien à voir avec ces événements, leur haine pour tous ceux qui suivirent et surtout suivent encore ce capitaine de bateau ivre va devenir inextinguible.

    Les citoyens ont eu trop peur, parce que cela à réveillé en eux une mémoire profondément enfouie depuis deux, trois, quatre générations qui a resurgi d'un coup en les traumatisant sans même qu'ils ne s'en soient rendu compte.

    Et oui, l'inconscient sociale conserve en lui de très lointains souvenir, infiniment plus anciens encore.

    On ne réveille pas ainsi des monstres enfermés au plus profond de la mémoire des population sans effet.

    Malheur, se dit-il, par qui le scandale arrive.)

    Je me suis demandé, hier, si ce ne serait pas ces mécanismes mentaux collectifs qui auraient été recherché par un empire U.S. qui, désormais, joue autant sa survie impériale que de l'existence même de son pays.

    P1010204.JPGAinsi ai-je supposé, puisque n'en ayant que peu de preuves, que les U.S.A. rapatrient discrètement leurs soldats se trouvant dans les nombreuses casernes se situant hors de leur frontières (toutefois ce qu'a annoncé Monsieur Béchade dans la vidéo sus-avant aux 3mn.07, soit que les troupes américaines se désengage de la Syrie, me laisse entrevoir que je n'ai pas tort), la raison en serait une insécurité politique grandissante provenant de la population étasunienne, ce qui est compréhensible à près de  40% de chômage réel, mais aussi la recherche fébrile d'économie.

    De la même façon, j'ai présumé qu'ils chercheraient à se débarrasser d'une Union-Européenne qui, maintenant, tend à l'entrainer dans sa faillite, du-moins en ont-ils le sentiment (en fait, chacun entrainant l'autre dans sa banqueroute, mais ça c'est une autre histoire), et d'une Allemagne qui, comprenant les faiblesses impériales, elle qui déjà lui taille des croupières économiques, prend depuis déjà quelque temps le contrôle de l'union pour son propre compte.

    Allemagne qui, de par sa contexture sociologique plus stable, est moins facilement atteignable qu'une France naturellement instable.

    En fait, ses bases militaires coûte un bras à Tonton Sam qui s'en passerait bien, et, sur ce site, découvert aujourd'hui même et que j'ai rapidement parcouru, j'y ai trouvé ces deux textes en tous points révélateurs (je suis content, mon intuition ne m'a pas trahi):

    " ... Jamais dans l’histoire de l’humanité on a vu une nation exercer un tel pouvoir sur le reste du globe ou en tirer d’énormes avantages économiques. Ces politiquesP1010129.JPG hégémoniques ne peuvent probablement pas être soutenues pendant encore longtemps, car elles sont extrêmement coûteuses et provoquent des défis politiques et militaires permanents ... ".

    Traduit de ce site par le précédent.

    Puis, du même endroit, plus loin:

    Le Pentagone a annoncé son intention de fermer 15 bases militaires en Europe dans un effort pour économiser environ 500 millions de dollars par an. Alors il y aura seulement une légère réduction des niveaux de forces globaux. Les critiques craignent que cette décision arrive exactement au mauvais moment où l’Europe est confrontée à la perspective d’une nouvelle agression russe en Ukraine " (la Russie à bon dos, ce qui est à la mode en ce moment).

    Ces deux extraits date de 2015, soit sous l'ère Obama, et quand bien même Monsieur Trump voudrait renouveler la puissance impériale Étasunienne, le fait est là, ce pays, en quasi banqueroute, ne survit plus que grâce à la nécessité de passer par le dollar et le pétrodollar pour tous échanges internationaux.

    Quand bien même la dédollarisation commencée par la Chine et la Russie en réduise l'hégémonie, la monnaie U.S. reste inévitable pour le commerce mondial.

    P1010143.JPGQuoi qu'il en soit, le gouvernement fédéral des États-Unis-d'Amérique cherche à tous prix de faire des économies et, à mon sens, se replie dorénavant sur ses bases arrière, soit sur les Amériques nord et sud.

    Le problème restant que les hyper-productions monétaires leur ont fait perdre à toutes leur valeur intrinsèque, dont le dollar qui ne vaut plus que peau de balle et balais de crin, que dalle, quoi, tout comme l'euro, le yen, la livre sterling, le yuan  et bien d'autres.

    Que les bourses de Wall Street tendent à s'évaporer par leur boursoufflures et records à la hausse ne provenant que de l'injection continuelle de ces masses de monnaies ne valant plus rien.

    Et que les états U.S. et l'état central sont tous endettés à un point tel que tout les prêteurs savent pertinemment qu'ils ne seront jamais remboursés, mais font semblant et ferment les yeux, personne ne sachant ce qu'il se passera dès que la banqueroute généralisée aura montré à tous sa terrible morsure.

    Le problème supplémentaire devant lequel les américains se retrouve maintenant c'est que les allemands ont compris que Monsieur Macron est, à son insu, le cheval de Troie impérial, que son élection n'a eu, de but, que de désorganiser suffisamment l'Union-Européenne par l'instabilité politique qu'il génère en France, pour que l'U.E. et l'euro éclate en mille morceaux en raison du France-quitte.P1010176.JPG

    Il est probable que l'Allemagne, quand à elle, comprenne qu'il lui est nécessaire que l'U.E. disparaisse, tout simplement parce que tous les richissimes des pays de l'union pauvres et endettés préfèrent mettre leur argent là où la situation économie est la meilleurs, dès lors dans les banques germaniques, ce qui met la Germanie dans une mouscaille incommensurable.

    Ceci parce que chaque fois que de l'euro sort d'une nation, en vrai ce n'est pas de l'euro mais plutôt de l'euro-franc, de l'euro-lire (italienne), de l'euro-peseta (espagnole) ou de l'euro-drachme (grecque)...., dès lors la banque centrale du pays d'où cet euro provient doit à l'Allemagne cette somme.

  • Les choses de l'esprit: du début à l'achèvement d'une manipulation

    Abeille solitaire Adrena Fulva.

    Bonjour chers lecteurs,

     

    Une fois encore j'ai écrit en oubliant de mettre ce texte dans le brouillon, ce qui l'a momentanément publié,  je vous prie de bien vouloir m'en excuser.

    La pose de mes photos merdouille quelque peu, il y a donc un petit loupé que je n'ose corriger.

     

    Préambule:

    J'ai remarqué que, depuis peu de temps, la perception populaire de la politique évolue.

    Mais, pour le moins, il est observable que la période n'est pas d'une grande clarté, que même notre situation se montre plutôt flouté, obscure, peu compréhensible.P1050887.JPG

    La raison en étant de ce que nous entrons dans une période d'évolution rapide tant des événements que de la lenteur de notre perception et compréhension de la situation, de son origine et de son dynamisme, tant individuellement que collectivement (non, en effet, je n'ai pas la science infuse).

    Mais aussi et surtout que, tout doucement, nous quittons notre domination impériale US, ce qui ne peut que perturber les esprits.

    De fait, les événements tendent à s'accélérer et, tel un monolithe s'effondrant, lentement pour commencer, puis de plus en plus rapidement, le système politico-économique dit néolibéral, porté et sous égide de l'empire thalassocratique US, vacillant dès le tout début des années 90, en viennent tous deux dorénavant à montrer que, de leur verticalité passée, ils en arrivent à leur point funeste de leur horizontalité dévastatrice.

    Ils s'effondrent, entraînant avec eux tout ce qui leur est lié.

    ( Vous devez tout faire pour vous empêcher de paniquer.

    Si j'écris cela c'est pour que vous ne paniquiez pas! )

    Cette situation est naturellement angoissante pour tous parce que le plus grand nombre ne comprend pas ce qu'il se passe, ce qui est normal puisque nous avons été effondrement,empire thalassocratique us,manipulation,fil d'actu,français,france,occidentaux,géopolitique,géostratégie,assemblée nationale,pervers narcissiques,soumis,désir,séduction,intoxication mentale,profit,fuite,le doute,dérobade,vengeance,guérison,chronique du grand jeu,otan,déclin des amériques,gafam,état profond,guerre civilemanipulé par ledit empire depuis très longtemps tout en en niant les faits, ce qui est aussi mon cas il n'y a pas si longtemps que cela.

    Il est à noter que de tous ceux qui traversèrent l'histoire, celui qu'est les Etats-Unis-d'Amérique est le plus hypocrite ou, disons en nous le nom, faux-cul, de tous, puisqu'il n'en a jamais reconnu directement le fait en agissant toujours dans une semi-obscurité, à l'image des rets tissés par un pervers narcissique.

    ( Je ne critique aucunement le peuple US, lui aussi en souffrant, mais toute la mouvance étasunienne et internationale qui nous a conduits dans cette situation devenant absurde et ruineuse. )

    Comme il en est de nombre de chose de la vie, s'en défaire nécessite différents  stades que nous nous devrons tous de traverser.

    Je me propose donc ici de mettre à profit ma malheureuse expérience d'une trentaine d'année pour vous proposer d'expliquer, à mon sens, ce qu'il se passe en nous.

    Avant-propos:

    J'ai regardé la dernière vidéo de la chère équipe du Fil d'Actu, commentée pareffondrement,empire thalassocratique us,manipulation,fil d'actu,français,france,occidentaux,géopolitique,géostratégie,assemblée nationale,pervers narcissiques,soumis,désir,séduction,intoxication mentale,profit,fuite,le doute,dérobade,vengeance,guérison,chronique du grand jeu,otan,déclin des amériques,gafam,état profond,guerre civile Tatiana Ventôse, ces p'tits jeunes si intelligents (je les admire même si je peux être parfois en désaccord avec eux), et parcouru un certain nombre des commentaires les concernant qui, parfois, j'y reviendrai, ne leur sont pas toujours amènes.

    Cela m'a fait pensé à ma dernière réflexion, celle-ci concernant les étapes de la manipulation tant interindividuelle que collective, de son début jusqu'à sa fin, les victimes de manipulateur tout comme les relations de soumission de colonies sous le joug d'un empire.

    Dont nous y sommes tous, français comme européens, suisses compris, Occidentaux aussi, jusqu'à bien au-delà, soumis, par le fait de l'empire thalassocratique US depuis plus de sept décennies.

    Je me suis basé, donc, pour ladite réflexion, sur mon expérience propre d'avoir été manipulé à un pervers narcissique, portant le postulat que ce processus manipulatoire reste le même, quel que soit le nombre d'humain qui se trouve ainsi manœuvré, mais aussi de ce que le ou les manipulateurs soient ou non atteint de manipulation pathologique.

    Etant donné la domination mondiale des peuples de tous niveaux et depuis si longtemps par les Etats-Unis-d'Amérique, tant politiquement, économiquement, culturellement, symboliquement, scientifiquement..., même le langage en étant atteint, en étudier la trame mais, surtout, montrer les étapes menant à son achèvement me semble important.

    effondrement,empire thalassocratique us,manipulation,fil d'actu,français,france,occidentaux,géopolitique,géostratégie,assemblée nationale,pervers narcissiques,soumis,désir,séduction,intoxication mentale,profit,fuite,le doute,dérobade,vengeance,guérison,chronique du grand jeu,otan,déclin des amériques,gafam,état profond,guerre civileCe qui nous importe maintenant ce ne sont non pas les mécanismes qui, progressivement, suggestionnent la ou les victimes, mais bien plutôt de ceux qui se produisent lors de l'achèvement de cette emprise.

    Mais, bien entendu, je ne vais pas ne pas débuter mon propos sans commencer par conter de ce que je pense du commencement de la prise de contrôle de personnes sur d'autres personnes, de pays sur d'autres pays, en un même phénomène individuel et/ou collectif.

