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Rechercher : réeterogression historique

  • Les choses de l'esprit: l'agoraphobie.

    Si je traite de ce sujet maintenant c'est en raison de mon sentiment d'urgence que vous comprendrez, que de sortir de chez-vous puisse vous causer quelques douleur ou non.

    Ayant remis le texte que je vous promettais à plus tard.

     

    Tel que j'avais pu vous l'exposer  le 27 Avril au sujet de notre déconfinement, nous sommes, plus ou moins, naturellement envahis par des angoisses à l'idée de retourner dehors après environ deux mois d'être resté chez-soi.

    Hier matin je suis allé marcher au marché et, quelques temps auparavant, j'ai senti une tension, une inquiétude due au fait que, justement, j'allais sortir de chez-moi.

    Puis, lors de cette réflexion me posant, si je puis dire, ce diagnostique, j'ai pressenti que je ne devais pas être le seul dans ce cas, loin de là.P1030007.JPG

    Ce phénomène, je l'ai dit, est naturel, ceci d'autant plus d'une pandémie que l'on nous dit, dans les médiats, sûrement récidivante, ce que nombre de professionnels contestent, en un seul exemple où vous y comprendrez l'historique de notre confinement;

    Nous nous retrouvons, de fait, tout autant à percevoir plus ou moins intuitivement que notre monde dedans lequel nous vivions il y a encore peu de temps en vient à vaciller gravement, nous qui le sentions déjà en phase de délitement avant même l'advenue du SRAS-COV-2, que bien que nous ne connaissons que celui-là nous en venions à le détester, ressentant qu'il ne pourra pas perdurer encore longtemps, sans que nous sachions de quoi notre futur sera fait réellement.

    Or, d'une certaine manière, quittant ce mode honni mais reconnu, de nous retrouver confiné, nous nous sentions ainsi en sécurité cloîtrés chez-nous de ne pas voir ainsi notre univers se chambouler, en une sécurité illusoire, j'en conviens, mais rassurante.

    Cela étant accru par lesdits médiats et, au travers d'eux, l'oligarchie strato-financière qui les détient, ainsi que du gouvernement, qui n'eurent que de cesse d'accroître notre frayeur pour que la majorité d'entre-nous reste le plus longtemps possible chez-eux.

    La raison en est simple à comprendre: du fait de leur immense impéritie lors de cette crise sanitaire, de ce que la plupart des français a plus que du ressentiment à son égard, ce qu'Emmanuel Todd a compris, faire de manière à ce que son plus grand nombre de gens ne sorte pas de son habitation,  tout en tentant de faire P1030281.JPGrepartir la machinerie économique, leur est devenu leur enjeu majeur du moment.

    Ceci en prolongeant l'effroi populaire en cette épidémie.

    Souvenez-vous de ce que je vous avais exposé par le passé, toute soumission est la résultante de la double activation complexe de ces deux émotions primaires que sont la colère et la peur se retrouvant en relation confrontante de blocage et dès lors d'obéissance, ce qui fait que ladite soumission tombe quand ces alarmes ne sont plus en relation de conflictualité paralysante ou que l'une ou l'autre disparaît.

    Mais au-delà de cette tentative de manipulation dans le but chimérique de nous asservir dans leur crainte que nous nous révoltions, reste toutefois la question de nos craintes légitimes en un bouleversement sociétal d'importance.

    il est à envisager qu'infiniment plus encore que les exactions policières envers le mouvement populaire des gilettistes et des divers manifestants, soignants venant en réaction à l'appauvrissement du système de santé, dont des hôpitaux, ainsi que du projet de réforme des retraites, de la tendance totalitaire du gouvernement français et de l'oligarchie, l'ensemble des ministères européens ne purent qu'être horrifiée par l'incompétent amateurisme dont notre gouvernement fit preuve lors de cette crise sanitaire.

    Il est même possible que tous, d'une manière ou d'une autre, envisagent de seP1020775.JPG défaire de l'union, voyant que la France tend, désormais, à les attirer vers le fond de la faillite généralisée en raison de l'incompétence grandissante, foncière, de son gouvernement et de son président.

    Qui sait quelle bévue feront-ils encore?

    Telle est la question ne pouvant que se poser un  petit peu partout dans le monde mais, surtout, en UE.

    Je me demande même si, ayant fait une relative erreur dans mes considérations, même l'Allemagne n'aurait pas décidé, possiblement avant le début de cette crise, de se retirer de l'UE.

    L'idée de la double disparition de l'Union-Européenne/euro et des Etats-Unis-d'Amérique est, par essence, angoissante, parce que cela représente un chamboulement sociétal de première importance, c'est pourquoi tant de monde dans ces mêmes médiats, mais aussi sur le WEB, n'évoque jamais l'existence même de l'union.

    Les effets des décisions du pouvoir exécutif, mais aussi législatif français, que chacun soit pour ou contre celle-ci, ne pouvant que conduire de fait, à terme, à sa disparition.

    Dès lors, il est logique de penser que, en même temps que de ne même pas citer son nom marque une façon de la protéger en la cachant, cela signe aussi, et peut-être surtout, un comportement d'évitement provenant d'un tourment majeur, plus ou moins inconscient, de concevoir la disparition de l'UE€, et dès lors de se protéger de P1020873.JPGce futur choc.

    A tout cela, l'évidence de problèmes économiques liés à ce confinement de plus de la moitié de la population mondiale mène aussi à une toute autant intense anxiété.

    Pouvant aller jusqu'à l'arrêt du fonctionnement de l'économie-monde purement et simplement, ce que, là encore, nombre de personnes ressent, ne sachant, de plus, jusqu'où tout cela pourrait aller.

    Alors, de ces futurs chamboulements sociaux, politiques, économiques, de ce vers quoi la société va et que nous ignorons tous, s'il c'y rajoute des faiblesses psychologiques personnelles, ce qui m'a mené à ma solitude d'aujourd'hui, qu'une forme ou une autre d'agoraphobie, soit la peur des milieux ouverts et/ou du grand monde autour de soi, soit présente, plus ou moins fortement suivant chacun, ne peut ni ne doit nous surprendre.

    Et la meilleurs façon de s'en soigner c'est de la comprendre, d'en saisir les origines au cas par cas, d'en être conscient, et, si ce phénomène est puissant, de s'en désensibiliser progressivement en se forçant à sortir de plus en plus longuement et, pour les cas les plus graves, de commencer par l'imaginer de chez soi avant de faire le premier saut dehors.

    De ne pas repousser, de plus, les émotions, images mentales, chanson, mot ou expressions venant à l'esprit, puisque ce sont eux qui guideront ceux en souffrant ainsi, ces remontés mnésiques en  appelant à être décryptés.

    La vie n'est pas un rêve éveillé baigné de douceur, elle est telle qu'en elle-même, gracieuse parfois, âpre ou terrible aussi.P1030668.JPG

    Nos sociétés humaines sont en pleine mutation, elles ont évolué, certes, mais la nôtre d'évolution de chacun d'entre-nous nous mène a des difficulté, nous nous retrouvons à ne pas vraiment être adaptés à la société que nous avons nous-mêmes bâtie: nous sommes toujours autant chasseurs-cueilleurs, cultivateurs-éleveurs que d'une modernité que nous peinons de suivre.

    Ceci accompagné par un égarement de notre identité qui amplifie nos incompréhensions de ladite mutation, thème que vous retrouverez plus loin sur mon blog.

    C'est pourquoi s'agitent en nous des forces inconscientes que nous avons des difficultés à définir: cela parce qu'il nous faut faire un pas en arrière pour que nous recommencions d'aller résolument vers l'avant.

    Et si nous nous retrouvâmes en nos logements c'est bien parce que ces forces inconscientes firent émerger un archétype de notre inconscient collectif similaire pour tous les peuples de la terre affin que nous nous retrouvions nous- même en nous-même.

    Le monde change comme il se dit, cela est vrai, tout comme il peut en être pour nous, mais bien fou celui qui pourrait dire comment cela se fera, c'est çà qui P1030271.JPGangoisse, alors préparons-nous au moins à l'imprévisible, à nous y adapter.

     

     

    THEURIC

  • Mon intention.

    Je ne recherche, en soi, aucune gloire, tout juste  aimerais-je être reconnu pour la production de mes d'idées, mais, de cela, je le sais impossible.

    Cette solitude qui, peut-être à un moment ou à un autre de ma vie, cessera, ne peut qu'être que pesante, mais suis-je en droit de cesser de poser sur ces pages de ce que je comprends d'un futur qui sera pour nous en tous points difficile?

    De faire comprendre au mieux à mes semblables les durs temps qui viennent.

    De guerre lasse, je fus tenté hier de provoquer mes lecteurs en allant au plus profond du piège logique dedans lequel nombre d'européens et d'étasuniens sont plongés, et puis ce matin je me suis ravisé, ce serait contreproductif.

    En fait la propagande des États-Unis-d'Amérique repose, en Europe, sur quatre piliers distincts, qui furent toujours faux et/ou d'une grande perversité:

    1) La toute puissance de l'empire US liée à l'idéologie néolibérale monétariste;P1030021.JPG

    2) L'inéluctable nécessité de la construction européenne sur de mêmes bases idéologiques utopiques;

    3) le présupposé réchauffement climatique anthropogénique;

    4) la désexualisation des peuples européens et leur infantilisation.

    Ceci sous l'égide d'une domination impériale multidécennale, culturelle, médiatique, symbolique, artistique, politique, historique, géographique, sociologique, diplomatique, médiatique, scientifique, économique, électorale, scolaire, militaire d'une moindre façon, ceci par le biais d'officines de pression pour lesquelles sont autorisées toutes les subversions totalitaires et perverses, toutes les entorses à la moindre des moralités, mais discrètes, et dont l'Union-Européenne n'est que la pure créature, l’œuvre malfaisante et ultime.

    La France serait ainsi en droit de vouloir récupérer sa statue de la liberté que depuis des lustres notre cher Toton Sam n'a cessé de piétiner allègrement chez lui comme chez nous.

    Tout ceci générant un état de soumission doublé d'une sidération importante des peuples, dont des français, qu'il est ardu de réduire, parce que la peur que tout cela s'arrête d'un coup est plus importante que de la lente décrépitude de la société qui, P1030151.JPGquoi qu'il en soit, ne pourra qu'être plus importante en terme de destruction que de ce qu'il pourrait en être de ce brusque effondrement.

    Pour la simple et bonne raison que les instabilités sociétales de toutes sortes s'accroissent jour après jour.

    Dès lors, que l'un de ces quatre piliers en vienne à se rompre et ce serait tout l'édifice qui s'effondrerait définitivement.

    Mais en revanche, si tous périclitaient en même temps, nous devrions faire face à une réaction de type stress post-traumatique d'une portion non négligeable de la population.

    Et, suivant le fait que depuis des décennies ces-dites instabilités du système dans son ensemble, économique, certes, mais aussi politique, médiatique, philosophique, artistique, scientifique, etc... tendent à s'accroitre, il y a de forts risques pour que ce pire n'advienne.

    Tout mon travail ne consistant alors qu'à essayer de prévenir  au mieux des effets probables que cela génèrera.

    Le point névralgique, la terrible faiblesse de tout ce système de domination c'est l'économie, occidentale, certes, mais aussi mondiale, au centre duquel se trouve le dollar et un euro qui n'en est qu'une pâle et artificielle copie, le tout se trouvant dansP1030177.JPG une épouvantable situation.

    Il s'agit donc de s'y préparer au mieux, tant psychologiquement que matériellement, mais pour cela encore faut-il en être conscient.

    Mais, pour les raisons évoquées plus haut, il est visible que sa simple évocation met en émoi les gens, crée une angoisse d'une grande violence puisque à ce monde connu et reconnu dedans lequel tous s'y reconnaissent, nous plongerons dès lors dans celui inconnu d'un socle conceptuel et perceptif naturellement énigmatique et incertain.

    C'est pourquoi je ne serais pas surpris d'apprendre un jour que la plupart de mes lecteurs découvrant mon site n'en lisent que deux à trois pages puis, ensuite, en viennent à en oublier tout autant l'intitulé que l'adresse.

    Tout en se surprenant ensuite de faire quelques réserves en nourriture et produit d'entretien.

    Le principal se trouvant là, bien sûr.

