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Rechercher : les modèles historiques

  • Idée n°13): Les modèles historiques.

     A situations analogues, événements similaires, c'est dans cette similitude entre le présent de relation entre des peuples qui restent, quoi qu'il en soit, singuliers et le passé de relations entre d'autres peuples toujours existants ou disparus, qui, bien entendu, conservent la particularité temporelle de leurs développements et de leurs structures propres, sociales et technologiques, ainsi que les représentations symboliques évidemment anciennes que ces sociétés antérieures ont du monde que nous pouvons aller rechercher un modèle dynamique, bien qu'approximatif, nous permettant, par une approche empirique, de comprendre quels peuvent être les grandes lignes de l'évolution des relations entre sociétés présentes en les comparant aux relations géopolitiques et géostratégiques que les-dites sociétés anciennes avaient entretenues avec ses voisines.

    La recherche de modèle historique consiste donc à rechercher des corrélations entre les relations géopolitiques et géostratégiques anciennes et présente.

    Dès lors, un modèle historique, de ce seul domaine de l'empirisme, ne vaut que ce qu'il est : un modèle imprécis et relatif aidant à la compréhension du devenir en œuvre entre un moment présent et leurs développements futurs plausibles, possibles ou probables.

    C'est donc un outil à manier avec grande circonspection, d'autant plus que le choix de ce modèle peut se révéler compliqué, une situation présente doit-elle ou non donner lieu à une comparaison avec une époque passé et si oui, laquelle et pourquoi ?

    Nonobstant  la nécessité de cette prudence que nous devons tous avoir à l'esprit quand nous cherchons un modèle historique nous permettant de mieux rendre compte d'une situation présente lorsque nous avons de grandes difficultés à en comprendre les progressions historiques futures et, ce, en raison de la complexité de la dite progression, ce qui veut  dire que cette recherche de modèle historique ne peut être qu'un pis aller, nonobstant cette prudence nécessaire, trois points sont à remarquer dans les relations internationales actuelles :

    a) La similitude entre, d'un coté, les liens qui unissaient Rome et Grèce antique ainsi que leurs évolutions conjointes, et de l'autre ceux établis entre les États-Unis-d'Amérique et l'Union-Européenne ainsi que la façon avec laquelle les américains s'y sont pris pour prendre le contrôle de l'ouest-eurasiatique depuis la fin de la deuxième guerre mondiale et surtout l'achèvement des guerres d'indépendances coloniales, à mettre en parallèle avec la manière dont s'y était pris Rome pour conquérir la Grèce : tous deux n'ont fait que répondre par deux fois aux sollicitation d'une des partie placée en état de faiblesse (je fais la part lors de cette démonstration sur la deuxième guerre mondiale entre la prise de pouvoir économique américaine sur une Europe las de son histoire et les génocides perpétrés par les nazis, cette réflexion est d'un autre ordre, la nécessité devant laquelle se trouvait les américains à cette époque de renverser les pouvoirs de l'Allemagne nazi, l'Italie fasciste et celui militaire du Japon du fait de leurs crimes ne retire en rien la prise de contrôle de l'Europe par ceux-ci dû entre autre, il est vrai, à la complexe situation de la guerre froide venant après la deuxième guerre mondiale).

    Pour aller plus loin, la ressemblance frappante entre le sigle représentant le dollar $ et celui de  l'euro € avec sa barre surajoutée ne peut  qu'être troublante, aussi troublante que celle, en vérité, de la même barre traversant le L du sigle représentant la livre sterling £ du même dollar $, la seule différence se présentant dans l'identité de la lettre, £ pour livre, € pour euro, $ pour dollar, ce symbole américain, détaché du nom de sa monnaie, a un sens symbolique que j'ai peine à interpréter n'étant pas anglophone.

    b) Les relations entre l'Inde, le Japon, la Chine et les petits pays alentour d'aujourd'hui font montre, aussi, une certaine forme de symétrie avec celles qui prévalurent entre la France/l’Angleterre/Russie et l'Allemagne /l'Autriche-Hongrie et les états de moindre importance en périphérie d'avant 1914.

     Même sentiment d'encerclement de la part de la Chine à l'image de celui qui existait pour l'Allemagne/Autriche-Hongrie, même ressentiment d'un territoire perdue pour l'Inde après une guerre contre la Chine lors de l'achèvement de sa révolution politique (le Ladakh en 1959) que celle que mena la France contre la Prusse bientôt allemande qui lui fit perdre l'Alsace et la Lorraine en 1870, même relative jeunesse des systèmes politiques en Inde comme en Chine au regard de ceux qui étaient en place en France comme dans la jeune Allemagne, même contrepied économique, hier comme aujourd'hui, pour de même causes de modernisation technologique et industrielles suivit d'une mondialisation économique (bien que les formes et les causes en soient différentes), même transformation sociale et début de désertification des campagnes dans ces deux pays, enfin, dû aux bouleversements économiques, en Europe, hier, et en Asie aujourd'hui.

     c) Balkans/proche-orient, voilà encore une fois des similitudes pour le moins troublantes.

     La faiblesse de l'empire turque, le désir d'émancipation de peuples balkaniques, le jeu complexe des allemands, de l'Autriche-Hongrie, des anglais, des russes, des Français et, en Libye, des Italiens, les guerres d'indépendances que se livrèrent la ligue balkanique (Monténégro, Bulgarie, Serbie et Grèce) contre les turques puis la guerre serbo-bulgare et les tensions qui perdurèrent furent les détonateurs de ce qui deviendra la première guerre mondiale suivit de la seconde vingt ans plus tard.

     Bien que les origines en soient autres, les questions géostratégiques d'hier ayant, pour partie, laissées la place à celles du pétrole, la déstabilisation du Proche-Orient par les américains lors de leur attaque de l'Irak, pays déjà bien déstabilisé depuis sa défaite au Koweït, la guerre civile en Syrie, la faiblesse patente des U.S.A. (aussi que de la France et de la Russie) lors de la crise des gaz de combats il y a quelque mois dans ce même pays, l'affaiblissement de l’Égypte dû à sa révolution démocratique en cours, les gesticulations d'Israël en raison de cette faiblesse U.S. qui lui fait perdre toute circonspection, les jeux troubles de l'Arabie Saoudite et du Qatar dans leurs triples craintes d'un pétrole en début (?) de fin de réserves, de mouvements de démocratisations des peuples arabes et d'un Islam en déshérence face à la modernité, les tensions en début de développement entre la Turquie et l'Iran nous montrent deux régions charnières, la première, passée, entre l'Europe et l'Asie, la seconde, présente, entre l'Asie, l'Europe et l'Afrique en situation de grandes perturbations, là en 1914, ici à l'orée de 2014.


    THEURIC

     

  • Retour sur la rétrogression historique.

    Je vous ai déjà entretenu de la rétrogression historique dont j'avais donné la définition ici en fin de page:

    Rétrogression historique : retour momentané partiel, ou total, suivant la violence du traumatisme subit, d’un peuple, d’un pays, d’une nation, sur une base sociologique et/ou anthropologique passée, en raison d’une catastrophe de grande ampleur et/ou d'un intense stress social et, ce, quelle qu’en soit la nature.

    De même je vous avais déjà entretenu des causes sous-jacentes qui en sous-tendent l'origine:

    Et c'est bien cet esprit de progrès qui régressa à la suite de quatre formidables et violents coups de butoirs, ces deux guerres mondiales, la guerre froide angoissante et, enfin, notre domination pleine et entière par un empire devenu vacillant dès le début du XXI° siècle, les États-Unis-d'Amérique, sous l'égide d'une philosophie économique absurde, avilissante et ruineuse, leP1010520.JPG néolibéralisme, impérium lui-même en une défaillance multifactorielle montrant un affaiblissement constant de cet esprit l'amenant aujourd'hui en un état de décrépitude avancé.  )

    Ceci venant en complément de la surpopulation, ou plutôt de l'inadaptation des sociétés à cette surpopulation humaine ( au niveau de l'inflorescence du groseillier à fleurs ).

    Je doutais encore légitimement de cette approche restant tout de même hypothétique puisque je n'en avais pas de preuve directe, et puis, hier, j'ai vu cette vidéo d'un certain Laurent Alexandre et lu l'article l'accompagnant diffusé sur le site de l'U.P.R..

    L'eugénisme en étant le thème central, dont le mot provient d'un britannique, Francis Galton en 1883, le début de ce mouvement remonte aux environs de 1850 et fut à l'origine des génocides juifs et tziganes et des massacres de russes sous l'Allemagne nazi de 1936 à 1945.

    Cette aberrante croyance prit fin en Occident en 1976 quand la Suède abandonna son programme de stérilisation des handicapés congénitaux et mentaux, trouvant aujourd'hui une nouvelle ressource à Singapour dès les années 80 et en Chine en 1995.

    Mais aussi en France où nous retrouvons les toujours même têtes vides, Minc, Attali, Madelin et consorts...., à la suite du sieur Alexandre, à adopter l'idée la plus stupide P1010844.JPGqu'ils puissent trouver, en concevant magnifique et moderne une telle vieillotte foutaise: après avoir repris les vieilles rengaines économiques du XVIII° et XIX° siècle qui nous plongent aujourd'hui dans les immenses difficultés desquelles nous nous confrontons, ils ressortent de la naphtaline cette dérisoire, hideuse et dangereuse idée qui avait accompagné le monde en une guerre de 50 à 70 Millions de mort, ceci à la suite d'un malade mental qui avait pour nom Adolphe Hitler.

    Mais que notre élite, soit-disant intellectuelle, soit aussi stupide que méprisante, ma foi, ça devient presque un lieu commun que de l'affirmer.

    En fait ce qui, pour moi, est intéressant dans cette affaire c'est qu'elle me prouve que la rétrogression historique n'est en rien une hypothèse mais bien une théorie, ceci en raison de son caractère prédictif.

    Sans avoir pu conjecturer par le passé quelle forme cela prendrait, nous pouvons toutefois observer la résurgence de ce concepts anciens tel que cet eugénisme désuet et anti-scientifique.

    Et il est à prévoir que d'autres phénomènes de même type puisse réémerger pour le meilleurs et parfois le pire, tel que le retour des maisons closes, d'un catholicisme fort, de l'usage du charbon possible, du chemin de fer, du bal du Dimanche ou du Samedi soir, de la guinguette, du maraichage de la région parisienne, du service militaire, de la circulation à cheval, voire peut-être même des vêtements P1020036.JPGtraditionnels régionaux, de leurs chants, de leurs musiques..., d'une renaissance de la vie sociale et rurale..., mais aussi de pandémies.

    Ce qui ne remettra pas en cause d'une quelconque façon ni le téléphone, cellulaire ou pas, ni internet, ni la télévision, ni les centrales nucléaires, ni le moteur à explosion et l'avion à réaction, ni de beaucoup de ces choses qui font et fondent notre modernité, en revanche ce sera leur utilisation qui en sera changée, de plus tout ce qui se révèlera inutile, rapidement, disparaîtra inéluctablement.

    Il en est ainsi de tous les Laurent Alexandre, tous les Jacques Attali, qui accumulent tant d'être dans ce passé improductif tout autant que dans leur lourd passif, comme hier ces hobereaux qui entouraient Napoléon III, ils disparaîtront dans un grand bâillement, gesticulant encore de temps en temps comme il pouvait arriver aux mêmes à la naissance de la III° république.

    Ne se rendant pas compte qu'aujourd'hui ils ne sont que le jouet d'un inconscient social qui les dépasse, parce que n'en pouvant pas le percevoir puisque ne pouvant le concevoir, en étant totalement incapable d'en saisir la nature,  et qui les mènera sous peu à l'oubli de tous, un oubli historique qui sera leur pire des punitions, parce que déjà ils ne servent plus à rien, déjà dépassés par l'évolution rapide d'un monde en total mutation et dont ils ne peuvent saisir la moindre parcelle.

    P1010782.JPGQuand à ces futurs polytechniciens, s'ils n'ont pas ou si peu réagit c'est qu'ils ont, pour la plupart, compris depuis très longtemps que nul ne leur demande de penser, mais de répéter sur leur copie rendue à leurs maîtres bienaimés la matière dont ils furent instruits et fut si bien mémorisé sans vraiment tout comprendre, comme le bébé rend à sa maman chérie la tété qui l'a nourri sous forme d'un beau caca bien chaud, ainsi que l'expliquait si bien Françoise Dolto.

    Pour eux, en revanche, j'ai beaucoup de peine: combien de ceux-là sauront s'extraire de cette nasse, de savoir inventer et trouver le bonheur de la découverte en remettant en question, en triant de ce dont n'est rien d'autre que de l'inutile, écarté au profit de ce qui se révèlera être de la connaissance la plus précieuse?

    Comprendront-ils que le mot profit ne se relève pas seulement de celui de l'argent tout comme celui d'intérêt des seuls prêts bancaires?  )

    Ce palpable manque d'humanité de cette bande de rigolos, dû à un immense orgueil égal à leur défaut de jugeote, ce que les grecs ancien appelaient l'hybris, provient, je le suppute, de leur grave carence affective et/ou d'un traumatisme important.

    Ceci doublé d'un entre-soi vaniteux où chacun rajoute par sa petite idée, sa petite pierre à la petite colline de sornette qui nous est déversé jour après jour dans les médiats, ceci pour tenter de prouver à l'univers qu'ils sont d'une omnisciente essence divine, c'est ainsi que notre olibrius a-t-il pu proférer une telle niaiserie à ces futurs polytechniciens: "Vous, vous êtes des dieux!".

    Mais ce n'était pas à eux qu'il s'adressait, mais seulement à lui-même.P1020064.JPG

    Parce qu'en fait il ne s'agit que de cela, d'un tas de médiocres qui, par tous les moyens, tentent de cacher, d'abord à leurs propres yeux, mais aussi à ceux de tous, que s'ils occupent le poste ou la place sociale qui est le leur ce n'est que par la grâce d'un empire U.S., maintenant en liquidation liquéfaction, qui avait besoin de tous ces ramollis du bulbe passés et présents pour pouvoir dominer la France, en faisant croire que ce serait plutôt en raison d'une présupposée parfaite intelligence, qu'ils savent inexistante.

    Et pour cela ils sont capable de toutes les forfaitures, comme de baisser le niveau scolaire, ou d'envoyer la police combattre des gilettistes qu'ils perçurent infiniment plus sensés qu'ils ne pourront jamais l'être.

    Tout du moins ce sieur, se disant transhumaniste, à priori datant des années 90, autre fumisterie sortie tout droit des niaiseries qui avait vaguement cours il y a encore dix ans quand on s'aperçut que c'était irréaliste, mais ce qui pour lui et ses semblables reste ultramoderne, ne détenant manifestement pas l'ombre d'une pensée profonde, me montre-t-il que la rétrogression historique est bien un instrument théorique pouvant se révéler efficace.

    Et si quelqu'un le connaissant me lit, dites lui bien que l'Être Inutile que je suis lui renvoie avec un plaisir non dissimulé son injure balancée avec un vague dédain à l'encontre d'une large majorité de français, lui qui n'a d'importance réelle que celle qu'il se donne, seulement quand il se contemple dans son miroir médiatique, et moi qui ne suis qu'un conducteur P1010570.JPGd'autobus à la retraite.

    Qu'il comprenne bien que je ne le hais point, juste ai-je une incommensurable commisération pour le pauvre hère qu'il est en réalité, n'ayant pour lui une pitié aussi infinie que peut l'être sa vide fatuité.

    Parce qu'en fin de compte il ne fit que cela: projeter sur plus faibles, la population provinciale et de  banlieue, ses propres déficiences et de tenter de se prouver sa valeur en se faisant passer pour dieu (il y en a eu qui se retrouvèrent en asile psychiatrique pour moins que ça), tout en me prouvant que mes petites  théories ne sont pas aussi inintéressantes que ce qu'il pourrait s'en concevoir.

    Chacun pouvant socialement servir à quelque chose suivant ses capacités, n'est-ce pas?

    Je me demande si Laurent Alexandre ne m'aurait pas légèrement foutu en rogne par hasard.

     

     

    THEURIC

    P.S.: Des vacances me mènent à un arrêt provisoire de mes chroniques, la suite à la prochaine émission.

  • De l'accélération des processus historiques.

    Je viens de retrouver cette vidéo de Monsieur, ou plutôt maître François Boulo, n'oublions pas qu'il est avocat, et de Charles-Henry Galois, débat animé par Zamane Ziouane, ceci sur UPRTV.

    Du 24 Octobre 2019 à aujourd'hui, le 24 Janvier 2020, soit juste un trimestre, dès la présentation du projet de loi sur les retraites par le gouvernement, la situation a radicalement changé, et il est loisir d'observer, surtout, l'accélération des processus historiques.

    Qui n'a pas l'impression qu'entre le dernier trimestre de l'année 2019 et ce début 2020 nous ne sommes déjà plus dans la même situation qui prévalait alors?

    Comme très souvent je vais vous proposer une série d'hypothèses qui, quand bien même en aurais-je aucune preuve, parce que juste déduite, n'en resteront du-moins logique dans la dynamique en cours.

    Ce projet des GOPE sur les retraites touche toutes les strates sociales, hormis bien sûr les oligarques, leurP1020478.JPG employés du gouvernement, de la majorité des chambres délibératives et leur bouclier, la presse de toutes sortes et la police, pour ces derniers j'y reviendrai.

    En revanche nul n'est fait mention des militaires et de leur statut si particulier puisque ces professionnels ne sont engagés, pour le simple troufion, que pour un temps donné de quelques années et je ne pense pas que ledit projet soit de leur intérêt, loin de là...

    Donc, nous pouvons percevoir facilement que celui-ci touche également à la catégorie sociale intellectuelle et économique que j'appelle la classe-moyenne haute à supérieure, dont celles dédiée aux lois, celle des avocats étant la plus visible pour l'instant.

    De cette classe sociale, que monsieur Boulo disaient ne pas pouvoir saisir les implications de notre domination par une oligarchie avaricieuse euro-atlantiste via l'Union-européenne, ne peut qu'en émerger l'entendement, eux aussi ont à y perdre.

    Il ne peut qu'être que d'évidence qu'une grande part de ceux-ci n'en viennent à agir, certains n'en étant encore qu'en pleine réflexion,  mais dès que cette actions deviendra tangible, ceci en reviendra à redoubler et aider les grèves portées par les agents et ouvriers des transports, des dockers, des raffineries...

    Il est possible dès alors de postuler que cette accélération de la dynamique P1020251.JPGhistorique française, commencée par le mouvement des gilettistes en Décembre 2018, ne commence à accroître encore plus sa vitesse de développement dans peu de temps.

    Par exemple, s'il en est qui savent lire et comprendre le droit, national, certes, mais aussi international, et là, plus spécifiquement, du traité de Lisbonne de 2007 faisant suite et éliminant de fait le référendum de la prétendu constitution européenne de 2005 rejeté par les français et les hollandais, ayant voté non, ce sont tous ceux-là qui ont de métier celui de la législation dans son sens le plus large.

    Je ne serais dès lors pas surpris d'apprendre qu'une guérilla judiciaire et juridique débute en un temps court puisqu'il doit  y avoir un ensemble de contradiction entre la constitution française, même si elle fut largement amendée, et ce fameux traité.

    Voire même à ce qu'il y ait quelques paradoxes entre les GOPE et celui-ci.

    Des sciences humaines, de la vie ou de celles dédiées à l'étude de la matière, il n'est pas possible que chacun ait, dans sa besace, en raison de ses connaissances, quelque moyen pour faire pression sur l'état.

    Pour en revenir aux policiers, ceux-ci commencent aussi à appréhender qu'ils ne furent que des pions utiles pour faire rentrer chez-eux les gilets jaunes mais que, comme le gouvernement s'est fait taper sur les doigts par l'union et l'ONU, rendreP1020206.JPG borgne des manifestants ça fait mauvais genre pour un pouvoir bruxellois qui se dit censément démocrate, alors les juges vont envoyer quelques-uns de ces représentant de la loi au gnouf, de ceux les plus violents et répressifs, voire même à ce que ne soient choisis que de naïfs boucs-émissaires.

    Non pas pour l'exemple mais parce que nos ministres en notre président sont dans la plus totale incapacité d'assumer leurs décisions.

    De plus, le retrait de la retraite à point pour la maréchaussée par le gouvernement, annoncé avec grand fracas par nos journalistes cornichons, n'est que partielle et fragmentaire, ce qui nous montre encore l'inconséquence foncière de ceux qui nous dirigent, ne comprenant pas que les forces de l'ordre ne sont plus loin de ne plus défendre celui oligarchique euro-atlantiste eurobéas.

    J'écoute en ce moment même France-musique et qu'entends-je?

    Une reprise de la Carmagnole réarrangée d'une manière plus classique, ce que je ne retrouve pas dans les vidéos du net, écoutez les paroles et pensez au sentiment de trahison que ressentent les classes sociales qui avaient voté Macron.

     

    Ceux pour qui comprendre des textes de loi parfois alambiqués leur est d'une grande P1030530.JPGfacilité, ce qui n'est pas mon cas, il ne peut que leur être visible que l'Union-européenne  est verrouillé institutionnellement.

    Changer la moindre de ses virgules nécessiterait un accord de tous les états et de leurs chambres délibératives.

    Ce qui conduit mécaniquement à un autre verrouillage, politique et idéologique (thème que j'ai déjà traité part ailleurs).

    Ne restant plus, en effet, ce suivant les pays, ceux de ces partis qui veulent y rester, ceux qui veulent en sortir, avec ou sans l'activation de l'article 50, ceux qui veulent la réformer et ceux, comme en Hongrie, qui tentent de plus ou moins tricher avec lesdits traités.

    L'état hongrois semblant rentrer dans les rangs puisqu'il risque de prendre une amende importante de plusieurs points du PIB, provenant de l'UE.

    A la vue de cette accélération croissante de la dynamique historique en cours en France, il serait prévisible de concevoir que la lucidité en ce triple verrouillage se fasse jour ici pour un nombre de gens accru.

    Cela ne se reflète pas encore vraiment politiquement, à l'UPR notamment, pour cela il faut tout de même encore du temps, mais je suis grandement optimiste.P1010577.JPG

     

    Le Liban amorce un virage à 180 degrés: les libanais quittent désormais leurs luttes confessionnelles et, tel qu'en Syrie et en Irak, deviennent patriotes, disons plutôt que les difficultés politico-économiques de ce pays mènent à ce qui n'était encore qu'en jachère il y a peu de temps s'exprime maintenant.

    Là aussi les événements y accélère le temps.

    Vous trouverez deux vidéos complémentaires, ici et , si vous ne les avez pas vu pour l'instant, qui vous en expliqueront les raisons.

    Ce qui il y a à y remarquer c'est qu’Arte n'y parle pas des verrouillages bancaires, empêchant la population de pouvoir utiliser, dépenser leur argent, ce qu'explique très bien Mr. Jovanovic, et que ce dernier paraît avoir enfin saisi que marine Lepen, avec son entreprise, RN, n'est en rien l'alpha et l'oméga d'une quelconque rébellion mais, tout à l'inverse,  l'un des acteurs obéissant à la volonté unioniste contre intérêts forts bien compris.

    Je pense que ce qu'il se passe tant en France, en Irak, en Syrie, au Liban, mais aussi en Grande-Bretagne avec son brexit, ceci entre-autre, n'est que le reflet d'un mouvement de fond, général à l'échelle mondial, d'une émergence ou d'une P1030120.JPGréémergence des états-nations accompagnant très exactement l'effondrement de l'idéologie néolibérale.

    Deux processus, me semble-t-il, sont en ce cas en jeu:

    -les politiques suivies en raison de cette doctrine tendent vers leur inefficacité absolue, tant parce qu'elle mènent à des incohérences économiques formelles en privilégiant la virtualité monétariste au-devant d'une économie réelle s'effondrant doucement;

    Que de ce qu'elle entraine avec elle une bonne part de l'élite économique et politique mondiale à la prévarication et à la concussion, ce quoi observent les français chez-nous.

    -le retour croissant à l'identité de Soi à cause même de cet affaiblissement, le système ne parvenant plus à subordonner les peuples à leurs désidératas.

    Ce dernier mécanisme, à mon avis le plus important, redonnant aux populations l'intégrité de leur détermination, dans tous les sens du terme, conduit à ce rejet des classes dominantes, les divers chocs sociaux dus à des décisions gouvernementales, suivant les nations, n'étant que les détonateurs de ce processus.

    S'il y a donc une accélération des dynamismes historiques c'est parce que, dorénavant, le bloc néolibéral multifonctionnel se délite tant dans les esprits que par les choix politico-économiques faits par leur détenteurs directes, ceux qui en tirent toutes leurs prébendes, choix qu'ils ne pouvaient qu'effectuer pour tenter de sauver la structure même tant de leur doctrine, de leur narcissisme que de leur richesse.

    C'est bien parce que maintenant, en France, les classes-moyennes hautes àP1020603.JPG supérieures recouvrent leur identité propre en tant qu'élites réelles du pays, ce qu'elles pressentaient déjà inconsciemment lors de leur réaction après l'attentat de Charly-Hebdo en janvier 2015, mais aussi parce que l'oligarchie ploutocratique est désormais aux aboies et que l'Union-européenne se corrompt,  s'altère et se dégrade, que le cycle des événements tend à s'accélérer, quand bien même les médiats n'en relatent que peu la trame.

     

     

     

    THEURIC

    PS: Voilà vers quoi mène un processus de panique dépassé, ici il s'agit de Mr. Macron, cela va de soi, quand à Tatiana Ventôse, ma foi, elle a tout dit, ou presque!

  • De la rétrogression historique à Macron: l'empereur sera-t-il bientôt déchu?

    A l'introduction qui vient, je le fais précéder de ce petit préambule de dernière minute qui me semble nécessaire.

    Ce fut hier, en effet, d'abord en regardant une vidéo de Monsieur Biberian que je ne retrouve pas, datant d'un mois (je vous conseille celle-ci pour celui qui ne connais pas grand chose aux atomes et de leur fusion et fission) traitant, lors d'une conférence, de la fusion froide, où il  y expliquait le conservatisme de ses paires face aux idées nouvelles.

    Puis c'est en songeant à l'accueil possible du billet que je vous propose aujourd'hui, que je me suis rendu compte que mon problème principal est que je sors doublement du cadre de référence conceptuel social de notre époque.

    Déjà en raison de mon statut auquel je ne fais que peu de cachotteries, j'ai le Certificat d’Étude Primaire en sa dernière année d'existence (allez-y voir, les jeunes, de quoi il en retourne), un C.A.P. horticole, été deux ans jardinier communal, pendant 25 ans conducteur de bus à la R.A.T.P. et entre les deux fait plein de petits boulots.

    DSC00065.JPGMais aussi du fait que je ne porte pas un regard habituel sur les événements et prend souvent des positions largement différentes de ce qu'il se dit sur tout un ensemble de sujets.

    Je sors donc doublement de ce cadre de référence et, en cela, je me retrouve à être provocateur sans que cela soit recherché de quelle que manière que ce soit.

    Si, ma seule provocation, si tant est que ça en soit une, est de montrer qu'il est possible de penser par soi-même quel que soit le niveau d'étude de chacun, le principal étant de s'instruire continuellement.

    Je conçois parfaitement que d'aborder des sujets comme il peut en être de l'évolution des ancêtres des singes ou de la présence des extraterrestres, que je nomme les E.I.N.T., les Être Intelligents Non Terrestres, peut surprendre, voire choquer.

    Mais je ne vois pas pourquoi je ne devrais pas écrire sur ces thèmes qui sont tout aussi sérieux que bien d'autres.

    Le cadre de référence conceptuel social étant l'horizon collectif de ce qui fait sens.P1000898.JPG

    Je ne vais pas m'appesantir la-dessus, vous laissant aux deux lectures suivantes.

     

    J'avais largement commencé à écrire ce texte avant de retrouver le précédent dans mes archives, puis de vous le proposer avant-hier.

    Or, il s'est révélé ces deux-ci sont intimement liés.

    Cette rétrogression historique (en  fin de page), dont je vous avais déjà fait part à plusieurs reprises, entre-autre en vous faisant remarquer le retour de la barbe et la ressemblance entre le burkini et les vêtements de bain que portaient les femmes françaises à la fin du XIX° siècle, pourrait, là encore, s'exprimer par la confrontation, aujourd'hui seulement économique et politique, entre un diablement dérisoire Macron se prenant désormais pour une sorte de Napoléon III dit, par Victor Hugo, le petit, et une Madame Merkel très loin de ce que fut Bismarck.

    Certes, il n'y a rien à voir entre la Prusse de l'époque qui, grâce à Otto Von Bismarck, sut recomposer, de 1862 à 1871, le Saint-Empire-Romain-Germanique défunt sous la forme de l'Allemagne, ainsi que Louis-Napoléon Bonaparte, neveu de Napoléon Ier, aventurier qui tenta un coup d'état en 1840, fut élu Président de la II° République en 1848 et, en 1852, fut sacré empereur sous le nom de Napoléon P1010318.JPGIII, puis qui abdiqua lors de la guerre de 1870 après la défaite de Sedan.

    Et l'époque actuelle où, de Bismarck nous avons, en Allemagne, Madame Merkel, et en France, de Napoléon III nous en sommes revenu à ce pauvre Monsieur Macron, grandeur et décadence.

    Mais ce qui est remarquable c'est la singulière similitude qui semble prendre corps entre la fin de ce troisième quart du XIX° siècle et l'achèvement de la deuxième décennies du XXI°.

    Bon, bon, je sais, cette similitude paraît tirée par les cheveux, d'autant plus que rien pour l'instant n'est réellement en place, comme souvent je fais ici de la prédictivité en partant du principe que nous sommes entrés dans une phase de rétrogression historique avec, lié, une manière de répétitivité historique.

    Ce fut le refus du Gouvernement allemand de participer aux (petites) frappes en Syrie qui me fit me demander si, par hasard, la Germanie n'aurait pas saisi le repli stratégique qu'effectue l'empire étasunien (là encore, je n'en ai que des preuves peu assurées).

    Mais cela me paraît logique au vu de la situation économique catastrophique dedans laquelle se retrouve les États-Unis-d'Amérique et, comme le firent les romains en leur temps en Bretagne (la Grande-Bretagne d'aujourd'hui), les américains retirent discrètement leurs troupes de l'Europe, mais pas seulement de là.

    C'est pour cela que ce sont les forces spéciales françaises qui furent envoyées aiderP1010087.JPG les kurdes pro-américains à lutter contre l'armée turque, plutôt que celles étasuniennes.

    Donc, bientôt, la France et l'Allemagne vont se retrouver à se regarder en chien de faïence au sein de l'Union-Européenne.

    Allemagne qui semble vouloir quitter une Union-Européenne débutant sa débandade, ceci du fait de l'éloignement progressif de Tonton Sam, mais surtout de percevoir la faiblesse montante de l'empire.

    Elle ne peut donc, à mon sens, que de décider de reprendre sa souveraineté, d'autant plus que l'U.E. la met au-devant de risques économiques ne pouvant que s'aggraver avec le temps (Target 2).

    Mais son problème est que, même si une bonne part de sa population ne serait pas vraiment contre, son oligarchie, elle, ne peut que rester, au moins pour partie, résolument unioniste.

    De l'autre coté du Rhin nous avons le gouvernement Macron et son  président (allez jusqu'à la rose rose pour savoir comment je le perçois) qui de Zeus en fut devenu roi, puis de roi en est maintenant à prendre des allures impériales, décidant de tout, même des actions militaires.

    C'est pourquoi il en vient à être comparé à Napoléon III.

    Ce qui correspond à ce que j'affirme depuis quelques temps, nous entrons dans une P1010215.JPGphase de rétrogression historique, en voici, me semble-t-il, les mécanismes politique qui l'y accompagnent.

    Je laisse à d'autres, qui le font bien mieux que moi, ici, , et encore en cet endroit (portez attention après 3mn 07, le sujet est d'importance et j'y reviendrai plus loin), en cette petite liste non exhaustive, le soin de développer leur réflexion sur les dernières événements syriens.

    Quand à ce qu'il en est des miennes, de réflexion, je les porterai sur ces effets de retour sociétaux passé, cette moderne rétrogression historique, que ces affaires ridicules et contreproductives syriennes (tout dépend pour qui) ne peut qu'avoir accéléré en France.

    Et oui, c'est qu'à force d'agacer l'ours russe, à cause de l'empressement à l'obéissance de notre gouvernement, la population française en est venu à avoir une trouille bleue des zèles guerriers de notre cher président.

    Et vous-mêmes, amis lecteurs, combien d'entre-vous n'ont-ils pas craint qu'à cause  des gesticulations militaristes de notre tout petit empereur national, notre pays ne se retrouve à se confronter avec une Russie qui, lorsqu'elle est attaquée, sait montrer des ressources insoupçonnées?

    Dès lors, comme affirmé plus haut, si je reprends ma théorie de la rétrogression historique, Monsieur Macron ne peut pas ne pas être comparé à un Napoléon III proche (déjà) de son abdication  avec, comme cour, ses ministres et notre oligarchie décatie à laquelle il semble ne plus vouloir se soumettre: ses maîtres ont perdu le contrôle de leur créature .

    A la place, il suit, avec l'appétit d'un enfant devant un monceau de soldats de plomb, les directives intéressés de Madame May (au joli mois), je ne trouve pas la vidéo, mais je me souviens de l'avoir vu, aux informations télé, entouré de gens si sérieux, regarder la caméra avec ce sourire enfantin aux lèvres du gamin qui va jouer à la guerre.

    Je me demande donc si, en réalité, lui, le nain politique, ne serait pas devenu le dindon d'une farce dont le but serait d'accentuer la déstabilisation de la France.

    C'est que sa position politique s'est plus que fragilisé, à ce Napoléon le tout petit, petit, petit, petit.

    Comment, déjà, croyez-vous que va réagir le peuple après une telle frayeur, juste au moment ou les grèves commencent à embraser le pays et que deux à trois milliersP1010118.JPG de policiers n'arrivent pas à calmer une poignée de zadiste?

    Et surtout, comment doivent déjà réagir les radio-éléments du R.E.M. de l'Assemblée-Nationale, qui doivent avoir en main bien plus d'informations que nous-autres, pauvres manants, ne pourrions jamais obtenir?

    Il se dit que des missiles envoyés par la tripartie U.S., R.U. et France sur la Syrie, 68% pour les russes, 69% pour des militaires étasuniens, furent descendus par de vieux anti-missiles modernisés fournis aux syriens par les  russes, des antiquités améliorées, soit plus des trois-cinquièmes des bombinettes dézinguées, mazette...