    Je fais la part entre deux sortes de manipulations:

    -Celle de court terme qui, ici, ne nous concerne pas, celle de l'escroc voulant voler des naïfs, ou de la ruse militaire, telle que l'opération britannique Fortitude faisant croire aux allemands que le débarquement du 6 Juin 1944 aurait lieu aux environ de Calais plutôt qu'en Normandie;

    -Celle de long terme, de la prise de contrôle, par exemple, d'individu(s) par un malade mentale tel que mentionné ci-dessus, ou de celui d'un empire voulant assujettir une ou de nombreuses nations.

    C'est cette dernière qui nous intéresse.effondrement,empire thalassocratique us,manipulation,fil d'actu,français,france,occidentaux,géopolitique,géostratégie,assemblée nationale,pervers narcissiques,soumis,désir,séduction,intoxication mentale,profit,fuite,le doute,dérobade,vengeance,guérison,chronique du grand jeu,otan,déclin des amériques,gafam,état profond,guerre civile

     

    Les mécanismes:

    J'ai relevé en cela neuf étapes qui, je le propose, conduisent les gens à devenir le jouet de leur(s) bourreau(x) puis qui les mènent à s'en libérer, parfois après de nombreuses générations s'il s'agit de peuples et d'états, ceci suivant les cas, ce que je vous expose:

    1) Le(s) désir(s) de(s) la future(s) proie(s): c'est à dire la recherche, consciente ou inconsciente de ce qui lui semble lui manquer, pour l'essentiel psychologiquement mais non pas seulement*, il s'agit toujours de combler un manque, comme de la recherche d'une identité sociale, de donner sens à son existence ( ce que le gourou, le nazisme, le djihadisme proposent...), mais aussi souvent de simplement vouloir être écouté, de solliciter une amitié, de l'amour, une protection, d'avoir un maître à penser...-;

    (Pour moi ce fut d'acquérir une meilleurs éducation et de ne plus être angoissé, ce qui est un comble, ou, collectivement, de ce qui s'appelait le rêve américain en ce qui concerne les européens, soit la paix et la prospérité éternelle, ce fantasme du paradis sur terre...).

    2) L'accroche par la séduction: consiste pour le ou les manipulateurs (institutionnels parfois, comme en ce qui nous concerne) de proposer, le plus souvent de manière subtile, ce à quoi son ou ses pantins fantasment en disant toujours oui, en ses tout débuts, à tout ce que le sujet ou le peuple désir, tout en commençant à placer les bases du verrouillage psychologique et/ou institutionnel sur lui-;

    A cette séduction, tous les empires ont débuté leur domination par la conquête militaire, USA comprises en ce qui concerne l'ouest européen et le Japon pendant la seconde guerre mondiale, pour les autres pays ce fut d'abord leurs crainte de ceux de effondrement,empire thalassocratique us,manipulation,fil d'actu,français,france,occidentaux,géopolitique,géostratégie,assemblée nationale,pervers narcissiques,soumis,désir,séduction,intoxication mentale,profit,fuite,le doute,dérobade,vengeance,guérison,chronique du grand jeu,otan,déclin des amériques,gafam,état profond,guerre civilel'est et, surtout, de l'URSS et de la Chine qui en fut le moteur, ensuite, à la disparition de l'Union-Soviétique, ladite séduction US fut, pour l'essentiel, utilisé pour soumettre les anciens pays de l'est, doublée progressivement par des pressions culturelles, politiques, militaires et/ou monétaires via le dollar.

    3) Le développement de l'intoxication mentale et la mise en place de la soumission: s'effectue en quatre mécanismes:

    I) Le manipulateur donne l'illusion de la surpuissance, de son intelligence géniale et/ou de sa grande humanité..., suivant les désirs de sa ou ses victimes (oui, nous sommes victimes des USA, sans victimisation imbécile);

    II) Il fait alterner d'une manière ou d'une autre colère et peur chez sa victime qui, je l'ai déjà expliqué, mène à de la soumission;

    III) De la même manière et de façon concomitante, fait se succéder de la méchanceté parfois violente et/ou perverse à une gentillesse sous forme d'une fausse complaisance et amabilité, ce qui fait vibrer émotionnellement continuellement ladite ou lesdites victimes, ce qui la ou les empêchent de toute réflexion en déstabilisant leur mécanismes de penser;

    IV) En faisant monter une manière ou une autre de sensation de culpabilité.

    V) Le ou les manipulateurs font tout pour que sa ou ses proies se séparent de ses proches, parentelles et amitiés, mais aussi aient le moins de contacteeffondrement,empire thalassocratique us,manipulation,fil d'actu,français,france,occidentaux,géopolitique,géostratégie,assemblée nationale,pervers narcissiques,soumis,désir,séduction,intoxication mentale,profit,fuite,le doute,dérobade,vengeance,guérison,chronique du grand jeu,otan,déclin des amériques,gafam,état profond,guerre civile possible entre-eux, à l'exemple des masques (vous remarquerez que les français, au sein de l'Union-européenne, n'ont que très peu de nouvelle des autres pays de l'union).

    4) Le profit de la manipulation: de tout le temps qu'elle dure, cette domination profite à son ou ses promoteurs mais jamais aux victimes ou de manière marginale, tant sur le plan:

    I) Psychologique, en donnant le sentiment de toute puissance aux manipulateurs en compensant un complexe d'infériorité important et, pour le pervers narcissique, de se nourrir de sa propre culpabilité due à sa perversité-;

    Il est à remarquer qu'en ce cas les USA tout comme les pays européens de l'ouest souffrent d'un tel complexe (bien que la monté en puissance des empires européens ait été due, d'abord, à la concurrence féroce et importante que tous ces pays se livraient les uns contre les autres), venant pour le premier de son sentiment réaliste d'être un peuple de structure anthropologique archaïque-;

    C'est ce fort complexe d'infériorité qui conduit les élites ét

  • Du tunnel cognitif à son double déni.

    Guêpe germanique (Vespula Germanica)

     

    Bonjour chers lecteurs,

     

    Avant-propos:

    Comme j'ai pu l'exprimer à mon billet précédent, j'émets, en tant que penseur brut, une série d'hypothèse, j'effectue, de la sorte, un travail philosophique en explorant la réalité.

    S'il s'agit d'hypothèses et non pas de théories, c'est parce que je ne détiens pas les outils nécessaires pour en prouver la pleine et entière véracité, pour les développerP1050232.JPG par une activité scientifique, ce ne sont donc que les résultats des processus purement réflexifs sans que, comme tous purs philosophes, je ne puis en apporter les preuves concrètes.

    Il ne peux que s'agir, dès lors, que de démonstrations, sans en y apporter un étayage chiffré et clairement précédé d'études approfondies et détaillées.

    Le but premier de ladite philosophie est, comme je l'avais précédemment conté,  de structurer la pensée en tant que constitution devenue première de nos mécanismes mentaux, puisque permettant de scinder inconscient et conscient en faisant émerger la conscience en tant que telle, là encore, composante essentielle et elle aussi devenue dorénavant incontournable de nos dispositifs de cognition.

    Cette double émergence ayant contribué, pour nos lointains aïeux, à percevoir avec une pertinence accrue cette réalité et, dès lors, de faire progresser leurs puis nos démarches mentaux, donc de notre compréhension du monde tant sur le plan temporel que de ce qui est constitutif à la véracité des faits de ce qui est perçu et vécu.

    Or, la pensée mais aussi la conscience qui en est est la résultante, en tant que nouvelles fonctions psychiques, sont extrêmement jeunes, dont je situerais l'émergence aux alentours des 20 000 ans antérieurs à notre modernité.

    De ce fait, elles sont toutes deux d'une très grande fragilité et peuvent, pour diverses raisons, être gravement affectées sous formes différentes.

    P1050182.JPGAinsi, une grave angoisse due à ce que se produise une rupture dans ce que je nomme notre "composition de sens" ne peut que mener à ce que la pensée en soit sérieusement perturbée en en atteignant notre perception et compréhension de la matérialité du réel.

    ( Ceci accentué par la structure de socialité, soit les concepts, considérations, opinions, notions, us et habitus du et/ou des groupes constitués, où chacun contribue, dedans lesquels nous vivons: milieu social, professionnel, amical, associatif qui, par un effet d'entrainement, tend à rendre difficile, voire parfois impossible, la prise de conscience de la fausseté potentielle de ces acceptions partagés. )

    J'émets ainsi l'idée qu'un nombre important de personnes, tant au gouvernement, dans la classe politique et syndicale, dans la haute administration, dans les médiats officiels, au sein de l'oligarchie ainsi que d'une proportion de la population, dont les islamistes de tous bords, souffrent d'un tel mal.

    Ce qui ne retire en rien de ce que j'ai pu expliquer auparavant des causes autres de nos difficultés présentes.

    Etant entendu que la seule manière de se guérir de cette altération psychique, pouvant se montrer importante, ne peut qu'être que d'en prendre conscience en saisissant toute la fausseté des suggestions antérieurement mises en place.

    Cette conscience nous permettant ensuite de nous adapter au mieux aux évolutions sociétales en cours, ce qui nous était antérieurement ardu, voire ici impossible.

     

    Du déni lié à l'achèvement de notre dominationP1060206.JPG impériale et de l'idéologie néolibérale:

    Il est vrai que j'ai, de multiple fois, traité de ces deux sujets, ceci parce qu'ils me sembles centraux pour comprendre les événements telles que nous les vivons, les observant, à chaque fois, sous un angle différent.

    Capital, pour moi, en en étant d'en concevoir, d'en conceptualiser au mieux les faits puis de vous en proposer les résultats, ceci affin d'éviter de ce que, aux difficultés matériels auxquelles chacun se doit et se devra bientôt de se confronter, ne s'en rajoutent pas celles psychologiques rendant l'ensemble ingérable.

    Mais aussi, peut-être plus encore, pour que ceux pour qui l'action devient d'évidence, pouvant même provenir de la police, de savoir à quoi ils s'affrontent, soit à un déni manifeste de ceux notés plus haut, de ce que leur monde dedans lequel ils se concevaient exister s'effondre.

    Cette série d’acronyme: UE€/OTAN/USA, que j'utilise pour désigner leur univers, montrant le lien indéfectible qui existe entre-eux.

    Qu'ils conçoivent plus ou moins inconsciemment, là se trouve l'hypothèse que je dépose ici, que cette mouvance impériale organisationnelle puisse disparaître en un court laps de temps génère en eux une très douloureuse crise d'identité les conduisant à une angoisse de même intensité qui, de ce fait même, leur fait se P1060536.JPGrompre leur composition de sens.

    Pour, eux, tenter de surmonter cette détresse psychique, ne leur laisse pas d'autre choix que de nier ces faits et de continuer d'agir comme si cela ne se passait pas ainsi, de la même manière que par le passé.

    Ce déni, mécaniquement, amenant des décisions collectives dont le but sera de ce que cette perception qui leur est effrayante et déliquescente de leur réalité puisse leur être dissimulée, voilée à leur conscience, en une scission névrotique entre ce qui est perçu et en est saisi.

    Ce but illusoire étant de poursuivre et d'achever la construction européenne, d'obéir à ses injonctions, et, dans le même temps, parce que leur dogme est celui du néolibéralisme, de se faire de l'argent, c'est pourquoi il se dit, sûrement avec raison, que l'un de leur dessein est de conduire, en la terrorisant, la population à accepter un vaccin contre ce coronavirus provenant des Etats-Unis-d'Amérique, puisqu'ils imaginent la France, et/ou l'Union-européenne, suivant chacun, être le 51ème état de ce pays.