    Quand à ce qu'il pourrait en être de ce que j'y exprimerais oralement de ma perception de la chose, mon expérience me montre de la fuite, sous une forme ou une autre, à chaque fois de mon interlocuteur, que je ne peux y espérer une écoute meilleurs que de ce qu'il peut en être de l'écrit.

    P1030199.JPGSachant qu'aux deux extrêmes de la perception de cet achèvement de notre domination impériale euro-atlantiste, mais aussi oligarchique, et de cet effondrement économique inévitable, tous trois complémentaires, s'y trouvent largement majoritaire ceux qui en ont un déni plus ou moins important, tout comme ceux qui en sur-exagèrent les effets, ceux que l'on appelle les survivalistes.

    En une dernière tentative, pour ces derniers, de conserver un contact, même symbolique, d'avec la puissance impériale largement déclinante, parce qu'il est vrai qu'au-delà de l'océan Atlantique, ce sera là que cette crise inouïe sera la plus importante.

    Un effondrement n'est que ce qu'il est et ne peut se faire que sur les bases de ses vulnérabilités, détériorations et de ses faiblesses grandissantes: si un pont s'écroule, il est vrai que personne ne pourrait en définir la date par avance, en revanche il est possible de dire, au vu de son état de délabrement, où il serait le plus manifeste que la cassure se produise.

    Là, pour ce qui nous occupe, il n'en est pas différemment.

    Mais cette commotion de la population pourrait être évité si, auparavant, l'UPR prenait le pouvoir en devenant électoralement majoritaire dans le pays et que François Asselineau en devenait le nouveau président, conduisant le France-quitte de cette Union-européenne mortifère, comme, aujourd'hui, le fait la Grande-Bretagne de son brexit.

    Certes, les eurolâtres nous créeraient de nombreuses difficultés, les premiers tempsP1030038.JPG nous seraient compliqués, mais plus vite cela arriverait et mieux la nation s'en porterait.

    Et qu'ainsi rapidement se conduise une reconstruction industrielle et agricole dont tous nous avons infiniment besoin.

    Si ce n'étaient les journalistes cornichons qui, dans les médiats officiels, n'ont que de cesse de mentir  éhontément sur toutes sortes de  sujets et, entre-autre, sur ce parti politique, sur son président et sur ce projet logique et sain de sortir de cette union dont le but n'est que de détruire les pays pour en asservir les peuples à un empire U.S. dont le déclin n'est pas loin de son achèvement par sa disparition prochaine.

    Parce que de toute la chaîne de responsabilité de cette gabegie  absolue, ces journalistes cornichons se trouvent, de fait, en première ligne, et chacun d'entre-eux se devrait de se demander si, entre lui et ses donneurs d'ordre milliardaire ou ministre, lequel aura le plus à souffrir de la disparition de l' UE€ et de leurs maîtres étasuniens.

    Ce sont en effet le plus souvent les sous-fifres qui paient le plus les pots cassés.

     

    Lutter de toutes forces contre cette inertie populaire compréhensible serait, de ma part, absurde.

    Du-moins aurais-je tout fait pour en réduire la violence de ce choc avenir, la banqueroute généralisée et la disparition de notre cher oncle si tant et tellement incivile qui se plait de détruire là d'où il provient, l'Europe.

    Ce choc n'en serait qu'infiniment plus réduit si l'UPR devenait majoritaire.

    Après je sais que, hormis de rares cas, même mes lecteurs assidus, qui ne doivent P1030246.JPGpas être très nombreux, m'oublieront dans la tourmente du France-quitte ou, sinon, des effets de cette débâcle multifactorielle.

    Et moi je commencerai à produire mes œuvres poétiques.

     

     

    THEURIC

    PS: Je vais progressivement m’éloigner de la politique, non pas qu'elle ne m'intéresse plus mais que, plutôt, j'ai dis ce que j'avais à en dire.

  • Chère Tatiana Jarzabek.

    J'ai lu hier le billet que vous avez laissé sur tepee machin, je ne savais pas qu'il était possible d'y laisser un texte, mais quoi qu'il en soit je préfère ne laisser que peu de trace de mon identité sur le WEB, c'est pourquoi je ne m'abonne qu'à très peu de site, d'autant plus de ce genre, bien que, comme beaucoup de choses, je puisse en changer l'idée, rien en cela n'est définitivement établit.

    Mais bon, le sujet n'est pas là.

    J'ai donc lu, dis-je, ledit billet du 12 Juin, que je n'arrive plus à retrouver, où vous y montriez que les effets de cette maladie au COVID bidule machin, le vilain virus (vit russe, hi, hi, hi), sont encore pire que ce que j'en imaginais.

    C'est pourquoi, de mon expérience de ce stress long, douloureux et multifactoriel dont je me soigne, pour des raisons que je n'ai pas à traiter ici, bien que je l'aie fait partiellement auparavant sur ce site, datant d'il y a 55 ans environ, j'en ai 61, et dont je sors en ce moment, que je me permets de partager avec vous comme il en est pour toustatiana, virus, stress ceux qui se trouve dans une situation analogue à la vôtre.

    Ainsi je m'adresse à vous par votre nom et non pas par votre pseudonyme, Ventôse: il s'agit ici d'un problème qui vous concerne en propre et non pas de ce qui fait la dynamique historique actuelle du pays et dont vous vous faites journalisme commentatrice, bien que cela y est lié (poil au nez, eh, eh, eh), il est vrai, mais de manière pour l'instant, pour vous, secondaire.

    Toutefois il est possible que vous ne connaissiez pas ce blog, mais si c'est le cas contraire sachez que j'apprécie autant votre travail, celui de vos amis du Fil d'Actu et de Greg jamais content, comme la première voiture ayant dépassé les 100km/h (la Jamais Contente).

    Il y a, pour ceux, donc, qui se remettent comme vous de cette saloperie, disons les choses telles qu'elles sont, sans avoir eu auparavant de problème de santé véritable, deux raisons pour lesquelles, à mon sens, ils en furent et en sont pour certains atteints: soit parce qu'ils ont une faiblesse immunitaire quelconque face à ce virus, soit, bien que cette idée puisse surprendre et être rejetée, parce que des forces inconscientes, ce que C.G. Jung appelait un archétype, furent ou sont activées.

    Il est même possible que ces deux éventualités se conjuguent.

    Ce qui, je le pense, serait (j'utilise tout de même le conditionnel) le cas pour vous, tatiana, virus, stressétant donné que c'est à  chacun de définir au mieux ce qu'il se passe en  lui.

    Vous êtes puissante, Madame, bien plus que vous puissiez l'imaginer, mais vous vous interdis(i?)ez de le considérer et, à mon sens, c'est cet interdit qui vous conduisit dans vos difficultés actuelles.

    Votre colère, me semble-t-il, proviendrait pour partie de là (poil aux doigts ha, ha, ha), et puis, l'égalité entre tous s'établit de nos différences n'est-ce pas, ceci d'autant plus qu'une puissance quelconque ne veut pas dire être bon en tout, je suis incapable de faire de la trottinette, d'être polyglotte et de comprendre le formalisme mathématique entre-autre, mais, de mes multiples limites, je sais de quoi je suis capable sans toutefois exploré tous mes potentiels et ceux des Humains sont immenses.

    Mais revenons-en, je vous en prie, à ce que j'ai pu comprendre de la récupération suite à un stress, sachant que cela ne remet absolument pas en question un traitement médical suivit puisque venant l'appuyer et aider à la guérison.

    Un tel phénomène, pour commencer, prend du temps et ne s'établit pas d'une manière linéaire mais bien plutôt en phases régulières de meilleurs état, suivit de brusques détériorations de situations moins pires que les précédentes, suivies d'améliorations régulières en courbes ascendantes.

    Ladite amélioration se gravit donc comme des marches d'escalier, la marche étant légèrement descendante, la contremarche ayant, quand à elle, la forme d'une courbetatiana, virus, stress ascendante jusqu'à la marche suivante et ainsi de suite.

    Là je sens un coup de barre, bon, ben, je sais que demain il sera plus fort,après-demain je me sentirai mieux puis que dans trois jours je serai en forme.

    Cela prend la même forme qu'un enfant en apprentissage qui montre souvent une série de régressions après ses progressions à l'école.

    Prenez conscience de ces cycles et évitez de forcer lors de ces descentes mais vous pouvez le faire lorsque les remontés sont évidentes mais non pas trop: le piège quand on se remet d'un stress c'est que croire que le mieux veut dire la guérison, personnellement j'étalonne intuitivement de 1 à 10 mon état (j'en suis à 7 sur 10 de mon état général), mais pour cela il faut avoir confiance en son inconscient et être décontracté quand on s'interroge ainsi.

    Le second piège serait de douter de ses capacités, quand bien même seraient-elles recouvrées en plein, ce dont je ne me suis aperçu qu'il n'y a que peu de temps (poil aux dents, hen, hen, hen).

    Ensuite et cela peut être angoissant, il faut comprendre qu'un stress, quel qu'en soit son origine, touche l'entièreté du corps mais que la récupération de chaque partie d'entre-lui ne se fait pas au même rythme, ce que j'étalonne également, les contractures corporelles menant à une réponse que l'on voudrait entendre et non pas réelle, d'où l'importance là aussi de la relaxation.

    Vous faites du yoga (réfléchissez de son pourquoi), ce qui est une bonne chose (moi-même a la souplesse d'un verre de lampe), je vous conseillerais de vous apprendre à ressentir (poêle à frire, ho, ho, ho), non pas vos organes, pour le pancréas et le foie c'est quasiment impossible, mais bien plutôt leurs tentions, ou contractions si vous tatiana, virus, stresspréférez, à chacun le mot qui lui convient, qui, vous le remarquerez aussitôt, font écho, pour chacun d'entre-eux, à celui particulier du corps.

    Si j'ai bien  compris de quoi il s'agit, vous devez vous concentrer surtout sur tout votre circuit sanguin, mais aussi sur le pancréas, le cœur, les poumons, les intestins, le cerveau reprendra ses fonctions dès lors que votre état s'améliorera, mais lui aussi mérite votre attention.

    Il s'agit de concentration douce, sans forcer, c'est pourquoi l'usage d'image mentale et de relaxation est d'importance en laissant le corps prendre sa place à son rythme.

    Utilisez lesdites images mentales pour cela et, donc, de votre imagination venant en corrélation d'avec vos ressentis, il ne peut pas y avoir de règle fixe pour cela: chacun active ses propres images et/ou ressentis.

    En parlant d'image, il est possible que vous fassiez des cauchemars qui ne sont après tout que de rêves qui font peur, vous pouvez en profiter pour les décrypter, lesdits rêves compris.

    Quoi qu'il en soit il n'y a pas à avoir peur des choses de l'esprit et si de ces cauchemars vous assaillent il est aussi possible, juste réveillé, de les transformer en combattant ce qui a ainsi généré de tels songes d'épouvante, ceci en exemple, là encore c'est à chacun de faire suivant qui il est.tatiana, virus, stress

    Vous allez commencer à découvrir, si cela n'a pas déjà commencé me paraît-il, des choses très intéressantes mais surprenantes, là encore, il n'y a aucune crainte à avoir là-dessus.

    Je pense, en ce court texte, en avoir fait le tour.

    En la situation comme la nôtre des forces inconscientes puissantes sont en jeu qui entraînent tous les acteurs, dont nous sommes, sans qu'ils n'en comprennent, sans que nous n'en comprenions grand-chose.

    Peut-être pourrais-je supputer qu'en saisirais-je un petit peu plus que la majorité des gens?

    Mais d'autres forces aussi nous contraignent et, par exemple, vous, en tant que femme, un choix vous reste à faire ayant trait aux pulsions féminines, celui du oui ou non de l'enfantement.

    Ce choix, comme pour toutes les femmes, vous appartient en propre,  ceci d'autant plus si vous n'avez pas de compagnon (poil au menton hon, hon, hon).

    Vous devez surtout être consciente, pour les réduire en vous au cas où, des angoisses majeures qui traversent en ce moment même la France et une bonne part du monde: la triple déliquescence des UE€/OTAN/USA$, d'ailleurs mon prochain libelle traitera entre-autre de ce sujet et, tatiana, virus, stresssurtout, des effets de cette angoisse en notre beau pays via les USA.