    Certes, il y a, chez les élus du parti macronien offert gracieusement à notre généralissime, certains qui doivent, dur comme fer, considérer que notre impérial président dit et agit avec la grâce du génie et de la lumière divine.

    Mais les autres, tous les autres, ne commencent-ils pas à se poser de sérieuses questions?

    Au début, soit maintenant, ils doivent juste ronchonner dans leur coin, s'interroger de savoir si Monsieur Macron ne risquerait pas de nous mener à une guerre qui ne pourrait qu'être désastreuse pour notre pays, se dire que leur chef n'est pas à sa place, qu'il est dangereux de suivre les recommandations empressées des U.S.A. et des britanniques, que lui-même serait dangereux.

    P1010376.JPGPuis, petit à petit, bientôt, plus tard, bruisseront des chuchotis dans les allées de l'Assemblée-Nationale, de se demander si cet homme est vraiment un démocrate, si, en vrai, il ne les conduirait pas à leur débâcle, si se qu'il se dit serait vrai, qu'il aurait la trahison dans la peau, que ce ne serait qu'un pantin, puis un minus et enfin un raté et un traitre.

    C'est fou ce que la peur peut générer de réactions.

    Dans la population il ne peut qu'en être de même, mais en pire.

    Tout le monde à pu voir à la télé son niais sourire quand il était entouré de ses conseillés militaires, celui d'un gamin qui fait joujou avec tous ses pouvoirs.

    Je vous l'ai dit auparavant, il prend son pied.

    Il n'est pas besoin d'être grand clerc pour imaginer ce qu'une multitude de gens doit penser dorénavant de lui en nombre noms d'oiseaux.

    Les citoyens ont eu trop peur, trop d'angoisses, furent part trop effrayés, que ce soit consciemment ou inconsciemment, et, quoi qu'il se passe et se passera à partir de maintenant, ils considèreront que celui qui est la cause de cette peur, de cette angoisse, de cette frayeur, que la raison de cette terrible douleur psychique et de tout ce qui la représente doit disparaître.

    (Étant entendu que je décris là un mécanisme de survie instinctuelle, primitive et le plus souvent inconsciente, les français ne vont pas tous se ruer du jour au P1010040.JPGlendemain à l’Élisée, à l'Assemblée-Nationale ou chez Monsieur Attali les armes à la main, bien sûr que non.

    Mais que maintenant que le tocsin a sonné dans leur tête,  même s'il ne tinte désormais plus du haut des clochers des églises, même si cela n'est pas conscient, même si les explications qui en sont et seront données n'aurions rien à voir avec ces événements, leur haine pour tous ceux qui suivirent et surtout suivent encore ce capitaine de bateau ivre va devenir inextinguible.

    Les citoyens ont eu trop peur, parce que cela à réveillé en eux une mémoire profondément enfouie depuis deux, trois, quatre générations qui a resurgi d'un coup en les traumatisant sans même qu'ils ne s'en soient rendu compte.

    Et oui, l'inconscient sociale conserve en lui de très lointains souvenir, infiniment plus anciens encore.

    On ne réveille pas ainsi des monstres enfermés au plus profond de la mémoire des population sans effet.

    Malheur, se dit-il, par qui le scandale arrive.)

    Je me suis demandé, hier, si ce ne serait pas ces mécanismes mentaux collectifs qui auraient été recherché par un empire U.S. qui, désormais, joue autant sa survie impériale que de l'existence même de son pays.

    P1010204.JPGAinsi ai-je supposé, puisque n'en ayant que peu de preuves, que les U.S.A. rapatrient discrètement leurs soldats se trouvant dans les nombreuses casernes se situant hors de leur frontières (toutefois ce qu'a annoncé Monsieur Béchade dans la vidéo sus-avant aux 3mn.07, soit que les troupes américaines se désengage de la Syrie, me laisse entrevoir que je n'ai pas tort), la raison en serait une insécurité politique grandissante provenant de la population étasunienne, ce qui est compréhensible à près de  40% de chômage réel, mais aussi la recherche fébrile d'économie.

    De la même façon, j'ai présumé qu'ils chercheraient à se débarrasser d'une Union-Européenne qui, maintenant, tend à l'entrainer dans sa faillite, du-moins en ont-ils le sentiment (en fait, chacun entrainant l'autre dans sa banqueroute, mais ça c'est une autre histoire), et d'une Allemagne qui, comprenant les faiblesses impériales, elle qui déjà lui taille des croupières économiques, prend depuis déjà quelque temps le contrôle de l'union pour son propre compte.

    Allemagne qui, de par sa contexture sociologique plus stable, est moins facilement atteignable qu'une France naturellement instable.

    En fait, ses bases militaires coûte un bras à Tonton Sam qui s'en passerait bien, et, sur ce site, découvert aujourd'hui même et que j'ai rapidement parcouru, j'y ai trouvé ces deux textes en tous points révélateurs (je suis content, mon intuition ne m'a pas trahi):

    " ... Jamais dans l’histoire de l’humanité on a vu une nation exercer un tel pouvoir sur le reste du globe ou en tirer d’énormes avantages économiques. Ces politiquesP1010129.JPG hégémoniques ne peuvent probablement pas être soutenues pendant encore longtemps, car elles sont extrêmement coûteuses et provoquent des défis politiques et militaires permanents ... ".

    Traduit de ce site par le précédent.

    Puis, du même endroit, plus loin:

    Le Pentagone a annoncé son intention de fermer 15 bases militaires en Europe dans un effort pour économiser environ 500 millions de dollars par an. Alors il y aura seulement une légère réduction des niveaux de forces globaux. Les critiques craignent que cette décision arrive exactement au mauvais moment où l’Europe est confrontée à la perspective d’une nouvelle agression russe en Ukraine " (la Russie à bon dos, ce qui est à la mode en ce moment).

    Ces deux extraits date de 2015, soit sous l'ère Obama, et quand bien même Monsieur Trump voudrait renouveler la puissance impériale Étasunienne, le fait est là, ce pays, en quasi banqueroute, ne survit plus que grâce à la nécessité de passer par le dollar et le pétrodollar pour tous échanges internationaux.

    Quand bien même la dédollarisation commencée par la Chine et la Russie en réduise l'hégémonie, la monnaie U.S. reste inévitable pour le commerce mondial.

    P1010143.JPGQuoi qu'il en soit, le gouvernement fédéral des États-Unis-d'Amérique cherche à tous prix de faire des économies et, à mon sens, se replie dorénavant sur ses bases arrière, soit sur les Amériques nord et sud.

    Le problème restant que les hyper-productions monétaires leur ont fait perdre à toutes leur valeur intrinsèque, dont le dollar qui ne vaut plus que peau de balle et balais de crin, que dalle, quoi, tout comme l'euro, le yen, la livre sterling, le yuan  et bien d'autres.

    Que les bourses de Wall Street tendent à s'évaporer par leur boursoufflures et records à la hausse ne provenant que de l'injection continuelle de ces masses de monnaies ne valant plus rien.

    Et que les états U.S. et l'état central sont tous endettés à un point tel que tout les prêteurs savent pertinemment qu'ils ne seront jamais remboursés, mais font semblant et ferment les yeux, personne ne sachant ce qu'il se passera dès que la banqueroute généralisée aura montré à tous sa terrible morsure.

    Le problème supplémentaire devant lequel les américains se retrouve maintenant c'est que les allemands ont compris que Monsieur Macron est, à son insu, le cheval de Troie impérial, que son élection n'a eu, de but, que de désorganiser suffisamment l'Union-Européenne par l'instabilité politique qu'il génère en France, pour que l'U.E. et l'euro éclate en mille morceaux en raison du France-quitte.P1010176.JPG

    Il est probable que l'Allemagne, quand à elle, comprenne qu'il lui est nécessaire que l'U.E. disparaisse, tout simplement parce que tous les richissimes des pays de l'union pauvres et endettés préfèrent mettre leur argent là où la situation économie est la meilleurs, dès lors dans les banques germaniques, ce qui met la Germanie dans une mouscaille incommensurable.

    Ceci parce que chaque fois que de l'euro sort d'une nation, en vrai ce n'est pas de l'euro mais plutôt de l'euro-franc, de l'euro-lire (italienne), de l'euro-peseta (espagnole) ou de l'euro-drachme (grecque)...., dès lors la banque centrale du pays d'où cet euro provient doit à l'Allemagne cette somme.

  • Idée n°) 14: Le retour à un tournant historique inachevé: réflexions sur la relation entre l'Europe et l'Afrique (et lég

    Dans mon texte précédent j'analysais les dynamismes en œuvre dans les relations établies entre différents pays ou régions du monde en montrant qu'il était possible, même de façon limitée, de percevoir les évolutions plausible, possibles, voire probables des relations géostratégique entre ces dits pays et régions en y recherchant des similitudes avec des situations passées similaires.

    Auparavant, c'est le processus de rétrogression que j'avais soumis à votre appréciation en y faisant une relative erreur, l'aphorisme; "l'étrange attraction des peuples pour leur inconscient social" n'y était que peu justifié.

    Je propose, dans ce texte, d'explorer un autre mécanisme historique qui, là, rendra cette maxime pleinement effective, "le retour à un tournant historique inachevé".

    Semblable à la rétrogression, c'est là encore un processus de "retour en arrière" collectif, mais autant la rétrogression sociale mettait en avant des mécanismes internes à un pays, une nation, une société donnée (c'est pourquoi je pense possible, voire probable une scission au moins momentanée des États-Unis-d'Amérique, que cela passe par une nouvelle guerre sécessionniste ou bien de façon plus paisible), autant le retour à un tournant historique inachevé se penche, ici, sur des relations de subordinations ou de conflits préalablement établis entre divers peuples, pays, états et/ou région du monde, relations qui, pour des raisons variées, n'ont pas pu se conduire jusqu'à leur terme, ce qui conduit à une frustration, un inassouvissement inconscient des peuples.

    Un bel exemple passé en est les deux guerres mondiales en Europe.

    L'achèvement du premier conflit mondial, à l'est comme à l'ouest, d'une certaine façon, tourna court: certes, l'Allemagne fut vaincu mais, à l'est, la révolution bolchevik empêcha l'Allemagne/Autriche-Hongrie ou la Russie de se déterminer en tant que vainqueurs ou défaits et à l'ouest, que ce soit sur le front français ou italien, l'Allemagne/Autriche-Hongrie, bien que battues, n'ont jamais eu leur territoire envahi, ce n'est qu'après leur défaite que de manière limité l'Allemagne eut à subir une occupation (située dans la Ruhr, soit un bon tiers ouest de l'Allemagne), comme en effet cette défaite allemande et austro-hongroise ne fut dû qu'à leur épuisement, la frustration ressentie par les vaincus fut intense parce qu'ils ne se sentaient pas réellement vaincus et encore moins vainqueurs.

    Ce tournant historique inachevé aurait pu se régler par d'autres biais, économique par exemple, mais 1929 sonna le glas de cette possibilité et l'avènement d'Hitler en détermina la suite, la guerre qui s'en suivit, la deuxième mondiale, avait en partie pour cause cette frustration plus ou moins inconsciente, surtout de la part de l'Allemagne, d'avoir été vaincu sans en avoir le sentiment véritable de l'avoir été, d'où l'impression d'injustice que ressentaient les allemands de cette période.

    Cette même théorie me fait présagé que les pays qui, jusqu'en 1918, composaient ce qui était alors l'empire Austro-hongrois ne "profitent" de la construction européenne et du risque de son prochain démantèlement pour se réunifier de nouveau, sous une forme, bien sûr, différente, sous l'égide d'un pays germanique, l'Allemagne, en remplacement de l'Autriche, c'est pourquoi je ne serais pas étonné d'une partition entre l'Europe de l'ouest et celle de l'est, partition qui ne serait pas sans rappeler celle de la guerre froide.

    La guerre d'Indochine puis celle menée par les américains au Vietnam est du même ordre, la défaite française fut surtout politique, la bataille de Dien Bien Phu n'était pas en soit une défaite française déterminante et je postule qu'inconsciemment, pour les vietnamiens, obtenir leur indépendance après toutes ces décennies de domination coloniale française après un si (relatif) petit succès généra, également une frustration, tout le monde connait la suite, guerre du Vietnam, envoi massif des troupes américaines, progressives dégradations de la situation de l'Oncle Sam, évacuation de leurs troupes puis, pour finir, victoire du nord Vietnam sur le sud, dès lors achèvement de ce processus historique.

    Venons en au titre de ce texte.

    La décolonisation de l'Afrique Subsaharienne n'est pas survenu grâce à la détermination des africains ou des européens, France, Angleterre, Allemagne, Espagne, Italie, Belgique, (le Portugal, l'Angola et le Mozambique sont à part puisque ces deux derniers pays se sont libérés après de longues luttes)  (encore une fois je ne porte pas de jugement de valeur, je ne suis pas quelqu'un pour qui la colonisation fut un bienfait, ni un méfait d'ailleurs, c'est le trait de l'histoire d'un empire, ici européen, qui s'est fait sur le dos de plus faibles, cela se rajoutant à un racisme à l'encontre les noirs parce qu'ils représentent, pour les peuples non noirs, le rejet inconscient de leurs pulsions, lié au sentiment de saleté, un complexe d'infériorité dû à ces pulsions auto-destructrices, surmonté par un complexe de supériorité, représenté par l'archétypal sentiment donné par une couleur de peau paraissant originel, celle de la préhistoire la plus ancienne, le racisme est donc la projection, sur un autre différent, de sa propre détestation d'une partie de soi, celle la plus sauvage, l'anti-judaïsme est de même ordre, mais en son inverse en ce sens où le juif représente la modernité, la culture et la pulsion réprimée puisque c'est la culture et la modernité qui réprime la pulsion, quand un noir est cultivé la situation est pire encore puisqu'elle conjugue dans le même temps les processus de rejet du noir et du juif.

    C'est donc, dans tout processus de racisme, la haine de ses propres pulsions qui génère la pulsion de haine projeté sur l'autre mais comme est reconnu dans cet  autre soi-même, le soi-même dans le Noirs et le juifs ainsi que tous ceux qui sont différents, renvoient aussi la crainte de perdre son identité par la peur contradictoire qu'ils représentent d'un retour à des temps archaïques, redevenir sauvage par les pulsions haineuses et destructrice que leur contactes génèrent en raison de ce complexe d'infériorité.

    Mais n'oublions pas, noirs, juifs et autres peuvent aussi être raciste, et oserais-je le dire, ont le droit d'être racistes, parce que considérer les noirs, juifs et autres comme naturellement non racistes c'est déjà du racisme: nous sommes tous fait de la même pâte!

    Quand cette pulsion de haine devient destructrice elle devient obligatoirement et logiquement autodestructrice: tout projet de destruction provient de la fascination qu'exerce sa propre annihilation).

    Pourquoi j'affirme cela au sujet de la décolonisation?

    (hou, comme le sujet est difficile, soyons diplomate sinon je serais traité de raciste, sauf que peu de gens comprennent que le racisme et, parfois, son contraire, l'anti-racisme, peuvent être de même nature, si je hais cette partie de moi mais que mon surmoi me l'interdit, une manière élégante de se tirer de ce mauvais pas c'est de lutter contre le racisme, haïr le raciste permet de haïr cette même partie de moi mais à bon compte.

    Le non-raciste lui, comme ce mot l'indique, n'est pas raciste et est majoritaire chez les anti-racistes, la différence se trouve dans le discourt, de dire quelqu'un raciste parce qu'il décrit le fonctionnement social d'un peuple autre que le sien, comme le fait monsieur Emmanuel Todd au sujet des allemands, est imbécile, affirmer en revanche l'infériorité d'un peuple par rapport au sien ou comparer une femme avec un singe c'est du racisme, ainsi pouvons-nous être un parfait crétin mais cultivé.

    Au sujet des musulmans et aussi des arabes, des turques ou de tout autre gens aux origines divers le problème reste semblable hormis le fait que cette crainte fantasmé en un retour  à des temps passés se base sur des périodes moins anciennes, ce n'est pas le retour à des temps préhistoriques mais moyenâgeux et la détestation que certains musulmans ont pour l'Occident provient de la crainte qui est leur de perdre leur âme dans la modernité.

    Ce discourt dédouane-t-il ceux qui se pense supérieur à ceux qui sont autres qu'eux, racistes, donc?

    En fait, le racisme est la réaction la plus primaire qu'il soit, et c'est la réaction de gens primaire que de rejeter toutes ses fautes et son mal-être sur un autre surtout si il est faible ou donne ce sentiment.

    En revanche, ce n'est pas du racisme de considérer que dans un pays à la situation économique critique comme l'est la France, l'immigration doit être étroitement encadrée et réservée exclusivement aux réfugiés politiques et interdite aux réfugiés économiques.

    Parce que tout le monde sait très bien au plus profond de son inconscient que nous sommes tous égaux de fait, mais un ensemble de contraintes sociétales nous assujettissent, telle que celle qui est d'évaluer le poids hiérarchique de son vis à vis, surtout des inconnus, mais pas seulement, et cet assujettissement fait de tel sorte, parce qu'ils ne sont pas compris, que nous ne pouvons pas faire autrement que de projeter sur l'autre ses propres angoisses.

    Quand au F.N. et à sa présidente, ils sont entrés dans un processus autodestructeur pour les raisons que j'ai évoqué plus haut par des mécanismes que j'ai étudié précédemment.

    Ceci dit, je reviens à notre conversation d'origine.)

    Je disais donc que la décolonisation n'était pas survenue en raison de la détermination des pays d'Afrique Subsaharienne mais grâce à la guerre froide et de l'obligation faite aux européens par les U.S.A. et l'U.R.S.S. de se défaire de leurs colonies.

    Là, la frustration fut dantesque puisque ces pays ne se sont pas libérés en raison de leur puissance (comme le Vietnam) mais  parce que les européens en ont été obligés par plus puissants qu'eux, ces peuples, déjà considérés comme immatures par leurs colonisateurs, furent doublement infantilisés par les américains et les russes puisque ne leur a été reconnu ni leurs capacités de négociateur, ni leurs capacités de combattant.

    L'Europe aussi fut frustrée parce que leurs colonies ne se sont pas battus contre eux ni même n'ont négocié avec eux ce qui pourrait sembler un paradoxe, mais se battre contre des colonisés ou négocier avec eux veut dire se retrouver dans une situation d'égalité dans les relations ainsi établies ce qui permet de calmer, un tant soit peu, les angoisses, même si ces relations furent celles du sang, relations d'égalités qui commencèrent à se forger peu de temps avant cette décolonisation et qui n'aboutirent à rien pour les raisons montrées plus haut.

    Ainsi comprenons-nous mieux autant les conflits perpétuels en Afrique venant d'un déplacement de cette agressivité en auto-agressivité provenant de cette frustration, du retour du racisme en Europe, les roms prenant là la place des noirs, là où il y en a peu, pour les mêmes raisons, en France l'équipe de Sarkozy n'ayant fait qu'appuyer sur le bouton roms/noir.

    Nous comprenons mieux, aussi, c'est là où je voulais en venir, ce retour de l'armée française en Afrique Subsaharienne qui n'en est, je le pense, qu'à ses débuts et nous verrons bientôt d'autres pays européens se joindre à ces troupes.

    Ce retour à un tournant historique inachevé met ainsi le doigt sur les mécanismes en cours en Europe comme en Afrique qui ne purent se mettre en place qu'une fois l'effondrement des soviétiques et celui, bientôt, des États-Unis fut patent, que cela soit conscient ou pas.

    C'est la même théorie qui me fait dire un risque important de conflits en Amérique du Sud si les divers guerres qui ont traversées ce continent au siècle dernier se révèlent, également, d'ordre de l'inachevé en raison des interventions continuelles de leur puissant voisin.

    Nous pouvons dater le début de faiblesse irréversible des U.S.A. en regardant à quelle décennie les premiers pays d'Amérique du Sud ont pris leur destin en main et désigné leurs dirigeant à l'encontre des désidératas des américains, 1983 pour l'Argentine, à mettre en parallèle de l'arrivé au pouvoir de monsieur Mikhail Gorbatchev en Union-Soviétique, 1985.


    THEURIC

  • Non pas de l'espoir mais de la détermination!

    Je trouve la guêpe germanique, Vespula Germanica, plus élégante que celle commune plus ronde et ramassée, aux pattes plus courtes.

    Il y a de cela fort longtemps, dans le jardin de chez mon frère, un nid s'était constitué au fond, je m'en étais rapproché, non pas trop près, et avais vu cette myriade d'insectes s'agitant sur la brouette retournée, sans quelles ne me fassent le moindre mal.

     

    Avis:

     

    Je fus contraint de supprimer quelques-uns de mes anciens billets en raison de ma limitation de place sur ce site Hautetfort, en en ayant choisi ceux me semblant périmés.

     

    Peut-être est-ce aussi pourquoi il ne m'est plus possible d'y poster mes petites photos.

     

    Je reprendrai des textes passés, me semblant d'importance, ce qui me permettra de les compléter et de les corriger si cela s’avérerait (plutôt) nécessaire.

     

    J'avais toutefois, auparavant, quoi qu'il en soit, enregistré dans mon ordinateur la teneur de mon blog, suivant les événements US, il est à prévoir une panne possible du WEB via Windows.

     

    N'oublions pas la composante des possibilités événementielles futures: impossible, plausible, éventuel, possible, probable, d'évidence.

     

     

    Avant-propos:

     

    Je ne suis en rien contre avoir de l'espoir en toutes choses, toutefois l'époque se prête à ce que nous devrions être déterminés, ceci dans sa double acception, dans notre identité et dans notre résolution et volonté dans l'action, tel que j'avais pu le concevoir et vous le proposer en Mars 2018.

     

    j'y avais écrit ceci (m'apercevant qu'à l'époque j'étais encore très confus, c'est pourquoi ici je l'ai un peu corrigé):

     

    ".................................

     

    ... en soi, il ne peut que paraître singulier de considérer la notion d'indétermination comme étant majeur pour comprendre notre situation psychologique et sociologique d'en ce moment (ce texte faisant suite au libelle précédent).

     

    De fait, le mot détermination renvoie autant à ce qui dicte notre condition d'Être Humain, notre volonté dans l'action, celle de la compréhension du monde ainsi que de notre résolution à la précision de notre verbe (dans le sens ancien du terme, tant dans l'expression orale qu'écrite).

     

    Certes, pour Spinoza, "toute détermination est une négation", mais ne faut-il pas nier ce que nous ne sommes pas pour pouvoir affirmer notre identité?

     

    Parce que c'est bien cela qui fait le thème de ce billet: montrer comment l'indétermination de notre identité, autant individuelle que collective et, ce, sous toutes ses formes, mène inéluctablement à de l'anxiété, de l'acculturation, de la sauvagerie par la perte culturelle que cela induit, de l'indolence intellectuelle et de volonté, de la confusion mentale, aussi qu'à de nombreux biais cognitifs, de l'inconséquence décisionnelle..., d'où, entre-autre, la faiblesse actuelle de l'orthographie, du sens des mots et des idées.

     

    ................................

     

    ... celui d'indétermination montre bien ce à quoi nous nous confrontons aujourd'hui, soit autant les effets psychologiques que cela produit, de l'anxiété, de l'angoisse dû à notre sentiment plus ou moins flou et inconscient de non existence;

     

    Que de nos difficultés d'agir, de réagir réellement et sainement, de réfléchir par nous-mêmes, de considérer le vrai du faux, en un mot comme en cent, de pouvoir être en plein de notre détention de notre libre arbitre tant dans nos réflexions que lors de nos actions, mais aussi et surtout de l'ordonnancement et de la structure de notre pensée et dès lors de notre raison.

     

    C'est quand cette détermination se construit d'incohérences, de paradoxes et de non-sens, comme il en est de ces français se croyant américains sur le sol de France, d'une confrontation d'avec des transformations sociales soudaines, rapides et/ou violente comme il peut en être aujourd'hui.

     

    Lorsqu'il n'est plus possible, pour la personne, de pouvoir dire qui  elle est, tant individuellement que socialement, qu'il y a indétermination de l'Être en une grave perte d'identité, voire une identité quasiment inexistante, ce qui conduit à une instabilité du narcissisme (ce qui définit l'individualité de chacun dans le regard de l'autre et dans celui du sien propre), déstabilisant de fait l'égo (ce qui définit l'extension de nous-mêmes par nos créations et nos avoirs sous forme de biens, de savoirs et de compréhensions du monde...).

     

    Être déterminer en tant qu'Être Humain c'est, conjointement arrivé à l'âge adulte, être dans la volonté de se comprendre, comprendre son identité, que de ce qu'être Soi soit naturel dans le présent pour pouvoir se projeter dans le futur, de le concevoir, de pouvoir planifier, de percevoir les effets possibles de ses décisions et actions.

     

    Mais aussi saisir ce qu'est le temps, celui passé de l'histoire du pays, du sol, de la terre où l'on vit, elle qui forge notre manière de penser, de parler, d'écrire, d'aimer, de s'émouvoir, de réagir, d'agir ..., d'Être, donc, quelle que soit l'origine de ses aïeux proches ou lointains.

     

    Tout comme de la sienne, d'histoire, et celle de ses générations antérieures (si on le peut, bien sûr).

     

    Notre présent, bien entendu, se doit d'être apprécié et considéré pour ce qu'il est, ni en bien, ni en mal, mais dans la résolution d'aller vers ce que le progrès veut réellement dire, de ce que peut être une société dynamique et harmonieuse autant que respectueuse de chaque citoyen.

     

    Aussi que de ressentir ce clair-obscur qu'est le futur, du sien propre comme celui de nos descendants.

     

    C'est en tout cela que se situe notre détermination."

     

    La détermination, en tant que structure psychologique, renvoie nécessairement à la notion d'identité dans ses quatre fondements:

     

    -La sienne en propre dans sa particularité absolue consciente et inconsciente;

     

    -Sociale, autant de comment nous nous considérons que du comment nous sommes considérés, aussi que de comment nous considérons être considérés;

     

    -De celle collective en tant que citoyen d'une nation elle aussi particulière à toutes les autres;

     

    -Enfin d'espèce vivante distincte de toute autre en tant qu'Homo Sapiens Sapiens.

     

    Cette perte d'identité par son indétermination d'Être affaiblissant gravement la pensée dans sa nature et, par-là même, la conscience, du monde comme de Soi, l'inconscient prenant dès lors naturellement les commandes du sujet, le menant dès lors à de seules réactivités aux excitations dues à la dynamique du milieu et non pas à une réflexion préalable.

     

    La détermination renvoyant en toute cohérence à l'action par le truchement de la pensée et, dès lors par extension, à la raison, qui vient, là, la planifier par notre projection sur un temps plus ou moins long d'une réflexion qui en compose le socle.

     

    Savoir qui nous sommes est donc d'une importance capitale pour tout Être Humain en notre modernité complexe.

     

    Plus que cela, en raison même de l'affaiblissement continuel, devenu une décadence quasiment arrivé à son terme, des Etats-Unis-d'Amérique, à ce qu'une hystérisation réflexe d'une majorité des élites internationales les conduisent à agir à l'encontre de leurs propres convictions démocratiques et à toute efficience économique, détruisant par là toutes les monnaies et, dès lors, à celle de leur conception du monde.

     

     

    Introduction:

     

    Il se passe, en ce moment même, tant en Union-Européenne, aux Etats-Unis-d'Amérique qu'à l'international, des événements significatifs des bouleversements nationaux, unionistes, occidentaux et mondiaux en cours qui, je le présume, iront s'accélérant quand notre blocage anthropologique actuel aura pris fin.

     

    Dès lors, nous sommes à la veille d'intenses chamboulements quand la paralysie sociétale actuelle aura cessé, dont nous ne pouvons toutefois percevoir que les prémisses, lors, ceux-ci ne peuvent pas être déterminés dans leur nature exacte, du-moins est-il possible d'en saisir les contours dynamiques futurs pour s'en faire une idée.

     

    Ici je vais revenir sur deux points d'importances, intimement liés, que j'avais déjà abordés antérieurement: ce que cache les élections étasuniennes et les raisons les plus profondes pour lesquelles nous avons le sentiment d'une société bloquée.

     

    Pour cela je vais activer le principe de parcimonie, soit appliquer l'hypothèse la plus simple en regard des informations qu'il m'eût été donner de percevoir.

     

    Le second concept avivé sera celui de "misonéisme", de miso-, qui déteste, et -néisme, de nouveauté, dont la définition, suivant le site CNRTL, est: "Tendance d'esprit ou attitude systématique d'hostilité à l'innovation, au changement (dans les habitudes et les préjugés établis)".

     

    Mon seul et unique but étant de vous aider à rechercher la nature de la réalité au sein de cette  glauque et insensée période puis de vous en proposer le résultat.

     

     

    D'un lointain roi français à une élection présidentielle US:

    Comme il peut en être de naturel, souvent ce ne peut qu'être qu'en considérant les leçons portées par les événements passés que nous pouvons comprendre ceux présents.

     

    Ce que je nomme les modèles historiques.

     

    Ainsi, Monsieur Greiling, au pseudonyme Observatus Politicus, sur son site: "Chronique du grand jeu", nous montre-t-il que les Etats-Unis-d'Amérique sont un empire thalassocratique à l'exemple de ce que furent ceux de l’Athènes antique et de la Grande-Bretagne des XVIII° et XIX° siècle.

     

    Ce type de modèle ne pouvant qu'être, en toute évidence, qu'approximatif, du-moins propose-t-il une base de lecture structurelle de ce qui, sinon, ne pourrait que rester grandement flouté.

     

    Il en est ainsi des dernières élections US, dont les malversations du parti démocrate furent si grossières qu'elles ne purent que faire rire le monde entier, faisant perdre à ce pays tout son sérieux lui restant, en raison de ce ridicule.

     

    Le c

  • Néolibéralisme, un champs idéologique tout puissant et moribond.

    Il se passe des choses bien étrange pour ceux pour qui l'évidence d'un effondrement de l'économie globalisée est déjà en cours.

    Après une hystérie collective (dont je fus) lors de la lutte impossible du gouvernement grec pour faire évoluer une Union-Européenne triplement bloquée, institutionnellement, idéologiquement et politiquement, après le soubresaut boursier de la fin Août, tout le monde est revenu à ses petites affaires doctrinales en niant toujours la réalité d'une ruine universelle pourtant déjà présente.

    Pour parcourir deux forums, celui de Monsieur Lordon ainsi que celui de Monsieur Berruyer, je me suis progressivement aperçu d'une totale impossibilité, autant pour ces deux messieurs que pour les commentateurs de ces blogues respectifs, de considérer qu'il ne serait-ce que possible que nous soyons parvenus au stade final de ce processus depuis longtemps en marche.

    Or, de nombreux signes alarmants, que de ma modeste position je ne puis que saisir qu'en d'infimes mais révélatrices bribes, se devraient d'alarmer nombre de penseurs, économistes et personnalités politiques, tels que Messieurs Asselineau et Mélenchon, qui font montre, à toute part égale, d'une liberté de pensée et de parole devenue rare, et qui, de par leur position, se devraient d'être plus à même de les repérer et répertorier et, surtout, de nous mettre en garde de la proche échéance d'une catastrophe monétaire sans égale mesure.

    Il en est de même des divers commentateurs avec qui j'ai pu échanger quelques idées et qui, de façons parfois agressives, rejetaient avec force cette toute proche perspective.

    De même, j'évite dorénavant d'aborder cette question lors de conversations, même avec des amis ou au sein de ma famille.

    Il en est de cette situation comme de beaucoup d'autre choses auxquelles nous nous confrontons, la meilleurs solution pour tenter d'y apporter une quelconque solution ne peut que consister à vouloir comprendre les soubassements du processus qui pose problème.

    Cela comprend, bien sûr, des thèmes que j'ai déjà abordé, dont celui central de la survie d'un champs idéologique néolibéral englobant tout autant ceux qui adhèrent à cette idéologie économico-politique, que ceux luttant contre.

    IMGP0004.JPGCe remarquable déni, même de ceux se situant dans un courant s'opposant à l'économie monétariste, nous montre l'incroyable puissance idéologique de celle-ci mais, surtout, de la crainte inconsciente partagée par une majorité, autant d'Européens, de français que d'une large part de la population mondiale, en sa disparition.

    Au-delà de cette opposition, le refus de percevoir consciemment le délitement en accélération constante de l'économie-monde ne peut que démontrer l'unité de ce que nous pouvons percevoir comme étant une croyance.

    Plus, même, les différents mouvements qui s'affirment, d'une façon ou d'une autre, combattre ce néolibéralisme occidental, comme il peut en être, par exemple, et ils sont nombreux, des participants aux actions menées contre un présupposé réchauffement climatique anthropogénique, se révèle être toujours de la même source idéologique.

    Observation que je conçois comme étant extrêmement subversif, voire provocateur, mais qui révèle, à mon sens, encore plus l'aspect unitaire de l'ensemble de ces tendances, plus ou moins violentes, plus ou moins pacifiées, plus ou moins officielles, en une fantastique complexité se révélant ainsi d'un même processus mental.

    En ce qui concerne ce réchauffement climatique anthropogénique, il se révèle contradictoire puisque étant, dans le même temps, le creuset inévitable de nombre d'hommes, et de femmes d'états pour se justifier, consciemment ou inconsciemment, de leur probité idéologique et de se laver de leurs péchés néolibéraux auprès de leur peuple.

    Et il est aussi le réceptacle, la convergence obligatoire, pour toute opposition sérieuse au néolibéralisme, par lequel doivent passer tous les horizons des gauches d'aujourd'hui, descendant affaiblis et affadis des marxismes et sociales-démocraties d'hier.

    C'est cela, plus que toute autre chose, qui me démontra l'unité de fait de l'ensemble de ces mouvements dû aux angoisses existentielles d'un monde bientôt disparu, celui d'une puissance d'argent ayant, depuis deux à trois siècles, progressivement remplacée une aristocratie d'épée et un clergé qui, sous une forme ou une autre, suivant les traditions des nations et des peuples, gouvernait un monde d'essence féodale.

    (Pour ceux que cela intéresse, voici le site d'un climatologue présentant un ensemble de travaux de ses collègues qui soit doutent, soit nient ce fameux réchauffement climatique ( http://www.pensee-unique.fr/ ).)