    ( L'une des preuves la plus manifeste de ce que j'avance est le fait que, à la télévision française, nous est parlé des élections étasuniennes comme si l'on nous demandait, à nous, la population de France, de devoir choisir et voter pour Biden plutôt que pour Trump, pour les démocrates plutôt que pour les républicains, ce qui est, vous le reconnaîtrez, absurde. )P1050933.JPG

    Ainsi voyons-nous les syndicats discuter avec le gouvernement, comme si de rien n'était, de la disparition des indemnités chômages au moment même où ce nouveau confinement s'annonce, ceci à l'orée de l'effondrement de l'économie-monde et du début d'une guerre civile aux USA dont personne ne peut prévoir ni les enchaînements, ni les conséquences, en ce seul exemple parmi tant d'autres.

     

    Le tunnel cognitif:

    A mon sens, il s'agit là d'un phénomène similaire à ce qu'il se produit, en aéronautique, lorsque le pilote de l'avion  perd ses reperds, pour une raison quelconque, lors du pilotage de son avion: il s'agit d'un tunnel cognitif.

    Ici nous discutons de quelque chose de collectif où il nous est loisir de percevoir que, quoi qu'il puisse se passer, les sujets agissent à l'encontre du contexte véritable en une forme d'accord informel, où, de plus, leurs discordes sont, eux aussi, tout autant déconnecté de la réalité, ce que nous pourrions appeler, en reprenant une vieille formule: le syndrome de la dispute du sexe des anges.

    L'image, qui pour nous pourrait être dérangeante, que j'en ai conçu, en tant qu'un tel tunnel, est celle d'une perception, pour ces acteurs, d'être plongés dans les ténèbres d'un très longs souterrains, d'une lumière lointaine, fantomatique, qui ne leur serait qu'à peine perceptible au loin,  qui leur serait donc P1060130.JPGleur but chimérique, fantasmatique vers lequel ils se dirigeraient.

    Sans pouvoir percevoir que, de fait, ils se trouvent en pleine lumière, hors de toute troué, n'entendant ni ne voyant aucunement la claire réalité.

     

    L'effondrement de la composition de sens:

    L'effondrement de sa propre composition de sens est gravissime pour celui qui le vit, ceci d'autant plus l'âge avançant.

    C'est pourquoi, dans l'un de mes billets précédents, j'avais raconté l'histoire de cet ami de mes parents, militaire officier à la retraite de l'Allemagne-de-l'est, que je connaissais, et qui, peu d'années après la disparition de la RDA, mourut d'une crise d'asthme.

    Nos énergumène qui, pour l'instant encore, nous dirigent, croient véritablement autant à la dangerosité apocalyptique du SRAS-COV-2, de l'inefficacité de l'hydroxychloroquine, que de ce qu'il est plus difficile d'éviter les effets de cette maladie en confinant les gens chez-eux que de rebâtir, avec aisance rêvassent-ils, un système économique ainsi détruite.P1060103.JPG

    Ces explications n'excluant d'aucune façon leurs responsabilités multiples des effets de leurs décisions et de leurs trahisons nombreuses.

    S'ils se retrouvent au-devant de juges, si, auparavant, ils sont conspué par la population, si celle-ci se révolte, il n'y aurait là que de la simple cohérence populaire.

    Du-moins est-il bon que chacun comprenne de quoi, mentalement, il s'en retourne pour eux, ne serait-ce que pour qu'ils évitent une angoisse inutile, qu'ils comprennent, si ce n'est déjà fait, pourquoi nos économies vont vers la faillite, de s'y préparer, et comment agir au mieux pour ceux qui se décideraient à l'action.

    Chaque décision, chaque action, chaque pensée et chaque parole de l'Être Humain a sa logique propre et sa raison d'être, même si cela se révèle être délirant, même la pire des déraisons à ses raisons et ses causes.

    Le tout en étant d'en comprendre le fond.

     

     

    THEURIC

    Pour le plaisir des yeux.

    P1000191.JPG

  • Réflexions sur le racisme et les questions juives et noires.

    Pour comprendre sur quoi s'établit ces lignes, je vous renvoie au texte présenté sur ce site: ( http://www.les-crises.fr/sanders-cachez-cet-antisemitisme-que-nous-ne-saurions-voir/ ) et, aussi, à certains de ses commentaires.

     

     

    Je vais poser la question ô combien provocatrice: pourquoi les personnes à la peau noire et celles qui sont juives, de représentation (soit par le regard porté sur la personne et non pas par une appartenance culturello-religieuse), de culture et/ou de religion n'auraient-elles pas le droit d'être raciste?

    Ne serait-ce pas du doudouisme, soit une sorte de racisme hypocrite, que de considérer l'autre plus pure que soi parce que différent, racisme ayant de sens de percevoir des différences incontournables, réelles ou supposées, haïssables chez des êtres humains autres que ceux qui nous ressemblent, le doudouisme étant une tentative de surmonter ce racisme en en inversant le discours conscient?

    Que je sache, soit Homo Sapiens Sapiens est de même espèce, quelles que soient les différences religieuses, nationales, culturelles ou de morphotypes, soit nous avons affaire à des espèces diverses, auquel cas la simple appartenance à une autre religion, nation, culture ou morphotypie ne pourrait qu'être considéré que comme celle d'une autre espèce (je vous préviens que la deuxième partie de cette phrase est ironique, vu les temps qui coure, même cette ironie peut être prise au premier degré du pied de la lettre, obscurantisme, quand tu nous tiens...).

    Auquel cas il pourrait être possible de rejeter cet autre en raison de ces différences, mais cela soulèverait des absurdités sans nom de représentations de ce nous sommes, autant dans nos origines, notre espèce que dans notre réelle individualité.

    Quand aux différences physiques elles n'ont, pour moi, que l'importance que chacun d'entre-nous y porte, sachant toutefois que le poids des inconscients historique et individuel de la représentations de soi, en tant que groupe constitué ou non, et individuel et/ou interindividuel, y sont majeur.

    Le racisme prend d'autant plus corps lorsque le sujet et/ou le collectif ne sait plus réellement quel est son identité et/ou quand la société dans laquelle il(s) vi(ven)t est fortement hiérarchisée.

    Il s'agit donc, dès lors, d'une projection, soit d'une affirmation identitaire par la différentiation d'avec l'hétérogène visible, soit celle d'une affirmation de son être par la domination de celui qui est dissemblable et, donc, inférieur, soit de ces deux contingences ensembles.

    Identité et hiérarchisation sont donc à l'origine des rejets de l'autre dans sa différence avec une particularité êtres humains juifs/noirs.

    Cette particularité de cette dualité racialiste êtres humains noirs/juifs (dont je suis pour ce dernier) c'est qu'elle se porte sur le malêtre dû à la modernité, étant entendu là que cette-dite modernité repose non pas seulement sur celle technologique actuelle, mais bien à celle qui bouleversa notre humanité depuis la constitution des villes, soit la fin de la vie en Éden qui ne fut que l'avant du néolithique, la préhistoire.

    Le rejet des être humains à la peau noire par les autres êtres humains à la peau blanche et jaune (si tant est que nous puissions parler aussi catégoriquement de couleur de peau) renvoyant à cette ancienneté inconsciente rejetée et attirante de l'époque où notre humanité vivait dans sa dimension animal naturelle originelle, celle dite, à l'ancienne, chasseur-cueilleur.

    Mais aussi à celle, plus récente, de la saleté et de la malveillance, ce que nous retrouvons dans de nombreuses expression en langue française telles que avoir de la noirceur d'esprit ou avoir une maison noire de crasse.

    Le fait du rejet de l'être humain juif est semblable en son inverse, en ce sens où il s'agit là du rejet de cette modernité par ce qui, symboliquement, la représente, étant donné que le judaïsme fut à l'origine des deux autres monothéismes, le christianisme et l'islam (même si, historiquement, il est possible de faire remonter l'origine du judaïsme monothéisme au zoroastrisme.).

    Ce rejet de la modernité provient de ce même malêtre qu'elle génère en nous du fait des contraintes qu'elle a créé depuis le début de son avènement.

    De plus, cette représentation consciente noir et juif, qui est la projection inconsciente de nos propres angoisses existentielles et de nos propres défauts rejetés, devient l'identité représentative inconsciente d'une majorité de noirs et de juifs par un aller-retour d'échanges projectifs incessants inconscients, ce qui leur font adopter les défauts dont ils sont affublé (sachant qu'ils sont, en vérité, similaires en tout points aux êtres humains à peau jaune et blanche non juif).

    Ainsi est-il stupide, voire criminel, de se représenter tous les noirs comme étant de gentils enfants plus ou moins violent, virilement vigoureux et ignorants et tous les juifs comme étant des savants et/ou des banquiers, ou au moins des gens riches, voulant conquérir le monde, et tous deux comme étant des traitres à la patrie ou de tout autre chose encore de cette sorte.

    Le rejet actuel des musulmans a une autre origine quelque peu semblable.

    La déreligiosité actuelle de l'Europe génère, encore une fois, une angoisse existentielle projeté sur les musulmans pour la double raison qu'elle y devient importante et qu'elle est la plus proche, religieusement parlant, du judéo-christianisme européen.

    N'oublions pas que toute forme de haine est toujours la projection sur un autre de nos propres angoisses, de l'impossibilité de respecter à la lettre les obligations des interdits du surmoi et de nos diverses petites et grandes vilénies.

    Le racisme et la xénophobie ont ceci de particulier d'être des projections (et ce mot est d'importance pour ce qui nous occupe, d'où sa réitération) haineuses de ces manquements, c'est pourquoi les noirs et les juifs, dans leur majorité, ne peuvent qu'être racistes et xénophobes comme la majorité du reste de l'humanité.

    Ceci parce que nous avons quasiment tous des difficultés avec notre identité et de son affirmation ainsi que nous vivons tous dans une société hautement hiérarchisée et que, dès lors, nous affirmons cette identité par les dissemblances que nous avons avec les autres et par nos projections de nos angoisses sur eux, qu'elles soient réelles ou supposées.

    Ainsi pourrions-nous déclarer: "Dis-moi ce que tu hais, je te dirais ce que tu es!".

    Tout ce que je viens d'écrire n'enlève en rien ce que disait mon arrière-grand-père quand il s'était installé en France, dans l'esprit: "Quand on arrive dans un pays on y adopte la manière de vivre de ses habitants".

     

     

    THEURIC

  • Chère Tatiana Jarzabek.

    J'ai lu hier le billet que vous avez laissé sur tepee machin, je ne savais pas qu'il était possible d'y laisser un texte, mais quoi qu'il en soit je préfère ne laisser que peu de trace de mon identité sur le WEB, c'est pourquoi je ne m'abonne qu'à très peu de site, d'autant plus de ce genre, bien que, comme beaucoup de choses, je puisse en changer l'idée, rien en cela n'est définitivement établit.

    Mais bon, le sujet n'est pas là.

    J'ai donc lu, dis-je, ledit billet du 12 Juin, que je n'arrive plus à retrouver, où vous y montriez que les effets de cette maladie au COVID bidule machin, le vilain virus (vit russe, hi, hi, hi), sont encore pire que ce que j'en imaginais.

    C'est pourquoi, de mon expérience de ce stress long, douloureux et multifactoriel dont je me soigne, pour des raisons que je n'ai pas à traiter ici, bien que je l'aie fait partiellement auparavant sur ce site, datant d'il y a 55 ans environ, j'en ai 61, et dont je sors en ce moment, que je me permets de partager avec vous comme il en est pour toustatiana, virus, stress ceux qui se trouve dans une situation analogue à la vôtre.