    Remettez-vous vite et, pour cela, à pas comptés, pour guérir d'un stress, d'en vouloir passer les étapes en allonge le temps passé.

     

    Nouvelle information relevée sur Sputnik France à 21 heure 30 au su jet du COVID-19 et justifiant grandement ce texte: " Le coronavirus a des effets sur tous les organes humains, assure un médecin ".

     

     

    THEURIC

    PS: ah, j'oubliais, joyeux noël (hi, hi, hi).

     

     

  • De l'ébranlement qui vient.

    Être conscient de ce qui nous anime individuellement comme collectivement, sans nous laisser subjuguer par quoi que ce soit, en les comprenant, en portant également nos réflexions sur nos instabilité mentales, sur nos faiblesses et nos forces, est, ce me semble, ce qui ne peut que nous permettre autant de nous réaliser pleinement que de nous adapter aux péripéties de la vie.

    Cette vie ne peut être un long fleuve tranquille mais est traversée autant par des étapes, des difficultés et, parfois, par de dures tribulations, voire à ce que des horreurs en viennent à se fracasser à l'encontre de notre existence.

    Conserver cette conscience pleine et entière, d'évidence autant que faire ce peu, tant de notre état physique, mental, nerveux, de comprendre au mieux les passions collectives qui peuvent nous traverser, de saisir, au meilleurs possible, la dynamique historique de l'époque, que nous y participions ou non, bien que la non-action reste en lui-même un choix et, dès lors et de ce fait une action;P1040802.JPG

    De tout faire pour garder cet esprit  clair et, mieux encore, clairvoyant, de ce qui nous anime, nous, nos proches, notre société et l'humanité est, je le concède, une gageure, mais du-moins d'être et de rester dans cette disposition ne peut qu'être profitable pour tous.

    Quand bien même certains resteront aveugles, quoi qu'il se passe, à ce qui deviendra ainsi pour les autres une réalité, ou à se qu'ils souffrent mentalement et/ou physiquement à de tels changements.

    Ceci parce que les temps qui viennent ne peuvent que se révéler une étape ardue à traverser.

    De fait, il devient de plus en plus évident pour tous que le régime néolibéral sous l'égide impérial US et de son dollar, tendent à se déliter au même rythme que leur déclin.

    ( Voici le copier/collé d'une toute petite partie d'un texte du site or.fr, traduit de l'étasunien provenant de cet autre, où s'y trouve le meilleurs résumé de ce que j'affirme, bien que j'y adjoins deux réflexions:

    1) l'hyperinflation y a bien lieu, centré dans les opérations spéculatives et boursières, mais puisque les USA importent quasiment tout et dès que la population recevra de l'argent gratuitement, cela ne pourra que s'étendre à son ensemble;

    P1040886.JPG2) s'il y a guerres, elles ont lieux: celles du Proche- Orient étendue à l'Afghanistan sont de celles-là, sans compter les guerres politiques et économiques que l’imperium conduit envers la Syrie, l'Iran, le Venezuela, la Russie, entre-autres...:

    "Les États-Unis réunissent tous les ingrédients pouvant entraîner la destruction d'un empire : déficits, dettes, dépenses militaires excessives, dépréciation de la monnaie, effondrement du commerce, épidémie, ébranlement de l'ordre public et émeutes.

    Deux choses manquent pour compléter le tableau : les guerres et l'hyperinflation. Malheureusement, ces deux facteurs sont susceptibles de se produire dans les années à venir." )

    Ce fait majeur, central, grandement accéléré en raison de la crise sanitaire due au SRAS-COV-2, nous mène, nous, français, déjà, à de grandes difficultés qui ne pourrons que gravement s'accentuer au fil du temps.

    Or, le fait qu'une part, heureusement se restreignant mais lentement, du plus haut de notre hiérarchie sociale est dans l'incapacité de le reconnaître, ou, sinon, de façon fragmentaire, mène à ce que, dans un futur plus ou moins proche, nous nous devrons, dans l'urgence, de suppléer à son incapacité et inaptitude, entre-autre du gouvernement, dès lors que les Etats-Unis-d'Amérique ne pourront plus cacher, même aux esprits les plus obtus, leur situation pitoyable.P1040617.JPG

    Comme j'ai pu déjà vous en entretenir, nous nous retrouverons dès lors face à deux éventualités:

    I)-soit le dollar tient et, auquel cas, seule l'Union-européenne subira un ébranlement de grande ampleur la faisant disparaître, ce qui serait pour nous la meilleurs des choses, ou plutôt la moins mauvaise, nous pourrons continuer de commercer d'avec le monde;

    II)-soit cette monnaie périclite et en ce cas ce sera ledit monde qui se retrouvera aussi au-dedans d'une telle situation.

    Ces questions économiques déjà présentes sont au premier chef politiques dans le sens où ce rêve d'Amérique formalise idéologiquement, même l'Allemagne, les décisions des acteurs gouvernementaux, administratifs, industrielles, bancaires et autres...

    Puisque s'établissent trois approches face à notre soumission à l'union: conservatrice, réformatrice et d’indépendance, et que les réflexions des deux premiers ne se posent que sur la continuité de son existence, que la seule crainte en sa disparition et à celle US mène dès son abord à diverse crises d'hystéries, angoisses morbides et autres agitations extravagantes et insensées;

    P1040918.JPGAlors nous pouvons considérer probable qu'un grand nombre de ceux qui  font décision en France ne seront plus en capacité de la moindre décision et action dès lors que l'UE et/ou les USA se seront plus.

    Comme j'avais déjà pu l'expliquer, il y a de forte probabilité que notre indépendance nationale nous ne l'obtiendrions pas par une haute lutte décennale mais bien plutôt ne l'aurons que par une manière ou une autre d'absence de ceux tenant la laisse qui nous enchaîne à ces unions, ceci de par la chute de l'une, de l'autre ou des deux.

    Certes, en ce moment les choses sont plus complexes que cela.

    De ces forces conservatrices, voulant que l'UE perdure telle quelle, et réformatrice, désirant réformer cette union irréformable, deux camps s'y affrontent en leur sein, celui américanolâtre et celui germanolâtre, certains passant de l'un à l'autre suivant les événements.

    Scission qu'il est possible de percevoir à l'intérieur du gouvernement jusqu'à la présidence, président y navigant d'aller en retour de Merkel à Trump.

    L'Allemagne, tergiversant depuis quelque temps entre ses intérêts propres, se sortir de l'union, et sa jouissance de dominer l'Europe, y rester, a choisi le second sur le premier de ces choix.

    Cela ne pouvant que conduire les USA, la Grande-Bretagne ainsi que d'autres pays à chercher à déstabiliser l'Union-européenne en accentuant les désaccords déjàP1040903.JPG présents entre les pays la composant ainsi qu'à l'intérieur de ceux-ci.

    Or, de  toutes, la France est, de fait, la nation la plus instable.

    Nous auront donc à gérer quatre, voire cinq difficultés majeures, des défis que nous devrons relever et pouvant s'étendre pendant un certain et indéterminé temps, soient:

    I)- une crise économie importante au mieux centrée sur l'UE, ou un effondrement économique mondial si le dollar disparaissait entant que monnaie d'échange internationale, provenant de la survenue de la pandémie, toutefois déjà entrain depuis Juillet à Août 2019;

    II)- une partie importante de la haute hiérarchie sociale devenant progressivement inopérante, elle qui est déjà totalement inefficace mais détient toutes les manettes du pouvoir;

    III)- des actions de déstabilisation du pays aux origines anglo-saxonnes dont nous devons avoir une absolue conscience,  quoi que nous pensions, et de ne pas confondre d'avec les réactions populaires normales face aux décisions absurdes, mortifères et contre-productives de notre gouvernement pour tenter de sauver ses union et euro chéris;

    IV)- la fuite, l'inhibition, les divagations et discours absurdes, le déni et scotomisation, les accusations imbéciles ou des réactions parfois violentes de la part de ceux qui nous gouvernent et d'une partie de notre intelligentsia;

    P1040919.JPGV)- le risque d'un retour de la pandémie au milieu de ce capharnaüm comme l'explique Charles Sannat.

    Notre nôtre autre gageure, amis lecteurs, est dores et déjà double, de ne pas nous laisser entraîner par des passions dangereuses et inutiles ainsi que de nous préparer à ce qu'il faut bien appeler un ébranlement, soit ce qui est plus qu'une crise et moins qu'une catastrophe.

    De ne pas se retrouver excités par des exactions d'extrêmes droites blanches, noires (surtout africaine) ou musulmanes.

    Tout autant que de mouvements anarchistes qui se montrent toujours absurdes et allant à l'encontre de nos intérêts.

    De nous y préparer tant en intendance (faire ses réserves), physiquement qu'intellectuellement, aussi que de prendre soin de nos proches qui risquent de péter un câble lorsque tout cela surviendra.

    Bien entendu, il est impossible de prévoir avec précision le futur et l'ensemble de ces événements pourraient, sait-on jamais, ne pas avoir lieu, ou, du-moins, de ne pas survenir aussi violemment, certains même se passer en douceur ou de ne pas advenir.

    Toutefois, de se préparer au pire ou, suivant le vieille adage : "qui peut le plus, peut le moins", ne peut que nous permettre d'agir avec la meilleurs efficacité possible.

    Mais pour cela il nous faut et faudra avoir la vision la plus concrète possible du sensP1040583.JPG des circonstances.

     

     

    THEURIC

  • Les USA nous menèrent une guerre!

    Cétoine dorée ou Hanneton des roses- Cétonia  Aorata-, coléoptère de la famille des Scarabaeidae.

     

    Bonjour tout le monde,

     

    Avant propos:

    Une amie m'a conseillé de séparer chaque partie de mes textes d'un sous-titre.

    Considérant l'idée bonne parce que rendant mes textes plus lisibles et agréables, je me plie donc à sa proposition.

    Je ne vous propose pas le nom des fleurs mais juste celui des insectes, plus facile àP1060453.JPG dénicher sur le net ou dans mes bouquins.

     

    Préambule:

    Nonobstant cela, il serait vain de vouloir exhorter quelqu'un de ne pas angoisser.

    En revanche, il est, de mon approche, sain de montrer qu'il est nécessaire d'affirmer que, pour notre futur et quand bien même une période difficile plus ou moins longue nous attend, notre situation n'est pas si désespérée que cela.

    Non pas parce qu'il ne faudrait pas que la population se lamente dans le pessimisme et que, dès lors, il faudrait raconter une histoire purement optimiste pour lui remonter le moral.

    Mais bien parce que je pense résolument, que je considère en raison que rien n'est perdu et que tout est à gagner, le principal étant d'être conscient de ce qui nous contraint, mais aussi d'un début de réflexion de nos complications dès lors que cette contrainte, notre domination de l'imperium US, ne sera plus.

    Je vous ai exposé, amis lecteurs, par le passé, la théorie que propose Christian Greiling dans son livre " Le grand jeu" (je donne l'adresse de son blog plus bas) qui se joue à l'international entre la Russie et la Chine d'un coté, les Etats-Unis-d'Amérique de l'autre.

    P1060671.JPGIci il s'agit d'un complément nécessaire pour saisir le fin mot de cette affaire.

    Bonne   lecture.

     

    Une lecture, une révélation, un tournant:

    Ma foi, il est parfois des débuts de lecture qui se relèvent être une révélation et le livre "Le syndrome de l'ortolan" d'Arnaud-Aaron Upinsky, publié en 1997 m'est de ceux-là.

    Ce n'est pas parce qu'il démontre ce que j'ai déjà remarqué tant en politique, en économie qu'en mensonge médiatique et, ce, qu'il le fit bien avant tout le monde..., mais qu'en un court paragraphe il donne un sens cohérent à cet ensemble (page 19 en haut de page):

    ...la France est la cible n° 1 des Etats-Unis, le seul obstacle fondamental à leur domination mondiale sur les esprits.

    La France est le seul état-nation en Occident dont l'autorité historique puisse contester radicalement le droit moral des USA au "leadership" à la domination mondiale (correction personnelle radicale par la traduction du mot).P1060738.JPG

    La seule à pouvoir véritablement mettre en cause  la barbarie abstraite venue du nouveau monde, au nom de ses principes inverses.

    La seule à pouvoir démasquer l'essence totalitaire du modèle réductionniste américain.