    Ce refus, partagé par un si grand nombre de gens, de considérer la disparition d'un modèle économique pour tous destructeur, même pour les plus fortunés, ne peut que cacher autre chose, plus puissant encore que la doctrine néolibérale elle-même dans sa dualité du pour ou contre.P1000166.JPG

    L'interprétation que j'en pose serait celle-ci: le néolibéralisme étant le descendant légitime d'un capitalisme lui-même provenant de la bourgeoisie, la puissance marchande, ayant pris la place de l'aristocratie d'épée passée, ainsi que des divers clergés étendus de par le monde, une ruine mondiale apocalyptique naturellement accompagnée de la disparition de la doctrine ad oc, le néolibéralisme, voudrait donc dire la disparition du dernier représentant d'un système social ancien à la structure hiérarchique stricte que pu être les sociétés féodales historiques, quelle que soit la forme qu'ait pu prendre ce type d'organisation politique suivant les pays et les peuples.

    Je me dois de noter que ces affaiblissements continuels de l'économie-monde et de l'empire U.S. conduisent naturellement nombre de nations, depuis quelque temps déjà pour certains d'entre eux, à voir monter leur désir d'indépendance, que ce soit le fait des peuples et/ou des états, et cela, parfois, contre leur gré, comme en Europe, notamment.

    Aussi bien en Amérique-du-Sud où ce processus est largement en cours, qu'en Europe, qui expliquerait le piège tendu au gouvernement et à la population grec, ainsi qu'un petit peu partout dans le monde, ce processus conduit divers gouvernements à prendre,  parfois contre leur volonté, des décisions à la limite du-dehors, voire réellement en-dehors, des présupposés idéologiques que je viens d'exposer, la position anglaise, belge, hongroise d'un référendum d'une sortie de l'U.E., les décisions géostratégiques françaises, même si elles semblent refléter les désidératas étasuniens, et les jeux complexes des pays moyen-orientaux puissants, Turquie, Iran, Arabie-Séoudite, sont de ceux-là.IMGP0430.JPG

    La Russie, quand à elle, ayant totalement brisé les deux liens, économique et politique, de cette double domination, U.S. et néolibérale, lors de la prise de pouvoir de Monsieur Poutine, d'où la détestation pleine et entière, de notre oligarchie pour ce pays et cet homme, pouvant aller jusqu'au délire, agit dorénavant pour ses seuls intérêts bien compris.

    Personnellement, mon admiration, reposante, pour Monsieur Poutine n'est que de celle du réel homme politique qu'il est quand, en Union-Européenne, nous n'avons, généralement, qu'affaire qu'à de simple comptables et boutiquiers (je n'ai rien contre les boutiquiers, les vrais).

    Les entreprises monétaristes, quand à elles, tentent, maintenant, aux portes de leur disparition, de faire la même chose que ce qu'elles firent pendant des décennies, mais aujourd'hui devenu caricaturale, soit d'absorber le plus des richesses mondiales possibles en les transformant en crédits et en dettes, ceci doublé de la délocalisation maximum de la moindre entreprise et fabrique occidentale aux lieux où les émoluments sont les plus bas, ce qui a vidé l'ensemble de l'Occident, de l'Europe et de la France de leur tissu industriel, là ou les paies étaient, à l'origine, les plus élevées.

    Il est à remarquer que, dorénavant, cela se passe également en Chine, et je la soupçonne de vouloir faire tomber définitivement l'empire U.S. en inondant le monde de ses divers bons du trésors américain.

    C'est tout cet équilibre devenu instable dès 2008 qui est en train de s'effondrer sous nos yeux, c'est cela qu'une majorité des populations, de tous niveaux hiérarchiques, ne veut pas voir ni comprendre, et, pourtant, si elles en saisissaient l'infinie dangerosité, elles pourraient agir au mieux pour s'y préparer, ceci en pleine connaissance des causes.

    Mais peut-être est-ce aussi l'angoisse due à l'intuition inconsciente de l'effrayant danger devant lequel l'humanité se trouve qui fait qu'énormément de personnes n'osent considérer cet avènement comme étant de l'ordre du possible?

     

     

    THEURIC

  • Les USA nous menèrent une guerre!

    Cétoine dorée ou Hanneton des roses- Cétonia  Aorata-, coléoptère de la famille des Scarabaeidae.

     

    Bonjour tout le monde,

     

    Avant propos:

    Une amie m'a conseillé de séparer chaque partie de mes textes d'un sous-titre.

    Considérant l'idée bonne parce que rendant mes textes plus lisibles et agréables, je me plie donc à sa proposition.

    Je ne vous propose pas le nom des fleurs mais juste celui des insectes, plus facile àP1060453.JPG dénicher sur le net ou dans mes bouquins.

     

    Préambule:

    Nonobstant cela, il serait vain de vouloir exhorter quelqu'un de ne pas angoisser.

    En revanche, il est, de mon approche, sain de montrer qu'il est nécessaire d'affirmer que, pour notre futur et quand bien même une période difficile plus ou moins longue nous attend, notre situation n'est pas si désespérée que cela.

    Non pas parce qu'il ne faudrait pas que la population se lamente dans le pessimisme et que, dès lors, il faudrait raconter une histoire purement optimiste pour lui remonter le moral.

    Mais bien parce que je pense résolument, que je considère en raison que rien n'est perdu et que tout est à gagner, le principal étant d'être conscient de ce qui nous contraint, mais aussi d'un début de réflexion de nos complications dès lors que cette contrainte, notre domination de l'imperium US, ne sera plus.

    Je vous ai exposé, amis lecteurs, par le passé, la théorie que propose Christian Greiling dans son livre " Le grand jeu" (je donne l'adresse de son blog plus bas) qui se joue à l'international entre la Russie et la Chine d'un coté, les Etats-Unis-d'Amérique de l'autre.

    P1060671.JPGIci il s'agit d'un complément nécessaire pour saisir le fin mot de cette affaire.

    Bonne   lecture.

     

    Une lecture, une révélation, un tournant:

    Ma foi, il est parfois des débuts de lecture qui se relèvent être une révélation et le livre "Le syndrome de l'ortolan" d'Arnaud-Aaron Upinsky, publié en 1997 m'est de ceux-là.

    Ce n'est pas parce qu'il démontre ce que j'ai déjà remarqué tant en politique, en économie qu'en mensonge médiatique et, ce, qu'il le fit bien avant tout le monde..., mais qu'en un court paragraphe il donne un sens cohérent à cet ensemble (page 19 en haut de page):

    ...la France est la cible n° 1 des Etats-Unis, le seul obstacle fondamental à leur domination mondiale sur les esprits.

    La France est le seul état-nation en Occident dont l'autorité historique puisse contester radicalement le droit moral des USA au "leadership" à la domination mondiale (correction personnelle radicale par la traduction du mot).P1060738.JPG

    La seule à pouvoir véritablement mettre en cause  la barbarie abstraite venue du nouveau monde, au nom de ses principes inverses.

    La seule à pouvoir démasquer l'essence totalitaire du modèle réductionniste américain.

    Voilà, le sens est donné de notre réalité multidécennale, nous avons été conquis par un empire lors d'une guerre de la représentation, soit ce qui concerne notre compréhension du monde, de comment anthropologiquement nous nous y considérons, le considérons, le comprenons, nous nous y mouvons, nous y avons notre existence collective et individuelle, soit notre composition de sens, explique l'auteur.

    Mais maintenant les USA se délitent et se fractionnent.

    Le procédé employé fut ce qui est nommé comme étant de la communication et de la pédagogie mais qui n'est toujours que propagande, tromperie perverse et endoctrinement.

    Aussi bien que de ce qui est pompeusement et trompeusement dénommée une réalité virtuelle, informatique, il est vrai, mais aussi publicitaire, propagandiste, par tous les sectateurs impériaux, dont ceux français, pro-unioniste.

    Ensemble qui, en vrai, n'est qu'un fatras de fictions que les médiats (synonyme: P1060409.JPGindirecte), le personnel politique, les puissances de l'état profond (la haute administration) et de l'oligarchie (les omnipotents monétaires) n'ont eu que de cesse de déverser à l'endroit de nous le peuple par lesdits médiats interposés.

    Ceci au propre dépend de tous ceux-là français qui en furent et sont les vecteurs, en cela ce sont des crétins!

    Quand bien même certains se révéleraient d'un bon niveau d'intelligence, intellectuel et/ou culturel: leur américanolâtrie eurolâtre conduit ces euronouilles à pervertir leur propre nature et à progressivement se ruiner tant mentalement qu'économiquement.

    A se jeter dans ce vil et nauséabond caniveau.

    Rien que le terme de réalité virtuelle est trompeur puisque la réalité est, par évidence, c'est pourquoi il ne peut qu'être que cohérent de considérer que ce qui est conçu par l'informatique et/ou est inventé pour toute propagande, est soit fictionnel, dans les jeux ou en géopolitique notamment, soit la représentation de cette réalité biaisée, soit la matérialité d'une publicité politique et/ou économique.

    Soit, et cela ne concerne que ladite informatique dans son aspect merveilleux, cette virtualité permet une perception supérieurement sensorielle du monde, en accroissant les capacités de nos sens, visuel, auditif, du touché, voire de proprioception, mais aussi de nos représentations, de nos échanges et commerces, informationnelles aussi...

    (N'oublions pas que les États-Unis  détiennent presque tous les médiats informatiques, de Windows (prononcez vindovese) à Google (prononcez gogol) jusqu'à  Youtube (tel quel) et Face Book (prononcez fesse bouc ou face boque, dans la mythologie moyenâgeuse, embrasser les fesse du diable, représenté, comme le dieu Pan des grecs anciens, d'un corps de bouc avec un visage humain surmonté de cornes, était le fait des sorciers...).)P1060760.JPG

    Ce que démontre fort bien le tableau de René Magritte sous le titre de "La trahison des images": "Ceci n'est pas une pipe":

    Or et comme il l'affirmait lui-même: « La fameuse pipe, me l’a-t-on assez reprochée ! Et pourtant, pouvez-vous la bourrer ma pipe ? Non, n’est-ce pas, elle n’est qu’une représentation. Donc si j’avais écrit sous mon tableau « ceci est une pipe », j’aurais menti ! »

    Il en est de même des fleurs et insectes dont je décore mon  blog qui, évidemment, ne sont pas réels mais en sont juste les images recueillies par mon appareil photo, transférées ensuite dans mon ordinateur (la machine qui ordonnance les informations grâce aux algorithmes dont elle est le support, ensemble créé par l'Homme) puis dans mon site.

    Certes, Monsieur Upinsky ne semble pas (je n'en suis qu'au début de lecture de cet ouvrage), tel que le fait Monsieur Greiling dans son blog, considérer l'aspect thalassocratique, maritime, de cet imperium, qui le conduit à vouloir corseter la Chine et la Russie, les deux puissances terrestres, pour pouvoir développer son P1060724.JPGpouvoir sur tous les peuples et pays du monde, de tenter de le conserver au moment où son déclin devient patent et irréversible.

     

    Le pourquoi:

    Toutefois, sa volonté de détruire la France par tous les mensonges possibles et imaginables, d'user de tous les mécanismes perfides pour cela, ses raisons profondes, qui sinon ne resterait une quasi énigme, devient, à la lecture de ce court texte, une évidence: la France est le pays qui lui est le plus dangereux!

    (Ce à quoi Monsieur Asselineau ne parle jamais, soit parce qu'il n'en a rien compris, soit parce que, lui aussi, est part trop doctrinalement structuré.)

    Remémorons-nous cette intervention de François Mitterrand peu de temps avant son décès:

    « La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort apparemment.

    Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde. C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort. »

    Cette guerre, là encore, n'est pas seulement économique, j'oserais même affirmer que l'économie n'est que l'arbre rachitique qui cache cette immense forêt, le hochet pour amuser les foules.

    Il s'agit plutôt pour les étasuniens, qui se considèrent comme étant le peuple élu, celui ayant une destinée manifeste, dotés du sentiment d'exceptionnalisme sur toute autre nation, de transformer toutes les populations du monde en américain, ou P1060732.JPGalors, le conçoivent-ils ainsi, s'ils luttent contre la puissance US, qu'ils  soient détruits et disparaissent, les exemples en sont nombreux, au Proche-Orient notamment.

     

    Tout ce dont nous devrons réparer en France, un énorme et magnifique travail nous attend:

    Il est vrai qu'en France aucune maison, ni ville, ni village n'a été bombardée, aucune troupe US ne parade dans notre pays, nul n'est fusillé sur place publique, d'aucun n'est emprisonné pour des motifs politiques par une puissance étrangère, mais:

    -notre industrie, nos mines, notre agriculture sont détruites et/ou évaporés;

    -notre science est devenue affligeante, voire évanescente, sinon même fantomatique;

    -des scientifiques, le personnel politique, une partie de la haute administration et de la puissance d'argent, les agents des médiats, voire peut-être bien nombre de militaires et de policiers, de leurs gradés, sont tous puissamment, absolument endoctrinés et, parfois, achetés, qu'il nous faudra remplacer;

    -la population est poussée à l'angoisse, au stress post traumatique, à la violence de l'un contre l'autre et à la paranoïa par tous les moyens, dont celui du masque, j'y reviendrai plus bas qui éloigne les gens les uns des autres-;

    De l'indigénisme par l'intermédiaire, entre tant d'autres, de Mesdames Obono et Traoré, de Monsieur Mélenchon et des adhérents et cadres de FI, du RN, du REM, de EELV, de LR, ainsi que des journalistes officiels que des activistes islamistes et de bien d'autres-;

  • Trump, d'empire à colonie, fin...

    L'empire américain s'en va silencieusement, nous quitte sur la pointe des pieds, file à l'anglaise.

    Son repli sur soi affole la foule des eurolâtres et les américanolâtres tremblent de ne plus avoir de modèle à vénérer.

    Dorénavant ils se retrouvent seuls, sans maître pour dire le vrai et le faux, pour obéir comme les bons garçons et filles qu'ils sont, et errent sans but dans leur délire montant.

    Déjà les signes se font sentir de leur terrifiante détresse et la classe pathétique des chroniqueurs médiatiques officiels, d'un personnel politique au aboi et de la puissance monétaire épouvantée de sa crainte de perdre son bon argent commence à ravir l'homme et la femme de bien.

    P1000790.JPG

    Plus encore, les deux géants géopolitiques, la Russie et les États-Unis-d'Amérique, s'entendent désormais comme larron en foire et ne sont plus que les petites mesquineries des néocons U.S. pour retenir encore un temps la grosse papatte de Monsieur Trump, lui qui n'attend plus que de serrer  la paluche de Monsieur Poutine.

    Mais diantre, que j'ai pu faire d'erreurs d'appréciations sur trois des sujets les plus importants.

    Je crus ainsi que le nouveau président des Etasunis  était un pure isolationniste, ce qu'il n'est pas.

    Je crus aussi que la Russie de Poutine ne pourrait pas supporter que la France soit dirigée par une Marine Le Pen et que, surtout, que le président russe ferait tout pour que l'Union-européenne disparaisse, or les faits montrent l'inverse, ceci expliquant cela.

    Je crus également que l'équipe poutinienne de gouvernement avait compris que le système économique globalisé touchait à sa fin, contrairement à celle de Trump et de la majorité des chancelleries, alors que des signes ténus montrent que ce serait plutôt aux U.S.A. que cette conjecture se saisit, même si je doute de cela dans son administration centrale.

    Donc, je vais devoir revoir ma copie, repenser ma perception de la dynamique historique actuelle.

    Alors, allons voir de ce qu'il en est.

    PICT0111.JPG

    Il est rare qu'une élection ou la désignation d'un homme politique pour de très hautes fonctions, dans un pays ou une union quelconque, produise des effets géopolitiques tels que cela en fasse très rapidement évoluer l'ensemble des équilibres internationaux, voire en change du tout au tout les relations entre états.

    Au minimum en politique étrangère, la continuité de l'état fait que les évolutions se font, le plus souvent, à pas comptés.

    Lors de ces cinquante dernières années, cela survint par deux fois, à 31 ans d’intervalle, lors de la désignation au soviet suprême de Monsieur Gorbatchev en 1985, puis quand monsieur Trump fut élu président des États-Unis-d'Amérique en 2016.

    P1000834.JPGIl n'est pas clairement visible, pas vraiment clair que l'Union-Européenne soit visée à la destruction par les U.S.A., quand bien même Donald Trump avait déclaré cette union comme étant dépassée et vieillotte, rien ne semble avoir véritablement changé.

    Or, divers événements ou plutôt des indices, souvent ténus, me laissent à penser que des forces discrètes ont patiemment tissé des plans dont nous autres ne seraient que de vagues pions, nous changerions de camp tout en restant dans une situation similaire.

    Ainsi, en France comme dans le reste de l'Union-Européenne, en Russie, aux Etasunis et  en Brande-Bretagne, il semble se passer des événements bien étranges et cela aurait plusieurs années d'origine.

    Ainsi,rien que chez les américains, dans sa nouvelle administration centrale, nous ne comprendrions pas grand chose si nous ne trouvions pas le bon bout de fil pour en démêler l'écheveau.

    Alors je vous propose que nous revenions à la substance de qui est Monsieur Trump, quelle est sa doctrine véritable.

    Nombre d'entre-nous, et moi-même jusqu'à présent, pensaient que ce nouveau président U.S. était un pure isolationniste quand, en fait, il n'en est rien, en réalité c'est un réformateur, comme le furent en leur temps dans l'empire romain, César et Dioclétien par exemple.

    Ces deux exemples montrent qu'un réformateur impérial est de deux types:

    - celui qui chamboule l'ordre ancien lorsque l'organisation de l'empire, en plein dynamisme conquérant, le nécessite, César fut de ceux-là, mais vous remarquerez que cet exemple ne s'accorde pas à ce que peut représenter Monsieur Trump:

    - Celui qui s'appuie sur le socle structurel ancien, culturel, organisationnel, anthropologique, religieux, politique, militaire...,  pour rectifier et régénérer l'empire, Dioclétien ( http://www.lebreviairedespatriotes.fr/28/02/2013/non-classe/diocletien-portrait-dun-empereur-reformateur/ ) en étant un bon exemple, similaire, à mon sens, du président U.S. actuel à près de 1750 ans intervalle.

    Dès lors que l'on comprend sa nature réelle, la cohérence de son action devientP1000674.JPG évidente.

    Géopolitiquement, fragilisé au plus haut point, l'empire ne peut que se replier sur ses appuis les plus précieux et les plus sûrs, Grande-Bretagne, Arabie-Séoudite, Japon, Israël, canada, plus quelques autres plus discrets, le sous-continent sud-américain se devant d'être de nouveau sous son contrôle, d'où son éloignement de Cuba, et l'Océan Pacifique redevient le centre de toute son attention avec, en marge, nécessité faisant loi, la Mer Méditerranée, d'où son soutien d'Israël contre vents et marées.

    Pour le reste, oui les États-Unis-d'Amérique s'isolent, mais cela  est plus due à la conjoncture présente qu'à une véritable volonté de repli sur soi.

    Pour l'économie, matrice symbolique outre-Atlantique, sa situation plus que délétère nécessiterait des mesures vigoureuses, mais justement en raison de cette situation à la limite de la rupture, soit Trump casse tout le plus rapidement possible, ce qui mènera à la faillite généralisée, soit il temporise, auquel cas nous retournerons à notre point de départ.

    Quand à a politique, les forces industrielles qu'il représente font face à une lutte à mort contre les monétaristes néocons dont Madame Clinton est la représentante.

    Comme j'ai pu déjà l'écrire auparavant, la déstabilisation des Etasunis est tel qu'à mon sens la seule volonté de Trump de réformer son pays et son empire, sans même que cela ait apporté de quelconques effets, peut facilement mener à leur désagrégation, voire à leur destruction, d'où la prudence du président U.S..

    P1000807.JPGMais même cette prudence peut leur être néfaste, leur sera néfaste, à la simple vue de la formidable masse de crédits de toutes sortes qui empoisonne véritablement l'économie U.S. et l'Europe.

    Avant que nous n'abordions le triple sujet que sont l'Union-Européenne, les élections françaises et la position ambigüe de la Russie en Europe, je me dois de faire un détour par l'économie.

    En effet, le prix du pétrole reprend son effondrement, stagnant entre 53 et 54$ depuis quelques temps, il en est aujourd'hui à 47$70 ( http://www.businessbourse.com/2017/03/24/petrole-finit-baisse-a-new-york-a-4770-dollars-baril/ )  ce qui était à prévoir, sa baisse de production de l'année dernière et du début de l'année suivante en en ayant fait monté les prix, les industries nationales et internationales se retrouvent de plus en plus étranglées.

    Les classes-moyennes se retrouvant largement appauvries, en Occident et hors d'Occident, elles sont forcées de ne plus acheter que l'essentiel, de quoi se nourrir, de se vêtir et de se loger, délaissant de plus en plus cet accessoire qui fait la puissance des échanges marchands.

    Ce phénomène fut un moment légèrement compensé par les dépenses que firent, toujours en Occident, les petits rentiers qui craignaient, avec raison, que les banques ne leur confisquassent leurs petits pécules.

    Mais il est à craindre que ces dépenses en soient venues à se tarir, la voiture neuveP1000767 - Copie.JPG achetée, le toit refait, la maison réaménagée, les enfants et petits-enfants gâtés..., ne reste plus, dans les coffres des établissements bancaires, que le minimum pour le cas où...

    Ce qui a généré un effet pervers, celui d'avoir encore plus affaibli des banques ayant moins de fond en coffre, et qui, déjà, se retrouvaient toutes aux portes de leur banqueroute.

    A ceci, il faut y rajouter un étonnant blocage de Wall Street, au plus haut depuis mi-Février ( eod.aspx?s=DJIAx ), monté passée en raison des Q.E. qui ont pris fin, blocage dû à ce que les banques centrales, dont la F.E.D., savent pertinemment que dorénavant la moindre baisse boursière un petit peu rapide pourrait provoquer un affolement généralisé menant à l'effondrement de l'économie-monde.

    C'est pourquoi, maintenant, la dernière cartouche anti-crash ayant été épuisée, nous allons droit vers la faillite de la globalisation heureuse par la désindustrialisation généralisée, sans que quoi que ce soit ne puisse en freiner l'échéance, échéance qui, comme pour tout système chaotique, ne peut être intuitivement prévu que peu de temps avant son avènement, ici la pensée logique n'étant pas d'une grande utilité.

    C'est cet événement qui, pour beaucoup de monde, est devenu improbable puisque sa survenue se fait avec retard.

    P1000169.JPGSongez que depuis 2008 de nombreuses fois de maints signes montraient qu'il s'approchait de nous.

    De plus, de 2012 jusqu'à la fin de l'année 2016, ces signes devenaient visibles, évidents même, sans que quoi que ce soit ne se passe, ou n'aient eu l'air de se passer.

    Mais pendant ce temps là, silencieusement, sans faire le moindre bruit, les entreprises périclitaient, plus lentement, certes, mais elles périclitaient, les banques se fragilisaient et les pays ainsi que leur peuple s'appauvrissaient.

    Voilà pourquoi presque plus personne n'imagine que cela puisse arriver.

    De plus, songer que la société dans laquelle nous vivons puisse basculer comme cela avec une telle violence ne pouvant qu'être que de l'ordre du cauchemar, cette idée s'est retrouvée collectivement refoulée, plus encore au sein des élites des nations qu'au cœur des populations.

    Mais revenons à la Russie et à l'Union-Européenne.

    J'ai pu penser, un moment, que la Russie de Poutine, que son gouvernement était conscient de cet effondrement, or je pense aujourd'hui qu'il n'en est rien.

    La raison que je m'en fait est certes un petit peu complexe et pourrait sembler hors sujet mais laissez-moi m'en expliquer.

    Cela a un lien très fort avec la campagne électorale actuelle et le Front-National.IMGP0440.JPG

    Depuis quelques temps déjà ce parti est régulièrement invité par un média web d'essence russe, Sputnik, et ce sans que la nécessité ne s'en fasse clairement ressentir, ce qui avait quelque peu éveillé mes soupçons.

    Je les avais écarté, bien que mon intuition me susurrais des alertes régulières, c'est ainsi que survient le déni: je n'y croyais pas, je n'imaginais pas les russes assez sot pour aider à l'élection de la fifille de son terrible papounet.

    Donc, lorsque j'appris que la cheftaine F.N. fut invité à la Douma, l'assemblée législative russe, un mois seulement avant ces élections, le déni que je me faisait d'une Russie qui voudrait dominer l'Union-Européenne s'effaça et cette idée me devint une évidence.

    Pourquoi le F.N. serait-il ainsi si courtisé par la Russie, j'en vois plusieurs causes:

    -Il est facilement manœuvrable, le tout s'agissant d'offrir ce qui ferait plaisir à ses cadres;

    -Ce parti ne veut pas que la France quitte l'Union-Européenne, la preuve en est que lors du débat sur la première chaîne, Madame Le Pen avait bien dit qu'il fallait le pays se sépare de l'euro mais à aucun moment elle ne dit que la France doive se séparer de l'U.E. et de l'O.T.A.N.;

    P1000741.JPG-Il a, tout comme l'immense majorité des autres partis politiques, sauf l'U.P.R., absolument besoin qu'un pays dominateur lui dicte ce qu'il doit faire;

    N'oublions pas que Madame Le Pen s'était rendu à la tour de Monsieur Trump, juste après l'élection de son propriétaire, pour, je le suppute, se faire adouber par lui.

    Puisque le nouveau président U.S. n'avait pas daigné rencontrer sa visiteuse, il était logique qu'elle alla chercher ailleurs un seigneur par qui être commander.

    Ainsi, avoir maintenant la bénédiction de la Russie et de son président, Monsieur Poutine, le héro de l'anti-empire américain, lui offre une excellente écoute de ses électeurs, mais bien entendu cela ne peut qu'avoir un prix.

    Quel est ce prix?

    L'Union-Européenne et avoir la paix chez les français pardi, l'histoire de France montrant que notre pays est le plus instable politiquement, si les russes veulent que l'Union-Européenne soit sauvegardé tel quel, il leur faut absolument un parti politique à sa botte qui puisse conserver le peuple sous sa férule.

    Vous remarquerez que l'élection de Donald Trump et celles, présidentielles qui viennent en France, furent précédées par le référendum britannique dit du brexit.

    A ce niveau là, croire au hasard ce serait faire preuve d'une immense candeur, comment imaginer que les U.S.A. puissent se séparer de ce si proche allié, le seul véritable peut-être qu'est le Royaume-Uni?P1000758.JPG

    Mon explication logique de ces concomitances intrigantes serait que ce qu'il se passe actuellement soit la résultante d'un plan ourdi longtemps en avance, par une équipe tripartite britannique, étasunienne et russe.

  • De la suite dans les idées.

    Avant-propos:

     

    Je vais faire un petit travail de flemmard en copiant/collant quelques textes que j'ai pu laissé en commentaire sur le site de Monsieur Lordon ( -La-pompe-a-phynance- ) dont les thèmes centraux tournent autour de la plus que crise mondiale qui se développe, des derniers événements grecs et de deux partis politiques, l'U.P.R. de Monsieur Asselineau et le P.G. de Monsieur Mélenchon en faisant également un bref détour autour de la nation et de la patrie.

     

     

    De la nation et de la patrie

     

    En fait, nous nous retrouvons en but avec divers pièges historiques et celui dû à la notion de nation est de première importance.

    Déjà, je fais la part entre nation et patrie la notion de patrie me semble également importante, cela parce que, me semble-t-il, patrie et nation semblent se confondre.

    Mon intuition ne me trompais pas, les origines de ces deux mots sont différents bien que tous deux soient latines :

    - Nation : du latin "natio", dérivé de ("nasci", naître), "ensemble d’individus nés en même temps ou dans le même lieu, nation", ( 1789 dep. la Révolution : « personne juridique constituée par l’ensemble des individus composant l’État... ), (définition emprunté là : [ http://www.cnrtl.fr/etymologie/nation ], étant entendu que les définitions que j’en copie ici comme en-dessous sont moindre que celles proposées sur le site du C.N.R.T.L., lié au C.N.R.S. ;

    - Patrie : du latin classique "patria",« pays natal, sol natal », ( 1770 la patrie de « le pays, le lieu où l’on rencontre par excellence certaines choses, certaines personnes, etc. » (Buffon, Hist. nat. des oiseaux, t.1, p.438). ), ( 1516 « nation, communauté politique à laquelle on appartient ou à laquelle on a le sentiment d’appartenir » ), ( http://www.cnrtl.fr/etymologie/patrie ), idem.

    Comme nous pouvons le voir, nation et patrie renvoient au peuple pour le premier, au sol pour le second, bien que pour ce dernier cela ait été, durant l’histoire, moins flagrant.

    Il est tout de même un fait que les latinistes, nombreux aux XVIII° et XIX° siècles, faisaient, étymologiquement, une net distinction entre le premier et le second mot.

    Alors, je pose la question, qu’est-ce qui est le plus dangereux, la notion de nation ou de patrie, le peuple ou le sol, nasci ou patria (autrement dit la terre du "pater", du père [ça c’est une traduction de mon propre chef, mais tellement tentante]) ?

    N'est-il  pas dit que le nationalisme c'est la guerre?

    De ce fait, je me demande si, par hasard, cette notion de nation ne fut pas instrumentalisée, même inconsciemment, quand, dans le même temps, celle de patrie est elle totalement étouffée, pourtant la relations entre la nation et la patrie se devraient d’être philosophiquement approfondis, non ?

    Je pourrais rechercher, pour cette double mise sous le boisseau, de quelconques origines manipulatrices, mais je n’y crois guère.

    Je pencherais plutôt vers un processus naturel de la nécessité inconsciente d’écarter, sous une forme et une autre, ces deux importantes notions pour pouvoir mettre en place le rêve d’une Europe à l’américaine, ceci sensible à la lecture du sigle de l’euro comparé à celui du dollar : ( € ) : ( $ ), où nous pouvons remarquer le trait supplémentaire barrant la lettre symbole de ces deux monnaies, barre se retrouvant dans le "y" du yen ( ¥ ) et, plus amusant encore, dans le "L" de la livre sterling ( £ ).

    Ainsi, je pose ces deux notions symboliques que sont la nation, plutôt républicaine et dès lors d’une gauche à l’ancienne, et celle de patrie, plutôt bonapartiste, d’une droite renouvelée comme étant de nature universelle.

    Je conjecture également que le rejet de ceux-ci est dû à ces deux illusions que sont cette monnaie bringuebalante, j’ai-nommé l’euro, et une Union-Européenne mourante bien que toujours toute puissante, chapeautés par un empire U.S. se désintégrant et une Allemagne vieillisante.

    Mais allons plus loin dans la recherche de ces pièges historiques qui, aujourd’hui encore et de plus en plus, nous empêche d’avancer.

    Ainsi, si nous observons bien la large époque ayant accouchée de la révolution française puis des V républiques (en tant que démocrate j’en appelle à une VI° permettant aux assemblées délibératives, au peuple et aux populations un plus large droit de décision, soit de devenir une réelle et adulte démocratie) et en cela en nous aidant des écrits de Monsieur Todd, pour qui la démocratie émerge, plus ou moins violemment, lorsqu’une proportion non négligeable de la population est alphabétisée.

    Prenant en considération de ce qui me parais être un fait, je me suis demandé si, en fin de compte, la révolution française ne fut pas, en réalité, une double révolution, celle des deux tiers du peuple, celle du grand bassin parisien et du sud-est (toujours Emmanuel Todd) et, dans le même temps, celle du pouvoir d’argent de l’époque, soit la bourgeoisie.

    D’une certaine façon, celle de Robespierre se confrontant à celle de Danton, et ce serait cela qui fit que cette révolution mangeât ses enfants, puisque celle-ci fut, en réalité, en confrontation duale.

    Que la bourgeoisie d’il y a deux siècle ait historiquement repris et instrumentalisé les conceptions de nation puis celle de patrie n’est plus, dès lors, à m’émouvoir, qu'elles soient rejetées aujourd'hui non plus.

    C'est pourquoi je peux affirmer que le nationalisme et le patriotisme ne sont pas la guerre mais qu'ils peuvent être facilement outils de propagandes et de manipulations

    Mais, plus avant, partant de ce principe de dualité, nous pourrions nous demander si, dans le fatras idéologique qui émergeait au XIX° siècle, deux mouvements distincts ne pourraient pas être distingués, ceux intrinsèquement liés à la révolution ainsi que les réflexions qui y sont liés, d’où, entre autre, sont sorti le socialisme libertaire qui donna l’anarchisme, et aussi un républicanisme vrai et un bonapartisme affaiblit d’avoir porté Napoléon III.

    Mais, tout autant, tout un ensemble de mouvements se sont également développés accompagnant la monté en puissance irrésistible de la bourgeoisie, soit en pour, soit en contre, en une pensée tournée vers la prépondérance de l’économie sur toute autre considération, même politique, qui se sont cristallisés dès le début du XX° siècle par les divers partis politiques qui ont agité ce siècle, soit, aujourd’hui, tous les partis, hormis, de ceux les plus connus, l’U.P.R. et, dans une dynamique de refondation, le P.G..

    Tous les autres disparaîtrons à leur rythme dès que le système s’effondrera sous le poids de ses infinis paradoxes.

    Ces partis politiques "officiels", du P.C. au F.N., en passant par Lutte-Ouvrière, le P.S., l’U.D.I. et l’U.M.P..., se sont tous historiquement construit autour des mêmes présupposés, ne posant pour seule légitimité que celle économique, en positif ou en négatif, sous une forme, le libéralisme, ou une autre, le communisme, ainsi que toutes leurs variantes, dorénavant, qui ne représentent plus qu’un même amalgame, complexe bien que plus semblable que différent, puisque ce qui les sous-tendait, soit une survalorisation d’une pensée centrée sur l’économie, n’est plus représenté que par le seul néolibéralisme.

    Vous faisant remarquer que celui-ci ne pose aucun problème à une Chine qui, en vrai, reste communiste, puisque le communisme et le néolibéralisme sont de même essence, mais qu’en revanche, nombre de pays d’Amérique-du-Sud ainsi que la Russie, eux, ayant fait le tour de l’ensemble de ces idéologies économistes, ont tendance à s’éloigner de ce formalisme dogmatique.

    Il est aussi à noter l’unité de discours officiel qu’il est possible de surprendre entre celui, passé, de l’U.R.S.S. et celui, présent, de l’U.E., unité dont le sens devient évident si nous considérons que cette unité de discours entend, en réalité, une unité dogmatique historique représentant les deux faces d’une même médaille.

     

    De la pensée sur l'Union-Européenne:

     

    En cet heure d’obscurantisme béa où tout se confond avec tout, où le progrès n’a d’horizon que le porte-feuille boursier et la raison celle du plus fort et du plus riche, où art se conjugue avec vulgarité et sottise avec intelligence, désirer comprendre la réalité dans sa complexité c’est être considérer comme un fou, un ennemi de l’état ou, au mieux, comme un doux rêveur.