    Ainsi je m'adresse à vous par votre nom et non pas par votre pseudonyme, Ventôse: il s'agit ici d'un problème qui vous concerne en propre et non pas de ce qui fait la dynamique historique actuelle du pays et dont vous vous faites journalisme commentatrice, bien que cela y est lié (poil au nez, eh, eh, eh), il est vrai, mais de manière pour l'instant, pour vous, secondaire.

    Toutefois il est possible que vous ne connaissiez pas ce blog, mais si c'est le cas contraire sachez que j'apprécie autant votre travail, celui de vos amis du Fil d'Actu et de Greg jamais content, comme la première voiture ayant dépassé les 100km/h (la Jamais Contente).

    Il y a, pour ceux, donc, qui se remettent comme vous de cette saloperie, disons les choses telles qu'elles sont, sans avoir eu auparavant de problème de santé véritable, deux raisons pour lesquelles, à mon sens, ils en furent et en sont pour certains atteints: soit parce qu'ils ont une faiblesse immunitaire quelconque face à ce virus, soit, bien que cette idée puisse surprendre et être rejetée, parce que des forces inconscientes, ce que C.G. Jung appelait un archétype, furent ou sont activées.

    Il est même possible que ces deux éventualités se conjuguent.

    Ce qui, je le pense, serait (j'utilise tout de même le conditionnel) le cas pour vous, tatiana, virus, stressétant donné que c'est à  chacun de définir au mieux ce qu'il se passe en  lui.

    Vous êtes puissante, Madame, bien plus que vous puissiez l'imaginer, mais vous vous interdis(i?)ez de le considérer et, à mon sens, c'est cet interdit qui vous conduisit dans vos difficultés actuelles.

    Votre colère, me semble-t-il, proviendrait pour partie de là (poil aux doigts ha, ha, ha), et puis, l'égalité entre tous s'établit de nos différences n'est-ce pas, ceci d'autant plus qu'une puissance quelconque ne veut pas dire être bon en tout, je suis incapable de faire de la trottinette, d'être polyglotte et de comprendre le formalisme mathématique entre-autre, mais, de mes multiples limites, je sais de quoi je suis capable sans toutefois exploré tous mes potentiels et ceux des Humains sont immenses.

    Mais revenons-en, je vous en prie, à ce que j'ai pu comprendre de la récupération suite à un stress, sachant que cela ne remet absolument pas en question un traitement médical suivit puisque venant l'appuyer et aider à la guérison.

    Un tel phénomène, pour commencer, prend du temps et ne s'établit pas d'une manière linéaire mais bien plutôt en phases régulières de meilleurs état, suivit de brusques détériorations de situations moins pires que les précédentes, suivies d'améliorations régulières en courbes ascendantes.

    Ladite amélioration se gravit donc comme des marches d'escalier, la marche étant légèrement descendante, la contremarche ayant, quand à elle, la forme d'une courbetatiana, virus, stress ascendante jusqu'à la marche suivante et ainsi de suite.

    Là je sens un coup de barre, bon, ben, je sais que demain il sera plus fort,après-demain je me sentirai mieux puis que dans trois jours je serai en forme.

    Cela prend la même forme qu'un enfant en apprentissage qui montre souvent une série de régressions après ses progressions à l'école.

    Prenez conscience de ces cycles et évitez de forcer lors de ces descentes mais vous pouvez le faire lorsque les remontés sont évidentes mais non pas trop: le piège quand on se remet d'un stress c'est que croire que le mieux veut dire la guérison, personnellement j'étalonne intuitivement de 1 à 10 mon état (j'en suis à 7 sur 10 de mon état général), mais pour cela il faut avoir confiance en son inconscient et être décontracté quand on s'interroge ainsi.

    Le second piège serait de douter de ses capacités, quand bien même seraient-elles recouvrées en plein, ce dont je ne me suis aperçu qu'il n'y a que peu de temps (poil aux dents, hen, hen, hen).

    Ensuite et cela peut être angoissant, il faut comprendre qu'un stress, quel qu'en soit son origine, touche l'entièreté du corps mais que la récupération de chaque partie d'entre-lui ne se fait pas au même rythme, ce que j'étalonne également, les contractures corporelles menant à une réponse que l'on voudrait entendre et non pas réelle, d'où l'importance là aussi de la relaxation.

    Vous faites du yoga (réfléchissez de son pourquoi), ce qui est une bonne chose (moi-même a la souplesse d'un verre de lampe), je vous conseillerais de vous apprendre à ressentir (poêle à frire, ho, ho, ho), non pas vos organes, pour le pancréas et le foie c'est quasiment impossible, mais bien plutôt leurs tentions, ou contractions si vous tatiana, virus, stresspréférez, à chacun le mot qui lui convient, qui, vous le remarquerez aussitôt, font écho, pour chacun d'entre-eux, à celui particulier du corps.

    Si j'ai bien  compris de quoi il s'agit, vous devez vous concentrer surtout sur tout votre circuit sanguin, mais aussi sur le pancréas, le cœur, les poumons, les intestins, le cerveau reprendra ses fonctions dès lors que votre état s'améliorera, mais lui aussi mérite votre attention.

    Il s'agit de concentration douce, sans forcer, c'est pourquoi l'usage d'image mentale et de relaxation est d'importance en laissant le corps prendre sa place à son rythme.

    Utilisez lesdites images mentales pour cela et, donc, de votre imagination venant en corrélation d'avec vos ressentis, il ne peut pas y avoir de règle fixe pour cela: chacun active ses propres images et/ou ressentis.

    En parlant d'image, il est possible que vous fassiez des cauchemars qui ne sont après tout que de rêves qui font peur, vous pouvez en profiter pour les décrypter, lesdits rêves compris.

    Quoi qu'il en soit il n'y a pas à avoir peur des choses de l'esprit et si de ces cauchemars vous assaillent il est aussi possible, juste réveillé, de les transformer en combattant ce qui a ainsi généré de tels songes d'épouvante, ceci en exemple, là encore c'est à chacun de faire suivant qui il est.tatiana, virus, stress

    Vous allez commencer à découvrir, si cela n'a pas déjà commencé me paraît-il, des choses très intéressantes mais surprenantes, là encore, il n'y a aucune crainte à avoir là-dessus.

    Je pense, en ce court texte, en avoir fait le tour.

    En la situation comme la nôtre des forces inconscientes puissantes sont en jeu qui entraînent tous les acteurs, dont nous sommes, sans qu'ils n'en comprennent, sans que nous n'en comprenions grand-chose.

    Peut-être pourrais-je supputer qu'en saisirais-je un petit peu plus que la majorité des gens?

    Mais d'autres forces aussi nous contraignent et, par exemple, vous, en tant que femme, un choix vous reste à faire ayant trait aux pulsions féminines, celui du oui ou non de l'enfantement.

    Ce choix, comme pour toutes les femmes, vous appartient en propre,  ceci d'autant plus si vous n'avez pas de compagnon (poil au menton hon, hon, hon).

    Vous devez surtout être consciente, pour les réduire en vous au cas où, des angoisses majeures qui traversent en ce moment même la France et une bonne part du monde: la triple déliquescence des UE€/OTAN/USA$, d'ailleurs mon prochain libelle traitera entre-autre de ce sujet et, tatiana, virus, stresssurtout, des effets de cette angoisse en notre beau pays via les USA.

    Remettez-vous vite et, pour cela, à pas comptés, pour guérir d'un stress, d'en vouloir passer les étapes en allonge le temps passé.

     

    Nouvelle information relevée sur Sputnik France à 21 heure 30 au su jet du COVID-19 et justifiant grandement ce texte: " Le coronavirus a des effets sur tous les organes humains, assure un médecin ".

     

     

    THEURIC

    PS: ah, j'oubliais, joyeux noël (hi, hi, hi).

     

     

  • L'Union-européenne: l'angoisse de la séparation.

    Certains psychiatres pensent que l'inconscient n'existe pas.

    D'une certaine façon c'est vrai, mais d'une autre c'est faux.

    Nous donnons en effet des noms à des processus psychiques qui, de fait, sont globaux, et tous ceux qui ne sont pas conscients, c'est à dire qui ne franchissent pas la frontière de la pensée, comme étant inconscient.

    Mais en ce cas qu'est-ce que la conscience?

    Ne serait-ce donc pas ce qui détermine, en nous, notre présence en tant qu'Être par nous-mêmes de par nos pensées, c'est ainsi que j'ai compris cette avancée majeur de la philosophie: "Je pense donc je suis!".

    Mais cette pensée consciente, ce qu'elle est toujours, est comme la fine surface d'eau nous cachant les profondes abysses qu'est cet inconscient complexe, démesuré et de structure fractale.P1020168.JPG

    De fait, la pensée, qui  nous a permis de nous abstraire de la composante psychique archaïque de la préhistoire, séparant conscient et inconscient telle une fine membrane semi-poreuse entre l'un et l'autre, nous donne facilement l'illusion d'être à elle seule le réservoir de notre psyché, quand sa fonction ne consiste qu'à composer notre conscience en l'organisant et en l'harmonisant d'avec le reste des constituants de notre esprit qui, eux, sont majoritairement inconscient.

    Dont la résultante du travail ainsi réalisé, mémoriel compris, remonte à la surface, si je puis le dire ainsi, suivant les besoins momentanés de chacun, sauf à ce qu'ils ne soient refoulés, c'est à dire interdit, momentanément ou, parfois, définitivement, de rejoindre la conscience, de traverser ladite membrane semi-poreuse  qu'est la pensée, d'en remonter à son seuil.

    Là se trouve les origines  des névroses, voire de certaines psychoses telle que la perversité narcissique.

    Or, tout refoulement va conduire à une cascade de processus mnésiques conduisant à des biais cognitifs plus ou moins graves suivant leur importance, d'agir de façon dérisoire, puérile, néfaste et/ou perverse pour soi et/ou à l'endroit de tiers, menant à ce que le sujet n'en vient plus à expliquer ses démarches mais à les justifier puisque n'étant plus que le jouet somnambule de son inconscient.

    Etant entendu que d'être déjà conscient desdits refoulements, sans en comprendre lesquels, ne peut P1020446.JPGqu'en atténuer plus ou moins les effets.

    C'est en cela qu'il nous faut comprendre le pourquoi véritable de nos actes, actions et agissements, ainsi, souvent, ce n'est pas notre façon d'agir qui importe mais bien plutôt leurs raisons d'être.

    Nous pouvons observer en cela que notre pensée, qui est une avancée évolutive majeur pour notre espèce, n'en est pas moins, du fait de son jeune âge en terme d'évolution, d'une grande fragilité, ce que seule une éducation suivit d'une instruction harmonieuse peut aider à bâtir.

    Ce long préambule, présenté ici en préalable, est là pour vous faire mieux comprendre, amis lecteurs, les soucis que pose, en ce moment même, l'idée d'un France-quitte qui, parce que refoulé par, à mon sens, un très grand nombre de français, bien plus que majoritaire, mène la France à des difficultés jusqu'au sein même du parti politique qui le réclame: l'UPR.

    C'est, en vrai, la fragilité extrême de l'Union-Européenne et de l'euro, la réalité de leur inanité face à une quelconque crise, les coups de butoir de plus en plus violent qu'ils subissent, l'autodestruction de la monnaie commune par son hyper-production et les emprunts à taux négatifs par les états, qui, définissent leur fin prochaine désormais évidente.

    Sinon demain, du-moins dans un laps de temps relativement court, pouvant toutefois s'établir encore sur quelques années.

    C'est cette perception généralisée qui produit ainsi autant le déni de son existence pour un ensemble large du peuple, mais plus encore en la sphère médiatique, économique et politique, qui mène aussi aux troubles qui traversent en ce moment l'Union-Populaire-Républicaine.P1020133.JPG

    A un point telle que, moi-même, en ressens l'inquiétude à mesure que j'écris ces lignes.