    Voilà, le sens est donné de notre réalité multidécennale, nous avons été conquis par un empire lors d'une guerre de la représentation, soit ce qui concerne notre compréhension du monde, de comment anthropologiquement nous nous y considérons, le considérons, le comprenons, nous nous y mouvons, nous y avons notre existence collective et individuelle, soit notre composition de sens, explique l'auteur.

    Mais maintenant les USA se délitent et se fractionnent.

    Le procédé employé fut ce qui est nommé comme étant de la communication et de la pédagogie mais qui n'est toujours que propagande, tromperie perverse et endoctrinement.

    Aussi bien que de ce qui est pompeusement et trompeusement dénommée une réalité virtuelle, informatique, il est vrai, mais aussi publicitaire, propagandiste, par tous les sectateurs impériaux, dont ceux français, pro-unioniste.

    Ensemble qui, en vrai, n'est qu'un fatras de fictions que les médiats (synonyme: P1060409.JPGindirecte), le personnel politique, les puissances de l'état profond (la haute administration) et de l'oligarchie (les omnipotents monétaires) n'ont eu que de cesse de déverser à l'endroit de nous le peuple par lesdits médiats interposés.

    Ceci au propre dépend de tous ceux-là français qui en furent et sont les vecteurs, en cela ce sont des crétins!

    Quand bien même certains se révéleraient d'un bon niveau d'intelligence, intellectuel et/ou culturel: leur américanolâtrie eurolâtre conduit ces euronouilles à pervertir leur propre nature et à progressivement se ruiner tant mentalement qu'économiquement.

    A se jeter dans ce vil et nauséabond caniveau.

    Rien que le terme de réalité virtuelle est trompeur puisque la réalité est, par évidence, c'est pourquoi il ne peut qu'être que cohérent de considérer que ce qui est conçu par l'informatique et/ou est inventé pour toute propagande, est soit fictionnel, dans les jeux ou en géopolitique notamment, soit la représentation de cette réalité biaisée, soit la matérialité d'une publicité politique et/ou économique.

    Soit, et cela ne concerne que ladite informatique dans son aspect merveilleux, cette virtualité permet une perception supérieurement sensorielle du monde, en accroissant les capacités de nos sens, visuel, auditif, du touché, voire de proprioception, mais aussi de nos représentations, de nos échanges et commerces, informationnelles aussi...

    (N'oublions pas que les États-Unis  détiennent presque tous les médiats informatiques, de Windows (prononcez vindovese) à Google (prononcez gogol) jusqu'à  Youtube (tel quel) et Face Book (prononcez fesse bouc ou face boque, dans la mythologie moyenâgeuse, embrasser les fesse du diable, représenté, comme le dieu Pan des grecs anciens, d'un corps de bouc avec un visage humain surmonté de cornes, était le fait des sorciers...).)P1060760.JPG

    Ce que démontre fort bien le tableau de René Magritte sous le titre de "La trahison des images": "Ceci n'est pas une pipe":

    Or et comme il l'affirmait lui-même: « La fameuse pipe, me l’a-t-on assez reprochée ! Et pourtant, pouvez-vous la bourrer ma pipe ? Non, n’est-ce pas, elle n’est qu’une représentation. Donc si j’avais écrit sous mon tableau « ceci est une pipe », j’aurais menti ! »

    Il en est de même des fleurs et insectes dont je décore mon  blog qui, évidemment, ne sont pas réels mais en sont juste les images recueillies par mon appareil photo, transférées ensuite dans mon ordinateur (la machine qui ordonnance les informations grâce aux algorithmes dont elle est le support, ensemble créé par l'Homme) puis dans mon site.

    Certes, Monsieur Upinsky ne semble pas (je n'en suis qu'au début de lecture de cet ouvrage), tel que le fait Monsieur Greiling dans son blog, considérer l'aspect thalassocratique, maritime, de cet imperium, qui le conduit à vouloir corseter la Chine et la Russie, les deux puissances terrestres, pour pouvoir développer son P1060724.JPGpouvoir sur tous les peuples et pays du monde, de tenter de le conserver au moment où son déclin devient patent et irréversible.

     

    Le pourquoi:

    Toutefois, sa volonté de détruire la France par tous les mensonges possibles et imaginables, d'user de tous les mécanismes perfides pour cela, ses raisons profondes, qui sinon ne resterait une quasi énigme, devient, à la lecture de ce court texte, une évidence: la France est le pays qui lui est le plus dangereux!

    (Ce à quoi Monsieur Asselineau ne parle jamais, soit parce qu'il n'en a rien compris, soit parce que, lui aussi, est part trop doctrinalement structuré.)

    Remémorons-nous cette intervention de François Mitterrand peu de temps avant son décès:

    « La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort apparemment.

    Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde. C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort. »

    Cette guerre, là encore, n'est pas seulement économique, j'oserais même affirmer que l'économie n'est que l'arbre rachitique qui cache cette immense forêt, le hochet pour amuser les foules.

    Il s'agit plutôt pour les étasuniens, qui se considèrent comme étant le peuple élu, celui ayant une destinée manifeste, dotés du sentiment d'exceptionnalisme sur toute autre nation, de transformer toutes les populations du monde en américain, ou P1060732.JPGalors, le conçoivent-ils ainsi, s'ils luttent contre la puissance US, qu'ils  soient détruits et disparaissent, les exemples en sont nombreux, au Proche-Orient notamment.

     

    Tout ce dont nous devrons réparer en France, un énorme et magnifique travail nous attend:

    Il est vrai qu'en France aucune maison, ni ville, ni village n'a été bombardée, aucune troupe US ne parade dans notre pays, nul n'est fusillé sur place publique, d'aucun n'est emprisonné pour des motifs politiques par une puissance étrangère, mais:

    -notre industrie, nos mines, notre agriculture sont détruites et/ou évaporés;

    -notre science est devenue affligeante, voire évanescente, sinon même fantomatique;

    -des scientifiques, le personnel politique, une partie de la haute administration et de la puissance d'argent, les agents des médiats, voire peut-être bien nombre de militaires et de policiers, de leurs gradés, sont tous puissamment, absolument endoctrinés et, parfois, achetés, qu'il nous faudra remplacer;

    -la population est poussée à l'angoisse, au stress post traumatique, à la violence de l'un contre l'autre et à la paranoïa par tous les moyens, dont celui du masque, j'y reviendrai plus bas qui éloigne les gens les uns des autres-;

    De l'indigénisme par l'intermédiaire, entre tant d'autres, de Mesdames Obono et Traoré, de Monsieur Mélenchon et des adhérents et cadres de FI, du RN, du REM, de EELV, de LR, ainsi que des journalistes officiels que des activistes islamistes et de bien d'autres-;

  • Remarque, mais pas seulement, sur notre temps présent!

     

    La guerre du Mali, puisque c'est ainsi qu'elle risque bien de s'appeler dans un petit peu de temps, montre à quel point le néolibéralisme a militairement affaibli la France, l'Europe et surtout combien les États-Unis-d'Amérique et l'Angleterre n'ont plus de capacités opérationnelles hormis l'évacuation de leurs troupes.

    Du-moins se montrent-ils tel, eux qui aimeraient tellement cacher cette faiblesse.

    Les islamistes, bien que cette dénomination recouvre une réalité fort complexe, offrent à l'Europe le réveille dont elle avait besoin.

    L'économie-politique anglo-saxonne dont elle s'était, s'est entichée dans son aversion existentielle de vivre l'évènement, le sentiment que les U.S.A. resteront, jusqu'à la fin des temps, le garant d'une paix éternelle l'a persuadé que la chose militaire n'était plus que dérisoires souvenirs des époques où les conflits européens faisaient ceux du monde, où les siècles de chocs puissants et mortels répandaient morts et terreurs, où le souvenir du cataclysme exterminateur pervers et cruels de l'hitlérisme générât une culpabilité sans nom, où la scission en deux Europes en firent sœurs ennemies dans le même sentiment de devoir payer leurs fautes.

    Tout cela se fit avec de logiques raisons mais les temps changent!

    De puissants mouvements émergent dont l'extrémisme religieux, le plus visible vient de l'Islam, n'en n'est qu'un modeste échantillon.

    Le catalyseur en sera l'effondrement des U.S.A., du Royaume-Uni; l'Angleterre, elle, bien qu'elle traversera des années très difficiles, saura trouver le moyen de se sauver d'une totale décrépitude.

    Déjà tout le monde comprend que le roi est nu, l'Amérique n'est plus.

    Et ce magnifique bouclier, qu'il était, nous protégeait jadis sans effort des vicissitudes de la violence commune des états et des peuples, de l'histoire.

    Il n'est plus là pour nous offrir de cette paix éternelle à laquelle depuis tant de temps nos aïeux aspiraient, l’Éden.

    L’angoisse monte!

    Plus encore, bercés, hier, comme des enfants, par cette quiétude tiède dû à la rassurante mais apparente puissance d'un oncle Sam au fait d'une gloire dès maintenant en extinction, tous, ou quasiment, en notre doux continent, suivirent les consignes sottes de conseillés d'économie en tout point ruineuses.

    Ainsi est ce néolibéralisme, tare achevée des délires dérisoires mais mortels d'un obscur obscurantisme, ploutocratie orgueilleuse prétendant prendre place des aristocraties passées, en Europe comme dans les Amériques, en un délire psychopathique nous contraignant à la pauvreté, dans une dérive hallucinatoire de l'infinité de leur enrichissement nous entraînant sous peu dans une ère où monnaies et argents perdront toute valeur.

    Alors que tous contempleront, aux faîtes des calamités, la faillite commune des centres économiques, les banques en fermeture, les monnaies en dérision, viendra se signaler le frémissement d'éveille d'une Europe perdu sans son bouclier paradisiaque de cet Amérique en perdition.

    Mais voilà qu'au Mali quelques zigotos, héritiers anachroniques des flux périodiques des fous de dieu qui guerroyaient leurs semblables pour purifier un Islam qui ne leur semblait que si peu respecté par des croyants à leurs yeux faiblement vertueux, viennent vouloir déstabiliser l'un des nœuds majeur du nord-ouest de l'Afrique tant fragilisé où des minerais nécessaires à notre subsistance interdit à la France, à l'Europe de laisser cette massacreuse conversion religieuse donner toute sa puissance.

    Et là se contemple en directe le vide infini de la ridicule capacité d'action de tous les pays européens sauf la France qui ne peut qu'utiliser un matériel d'une telle ancienneté que l'usure y est au-delà de la panne.

    L'Allemagne aimerait tant nous accompagner sur les chemins mouvementé, tortueux des aventures guerrières, sans le dire, sans peut-être même le savoir, sans en être consciente, contrainte par le souvenir des terribles temps où elle se laissât entrainée par un fou et ses meurtriers truands, elle n'ose mais bave d'envie, retenue par un frein qui, en vérité, ne tient plus que par un frêle fil n'attendant que la moindre des péripéties pour rompre.

    Le reste de l'Europe, toujours psychologiquement scindée en ses deux zones, est et ouest, reliquat d'un temps pas si lointain où les deux démocraties régnantes, populaire et libérale, assouvissaient leurs puissances par d'autres, tant d'autres, chacune désignée d'un sigle au même commencement: "union", qui enfantèrent, en leur fin, l'Union-Européenne, le reste de l'Europe, dis-je, sud et nord, ouest et est, garde toujours en mémoire la riche et terrible histoire des tribulations historiques; tous voudraient partager en confédération pas encore satisfaite parce que toujours union.

    Deux milles, trois milles ans partagés, voire plus, tellement plus, de cette histoire ouest-eurasiatique voyant depuis tant de temps passer les envahisseurs déferlants, venant de ces contrées lointaines, arrêtes par l'Océan insondable et restés là de ne pouvoir aller plus loin.

    Europe, amoureuse du dieu des dieux, Zeus, amoureux d'elle, plus qu'une histoire, plus qu'un mythe, Europe et ses fils, presque dieux, futurs dieux, Europe enfantée de la Grèce, Europe reste toujours inscrite, en nom, comme socle et fondation, en filiation de l'ouest-eurasiatique, filiation oubliée, puissante filiation parce que oubliée.

    Peut-on comprendre l'Europe sans connaître rien qu'un peu de cette mythologie?