    La réalité est que nombre de gens qui, jusqu’à présent, étaient juste réservés au sujet de l’euro et de l’économie mondiale, ne voyaient pas les États-Unis-d’Amérique et l’Allemagne comme deux réels soucis pour les équilibres mondiaux, ne concevaient pas la situation économique internationale comme étant calamiteuse, aujourd’hui se radicalisent à tel point qu’ils font passer Monsieur Mélenchon pour un gentil social-démocrate à peine réformiste.

    La vérité, en cela est simple: sont considérés comme extrémistes, droite ou gauche, ceux affirmant vouloir que leur pays se débarrasse de l’U.E., l'€. et l'O.T.A.N. et sont jugés à tord radicaux ceux voulant réformer l’Union-Européenne (il est de ces paris stupides...).

    Syriza radical de gauche est l’une des plus belle ânerie qui fut proférée par une majorité de journaliste qui, à longueur de temps, en déblatèrent pourtant de joliment sévères.

    Leur suffisance n’a d’égale que de leurs insuffisances.

    Or, quand un pays se trouve à lentement se détruire au sein d’un système, ici une union, d’un tel triple blocage, institutionnel, idéologique et politique, cela ne peut que conduire un état sérieux, à un personnel politique raisonnable au pouvoir qu’à deux solutions et deux seulement :

    - Soit quitter le-dit système ;

    - Soit attendre qu’il s’effondre et de s’y préparer, discrètement si cela s’avère nécessaire.

    De plus, maintenant la question n’est pas de savoir si l’Union-Européenne peut s’effondrer mais quand il le sera.

    Il faut savoir que jamais cette union n’aurait pu se construire sans sa domination totale des U.S.A., elle est sa chose, sa créature, comme le Front-National est celle de Jean-Marie Le Pen.

    La disparition, voire simplement le fort affaiblissement, de ce pays ne pouvant que signer l’inéluctable fin de cette supercherie qu’est l’U.E.€..

    Or, les dernier événement grecs ont montré, pour ceux qui y ont porté un œil un tant soit peu attentif, que cette défaite du gouvernement hellénique fut, surtout, plus encore,  celle terrible de celui des étasuniens.

    Encore faut-il se souvenir de la Supplique de Monsieur Obama envers la Troïka de ne pas plus ruiner la Grèce, de la laisser respirer.

    Lui qui fut contraint, ensuite, d’appuyer la même pour convaincre Monsieur Tsipras d’accepter sa reddition sans condition.

    Là il est loisir de comprendre que le gouvernement U.S. avait perdu la face, l’avant-dernière petite chose qu’il conservait encore de son pouvoir passé.

    Sa monnaie et son armée n’ayant désormais plus la puissance sur laquelle il pouvait auparavant compter.

    Ne lui reste plus que Wall Street, la rue du mur, au-delà de laquelle, il y a longtemps, se vendait les esclaves.

    Plus vraiment de respectabilité, d’armée, de monnaie, d’industrie, lorsque sa bourse flanchera, s’en sera fini des U.S.A. et l’Union-Européenne ainsi que l’O.T.A.N. suivront.

    Accompagnés d’une économie mondiale montrant déjà des signes de déliquescence avancée.

    Alors, à ce moment là, quels seront les réactions de nos responsables économico-politiques ?

    Il faut, là encore, bien comprendre que, contrairement à l’ancien bloc de l’est où il devenait commun de ne plus croire au paradis futur du socialisme, la croyance américanolâtre, capitalinolâtre, eurolâtre et uniolâtre reste aujourd’hui encore puissante en Europe, hormis chez les petites gens et la basse classe-moyenne, ceux qui souffrent le plus des délires ordo et néolibéraux (bien qu'une évolution en ce sens puisse commencer à fortement se sentir dans l'intermédiaire à haute classe-moyenne).

    En France, ne sachant pas de ce qu’il en est des autres pays, les classes-moyennes intermédiaires et hautes fantasment toujours, pour une bonne partie, d’un Éden à venir grâce au capitalisme libéral et d'une paix éternelle sous le joug bienveillant d'une sage Union-Européenne, ou pour le moins d’une U.E. réformable et, dès lors, réformée en sociale-démocratie pour un lendemain incertain et indéfini (autre pari stupide), quel qu’en soit le prix.

  • A la recherche du sens perdu.

    Avant-propos:

    Je n'émets pas de théorie ni n'effectue de travail théorique, je fais de la philosophie en tant que penseur brut, ce qui est tout à fait différent mais qui, aux horizons de la bêtise ambiante, sont tous trois confondus, nous ne devons absolument pas, de plus, les confondre d'avec la technologie qui est, elle aussi, différente de cet ensemble:

    -Une théorie est la résultante d'un travail scientifique en amont, parfois durant des décennies, faite de recherches par divers moyens suivant la science dont il est sujet et lui étant explicatif de sa nature, recherches effectuées suivant la situation, l'urgence ou non, les capacités du moment, elle n'est jamais absolue parce que réfutable, mais, de par le principe de parcimonie, elle se doit d'être la plus simple au regard de toutes les information disponible sur ledit sujet donné et, enfin, se doit de déterminer réellement sa valeur par son caractère prédictif;

    -Un travail théorique est de définir une série d'hypothèses sur un sujet donné, or,P1040601.JPG l'hypothèse se devrait de rester juste un premier jet réflexif sur ledit sujet, que cela soit le fait de scientifique ou non, et se devrait de rester tel et d'être affirmé ainsi tant qu'aucune preuve tangible telle que définie plus haut n'y est apporté qui, sinon, d'hypothèse, la ferait porté au niveau de la théorie;

    -Une réflexion philosophique est elle proche de la métaphysique en ce sens où elle est la résultante d'observations, de recherche, de compréhension et de méditations tant de soi que du milieu dedans lequel la personne, philosophe de métier ou non, vit, sa finalité se devrait d'être d'organiser la pensée de chacun et, dès lors, de développer sa propre conscience de la réalité de Soi comme du Monde, elle ne saurait être absolue puisque elle se bâtie au sein d'une société donné et, de ce fait même, ne peut qu'être composé d'un ensemble de vérités relatives à elles-mêmes, de la personne singulière comme de ladite société donnée, quand bien même a-t-elle deux buts communs d'avec la théorie scientifique, celle d'être dans la quête ainsi que de définir au mieux cette nature de la réalité.

     

    Nous avions rangé notre intelligence à la cave, du-moins ceci était le fait de nos aïeux qui, toutefois, nous avaient montré l'endroit où ils l'y avaient remisée, et, maintenant, nous commençons tout juste à nous apercevoir, une fois que nous l'avons ressorti de sa malle déposée dans la cave, qu'elle est sale, poussiéreuse et mitée de mythes vaporeux.

    P1040463.JPGCe phénomène est déterminé, à mon sens, par deux processus historique aux origines passées s'activant en ce moment même, ceci simultanément d'une troisième, moins ancienne, tous trois s'activent, donc, depuis quelques décennies déjà.

    Ensemble dont je vais tenter de faire la démonstration.

    Démonstration qui, je le répète, bien que donnant du sens aux événements et/ou aux fait produits, n'en apporte en rien une preuve absolue, mais est juste le développement au plus juste d'un ensemble de considérations explicatives tentant de rendre compte au plus près à ce qui semble incohérent, sans en avoir de preuve concrète mais conformes aux présomptions perceptibles.

    Du moins cela permettrait-il d'amorcer des recherches, pour celui ou ceux qui en auraient l'attrait, desquels je n'ai aucun outil conceptuel me permettant de les effectuer, étant donné que mon cursus ne fut que peut développé, ni en ayant les capacités d'ailleurs de montrer en quoi je pourrais en avoir tort ou raison.

    Alors même que je suis sûr de leur réalité.

    Voici donc ces trois processus, aux portes de la métaphysique, que j'ai conçu de manière purement intuitive et dont je vous avais déjà fait cas auparavant et qui, je le conçois, pourraient être considérés, pour toutes ces raisons même, comme relevant de l'ordre de la magie puisque ne semblant pas corrélés par des mécanismes deP1040447.JPG causalité tels que je les avais exploré avec vous dans mes troisièmes aphorismes en fin de page, bien que j'en pense le contraire:

    1-une rétrogression historique nous faisant remonter anthropologiquement aux alentours de la deuxième moitié au troisième tiers du XIX° siècle jusqu'au début du XX°;

    2-une compulsion de répétition nous conduisant à une période s'étendant de 1917 et la révolution d'Octobre menant à la création de l'URSS, jusqu'au tout début de la guerre froide, soit à la toute fin de la seconde guerre mondiale, ceci maintenant sous une forme économique et non plus militaire;

    3-un effondrement impérial de la thalassocratie US, similaire, mais en un effet miroir gauche/droite-droite/gauche, de celui qui survint pour la Russie en 1991 qui vit la fin de l'Union-Soviétique, ceci accompagné d'un autre effondrement, celui-ci idéologique, accompagné naturellement de celui politique, phénomènes quasiment d'échelle internationale.

    Tous trois sont intimement liés et, telles des poupées gigognes, s'emboîtent temporellement l'un dans l'autre, c'est pourquoi, donc, nous ne pouvons pas comprendre ce qu'il se passe aujourd'hui sans que nous ne prenions en compte ces trois mécanismes.

    P1040704.JPGEnfin, je dois préciser que j'avais déjà écrit sur ces trois thèmes dans mon blog sans jamais ne les avoir rapprochés.

     

    I-) La rétrogression historique:

    Vu que je fais remonter nos difficultés actuelles à la prise de pouvoir de Louis-Napoléon Bonaparte en 1848 en tant que président de la II° République, suivit de son coup d'état de 1850 menant  au second empire sous l'égide de Napoléon III de 1852 qui s'acheva par la défaite de la France face à la puissance prussienne en 1870 (qui deviendra l'Allemagne pour cette occasion à Versailles, décision prussienne hautement symbolique).

    Parce que la première guerre mondiale est indéfectiblement liée à celle de 1870, qu'elle détermina tout ce qu'il se passa par la suite jusqu'à maintenant, je considère dès lors que c'est cette période qui est constituante de l'histoire mondiale dès le moment de ladite défaite jusqu'à aujourd'hui, c'est cela qui mène à ce que nous vivons une rétrogression historique.

    Les raisons originelles en sont de deux mensonges et deux trahisons qui, parce qu'ils permirent, pour les premières, aux acteurs de l'époque d’asseoir leur politique avec efficacité, et aux secondes que l'idéologie valait mieux que la valeur humaine, qui mena, du fait de cette misanthropie constitutive, à un désenchantement du monde conduisant à une façon de crétinisation des hautes hiérarchies sociales qui, parP1040529.JPG ruissellement, détermina celle d'une part de la population.

    (Il y eut depuis longtemps, sinon de tous temps, des mensonges et des trahisons tout au long de l'histoire, la particularité de ceux-là vient de ce qu'ils déterminèrent tous le XX° siècle et ce début de XXI° et c'est cela qui, pour nous, nous importe.)

    A) Ce premier mensonge fut du fait que Louis-Napoléon Bonaparte, le futur Napoléon III,qui  fut présenté à la population comme étant un génie du même ordre que son oncle, Napoléon 1er, lui qui en réalité était considéré par les gouvernements européens, à peu de chose près, d'une manière similaire à notre Macron au sein de l'Europe et au-delà: un niais.

    Ainsi, pour Otto Von Bismarck, le chancelier prussien : « L’empereur est une grande incapacité méconnue. »

    Quand Victor Hugo disait de lui : « Louis Bonaparte est un homme de moyenne taille, froid, pâle, lent, qui a l’air de n’être pas tout à fait réveillé […] Les chefs de la droite disaient volontiers de Louis Bonaparte : C’est un idiot. Ils se trompaient. C’est un livre où il y a des pages arrachées. À tout moment quelque chose manque. Louis Bonaparte a une idée fixe, mais une idée fixe n’est pas l’idiotisme. »

    Tout ceci ne vous ferait-il pas penser quelques-uns d'un certain gouvernement, voire même d'une union?

    B) Le second mensonge, lié au premier, fut la "dépêche d'Ems", faux diplomatique que le même premier ministre prussien avait créé pour que, la France déclarant la P1040560.JPGguerre, il puisse achever l'unification de ce qui deviendra l'Allemagne de par le conflit que cela générerait entre ces deux pays et de la victoire germanique quasiment assuré dès son début.

    La double trahison est de la même époque.

    A) Ce fut Louis-Napoléon Bonaparte qui fomenta un coup d'état en tant que président élu en reversant la deuxième république, trahissant par là même ceux qui l’élurent à ce poste, quand bien ce fut par un plébiscite qu'il en avait reçu l'approbation du peuple en 1851, ce fut de fait une trahison, puis en 1852 il devint l'empereur de tous les français sous le nom de Napoléon III à la suite d'intenses tricheries de toutes sortes, son régime s'appelant donc le second empire.

    B) Ce fut la trahison du peuple parisien par la troisième république naissante dès lors qu'à la suite de la capture de l'empereur Napoléon III ladite république fut proclamée en 1871 par Adolphe (déjà) Thiers qui conduisit à la Commune de Paris.

    Après l'armistice signé par le nouveau gouvernement élu de la troisième république, dans la crainte de la grande bourgeoisie, toujours royaliste, en la population parisienne républicaine qui, à la suite de la multitude de leurs trahisons ( des ancêtres de nos oligarques stato-financiers, sinon de sang, du-moins d'esprit ) aidant hypocritement les armées prussiennes durant cette guerre, qui, après les deux mois de famine des parisiens due au siège de Paris par les troupes germaniques du 20 Septembre 1870 jusqu'au 28 Janvier 1871,  fut tenté de confisquer les canons que,P1040491.JPG pour parti, les parisiens avaient eux-même acheté par souscription, qui dès lors se révoltèrent.

    Ce fut ladite Commune de Paris qui dura du 18 Mars au 28 Mai 1871 mené par les socialiste révolutionnaires, dont Louise Michel est l'une des figures les plus connues.

    Ce sont donc ces événements qui, dans le même temps, déterminèrent, à mon sens, le XX° siècle et ce début du XXI° et qui mène aujourd'hui à cet étonnant retour anthropologique en arrière qu'est notre rétrogression historique.

    En effet, ce furent les trucages de cette période que furent ces mensonges et trahisons, qui, de Paris, de la France, menèrent aux événements mondiaux jusqu'à aujourd'hui: les Etats-Unis seraient-ils devenus empire thalassocratique, maintenant en déclin,  si les deux guerres mondiales n'avaient pas eu lieu?

    La Russie soviétique serait-elle apparue si la première guerre mondiale n'était pas advenue.

    Et celle-ci se serait-elle produite si l'Alsace et la Lorraine n'avait pas été confisqué à la France par l'Allemagne devenu alors?

    N'y avait-il pas un esprit de revanche en France après que les prussiens se soient P1040609.JPGinstallés si longuement au  château de Versailles?

    Lesdits trucages s 'étaient révélé efficaces et, dès lors, bien plus que par le passé, mensonge et trahison, dont l'empire US furent et sont toujours les champions, devinrent l'habitude, certes dans les populations, mais de manière bien moindre que dans la haute hiérarchie des pays (c'est l'un des gestes majeurs de Monsieur Poutine d'en renverser la tendance).

    Cette façon de faire menant à ce que les peuples en viennent à ne plus croire en des dirigeants politiques qui, de mensonge en trahison, en sont venu, de génération en génération, à refouler le fait même qu'ils puissent mentir et trahir éhontément, n'en étant même plus conscient.

  • Trump: d'empire à colonie.

    Je ne sais pas si, toute proportion gardé, Monsieur Trump peut être comparé à Constantin 1er ou à Aétius, le vainqueur d'Attila, si comme le premier ce sera un réformateur ou si comme le second il n'arrivera jamais à atteindre le pouvoir,capturées 2006-6-28 00003.JPG assassiné avant.

    Quoi qu'il en soit et quoi qu'il lui arrive, c'est déjà un personnage historique dans le sens où ce qu'il représente est bien plus qu'il n'est en réalité.

    Ce nouveau président des Etasunis est un réformateurs, c'est à dire qu'il entend insuffler une dynamique nouvelle à son pays, quoi que nous puissions en penser part ailleurs.

    Nous ne la connaîtrons qu'une fois les décisions prises et que leur mises en œuvres commenceront à porter leurs effets.

    Si cela nous concerne, ce ne peut qu'être en raison des liens étroits, d'empire à colonie, qui nous unis, le reste ne devrait pas être notre affaire.

    En plus de ces deux inconnues déjà importantes, l'effondrement en cours de l'économie-monde, tendant à une accélération régulière, va avoir des conséquences que personne ne peut prévoir, hormis, bien sûr, les ruptures d'approvisionnement, avec ce que cela comporte d'infinis problèmes, et de la qualité des politiques de reconstruction qui seront mises en place par les différents états, dépendant des hommes en place sur le moment.

    Pour résumer, Monsieur Trump à trois défis à relever, sa survie, la refondation de son pays et la gestion d'une crise sans précédent.

    Nous devons aussi tenir compte des tendances centrifuges se manifestant en ce moment aux U.S.A., du peu que j'en sais, et elles ont l'air de prendre de l'ampleur (de tous les français).

    Enfin bref, le phénomène Trump est certes important mais ne devrait nous concerner que ce pourquoi nous avons des intérêts, soit pour notre pays et pour nous même, le reste ne pouvant avoir d'importance que pour notre seule curiosité naturelle et rien de plus, bien que cela soit d'importance mais d'un autre domaine.DSC_9621.JPG

    Sinon cela ne peut que montrer que nous ne nous sommes pas encore affranchi de ce joug impérial.

    Toute rupture de domination doit d'abord commencer par la compréhension de son essence même, pas tant de cet empire, soit du dominateur, mais bien de celle du dominé, quel qu'en soit le caractère.

    Il s'agit donc pour ce dominé d'en saisir le plein sens intérieur, parce que seul cela devrait lui importer, le reste restant du domaine du dominant, c'est son problème, sauf en ce qui intéresse sa résistance à l'émancipation du colonisé nécessitant, pour ce dernier, la réaction la mieux adaptée à la situation créée par la-dit résistance.

    Ainsi la place du dominant est tel que parce que le dominé a aussi la sienne propre, il s'agit donc d'une relation réciproque à intérêts commun en miroir, générant un confort à chacun de ces partenaires, même si cela mène, en réalité, à un mal-être du dominé.

    C'est ce confort de la situation établie qu'il s'agit de briser, mais c'est bien parce que le dominant a une situation privilégiée sur le dominé que celui-ci se doit de faire le travail en amont sus-décrit.

    IMGP0079 - Copie.JPGC'est logique, il est difficile, pour le dominateur de se débarrasser de ses petits avantages, surtout si ils sont nombreux et juteux, quand l'asservi, lui, n'a de seul profit que celui de la confortable obéissance infantile, soit n'avoir aucune responsabilité.

    Là seulement existent les intérêts de chacun d'eux et nulle part ailleurs.

     

     

    THEURIC

  • 14 juillet 2020, la fin des cycles.

    Bonjour chers  lecteurs,

    Certes, ce que je vais développer ici ce ne sont pas de bonnes nouvelles, de celles qui remplissent le cœur de joie.

    Mais ne vaut-il pas mieux que nous soyons conscient des multiples difficultés que nous risquerions fort de rencontrer, plutôt que de nous laisser aller à écouter des sirènes médiatiques qui, pour le moins, n'en racontent pas de plus bonnes n'en restant pas moins fausses?

    Je peux, comme je l'écris souvent, faire erreur, mais ma quête est et reste mordicus celle de percevoir et comprendre la réalité, puis de vous présenter les résultats de ces réflexions.

    Là se trouve la besogne que je me suis fixé.

    A vous ensuite d'en faire ce à quoi bon vous semble.

     

    J'écrirai, en toute fin de texte, pourquoi.P1050166.JPG

     

    Un cycle historique est un ensemble d'événements plus ou moins longs, intrinsèquement liés par une même teneur de volonté de tous les acteurs au cours du temps.

    Dès que ledit cycle s'achève, la dynamique historique prend, dès lors, une nouvelle direction.

    Celui-ci se définissant en tant que cycle parce que s'y montre toujours un début, suivit d'une monté en puissance, puis d'un déclin progressif et enfin de son achèvement, déterminé en sa forme similaire à son début.

    Au fil des époques il est possible de les percevoir, guerre de cent ans, guerre de religion, révolution française & premier empire, pour ces quelques menus exemples.

    Ceux qui vont disparaître (nous sommes riches de plusieurs s'étant activés à des moments différents, a la richesse qui peut, n'est-ce pas?) sont subordonnés par celui qui nous mène vers une rétrogression historique, la période de la guerre franco-prussienne de 1870, je vous en avais fait état ainsi que de vous entretenir des effets que je suppute (bonjour madame) de leur achèvement, le 7 Juin (A la recherche du sens perdu)  puis le 16 du même mois (L'américanolâtrie(ne) dans tous ses états).

    P1050011.JPGBien que j'aie traité ces thèmes ici depuis longtemps.

     

    Comme cela était à prévoir et j'ai pu le pressentir, telles des fourmis affolées, les thuriféraires de ce bloc idéologique composé autant de l'adoration des Etats-Unis-d'Amérique, de l'Allemagne (ce qui ne peut que les mener à des conflits), de l'Union-Européenne, de l'euro et du néolibéralisme monétariste, paniquent, ne comprenant plus du tout ce qu'il se passe.

    Mais qui le comprend-il?

    La pandémie au SRAS-COV-2 n'ayant été que l'accélérateur, l'enzyme précipitant ce phénomène d'effondrement autant de l'empire thalassocratique US en miroir inversé de celui de l'URSS, de l'idéologie de l'économisme dogmatique, économie d'état/économie privée, soit de ne mettre au centre des réflexions politiques que l'économie et de sa scission communisme/capitalisme, dont l'origine se trouve en la France du XIX° siècle, la Commune de Paris de 1871 (commune, communisme), d'où ladite nôtre rétrogression;

    Et enfin une compulsion de répétition d'avec une période s'étendant environ entre 1920 jusqu'en 1948, provenant de ce que les pays européens n'ont pas pu se remettre anthropologiquement par eux-mêmes des effets des deux guerres mondiales, enP1040621.JPG raison de la monté de celle froide ayant débuté dès la fin des années 40 entre l'URSS et les USA et la séparation de l'Europe en deux bloc imperméables est et ouest.

    En effet, c'est cette Commune de Paris qui détermina d'advenue du communisme, nommé auparavant socialisme révolutionnaire, du fait que Karl Marx, témoin de ces événements, qui l'analysa pour, ensuite, en formaliser ses propres théories politiques, donnant naissance audit communisme.

    Ainsi, au risque de surprendre, je pense que la ridicule kermesse du 14 Juillet, à la place d'un défilé qui, au fil des années, se réduisait comme peau de chagrin, où nous vîmes que, bon an mal an, les membres du gouvernement n'en avaient rien à faire, signe, justement, en raison de ce simulacre de défilé, de l'achèvement de ces cycles et de la bientôt reconstruction de notre pays qui ne pourra qu'être précédé d'une  phase de chaos que je considère intuitivement relativement limité;

    De par cette caricature de la représentation de la nation par ledit simili défilé.

    Et les questions posées par la façon avec laquelle cette pandémie fut gérée n'étant, à mon sens, qu'une preuve de l'absurdité du dogmatisme néolibéral voulant, d'après ceux qui en soutiennent l'idéologie, que ni les pays, ni les peuples n'existent, seuls, comme l'affirmait Madame Thatcher en un dogme fantasmatique débilitant, les individus et leur famille consommateurs subsisteraient, affirmation contraire qui se renouvelait à chaque 14 Juillet en France par son affirmation de l'existence de la Nation en un  rite d'appartenance d'une religiosité certaine (de ce qui relie).

    Quand bien même suffisamment de tests, de masque avaient dès le début été présent et le traitement proposé par le Professeur Roult utilisé à foison par les P1050137.JPGmédecins, si même, mieux encore, cela avait été mis en place dès notre déconfinement, cette fête nationale aurait-elle pu se faire normalement?

    ( Pour cela il aurait fallu que nous ayons, à la place d'un gouvernement et de propriétaires des médiats pleutres, sots, incompétents et obéissants, des personnalités intelligentes et courageuses qui, en plus d'avoir su pourvoir à la fourniture de matériel avant l'advenue de la pandémie, de ne pas mentir au sujet du traitement, d'avoir un minimum de capacité d'organisation et de ne pas suivre les injonctions d'entreprise pharmaceutique quelconque.

    Et oui, nos oligarque ne sont que les petits sous-fifres de ceux étasuniens. )

    Nous pourrions même imaginer que ledit défilé se fasse et que les rangs des troupes soient juste un peu plus espacés.

    Mais, à l'inverse, il est plus juste de remarquer que le COVID-19 ne fut qu'un  ridicule prétexte pour cette mascarade, ceci parce qu'aucun ne comprend et, surtout, ne veut comprendre son sens symbolique et historique,  ils en sont tous incapables, n'en prenant en compte que le coût, se mettant par eux-mêmes en grands dangers, la colère des peuples prend son temps pour se déclarer, mais ensuite peut devenir inextinguible.

    Vous ferais-je remarquer que les militaires ont défilé, vers la fin, les rangs bien serrés les uns contre les autres...FullSizeRender.jpg

    ( Quand à l’hommage de la nation pour les soignants, cela participe à cette hypocrite vulgarité de la nature de notre personnel politique, ce ne sont que des commerciaux pour qui tout est bon à dire et à faire pour se vendre et se bien faire voir, eux qui les ont fait tabasser par la police avant la pandémie. )

    Combien de français ont dû, d'une certaine façon, envier celui de défilé russe, fêtant la fin de la grande guerre patriotique (39/45) à Moscou?

    Cette indécente vulgarité gouvernementale et oligarchique, que l'on retrouve similaire, voire en pire, dans les salons feutrés de l'Union-Européenne, faite autant d'irresponsabilités, d'approximations intellectuelles, d'incapacités multiples, de mensonges, dont d'état, de préceptes absurdes et de fadaises infantiles, voire même de probables prévarications, accrue par cette autre carence signalée plus haut, désormais proprement visible, ne peut que conduire la bande à croncron ainsi que sa pseudo opposition, aussi que les agences bruxelloises non élues, menée par notre godelureau national et les chambres d'enregistrement délibératives et par la très germanique Madame Von Der Leyen, à leur évanouissement.

    En effet, leurs faiblesses à tous ne peut que les faire disparaître de la scène publique dès lors qu'une nouvelle crise, de quelle que nature qu'elle soit, surviendra.

    De plus, on ne joue pas impunément avec la frustration d'un peuple, ceci d'autant plus si celle-ci est largement inconsciente.

    abeille.jpg

    Nous aboutissons donc au lent achèvement de ces trois cycles intimement liés,  débuté en France, cet ensemble de processus s'achèvera sûrement au même lieux, à Paris.

    C'est en cela que notre pays est devenu, à mon sens, mondialement central.

     

    Alors, ne serait-il pas temps de remettre en cause l'ensemble de ces absurdités, de celles-ci comme de tant d'autres desquelles je vous entretiens, qui, de toutes forces de nous les avoir enfoncé dans le crâne depuis tant de temps, en sont devenus des croyances crues d'en devenir, pour tant de gens, de fausses réalités contraires à tout bon sens?

    Il en serait temps parce que dès lors que la réalité pleine et entière surgira de sa boite, le choc en sera violent et l'incrédulité immense.

    C'est pourquoi, amis lecteurs, je n'ai que de cesse de tenter de la percevoir puis de vous la démontrer affin que ce choc, survenant maintenant, avant que l'histoire ne nous conduise vers de nouveaux horizons, vous ne souffriez que peu de cette nouvelle bifurcation.

     

    Contrairement à ce que des imbéciles peuvent dire, la France n'est pas en déclin, elle est désorganisée, ce qui est tout à fait différent et plutôt rassurant.

    Cette désorganisation provenant de ce que ceux dont ce serait le rôle de mener laP1020930.JPG nation, économiquement, politiquement, médiatiquement, intellectuellement n'ont eu, pour la plupart, que de cesse de croire en toutes les fadaises dogmatiques qui nous conduit là où nous en sommes ainsi que de nous entraîner dedans leurs égarements.

    C'est pourquoi furent nommés au nouveau gouvernement les fossoyeurs de l'hôpital publique, Madame Bachelot, si fière de sa vulgarité d'en devenir ministre de la culture, et, en tant que premier ministre, Monsieur Castex, maire d'une petite ville, n'étant pas capable de faire plus, que je soupçonne, en sus, d'être atteint d'un début de maladie neurodégénérative (mon père en fut décédé et j'y ai perçu ce même regard hagard).

    Comment voulez-vous que l'incompétent désigne plus compétent que lui pour le seconder, ne lui préférera-il pas plutôt le plus sot?

    Ils n'ont qu'une idée: faire de l'hôpital, faire du pays une société anonyme, une entreprise, une société privé (de tout à terme), tout comme en URSS et les pays de l'est se devait d'être, en son inverse, entreprise d'état, même le moindre artisanat.

    Ceci avec un ministre de l'économie reconduit, Monsieur Lemaire, qui, il y a peu, avouait être mauvais en mathématique, lui s'occupant des comptes publics.

    Et avant même d'avoir à gérer cette gabegie qu'ont donc mis en place pour que cette gestion hospitalière en devienne ainsi calamiteuse, ceci depuis ces décennies, nos P1050105.JPGévaporés du  bulbe et leurs même prédécesseurs?

    Une administration hopitalière pléthorique, inepte et onéreuse (il ne peut que subsister quelques exceptions éparses à ce type de règle), et il serait logique de considérer que celle-ci ne soit composée que d'incompétence plus importante encore, la médiocrité ne cessant d

  • La basse-court et autres (dé)notes...

    Il y a tant d'américanolâtrie en France et en Union-Européenne que si les américains avaient une plume dans le cul, beaucoup de français et d'européens s'y planteraient un plumeau.

    Çà ferait une belle une basse-court.

    Cot, cot, cot, où se trouve les renards?

     

    Les chinois et les allemands devraient se méfier, chaque fois que notre pays se découvre un modèle, celui-ci trouve le moyen d'être ruiné ou proche de l'être.

    Les exemples sont nombreux, la Hollande, l'Angleterre, l'Irlande, l'Islande, le Japon, les États-Unis-d'Amérique, la Corée-du-Sud (tiens, celui-là tient le coup)... etc...

    C'est bizarre tout de même que nos gourous de l'économie aient ce génie de repérer les nations les plus fragiles et, surtout, de nous les servir en exemple.

    (Je viens d'apprendre qu'il y a eu une sorte de coup d'état des partis de gouvernement en Suède, ce pays qui était, parait-il, un parangon de vertu démocratique.

    Encore un modèle de perdu, zut alors!)

     

    Beaucoup de nos sportifs sont noirs, est-ce parce qu'ils sont bons en sport ou pour que la France ressemble aux États-Unis?

     

    La police française porte une casquette à la place du képi, qu'elle est laide!

    Que ne ferait-on pas pour devenir le cinquante-et-unième état des États-Unis-d'Amérique?

     

    Notre gouvernement n'a que deux solutions:

    -soit obéir aux désidératas de la ploutocratie internationale, étasunienne et allemande:

    -soit lui désobéir et dire adieu à l'Union-Européenne et à l'économie néolibérale mondialisée.

    Mais en ce cas, malheur par qui le scandale arrive!

    La Grèce nous a précédé en n'ayant même pas le temps de détruire l'U.E., les U.S.A. s'en chargent très bien aujourd'hui et il n'y aura pas que ces deux unions qui seront ruinés, mais elles disparaitront.

     

    Il est imbécile de vouloir manipuler un peuple dans l'affolement et la précipitation, quels qu'en soit les raisons, cela génère souvent des effets contraires.

    La patience et la subtilité, en ces choses et en d'autres, sont de bonnes politiques.

    Laissons le temps au temps!

     

    Les États-Unis-d'Amérique haïssent l'Europe, et plus les pays ont fourni d'immigrants, plus ils sont haïs.

    En France, jusqu'à que nous soyons ruinés par la doxa de la concurrence libre et non faussée, il y faisait bon vivre, à quoi bon s'installer ailleurs où les pâturages sont moins vert?

     

    Le traité de Verdun en 843 partagea l'empire Franc en trois parties:

    -La Francie Occidentale qui deviendra la France;

    -La Lotharingie qui deviendra la Lorraine;

    -La Francie orientale qui deviendra le Saint-Empire-Romain-Germanique puis l'Allemagne.

    Depuis, le fantasme inconscient fut de recréer cet ancien Empire Franc.

    Cela ne nous rajeunit pas, non?

     

    Ah, l'Empire Romain, tellement rêvé que les U.S.A. surent en prendre le modèle, à tout point de vu.

    L'Europe y joue le rôle de la Grèce antique et les pays d'Amérique -du-Sud, celui de la Gaule.

    Mais eux n'ont pas de Pape pour remplacer l'empereur, ou leur président en tant qu'empereur électif.

    Mais ils surent, en revanche, les éliminer, de leurs présidents les plus gênants, tout comme le firent les romains.

    Mais où se trouve Byzance?

     

    Si nous suivons l'idée de ce qui est écrit dans la Bible, tous les pays et les villes où se sont bâties des tours de Babel seraient un jour anéanties.

    Aujourd'hui nous appelons cela des grattes-ciel.

    Hi, hi, hi, hi, hi, ça chatouille...

     

    Les journalistes télévisuels aiment et adorent les représentants du Front-National.

    Chacun a les amours qu'il peut.

     

    Notre cher Monsieur Juncker, président de l'Union-Européenne est d'un humour irrésistible et n'a pu s'empêcher de laisser cette petite phrase à la postérité:

    "Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens."

    Est-ce une honnêteté foncière, de la vantardise, de l'inconséquence ou de l'inconscience?

    Certes, il faut choisir les plus inconsistants pour ce poste, mais là, c'est de la gourmandise.

     

    J'aime la règle de trois, enfant je l'avais apprise dans toute sa complexité, j'en ai depuis oublié beaucoup.

    Elle est, entre-autre, utile pour calculer les pourcentages.

    Ceux liés à la sécurité routière sont ainsi intéressants, surtout celui concernant le nombre de morts dû aux accidents de la route.

    Pour faire ce calcul, c'est très simple, on prend le nombre de mort à une année donnée, ici en 2014, il y en a eu environ 3478.