    Et vous-mêmes, amis lecteurs, en ressentez-vous l’oppressante âpreté angoissante obscurcissant autant la raison que la cognition?

    Que ressentez-vous quand vous imaginez en vrai la France hors de l'Union-européenne et que, désormais, de ne plus parler de la puissance US que comme une vieille relique (ce qu'elle est déjà)? 

    Que vous sentiez en vous-même que l'Union-européenne ne soit plus, que les médiats ne parlent plus que des relations véritables entre les états européens, de devoir avoir votre passeport en poche pour franchir les frontières voisines et de faire, avant, un change monétaire?

    De ne plus à apprendre la langue anglaise devenue une comme toutes les autres.

    En sentez-vous la tension monté du ventre?

    Ce furent deux vidéos qui me conduisirent à cette réflexion, celle-ci de Fabien Sémat puis celle-là de Jean-Batiste Baron.

    De la première j'en avais fait une brève remarque le 13 Mai (en PS. en fin de texte) que je ne peux que corriger après avoir vu la seconde, découverte ensuite.

    De cette seconde je reste toutefois prudent, étant donné que son témoignage, indirecte, est de deuxième main, toutefois si ce qu'il raconte est faux il sait parfaitement qu'il pourrait très bien se retrouver devant la justice.

    Ces deux films montrent des personnes raisonnables et intègres qui racontent ce qu'ils savent de cette affaire en un double point de vu contradictoire mais, de ce qu'il me semble, complémentaire, en ce sens où, justement, les événements qu'ils décrivent montrent, à mon sens, un phénomène d'affolement mental collectif.

    Et la cause en serait cette angoisse quasiment généralisée, en France pour le moins, due à ce que l'Union-européenne, l'euro, mais aussi les Etats-Unis-d'Amérique, comme l'explique Charles Gave, se trouvent tous trois en grande situation de détresse., l'OTAN n'en étant que leur extension sans, ici, réelle importance.

    Au début, dès que j'appris ces événements, n'en ayant que l'avis d'une seule partie, je P1020266.JPGne pensais juste qu'il s'agissait d'une tentative classique en politique de renversement de Mr. Asselineau, bien que la présence de Mr. Brousseau au sein des conjurés me laissait perplexe, ayant soupesé la forte mais discrète personnalité du bonhomme.

    Puis, à la suite de l'intervention de Mr. Baron, considérant la manière absurde et perverse avec laquelle François Asselineau se serait conduit, si celui-là a bien relaté les faits tels qu'ils se sont produits, alors je ne peux pas ne pas considérer que, de fait, la même angoisse telle que décrite plus haut étreint le président de l'UPR.

    Possiblement en ce cas le but inconscient serait de défaire ce qu'il a lui-même construit en raison de ladite angoisse décrite auparavant. 

    Celle-ci le conduisant de plus à des erreurs politiques majeures, tel que de ne cesser de faire états des incohérences du Président de la République, bien réels il est vrai, sans pour cela viser au plus juste là où se trouve le nœud du problème électoral du pays, le Rassemblement National et son chef, Madame Le Pen, qui servent de repoussoir pour faire élire le prétendant oligarchique à la magistrature suprême, et pourquoi non plus de faire de même pour la France Insoumise.

    Ce qui, en outre, de taper continuellement dessus permettrait de se défaire définitivement de la sotte considération journalistique d'une impossible alliance desP1010743.JPG partis qui, pour ces deux-là, se diraient souverainistes, ce qui génère en moi autant d'agacement que de rigolade..

    En effet, éreinter le président du RN permettrait d'éviter que se poursuive la farce d'une extrême droite qui, si nous nous penchons de ce qu'elle a pu signifier par le passé, tant en acte, en destruction qu'en parole, n'en est plus, à l'image du PCF/FI d'aujourd'hui pour une gauche radicale, qu'une pâle copie de ce qu'elle fut d'antan, une ombre fantomatique en quelque sorte.

    De se défaire d'autre part de cette sérénade journalistique voulant que, suivant le médiat, l'UPR serait de mêmes eaux que le RN ou la FI.

    Ni l'un ni les autres ne voulant, en vérité, que la nation recouvre son indépendance pleine et entière, comme tous les autres partis siégeant dans les chambres délibératives, toujours à cause des mêmes mécanismes.

    Je ne pensais pas, en effet, que Mr. Asselineau put, tout autant que la majorité des français, souffrir ainsi inconsciemment de l'idée même de cette triple disparition qui, antérieurement fortement probable, n'en est pas moins devenue depuis lors certaines.

    Lorsque l'on sait que c'est lui qui avait mis en place ce mouvement de plus une décennie maintenant, il est incompréhensible de ce qu'il puisse agir de la sorte, sauf si des mécanismes irréfléchis et inconsidérés soient à l'oeuvre en une perte logique, en ce cas, de lucidité.

    Si l'on remonte dans le temps, je supposerais que leur commencement dateraient véritablement d'il y a deux à trois ans, quand l'euro tendit à perdre de sa valeur et P1020178.JPGque QE et emprunts à taux positifs commençaient à se mettre en place en UE.

    Sans compter d'une possible désorganisation de l'union encore discrète dont nous n'avons pas encore le compte-rendu mais dont les personnalités au fait de ce qu'il s'y passe connaissent et qui, pour la majorité d'entre-nous, est devenu visible dès le début de la crise sanitaire actuelle de part son inaction totale, d'où cette monté supérieure d'anxiété.

    Ainsi en ces choses de l'esprit nous ne devons surtout pas écarter ce qui pourrait sembler être des invraisemblances.

    Quand il est encombré de pulsions, de mémorisations, de structures, d'émotions, de tensions contradictoires indéfinies parce que refoulées, alors il faut envisager que les paradoxes actifs sont là parce que des mécanismes inconscients sont en jeu.

    Il en est, par exemple, d'hommes ou de femmes qui, aimant véritablement leur compagne ou leur compagnon, la ou le fuient d'une manière ou d'une autre dès lors que leur situation devient sérieuse, en refusant un mariage au dernier moment ou en ne voulant pas s'installer à demeure chez son amour au risque qu'elle ou il le ou la quitte...

    J'avais, il y a peu, envisagé que cette angoisse due à ladite triple disparition UE/€/USA, ad minima en tant qu'empire pour ce dernier, mènerait à des réactions excessives, contradictoires, de déni, hystériques ou pire..., plus ou moins enP1030063.JPG déconnexion d'avec la réalité.

    J'avais même suggéré que ce phénomène toucherait tout autant des adhérents de l'UPR, il est probable même que cela ait atteint les deux camps de ce conflit.

    Si cela se révélerait exact, alors cela voudrait dire que la proportion de français qui, d'une manière ou d'une autre, sont tourmentés par ce fait dudit triple affaiblissement présageant la disparition des deux unions et de cette monnaie, dès lors d'un France-quitte automatique, serait alors énorme et bien plus que majoritaire.

    Il est même, en ce cas, probable que la sixième république survienne, comme il en fut pour la troisième, plus par surprise que par un choix délibéré et lucide du peuple et d'une partie de ses élites, voire à ce que cela se fasse dans le bricolage le plus total, en une rétrogression que, jusqu'à présent, nous poursuivons avec une sorte de méticulosité logique collective nous faisant remonté au temps de la guerre de 1870 et de ses effets nombreux.

    Ce conflit au sein même de l'UPR  montre dès lors que notre position à tous sur l'existence de l'union et de ce qu

  • Presque une petite pose en politique en une réflexion de nos origines.

    Bon, en ce moment je me sens en verve, trois billets quasiment à la suite, ça faisait longtemps que cela ne m'était pas arrivé.

    Le sujet que je vais aborder aujourd'hui traitera autant de l'origine d'Homo Sapiens Sapiens que de celle du singe, des ancêtres de nos ancêtres de nos ancêtres, de nos ancêtres en quelque sorte.

    Pour le reste, je vais ici donner ici un bref aperçu de ce qu'il se passe tant en politique qu'en économie (je vous renvoie à mes deux derniers textes pour ceux ne les ayant pas encore lus):

    P1000696.JPG

    Après que Monsieur Poutine ait donné le baisé de la mort à Madame Le Pen (l'avoir invité chez lui), la Russie se tourne vers le P.C.F. et Les Insoumis, ces derniers étant les plus réactifs.

    Il est à penser que, comme le veut les principes de la politique, l'unilatéralité idéologique d'Emmanuel 1er et des macronistes mènera inéluctablement ces deux partis à la radicalité.

    La police et l'armée, toutes deux épuisées, auront toutes les peines du monde pour réduire la violence sociale qui, de plus en plus, vient en réponse de la violence économique et politique de nos oligarques.

    Il y aura des morts dans la rue.

    Pendant ce temps là, l'U.P.R. qui, pour l'équipe philipparde, est en voie de marginalisation, se retrouvera devant un large boulevard puisque oublié par l'oligarchie et ces représentants (de commerce), ce qui lui permettra de se développer à l’abri de cette violence populaire et d'état qui vient, du-moins pour un temps.

    Dans l'empire U.S., Monsieur Trump n'a plus d'autre choix que de détruire l'oligarchie de son pays, pour cela il lui faut faire exploser le dollar et Wall Street.

    C'est pourquoi son armée ne cesse d'agacer la Chine et la Russie, ceci pour que ces nations en viennent à vendre en masse leurs bons du trésor U.S..

    En Grande-Bretagne, après que Madame May ait écarté les eurolâtre du parlement britannique lors de leurs dernières élections législatives, propose déjà à sa nation un brexit dur à cause de l'inflexibilité de l'U.E., ce qui ne pourra que mener à une déstabilisation accrue de l'union.

    Pendant ce temps là, la désindustrialisation internationale perdure et s'amplifie.

    Le signe le plus évident se trouve dans le prix de l'essence qui n'arrête pas de descendre.

    Il est à remarquer ce début de tendance, pour les grands-magasins, d'avoir des difficultés de réapprovisionnement.

    Je ne le répèterais jamais assez, faites vos réserves.

    Après six mois environ de tergiversations des russes et des étasuniens de savoir si oui ou non il fallait faire perdurer cet étrange expérience qu'est l'U.E., la décision de détruire l'U.E. paraît être définitivement prise.

    Le plan consisterait, me semble-t-il, à ruiner les banques et les oligarques français par la cessation de paiement du pays en rendant insolvable les habitants (monté des impôts et des intérêts des découverts) et, dans le même temps, à instrumentaliser leur colère logique et normal, au travers des syndicats notamment.

    D'où le cadeau que fit Monsieur Macron aux banques, sur les conseils de je ne sais qui travaillant pour je ne sais qui, en leur octroyant 5,75% d'intérêts en plus des 1% que le pays devrait normalement verser, faux cadeau qui, en réalité, est là pour générer la banqueroute des banques françaises trop grosses pour faire faillite, puisque les acheteurs potentiels disparaîtront.

    Nous pouvons percevoir là la naïveté, pour dire le moindre, de Monsieur Macron et de son équipe, Mitterrand en dirait qu'on y voit déjà à travers.

    Une fois l'une d'entre-elles faillit, c'est toute la chaîne des banques européennes qui suivra et, donc, en fin de course, la Deutsche-Bank, aussitôt et inéluctablement suivie des banques étasuniennes, un tel plan tordu ne pouvant être signé que par les anglais.

    Il est à noter que la lutte sourde que se mènent Goldman-Sachs et Roltschild en Europe continue (Macron, Attali, Minc sont les émanations de cette dernière), la seconde ayant pris pied en France, l'Union-Européenne, créature de la première, par l'entremise du Luxembourg, tente de l'y déloger par une accusation de blanchiment d'argent sale, sûrement avec raison du reste.