    Et voici que ces fous de dieu, chaperonnés par ces pays de l'arabique péninsule culpabilisant de leurs richesses provenant de puits de pétroles dont il est déjà perçu le fond, de leurs égratignement du rigorisme que leur habitat déclame, de faire appelle à ces barbares d'européens, seuls capables de bâtir cette modernité que leurs fortunes commandent, que ces fous de dieu, donc, raniment ce rêveur, ce géant endormi de ne plus vouloir être elle, l'Europe et qui, maintenant, en a oublié jusqu'aux raisons de son oubli.

    Et voici que cette Europe, encore ensommeillée, tout juste s'ébrouant, éberlué des craintes de voir s'affaisser le tout dernier titan, son gardien, son sauveur, comprend que la ronde de la vie, de la mort, de l'histoire arrive à sa porte, y toque, y sonne.

    Bien?

    Mal?

    L'Asie, les Amériques, l'Océanie, l'Afrique, des quatre coins du monde le retentissement de l'effroyable écroulement de ces U.S.A. déjà vacillants se redoute autant que la pire calamité, de ces pays s'achètent en dollar de rien leur remplissant les caisses, le reste des valeurs en usines et en biens que les européens vendent sans y comprendre goute; Le rire des acquéreurs, rire de bon cœur et avec raison, résonne sur la Terre comme si elle tremblait de toutes fondations: comment ne pas s'amuser de ces anciens maîtres qui se dépouillent ainsi de leurs derniers fleurons?

    Qu'y aurait-il donc à craindre de cette région du monde où on s'y déshabille sans pudeur et sans honte de ce qui fit d'elle première?

    Moi je la crains!

    Elle, l'Europe, conserve encore en elle de cette pure folie qui secoua l'univers, força l'humanité, domina bien des peuples.

    Arbitre ou acteur?

    Ou autre, aussi?

    A-t-elle dans ses rêve acquise une sagesse telle qu'elle saura peser et poser, en gestes de paix et en justes puissances, l’apaisement de pays aux conflits frontaliers?

    Saura-t-elle donner justice quand le faible et fragile état risque d'être avalé par un plus puissant que lui?

    Ou voudra-t-elle renouveler, triviales jouissances, de ses anciens pouvoirs, anciennes dominations, qui firent que du levé au couché du soleil, ses rayons y puisaient les sources de son empire?

    Ou bien, ou bien, de cette énergie encore balbutiante se fera-t-elle Ariane en fil inspirateur pour le voyage promis au sein de toutes étoiles, instigatrice des seuls chemins d'une destinée vouée à tout humain: visiter les planètes et le vide abyssal, transcender le destin des foules tempétueuses dans les folles poursuites des courses au long-cours?

    Voilà de ce réveille ce que je voulais dire, l'Europe est aujourd'hui à l'aube de son temps, soit ange, soit démon, voire un peu des deux, mais ce qu'elle se voudra être déterminera, à jamais, le futur d'Homo Sapiens Sapiens.

     

    THEURIC

  • Nous ne devons plus penser l'économie qu'en terme politique et non pas la politique qu'en seul terme d'économie.

    Quand un système économique et social accumule part trop de paradoxes et de contradictions, ce qui est le cas autant en Europe, en Occident, Japon compris, que dans le reste du monde, le poids de ces paradoxes et contradictions et, surtout, les tensions qui les accompagnent ne peuvent que conduire:


    1) à la faillite totale du-dit système;


    2) ces mêmes tensions sociales s'étendant dès maintenant à l'ensemble des sociétés pouvant conduire à des conflits armés.


    Le reste ne sont que des discutions  sur le sexe des anges.


    Aucun, je dis bien aucun peuple ne peut supporter longtemps de telles discordances économiques et de tels bouleversements sociaux, s'agissant là de quasiment toutes les sociétés mondiales.


    Certes, ici et ailleurs, j'ai pointé quelques-unes de ces contradictions interne au néolibéralisme (d'autres le font bien mieux que moi), je me suis aussi agacé de certaines idées précontrainte, mais pour moi cela n'a plus aucune espèce d'importance: il ne sert à rien de se pencher sur les mécanismes internes d'un système moribond, ces mécanismes disparaîtront en même temps que ce système économico-politique.


    Et ce système, dans ses représentations philosophiques, sociales et politiques, ne concerne pas seulement que le seul néolibéralisme, loin s'en faut, il englobe également presque toutes les composantes idéologiques qui ont progressivement  émergé depuis  beaucoup plus qu'un siècle-et-demi, les unes liées à la bourgeoisie conquérante du XIX° siècle (qui plus tard deviendra capitalisme puis néolibéralisme, je me dois de préciser, cela comprend toute la droite d'aujourd'hui, l'U.D.I., l'U.M.P. et le F.N., hormis le gaullisme, historiquement spécifique) et les autres nées de la réaction à cette toute puissance bourgeoise (le socialisme, le communisme,  la sociale-démocratie, bien sûr le social-libéralisme, tous en disparition et, pour partie, l'écologie politique).


    J'appelle cet ensemble: "l'économisme dogmatique" puisqu'il place l'économie et tous ces formalismes, quels qu'ils soient,  comme primordial sur toutes autres sortes de considérations sociales.


    Et aujourd'hui nous en voyons l'aboutissement et,  bientôt, sa fin.


    C'est pourquoi il est impossible de réformer ce-dit système, autant pour des raisons institutionnelles, culturelles que politiques, les trois axes de toutes sociétés complexes.


    Mais, bon sang de bois, vous ne percevez donc pas devant quels cataclysmes nous sommes?


    Je puis vous affirmer que ce qu'il se passe en Ukraine n'est qu'une infime gesticulation en regard de ce qu'il se prépare.


    Et ne croyez pas qu'il se trouverait quelques manipulateurs de haut niveau pour fomenter je ne sais quel plan machiavélique, ce ne sera que le développement logique et chaotique d'une humanité en perdition.


    Regardez, même les américains, orfèvres dans le genre, ne sont même plus capable d'une manipulation de quelque envergure sans que cela ne leur pète à la figure.


    C'est ça le problème ukrainien, les américains ne savent même plus comment se sortir de ce bourbier, parce que, après avoir emporté l'or ukrainien, ils ont enfin compris que ce seront les russes qui vont en tirer tous les avantages futurs, quitte à ce que ces derniers vendent tous leurs bons du trésor U.S....

    Ce qui ne fera qu'accélérer ce processus de désagrégation économique mondiale.

    Le second problème de l'Amérique c'est que de laisser en Mer Noire leur marine de guerre trop longtemps risque de définitivement les ruiner, une telle flotte loin de ses bases coûte cher, le ravitaillement, la logistique est toujours terriblement onéreux pour une armée.

    Bel exemple de choix impossible, de double contrainte: soit les Amériques rentrent chez eux et déclarent de fait leur défaite aux yeux du monde, voire leur déroute, soit ils reste et se ruinent.


    Nous ne devons plus penser, aujourd'hui, au y-a-qu'à-faut-qu'on, cela ne sert plus à rien, il nous faut penser demain, les événements se suivront à une vitesse infernale et nous n'aurons plus que le temps de réagir sans vraiment pouvoir penser nos actions.


    La plupart d'entre-vous n'a même pas idée devant quoi nous sommes et quand j'y pense, cela m'effraie.


    Et je sais, de plus, que cet aveuglement a une large part d'inconscient, tout le monde comprend, du tréfonds de lui-même, que j'ai raison mais d'en être conscient reviendrait à remettre en cause tout ce sur quoi se sont bâtit près de deux siècles d'histoire, imaginez du peu...


    Il a fallu un siècle et trois révolutions pour que la démocratie s'installe en France, deux guerres mondiales pour l'Allemagne, 70 ans d'U.R.S.S. pour la Russie et, au XVII° siècle, une terrible guerre civile en Angleterre et ce fut la pensée économique qui fut le lien entre la période de monarchie plus ou moins absolue et la démocratie.


    Ce processus fut plus brutal encore pour le reste du monde, entre colonisations (Afrique), massacres, guerres civiles et génocides (Amérique), modernisations forcées (Japon) [les parenthèses étant ici des exemples].

    C'est pourquoi la politique, dans son complexe formalisme, doit impérativement prendre le pas sur une pensée néolibérale qui n'est que le dernier avatar grimaçant de cet économisme dogmatique dont  je vous ai, plus haut, entretenu.

    Mais quel est le socle sur lequel assoir une telle doctrine mettant la politique à sa juste place et l'économie en rôle subalterne?

    Il nous faut considérer  tout d'abord les quatre pôles structurant toute nation:

    1) Ses frontières en délimitant l'espace et, ainsi, définissant le dedans et le dehors de cette nation;

    2) Le peuple en déterminant ses habitants sous forme d'une société:

    La multiple complexité de son histoire, de sa géographie, de sa psychosociologie, le type de ses institutions aux origines souvent anciennes fondent, entres autres, ce que peut être un peuple.

    Les immigrés, légaux ou pas, acceptés ou pas, qu'ils se sentent ou non de la nation  accueillante, font partis, de fait, de ce peuple, sauf ceux qui partent, si ils partent;

    3) Le pays en précise l'ensemble en un tout reconnaissable autant par ses habitants que par les autres peuples en une unité relative de langue(s), d'institutions, de relations conscientes et inconscientes entre les ressortissants (la proxémie), sa géographie, les divers régions qui le composes et les spécificités liées à chacune d'elle...;

    4) L'état qui est le tout institutionnel qui formalise cette nation et, dès lors, l'entièreté de son organisation politique, j'entends ainsi que la moindre commune comme faisant parti de l'état, même si la-dite commune s'organise en propre, indépendamment ou non du pouvoir central.

    Une nation doit donc impérativement considérer le dedans et le dehors d'elle-même, c'est cela le socle et le ressort de toute politique.

    Étant entendu les jeux politiques complexes individuels et collectifs qui s'établissent autant à l'intérieur qu'à l'extérieur de cet état (le mot jeu doit être considérer ici comme les relations complexes d'intérêts convergents et divergents).

    Le rôle du politique, élu en démocratie (sauf, parfois, pour le pouvoir exécutif), c'est à dire de la personne dont est échu la responsabilité, en quelque dimension que ce soit, d'organiser tout ou partie de cette nation, en interne comme en externe, son rôle, donc, revient autant à ordonnancer les différentes et diverses compositions professionnelles, de bases économiques et non-économiques, constituant la nation (les entités sociales), les relations entre individus et, également, les relations établies avec toutes les autres nations, alliées, ennemies ou neutres (les géopolitique et géostratégie).

    Je propose, en discutions, de considérer comme nouvelle gauche toutes approches équilibrées des différentes et divers entités sociales structurant notre nation et, aussi, de considérer le peuple comme suffisamment adulte pour comprendre les nécessités politiques et, collectivement, de voter son accord ou désaccord sur tel ou tel point, votation ne devant pas être remis en question.

    Dès lors nous pouvons considérer que:

    1) La politique, en tant qu'entité sociale, détenant en vrai l'ensemble des leviers sociaux de pouvoir, se doit tout d'abord être sous le joug d'une stricte séparation des pouvoirs empêchant le législatif, l'exécutif ou le judiciaire d'accaparer et/ou dominer une autorité distinct (cela avait été dit bien avant moi, le rappeler est nécessaire).

    Elle doit aussi d'être maîtrisée par des élections permettant d'écarter régulièrement les précédents élus pour éviter tout abus de puissances, d'où qu'ils viennent, à un rythme à déterminer (c'est la constatation de l'uniformisation de la pensée politique et idéologique, dû au formalisme théocratique du néolibéralisme et de l'Union-Européenne ainsi que de la colonisation de fait par les américains de notre nation culturellement, économiquement et politiquement aussi que de toutes les autres nations composant l'U.E. qui, avec logique, pour une large majorité d'électeurs, détermine les errements et égarements électoraux actuels);

    2) Les relations extérieurs, diplomatique et/ou guerrière, ne doivent être considérer que comme du seul intérêt national et non pas pour des intérêts autres, qu'ils soient ceux d'une union (l'U.E.) ou d'une puissance étrangère (les U.S.A.).

    3) (rajout du 11/04/2014) Il est impératif qu'aucune entité sociale ne prenne l'ascendant sur le monde politique, sous quelque forme que ce soit, les aberrations et aveuglements de quasiment  toute la classe politique actuelle vient, justement, de sa domination multiforme, autant décisionnelle qu'idéologique, par l'ensemble de ce qui est dénommé les investisseurs et qui ne le sont plus, désormais, que de nom.