    Environ parce que un mort sur la route se comptabilise après un mois d'attente, le nombre exacte se saura fin Janvier 2015 (tiens, c'est vrai, nous y sommes).

    Ce nombre de 3478, allez, disons 3 480, il sera tout rond comme ça, donc, de ce 3480, nous le divisons par le nombre d'habitant dans notre beau pays, soit 66 317 994, arrondissons, là encore, à 66 318 000, une naissance de plus ou de moins, personne n'y verra que du feu.

    Cela donne: 3 480 / 66 318 000 = 0,0000525.

    Puis il n'y a plus qu'à multiplier le résultat par 100.

    Ce qui donne: 0,0000525 x 100 = 0,00525 % de morts sur l'ensemble de la population française.

    C'est tout bête, non?

    Faisons le même calcul pour savoir ce que représente, allez, disons 15 % de mort de plus sur la route sur une année, en partant de ce nombre de 3480.

    Et nous entendrions moult cris et pleurs dans nos médiats, nous les verrions même trépigner de résignation dépités de notre manque de sens civique à tous, snif, j'en ai déjà la larme à l’œil.

    Là, le calcul est encore plus ballot à faire, il suffit de multiplier 3480 par 15, puis de le diviser par 100.

    Alors, 3480 x 15 = 52 200 / 100 = 522 morts de plus en France.

    Si nous additionnons le nombre de mort en 2014, 3480 et notre présupposé augmentation, 522:

    3480 + 522 = 4002 morts présupposés, à comparer au nombre d'habitant, soit 66 318 000, plus les cacahouètes dues aux naissances de 2015 (j'aime bien les cacahouète à l'apéro).

    Bon, certes, ça fait peut-être beaucoup, mais en proportion, tout de même pas grand chose, et alors, si nous l'évaluons au nombre de mort moyen par journée lors de la guerre 14/18 ou celle de 39/45, là, franchement, ça fait ridicule.

    C'est quand même beau les mathématiques, non?

    3480 morts pour une population de 66 318 000, presque autant de chance que de gagner au loto.

    Eh, eh, là on inverse le calcul: 66 318 000 / 3480 = 19 056, 8966, cela fait que chacun d'entre nous avait eu une chance sur 19 057 d'avoir eu un accident en 2014.

    Au tirage comme au grattage, croisons des doigts pour que cela ne nous arrive pas.

    C'est vrai, quoi, c'est pas pour ça qu'il faut rouler comme des crétins, nous pourrions nous retrouver face à face!

     

    Nous vivons une époque formidable.

    Seule l'effondrement des bourses sonnera le glas de l'économie mondiale mais tout est fait pour en retarder l'échéance.

    Pendant ce temps là l'économie réelle se désagrège mollement dans tous les pays, il faut être sot pour ne regarder que ce qu'il se passe en France, partout ailleurs c'est la même chose, en Asie, dans les Amériques, en Afrique, en Océanie, seul le continent Antarctique n'est pas concerné, la glace, ça jette un froid et refroidit les ardeurs...

    Jusqu'à présent cette désintégration lente renforçait chaque fois Wall Street.

    Mais bon, cela durera qu'un temps.

    En fait, tout ça pourrait être comparé à une maison qui se désagrègerait déjà toute seule et serait prête à s'écrouler.

    Des travaux y sont effectués, mais à chaque fois cela ne fait qu'en affaiblir les murs.

    Sur le toit plus que poreux (Wall Street et les autres bourses) y sont rajouté tous les gravas, des tonnes et des tonnes de gravas, provenant de ces travaux.

    Alors nous, qui sommes dedans, nous entendons la maison qui grince sans nous affoler, en croyant que ce sont des oiseaux qui chantent.

    Nous voyons bien que des morceaux de plafond et de mur, parfois très gros, tombent de temps en temps et de plus en plus souvent, et nous nous disons que, décidément, il faut continuer à les faire, ces travaux.

    Et plus des fragments de mur et de plafond dégringolent, plus nous nous efforçons, hardiment, de faire ces travaux qui ne font qu'affaiblir encore et encore cette maison.

    Tout en retirant les étais qui soutenaient le peu qui résistait encore à cette destruction...

    Et les autres couillons qui croient que c'est en montant sur le toit de cette bicoque qu'ils éviterons son effondrement, et en plus, ils dansent dessus.

    J'ai l'impression qu'ils tomberont de haut...

    "Eh, les amis, mettez vos casques, ou mieux, allons dans la cave!"

     

    Il est des expressions que j'aime bien.

    Faire des plans sur la comète, par exemple.

    J'imagine le gugusse avec son mètre et sa craie, tout encaparaçonné de son scaphandre, en train de tracer des lignes sur son petit bout de roche.

    A quelque chose près, je ressens la même chose quand j'entends tel spécialiste, ou mieux, tel homme politique nous expliquant, doctement, comme quoi les décisions économiques donneront des résultats d'ici 2016 ou 2018, ou même, seront prisent à cette date.

    Laissons à chacun sa comète, non?

  • Réflexions sur le racisme et les questions juives et noires.

    Pour comprendre sur quoi s'établit ces lignes, je vous renvoie au texte présenté sur ce site: ( http://www.les-crises.fr/sanders-cachez-cet-antisemitisme-que-nous-ne-saurions-voir/ ) et, aussi, à certains de ses commentaires.

     

     

    Je vais poser la question ô combien provocatrice: pourquoi les personnes à la peau noire et celles qui sont juives, de représentation (soit par le regard porté sur la personne et non pas par une appartenance culturello-religieuse), de culture et/ou de religion n'auraient-elles pas le droit d'être raciste?

    Ne serait-ce pas du doudouisme, soit une sorte de racisme hypocrite, que de considérer l'autre plus pure que soi parce que différent, racisme ayant de sens de percevoir des différences incontournables, réelles ou supposées, haïssables chez des êtres humains autres que ceux qui nous ressemblent, le doudouisme étant une tentative de surmonter ce racisme en en inversant le discours conscient?

    Que je sache, soit Homo Sapiens Sapiens est de même espèce, quelles que soient les différences religieuses, nationales, culturelles ou de morphotypes, soit nous avons affaire à des espèces diverses, auquel cas la simple appartenance à une autre religion, nation, culture ou morphotypie ne pourrait qu'être considéré que comme celle d'une autre espèce (je vous préviens que la deuxième partie de cette phrase est ironique, vu les temps qui coure, même cette ironie peut être prise au premier degré du pied de la lettre, obscurantisme, quand tu nous tiens...).

    Auquel cas il pourrait être possible de rejeter cet autre en raison de ces différences, mais cela soulèverait des absurdités sans nom de représentations de ce nous sommes, autant dans nos origines, notre espèce que dans notre réelle individualité.

    Quand aux différences physiques elles n'ont, pour moi, que l'importance que chacun d'entre-nous y porte, sachant toutefois que le poids des inconscients historique et individuel de la représentations de soi, en tant que groupe constitué ou non, et individuel et/ou interindividuel, y sont majeur.

    Le racisme prend d'autant plus corps lorsque le sujet et/ou le collectif ne sait plus réellement quel est son identité et/ou quand la société dans laquelle il(s) vi(ven)t est fortement hiérarchisée.

    Il s'agit donc, dès lors, d'une projection, soit d'une affirmation identitaire par la différentiation d'avec l'hétérogène visible, soit celle d'une affirmation de son être par la domination de celui qui est dissemblable et, donc, inférieur, soit de ces deux contingences ensembles.

    Identité et hiérarchisation sont donc à l'origine des rejets de l'autre dans sa différence avec une particularité êtres humains juifs/noirs.

    Cette particularité de cette dualité racialiste êtres humains noirs/juifs (dont je suis pour ce dernier) c'est qu'elle se porte sur le malêtre dû à la modernité, étant entendu là que cette-dite modernité repose non pas seulement sur celle technologique actuelle, mais bien à celle qui bouleversa notre humanité depuis la constitution des villes, soit la fin de la vie en Éden qui ne fut que l'avant du néolithique, la préhistoire.

    Le rejet des être humains à la peau noire par les autres êtres humains à la peau blanche et jaune (si tant est que nous puissions parler aussi catégoriquement de couleur de peau) renvoyant à cette ancienneté inconsciente rejetée et attirante de l'époque où notre humanité vivait dans sa dimension animal naturelle originelle, celle dite, à l'ancienne, chasseur-cueilleur.

    Mais aussi à celle, plus récente, de la saleté et de la malveillance, ce que nous retrouvons dans de nombreuses expression en langue française telles que avoir de la noirceur d'esprit ou avoir une maison noire de crasse.

    Le fait du rejet de l'être humain juif est semblable en son inverse, en ce sens où il s'agit là du rejet de cette modernité par ce qui, symboliquement, la représente, étant donné que le judaïsme fut à l'origine des deux autres monothéismes, le christianisme et l'islam (même si, historiquement, il est possible de faire remonter l'origine du judaïsme monothéisme au zoroastrisme.).

    Ce rejet de la modernité provient de ce même malêtre qu'elle génère en nous du fait des contraintes qu'elle a créé depuis le début de son avènement.

    De plus, cette représentation consciente noir et juif, qui est la projection inconsciente de nos propres angoisses existentielles et de nos propres défauts rejetés, devient l'identité représentative inconsciente d'une majorité de noirs et de juifs par un aller-retour d'échanges projectifs incessants inconscients, ce qui leur font adopter les défauts dont ils sont affublé (sachant qu'ils sont, en vérité, similaires en tout points aux êtres humains à peau jaune et blanche non juif).

    Ainsi est-il stupide, voire criminel, de se représenter tous les noirs comme étant de gentils enfants plus ou moins violent, virilement vigoureux et ignorants et tous les juifs comme étant des savants et/ou des banquiers, ou au moins des gens riches, voulant conquérir le monde, et tous deux comme étant des traitres à la patrie ou de tout autre chose encore de cette sorte.

    Le rejet actuel des musulmans a une autre origine quelque peu semblable.

    La déreligiosité actuelle de l'Europe génère, encore une fois, une angoisse existentielle projeté sur les musulmans pour la double raison qu'elle y devient importante et qu'elle est la plus proche, religieusement parlant, du judéo-christianisme européen.

    N'oublions pas que toute forme de haine est toujours la projection sur un autre de nos propres angoisses, de l'impossibilité de respecter à la lettre les obligations des interdits du surmoi et de nos diverses petites et grandes vilénies.

    Le racisme et la xénophobie ont ceci de particulier d'être des projections (et ce mot est d'importance pour ce qui nous occupe, d'où sa réitération) haineuses de ces manquements, c'est pourquoi les noirs et les juifs, dans leur majorité, ne peuvent qu'être racistes et xénophobes comme la majorité du reste de l'humanité.

    Ceci parce que nous avons quasiment tous des difficultés avec notre identité et de son affirmation ainsi que nous vivons tous dans une société hautement hiérarchisée et que, dès lors, nous affirmons cette identité par les dissemblances que nous avons avec les autres et par nos projections de nos angoisses sur eux, qu'elles soient réelles ou supposées.

    Ainsi pourrions-nous déclarer: "Dis-moi ce que tu hais, je te dirais ce que tu es!".

    Tout ce que je viens d'écrire n'enlève en rien ce que disait mon arrière-grand-père quand il s'était installé en France, dans l'esprit: "Quand on arrive dans un pays on y adopte la manière de vivre de ses habitants".

     

     

    THEURIC

  • Diverses réflexions autour du vilain virus.

    Si j'ai retiré mon dernier billet c'est que j'avais oublié qu'il n'y a pas qu'une seule sorte de patriotisme quand, de fait, il est multiforme (ce qui sera peut-être la base d'une réflexion future), c'est pourquoi il pouvait être dangereux, non pas en ce qui me concerne, mais pour nombre de mes lecteurs qui considèrent mes libelles comme décrivant une évidence quand, en fait, ils font surtout preuve de ma sincérité réflexive.

    Ce qui pouvait psychologiquement les troubler: nous en sommes tous à rechercher du sens à ce qu'il se passe en ce moment, mais que celui-ci, s'il est présenté de manière abrupte, peut ne pas s'accorder à la personnalité et aux penchants de certains peut leur être préjudiciable.

    Étant donné que les événements sont, en raison de leurs complexités, de type chaotiques, soient sensibles aux conditions initiales, c'est-à-dire imprévisible dans le temps, tant en ce qui concerne les choix de chacun que de leurs effets, bien que nousP1030471.JPG verrons plus loin qu'il est possible d'en délimiter, pour parties plus ou moins importantes, leurs natures.

    Il serait possible de dégager un certain nombre de positions et de supputations de compréhension desdits événements.

    Par exemple, Bernard-Henri Levy, qui est à la philosophie ce que les jeux de construction pour enfant sont à la maçonnerie, a dit qu'un virus "c'est con, c'est bête, ça n'envoie pas de message".

    Dans le fond il a certes raison, toutefois s'il considère démocrates les néonazis ukrainiens qu'il était venu saluer après leur coup d'état dans leur pays, ceci à la vue de ses origines, je doute qu'il puisse saisir ce que veut dire la nature de la démocratie, de l'histoire tout comme de ce que peut être qu'un message.

    Une crise, ici sanitaire et pandémique, est un révélateur d'instabilités de toutes sortes, mais aussi peut faire apparaître un processus que Carl Gustav Jung et Wolfgang Pauli nommait synchronicité, c'est à dire, de la définition qu'ils en donnaient: "... est l'occurrence simultanée d'au moins deux événements qui ne présentent pas de lien de causalité, mais dont l'association prend un sens pour la personne qui les perçoit" (définition empruntée à Wikipédia).

    J'imagine que notre boite de mécano de la philosophie doit connaître cela tout en P1030138.JPGn'ayant pas les capacités de le percevoir ici.

    C'est ce processus que j'ai étendu à des populations entières en perte d'identité pour de nombreuses raisons et qu'elles redécouvrent lors de leur claustration, là se trouverait ce message qui,  en ce cas, provient purement du plus profond de notre psyché et non pas de ce virus qui n'en est que l'élément déclencheur.

    Ce n'est pas par lui que s'est généré ce message mais bien par notre inconscient collectif qui se serait mis en phase avec celui sociale.

    Un autre exemple, venant en écho du séisme de Maastricht le 14 Avril 1992, suivant la signature du traité du même nom le 7 Février de la même année, c'est celui qui advint en Italie du nord le 16 Avril 2020 qui, comme il en fut du précédent, fut ressenti en France, et qui annonce, à mon sens, une détermination nouvelle chez-nous comme pour nos voisins, ceci en un même phénomène de synchronicité.

    (J'écris ça,  mais je ne pense pas qu'il lise mes lignes, ça me fais tout de même plaisir de montrer les limitations de ce monsieur m'as-tu-vu, remplit à raz bord d'emphase, souvent va-t-en-guerre, aux notions démocratiques plus qu'étriquées et seulement verbeuses.)

    C'est fou ce qu'il peut se dire sur le WEB et, en cela, nous pouvons en apprendre plus sur la position de l'Allemagne et de la Hollande au sujet des coronabonds, surtout, en filigrane du visionnage de ces deux vidéos (et des bas) ici puis , nous faitP1030246.JPG comprendre autant leur réelle raison d'être et leur refus par ces deux pays, mais surtout ce que cela exprime.

    Ces coronabonds, donc, furent présentés, sur une idée italienne et française, par les européistes eurolâtres pour empêcher les nations composant l'Union-Européenne de la quitter en rendant impossible de déterminer qui détient les dettes de qui en UE.

    L'Allemagne, la Hollande et l'Autriche en refusent l'idée parce que, se dit-il, elles ne veulent pas prendre lesdites dettes à leur charge.

    Mais sachant que leur retraites sont par capitalisation (la nôtre est par répartition), et que les pays sud-européens sont ruinés, j'en déduit donc que la spéculation par leurs fonds de retraites (Blakrock et autres...) ne peut plus engranger suffisamment d'argent pour pouvoir payer leurs retraités, puisqu'ils nous ont pompé toutes, ou presque, de nos richesses, aux français, aux italiens, aux espagnoles, aux portugais et aux grecs.

    Ce qui pourrait aussi expliquer pourquoi l'union, aujourd'hui tenue par les allemands, n'a que très très peut agi tout au long de cette épidémie et que, de plus, elle appelle à ce que toutes ces dettes accumulées par le sud soient remboursées au plus vite:

    P1030652.JPGL'idée que j'y développe ici c'est que les trois états sus-nommés ne veulent pas que l'UE€ soit détruit par eux-même mais, voulant en sortir, font de manière à ce que ce soit ceux du sud qui l'anéantissent en s'en retirant, écœurées, la France et l'Italie suffisant pour cela.

    D'ailleurs nous pourrions nous demander pourquoi le gouvernement de ces deux derniers pays ne se sont-il pas préparés dès Novembre dernier à cette pandémie, puisque l'OTAN en avait été averti dès cette date par les forces US, ne serait-ce qu'en en prédisposant, dès avant, le terrain?

    Il est vrai que celui français gesticulait et n'avait d'objectif que de la réforme des retraites en ne voyant rien d'autre, puisqu'il n'était et n'est composé que de neuneus, tout comme peut l'être notre état profond, notre oligarchie strato-financière, comme les dénomme Emmanuel Todd.

    Comme je l'avais expliqué auparavant, ce sont les paradoxes relevés qui  peuvent nous montrer au mieux la réalité quand celle-ci nous est cachée.

    Ainsi revoyons-nous poindre Madame Buzyn au centre d'un nouveau scandale, cette dame, toujours autant visible, faisant perdre patience à ses confrères du REM (toujours des radioéléments) à force de montrer part trop les petites manigances ayant lieu au plus haut de l'état, disant, volubile, ce qu'il faudrait taire pour ne pasP1030636.JPG accentuer la colère populaire.

    Faut-il que ce soit un certain Philippe Murer, économiste de son état, qui, il n'y a pas, comme d'autres, ce fit avoir par les sons mélodieux de la sirène Le Pen et RN, qui, comme cette dame à la logique approximative, est contre l'euro mais pour l'union, ce qui est en soi contradictoire puisque il n'y a pas de processus pour se défaire du premier sans quitter le second (sachant qu'elle est avocate et que lui est économiste, ne pourrions-nous pas nous interroger d'une certains hypocrisie ou d'une toute bête naïveté? );

    Faut-il, dis-je, que ce soit ce monsieur qui nous informe que Madame Buzyn, comme d'autres médecins, soigne des gens à l'hydroxychloroquine en raison de leur célébrité quand, dans le même temps, ce traitement est, normalement, interdit pour le reste de la population?

    Mais bon, la question véritable n'est pas de savoir qui la présente et, de fait, qu'importe de qui provient cette information, le principale étant qu'elle nous parvienne et d'en percevoir les soubassements politiques (toutefois sans le Rassemblement National Macron n'aurait jamais été élu, la se trouve le macro-lepénisme).

    Pour en comprendre la trame il me faut faire un bref retour  à l'une de mes hypothèses qui, de plus en plus, apporte son lot de confirmations, la rétrogression historique.

    Nous vivons aujourd'hui une façon de coup d'état discret qui avait commencé sous Hollande au moins (ce qui montre que ce ne sont plus nos présidents ni les premiers P1010524.JPGministres qui dirigent la France, eux qui ne sont plus que des DRH), en effet, il n'est plus le moment de la troupe tirant sur les foules comme lors du coup d'état de 1851 par Louis-Napoléon Bonaparte, aujourd'hui Monsieur Macron et son équipe se contentent juste de rendre impossible tout mouvement de foule de type de celui des gilettistes par leur confinement ou, auparavant, en mutilant et gazant (tiens, tiens) des manifestants.

    D'où leurs freins à tout rompre de la fourniture de test et d'un traitement efficace pour toute la population.

    De laisser mourir les vieux dans les EHPAD n'étant qu'un moyen de faire des économies, sur une idée de Jacques Attali, comme je l'avais expliqué le 14 de ce mois dans mon billet précédent:

    Et demandez-vous si nos vieux placés en EHPAD sont laissés en plan à crever autant de maladie que de solitude de ne pas voir leurs proches, ce ne serait pas sous le conseil malfaisant de cet hurluberlu de Jacques Attali qui, je l'avait raconté à mon billet précédent, avait doctement expliqué que "les vieux coûtes chers parce que non solvable", rajoutant que "l' euthanasie sera un instrument essentiel pour nos sociétés futurs".

    Mais de maintenir chez-eux les gens par ledit confinement mène à un arrêt drastique de l'économie, ce qui y génère de très gros dégâts, ceci d'autant plus queP1030325.JPG nos voisins, eux, ne vont pas tarder à déconfiner les leurs populations.

    D'où le projet de Mr. Macron, Emmanuel 1er, de débuter celui-ci dès le 11 Mai, ce qui est le lendemain  de la date anniversaire du début de l'attaque allemande de 1940, comme le fit remarquer François Asselineau.

    (Nous sommes entrés, au moins en Europe, dans une dynamique historique complexe où y interviennent divers processus dont voici à mon sens la liste que j'ai déjà étudié avec vous le long de ce blog:

    -à cette rétrogression historique dont je situe le début, donc, dorénavant, à la seconde moitié du XIX° siècle;

    -s'y rajoute la perte d'identité des populations multifactorielle et sa ré-émergence actuelle par l'apparition synchronique de cette pandémie au COVID-19 conduisant à notre confinement pour cela nécessaire;

    -la levée du brouillard conceptuel qui avait commencé à recouvrir le monde depuis la moitié de années 1980 environ;

    -la disparition progressive de l'économie-monde monétariste par la faillite des monnaies;

    -l'effondrement progressif de l'empire thalassocratique que sont les États-Unis-d'Amérique en un reflet inversée de ce que fut la disparition de l'Union-des-Républiques-Socialistes-Soviétiques en 1991, vous remarquerez que cette dernière disparition fut accompagnée par l'apparition de ce brouillard;

    P1030641.JPG-et, c'est ce qui nous intéresse ici, l'achèvement en cours de la compulsion de répétitivité que je situe, là, de la fin de la guerre de 14/18 jusqu'au début de la guerre froide vers 1950 qui, plutôt que de conflit armé, sauf de faibles intensités dans différentes parties du monde, il s'agit le plus souvent de rapports de forces économiques.

  • De notre perte intellectuelle.

    Une structure politique est naturellement intimement liée à sa société, sauf dans les moments historiques où une puissance supérieurs, le plus souvent impériale et/ou hégémonique, force la-dite société militairement, culturellement, économiquement et/ou par tout autre moyen.

    Une fois ce processus de domination mis en place, l'élite de cette ou ces sociétés perpétue cette domination en influant sa population puisque celle-là se retrouve à subordonner son existence à l'impérium sous lequel elle est elle-même sous le joug.

    L'élite de ces colonies ayant dès lors tendance à suivre les mêmes biais, en positifs ou en négatifs, de celle du pays colonisateur.

    Ainsi avons-nous pu voir émerger dans les années trente à cinquante un ensemble d'intellectuels de très haut niveau provenant des colonies françaises, à l'exemple d'Ho-Chi-Minh et de Félix Éboué, ceci en écho de la vigueur de l'intelligentsia française de l'époque, en un même phénomène de ce qu'il se passait dans lesP1020190.JPG possessions de l'empire britannique.

    Il est d'ailleurs à se demander si ce penchant imitatif ne serait pas l'un des signes annonçant un achèvement de l'action colonisatrice impériale et de sa prochaine disparition, ce à quoi je pense.

    Or il est à remarquer que ce même cas se retrouve aujourd'hui dans les pays européens colonisés par les États-Unis-d'Amérique sous la forme de l'Union-européenne.

    Sauf que contrairement à ce qu'il se passait à cette époque devenant lointaine, nous ne voyons pas se développer une même intelligentsia européenne mais, à l'inverse, prendre place une semblable médiocratie que celle qui a cours chez notre dominateur outre-atlantique.

    Non pas qu'il n'y ai pas de tête pensante de qualité chez nous autres les colonisés, ainsi que chez notre colonisateur, mais bien plutôt que ceux qui sont maintenant honorés à l'aune de leurs créations, ici comme là-bas, ne sont pas de ceux qui font preuve d'une grande inventivité remettant en question les concepts du temps, mais, tout au contraire, suivent et développent avec déférence et obséquiosité les moindres des chimères de l'air du temps.

    P1020165.JPGIl n'est en outre que d'observer qui, aujourd'hui, dirige la France, l'Union-Européenne, Ursula Von Der Leyen, proposée par notre cher Macron (tout y est dit), tout comme il en est de Christine Lagarde, nouvelle dirigeant de la banque centrale européenne, plus étasunienne que vraiment française (nos travailleurs immigrés l'étant infiniment plus qu'elle).

    Quand à nos réels intellectuels, ils se retrouvent dorénavant censurés dans les médiats, hormis de très rares exceptions.

    Cette monté en force de la vulgarité, aussi que de la sottise, facilement compréhensible si nous effectuons la simple comparaison de ces  deux réformateurs impériaux U.S. que sont Roosevelt et Trump, ce dernier infiniment plus intelligent qu'Obama, ne peut qu'être que le révélateur de cette déchéance impériale naturellement accompagnée par celle de ses colonies que sont les pays de l'U.E..

    L'art aussi en est un révélateur primordiale où, là encore, il ne suffit que de ne comparer ce que fut le Jazz des années 40 avec ce que peut être le rap d'aujourd'hui tout comme il en est de la musique classique composée il y a encore 70 ans et celle dite contemporaine manquant de toute structure (non, tout ne vaut pas tout, autre croyance débilitante accompagnant notre époque).

    Ou entre la statuaire en création par ce passé et celle reconnue d'aujourd'hui ressemblant à des bonbons acidulés.

    Quand tout ce qui se fait de qualité est toujours écarté, il en devient ardu de l'apprécier, ainsi a-t-il fallu qu'une chanteuse, Marguerite, et son mari compositeur fassent une chanson sur les gilettistes pour enfin être vraiment connue.P1020779.JPG

    Comme j'ai pu déjà l'expliquer, ce fait n'est que transitoire et sous peu disparaîtra, du-moins en Europe.

    Mais ce qu'il est le plus intéressant c'est d'en définir le soubassement idéologique.

    Je le perçois à trois niveaux intimement liés:

    Le premier concerne le violent conformisme qui fait que la classe sociale supérieur, suivit par une partie de la population, rejette automatiquement toute opinion, quel que soit le domaine évoqué, sortant des fantasmagories, des approches, des hypothèses, des analyses et théories actuellement acceptées.

    Le second, toujours dans le même milieu, fait que ne soit plus considéré comme progrès que les seules créations et fabrications des objets manufacturés, ceci en la fable d'un rejet en rien factuel et, ce, dans le même temps, quelque peu hypocrite.

    Le troisième  qu'il m'a déjà été donné d'évoquer, fait se confondre les causes et les effets et, encore une fois, les-dites classes supérieurs emmènent, en cet P1010725.JPGembrouillamini, une bonne part de la population.

    C'est Charles Sannat qui, dans l'une de ses interventions vidéos, vers 3mn. 36s., m'a fait comprendre, bien malgré lui, ce triple mécanisme où, après qu'il ait donné la définition économique du progrès, m'a fait me lever de mon siège comme un beau diable en disant: " Mais ce n'est pas ça le progrès!" (j'aime bien soliloquer, je me suis un excellant compagnon de conversation, d'ailleurs, là, j'ai failli sursauter de surprise, me retournant et me regardant droit dans les yeux en m'entendant m'exclamer de la sorte).

    De fait, il ne peut y avoir de progrès matériel tant que le psychisme n'a pas atteint lui-même un niveau collectif le lui permettant, ce qui mène à des qualités mentales présentement quelque peu oubliées.

    Un louis XVI dépressif, laissant Marie-Antoinette prendre les manettes du pouvoir (l'une des causes de la réussite de la révolution républicaine de la France) parce que sa fille chérie était  morte en bas âge était plutôt inenvisageable des siècles plus tôt où la vie et la mort étaient considérées comme allant de soi.

    ( Tout du-moins, auparavant, les enfants étaient-ils baptisés dès leur naissance pour que Dieu puisse les reconnaître au Paradis, ce qui, déjà, montrait une avancée conceptuelle par rapport au passé. )

    Ce fut à la même  époque où les révolutionnaires considérèrent que la  guillotineP1020490.JPG était une condamnation à mort plus humaine que d'être roué vif pour vol ou d'écartelé sur place publique, après moult  torture, pour avoir voulu tuer le roi, comme il en fut 142 ans plus tôt lors de l'attentat de 1757 de Damien contre Louis  XV.

    Faire preuve d'humanité envers ses proches et ses semblables est, à mon sens, l'un des effets de ce développement mental, tout comme il en fut de l'inventivité de la première machine à vapeur, le fardier de Cugnot, ou de la première montgolfière des frères Montgolfier en 1782, par exemple.

    Ce furent les réflexions et évolutions humanistes, mathématiques, philosophiques, politiques, artistiques, économiques, technologiques..., du proche moyen-âge à la renaissance, de la renaissance au siècle des lumières, de ces lumières à la révolution, suivit de la révolution industrielle mais aussi scientifique qui complexifia progressivement la sensibilité humaine.

    N'empêchant en rien l'esclavagisme et la colonisation il est vrai, mais nous ne devons surtout pas faire d'anachronisme, ce processus fut lent et nous pouvons même considérer qu'il en fut l'un des effets paradoxal de ce progrès antérieur, n'ayant pris fin que quand la machine à vapeur, l'usage de l'énergie chimique, devint efficace.

    P1020108.JPGCe qui, de même, engendra au XX° siècle deux guerres mondiales en raison des troubles que cela généraient chez nos anciens et ancêtres.

    Et c'est bien cet esprit de progrès qui régressa à la suite de quatre formidables et violents coups de butoirs, ces deux guerres mondiales, la guerre froide angoissante et, enfin, notre domination pleine et entière par un empire devenu vacillant dès le début du XXI° siècle, les États-Unis-d'Amérique, sous l'égide d'une philosophie économique absurde, avilissante et ruineuse, le néolibéralisme, impérium lui-même en une défaillance multifactorielle montrant un affaiblissement constant de cet esprit l'amenant aujourd'hui en un état de décrépitude avancé.

    Défaillance dedans laquelle il nous entraine plus encore dans la mesure où, justement, nous nous retrouvions à être auparavant psychiquement gravement diminués et perturbés, mais aussi parce que nous souffrons aussi de cette même inadaptation sociale au grand nombre d'habitants, la surpopulation, et à un accroissement du nombre de vieillard.

    Ce brusque arrêt graduel de l'évolution du-dit esprit de progrès des nations européennes, débuté dès l'achèvement de la grande guerre, soit il y a un siècle, mène aujourd'hui à un phénomène que j'appelle "une phase historique inachevée" qui fait que, comme son intitulé le montre, les peuples européens n'ont pas accompli leur évolution progressiste, que ce progrès a été stoppé net, en quelques décennies, et qu'une tension croissante à sa reprise est dores et déjà présente.P1010654 - Copie.JPG

    (  Contrairement à ce qu'il peut en être des U.S.A. qui, eux, entrent en un même mécanisme que ce qu'il se passait lors de la disparition de l'empire romain d'occident, soit leur entrée dans une époque semblable de ce qui fut pour nos ancêtres ces deux périodes dites des grandes invasions puis du haut moyen-âge, ne sachant quelle forme cela prendra ni pour combien de temps.   )

    Les russes se retrouvant dès lors à être précurseurs de ce retour au-dit progrès en raison de la disparition de l'U.R.S.S. il y a déjà 37 ans quand, sous le joug de l'Union-Européenne germanico-étasunienne, le reste de l'Europe régresse encore.

    La disparition de notre cher oncle, tonton Sam, aura le même effet sur les populations qu'un ressort qui se détend après qu'il ait été étendu à son maximum, un retour rapide vers ce qui faisait la réelle puissance européenne, l'idée et le goût au progrès, ceci accompagné d'une rétrogression historique  dont je vous avais déjà fait cas, plus les autres processus en cours auxquels je vous avais aussi entretenus.

    Le siècle qui vient sera européen, d'abord français, britannique et italien, les trois peuples qui, dès maintenant, ne sont pas loin de quitter cette union d'une façon ou d'une autre, en tous cas qui n'en veulent plus.

    Bien entendu et c'est devenu traditionnel en ouest-eurasiatique, c'est la Grande-Bretagne qui est la première en cela, elle sera rapidement suivie par la France et l'Italie juste avant que cette construction politique crétine ne s'évanouisse dans le néant.

    P1010804.JPGLa reprise de l'esprit de progrès ne pouvant qu'être accompagnée tout autant d'une très forte natalité, de celui du retour à la terre d'un grand nombre d'agriculteurs, mais aussi, momentané, de celui des structures familiales antérieures.

    Il est toutefois fortement possible que dans certains pays il y ait, peu de temps après la disparition de l'U.E., des massacres populaires de travailleurs provenant de l'immigration.

    Ce ne sont, je vous l'accorde, qu'un ensemble d'hypothèses qui se doivent d'être confirmés par des faits.

     

     

     

    THEURIC

  • La marche du temps!

    En chaque chose et événement se confronte l'important et l'apparence.

    Le premier est ce qui fait signe du futur, le second représente les informations n'ayant juste que l'utilité de l'immédiat, voire simplement l'interprétation erronée d'une situation.

    Nous vivons une période d'accélération constante, non pas tant des péripéties et circonstances en elles-mêmes, mais de l'évolution conjointe des états d'âmes collectifs et des déséquilibres économiques.

    Là se cache le soubassement véritable du dynamisme du monde, là se trouve la réalité humaine d'aujourd'hui.

    De fait, notre développement mental a subit un coup d'arrêt depuis environ soixante-dix ans, ce coup d'arrêt fut général à l'ensemble de l'humanité.

    Ce qui ne nous a pas empêché de déployer une technologie hors commune mesure avec ce qui avait pu se créer aux temps anciens.

    Ce qui n'a pas empêché, non plus, que des peuples prennent leur indépendance, ce qui n'a pas empêché bien des passions, des cris, des larmes et des souffrances, mais quoi qu'il en soit l'humanité est resté tout ce temps figé en lui-même.

    Mais les faits sont têtus: les immenses découvertes que nos aïeux firent avec des moyens dérisoires sont ô combien plus grandioses que celles qui se sont faites depuis les années quarante.

    Ce frein historique aux causes multiples, dont la principale vient de la confrontation d'un Janus fait de deux frères ennemis, deux unions, deux démocraties, populaire et libérale (dont nous étions le centre), l'U.R.S.S. et les U.S.A. qui avait envahi le monde.