    Mais bon, c'est l'hôpital qui se moque de la charité, non?

    Une dernière chose:

    La désintégration du Front-National mène à ce que les plus extrémistes de ce parti, jusqu'à présent maintenus fermement par Le Pen père puis fille, tendent désormais à prendre leur indépendance et à agir par la violence.

    Encore peu structurés politiquement, ils représenteront, sous peu, avec, à l'autre extrême, la minorité des anarchistes, violents ceux-là (la majorité de ces derniers vivant en quasi autarcie), un danger supplémentaire pour le gouvernement.

    PICT0295.JPG

    Bon, tout ceci dit, je vous présente, comme promis, en seconde partie de ce libelle, une réflexion sur nos origine en posant deux simples questions: pourquoi les hominidés, dont nous sommes avec les chimpanzés, n'ont pas de queue et pourquoi l'existence des ongles et quels en furent leurs effets:

    Il est des sujets aussi sérieux et passionnant que la politique et l'économie où il est possible de se montrer tout autant provocateur, comme il peut en être de l'origine et de l'évolution de l'espèce humaine.

    P1000787.JPGEn fait, non, je ne suis pas vraiment provocateur en ce sens où je ne recherche pas la provocation, sinon j'aurais abordé ce thème et bien d'autres depuis fort longtemps.

    Ce qui est donc provocateur dans les idées que je peux exprimer est essentiellement le fait que je remets en question la structure doctrinale de notre époque.

    En cela je ne suis pas le seul, loin de là, que ce soit Madame Deloison, de son livre: "Préhistoire du piéton: les origines de l'homme basées sur l'anatomie comparée des hominoïdes." ( la-prehistoire-du-pieton.php ) ou de celui de Madame Morgan: "Les cicatrices de l'évolution" ( 2910030113 ), le questionnement de cette structure doctrinale, sur ce simple sujet de notre évolution au fil est ères, n'est donc pas de mon simple fait.

    En revanche, que cela puisse venir de quelqu'un qui, comme moi, est simple employé (conducteur de bus, mais chuuut, faut pas le dire) à la retraite, ne peut que plus encore déstabiliser, de cela j'en suis parfaitement conscient.

    C'est pourquoi j'ai tant attendu avant d'exposer cet ensemble d'hypothèses.

    Or donc, voici ce premier sujet, peut-être moins polémique: pourquoi les hominidés que nous sommes, nous les Êtres Humains, avec les gorilles, les chimpanzés, les orangs-outans et les feus australopithèques, n'avons-nous pas de queue?

    La réponse m'en fut donné lorsque je vis un reportage sur les singes magots vivantP1000702.JPG dans les montagnes d'Algérie et du Maroc, ainsi que sur le rocher de Gibraltar, comme le dit Wikipédia ( Macaque_de_Barbarie ), en fait, là-bas il peut y faire très froid et donc les queues risquent de se congeler, ce qui, vous en conviendrez, ferait mauvais genre.

    Mais il y en a un autre, de macaque, qui préfère lui aussi ne se geler que les miches et non pas un long appendice caudal pouvant se glacer qui, dès lors, a disparu, c'est celui vivant au japon ( Macaque_japonais ).

    Cela voudrait-il dire que les hominidés actuels que nous sommes auraient d'ancêtre un singe qui aurait vécu dans une région suffisamment froide pour que sa queue ait disparu, il y aurait de cela quelques dizaines de millions d'années?

    Ma foi, j'y répondrais par l'affirmative, mais où donc, alors là, je serais bien en peine de vous le dire.

    Une autre question me turlupine, celle de l'existence de nos ongles.

    Bon, c'est vrai, pour nous les Hommes, avoir des ongles plutôt que des griffes, ben, ça a tout de même quelques avantages, ne serait-ce pour mettre nos chaussures ou mettre le doigt dans l'oreille, mais pour les singes, tous les singes, des petits comme des grands, quelles poisse de ne pas en avoir, de griffe.

    Vous imaginez-vous les trésors d'inventivité qu'il a fallu à l'évolution pour palier à P1000850.JPGce manque pour grimper aux arbres, voire même tout simplement pour courir?

    Queue préhensible pour ceux vivant dans les Amériques, système de blocage de la main pour les chimpanzés et les gorilles pour se tenir aux branches, ce qui les oblige à s'appuyer sur leurs phalanges lorsqu'il se déplacent à quatre pattes, j'en passe et des meilleurs, enfin, la vie évolutive ne leur fut pas bien rose, non?

    Et puis, avoir des papattes bien griffues pour courir vite sur la terre ferme, ça ne serait pas si mal que ça, parce que la griffe, elle, elle aide à la course, permet de bien se tenir au sol pour fuir le vilain prédateur, ou être soi-même chasseur, s'accroche aussi au tronc d'arbre pour y grimper.

    Pour fouir et creuser un bon et profond terrier bien douillet elle en est même, la griffe, indispensable, qui a déjà vu un singe se la jouer terrassier, personne, ainsi la griffe est-elle ô combien utile, alors pourquoi s'en débarrasser?

    Demandez donc ce qu'ils préfèreraient de l'ongle ou de la griffe, à l'écureuil de la forêt d'à coté, au suricate des prairies africaines, au chat de la voisine et à votre Médor adoré, vous verrez ce qu'ils vous répondront.

    D'ailleurs, peut-être est-ce cette bizarrerie ongulesque du simiesque commun d'antan qui fit que notre pied a, aujourd'hui, cette forme si commune et que notre main aurait conservé sa forme primitive des pattes des paléo-mammaliens?P1000803.JPG

    De la perpétuation du déplacement à quatre pattes (jusqu'à nos ancêtres, ben oui), le premier, le pied, se serait allongé et élargi pour offrir une meilleurs base d'appui ainsi qu'une meilleurs adhérence à la course et la seconde, la main, pour les mêmes raisons, aurait gardé cette forme étoilée aux cinq doigts, si je puis dire, que l'on retrouve chez les aïeux les plus lointains des mammifères, avec la paume et les doigts souples pour un bon et puissant développé (et puis compter sur les doigts, mais çà, ça se fera plus tard).

    Alors, pourquoi l'ongle plutôt que la griffe?

    J'aurais bien une réponse, une hypothèse, mais alors là, c'est vachement osé, plutôt gonflé, même.

    Ç’aurait été pour éviter de griffer et blesser le dinosaure lorsque le paléo des paléo-singes aurait épouillé ces énormes grosses bêbêtes qui devaient être recouvert d'un tas de bestioles et de végétaux sur leur immense corps, ce qui, ma foi, devait offrir le gite et le couvert à peu de frais à ce futur singe.

    Et oui, nous pourrions très bien imaginer que leur peau, à ces monstrueux ancêtres des oiseaux, réagissaient par des mouvements ondulatoires assez violents si quoi que ce soit se mettrait à les chatouiller d'un peu de trop, comme un coup de griffe, par exemple.

    P1000191.JPGCette habitude de l'épouillage, nombre de singes l'ont conservé, mais elle a changé de fonction et d'utilité, comme il en est de coutume dans les processus évolutifs, n'est-ce pas?

    (D'où aussi, pour les Hommes que nous sommes, le symbole du dragon ou du serpent à plume, qui s'exprime différemment suivant les régions du monde, puissance en Asie, saint-Georges et Saint-Michel tuant le dragon pour les chrétiens, Quetzalcoat en Amérique du Sud précolombienne..., comme quoi, la mémoire peut prendre bien des formes, ici celles des symboles humains.).

    Ce serait aussi pourquoi nous serions toujours omnivore, nous autres, homo Sapiens Sapiens, même les bonobos le sont, c'est pour tout dire (et pour la bagatelle, mazette).

    Çà me fait penser à ces petits poissons qui, dans les océans, viennent débarrasser de leurs vermines et leur déchets des repas précédents de gros poissons comme les mérous et autres requins du coin (coin coin, ça, c'est le canard).

    Et puis, après que la météorite d'il y a 65 millions d'années ait exterminé ces énormes bestioles à la peau garde-manger, d'une grosse papatte d'un brontosaure à un arbre, y grimper aurait comme de la ressemblance, non?

    P1000660.JPGMême si certains choisirent plutôt le plancher des vaches, il est vrai que les arbres mirent du temps pour ensuite repousser.

    Et puis plouf et glouglou, quelques dizaines de millions d'années plus tard, nos ancêtres à nous seraient allé à la baille, auraient perdu leur poils , se serait redressé, pour marcher dans la mangrove et nager, aurait perdu son os pénien, ce qui n'empêche en rien monsieur de redresser la riquette devant madame, suerait tout leur eau et leur sel par chaud soleil...etc...etc...etc..., pour le reste, je vous renvoie aux livres des auteP1000480.JPGures sus-nommés.

    Enfin, bref, tous ces petits accommodements dus à notre redressement sur deux pieds, qui nous amusent tant et fait dire que celui qui, après cinquante ans, n'a pas mal quelque part en se réveillant et se levant bon matin, c'est qu'il est mort (et que dire du mal de dos, mal du siècle, non, de l'espèce!).

    Allez, encore une supposition, pour la route.

    Et si le fait que nous ayons un langage articulé provenait, justement, du fait que nos très, très très anciens ancêtres, plus anciens que ça, même, dont nous n'avons gardé aucune photo, vivaient dans une dense mangrove et nageaient sous l'eau.

    Nous pourrions nous demander, dès lors, si les langues à clics, dite khoïsan ( Langues_kho%C3%AFsan ), n'auraient pas, d'origine, ce fait que, sous l'eau, ce serait des sons qui s'entendraient fort bien, puis des clics aux consonnes il n'y aurait qu'un pas, si je puis dire, comme les voyelles, d'ailleurs, faites l'expérience en piscine, vous verrez, c'est amusant.

    Et puis écoutez les dauphins, les voyelles et les clics, ils les connaissent très bien.

     

    Donc, en reprenant plus sérieusement ces hypothèses, l'origine des ongles P1000791.JPGproviendrait de ce que, il y a bien plus que 65 millions d'années, bien avant que la fameuse météorite pulvérise 70% de la vie terrestre, un mammifère, ressemblant peut-être aux suricates en plus archaïques, serait venu se nourrir des animaux et plantes parasites et saprophytes recouvrant le corps des plus gros des dinosaures.

    A l'exemple des poissons et crevettes mutualistes qui, dans les océans, font de même aujourd'hui.

    Pour éviter de blesser leurs hôtes ou tout simplement leurs réactions réflexes d'ondulation de leur peau, les griffes de nos ancêtres de nos ancêtres se seraient, progressivement, transformées en ongles.

    Pour prendre place sur le dos de ces géants, il leur fallait soit de grimper d'abord sur un arbre, soit monter sur leur énormes pattes, ce qui leur nécessitait une bonne agilité.

    Du fait que l'ongle offre un point d'ancrage sur le sol nul, contrairement au sabot ou à la griffe, pour courir notamment, le pied se devait de s'allonger, comme aujourd'hui celui du babouin ( http://www.photodenature.fr/babouin/photo-babouin-9/ ) et du mandrill ( ?p=68161 ), et la main conserver sa forme archaïque avec ses cinq doigts en étoile offrant une bonne stabilité.

    Ceci explique tout un ensemble de fait remarquable que nous ne retrouvons queP1000855.JPG chez les singes, il n'existe pas, par exemple, de singe fouisseur, soient ils grimpent aux arbres, soient sont d'excellents coursiers, avec des capacités de préhension manuelles bien plus efficace que quasiment tous les autres genres.

    Ceci expliquant également l'épouillage qui serait, à mon sens, des restes de réflexes instinctifs antédiluviens.