    (Je me dois de préciser que le rôle essentiel des médiats fait qu'ils doivent être placés hors de toute domination, dusse-t-elle être politique et, surtout, en ce moment, économique, ils doivent donc avoir un statut spécifique qu'il reste à définir, son coût de production rendant ce statut complexe à déterminer.)

    L'économie est donc l'une des infinités des composants de notre société, économie, elle-même, pouvant se subdiviser en une infinité de composants, tous, je le conçois, intimement liés, mais aux intérêts, parfois, largement divergents.

    Seuls les détenteurs des flux monétaires ont, aujourd'hui, droit au chapitre, les entrepreneurs et autres agents économiques prenant pour argent comptant ce dogmatisme néolibéral, ce qui n'est que de la pure sottise, parce que en total contradiction avec leurs intérêts propres et leur est de ce fait préjudiciable.

    Toute personne se réclamant de la gauche doit donc considérer, maintenant, comme impératif la soumission et le contrôle de tout flux monétaire, le social-libéralisme que représente en France le Parti- Socialiste ne peut plus, dès lors, être considérer comme représentant de la gauche gouvernementale.

    Je l'ai déjà dit, il y a un glissement de gauche à droite des partis politiques et des idéologies les traversant.

    Mais les nouvelles doctrines qui pourraient représenter une gauche novatrice et moderne ne sont encore qu'à l'état d'ébauche, de plus, il est fort possible que ce travail s'élabore par des personnes ne se considérant en rien de gauche ou même soient eux-même considérés comme ne faisant pas parti de ce mouvement, voire soient jugés d'extrême-droite par la bienpensance euro-béate.

    Mais la pire des difficultés de vouloir explorer de nouveaux horizons en philosophie politique, comme d'en bien d'autres domaines, vient de la solitude que cela risquerait de créer, solitude possible dû à la fuite des personnes proches en raison d'un discourt divergent de ceux ordinairement admis, ou même de l'obligation au silence de celui ne pouvant se permettre de dire ce qu'il pense réellement.

    Nous nous devons, donc, au-delà de tous les aléas, construire pas à pas ces nouveaux principes.

    Le problème est que nous n'avons que peu de temps.

    Sinon, ces nouveaux principes se structureront de par le simple fait des événements, avec tout ce que cela entend d'égarements et de tribulations.

    Que j’aie, en tout cela, tord ou raison.

     

     

    THEURIC

  • Le début du basculement: la rupture.

    Nous sommes entrés dans le basculement des sociétés des hommes, la disparition prochaine des U.S.A. et l'effondrement de l'économie-monde en seront le déclenchement véritable.

    Ce basculement sera certes rapide mais d'une rapidité se comprenant sur une période qui s'étendra sur des décennies.

    Ce basculement sera la mutation profonde de notre humanité, la plus profonde, la plus essentielle que notre humanité ait vécu depuis qu'elle est telle.

    Mais ce basculement ne se fera pas sans que les vertigineuses forces qui sont tapis dans les sombres recoins de notre esprit ne nous poussent aux plus exécrables et destructrices des folies.

    Aujourd'hui nous n'en sommes juste qu'aux prémisses, c'est cela qui fait l'objet de ce texte, c'est pourquoi son sujet premier en sera la rupture.

    Rupture du passé n'ayant plus de raison d'être, mais rupture seulement, pas en lien avec un avenir pas encore en germe, le germe du futur, le basculement.

    Que ceux considérant que je suis trop pessimiste soient rassurés, je ne le suis pas, pas plus que je ne peut être optimiste, à quoi cela me servirait-il?

    Il me paraît plus important d'essayer d'analyser au mieux les dynamismes historiques en cours en ne penchant ni d'un coté, ni de l'autre.

    Comment voulez-vous sinon que chacun puisse se faire son idée?

    Ce qui est en train d'éclater ce sont les infinis déséquilibres mondiaux, sociaux, économiques, politiques, qui rompent les uns après les autres comme peut se rompre un barrage, d'abord pierre après pierre, puis l'eau, entrainant d'un coup le reste de la retenue, se déverse en une déferlante impétueuse et sauvage, fracassant et détruisant tout en contrebas.

    Aujourd'hui, contrairement à ce qu'il peut se dire çà et là, la baisse du prix du pétrole, même après sa rapide et timide remonté ( graph_oil.php ), montre et démontre à ravir la désindustrialisation rapide du monde et non pas de présupposé jeux spéculatifs provenant de la volonté étasunienne de ruiner la Russie, ou de celui des saoudiens déterminés à anéantir l'empire U.S..

    Peut-être l'un ou l'autre, voire l'un et l'autre, n'auraient-ils fait qu'accélérer ce processus, en brusquer l'avènement par des plans sans réelle vision, même à court terme, mais ces déséquilibres sont à ce point faramineux que, même sans le moindre incident, ces mécanismes de délitement se seraient activés.

    Les transports internationaux commencent à souffrir de cette désindustrialisation, maritime d'abord, celui des conteneurs, l'aérien suivant bientôt.

    Les monnaies ne sont pas reste et la valeur et valorisation de chacune ne dépend plus d'une réalité économique d'aucune sorte, tant en fut produite plus qu'à profusion, mais à quelques caprices spéculatrice dont personne, en vrai, ne peut connaître les raisons, même les spéculateurs.

    Les bourses aussi sont dans un état lamentable et, à l'image des monnaies, ne sont plus le reflet de la nature des entreprises d'une région, d'un pays, d'un continent, mais de celle de cette masse monétaire incommensurablement engendrée en une prolifération débilitante, à croire que la seule industrie encore vaillante ce sont les rotatives des banques centrales.

    Bourses montées aujourd'hui plus haut encore que le ciel par de seules manœuvres chimériques faisant croire richesse une montagne d'un argent électronique n'existant que parce que chacun d'entre-nous veut croire que cela veuille dire autre chose que: ça ne vaut rien!

    Mais il n'est pas que de la seule économie dont nous pouvons contempler ce début de désagrégation.

    En politique également nous pouvons voir cette rupture en œuvre.

    Passons rapidement sur les différentes élections dans les pays sud-américains qui virent, depuis maintenant des années, y devenir chef de gouvernement de divers états des personnalités n'étant plus en rien inféodé aux dictats U.S., démontrant par là même la terrible faiblesse des États-Unis-d'Amérique.

    Tout autant, ne nous attardons pas sur le désengagement des pays dits B.R.I.C.A. (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) du dollar et de leur soutient inconditionnel les uns des autres (tant que les U.S.A. resteront un danger), cela pour réduire autant que faire se peut les effets délétères des gesticulations dangereuses de Tonton Sam égalant son manque de prudence et de subtilité.

    Non, pour moi, le fait le plus marquant démontrant cette faiblesse fut la visite que Monsieur Hollande et Madame Merkel rendirent à Monsieur Poutine, qui aboutit à l'accord Minsk 2 pour une paix en Ukraine, en opposition marquée avec les multiples prédispositions des U.S.A. et de l'équipe de Monsieur Obama pour une monté en puissance du conflit civile ukrainien, voire leur tendance sinistre pour développer des querelles avec la Russie.

    Peut-être également y eut-il lieu des échanges au sujet de la Grèce, ce qui ne serait pas pour me surprendre.

    Sachant le besoin crucial des U.S.A. de conserver à sa botte une Union-Européenne qui, comme a pu l'affirmer Monsieur Sapir, est, avec sa monnaie, l'euro, la dernière protection du dollar contre les spéculateurs.

    Ceci expliquant cela, connaissant l'étroite connexion entre l'empire U.S. et l'U.E., cette dernière et sa monnaie ne pouvant survivre sans l'existence de son maître, nous pouvons comprendre les raisons de cette violence économique qui s'abat avec fureur, aujourd'hui sur la tête des grecs, demain sur n'importe quel autre peuple: les dirigeants de notre union ont parfaitement compris que leurs jours sont comptés et suivent le même compte-à-rebours que leur seigneur outre-atlantique, que faire survivre encore quelque temps les banques, assurances et fonds spéculatifs c'est les faire perdurer encore un peu.

    Parce que aussi et également, paradoxalement, aujourd'hui, si l'Union-Européenne lâche, les États-Unis disparaissent.

    Ce contre quoi aucun gouvernement d'un quelconque pays européen ne peut, pour l'instant, économiquement lutter, quand bien même s'appellerait-il Allemagne ou France, même si ces deux puissances indépassables se sont alliées et même si ils ont osé prendre des décisions politiques et diplomatiques.

    Ceci explique également les reculades passées de l'Autriche et de la Hongrie.

    L'histoire a toujours montré qu'une idéologie finissante, grandement partagé par les élites, tend toujours à la monté de sa violence, de sa dangerosité et de son autodestruction, au même rythme qu'elle décline.

    C'est pourquoi, également, les discours sur Monsieur Poutine et l'Ukraine tendent à se scinder de plus en plus entre les médiats publiques (la 2) et ceux du privé: cette mince fissure, encore qu'entrouverte, montre également l'éreintement, l'affaiblissement de cette redoutable ploutocratie dont il est inutile de prononcer le nom de ses représentants tant ils sont visibles, connus et ne sont, en vrai, que de pauvres et ridicules radoteurs de ces mêmes vieilles, sottes et ruineuses sornettes.

    Mais que ce soit au niveau politique ou économique, ce qu'il se passe actuellement n'aura que peu d'incidence dans le futur, hormis, bien sûr, du rapprochement franco-allemand et celui de ce couple d'avec les russes, auquel il faut, bien entendu, rajouter la Grande-Bretagne et son suivisme maladif de l'empire U.S., éloignant encore plus le Royaume-Uni de cet émancipation politique progressive que prend chaque pays de l'union, pour le meilleurs et parfois le pire.

    Le gouvernement d'Angleterre, en de ces ironies que l'histoire aime bien échafauder, risquant de devenir le dernier pays europhile de l'Union-Européenne.

    C'est pourquoi je crains tellement une ruine catastrophique pour une Albion tellement vidée de ses entreprises et de son agriculture, lorsque cette rupture, cet effondrement de l'économie-monde s'abattra sur nous.

    Ce qui disparaîtra également, ce qui disparaît déjà, c'est l'idéologie néolibérale, ce dogme mortifère faisant de l'argent la seule balance mesurant la valeur de toutes choses, qui sut phagocyter jusqu'à la moindre parcelle de sensibilité, par la publicité, notamment, ce viole immonde des consciences, ou par la divulgation d'un art vulgaire et niais, tel que le rap, et qui, en politique, sait si bien s'acoquiner avec les discours les plus creux et les personnalités les plus viles.

    Ce qui est important, en revanche, pour l'avenir, c'est ce qu'il se passe sociologiquement chez chacun des peuples de l'Union-Européenne qui, à son rythme propre, tend à reconstituer une identité devenue indistincte et confuse, malade d'une propagande continuelle datant d'il a des décennies, des exigences folles et dispendieuses de l'U.E. et d'une société marchande néolibérale internationale matraquant continuellement son dogme de telle sorte que chacun en avait perdu son sentiment d'être de sa société, d'être citoyen.

    Parce que tout cela, les populations en avaient perdu toute raison d'être Soi, en avait perdu toute identité.

    (Comment voulez-vous que des gamins paumés puissent se construire dans une telle société où même les élites, pour une large part ignorantes, ne savent même pas ce qu'elles sont et, pire, qui elle sont, tellement elles se haïssent de se vouloir et ne pas pouvoir être Américaines.)

    Maintenant, c'est cela qui revient: l'identité.

    En France ce retour fut tempétueux, farouche, même, lors des attentats qui eurent lieu en Janvier et qui firent vingt morts (j'en avais écrit quinze dans des textes précédents, pardonnez-moi de cette erreur), les dix-sept personnes assassinés et les trois kamikazes.

    Ce fut une explosion identitaire de la classe-moyenne blanche éduquée, ceux qui par dérision furent surnommés bobos, ceux qui, dans très peu de temps, remplaceront cette caste lessivée qui, depuis le milieu des années 70, a gouverné le pays et l'Europe.

    Ce retour d'identité s'exprimera bientôt, comme je l'ai déjà noté, par le retour du fait religieux suivant les antécédents majoritaires dans chaque pays, catholique en France, par exemple.