    Janus en un rêve édénique du bonheur éternel d'une économie commune pour l'un, une économie libérale pour l'autre: la mise en commun et le particulier, le collectif et l'individuel, deux des traits les plus profonds de la psychologie humaine.

    C'est cette scission psychotique qui prend fin, scission qui, en vrai, avait déjà pris fin depuis 1991 avec la disparition de l'U.R.S.S., les U.S.A. ne survivant que grâce aux crédits dont ils s'étaient pourvu par un dollar devenu valeur de réserve mondiale.

    Nous n'avons eu deux décennies de répit qu'en raison de ce florilège de crédits.

    Et cela s'achève, se termine.

    Demain.

    Demain sera de deux périodes:

    D'abord cette fantastique entrave, en rompant, déversera sa formidable énergie psychique au cœur même de l'esprit des hommes, là sera la résurgence des passions anciennes qui nous entrainèrent, nous, européens, aussi que des japonais se voulant plus Occident qu'Orient, dans deux conflagrations dont le monde ne put que suivre.

    C'est là, en son centre, qu'en trente ans c'est scindé l'humanité.

    Et ce sera, dès lors, d'avant cette double explosion guerrières que nous retrouverons, que nous retrouvons déjà une unité mentale n'empêchant en rien toutes les folies et les affres de la violence.

    C'est ce d'abord là qui me fait craindre le pire du premier temps.

    Et combien ailleurs rêvent tant d'Europe qu'ils en viendraient à en copier les pires de nos défauts passés, les pires de nos dérives?

    Nous pouvons en percevoir les débuts en persistantes tensions dans ce si haut Himalaya, rochers vertigineux aux dédales de vallées dont l'intérêt n'est là que des frustrations passés pour des bouts de roches aux valeurs succinctes.

    En vrai, ce seront les ressources que chacun cherchera pour lui-même, le manque fut de toujours l'énergie de l'action.

    Aussi pourrions-nous voir ressurgir les terribles frénésies dont nos anciens émaillèrent de tant de turpitudes l'histoire européenne si, encore et toujours, se perpétuent, par nombre de chefs de gouvernements d'ici et d'ailleurs, ces actions malencontreuses et parfois pervers qui, déjà, fait s'ébrouer d’excitation les peuples de l'ouest eurasiatique.

    Des plus folles des sociétés, les pires sont celles d'Europe, et déjà son union en agasse les nations, fous et inconscients qu'ils sont, pauvres inconséquents.

    Ensuite.

    Ensuite le génie humain reprendra ses droits et nous nous émanciperons enfin du berceau de l'humanité: la Terre.

    Notre humanité commencera alors son existence d'adulte en une longue existence de voyages et de découvertes.

    N'oubliez pas, l’Éden existe mais seulement pour neuf mois,  après commence, non pas l'enfer, mais la vie, tout bonnement la vie.

     

    THEURIC

     

     

  • La fin d'un haut moyen-âge.

    Il ne s'agit pas là d'une réflexion historique sur une période révolue mais bien de porter notre réflexion sur notre modernité qui, en Europe et dès lors en France, se révèle d'une morbide sottise.

    Certes, cette morbidité ne génère aucun mort, du-moins peu pour l'instant, mais n'en reste-t-elle pas moins destructrice autant de la société que de chaque citoyen.

    Que nous reste-t-il de notre esprit de raison?

    Se devrait d'être la pensée de chacun.

    Ce n'est pas tant que nos anciens étaient des parangons de vertus, ne faisons pas, que diable, d'anachronisme imbécile, mais bien plutôt de ce que cet esprit, quand bien même certains en feraient-ils mention, est continuellement piétiné, bafoué, parfois par les mêmes, sans que cela ne soit, la majorité du temps, compris.

    La qualité génère de la qualité, la médiocrité génère de la médiocrité!P1030021.JPG

    Voilà une maxime qui ne se devrait de justifier aucun consensus, aucune relativisation, se devrait même devenir le credo de tous, amis lecteurs, l’imbécillité ne se devrait définitivement plus faire sa loi!

    Nous vivons donc la fin d'une époque, celle d'un nouveau haut moyen-âge qui, comme il en fut d'antan lors de l'achèvement des grandes invasions, quand l'empire romain d'occident disparu peu de temps  après qu'Ætius eût repoussé Attila en 451, il fallut que nos aïeux traversèrent ces longs siècle avant qu'une époque médiévale n'annonce le renouveau d'une renaissance.

    C'est à cela que j'appelle de mes vœux depuis si longtemps.

    Et les barbares n'étaient pas là d'attendre à nos frontières de déferler sur la Gaule, ne sont pas les descendants des mêmes ayant pris un pouvoir à la force de l'épée, ne sont pas de ceux gouvernant la Francie Occidentale parce que du peuple franc.

    Mais bien aux seins de nos institutions nationales et unionistes, de ceux qui, au nom de croyances obtuses, d’âpreté aux gains, d'un narcissisme dévoyé de se pavaner devant des caméras télés, d'obéissance vaine à des puissances d'argent, de se croire tout puissant parce que détenant un pouvoir, se croient l'alpha et l'oméga du savoir et de la décision quand la réalité montre crûment qu'ils ne sont que l'ombre de ce qu'ils ont l'impression d'être.

    P1020136.JPGLes barbares se trouvent aussi de l'autre coté de l'Atlantique, alors cessons de les copier comme telles des singeries stupides, d’ânonner leur langage en oubliant la richesse du nôtre, de s'en référer, de s'en glorifier, d'en rêver, eux qui n'ont eu que de cesse de nous mettre dans la pire des mouises en voulant de toutes forces à ce que nous perdions notre identité à l'intérieur de l'Union-européenne et nous bassine d'un art aussi dérisoire que médiocre.

    Voulez-vous vraiment crever de pauvreté, sots, les armes à la main, comme il en est du peuple étasunien?

    Alors, en ces temps obscures s'achevant, c'est à nous, le peuple, de relever la tête, de nous instruire, de nous construire, d'apprendre à penser par nous-même, et qu'importe si nous faisons erreur ici ou là du moment où, cette erreur comprise, nous fassions évoluer nos points de vu, que nous en changions si le besoin s'en révèle...

    De développer notre intelligence, d'avoir des avis construits de ce que nous nous sommes instruit, que nous développions les controverses, que les désaccords s'animent, que nous saisissions la nature des contradictions et des paradoxes, que nous apprenions à nous comprendre et savoir ce qui nous anime.

    D'avoir confiance en nous, en nos capacités qui sont immenses, affin d'avoir confiance en l'autre, en notre semblable.P1030264.JPG

    Le temps se termine où la crétinerie faisait sa loi, redevenons-nous même, fiers d'être ce que nous sommes et qu'importe d'où nous, nos anciens ou nos ancêtre viennent, nous ne sommes pas le 51ème état américain, nous sommes européens, certes, mais d'abord et avant tout français!

    Décidons qu'enfin la sottise soit illégitime.

    Retrouvons-nous, comme le coq nous ne chantons jamais mieux que quand nous avons les deux pieds dans la merde.

     

     

    THEURIC

  • Mutation d'élégance.

                    Sans hiver

                  Le printemps

    Ne serait que pauvre mirage

     

     

    L'hiver

     

    Bien que n'ayant que mauvaise réputation,

    L'hiver aussi, à l'instar des autres saisons,

    Offre ses plaisirs en ses justes raisons

    Que je vous propose à vos appréciations :

     

    Marcher dessous la neige lorsqu'elle tombe

    En ce si gracieux et cotonneux silence,

    Qu'aussi lourde sa chute, n'est point de trombe,

    La nuée des flocons se fait d'élégance :

    Virevoltantes infinies d'infimes colombes,

    Craque sous mes pas d'un sol cessant leur danse.

     

    Son froid, autant, s'il n'en vient pas d'exagérer,

    Peut être volupté en vêtures chaudes,

    Dehors, quand chacun traîne et baguenaude,

    Puis, en un chez soi chauffé, s'y revigorer.

                                   ---------------------------------

     

     

        Les ères se suivent

                Pas-à-pas

    Mais ne se ressemblent

     

     

    L'électrochoc

     

    D'aujourd'hui à demain le monde va muter,

    Et quand les convictions viennent s'y fracasser

    Il n'y a pas de besoin de s'en agacer,

    D'angoisser, de le nier et de s'y buter :

     

    De tout temps le présent se fera futur,

    Les lendemains deviendront aussi différents

    Que les passés à l'actuel, par nature.

     

    Lors, lorsque l'incongruité se fait référent,

    l'idée absurde, obtuse : conjoncture,

    Le réel importun et le vrai aberrant,

     

    Il faut prévoir quand revient la réalité,

    Se conjuguant d'avec novations, réformes,

    Découvertes, trouvailles en toutes formes,

    Ce soit l'électrochoc en mentale santé.

                                           -------------------------------------------

     

     

    D'été, de printemps, d'hiver

                   D'automne

        Les femmes sont belles

               Et nous aiment

     

     

    Flagrance d'élégance

     

    Flagrance d'élégance de toutes femmes,

    Même les plus laides cache de leur charme,

    Parfois de peur que les hommes se pâment

    De beautés cachées voilant bien des larmes.

     

    Des éclats juvéniles font, d'âge doublé,

    Grâce et distinction, belle plénitude.

    Chacune en sa saison ne peut que troubler

    L'homme galant, courtois, marque de quiétude.

     

    Souriez, mesdames, nous vous aimons toutes,

    Comme vous, vous aimez de nos charmes virils,

    Parfois discrets, ou patents, présents sans doute,

    Sauf ceux, celles voyant en l'autre sexe péril.

     

    Nous sommes, mâles et femelles, auxiliaires,

    Différents en tout, sauf en intelligence,

    Ceux qui le nient, nièrent, d'un trait rayèrent

    Ce qui fit, d'humanité, notre évidence.

                                               -----------------------------------------

     

     

           Il est d'un temps

               où la bêtise

    Se gargarise de sa laideur

     

     

    Où s'est-elle mise là, Mila ?

     

    Toujours, quand idéologies et religions

    Se retrouvent, le temps passant, faibles, fragiles,

    Par l'amour des plaisirs puérils et du pognon,

    La violence sotte leur devient l'asile.

     

    Devenu puritain en mot et en acte

    Parce que leur croyance n'est plus d'époque,

    Mais aussi de trahir le vrai et l'exact

    De l'ensemble de que cette Foi évoque.

     

    C'est cette double mentalité mentale,

    Entre annonce morale et trahison ,

    Qui fait la fureur quasi viscérale

    Provenant de cette duale déraison :

     

    Si ce credo était servi fidèlement

    Nul besoin de vouloir briser les critiques :

    Le doute ne générerait de blessure

    Puisque pour le croyant n'est pas véridique.

     

    Quand craintes d'incertitudes, d'hésitations

    Se fait jour au cœur de bien des fidèles,

    Une sotte et si terrible exaltation

    Les mène à un feux comme seul modèle :

     

    La frénésie des mots comme des exactions

    En devient d'évidence pour ces âmes troublées

    De se refuser de ce devoir de question,

    Oubliant d'évoluer en œillères affublées.

     

    Mais de ce refus, il est là, toujours présent,

    Agissant dans l'ombre de toutes les pensées,

    Sans que ces personnes, aux dégoûts foisonnants,

    Ne sachent même ce qui peut les y pousser.

     

    Provoquant tous ces heurs, toutes malfaisances,

    Confondant sans fondement dogme et idée :

    Credo devenu termes d'insuffisance

    En un chaos fouillis aux vues invalidées.

     

    Du politique à la spiritualité,

    Quand l'idolâtrie remplace la ferveur,

    Les paroles posées se font d'ambiguïtés

    Menant l'une et l'autre aux défaveurs.

     

    Ce jeu trouble d'une gauche pseudo-gauche,

    D'une droite étant aussi pseudo-droite,

    D'un islamisme en violente débauche

    Et d'intellectuels d'idioties benoîtes

     

    Conduit une ado, exprimant ce qu'elle pense,

    A saper plus tous ces socle non solide,

    Aujourd'hui devenus réellement sans sens,

    Trompés par des porteurs rendus sordides.

                                                 ---------------------------------------

     

     

             C'est l'art qui

    Plus que toute autre chose

        Forge notre humanité

     

     

    L’œuvre d'art

     

    L’œuvre d'art est et sera de toujours

    Infiniment plus que de son créateur

  • Trump, d'empire à colonie, suite...

    Ce texte fait suite à celui précédent au même titre ( trump-d-empire-a-colonie-5877267.html ) où j'y explorais les interrelations de dominant à dominé dans une situation coloniale telle que la nôtre.

    Tous deux furent écrit en commentaire sur le site Businessbourse, me semble-t-il (en vrai, je ne me souviens plus exactement où), le premier fut copié-collé tel quel, le second est remanié afin d'y préciser certaines de mes réflexions.

    Mon approche est simple et prend son point d'appui sur le fait que les États-Unis-d'Amérique se trouvent dans une situation de délabrement telle qu'ils ne peuvent progressivement plus assurer leur domination impériale.

    Ce qu'une partie de l'élite britannique a  fort bien saisi, d'où le référendum de Grande-Bretagne d'un brexit qui fut, à mon sens, la conclusion d'une stratégie discrète étendue sur des années.

    Pour nous, français, ainsi que pour les peuples toujours sous le joug de l'oligarchie impériale U.S., il est d'une extrême importance de saisir en plein notre condition de captivité économique, politique et culturelle qui, à y regarder de près, se révèle être de plusieurs niveaux, pour la France, nous pouvons la percevoir comme d'échelle nationale, européenne, étasunienne et internationale.

    En effet, il s'agit  bien d'un ensemble d'oligarques, plus ou moins en accord, au moins sur l'essentiel, plus ou moins en désaccord de qui s'approprie quoi, mais qui, bon an mal an, ne peuvent pas ne pas se connaître et se reconnaître les uns les autres.

    Pour assoir leur pouvoir, ils surent prendre le contrôle de l'administration européenne, des banques et du flux monétaire communautaire, du pouvoir politique des états ainsi que d'une large majorité des médiats.

    DSC_9562.JPG

    Nous en connaissons tous quelques-uns par leur nom, ad-minima de notre propre nation, tel que Bernard Arnaud et Pierre Gattaz en France, chaque pays ayant les siens, partageant, en Union-Européenne, une perception aristocratique de leur position sociale de domination sur la population et de leurs pleins droit, quasi divin, sur elle ainsi que sur l'économie nationale et européenne.

    C'est bien sur l'oligarchie impériale qu'ils se sont jusqu'à maintenant appuyé pour maintenir cette domination.

    D'où leurs angoisses existentielles, bien compréhensibles, lors de ce brexit et au vu de l'affaissement continuel de l'économie européenne et internationale, ne pouvant que conduire à l'effondrement des trois dimension de la globalisation économique, monétaire et bancaire, commercial, routier, maritime et aérien, et industriel.

    Mais ce n'est pas sur ce sujet que porte le texte qui suit.

    Il porte sur la responsabilité qui, désormais, nous échoit, autant en tant que citoyen électeur que de bientôt ancien colonisé, soit la vision que nous devons porter sur l'impérium américanum ainsi que de sa nouvelle évolution politique et économique (l'élection de Monsieur Trump).

    Il porte aussi sur le degré d'importance que nous devons accorder à cette évolution.

    Pour le reste, soit l'oligarchie nationale et européenne, elle n'a d'importance qu'en raison même de la puissance de celle outre-Atlantique et de l'efficience du monétarisme boursier et spéculatif.

    Que l'un des deux disparaisse, ou mieux encore, que ces deux là se retrouvent anéantis et ils ne pourrons qu'inéluctablement les suivre dans cette déroute.

    C'est pourquoi je ne fait qu'aborder ce thème qu'ici-même et non pas à sa suite.

    PICT0286.JPGIl est illusoire de penser que Trump soit réformateur pour notre propre intérêt, il l'est, soit, mais essentiellement pour celui de son pays.

    C'est pourquoi mon texte précédent montrait la responsabilité qui nous incombe, nous, colonisés, de penser notre position de dominés.

    Il y a historiquement, si je ne fais pas erreur, huit raisons pour lesquelles un peuple se débarrasse d'une domination impériale, et la plupart du temps elles se conjuguent toutes l'une l'autre:

    -L'affaiblissement économique de l'empire dû à l'autophagie de son oligarchie, soit l’absorption, par elle, des richesses de sa population et de celles de ses possessions;

    -L'affaiblissement militaire de l'empire, pour les mêmes raisons;

    -Affaiblissement politique -idem-;

    -Le prix de ces colonies rapportant moins que ce qu'elles ne coûtent-idem-;

    -L'intervention d'une ou de plusieurs puissances montantes-idem-;

    -La décision des colonies de se débarrasser du colonisateur-idem-;

    -Le recentrage du pays colonisateur au sein de ses frontières, dû à son appauvrissement -idem-;

    -Et au pire, déstabilisation du pays colonisateur telle qu'il peut en venir à se désagréger et disparaître et ce, toujours pour les mêmes raisons.

    Ainsi, les États-Unis-d'Amérique sont aujourd'hui dans une situation déplorable, je me suis amusé, ici même, si je puis dire, à reprendre deux chiffres fournis sur Businessbourse, celui du nombre de ses habitants et celui du chômage qui y sévit et ai recalculé le pourcentage de chômeur qui y prévaut, une simple règle de trois suffis ( reflexion-mathematique-sur-le-pourcentage-de-chomeurs-aux-u-5861010.html ).

    D'une population d'un petit peu plus que 324 millions, moins vingt pourcent dePICT0374.JPG personnes n'ayant pas l'âge de travailler, sur 102 millions de chômeurs, j'en suis arrivé à près de 40% de chômage, bien loin des 5% officiels et des 23% officieux annoncés et claironnés par les chroniqueurs et commentateurs économiques.

    La conclusion se fait d'elle-même, ce pays est exsangue et n'est plus en mesure de quoi que ce soit, sauf à de la gesticulation ou de la fuite en avant, d'où la nécessité pour les électeurs étasuniens d'écarter Madame Clinton (j'y reviendrais).

    Une fois cela fait et au vu de cette situation U.S. déplorable tant en tant qu'empire que de  nation, c'est à nous de nous prendre en main, le reste ne nous concernant plus, c'est leur problème, pas le nôtre!

    Sauf à vouloir rester sous le giron étasunien, ce qui, là encore, est un processus historique redondant et naturel.

    Mais c'est là que se situe l'importance de nos aspirations, c'est de cela que nous devons impérativement prendre conscience:

    L'empire U.S. n'est plus que son ombre, presque un cadavre, nous n'avons plus à en suivre les ordres, ni ses modes, ni ses exigences, ni ses multiples vexations dont nous sommes tellement habitués que nous ne les voyons plus, ni même ses rodomontades et ses manipulations multiples et dérisoires.

    Toutefois, trois pièges nous attendent encore.

    -Le premier consisterait à rechercher un nouvel empire de remplacement, ce que firent les anciens pays de l'est sous domination soviétique qui allèrent tout droit, dès que l'U.R.S.S. eût disparu, présenter leurs hommages aux U.S.A. qui les placèrent aussitôt sous la dépendance de  l'U.E.€./O.T.A.N..

    P1000622.JPGCe que nous pouvons dès maintenant percevoir au travers des œillades appuyées de Messieurs Fillon, Junker, Phillippot et de Madame Le Pen, à l'endroit de la Russie poutinienne.

    -Le deuxième serait le délitement du pays, ce que risque l'Allemagne, beaucoup moins la France.

    La très ancienne tradition jacobine de notre pays, de nature régulatrice, empêche en effet que ses populations diverses le composant aient, au fond d'elles-mêmes, une réelle volonté de se diviser.

    En revanche, la Germanie, qui elle s'était déjà désagrégée au XVIII° siècle lorsque le Saint-Empire-Romain-Germanique perdait de sa substance, et il n'eut ensuite besoin, à Napoléon 1er., que de peu d'effort pour faire disparaître définitivement l'Empire de Charles Quint, pourrait facilement disparaître en tant qu'Allemagne unifiée.

    -Le troisième piège serait de vouloir devenir empire à la place de l'empire.

    Ainsi ce même Saint-Empire-Romain-Germanique était devenu tel en référence à l'empire romain qui avait disparu, en remplacement, en quelque sorte.

    Cette tendance pouvant être bien plus dangereuse que les deux précédentes.

     

    Quoi qu'il en soit, par nature, les empires ne peuvent pas durer, ceci étant dû à ce que sa création nécessite l'existence d'une oligarchie, et si elle n'existe pas lors du début du développement impérial, celui-ci la génèrera, du-dedans comme au-dehors de ses frontières.

    Et elle, cette oligarchie impériale, n'existe et se développe que grâce aux richesses qu'elle tire de ses possessions nouvelles provenant de l'expansion coloniale.

    Mais dès que le-dit empire a atteint ses limites en fonction des capacités dePICT0296.JPG déplacement de l'époque, à pied, à cheval, en voiture, en bateau, en avion, la-dite oligarchie, parce qu'elle conserve son dynamisme, son désir, voire son besoin existentiel de domination et de richesse, commence à absorber les avoirs à l'intérieur même de l'empire, ceux de son propre peuple comme ceux des peuples conquis et soumis.

    Cela nécessitant le contrôle hégémonique de la politique, de la puissance publique et, aujourd'hui, des médiats.

    Ce qui conduit également à l'affaiblissement continuelle de ses forces armées, fer de lance de son dynamisme, de leur désorganisation les conduisant à une faiblesse devenant à la fin tragique, face à d'autres forces militaires.

    Là commence le délitement impérial jusqu'à que cela l'affaiblisse à un tel point qu'il finît par disparaître.

     

    Les U.S.A. furent l'empire ultime parce que les moyens de déplacements modernes sont devenus tellement rapide que les étasuniens en ont conquis la planète entière, sous une forme ou une autre, dès la disparition de l'U.R.S.S. (1991) et, ce, pendant dix ans environ, pour ensuite commencer doucement à sombrer dès l'entrée dans le XXI° siècle.

    Là où commença les crises économiques les plus graves (1999/2001), ceci expliquant cela.

    Trump comme Clinton font certes parti de cette oligarchie, le premier à un coté autocratique qui me déplait.

    Hormis cela, quand une personnalité à la volonté de vouloir prendre le pouvoir à 70 ans, c'est qu'il est soit fou, soit sage, la question restant de savoir quelle est réellement la constitution psychologique du nouveau président des E.U.A..

    La seconde, Madame Clinton, paraissant malade, aux agissements plus que douteux, aux malversations paraissant aussi nombreuses que diverses et, surtout, tendant, dans ses discours, à nous mener vers une guerre d'avec la Russie, évidemment désastreuse pour tous, devait absolument être écartée de tout pouvoir de nuisance.

    Mais lui, Monsieur Trump, comme tellement d'autres, ici comme là-bas, ne veulent tant pas voir l'effondrement économique qui vient, qu'ici comme là-bas, lui comme la plupart des responsables politiques et économiques, seront débordés par un tel basculement.

    IMGP0478.JPGEt cet effondrement de la globalisation provient des causes que j'ai montré plus haut, c'est pourquoi tant de pays se désolidarisent du dollar et, pour certains, comme l'Arabie-Séoudite, nous les refourguent en achetant tous ce qui passe à leur porté avec cette monnaie sans valeur que, part ailleurs, ils ne savent plus que faire.

     

    De fait, l'empire n'est déjà plus, c'est cela aussi et même surtout que nous devons penser, le reste ne les concernant qu'eux, les Amériques et les américains, pour nous, tout ce qui concerne leur nation sont leurs problèmes, pas le nôtre.

    Sauf en ce qui intéresse nos relations avec eux, notre décolonisation sur tous les plans, politiques, économiques, culturels, les échanges naturels entre des états matures et indépendants, les débats, nos désaccords, eux aussi naturels.

    Mais, et en cela ce texte peut sembler paradoxal, notre question centrale devrait être désormais: comment faire après la disparition de cet empire, de l'Union-Européenne, de l'euro et de toute une classe politique, journalistique et économique nous dominant et dominée par l'empire, habituée à lui obéir, qui ne comprend déjà plus rien à rien et qui se tiennent tous la main?

    Je me répète, les affaires américaines ne nous concernent plus, d'où les crises d'hystérie de toutes sortes de nos élites et édiles, jouant en interne à notre pays à l'américanisation outrancière, ainsi, pour moi, ces primaires françaises imbéciles ne sont que des crises d'hystéries de notre classe dirigeante éreintée et rien d'autre.

    Là nous échoit notre première responsabilité, soit de ne plus considérer les États-Unis-d'Amérique que comme un pays comme un autre, pas plus ni moins, pouvant disparaître du jour au lendemain.

    Notre deuxième responsabilité est de recouvrer et retrouver notre culture, quand bien même celle-ci sera naturellement coloriée, bigarrée, entremêlée de celle étasunienne, mais faire en sorte qu'elle ne nous étouffe plus sous son offre si facile tout autant, maintenant, qu'affligeante et infantilisante.

    Notre troisième responsabilité se doit d''être, dès à présent, philosophique et historique, parce que avant même de toute mise en œuvre, toute refonte politique, il faut d'abord penser notre position d'ancien dominé, la comprendre, tirer toute la substance de cette expérience collective s'étendant sur plus de 70 ans, voire du siècle.

    Enfin, reprendre en main la vie de notre nation, de notre état, de la politique de notre pays, de notre destin de peuple souverain, de nos frontières, de notre volonté collective, de retrouver et recouvrer notre indépendance se doit de devenir notre quatrième responsabilité, peut-être la plus importante d'entre toutes, parce que c'est cela, la politique souveraine du peuple, qui mène capturées 2006-8-1 00004.JPG les populations, les pays, les nations, les états, vers leur futur.

    Et non pas une quelconque domination de qui que ce soit sur qui que ce soit, pouvant conduire au pires des situations et des mésaventures, les empires en déliquescence furent, sont et seront toujours un danger pour les nations colonisées, leur survie impériale en dépendant.

    Voyez l'histoire proche et lointaine.

     

    Ainsi, quand bien même Monsieur Trump tenterait de réformer son pays de telle façon que celui-ci retrouve sa vigueur d'antan, qu'il le puisse ou n'arriverait à rien, cela ne nous concerne plus en rien, du-moins en tant que peuple dominé.

    Quand bien même Monsieur Trump voulait tenter de faire se per

  • Retour sur mes prévisions.

    L'abeille charpentière ou Xylocope Bleue (Xylocopa Violacea), solitaire.

     

    Mes problèmes familiaux décroissent, ce qui va me permettre, après deux mois d'absence, de vous abreuver de ma prose.

    Je vous remercie de votre patience, et puis nous allons recommencer à nous amuser de faire de l'agitation neuronale...

     

    Cher Juan Branco,

    Comme j'ai déjà pu la faire pour une certaine Tatiana Ventôse, vidéophile de son état, participant à un journal vidéo "Le fil d'actu" et organisatrice d'un nouveau IMGP0107.JPGparti politique avec quelques amis,  je m'adresse à vous en espérant que vous me lisiez.

    Je suis déjà heureux de constater que, désormais, une fois encore, j'ai la preuve de par votre seule présence que se renouvelle autant une intelligentsia qui était devenue neurasthénique que d'une réflexion et d'une position politique qui manquait cruellement : je suis adhérent à l'U.P.R.,   le parti anti-U.E. et anti-oligarchique le plus puissant, mais je sais la nécessité de contrepouvoir dès qu'il aura pris la direction du pays (qui d'autre sinon?).

    J'apprécie votre double travail, celui consistant a redonner une dynamique à un mouvement en une formulation politique intéressante, celui des gilets jaunes, mouvement devenant naturellement poli-forme, et aussi de montrer les mécanismes internes de l'oligarchie française.

    (Il est à relever le retour d'une furia francese qui, que l'on l'apprécie ou qu'on le déplore, fut réveillée par les folle décisions que prirent l'U.E. et les oligarques français, européens et U.S., ce que j'avais vu venir il y a quelques années sans pouvoir en définir la forme gilettiste.)

    Au-delà de cela, mon blog a un double but (tout va par deux en ce moment), montrer que chacun d'entre-nous peut avoir une part de réflexion sur le sujet de son choix et, également et peut-être surtout, de prévenir de l'effondrementabeille.jpg économique en cours, système monétariste qui, à un moment donné que personne ne peut définir, cessera totalement tout fonctionnement et, ce, pour un laps de temps qu'il n'est pas possible de déterminer.

    Je passe rapidement sur les questions que pose l'Union-Européenne et, dès lors, l'Allemagne, des deux choix possibles pour en sortir, par le fameux article cinquante de la pseudo-constitution ou par une sortie sèche en en récusant l'appartenance du pays (je ne me souviens plus du terme exacte).

    (Bien qu'il soit également possible que cette cessation de fonctionnement de l'économie monétariste mondialisé en soit le ferment, quoi qu'il en soit l'un et l'autre surviendront inéluctablement.)

    Que vous en aviez ou non parlé dans votre bouquin, que je n'ai pas lu, peu importe, le principal étant cette énorme pierre que vous apportez à la compréhension des citoyens du fonctionnement interne au plus haut de la pyramide hiérarchique politique et économique de la France.

    Si vous en avez le loisir vous pouvez parcourir les pages de mon blog, étant donné que, quand bien même je traite des événements qui se présentent, je m'essaie aussi d'en dégager un certain nombre d'idées, hypothèses, voire de théories.

    P1010825.JPGEn fait mon blog est comme un puzzle composé de concepts divers dont je serais bien en peine de réunir les morceaux pour en faire un tout cohérent, du-moins pour l'instant, je verrai plus tard.

    Dans ce billet je reviens sur certaines de mes prédictions qui se sont avérées exactes, m'appuyant autant sur mon intuition que sur des développements logiques (intuition qui était incapable de pressentir l'émergence des gilets jaunes, oh la vilaine).

    Vous y trouverez aussi quelques idées telles que: l’Étrange Attraction des Peuples pour leur Inconscient Social, la Composition de Sens et la Structure de Socialité, la Rétrogression Historique, une redéfinition des notions de gauche et de droite sur sa base historique ancienne, celle d'effondrement idéologique et quelques autres.

    Vous y trouverez aussi quelques poésies, une fable et trois séries d'aphorisme de mon cru.

    Dans le billet que j'avais adressé à Tatiana Ventôse je montrais les effets délétères de cet effondrement économique définitif contre quoi nous nous retrouverons et qui, à mon sens, pourrait se montrer aussi meurtrier qu'une guerre ou d'une pandémie de grande envergure, ceci d'échelle mondiale.

    C'est pourquoi je souhaiterais que vous me lisiez, l'écrit m'étant infiniment plus P1020003.JPGfacile que l'oral et, de plus, je crains de ne pas être écouté lors d'une intervention audio ou vidéo en raison de mécanisme psychologique que je n'ai pas encore entièrement démêlé.

    Je ne suis en rien survivaliste, nous ne vivons pas aux U.S.A. où cet catastrophe planétaire se révèlera des plus destructrice, mais vous trouverez dans le billet dédié à Mademoiselle Tatiana quelques conseilles me paraissant de bon sens.

    Pour finir cette longue introduction qui vous est destiné, j'avais, je ne sais plus où là encore, postulé du fait que, dorénavant, l'oligarchie française se trouve scindée en deux entre ceux qui sont pour l'empire U.S. et ceux qui ont plutôt des accointances avec la Germanie, si vous avez quelques réflexions là-dessus vous pouvez laisser en commentaire si oui ou non les choses s'y passent bien ainsi.

    Bien à vous.

    Allez, que je me gonfle un petit peu les chevilles, j'avais prévu de petits événements bien que pour d'autres j'aie pu faire erreur.

    Nous ne pouvons avoir raison sur tout, n'est-ce pas?

    Ces prédictions se fondant sur une réflexion de la dynamique historique en cours à l'époque où j'ai pu les écrire, elles peuvent être parfois relativement précises tout comme elles peuvent ne pas l'être, mais surtout elles sont souvent décalées dans le P1010178.JPGtemps, ce que je me suis tenté d'expliquer en fin de page.

     

    J'avais par exemple expliqué par le passé qu'il était folie que de croire que les partis politiques qui sont pour l'Union-européenne (de gauche à droite: P.C.F. / F.I. / P.S. / U.D.I. / L.R. / R.N. pour l'essentiel), qui dès lors se retrouvent être des alliés de fait des oligarques français, européens et étasuniens, de croire, donc, que de tels partis prendront la sécurité des classes-moyennes intermédiaires à hautes comme leur étant d'une absolue nécessité.

    J'avais aussi démontré que pour les-dits oligarques, qu'importe si les bâtiments des grandes métropoles, là où se trouvent les électeurs de leurs hérauts, que peuvent être Macron ou Hidalgo, s'effondrent ou explosent par le gaz.

    J'avais aussi montré que de mettre en concurrence ou de privatiser un service public, d'autant plus s'il est en réseau et de santé, l'affaiblirait gravement et finirait par le déstabiliser puis par le rendre inopérant.

    Or, ce qui devait arrivé arriva, dans la nuit du Dimanche 14 au Lundi 15 Avril, un immeuble vient d'exploser à Paris en raison d'une fuite de gaz.

    Sachez, Messieurs-Mesdames les parisiens qui ont élu Madame Hidalgo comme maire de la capitale et Monsieur Macron comme Président de la République, que vous êtes tous en grand danger: quel immeuble, demain, à Paris, à Marseille, àP1020020.JPG Toulouse ou ailleurs sera brusquement détruit par explosion en raison d'un manque d'entretien du réseau de gaz?

    Comme j'ai pu l'écrire auparavant, les oligarques, les nababs qui nous dirigent réellement se foutent comme d'une guigne que votre habitation soit détruite à cause de la privatisation de G.D.F. ou pour toute autre raison, quand bien même logeriez-vous dans le 16ème arrondissement.

    Pour eux vous n'êtes qu'un électeur bien obéissant, un client solvable joliment manipulable, un bon toutou qu'il suffit de caresser dans le sens du poil et rien de plus!

     

    J'avais également annoncé que l'église catholique ne pouvait pas être la seule à abriter en son sein des pervers narcissiques et que, bientôt, nous apprendrions la présence de tels perfides personnages en d'autres lieux de pouvoir.

    J'avais écrit ici ceci :

    C'est pourquoi, si une église quelconque, quelle que soit la religion, ne fait pas attention, peut s'y glisser nombre de pervers narcissiques qui y trouveront là bonne figure avec, de plus, des proies à foison chez des fidèles rendus naïfs en raison de la place qu'ils occupent.

    P1020022.JPGC'est à cela que l'église catholique se confronte, mais soyez sûrs que d'autres se cachent en d'autres religions et que des affaires similaires surgiront ailleurs.