    Ensuite le manque de queue chez les hominidés, autre énigme, s'expliquerait, comme écrit plus haut, par le fait que le paléo-hominidé vivait dans une région, sinon froide, plutôt tempérée, avec des hivers suffisamment vigoureux pour que l’appendice caudal en vienne à disparaître.

    Enfin, les capacités humaines d'émettre des sons articulés et complexes proviendraient de ce que, avant même que le genre Homo n'apparaisse, un descendant de ces paléo-hominidés se soient retrouvés à vivre dans une mangrove et, avec le temps, à devoir échanger avec ses congénère sous l'eau, pour chasser le poisson, ramasser les fruits de mer ou pour fuir un prédateur, par exemple.

    Pour plus d'explications sur l'origine de la bipédie humaine et la théorie du primate aquatique, je vous renvoie aux deux ouvrages suscités.

    Toutefois, la forme spécifique du pied des primates quadrupèdes tels que le babouin et le mandrill expliquent, me semble-t-il, l'érection humaine vers sa position P
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  • La décompensation psychologique & perversion narcissique.

    Le long billet que je vous soumets traite de trois sujets intimement liés me semblant importants, tant dans la vie du tout les jours d'un certain nombre de gens, qu'en notre politique et notre économie contemporaine:

    -la nature de nos oligarques et de leur devenir;

    -la décompensation psychologique;

    -la perversité narcissique.

    Dans cette première partie je vais m'attacher de définir au mieux ce que peut être qu'une décompensation.

    Dans la seconde je ferais l'essai de décrire ce que peut receler comme désordre psychiatrique cette perversité et, surtout, ses soubassements.

    Je commencerai puis je finirai la deuxième partie de ce billet par une réflexion de ce que sont nos oligarques, de leur nature ainsi que des raisons de leur disparition future.

    Encore une fois, j'explique bien en avant propos, comme je le fis aussi précédemment, que je n'ai aucune compétence formelle en quelque matière que ce P1020088.JPGsoit, bien que j'aie pu abordé des sujets tels que la politique, l'économie, la paléo-anthropologie, la philosophie, la psychologie théorique... et, ici, la psychiatrie.

     

    Notre raison, nous la construisons dès notre petite enfance de par la compréhension que nous avons de notre vécu.

    Or, en notre très bas âge, nombre d'événements ne sont pas compris ou ne sont pas appréhendés dans leur logique du contexte du moment.

    Parfois même de petits enfants vivent une mauvaise éducation (la première étant celle de la mère, mais, comme le disait Madame Dolto: "Il ne saurait y avoir de mauvaise mère!", le contexte, toujours le contexte) des outrages ou des traumas  dont le sens leur échappe.

    Le bambin va donc s'ingénier à trouver, ou plutôt va faire des relations rapides, instinctuelles, physique, entre ces événements et ce qu'il est lui, souvent en en comprenant pas le-dit contexte et  en se mettant Soi au centre de la compréhension qu'il en a eu, en en prenant l'entière responsabilité, en s'en culpabilisant, seule façon, pour lui, de rendre intelligible ce qu'il s'est passé, tout ceci en la raison de la logique de son peu d'expérience dû à sa prime jeunesse.

    De plus, s'il s'agit d'un très bas âge, cinq ans et moins, cet incompréhension événementielle et/ou ce traumas seront le plus souvent oubliés, la cause en étant la normale immaturité du cerveau et de ses processus de mémorisation.P1020147.JPG

    En fait il ne s'agira pas d'un oubli stricto-sensu, le système nerveux et émotionnel, la structure neuronale en plein développement, le corps, en seront structurés et, parfois, rarement, de vagues images et paroles en seront conservées.

    L'instabilité psychanalytique que cela a généré sera compensé tout au long de la vie de la personne.

    Mais cette compensation ne peut être absolue, puisque cette instabilité, ayant diminué les capacités d'adaptation à la société de la personne et que de plus cette instabilité a généré une souffrance psychologique que la-dite personne tente de toutes ses forces de réduire en, en même temps, refoulant et en repoussant sa douleur.

    Ceci la rendant invisible mais toujours agissante.

    Ceci dans un univers en continuel mouvement où chacun d'entre nous se doit de s'adapter à un ensemble de situations nouvelles et parfois novatrices.

    Cette compensation sera donc instable et limité, ce qui nécessitera, pour le sujet, de continuer de compenser, toujours de manière instable et limité, en un jeu d'équilibre précaire, tout au long de son existence.

    Cette compensation continuelle est fragile et, de plus, n'en fait disparaître en rien l'angoisse originel qui, sous une forme ou une autre, des actes manqués, des oublis, des compulsions de répétitivités, de l'anxiété, ....., remontent, de manière plus ou moins régulière et suivant les événements, à la surface de la conscience, sans que le P1020170.JPGsujet ne puisse en comprendre la cause.

    Jusqu'à ce qu'arrive le moment où de compensation en compensation, l'esprit, le mental, la structure neuronale, le métabolisme, la personne, tout simplement, se retrouve dans l'impossibilité de compenser une instabilité devenue trop importante.

    Ou tout autant qu'elle se retrouvât à se confronter à des circonstances violentes, cruelles, traumatiques, à un accident ou à toute sorte de péripétie qui, d'une manière ou d'une autre, aurait une ressemblance, même éloignée, d'avec l'élément originel cause de cette instabilité.

    Dès lors son psychisme, le corps, voire les deux simultanément s'effondre, c'est la décompensation, par la maladie, la dépression, la recherche d'ivresse etc...

    N'oublions pas:

    Le grand ennui peur être à la longue déstructurant et, dès lors, traumatisant.

    Un événement, soudain ou pas, brutal ou pas, peut d'un coup effacer tous les éléments traumatiques ainsi que leurs compensations.

    En fait, la psychanalyse consiste à décompenser lentement et en douceur plutôt que de se confronter à une brusque décompensation, en comprenant par soi-même, aidé ou non par un tiers, les soubassements de ses angoisses.

    Cette lenteur est normale puisque en ce cas la personne doit saisir en plein le sens des multiples compensations, ceci couche après couche en un ordre temporelP1010849.JPG régressif.

    La psychanalyse d'un sujet atteint de perversité narcissique, ou pire encore, d'un psychopathe, ne peut que le détruire puisque cela fera remonter, en lui, un état psychotique latent, ce que nous verrons plus loin.

    Cette double forme d'une même maladie mentale, de psychose et non pas de névrose, ne peut, dès lors, qu'être du domaine du psychiatre et non pas du psychologue ou du psychanalyste.

    Le rôle de ces deux derniers devant être dévolu à s'occuper des victimes de ces aliénés.  )

    Je me dois de préciser que sur ces sujets, tant en première qu'en seconde partie, je ne pose en rien de quelconque théorie, n'en étant qu'un amateur, mais que je vous expose plutôt une suite d'hypothèses que seule une série d'observation entreprises par des professionnelles viendraient corroborer ( rajout fait le 13 Octobre 2018  ).

    Le système économique globalisé est entré dans une phase d'effondrement avancé et quand ce système aura cessé de fonctionner, cela n'aura pas seulement des répercutions matérielles.

    Ceux qui, en raison de leurs désordres mentaux, ont souscrit part trop à l'idéologie qui y est lié, dite néolibérale, subiront un choc psychologique égal, voire supérieur à ces désordres.

    En revanche, la majorité de ceux qui en avaient suivit le trait, par appartenance à un groupe sociologique, là je vise explicitement la classe-moyenne supérieur, ainsi que celle intermédiaire qui la suit, soit ceux qui poursuivent et poursuivirent des études longues et studieuses;

    P1010830.JPGLa majorité de ceux-là, donc, ont déjà commencé, depuis un certain temps pour certains d'entre eux, à remettre en question et parfois en cause, les bienfondés des présupposés que cette doctrine débilitante sous-tend.

    Les politiques suivies depuis les gouvernements Chirac, puis Sarkozy, Hollande et maintenant Macron, suivant les injonctions malveillante de l'administration de l'Union-Européenne, n'y en étant pas pour rien.

    (Vous remarquerez, de plus, que l’incendie qui a détruit le musée de Rio au Brésil et que les pompiers ne purent éteindre, faute de moyens, même situation que rencontrèrent le Portugal pour ses forêts, montre que la domination impériale U.S., autant dans l'Union-Européenne que dans l'ensemble des pays sud-américains, mène à une situation analogue, soit la destruction totale de l'économie et des institutions des nations sous emprise de l'empire étasunien.

    Il est à noter que bien que dorénavant l'empire U.S. ne se trouve plus en capacité de diriger l'union, le programme qu'y avait conduit le-dit empire basé sur la doctrine débilitante que sont les présupposés idéologiques néolibérales se perpétue, totalement adopté autant par l'administration de cette ignoble union, l'oligarchie européiste et tous les gouvernements qui y participent.

    L'Allemagne se retrouvant de fait à en diriger l'ensemble, nation qui voudrait bien, là se trouve le paradoxe, se délester de l'euro, ce qui ne pourra que mécaniquement détruire l'U.E.. )

    A y regarder de près, cette doctrine, d'essence monétariste, montre un ensemble de ce que nous pourrions nommer des délires, ne rendant absolument pas compte d'une quelconque réalité cohérente, économique, politique, scientifique, artistique, mathématique et anthropologique.

    Tout juste pourrions-nous y déceler une logique restreinte purement comptable, mais sans plus.

    Les acteurs de cette idéologie l'ont accompagné, de plus, d'un ensemble de croyances, plus ou moins délirantes, donnant l'impression de lutter contre la globalisation monétariste, qu'il est désormais difficile d'extraire de l'esprit de nombre d'entre-nous, la plupart concentrés autour de causes censément politiques P1020055.JPG( il faut sauver l'Union-Européenne... ) écologiques ( le réchauffement climatique anthropogénique...  ) et, parfois, scientifiques ( il est impossible de dépasser la vitesse de la lumière... ) .

    Ceci accompagné d'un effondrement culturel, artistique et, surtout, idéologique, phénomène visible pour ce dernier point en comparant les discours et les programmes des partis politiques dont les représentants ont le droit de passer dans les médiats officiels, ceux sous l'égide du gouvernement et des oligarques.

    Ce sont ces oligarques et ceux qui leur sont les plus proches, dont la représentation notoire est le M.E.D.E.F., qui, quand l'économie-monde aura définitivement fait faillite, subiront une grave décompensation psychologique qui en conduira nombre d'entre eux à une grave crise psychotique ( idée, il est vrai, que Monsieur Orlov m'a amplement permis de préciser ).

    Mais pourquoi donc des oligarques tomberaient-ils ainsi dans la folie?

    Parce qu'ils sont déjà fous.

     

    Que je vous en explique l'hypothèse:

    Depuis quelque temps, comme j'ai pu vous le narrer auparavant, je n'étais pas P1020147.JPGconvaincu quand il se disait que les pervers narcissiques et les psychopathes n'ont pas d'émotion.

    Déjà l'Être humain ne peut pas vivre sans émotion, émotions qui sont constitutives de notre mental, tout comme le cœur ou le foie sont constitutifs de notre corps et de notre métabolisme, sans l'un ou l'autre nous mourrons.

    Tout comme l'esprit ne peut se construire s'il lui manque les émotions, sinon cela donne des crétins incapables de la moindre pensée et non pas des personnes mettant toute leur énergie à manipuler leurs semblables.

    De plus, les pervers narcissiques peuvent pleurer sur leur propre sort, là encore et preuve en est, qu'ils sont pourvu  d'émotion (je ne sais pas comment, en cela, réagissent les psychopathes).

    Il se dit aussi qu'ils manquent d'empathie, ce qui est partiellement vrai, du-moins en ont-ils suffisamment pour ressentir les tourments de leur victime et en avoir jouissance.