    Ce retour d'identité s'accompagnera également, paradoxalement, de cette sorte de renvoi sociologique à une époque antérieure que j'ai appelé rétrogression, comme une reprise en main des peuples qui, pendant un siècle, se sont égaré dans le labyrinthe tumultueux des idéologies économiques, l'économisme dogmatique, et qui aujourd'hui ont un immense besoin de poser enfin leurs deux pieds sur un sol solide, même si son essence est quasiment ancestrales.

    Cette rupture commencera par ce retour à des valeurs anciennes, surannées, il ne pourrait en être autrement, tous, nous sommes bien trop meurtris de ne plus savoir, en vrai, qui nous sommes du pays qui fait nôtre.

    Industriel, commercial, monétaire, boursier mais surtout idéologique, avec, central, la dernière utopie encore vivante: l'américanolâtrie, c'est tout ça qui, déjà, s'effrite devant nos yeux et qui, quand ça se sera abattu par les incommensurables forces des contradictions accumulées, sera balayé par cette lame titanesque que sont les incohérences misent en place par l'oligarchie nationale, européenne, étasunienne et mondiale.

    Ne restera, alors,  que l'immense vide laissé par cette déferlante, qui se comblera de lui-même du meilleurs comme du pire.

    Parce que la rupture n'est que le tout début de ce basculement et que nous ne sommes qu'au tout début de cette rupture, nous devons comprendre au mieux tous les dynamismes en jeu, en rester conscient, il n'y a que cela à faire mais c'est d'une importance vitale: "Qui observe transforme!".

     

     

     

    THEURIC

     

  • Nouvelles idées en vrac.

    Je vais, une nouvelle fois, vous proposer un ensemble d'idées qui, il est vrai, ne sont pas d'une suite logique reposant sur un thème unique.

    Je vous avoue même que, pour l'instant, je ne sais encore exactement quels sujets j'aborderais, hormis une ou deux approches.

    La première sera toutefois une réflexion sur les suites des meurtriers événements qui eurent lieux dans les bureaux du journal Charlie Hebdo et dans le magasin juif porte de Vincennes à Paris et des manifestations populaires qui suivirent.

    Je vous laisse donc, tout autant que pour moi, à la surprise des thèmes abordés.

     

    Ce qu'a pu vouloir dire le "je suis Charlie", au-delà de toute propagande:

     

    Nous sommes en Mai et quatre mois déjà se sont écoulés depuis que les attentats sus-nommés eurent lieux.

    Depuis, hormis une loi liberticide de notre gouvernement et de l'Assemblée Nationale aux ordres, qui, en vérité, se révèlera inefficace, autant pour contrôler le peuple que pour empêcher de quelconques attentats, ceci simplement en raison de son coût, et qui, à y regarder, ressemble à ce qui pu se faire chez nos maîtres étasuniens dans ce réflexe infantile du féal de vouloir ressembler à son seigneur et suzerain, hormis cela, ces événements semblent s'être éloignées de nous.

    Or, il n'en est rien, tout au contraire.

    Nous pouvons tout d'abord en tirer quelques leçons:

    -la première étant qu'en vrai, tout simplement, les états européens n'ont que faire d'une violence de faible ampleur de cette sorte, ils s'y sont depuis si longtemps habitués, et ce depuis des siècles, que cela ne représente, pour eux, qu'une gène provisoire, et, tout au contraire, nous pouvons voir que cela leur permet d'en utiliser le ressort, de l'instrumentaliser dans le cours et moyen terme;

    -secondement, comme à la fin du XIX°, début du XX° siècle l'anarchisme fut écarté du paysage politique français et européen en raison de la violence de ses adeptes les plus sectaires, ce qui fut suivit par son rejet du peuple, l'Islam subira le même sort, pour les mêmes raisons, quelque soit l'instrumentalisation qui en est fait et quelque soit la valeur de ses préceptes;

    -en troisièmement nous pouvons relever qu'il existe un certain nombre de contradictions dans la suite de ces événements qui, je le pense, nous en montrent leurs dynamiques cachées, la carte d'identité et les empreintes digitales retrouvées dans la voiture des kamikazes, par exemple, étant pour le moins étrange de la part de personnes encagoulées et, donc, sensément, voulant ne pas être reconnues et donc retrouvées par la police.

    Mais au-delà de ces faits, ce qu'il me semble réellement d'importance n'est pas cette ignominieuse tuerie mais les manifestations spontanées et officielles qui eurent lieu ensuite.

    Comme j'ai pu l'écrire auparavant, celles-ci furent l'affirmation du patriotisme des (majoritairement) blancs éduqués, de la classe-moyenne intermédiaire à haute, appelée par dérision bobos.

    Or, une telle réaction ne peut survenir par hasard mais ne peut qu'être la résultante d'une longue maturation individuelle et collective, cette tuerie n'ayant eu d'effet que d'en cristalliser l'évolution.

    Cette affirmation est d'une importance capitale pour comprendre le futur de la France de part les multiples implications qu'elle suggère:

    1) Montée en puissance d'une nouvelle classe dirigeante, là intellectuelle, en remplacement de l'ancienne, bourgeoise, capitaliste et maintenant purement oligarchie ploutocratique finissante, à l'image du développement puis la prise de pouvoir cette même bourgeoisie, du XVII au XVIII° siècle, au détriment de la noblesse et de l'église, ce qui donnera à l'époque la révolution de 1789; nous pouvons observer aujourd'hui le déclin définitif de cette aristocratie d'argent;

    2) Le sentiment nouveau d'unité que ressent cette classe-moyenne éduquée, intermédiaire à haute, fait qu'elle n'a pas encore réellement collectivement compris;

    3) Son rejet de l'Union-Européenne non encore avoué, qu'il est possible de percevoir, par exemple, au-travers de l'important progrès du nombre d'adhésion au sein de l'Union-Républicaine-Populaire ( les-partis-politiques-respectent-ils-lintelligence-des-francais );

    4) Sa particularité c'est d'être fractionnée en une multitude de champs professionnels qui, jusqu'à maintenant, l'empêchait de se comprendre en tant qu'unité sociale, unité qu'ont permis ces attentats, nous montrant ainsi qu'il ne suffisait que d'un événement pour que s'accélère ce sentiment d'identité partagé.

     

    De l'invisibilité de l'effondrement économique en cours:

     

    Cela fait depuis des années que je conjecture un effondrement prochain de l'économie-monde et,  jusqu'à présent, personne, du-moins en France, ne semble en avoir sentit le moindre effet.

    Certes, le chômage augmente très fortement, mais, pour le reste, rien ne paraît indiquer le moindre frémissement d'une telle tragédie, les magasins sont bien fournis en toutes sortes de choses provenant des quatre coins du monde, les banques font leur métier (du-moins paraissent le faire), les médiats nous content, par le menu, des événements sans grande incidence pour la vie de chacun: il fait beau, il pleut, il fait froid, il fait chaud, une gamine se fait tuer par un malade mental, ce qui est triste, c'est vrai, mais ne concerne en rien notre avenir à tous...

    Donc, rien ne semble se passer de dangereux, même la baisse du prix des carburant nous semble être une aubaine ( graph_oil.php ).

    Or, il n'en est rien, cette baisse, accompagnée par celle des matières premières, tel que le fer ( graph.asp?idbank=000810667 ), le cuivre ( historique.phtml?mo=0&form=OUI&code=XD0002742340&symbole=7xCAUSD&choix_bourse_graf=country%3A33&tc=line&duree=120&pe=1&is=0&mm1=50&mm2=&mm3=&comp=0&indiceComp=1rPCAC&codeComp=&i1=4&i2=no&i3=no&grap=1 ) et plus encore le sucre ( graph.asp?idbank=000495557 ), montre, si il en était besoin, que cette diminution du prix du pétrole brut est un événement bien plus important que de simples économies aux stations d'essence.

    Or, ce à quoi nous assistons c'est que, contrairement aux multiples crises passées, l'effondrement industriel précède, là, celui des bourses.

    Il est même probable que ce à quoi nous assistions n'est, ni plus, ni moins, que le premier crash industriel que le monde n'ait jamais connu, ce qui voudrait dire qu'avance discrètement la mise au chômage généralisée de quasiment l'ensemble de l'humanité.

    C'est pourquoi la crise qui arrive nous est, pour tous, invisible, chacun ne regardant que ce qu'il se passe dans son propre pays et, ce, à tous les niveaux hiérarchiques, personne ne percevant cette lente dégradation universelle, d'autant plus que le champ idéologique néolibéral, toujours extrêmement puissant, voile au plus grand nombre la réalité de ce fait.

    Surtout, nous faisons face, à chaque crise, à la certitude réductrice d'une grande partie des populations, de l'ensemble de leur gouvernement, des spéculateurs et des commentateurs que celle qui vient sera semblable à la précédente, ce qui à chaque fois se révèle totalement faux.

    (La raison de cet effondrement industriel est simple: les entreprises occidentales tendant depuis longtemps à s'expatrier hors de leurs frontières à la recherche de coûts de production encore plus réduits, cause de l'augmentation du chômage et de la baisse des salaires occidentaux, déménagent au fur et à mesure que les émoluments des salariés de chaque nation pauvre ainsi industrialisée s'accroissent et qu'émergent leur classe-moyenne.

    Ces industriels n'arrivent plus, aujourd'hui, à trouver suffisamment de clients pour vendre leurs produits puisque les classe-moyennes, pas seulement occidentales. sont pour une large part ruinés.

    Maintenant, pour tenter de survivre, ceux-ci réduisent encore plus le nombre de leurs employés, ferment de plus en plus de fabriques, voire se regroupent pour faire, comme ils disent, des économies d'échelles, ce qui veut simplement dire mettre les gens au chômage.

    D'autant plus qu'en raison des demandes exorbitantes en dividendes des marchés boursiers et autres (dé)investisseurs, les entreprises n'ont que peu, voire pas investi en recherche et développement, ce qui a, par là-même, affaibli leurs positions.)

    La faiblesse des états étouffés par leurs dettes abyssales, la surproduction délirante de monnaies de toutes sortes faisant mécaniquement baisser leur valeur, un déni généralisé quand au danger réel devant lequel nous sommes, les décisions contreproductives des institutions gouvernementales des pays européens, d'Amérique-du-Nord, d'Asie et de bien d'autres, tout cela fait que nos dirigeants politiques sont dans la plus absolue impossibilité d'une action quelconque.

    Il n'est qu'à voir l'incurie de notre gouvernement et de ses décisions calamiteuses pour saisir combien ceux qui nous gouvernent, tant en politique qu'en économie, ne comprennent rien de ce qu'il se passe actuellement, à de rares exceptions près.

    Déjà les premières banques font faillite et je ne serais pas surpris d'apprendre, bientôt, la ruine d'un fond d'investissement, de retraite ou d'une entreprise d'envergure internationale.

    Certes, les mécanismes économiques sont plus complexes que ce que j'en décris mais, dans l'ensemble, la relation de cause à effet de cette baisse du prix des matières premières liée à la désindustrialisation généralisée telle que je vous l'ai montré est cohérente.

    Il est à noter que le nouveau G.E.A.B. d'Avril 2015 s'égare encore plus dans son fantasme d'un système économique néolibéral perpétuellement valide et international en titrant: " Le crash 2015 n'aura pas lieu!", son déni de la réalité rend dérisoire le L.E.A.P..

     

    Des dérisoires tentatives de notre gouvernement pour contrôler le peuple.

     

    En ce moment, à l'Assemblée Nationale, est proposé un projet de loi sur le renseignement qui, je ne vous le cacherais pas, m'amuse beaucoup.

    Suite aux attentats qui firent 17 victimes plus les trois kamikazes, soit vingt personnes, ce qui représente 0, 000 000 3 % de la population française, bien que leurs dimensions symboliques soient patentes, un complexe texte de loi est proposé à nos législateurs, le plus souvent simples représentants d'une chambre d'enregistrement, permettant à la police et aux services secrets, dès lors aux seules forces administratives, d'écouter et lire ce qu'il peut se dire et s'entendre sur internet et par le biais des téléphones.