    Or et toujours dans le journal W.E.B. Sputnik, que voulez-vous, nos médiats adorent l'Islam mais détestent le christianisme, qu'un muezzin et un Imam furent, au Maroc, à la date du 13 Mars 2019, accusé pour le premier, condamné pour le second, pour détournement de mineur.

    C'est le silence qui fonde leur pouvoir, que ce soit au sein de la famille, dans un parti politique, à l'intérieur d'une religion, ou n'importe où d'autre, je pense qu'un test psychologique suffirait à les débusquer, voire, tout simplement, de repérer leurs actes déviants et perfides s’avérant, avec le temps, de perceptible à visible.

    Étant entendu que certains de ces personnages peuvent manipuler de leurs victimes pour qu'elles agissent à leur place.

     

    En revanche, certaines de ces prédictions ne peuvent en aucun cas prévoir la forme que cela prendra.

    Il en est ainsi de l'empire U.S. duquel j'annonce depuis des années la situation déplorable et sa déliquescence avancée, lui qui n'arrive plus à faire baisser son chômageIMGP0195.JPG structurel composé de 102 million de personnes, Monsieur Trump ne pouvant que limiter cette casse sociale.

    La preuve en est : l'empire ne sait même plus fabriquer ses avions, qu'ils soient civile, ainsi du Boeing 737 M.A.X. 8 qui se révèle d'une si grande dangerosité que partout dans le monde il est interdit de vol.

    Mais aussi militaire, ainsi ce fameux nouveau F35 qui se révèle grandement problématique, si ce n'est pire

    Avion que, part ailleurs, nombre de pays européens achètent à Tonton Sam, ces bons toutous gouvernementaux à la solde unioniste et otanesque ont acquis, vont acquérir pour leur pays un zinc qui, se dit-il, est plus proche du fer à repasser que de l'élégant albatros.

     

    Ainsi avais-je également présagé il y a près de cinq ans le retour du fait politique en un geste, à l'époque, poétique, d'une poésie en prose, dont je reproduis en copier/coller le texte ci-dessous, n'en étant pas mécontent, bien que l'ai légèrement retravaillé.

    IMGP0447.JPGAurais-je pu imaginer, à l'époque, que des gens vêtus d'un simple gilet jaune  en viennent à confirmer ce que je ne percevais à l'époque que par des signes si ténus que seules mon intuition alliée de mon imagination m'avaient permis de le pressentir?

    Bien entendu que non, d'ailleurs il n'y a personne qui aurait pu le deviner, même ceux qui, tous les Samedi, descendent en ce moment dans la rue, auraient traité de fou celui qui en aurait formuler la possibilité du bout des lèvres à l'époque.

     

    Voici venir le temps ou la politique reprend ses droits.

    Ne la croyez pas bardée de certitudes, elle ne se montre ainsi qu'aux benêts, c'est justement en cela que se prouve sa puissance.

    Elle qui fut, pendant près d'un siècle, voire doublement plus, abaissée et meurtrie d'avoir été remplacée par des idéologies ne plaçant que l'économie comme seul vecteur de convictions, reprend une place qui ne lui aurait jamais dû lui être ôtée: celle de la gouvernance.

    Ô certes, nous voyons, ici et ailleurs, se débattre tous ces idéologues, ces songe-creux tenter désespérément de sauver une doctrine moribonde d'un monde qui désormais se refuse à eux: la ruine universelle est à notre porte, pour notre plusP1000637.JPG grand bien, nos plus grandes des difficultés, mais pour leur plus absolu malheur.

    Il est sot de penser que ces misères économique ne concerne que la France, ou l'Allemagne, ou l'Europe et sa pauvre union, non, cette misère s'étend à la Terre entière, s'insinue jusqu'au moindre interstice de la plus infime richesse perdue dans le plus petit des ignorés recoins.

    Comme un monstre blessé à mort, un sanglier sentant sa fin prochaine, un lion d'avant son agonie chargeant une dernière fois ses chasseurs...

    Comme cette étoile titanesque tentant de survivre en brulant en son sein un carbone qui ne fera plus que fer avant qu'elle ne se fasse supernova en une implosion, explosion gargantuesque, en illumination des cieux d'une déflagration dantesque, éclairant de sa mort jusqu'aux confins de l'univers, n'en restant plus, ensuite, que les scories, les restes fumants d'une grosse boule faite de neutrons tournant en toupie folle...

    Comme tout cela, les néolibéraux, les petits et les grands, s'enflent d'aigreur et de violence autant que s'enflent ces monnaies produites ne valant plus pipette d'en avoir tant fait paraître, autant que s'enfle le nombre de ces gens entrant au chômage pareil qu'hier leurs aïeux entraient dans les tranchées pour se faire massacrer sur les sols boueux de cadavres de la Marne, de la Somme, de Verdun.

    P1000646.JPGNos pauvres avares, pauvres fortunés, nos pauvres rapiats, pauvres grippes-sous, ces pauvres fesse-mathieu en sont, de ne demeurer si peu de temps encore maître des monnaies, maître des fortunes, de se croire maître de l'humanité, en sont à vouloir nous confisquer, à tous nous confisquer le pain et le toit, ce pain et ce toit de chacun des humains, sans comprendre que chaque dollar, chaque euro, chaque yen, chaque livre sterling, chaque yuan, chaque billet produit, chaque zéro de plus sur un écran est une pelletée de plus du creusement du trou de leur tombe, que chaque usine fermée forge leur cercueil.

    Ils luttent à mort contre la simple réalité de leur prochaine ruine, c'est elle qui déjà les tue, les détruit, les submerge, c'est contre elle qu'ils ruent, contre elle qu'ils se révoltent, aidés en cela par toutes ces petites mains ne voulant que donner le saint baisé à la bague d'abondante gloutonnerie que porte ces nababs, en pâle imitation des catholiques embrassant pieusement l'anneau papal du pêcheur.

    Lutte entre l'apparence et le concret, entre le m'a-tu-vu et l'existant, entre le paraître et l'être, l'Être, entre la beauté de façade et la simple élégance, entre la simpliste évidence et la complexe complexité comprise, entre l'illusoire et le réel, entre l'ostentatoire infamie de la béance narcissique d'un ego boursouffléP1000770 - Copie.JPG et la discrète splendeur de l'intime lumineux.

    Lutte, surtout, entre l'individu toujours et à jamais humain, si humain, du pire au meilleurs, se sachant à jamais différent de l'autre si différent de lui, et le rêve fou, délirant, aliéné des adeptes et apôtres de ce néolibéralisme des marchés et fonds de tous types rêvant de rendre chaque semblable semblable à son semblable, clones universels n'achetant jusqu'à plus soif que du tout et n'importe quoi, du moment qu'il achète en pauvre marionnette et robot.

    Lutte enfin de chacun contre chacun en une concurrence devenue rance à force de rendre ennemi le moindre des voisins, tous partagés entre pigeons, loups et hyènes, en un jeu fait de mensonges et de triches ou il ne s'agit pas de vendre de la qualité à son juste prix mais de faire croire le médiocre de qualité pour le vendre au-delà du plus cher, de ne plus vendre que du médiocre à force de ne vouloir fabriquer qu'aux prix les plus bas, les plus vils.

    Cette lutte paraissant prendre fin dans cet espace semblant ouvert d'une planète sans frontière ou une économie reine s’annihile, en vrai, du mirage de tous ses simulacres et affole de son affaiblissement, de sa prochaine chute, tous les prétendants à sa dote ultime et ridicule: le commandement du monde par la richesse absolue et suprême.

    P1000813.JPGCe monde sans temps, sans passé, sans présent, sans futur, aux commémorations vides de sens, où seul l'achat, la vente et le P.I.B. font réels débats, gouverné d'une ploutocratie mondiale, invisible et voilé, alliée, d'un bord, d'une myriade de commerciaux besogneux et soumis, de l'autre, de gouvernances, élues ou pas, et journalistes chroniqueurs complices de ce monde, oui, ce monde, dis-je, qui se brise sous les coups vigoureux de leur propres manquements, leur propres forfaitures.

  • Du mensonge, de nos élus et des médiats.

    Prologue:

    Ici je vais effectuer une critique de ceux qui nous gouvernent et de ceux qui leur font propagande, les journalistes officiels aux émoluments parait-il gracieux.

    Cette critique s'établit sur une mise en garde: il n'est pas possible de mentir à longueur de temps, tout en sachant que ce qui est raconté est faux, ou ad minima d'une réalité dévoyée, sans que les personnes qui agissent de la sorte ne deviennent mensonge eux-mêmes.

    Or, vue que de dire un mensonge, surtout si c'est sur ordre, rend soi-même mensonge, cela ne peut que générer le sentiment profond, donc inconscient, de sa non existence.

     

    Ne soyons pas puritain, le mensonge nous est consubstantiel à nous autres êtresP1030656.JPG humains, mais, du-moins, il n'est, le plus souvent, qu'employé que par instants brefs, que ce soit pour résoudre des affaires importantes ou non, pour éviter un choc émotionnel trop violent pour son vis-à-vis, pour ne pas se faire disputer, pour se montrer d'une plus grande valeur que de celle dont nous sommes dotés, face à un danger par exemple...

    Le mensonge est donc bien de notre nature.

    Mais vous remarquerez que nous ne l'utilisons, le plus souvent, que de manière fugace, transitoire et, qu'avec la temps, nous apprenons qu'il nous faut éviter de mentir continuellement, que de proférer un mensonge trop gros peut facilement être démasqué, soit parce que des faits en viennent à le contredire, soit parce que nous-même en arrivons, plus tard, à affirmer le contraire de ce que nous disions préalablement.

    Mais ce qui nous préoccupe aujourd'hui c'est cette spécificité de notre modernité faisant du mensonge pur une façon de gouverner les pays tout comme l'union et, ce, produit au sein d'une minorité sociale, politique et journalistique, sans qu'une puissante idéologie tautologique mais fragile, telles de celles qui traversèrent le XX° siècle, nécessitant qu'il faille à l'époque la préserver de l'idéologie contraire.

    P1030030.JPGCe fut la triple lutte entre le communisme, le capitalisme et la sociale-démocratie.

    Rien ne le nécessiterait donc maintenant, sauf que la seule qui reste actuellement est diablement plus fragile que ces trois  antérieures.

    Il ne s'agit donc pas ici de ce mensonge dont le but serait de protéger sa vie ou celle d'un proche, de cacher une faute quelconque, voire même de tenter de se justifier d'une action maladroite ou mauvaise, il ne s'agit de rien de tout cela.

    Ce besoin de mentir ne provient que de permettre à une infime minorité sociale, celle dite oligarchique, de s'enrichir toujours plus et de faire perdurer une union utopique, ultra & néolibérale, l'Union-européenne, leur tiroir-caisse, que tout le monde sait aux malfonctions majeures, aux portes de son démembrement et, oserais-je le dire sans risquer des problèmes, de structure totalement totalitaire.

    Certes, ceux qui déversent continuellement ainsi cette énorme masse informe de tromperies en profitent par les émoluments officiels et peut-être officieux, qu'ils peuvent percevoir, tout autant que d'avoir le sentiment d'une position sociale avantageuse (quel pouvoir a aujourd'hui l'Assemblée  Nationale et le sénat sinon aucun), mais ont-ils médité des dangers qu'ils font courir à leur mental?

    Si à longueur de temps quelqu'un d'une bonne santé psychologique en vient à proférer dans les médiats, sans réelle et aucune raison valables, continuellement, deP1030829.JPG ces hâbleries dont nous sommes abreuvés, en sachant fort et for bien que ceux-ci ne reflètent en rien la réalité, il est à craindre qu'à force il ne vienne à en développer des troubles psychiques gravissimes.

    Tous savent mais cachent en effet que la France est appauvrit toujours plus, jour après jour, à cause de l'UE€, il ne suffit pour cela que regarder l'historique de l'économie française.

    Tous savent mais cachent que les retraites à point, demandée expressément par l'Union-européenne, ne sont là que pour que des fonds spéculatifs, comme le Blackrock US, puisse accaparer une part des retraites des français.

    Tous savent mais cachent que la population a entièrement raison de faire grève sur ce sujet puisque tous les pays qui les ont mises au point voient les retraites de leurs vieux baisser.

    Tous savent mais cachent que la police s'est conduite envers la population provinciale des gilettistes d'une manière similaire à celle d'autres pays telle que la Chine à Hong Kong, qu'ils critiquent hypocritement en plus.

    Tous savent et cachent qu'ils trahissent allègrement, continuellement, leur mandat électif pour les uns, leur  éthique professionnelle principielle pour les autres.

    P1030481.JPGMais aucun ne vient à se demander si, par hasard, leur façon de se conduire ainsi n'aurait pas sur eux des effets psychologiques néfastes, hormis en ce qui concerne, bien sûr, les pervers narcissiques en place, déjà psychiquement détruits par leur maladie.

    Ceci d'autant plus qu'ils se savent parfaitement responsables de la situation actuelle: qui d'entre-eux a-t-il réagi quand Junker avait dit "qu'il ne pouvait y avoir de choix démocratique contre les traités européens"?

    Aucun.

    Certes, les élus du REM, les radioéléments, sont pour la plupart d'une naïveté affligeante, comme beaucoup de ceux des classes-moyennes hautes à supérieures dont ils sont issus, ils se disent, ils nous  disent s'ennuyer, de ne servir à rien dans l'hémicycle, sans comprendre qu'en effet ils sont inutiles puisque les décisions se prennent toutes, ou presque, à Bruxelles.

    Mais les autres, tous les autres, tout comme les journalistes dont nous pouvons admirer la trombine télévisuelle soir et matin depuis parfois des décennies, ainsi que ceux élus pour la majorité depuis longtemps, qui font tout pour ne surtout pas nous parler de l'union, sauf à en dire qu'il faudrait la réformer, ce qui est, je le redis, impossible, sont responsables en première instance de la situation déplorable deP1030354.JPG notre pays.

    Et il n'est pas possible, sauf à ce qu'ils soient des malades mentaux qui en jouissent, qu'ils n'en culpabilisent pas en leur fond intérieur.

    Plus encore, ils ne peuvent, dans leur vie du tous les jours, que de continuer de mentir éhontément pour un rien, par habitude, par réflexe conditionné, ce qui ne peut que rendre leur existence déplorable, personne n'ayant plus confiance en eux, même leur conjoint, quand bien même vivraient-ils dans l'entre-soi d'un certain confort, qui dans  ces couples malgracieux aurait confiance véritablement en l'autre?

    Qui, dans les rédactions ou dans les enceintes des assemblées délibératives à confiance en son voisin du même journal, même chaîne télé, même parti politique que lui?

    Qui, parmi eux, n'a pas développé une tendance paranoïde, voire carrément paranoïaque?

    Mais pire encore, par survie psychique ils ne peuvent qu'en venir à se mentir à eux-mêmes en refoulant la réalité, même, par extension, celle se présentant dans la vie quotidienne.

    PICT0264.JPGPhénomène d'autant plus dangereux qu'il est collectif.

    Là se trouve ce brouillard conceptuel dedans lequel je fus plongé également, je sais donc parfaitement de quoi je cause.

    Certains me lisent et vont donc comprendre dans quoi ils sont plongés, toutefois il faut du temps pour que de ce brouillard une brume moins dense ne le remplace, puis que la réalité pointe comme le soleil perce lentement, progressivement cette grisaille nébuleuse.

    Pour le peuple provincial aussi, au contraire de ce qu'il se passe pour beaucoup des classes sociales les plus hautes et de ceux sus-nommés, cette dure réalité paraît en raison du vide du porte-monnaie, et il n'est plus que le réchauffement climatique anthropogénique qui, encore un peu, leur voile, de moins en moins, la véracité de l'euro sous l'égide de l'Union-Européenne germano-étasunienne.

    Notre gouvernement, notre président et nos élus des chambres délibératives, les journalistes-chroniqueurs et autres experts de pacotille ne nous servant plus à rien qu'à mettre en place les petits caprices européistes sous les conseils malavisés, gonflés d'égoïsme, des oligarchies mondialistes.

    Il leur fut commandé de dire changement climatique à la place de réchauffement climatique, qu'à cela ne tienne, ils répètent tous changement climatique à la placeP1020644.JPG du mot réchauffement, ils ne savent pas pourquoi, ni ne comprennent d'où cela provient, mais qu'importe, s'il leur était demandé d'affirmer que le ciel est violet avec  des petites fleurs roses, ils diraient que nos cieux d'une belle couleur violettes sont joliment décoré.

    Certains en feraient même des poèmes et des chansons.

    Il est à remarquer que ce sont les écolos et les féministes extrémistes qui se retrouvent à avoir leur cervelle la plus rongée par ces tromperies et que, tout de même, les médiats papier font preuve d'un petit peu plus d'honnêteté que de ceux radios et télés.

    Ainsi, si s'accroit la proportion de gens qui ont retrouvé leur état normal par la contrainte de leur appauvrissement et ont recouvré leur identité en chassant de leur esprit, non encore totalement, les fantasmatiques histoires abracadabrantesques dedans lesquelles nous baignâmes pendant tant de décennies;

    Les propagandistes de ces foutaises du-moins, eux et ceux qui les écoutent encore, continuent de s'enfoncer dans ce monde imaginaire d'où leurs certitudes se font l'inverse de ce que peut être que la réalité.

    Ce monde imaginaire, digne de celui du pays du Jamais-Jamais d'un Peter Pan infantile, mêlant angoisses  archétypales et impression d'une éternelle perfection, étant conforté, de plus, par cette sensation inconsciente mais puissante de non existence qu'il vient remplacer.

    De ce vide mental, cosmique, qui en vient à accroitre P1030485.JPGautant le délitement de leur pensée structurée que de leur identité propre, puisque les informations qu'ils perçoivent montrant le réel est l'exacte inverse de ce qu'ils racontent eux-mêmes et, ce, sans qu'ils en aient de véritable intérêt, sauf d'être acheté d'un petit peu d'argent  autant que de pouvoir, ce qu'ils savent également.

    Leur faisant perdre, pour certain définitivement, leur intelligence naturelle, leur potentiel, c'est pourquoi il y eut des ministres qui montrèrent à la face du monde qu'ils ne connaissent même pas les mathématiques les plus basiques, la règle de trois.

    Désormais, depuis le début de la révolte des gilettistes, le nombre de gens qui croient en ce qu'ils racontent se réduit, tous médiats et partis politiques officiels confondus.

    Jusqu'aux dites classes-moyennes hautes à supérieures qui en viennent, elles aussi, à s'appauvrir, ainsi se réduit doucement le nombre de ceux qui se fient encore à ces foutaises conceptuelles.

    Ainsi, à un moment donné, peut-être pas si lointain, elles ne seront plus considérées historiquement que comme le reflet d'une époque.

    Et  nous ne sommes pas loin de ce jour où, de ces journalistes en vue grassement payé déblatérant n'importe quoi sur ordre et de nos  élus nous contant de belles mais fausses P1030245.JPGvérités, plus personne n'en écoutera les sornettes.

    Que de ce principe de plaisir dedans lequel ils s'enfoncent encore, viendra en remplacement le principe de réalité qui les réveillera violemment.

    Peut-être en se retrouvant à ce moment là à devoir faire face à la colère du peuple, de ce mot devoir dont ils ont oubliés le sens et, ce, jusqu'à la moindre lettre.

  • Les choses de l'esprit: de la sottise en héritage.

    Il est bien de rechercher les causes premières antérieures aux difficultés que nous pouvons rencontrer.

    Ainsi, la sottise tant de nos élites politiques, économiques qu'intellectuelles et artistiques, bien que n'étant pas totale, loin de là, n'en est pas moins majoritaire, ceci d'autant plus que c'est cette majorité qui détient la direction politique,  économique, intellectuelle et artistique de la France.

    De plus, ce processus ne concerne pas seulement notre petit hexagone mais quasiment toute l'Europe mais de manière moindre, sauf à quelques exceptions près la Russie, la Suisse, plus un ou deux pays nordiques et quelques-uns des anciens de l'est qui réagirent avec infiniment plus d'efficacité.

    Et c'est bien l'ouest européen qui en est le plus atteint, d'autant plus, d'une façon caricaturale, la France.

    Mais d'où se tirerait donc l'origine de cet abêtissement d'une partie non restreinte deP1030018.JPG ce qui devrait être la fine fleur de la nation?

    D'une question existentielle qu'il se posait dès la sortie de la seconde guerre mondiale et qui, ne recevant de réponse concrète jusqu'à aujourd'hui, réponse formulée maintenant par Emmanuel Todd*, en est venu à pervertir l'intelligence des plus hautes classes sociales: "Comment se fait-il que l'un des peuples le plus civilisé au monde (l'Allemagne) en ait pu en arriver à de telles atrocité (les exterminations massives)?"

    *( La réponde de Mr. Todd  étant qu'il y a un moment de rupture culturelle pouvant s'exprimer violemment dès lors que la religiosité d'un peuple descend en-dessous d'un certain seuil, ce qui était le cas pour les français de la grande région parisienne au XVIII° siècle et pour la Germanie du début du XX°. )

    De cette sottise collégiale, que, jusqu'à présent, je ne faisais qu'intuitivement supposer, je peux, dorénavant, la démontrer au sujet de notre oligarchie strato-financière et de notre gouvernement.

    Etant entendu qu'une démonstration ne peut en rien être une preuve directe, toutefois celle-ci permet-elle d'avancer des pistes de recherche, ici historique, en psychologie des groupes et anthropologique.

    Alors, quelle est cette réflexion me permettant de faire une telle démonstration?

    Elle m'est venue cette nuit où, me réveillant, m'est venu cette idée: nos oligarques n'avaient et n'ont aucun intérêt à empêcher le traitement, d'hydroxychloroquine doublé de l'azithromycine proposé par de Professeur Raoult pour lutter contre le P1030256.JPGSRAS-COV-2 et de soutenir mordicus sa dangerosité, ce qui est le mensonge d'état le plus  incroyable de notre modernité, tout cela via le gouvernement, les médiats et les institutions de recherche médicale, empêchant les médecins d'effectuer tant des tests de la population que ce traitement pour la soigner.

    Ceci en l'attente de l'évaluation de l'efficacité du remdésivir du laboratoire étasunien Gilead qui se révélera totalement déficient.

    Dont personne ou presque en France n'aurait pu tirer, quoi qu'il en soit, de quelconque bénéfice, là se trouve la folie de cette histoire et ma base réflexive.

    Tout cela en une forfaiture de première importance qui n'a servi que de faire monter une incroyable colère populaire.

    Or, hormis quelques-uns d'entre-eux qui auraient eu un petit peu d'actions dudit laboratoire, pourquoi donc leur faut-il refuser par tout les moyens, tant du fait du gouvernement aux ordres oligarchiques que de celui des médiats, que les français soient soignés de cette façon?

    Il n'y en a aucune raison probante.

    Qu'ils se retrouvent dès lors contraints de nous cloîtrer chez-nous, menant alors le pays à d'ahurissantes complications économique pouvant mener à une crise d'une telle violence que cela pourrait bien nous conduire, effectivement, à la disparition de l'euro, détruisant de là même l'Union-européenne (ce dont même Georges Sorros s’inquiète), tout autant que de leur fortune d'ailleurs.

    Nous menant de plus à une crise économique d'une telle violence que nous risquerions de nous retrouver à faire face à cette disette et famine que nous ne connaissions plus depuis près de deux siècles.P1030166.JPG

    Claustration déstabilisant jusqu'à l'Allemagne.

    Dès lors que nous prenons en compte cette question évoquée plus haut, toutes les affirmations dérisoires, les empêchements scientifiques, intellectuels, philosophiques, les errances politiques, économiques, artistiques deviennent compréhensible par ce simple fait qu'en réponse à celle-ci, fut formulé inconsciemment ce qui suit:

    " Puisque d'être détenteur d'une haute culture, d'un tel degrés de civilisation, mène aux atrocités de l'Allemagne nazi (ce qui, nous l'avons vu, est faux), alors pour être civilisé il faut ne pas être cultivé et donc de devenir de parfais imbéciles en redevenant des sauvages."

    Dès lors que ce paradoxe conceptuel s'est mis progressivement en place, gravement accentué par notre imprégnation de la basse culture de l'empire US, notre colonisateur, alors tout le reste  des imbécillités de notre époque, dont je n'ai eu de cesse que d'en donner des exemples, en découle.

    La perte d'identité des classes sociales les plus hautes venant accentuer d'autant cette situation déjà calamiteuse, peut-être même l'une se déduisant de l'autre.

    Là où la pandémie actuelle est révélatrice, bien plus qu'il pourrait en être de toutes autres billevesées et autres sornettes hypothétiques si nombreuses qui sont exprimées, ce révélateur, donc, se comptabiliserait, donc, au taux de mort qui, dans chaque pays du monde, mais surtout dans ceux occidentaux, s'égrainent en raison P1020047.JPGde cette maladie au vilain virus, c'est le niveau de perte civilisationnelle, culturelle, d'humanisme, d'intelligence, donc, des élites de chacun d'entre-eux que cela révélerait.

    Ce manque d'humanité que démontre le docteur Gérard Delépine lors de son intervention dans le site vidéo Putsch Live: "Le confinement répond à un désir d'humilier la population".

    En cela, cette avanie collective est, à mon sens, le marqueur le plus fiable de l'affaiblissement tant de la pensée, de la raison, des connaissances, de la perception temporelle, tant historique que du futur, et, dès lors, d'intelligence, d'humanité, de leur identité et de leur détermination d'Être de cette majorité des élites des nations où le plus de décès dû au COVID-19 est à déploré.

    Bien qu'il se doit toutefois de relativiser cette vision, puisque certains de nos voisins, le gouvernement italien surtout, surent réagir avec cette humanité et cette vigueur, sans fausse honte, contrairement à ce qu'il peut en être de notre gouvernement, en appelant à l'aide tous les états en capacité d'aider le peuple, Chine, Russie, Cuba, Egypte..., contrairement de ce qu'il en fut pour ceux de l'Union-Européenne dont les italiens ne reçurent nulle réponse à leurs SOS, quand bien même au début de cette crise sanitaire celui-ci commença par de mêmes erreurs que nos macronistes-philippards de tous poils.

    Reconnaître ses erreurs, ainsi que le fit le gouvernement britannique qui, après s'être rendu compte que son service médical ne pouvait absorber le choc du nombre de malades, se retrouva devant confiner, lui aussi, sa population, mais en le lui annonçant sans lui mentir des raisons, sans prendre les britanniques pour desP1030447.JPG enfants, est, pour moi, l'une des preuves, sinon la preuve la plus éblouissante, que cet esprit de raison que nous a légué nos anciens n'est en rien laissé lettre morte.

    C'est pourquoi je dis et affirme résolument que là où sévit le plus important abrutissement au plus haut de la hiérarchie sociale c'est aux Etats-Unis-d'Amérique, en France et peut-être même en Espagne.

    Aux USA, justement, où il est loisir d'y observer, via les vidéos, des événements plus que curieux, le particulier prenant sa voiture, parfois de bonne facture, pour aller chercher de quoi se nourrir..., montrant la situation désespérante de ce pays (je conseillerais à ceux de nos compatriotes qui y sont expatriés de revenir en France au plus vite si possible).

    C'est à nous, gens du commun, désormais, aidés en cela par ceux qui, du plus haut de cette hiérarchie sociale, ne souffrent que de peu ou pas de cet abêtissement, qu'il nous revient de recouvrer cette flamme faite d'humanité et du plaisir de la curiosité, de la découverte et du savoir qui manque tant à la tête de notre état.

     

     

    THEURIC       

    P1010503 - Copie.JPGPS: Une ridicule tentative de putsch  eut lieu à l'UPR en l'essai de renverser François Asselineau.

    Je m'attendais à quelque chose de cette sorte mais ne m'en avais pas exprimé, pensant que son président en avait pris les devants.

    De fait, en une façon de leçon salvatrice, il vaut mieux que cela survienne maintenant plutôt que dès lors que ce parti politique atteigne un niveau de popularité plus important qui lui permettra de prendre le pouvoir.

    Cette tentative fleure bon le pervers narcissique, tant de son culot, de la stupidité de sa mise en oeuvre, de la manière avec laquelle certains cadres de ce parti furent manipulés que de sa non prise en compte de la force de caractère de son président.

    Il est à considérer, comme me confortant dans cette appréciation, que les accusations proférées par le fomenteur de ce complot soient à l'image de sa propre conduite, ceci conté par Fabien Sémat, qui en est cadre, justement, en ces deux mêmes vidéos, la plus courte, la plus longue.

     

    PS2: Une odeur de souffre fut sentie à Paris et sa banlieue le 10 Mai, soit à la date anniversaire du début de déclenchement de l'offensive allemande sur la France en 1940, qui conduisit, après cette défaite française, à ce que le gouvernement de Pétain fut mis en place à Vichy, inféodé à l'Allemagne hitlérienne.

    Qui survint la veille aussi du début du commencement du déconfinement de laP1030280.JPG population.

    Le souffre représentant le diable dans l'iconographie de l'époque médiévale, également que l'expression "sentir le souffre" renvoie autant à une situation semblant prendre mauvaise tournure que d'une personne dont on ne peut pas avoir confiance.

    De part cette triple symbolique, ce phénomène ne peut pas être anodin et ne peut qu'exprimer, à mon sens, soit une mise en garde d'une catastrophe quelconque, soit l'annonce de difficultés avenir pour des franciliens, soit un événement important survenant en Île-de-France, soit un chamboulement rapide, pourquoi pas politique, soit un mixe complexe de ces quatre éventualités.

  • Billet d'une heure: la logique en lutte contre l'angoisse.

    Guêpe commune, que je vous avais déjà présenté sur une autre photo.

    Je suis particulièrement fière de l'avoir prise en plein vol, quand bien même cela ne fut dû qu'au seul hasard ou au plaisir de l'animal de poser pour moi, sans que je ne le lui aie demandé, au demeurant.

    Bonjour tout le monde,

    En fait d'une heure, ce billet m'en a pris trois à écrire...

    De la rétrogression historique:

    Je les apprécie ces jeunes qui, utilisant un outil, l'informatique, qui me reste pour parti abscons, ceci via internet, retrouvent les allants politiques de cette époque lointaine des débuts de la troisième république.

    Ainsi, sur ce qui se fait appeler la toile, le royalisme recommence à s'y faire un débat ayant sa cohérence.

    Mais aussi les libéraux économiques nous y montrant qu'ils redécouvrent la valeur des frontières, bien que ceux-là ne soient pas tous  de la toute première jeunesseP1050989.JPG, loin de là, à l'exemple de Charles Gave.

    Le site de ce Monsieur, jeunot (je le taquine) au pseudonyme d'Akina, du A entouré d'un cercle, symbole de l'anarchie, à la vision censée au sujet de la gestion gouvernementale passée comme présente de la pandémie au SRAS-COV2, expose ce retour d'un anarchisme autant militant qu'intelligent qui avait disparu de la scène en même temps que Georges Brassens, quand il s'en alla en son long repos sur les hauteurs de la plage de Sète.

    Et nous avons tout autant l'émergence de ce mouvement républicain rude, voire pouvant être dure, d'une probité absolue, de ce républicanisme patriote dont George Clemenceau fut la figure de proue et que, quand bien même en pousseraient-ils de hauts cris, Tatiana Ventôse et ses confrères du Fil d'Actu retrouvent progressivement toutes les marques, jusqu'à ces nécessités frontalières auxquelles ils ne pourrons, un jour ou l'autre, que concevoir.

    Ne nous reste plus qu'à percevoir qui, dans cette recomposition politique rétrogressive, représentera la mouvance d'un socialisme vrai et humaniste dont les détenteurs du nom sont, aujourd'hui, les traîtres déclaré de ce que fut un Jaurès qu'ils honorent, de cette hypocrisie que le vice rend à la vertus, à l'exemple caricatural d'un François Hollande bouffi de sa suffisance.

    P1060261.JPGAinsi cette rétrogression historique, en France, poursuit sa route.

     

    Covid, angoisses et violences:

    Ce que j'ai pu le plus apprécier chez Akina (bien que peu s'en faut qu'à la suite il puisse m'agacer) fut d'observer que les messages gouvernementaux au sujet du vilain virus, qui n'en fini pas de s'affaiblir, nous en verrons plus tard la suite.

    Ce que j'ai pu le plus apprécier, dis-je, chez-lui, ce fut de montrer que lesdits messages gouvernementaux là-dessus sont continuellement contradictoires,ce qui mène la population à subir des doubles contraintes continuelles.

    Or, il s'agit là d'une torture ( je pèse mes mots) psychologique d'une violence première: le cerveau humain ayant les plus grandes difficultés à gérer de telles injonctions paradoxales, cela ne peut que rendre psychiquement malade un nombre très important de français.

    D'où l'angoisse des franciliens lorsqu'un avion, dépassant le mur du son, avait émis ce bang caractéristique, pensant qu'il s'agissait d'un attentat ou d'un grave accident industriel (moi-même, en région parisienne Mercredi, entendant ce bruit, ne pensait pas qu'il pût y être ainsi question du son émis par un aéroplane volant à grande vitesse).

    Les violences gratuites en accroissement, ayant surtout lieu dans les grandes métropoles, dont nous entendons parler de manière récurrente, ne peuvent que venir de là, ceci suivant nos trois longs mois de confinement qui, déjà, fut grandement perturbateur.P1060033.JPG

    Ce fait est l'une des perfidies de notre gouvernement, il est à noter que les pervers narcissique usent et abusent, eux aussi, de tels expédiant.

     

    Une débilité de plus: le grand reset.

    Nous entendons nombre d'économistes parler de ce fameux grand reset, soit la remise à zéro de l'économie mondiale.

    Si vous écoutez ce Monsieur parlant (de chez lui) depuis le site Planète 360, vous comprendrez que le sujet consiste, pour nos grands financiers internationaux, de prendre le contrôle des monnaies mondiales pour tenter de sauver leur fortune.

    Ce truc de ces bons messieurs et bonnes femmes de l'oligarchie mondialisée est d'une absurdité sans borne, ceci pour une simple raison: la monnaie n'est pas l'économie à elle seule, mais permet, par son existence, à ce qu'une économie pérenne se développe, soit la croissance des usines, fabriques, cultures agricoles et exploitation  minières en des frontières semi-poreuses pays par pays.

    Ce fantasme des gens de Davos, s'ils le mettaient en place, ne faisant qu'accélérer la désindustrialisation en cours, ne les mèneraient qu'à une ruine plus rapide.