    Une affaire intéressante de ce point de vu est celle de Nordahl Lelandais qui, devant les policiers, va nier les meurtres qui lui sont reprochés, puis va tenter de se dédouaner par un: "C'est un accident" ou un: "Je ne l'ai pas fait exprès" dérisoire face à des policiers qui en ont vu d'autres, dès que les preuves qui lui sont soumis sont d'évidences quand à sa culpabilité.P1020193.JPG

    Si vraiment ce psychopathe n'avait pas d'émotion, ou tout simplement aucune empathie, il aurait été logique qu'il dise plutôt quelque chose comme: "Oui, c'est moi là, mais je n'ai pas fait d'autre crime".

     

    Pourquoi donc?

    Parce que l'empathie est le ressenti de l'autre et que ce ressenti ne peut exister que si et d'abord si nous nous sentons exister nous-même et plus nous avons conscience de notre existence, plus nous pouvons nous projeter dans le futur, et l'autre débile a très bien compris que, pour lui, ces accusations de meurtre le conduirait tout droit en prison.

    Il faut bien comprendre que pervers narcissique et psychopathe le sont devenus parce qu'ils ont vécu une scission névrotique d'avec leurs émotions en raison d'un traumatisme infantile violent ayant gravement déstabilisé leur narcissisme, émotions refoulées au plus profond de l'inconscient accompagné, dans le même temps, par un état psychotique latent généré par ce même trauma et tapi au fin fond de la psyché.

    Ne leur restant plus que la culpabilité qui est originel de leur psychose, sachant qu'il devait y avoir une base biologique pour que la-dite psychose puisse s'établir.

    L'événement ou la série d'événements traumatiques premiers ayant généré une forme de jouissance en même temps que cette culpabilité, ils se nourrissent dès lors de celle-ci en projetant sur leur victime leur propre psychose.

    P1020124.JPGC'est pourquoi pervers narcissique et psychopathe sont par nature narcissique, que seul eux les intéresse, le premier en projetant sur sa ou ses victimes sa grave psychopathologie quand, le second, ne tue pas seulement sa proie mais aussi tente de faire disparaître en lui ainsi la douleur due à sa schizophrénie enfouie profondément dans l'inconscient en tuant l'image de lui-même que cet autre représente.

    Tout en se nourrissant de la jouissance de sa culpabilité d'agir ainsi.

    Pour que leur fantasmes puissent prendre corps, ils doivent bâtir un monde imaginaire dedans lequel ils seraient le centre et où ils entrainent leurs proies, c'est en cela qu'ils sont narcissique.

    Cela ne les empêchant en rien de s'instruire, dans le monde réel, des outils nécessaires pour la mise en place de leur perversité pour l'un, par des cours de psychologie par exemple, pour apprendre à tuer pour l'autre, en devenant militaire pour l'autre en un autre exemple.

    Tous deux étant de profonds malades mentaux qui, très jeunes, ont trouvé ce moyen là pour tenter de compenser les souffrance dues à leur psychopathologie complexe.

    La perversité narcissique et la psychopathie ont de composantes cinq versants inconscient parce que refoulés:P1010856.JPG

    1) refoulement des émotions conduisant à un surmoi quasiment inexistant;

    2) narcissisme instable que le sujet tente de sauver;

    3) état psychotique latent que seule la perversité du sujet parvient à maîtriser;

    4) culpabilité importante amenant une souffrance se muant en plaisir pervers pour le sujet;

    5) un monde fictif, propre et différent pour chaque sujet, dedans lequel vit celui-ci, n'ayant qu'un lien lointain d'avec la réalité.

     

    Pourquoi aiment-ils souvent l'argent?

    Souvent âpres aux gains, l'argent ne servant au pervers narcissique que comme étant un moyen pour eux de contrôler leurs victimes et/ou l'un des signes qu'ils ont ce pouvoir sur elles, ce qui est à la base de leur jouissance, ceci grâce à ce contrôle que cela leur permet d'avoir sur elles: ils peuvent prendre l'argent de l'un sans remord pour ensuite le donner à un autre pour le dominer.

    C'est pourquoi ils peuvent être autant dépensiers qu'âpre aux gains.

    Le psychopathe, quand à lui, aime l'argent en raison de l'impunité que le pouvoir de la richesse lui confère.

    P1010841.JPGToutefois détenir, pour eux, une quelconque richesse leur permet d'avoir le sentiment d'être protégé puisque ayant été sujet d'un trauma enfant, ils n'ont de confiance en quiconque, le monde se séparant en trois, il y a celui de leurs semblables, celui de leurs victimes et celui de ceux pouvant les anéantir.

     

    Peuvent-ils être guéris?

    Oui, mais en ce cas il se passe en eux une décompensation violente en faisant remonter d'un bloc toutes les émotions, qui sont intimement liées au souvenir traumatique originel, en faisant surgir la schizophrénie latente qu'ils tentaient ainsi d'enfouir au plus profond d'eux-mêmes.

    En un mot comme en cent, si vous les guérissez, vous les détruisez de l'intérieur.

    Ce qui peut tout autant leur arriver s'ils ne trouvent personne sur lequel reposer leur folie prédatrice ou si le monde qu'ils s'étaient construit disparaît, quelles qu'en soient les raisons.

    Les mettre seuls dans un cachot étant pour eux la pire des punitions.

     

    Pourquoi mentent-ils tellement et si souvent?

    En fait une fois sur deux ils ne mentent pas, ils ne font que transformer leur passé pour se donner à eux-mêmes une bonne image, c'est en cela aussi qu'ils sont narcissique.P1020497.JPG

    Effectivement c'est leur narcissisme, à l'un comme à l'autre, qui est malade et extrêmement affaibli, d'où leur tentative de redorer cette image en débitant des histoires fausses les mettant dans une position glorieuse.

    De plus, les psychopathes, eux, se taisent de leurs forfaitures, sachant très bien que sinon ils se retrouveraient en prison.

    Il est possible de reconnaître quand ils mentent et quand ils affabulent.

  • Nos maître étasuniens.

    Pourquoi en voudrais-je à nos maître d'être ce qu'ils sont?

    N'est-ce pas le fait de tout empire d'être dominateur?

    Si nous avions voulu être indépendant, nous le serions et le Général De Gaulle nous en avait montré la voie.

    Mais nous avions voté pour ces traites à la cause gaulliste que sont Messieurs Pompidou, Chirac et Sarkozy.

    Monsieur Giscard-d’Estaing, lui, était atlantiste et ne l'a jamais caché.

    Monsieur Mitterrand avait fait avec ce qu'il avait en main, le seul reproche qu'il serait possible de lui faire, rétrospectivement, c'est de ne pas avoir osé rompre d'avec la situation d'alors, mais aurait-il été compris, aurait-il été suivi?

    Les communistes de l'époque étaient encore bien trop liés avec l'U.R.S.S. puis se sont égarés dans des considérations oiseuses d'accord avec le P.S. et aujourd'hui le Parti de Gauche n'a pas encore saisi pleinement cette domination étasunienne.

    Voilà, rapidement résumé, notre passé, discutons du présent pour, ensuite, aborder notre futur.

    Nous sommes, de fait et de jure, une colonie américaine, tout comme le sont tous les pays de l'Union-Européenne, le nier c'est faire preuve d'une crasse bêtise ou d'une naïveté affligeante.

    Culturellement, institutionnellement, voire constitutionnellement (au travers des lois de l'U.E.), militairement, économiquement, politiquement, où que nous nous tournions nous pouvons percevoir la domination U.S. mais je l'ai dit, tout cela est normal si nous posons le point de vu américain.

    Non, ceux qui considère, comme moi, que cela n'a que trop duré et nous met dans d'incommensurables dangers doivent commencer par le commencement, c'est à dire s'extraire totalement du poids et de la démesure culturel anglo-américaine.

    Je propose donc, pour faire ce nettoyage, pour débuter, de ne conserver de ces anciens maîtres que ce qui constitue la réelle puissance culturelle américaine, soit, à quelque exceptions près comme peut l'être un grand tel que Mickael Jackson, peut être le dernier grand américain, de ne conserver, donc, que l'art américain jusqu'aux années 80, le reste, poubelle.

    (Bon, c'est vrai, j'exagère peut-être un peu, disons que la qualité des créations américaines est directement proportionnelle à notre éloignement dans le temps, mais pour la France c'est bien pire encore, et quand j'écoute ces godelureaux chantant en anglais, en plus de me demander que sont les Amériques devenus, qu'est-il donc, aussi, de la France devenue.)

    Ensuite, il nous faut nous défaire de tous ces anglicismes idiots qui envahissent autant nos bouches que nos oreilles, vulgarités crétinisantes dont nombre de nos présentateurs d'émissions débiles ou de journalistes télévisuels ponctuent avec cette gourmandise béate la moindre de leurs phrases, comme une avidité et une crânerie professionnelle en nous démontrant leur vide abyssal de cette vulgaire vanité.

    N'employons plus la langue anglaise que comme langue internationale ou scientifique en sachant que cette langue, dénaturée par les étasuniens au grand dam des anglais, est déjà dépréciée et concurrencée par la langue française aux États-Unis-d'Amérique même, comme hier cela se fit du latin au profit du grecque ancien.

    Revenons au Français, dans sa complexité, dans sa subtilité, abreuvons-nous de ce que nous sommes et nos erreurs, chaque erreur sera un petit pas vers notre indépendance.

    Parce que pour lutter contre une colonisation nous devons avant tout culturellement lutter!

    Ensuite, ne considérons plus les étasuniens comme Dieu le Maître et le Père parce qu'ils sont devenus fous, fous à lier, complètement délirant, déjantés, insensés en nous entrainant dans leurs aventures rocambolesques et dangereuses, en Ukraine et en Syrie, entre autre...

    Débarrassons-nous de cette pensée néolibérale grotesque et ruineuse qui a envahi tant d'esprit et faisons rentrer les banquier dans les rangs comme on rentre un chien dans sa niche!

    Non le français n'est pas qu'un commercial ou un responsable des ressources humaines, non il n'est pas un chômeur ou un employé mal payé, non nous n'avons pas à rembourser des dettes injustifiées, parce que provenant de notre désindustrialisation, à des margoulins de la haute finance dont beaucoup sont ressortissant de notre pays, eux qui payent si peu d'impôt, eux qui viennent ensuite pleurer à la télévision ou dans les bras de notre Président de la République, eux qui sont les premiers responsables de cette déroute économique.

    Cette colonisation est d'abord le fait de nos élites, élus ou non, et de partis politiques, sous ce joug accepté, il y en a quatre:

    -Le P.S.;

    -L'U.D.I.;

    -L'U.M.P;

    -Le F.N..

    Voyons ensemble, maintenant, notre futur possible.

    En vrai, il ne s'agit là que de deux seules mais forte remarques dû à deux tendances possibles lors de l'effondrement de l'économie-monde et donc des étasuniens, de la disparition de leur puissance, voire de leur pays:

    -La première consistera à vouloir à toute fin, pour notre nation, de devenir le maître qui a disparu, de devenir une Amérique qui ne sera plus, sous des formes divers, culturelles, politiques, (toujours) idéologiques, militaires ou autre et il nous sera difficile de nous y retrouver entre ce qui sera nous et sera ce eux fantasmé;

    -La seconde serait la tendance collective ou de nos seules élites de rechercher de nouvelles dominances, de nouveaux maîtres, allemands, russes, chinois ou autres dans cette peur maladive, cette angoisse, cette détresse de devoir décider et agir seul, de notre propre chef, de part notre propre intelligence, notre liberté, notre indépendance, notre émancipation.

    Ce seront les deux pièges dans lesquels nous risquerons de nous enfoncer!

     

     

    THEURIC