    A croire qu'à son époque Monsieur Brassens, au-delà des décennies, leur avait dès l'abord adressé cette chanson.

     

    P1050505.JPGLes USA ruinés, notre état voudrait que nous leur ressemblions:

    Il est de fait que les Etats-Unis-d'Amérique sont dans une situation économiquement catastrophique.

    Ceci est compréhensible, ils ont commencé leur désindustrialisation dix à quinze ans avant nous, soit dans les années cinquante à soixante.

    Que ce soit, en France, non pas toutes, il est vrai et heureusement, des sommités économiques du pays, de sa haute administration et de sa classe politique siégeant au gouvernement, dans les chambres délibératives et à certains postes électifs des grandes villes, départements et régions, il est loisir d'observer que, sûrement inconsciemment, ils agissent de manière à ce que notre nation puisse rattraper l'empire US dans son délabrement.

    Ainsi voyons-nous le macronisme niaiseux vendre, presque aux moins offrants, nos dernières entreprises, nos derniers fleurons, tout en menant une politique sanitaire telle qu'un nombre important de PME/PMI ne peuvent que fermer, mises, par leur gesticulations et inactions gouvernementales, en faillite.

    Conduisant inéluctablement à ce que la pauvreté y augmente de manière spectaculaire.

    Différentes raisons, cela est à concevoir, ne peuvent qu'être également soulevées pour comprendre la nature du résonnement conscient et inconscient en jeu chez tous ces ribouldingues, en plus de celui montré plus haut, ceci en une liste à la Prévert:

    1) De croire que c'est la même politique néolibérale, menée pendant des décennies, qui nous a conduit à ce fiasco funeste, qui pourrait résoudre nos problèmes;

    2) De ne pas vouloir voir, en un déni pathétique, que ladite politique mène l'économie mondialisée vers son arrêt totale, à la faillite US ainsi qu'à l'effondrement monétaire généralisé, de nous empêcher de le leur dire, de le clamer (c'estP1060186.JPG pourquoi je parle d'actions inconscientes);

    3) De ne pas vouloir assumer leurs fautes multi-décennales en une fuite en avant névrotique;

    4) De vouloir résolument placer un vaccin ou un traitement cher à la place de celui de l'équipe du professeur Raoult ayant fait ses preuves et peu onéreux;

    5) D'empêcher la population de se révolter en la traumatisant;

    6) D'obéir aux puissances économique mondialisées en nous menant à la crise économique dans ce fantasme montré plus haut;

    7) Enfin, pour la bonne bouche, en montrant au peuple que, ce coup-ci, nos baltringues agissent maintenant de manière concrète pour le protéger d'une pandémie qui, au fil du temps qui passe en ce début d'Automne plutôt frais, ne se révèle qu'encore moins dangereux qu'auparavant.

    Danger, encore potentiel, définitivement écarté si ce fameux traitement à l'hydroxychloroquine était généralisé.

     

    Ni angoisse, ni panique mais être prêt à tout:

    Il est de fait que nous nous devons de nous préparer, dès l'avant, de tout ce qu'il va se passer dans le futur, quoi qu'il puisse advenir.

    Il y a des événements évidents que nous pouvons prévoir, tel que cet effondrement fortement probable des monnaies, avec tout ce que cela entend.

    D'autres sont imprévisibles par nature, soit parce que nous n'y songeons pas, soit parce que leur survenue ne peut pas être conjecturée.

    Il nous faut donc nous sentir suffisamment adaptatif, quoi qu'il surviendra, et, surtout, d'être dans la démarche d'en saisir l'essence pour agir au mieux.

    Imaginez, par exemple, que comme la majorité de ce qui compose le WEB et le NET P1040871.JPGse trouve aux USA, si ce pays se retrouve à devoir faire face à une catastrophe de type d'une guerre civile, il est imaginable de considérer qu'internet cesserait tout fonctionnement, pour un temps plus ou moins long.

    Ceci avec tous les désordres que cela pourrait représenter.

    Et n'allez pas croire que nous nous retrouverions juste au-devant d'une sorte de totalitarisme internationale des oligarques monétaristes mondiaux, ce qui est, pour nous tous, une manière de considérer comme possible un semblant d'organisation.

    On s'en fout de ces crétins, ils n'en sont pas capable ou sinon pour un temps bref.

    Il va nous falloir reconstruire le pays et cela se doit d'être pensé dès maintenant et sur tous les plans, ça c'est mon travail de vous l'affirmer!

    Il n'est plus le temps des rêveries mais il faut regarder les choses en face, même si cela fait peur, même si c'est angoissant.

    Parce que sinon ce sera la panique qui envahira les esprits, et la panique conduit toujours au pire plutôt qu'au meilleurs.

    Alors, commencez par le commencement, amis lecteurs, pour ceux qui ne l'on encore pas fait: faites vos réserves, et si de vos connaissances sont de même avis, discutez entre-vous de nos risques potentiels et de comment les résoudre.

    Soyons logique, que diable, restons logique, faisons preuve de raison!

    Ah, j'oubliais de préciser: certes une guerre civile en France pourrait avoir quelques toutes petites plausibilité, à laquelle je ne crois guère, mais, surtout, c'est cette crainte, réaliste celle-la, qu'elle advienne dans l'empire US qui nous fait croire qu'elle puisse survenir ici, par notre projection de ce qu'il se passe là-bas, nous croyant nous-même énième état des Etats-Unis-d'Amérique.

  • Visite protocolaire et élections...

    Je passe rapidement sur les pigeons qui vont voter F.N. sans se rendre compte que c’est le dernier rempart de l’Union-Européenne dressé contre la volonté du peuple:
    ” ………………………
    Apprenez que tout flatteur
    Vit aux dépens de celui qui l’écoute.
    Cette leçon vaut bien un fromage sans doute.
    …………………….”
    Disait le renard au corbeau de la fable.

    beaucoup croient que c'est la solution, mais si nous évaluons les différents discours, dans le proche passé et au présent, nous pouvons comprendre combien ce parti ne fait qu'embrouiller son monde:

    Comment peut-on être pour la démocratie et contre l'euro et l'Union-Européenne sans aborder le moins du monde, dans son programme officiel, l'article 50 de la constitution européenne qui permet d'en sortir.

    Il est facile de porter toute la responsabilité de nos malheurs sur les musulmans, cela permet de détourner les regards des véritables responsables de nos difficultés actuelles, nos banquiers et nos financiers, c'est une ruse vieille comme le monde.

     

    Parlons plutôt de choses importantes:

    Voilà, nous y sommes, Monsieur hollande, après avoir, à demi mot, donné son blanc-seing au premier ministre grecque, amène Madame Merkel rendre visite à Monsieur Poutine, en passant, auparavant, par l’Ukraine, histoire de brouiller un peu les pistes.

    Monsieur Poutine lui confirmera sa discrète aide indéfectible à la Grèce et mettra dans les mains de Madame Merkel la situation du proche futur de son pays et d'elle-même: la partition nord/sud de l’union, le recul de la position germanique ou la désintégration de l’U.E..

    En lui laissant le libre choix mais aucun ne lui sied.

    La décision de la B.C.E. met en effet à mal l’Union-Européenne, à l’exemple de la Grèce où son gouvernement n’a plus d’autre choix que de réussir ou de laisser mettre en place une mole dictature de droite, sous quelque forme que ce soit, un retour des colonels, quoi.

    Mais il me semble que c’était à s’y attendre, Monsieur Sapir avait envisagé la forte probabilité que la Banque Centrale européenne coupe les ponts de l'euro avec ce pays en menaçant de ruiner ses banques.

    Il est à envisager que le gouvernement grecque l'avait prévu avant même d'avoir été élu en en ayant imaginé les réponses les plus efficaces.

    L’action étasunienne est aussi intéressante, en effet, que Monsieur Obama intervienne comme il le fit pour défendre de la sorte les décisions du gouvernement grecque contre l'Allemagne et la banque centrale européenne montre autant ses craintes que la faiblesse tragique des U.S.A.: son équipe craint que cela n'entraine la disparition de la monnaie euro.

    Monsieur Sapir, là encore, nous l’avait très bien montré lorsque qu’il expliquait que l’euro n'est plus que le dernier rempart du dollar contre les spéculateurs.

    Il fut un temps ou les Amériques n’aurait même pas eu besoin de s’adresser ainsi, par médiats interposés, à un pays soumis, le simple froncement des sourcils auraient suffi.

    Nous pouvons voir là la disparition, par l’exemple, de la puissance étasunienne et l’indépendance politique que prennent les états de l’union.

    Mais la Germanie peut-elle agir autrement qu’elle ne l'a fait?

    N'est-elle pas trop piégée par une doxa exigeante d'une monnaie forte et puissance, d'un euro-mark indépassable?

    Irions-nous vers un éclatement concerté de l’euro, voire de l’Union-Européenne ou un délitement continue tel que cela a déjà commencé?

    Les nouvelles contraintes politiques, géopolitiques et géostratégiques devant lesquels les divers composants de l’U.E. doivent faire face suivant leurs situations respectives, historiques, populaires et/ou idéologiques, ceci allié à des divergences de vus de plus en plus importantes entre les nations, et ce pour les mêmes raisons, génère un effet centripète d’une puissance incroyable qu’une Union-Européenne, aux institutions rendues savamment inopérantes et aux représentants choisis pour leurs légèretés de l’être, pour ne pas dire leur incompétence, ne peuvent en aucun cas réduire et encore moins réprimer, tous n'ayant plus aucune autorité ni légitimité face aux élus des nations européennes.

    Il n’est que les chefs d’état et de gouvernement pour faire survivre cette union tant que ces divers contraintes centripètes n’atteindront pas une certaine importance, que les intérêts de leur différents pays et états ne viennent encore pas trop interférer avec la vulgate néolibérale et l'existence U.E. et euro.

    Voilà où nous en sommes et, ce me semble, tout ce jouera lors de cette visite protocolaire que Monsieur Hollande et Madame Merkel rendront à Monsieur Poutine.

    Mais quelque soit le choix que fera le gouvernement allemand, il lui faudra, à toute fin, décider entre le nord et le sud de l’Europe, c’est là que sera la réelle alternative, crucial parce que ce sera de cela dont dépendra l’avenir réel de l’Allemagne et de son dynamisme futur...

    Parce que l'Union-Européenne, déjà, n'est plus seulement qu'une mauvaise habitude.

     

     

    THEURIC

  • Transition!

    En ce moment nous vivons un processus de transition, ce nous entendant l'espèce humaine dans son entier.

    P1000753 - Copie.JPGUne transition est l'instant de rupture entre la forme que pouvait prendre un système évolutif passé (telle que celle d'une espèce animale ou végétale) et celui futur.

    De fait, cette transition avait débuté, pour Homo Sapiens Sapiens, dès le tout début du néolithique, soit il y a, suivant les chercheurs, de dix à quinze milles ans et, aujourd'hui,  nous parvenons à l'achèvement de ce processus.

    Il est vrai que ce qui nous occupe et préoccupe actuellement c'est bien ce que nous vivons, soit l'achèvement de ce mouvement naturel qui se trouve en une phase d'accroissement de son accélération.

    Ainsi, même les plus jeunes ne peuvent pas ne pas remarquer la-dite accélération constante de l'évolution sociale que nous subissons, que nous l'aimions, l'acceptions ou la rejetions.

    Certes, le progrès technologique en est la marque la plus visible et, ce, au travers de l'informatique sous toutes les formes que ce soient.

    Mais plus encore, si cette évolution technologique est présente c'est bien parce qu'une autre évolution la soutient, celle de notre représentation du monde, de nos conceptions, de nos concepts, voire même de nos capacités mentales et de notre inconscient collectif, mais cette évolution est loin d'être achevée, infiniment loin de là.

    Il est vrai que, collectivement, nous avons subi et subissons toujours une perteP1000831.JPG des-dites capacités, perceptible lors de tests de quotient intellectuel en Europe, de quelques points de ce qu'il en est paru.

    Là encore nous pouvons facilement suggérer que cette diminution fait, elle aussi, parti de cette période de transition, puisque nous sommes en train de transformer nos représentations passées, en vrai elles se transforment d'elles-mêmes, sans que celles nouvelles n'aient encore pleinement émergé, voire même n'en seraient qu'en leur ébauche.

    D'une certaine façon, l'humanité serait dans la situation de ce crabe en pleine mue, fragile de s'être débarrassé de sa carapace antérieur sans ne l'avoir encore pas remplacé par la suivante.

    C'est donc autant nos antédiluviens réflexes de chasseur-cueilleur que de ceux de l'agriculteur-éleveur qui sont en train de disparaître en nous sans que nous n'ayons encore acquis et bâti cette modernité mentale que nous lèguerons ensuite à notre descendance.

    Nous essuyons les plâtres de l'évolution, en quelques sortes.

    D'où nos difficultés actuelles qui ne pourrons aller qu'en s'amplifiant tant que cette mutation ne se sera pas achevée, ce qui ne pourra que naturellement prendre du temps.

    P1000873.JPGIl est remarquable que la-dite mutation prenne la forme, en Occident, surtout en Europe, aux États-Unis-d'Amérique et au Japon, d'un mécanisme de répétitivité (mécanisme et non pas compulsion) d'essence purement économique, d'avec la période s'étendant de 1929 à 1991, soit le crash de Wall Street jusqu'à la toute fin de la guerre froide.

    Quand bien même ces événements semblables à ceux passés surviennent éparpillés, si nous faisons la sommes de ceux-ci ressemblant à ceux antérieurs, nous pouvons percevoir leur cohérence intérieure, en quelques exemples:

    -Ruine de la Grèce par l'Allemagne et par les anglo-saxons, par les armes avant, par la faillite généralisé ici;

    -Domination de l'Allemagne sur le reste de l'Europe (depuis l'affaiblissement U.S. d'aujourd'hui), avec une seule monnaie et la France ayant un gouvernement inféodé à icelui (je mets de coté la réalité de la domination coloniale étasunienne sur l'U.E., en voie de disparition depuis l'élection de Trump);

    -Libération progressive de la France par les actions  anglo-saxonnes, brexit britannique et élection de Trump actuels, débarquement de Normandie hier;

    -Destruction du Japon, par bombardements passés, par perte de valeur du yenP1000667.JPG maintenant;

    -Monté d'un pouvoir autocratique en Italie, Espagne, Portugal (Mussolini, Franco, Salazar), puis renversement politique de cette première.

    -Crise économique d'échelle mondiale dont 1929 est le critère de correspondance, avec un mécanisme similaire aux deux périodes, même si les effets actuels sont bien pire qu'auparavant......

    Cherchez  bien et vous trouverez nombre d'exemples similaires.

    Cela étant dû, à mon sens, à l'intense traumatisme que furent les deux guerres mondiales, mais bien plus étendu et violente lors de la seconde.

    "Il faut trois générations pour faire un schizophrène", disent les psychiatres, or, si c'est aujourd'hui que ce mécanisme de répétitivité sociale survient, c'est bien parce que les générations étant passées, le temps est venu d'un renouveau politique et social.

    Ces deux processus, la transition évolutive et le mécanisme de répétitivité, sont tous deux intimement liés et s'achèveront en même temps dans quelques décennies.

    Le second risque fort de se déplacer d'un ensemble de régions, l'Occident, vers un P1000903.JPGautre ensemble, l'Orient.

    C'est pourquoi je crains un embrasement futur entre l'Inde et la chine pouvant fort bien se muer en un, international.

    De plus, la mutation progressive de notre inconscient collectif précédent, vieux tout de même de plusieurs centaine de milliers d'années, voire de millions d'années, depuis au moins l'avènement du genre Homo, et qui avait évolué à son rythme pendant tout ce temps long, ne peut se faire sans soubresauts violents, ceci n'est pas possible autrement.

    Notre mutation mentale est trop rapide pour que cela se fasse différemment.

    Cela ne pouvant que nous entrainer vers l'émergence de passions inconscientes sociales et collectives d'une puissance inouïe qui pourraient nous entrainer tous vers les pires des conflagrations généralisées.

    C'est pourquoi je vous exhorte, amis lecteurs, de conserver en vous votre pleine conscience en restant lucide des inimaginables forces communes pouvant se déverser et se partager en chacun de nos esprits.

    Pour l'instant encore relativement restreintes, elles prendront bientôt une ampleur incommensurable, et ce sera l'ensemble du genre humain qui sera entrainé par elle.P1000880.JPG

    Cette transition, en un processus naturel, ne sera pas la traversée d'un jardin d'enfant mais l'une des pires expériences que notre espèce aura à vivre.

    Un dure chemin initiatique collectif que nous devrons tous sillonner et que nous ne pouvons ni ne pourrons éviter.

    Cette expérience sera tout autant magnifique, terrible que dangereuse.

    C'est ce processus, qui a déjà débuté, qui nous entraine depuis des années dans des chemins conceptuels multiples, nous menant continuellement dans un sens ou dans un autre sans que nous en sentions de direction précise, sans que nous en pressentions la logique interne,sans même que nous le percevions, justement parce que le sens de toute choses en vient, en nous, à s'évanouir.

    C'est pourquoi, également, nous nous retrouvons à vivre cette rétrogression historique dont je vous ai entretenu auparavant (voyez les barbes fleurir comme à la belle époque de la III° république).

    Ce socle passé vers lequel nous nous dirigeons étant devenu la matrice inconsciente rassurante, le socle solide sur laquelle il nous sera possible de reposer notre esprit sociétal tant tourneboulé.

    Observez cela, amis lecteurs, parce que c'est cette seule observation, sans colère, P1000883.JPGreproche, dégoût ni irritation, qui permettra à chacun de conserver un tant soit peu de cette indépendance d'esprit qui fonde et forge notre liberté de penser  et notre indépendance d'être.

    Seule source du choix possible en face de cette vie tumultueuse future.

     

     

    THEURIC

  • D'où la peur vient-elle au sujet du COVID-19 ?

    Il s'agit là autant de la peur naturelle des simples citoyens que nous sommes d'attraper une maladie mortelle, aussi que de celle, plus complexe, en raison de leurs décisions, des gouvernants ou, du-moins, de ceux qui sont censés l'être. 

    Cette peur, autant de la nôtre que des gouvernements provient du fait qu'il n'est pas possible de dire quelle est l'exacte proportion de gens infectés par ce virus au vu du nombre de malade et, dès lors, de décès, ce dernier pourcentage étant le seul clairement visible.

    Combien en effet sont ceux ayant attrapé ce virus et combien sont ceux qui, les ayant croisé, en sont eux-mêmes impactés.

    Une personne en contamine-t-elle 2, 3, 4, 5, voire plus ou moins et en combien de temps?

    Ceux des malades représentent-ils 2%, 5% 10%, 20%, 30%, ou plus ou moins, des quidams qui seraient atteints de ce COVID-19?P1020071.JPG

    Quelle proportion de gens n'en seront-ils jamais infecté, leur système immunitaire le rejetant automatiquement?

    Combien de ces porteurs sains sont-ils qui contaminent autour d'eux sans même être malade, ou d'un rhume vite passé?

    Pour le savoir vraiment, il faudrait tester un très grand nombre d'individus d'une agglomération assez populeuse et cela demanderait autant de temps, d'argent, de matériel et du personnel qui est déjà, quoi qu'il en soit, nécessaire ailleurs, soit dans les hôpitaux.

    Imaginez, par exemple, qu'une personne contagieuse offre monsieur Coronavirus à 2 voisins, puis qu'eux même le refile à 2 autres chaque jours et ainsi de suite, ceci en une simple expérience de pensée, cela ferait: 2, 4, 8, 16, 36, 64, 128, 256, 512, 1 024, 2 048, 4 096, 8 192, 16 384 personnes infectées en deux semaines.

    Ceci sans compter les transports bondés, les marchés surpeuplés, les villes touristiques grandement visitées, les magasins encombrés...

    C'est pourquoi la Chine, puis l'Italie ont pu décider d'endiguer cette propagation exponentielle en confinant leur population chez elle et le gouvernement français, P1030314.JPGmême après ses atermoiements actuels, sera bientôt contraint d'agir de la même façon que notre voisin outre-alpin, comme tous les autres pays de l'Union-européenne d'ailleurs à un moment ou à un autre.

    Ceci parce qu'il est impossible de prévoir ni le nombre de malade, ni le nombre de décès dû à ce virus qui, si rien n'est fait, ne pourra que se révéler pire encore.

     

    Cette situation montre, part ailleurs, que l'Union-Européenne est dans l'incapacité pleine et entière d'être un acteur valable dans cette crise sanitaire, la preuve en est en ce qui concerne l'Italie ou il a fallu que cette dernière fasse appel à la Chine pour qu'enfin l'union se bouge un peu le cul.

    Le gigote légèrement.

    La raison en étant qu'en plus de l'incompétence de ses dirigeants, choisis pour cette raison, son triple verrouillage, institutionnel, politique et idéologique, fait qu'en cas de crise elle ne sert à rien, ou plutôt à des effets néfastes en tentant de la faire perdurer, en essayant de contrecarrer les décisions gouvernementales qui se révéleraient contraire à son dogme constitutif.

    En effet, dès lors que le barrage à tout changement qu'est ledit triple verrouillage commence à se fissurer de manière importante, c'est toute son architecture politique qui ne peut que s'effondrer, emporté par le flot tempétueux de la réalité.P1020170.JPG

    Je crains qu'en France le confinement de la population ne se produise qu'après les élections municipales, or, nous l'avons vu,  le nombre de malade ne pourra, à ce moment là, que s'être grandement accru.

    Ce qui est une erreur politique majeur, bon ou mauvais résultat électoral, le REM des radioéléments et le gouvernement seront grandement affectés de leur manque de réactivité au vu du nombre de malades et de morts futurs dû à cette virose et, dès lors, atteindrait par là même l'UE si des mesures drastiques ne sont pas prises au plus tôt.

    Or, ce n'est pas seulement notre petit président de la république qui, s'il est en faute, ce n'est que de manquer grandement d'autorité autant que de caractère, ce sont, d'après le site Les Crises, Laurent Fabius et Gérard Larcher qui en sont les co-responsables.

    Voilà, tous ont choisi Emmanuel Macron comme président, nous l'ont vanté et vendu comme un paquet de lessive dans tous les médiats pour qu'il soit élu, aidé en cela par le RN et Marine Le Pen, aucun ne remettant en cause l'Union-européenne, et ils ne pensent ces abrutis, à de rares exceptions près, qu'aux élections municipales...

    P1030280.JPGCes gens sont franchement inconséquents.

    Car tout dépend désormais de la France et de ce tout petit bonhomme à la tête de son état.

    Voici la situation de cette infection dans les pays les plus atteints le 13 Mars 2020, l'Allemagne étant encore plus touchée que la France.

     

    L'économie mondialisée aussi est gravement mal-en-point, les déséquilibres entre pays producteurs et consommateurs ne peuvent qu'être que trop importants pour pouvoir supporter sans encombre une si violente pandémie.

    Que ce soit tant sur le plan économique, politique, géopolitique et géostratégique, il ne peut qu'y avoir, dès maintenant, l'avant et après COVID-19.

    Déjà l'union se délite, chaque pays refermant ses frontières pour éviter que plus de malades n'y entrent.

    Je ne sais pas si les États-Unis-d'Amérique survivront tel quel à cela, toutefois ils en sortiront très affaibli s'ils ne disparaissent pas.

    Devenus les héros de lutte contre ce virus, les chinois, après l'appel de l'Italie, ont obtenu une place européenne et internationale centrale, ce qui éloigne, de fait, leP1030550.JPG risque d'une troisième guerre mondiale: c'est, pour elle aujourd'hui, l'Occident qui a perdu la face.

    La Russie restant discrète.

    De plus, à la vue de l'impéritie, tant   économique, politique que sanitaire de l'union et des pays la composant, je pense que, désormais, c'est bien toutes les nations du monde qui la veut voir disparaître, même celles qui en font parti.

    Toutes ont et auront eu trop peur à cause d'elle, elle qui deviendra, sous peu, le bouc-émissaire idéal et historique sur lequel se déversera, avec raison, toutes les rancœurs.

    Malheur par qui le scandale arrive, dut-elle être institution.

     

     

    THEURIC

  • Quatrième aphorismes.

    Je reprends cet exercice pouvant se rapprocher d'un art, portant la concision de l'expression de l'idée à son extrême achevé.

     

    Un aphorisme, de sa concision, est l'expression d'une idée laissant libre le lecteur de sa propre réflexion, à lui d'en jauger et juger de sa justesse.

    Tout savoir n'a d'utilité que de par sa pratique et de son usage.

    Tout conseil et toute idée ne sont que des pistes de réflexions.

    Celui qui oublie la profondeur de l'esprit ne sera plus que sa marionnette, quand bien même en certifie-t-il le contraire.

    Le chemin véritable de la liberté est de comprendre ses propres contraintes, la solitude en étant une.

    En tant qu'être grégaire, nous ne saurions vivre sans contrainte au risque, sinon, de disparaître d'une mort sociale, psychique ou physique.

    Une religion peut être, comme toute institution, pervertie, faut-il être naïf de croire le contraire.

    Une philosophie n'ayant pas de substrat pragmatique ne peut qu'être que sans grand intérêt.

    Il est de la plus extrême importance de ne pas confondre croire et savoir, mais croire savoir est bien pire.

    Ce n'est pas d'affirmer son doute qui importe vraiment mais de mettre celui-ci au centre de ses réflexions tant qu'elles ne sont pas corroborées par des faits tangibles observés dans le temps.P1030012.JPG

    Il n'est de vérité que toute personnelle.

    La sagesse c'est de savoir qu'elle n'est toujours que toute relative.

    L'existence des biais cognitifs, tout comme de la folie, est la manifestation sensible de la jeunesse évolutive d'Homo Sapiens Sapiens.

    Ce qui est caché ou invisible est perdu.

    L'Europe et l'Amérique-du-Sud ont ceci en commun que leur domination impériale par les États-Unis-d'Amérique a stoppé leur évolution, ce qui ne reprendra que quand ce dernier aura disparu.

    Il ne peut y avoir de pensée politique concrète si l'histoire et la géographie ne sont pas comprises dans leur essence.

    L'on confond souvent liberté, indépendance et autonomie:

    -la première  est de comprendre ses propres contraintes (nous l'avons vu);

    -la seconde est de penser et d'agir de et par soi-même;

    -la troisième est la résultante d'être pleinement adulte.

    P1030464.JPGCe sont, dans l'esprit, les mêmes que dans les années 30, de par leur aveuglement, leur lâcheté et leur dogme, qui laissèrent à Hitler le libre champ de ses exactions, que de ceux qui, aujourd'hui, gouvernent l'Union-européenne et de tous ceux qui les suivent et leur obéissent.

    Il y a un aspect suicidaire chez tous ceux qui soutiennent l'Union-Européenne, quelles qu'en soient les raisons, quelle que soit leur classe sociale, quelle que soit leur citoyenneté.

    Être déterminé veut autant dire de connaître et reconnaître son identité que d'avoir la volonté dans l'action et la pensée, l'un ne pouvant aller sans l'autre.

    Le choix existe, il est rare et bref, mais est pleinement déterminant dans notre existence.

    Le futur est incertain et parfois potentiel.

    Le cryptage sur internet nous permettrait, nous est-il dit, de protéger toutes les informations sur notre identité, mais de tous les temps toutes serrures surent être forcées.

    Pourquoi donc vouloir faire des vols à main armée quand il ne suffit que d'apprendre  la programmation informatique pour voler de l'argent en prenant beaucoup moins de risque?

    Un végan c'est un âne qui mange du foin.P1030150.JPG

    Ceux qui disent vouloir sauver la planète se devrait, d'abord, de songer à sauver leur intelligence.

    En 1990 le GIEC annonçait que tous les glaciers auraient fondu à l'orée du XXI° siècle, j'attends toujours, c'est étonnant comme les simples d'esprit ont peu de mémoire.

    Il est criminel d'instruire les enfants de faussetés quand cela est fait d'une manière délibérée.

    Un oligarque de tous temps est un imbécile et un voleur, que l'on croit brillant, détruisant la société qu'il asservit pour s'enrichir et qui pense que son pouvoir durera éternellement, rêve pour quelques-uns, cauchemar pour les autres, puis avanies pour tous.

    Il y en a qui déclarent que l'Être Humain est le cancer de la vie sur Terre, pourquoi donc ne se suicideraient-ils pas, cela ne manquerait-il pas de logique?

    Le journalisme est dit le 4ème pouvoir, oui, pour une infime minorité des gazetiers.

    Pourrait-on m'expliquer la différence entre les musiques des peuples chasseurs-cueilleurs et le rap?

    La qualité des programmes télévisuels est inversement proportionnel au nombre de chaînes proposées.

    P1030431.JPGComment les gilettistes peuvent-ils croire au réchauffement climatique anthropogénique dont la propagande essentielle provient des mêmes médiats qui n'ont de cesse que de propager des mensonges sur leur compte?

    La concomitance est d'importance pour comprendre les dynamiques sociales, politiques et historiques du moment, mais il faut bien faire attention de ne pas confondre avec ce qui n'est dû qu'au seul hasard.

    La majorité de la population angoisse à ce que l'empire US disparaisse, non pas pour ce qu'il est mais pour ce qu'il représente, non pas la paix, la richesse ni la puissance, mais le libre cour à l'infantile rêverie du paradis terrestre, quand bien même tournerait-il au cauchemar.

    La vengeance est un plat qui se mange froid de bien mauvais goût.

    Hier on pouvait vendre sa salade pour une poignée de cerise, aujourd'hui c'est hors de prix, c'est ça l'inflation.

    Pour toutes choses les débuts sont simples mais on ne les comprend pas vraiment, ensuite elles se développent et on les comprend de mieux en mieux, puis elles périclitent et on ne les comprend plus, ce n'est que quand elles disparaissent que l'on peut en saisir la substance.

    P1030325.JPG

     

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  • Un livre, trois vidéos, un texte.

    Je ne peux être le seul à fureter deci delà dedans un internet proposant tout un ensemble de points de vu sur toutes sortes et sur tous sujets.

    Tout autant nombre de lecteurs doit, comme moi, tomber sur des livres passionnants que chacun voudrait partager tout autant de billets parfois captivants découverts dans tel ou tel blog.

    Je vais donc ici vous présenter un livre présentant l'histoire de façon succincte mais chronologique, puis proposer à vos réflexions ce que j'ai pu découvrir sur la toile au gré de mes pérégrinations, soient trois film puis un libellé.

     

    Je commencerais par vous révéler un petit ouvrage qui, je le pense, captivera des jeunes aux moins jeunes qui n'ont, de l'histoire, que de vagues notions, égarés qu'ils sont dans ce manque de chronologie que l'école offre en instruction aux enfants.

    Les quinze aux quarante-cinq ans ne pouvant qu'y trouver, voire à y découvrir l'ordre temporel qui leur manque si cruellement, les autres y plongeant dans ce délice de la révision rapide.P1010448.JPG

    "Toute l'histoire du monde, de la préhistoire à nos jours" de Jean-Claude Barreau & Guillaume Bigot, collection Livre de Poche, Fayard, publié en 2005.

    Vous pouvez aussi trouver ce livre en P.D.F.. )

    Ils y montrent entre-autre que la défaite de 1940 ne fut que le fait de la bêtise et de l'incompétence des généraux, maréchaux et personnel politique qui ne voulurent jamais écouter le capitaine De Gaulle et qui restèrent ancrés dans une guerre 14/18 largement dépassée, dont au premier chef le maréchal Pétain.

    Cette phrase est  ô combien explicite en étant toujours totalement d'actualité, page 336, dernière ligne:

    "Le mépris du peuple est toujours la tentation et l'excuse des dirigeants défaillants."

     

    Voici ensuite un   film audio plutôt qu'une vidéo d'une vingtaine de minutes, où nous y entendons Monsieur Asselineau expliquer bien mieux que je ne saurais le faire la cause de cette désindustrialisation occidentale.

    Signé "Pascal P.", vous trouverez là l'ensemble de son travail.

    P1010789.JPG

     

    Ce second film est celui d'un policier, Alexandre Langlois, qui fut puni par sa hiérarchie pour avoir voulu informer le public des nombreuses et terribles dérives de la polices française sous la direction de Monsieur Castaner.

    Il y propose ici de débattre avec le ministre de l'intérieur qui ne lui répondra jamais.

    Une remarque au sujet de cette vidéo, il sera simple de savoir qui renvoyer de cette administration une fois que le système économique et l'Union-Européenne auront explosé, ce seront ceux qui auront reçu une médaille par ce ministre sans avoir su retourner leur veste avant (retourner sa veste à temps étant tout de même la preuve d'une certaine intelligence et d'une certaine indépendance d'esprit).

     

    Le troisième concerne le réchauffement climatique anthropogénique, sous forme d'une conférence d'une heure, en France, à l'invitation d'une association se nommant les Climato-réalistes, où un scientifique étasunien, dont voici la brève présentation: "... par John Christy, climatologue, professeur des sciences de l’atmosphère à l’université d’Alabama à Huntsville, spécialiste mondialement reconnu des mesures de températures satellitaires", y a présenté son travail.

    Il est à noter que cette conférence fut traduite pour ceux qui, comme moi, ne sontP1010824.JPG pas anglophone, ce qui montre le respect plein et entier de cette association pour la population, dont part ailleurs j'ignorais l'existence jusqu'à hier.

    Ce que j'apprécie surtout ce fut la pondération de ses réflexions où, par exemple, il y explique qu'en effet le CO² a bien mené un accroissement de température atmosphérique mais extrêmement réduit.

    Ce monsieur représente les U.S.A. inventifs et honnête que nous ne pouvons qu’apprécier et non pas de son coté obscure que nos élites adore tant.

     

    Enfin le texte se trouve sur le site de l'U.P.R., pour ceux qui le connaîtraient pas en voici l'adresse.

    Sous le titre: "LA « START-UP NATION » ? Ça marche si l’on respecte le génie français ! " ce billet de Paul Vallier, plein d’optimisme est vraiment rafraichissant mais, surtout, montre ce que je ne cesse d'écrire: notre situation est loin d'être catastrophique, même si nous aurons à traverser une période difficile.

    Et qu'en dix ans nous recomposerons un tissu industriel et agricole complet, mais ceci ne pourra s'effectuer qu'à partir du moment où nous aurons quitté cette satanée Union-européenne, soit de notre fait par l'élection de François Asselineau à la présidence de la république, soit en raison de la désagrégation de cette union mortifère.

    P1020167.JPGUn petit trait historique en passant, le terme bien français de "système D", D pour démerde, fut inventé par les poilus de la guerre de 14/18.

    Bon visionnage et bonne lecture à tous.

     

     

     

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