    J'avais montré, dans la fable: "Le paysan et les grandes oreilles" ( fable-1-le-paysan-et-les-grandes-oreilles-5549498.html ), que les écoutes électroniques demandent un personnel qui seul serait dans la capacité de trier les nombreuses informations saisis par les ordinateurs de ce futur service d'écoute.

    J'avais également montré l'inanité du contrôle du citoyen dans "Aphorisme" ( http://nouvelhumanisme.hautetfort.com/apps/search?s=aphorisme&search-submit-box-search-16212=OK ) dans ces trois extraits:

    -"Le contrôle des citoyens coûte cher quelque soit les moyens employés, c’est pourquoi toutes dictatures finissent toujours par s’effondrer, ruinées."

    -"Les magistrales avancées technologiques actuelles font oublier que tous systèmes trop complexes (et parfois simples) deviennent sensibles aux conditions initiales, c’est à dire chaotiques, comme la météo, vouloir faire contrôle de la population grâce à l’informatique, quelque soit la puissance de calcul, rendra ce contrôle impuissant: un facteur crucial sera toujours oublié, ou ignoré."

    -"L'illusion totalitaire c'est de croire pouvoir tout contrôler, cela ne dure qu'un temps, contrôler tout le temps épuise et, progressivement, des espaces d'éventualités se libèrent, puis de possibilités, de faisabilités, enfin le peuple s'émancipe et chasse cette caste éreintée."

    Les exemples sont nombreux dans l'histoire moderne de ces tentatives d'espionnage des citoyens, toujours ces régimes, de droite comme de gauche, se sont effondrés de part l'emploi immodéré d'agents de surveillance, eh oui, ça coûte cher.

    C'est pourquoi, nos gouvernants, nos agents nationaux de la ploutocratie internationales, m'amusent beaucoup, eux qui ne cessent de nous seriner le fait que le pays se doit de faire des économies vont, par cette loi, si elle est votée par les chambres d'enregistrement, ruiner tous leurs espoirs de voir notre pays enfin remis de dettes qui, quoi qu'il en soit, ne seront jamais remboursées.

    Allez, qu'ils fassent encore un petit effort et ils sauront accélérer cet effondrement économique qui, de fait, est déjà bien avancé.

    Toutefois nous montrent-ils, ces messieurs et dames qui nous gouvernent, leur véritable visage: celui, grimaçant et grippe-sou, d'un totalitarisme mou

  • Quelques nouvelles idées en passant.

    Bien entendu, je vais un petit peu commenter les événements se passant en France, mais je vous propose aussi quelques idées, dont une ou deux, je le conçois, risque de surprendre.

    PICT0264.JPG

    Triple remarque sur les processus probables  de l'inconscient individualiste:

     

    Certes, l'individualisme c'est cette idéologie infantile considérant la jouissance égoïste infini comme étant d'importance primordiale pour tout Être Humain.

    Nous pouvons aussi percevoir cette doctrine comme étant la résultante historique d'une "démocratisation des signes de pouvoir, de puissance et de richesse", soit que chacun d'entre-nous puisse agir de même sorte que l'imagerie ordinaire montre des seigneurs et rois d'antan, puis des bourgeois, se faisant servir par nombre de serviteurs, et luttant tous contre tous pour un peu plus de pouvoir, un peu plus de richesse.

    Ce que nous pouvons encore voir lors des gesticulations des richissimes rachetant par ci, revendant par là, qui un morceau d'entreprise, qui des dettes d'état, dans ce besoin irrépressible de montrer à ses paires une fortune inutile mais bien plus grosse que le voisin.

    La démocratisation des signes de pouvoir, de puissance et de richesse se montrant, ici, entre-autre, par le remplacement des serviteurs de ces seigneurs et bourgeois passés, par l'achat, la possession et l'usage de "biens de consommation" succédant, sensément, aux-dits serviteurs, sous forme de machines, robots, aspirateurs automates..., jusqu'aux automobiles qui prenaient, antérieurement, la place des carrosses et autres nobles voitures hippomobiles, mais qui, aujourd'hui, sont devenues totalement indispensables pour le déplacement de chacun.

    Même lien que nous pouvons faire avec les produits stupéfiant, hier réservés aux classes aisées dominantes et maintenant pouvant être utilisés par n'importe qui, en voici donc une démocratisation stupéfiante.

    Mais il me paraît important que nous portions aussi notre attention sur deux autres causes de cet individualisme actuel.

    Le premier en étant  nos habitats, que ce soit le pavillon refermé sur lui-même et ceinturé de murs ou l'appartement d'où personne ne connaît aucun voisin une fois la porte de palier fermée, habitats situés le plus souvent dans des villes d'importance, forçant chacun d'entre-nous à rester centré, solitaire, essentiellement sur notre moi-je, notre seul entourage proche, famille et amis, quand nous en avons.

    Enfin, il y a la grave mais logique acculturation, provenant de ce que les sociétés humaines furent contraintes de s'expatrier dans des villes plus ou moins grandes, générant plus ou moins d'isolement, quand il y a peu encore, moins de cent ans en Europe et en Occident, moins de trois décennies ailleurs, nos ancêtres étaient pour une large majorité d'entre-eux, d'humbles paysans vivant dans de petits villages où chacun connaissait chacun, au moins de vue.

    Acculturation provenant de cette rupture humaine d'avec ce passé proche, d'avec son ordre, ses habitus, ses us, ses fêtes, ses croyances, d'une révolution des sociétés des hommes sans que les esprits n'aient eu le temps de s'y adapter, à la recherche d'une modernité dont la seule qui fut servie fut celle propagée par des médiats souffrant souvent des mêmes maux,  l'individualisme, mais en pire.

     

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    Réflexion sur des intelligences non terrestres, si elles nous rendent bien visite:

     

    Je le conçois, faire sujet de ce thème peut paraître osé, mais si des militaires français en firent un rapport sérieux à bien des égards, c'est que de se pencher sur cette matière ce n'est pas faire preuve de loufoquerie, de chimère ou d'attrait pour le surnaturel (à ce propos, le terme même de surnaturel est idiot puisque ce qui existe est naturel par essence, même les productions humaines, ou n'existe tout simplement pas) mais bien avoir une approche réaliste de notre monde.

    Pour qui suit de temps en temps des émissions ou articles là-dessus ou se promène sur internet, peut percevoir qu'il y a un nombre important de formes d'O.V.N.I. différentes, dans l'ensemble elles peuvent se catégoriser en trois, en un long tube, en une soucoupe, en un chevron ou un triangle.

    D'autant plus que chacune de ces formes peuvent se conjuguer de différentes manières, eut égard tout de même, des canulars, illusions et autres erreurs de jugement.

    Cela ne pouvant que vouloir dire que deux choses, soit il s'agit de peuples différents, peut-être nombreux, soit ces visiteurs sont d'une seule espèce, et se retrouveraient dans une phase de transition sociétale où une technologie est en train d'en remplacer une autre pour eux sur la voie de l'obsolescence.

    Toujours est-il que ces visites doivent être, pour eux, d'importance, pour nous étudier, évidemment, mais cette étude pourrait s'effectuer par un nombre restreint d'engins, or il semble ne rien en être.

    D'autant plus que, pour toute société technologique, plus encore que le matériel, le coût en énergie est d'une importance fondamentale, c'est ce quoi fait et forge une économie, et quand bien même ces êtres auraient une science inconnue pour nous et seraient capable de voyager à une vitesse bien au-delà de celle de la lumière (300 000 KM./S, tout de même), l'énergie dépensée devrait être considérable et les questions d'infrastructure et d'intendance complexes (même à cette vitesse, il faut tout de même du temps pour aller d'un point à un autre).

    Selon l'un des principes de la vie, du-moins telle que nous la percevons sur Terre, rien ne se fait sans intérêt, je ne pense pas qu'il en soit différemment sur d'autres planètes aux formes de vies divers et autres, même intelligentes, surtout intelligentes, les intérêts devenant de fait plus nombreuses et complexes.

    J'émets même l'idée que les intérêts d'une espèce, tant en nombre qu'en complexité, sont directement proportionnelle avec son degrés d'intelligence.

    Alors, me semble-t-il, les questions fondamentales que nous devrions nous poser à leur propos devrait être: quel est leur intérêt à ainsi se montrer régulièrement à nous, par incident, par volonté, par ruse ou pour toutes autres raisons?

    Et également: combien d'êtres différents est-il possible de décompter?

    Cela ne pouvant se faire qu'en relevant l'ensemble des observations sérieuses de par le monde, la forme des engins, leur moyens de propulsions visibles ou inconnus...etc...

    Ce qui me surprend le plus c'est que les seuls êtres répertoriés auraient deux bras, deux jambes, une tête, deux yeux, qu'ils aient de formes très "humaines", donc, humanomorphe, cela ne correspondant en rien de ce que nous savons des processus évolutifs, beaucoup plus imaginatifs que cela.

    C'est ça, plus que tout autre choses, qui me fait dire que, si ils existent et nous rendent visite, et il y a de très forte chance que ce soit le cas, ceux de ces êtres qui ainsi se baladent au-dessus de nos têtes ne peuvent qu'être multiples aux formes différentes, à la biologie et la structure mentale tout autant, alors, les a-t-on envoyé comme éclaireurs, ces humanomorphes, pour ne pas nous effrayer?

    Mais je suis certains qu'il ne peut qu'y avoir des invariants chez toutes ces races intelligente non humaines, la capacité d'agir sur son milieu (comme pour nous les mains)  et celle de pouvoir communiquer et échanger avec ses semblables (nos langages) seraient, à mes yeux, les plus important parce que le ferment de toute société constituées.

    De plus, peuvent-ils échapper aux relations de pouvoir, aux rapports de force, aux questions d'organisations et d'intendances, aux conflits et à leur résolutions, aux processus décisionnels, aux problèmes des échanges à l'intérieur des sociétés de chacune de ces races et entre inter-espèces?

    En fait, peuvent-ils faire l'économie de la politique, de la guerre et de l'économie?

     

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    Petite approche d'une stratégie spatial:

     

    Au vu des rapides évolutions qui déterminèrent nos sociétés depuis deux à trois siècles, et les guerres de grande ampleur en furent, quoi que nous en disons, d'incroyables accélérateurs, la prochaine qui se profile déjà, même si nous ne pouvons pas savoir exactement quelle forme elle prendra ni quels en seront, précisément, les belligérants, l'espace sera, à n'en pas douter, la quatrième arme qui apparaîtra inéluctablement, après celles de terre, mer et air.

    Suis-je belliciste?

    Non, tout au contraire, ne faisant que considérer le stress social intense d'échelle planétaire provenant de l'explosion technologique, de l'acculturation puissante des sociétés, de l'incroyable surpopulation actuelle (7 300 000 000 d'Êtres Humains sur Terre, environ), des nombreuses empreintes anthropiques dont les pollutions ne sont pas les moindres et de cette faillite universelle dont je ne cesse de vous mettre en garde, tout cela ne pouvant que conduire à  une conflagration qui se pourrait bien se révéler être d'échelle mondiale.

    Or, les deux guerres mondiales montrèrent qu'une confrontation de très grande ampleur (de tous les français) entre des forces équivalentes, accélérerait de manière quasiment exponentielle les avancées scientifiques et, surtout, technologiques.

    Déjà la surveillance satellitaire d'une flopée d'engins spatiaux automatiques est devenue d'une importance géostratégique centrale, voire vitale, dès que tout pays a acquis une certaine puissance internationale.

    Chacun d'entre-nous fut aussi informé des divers tentatives pour détruire de ces satellites espions, de la part de nations ayant en main une expérience dans la propulsion d'engins au-delà de la stratosphère.

    Tenant cet ensemble en une cohérence réflexive, la détention de capacités de s'extraire au moindre coût de l'attraction de notre planète pour y envoyer des hommes remplacer des machines facilement destructibles, ne pourra qu'être qu'envisagé, dès le moment d'une confrontation armée mondialisée se fera jour, si, bien sûr, une telle éventualité survient.

    Logiquement, dans un premier temps, ces machines habitées n'occuperont que l'orbite basse, puis, progressivement, elles s'éloigneront jusqu'à ce que les premières stations s'installent sur la Lune et que des véhicules spatiaux occupent divers positions géostationnaires.

    En fait, tout dépendra du coût humain, énergétique et industriel pour les belligérants, ainsi que de la vitesse de déplacement de ces véhicules, ainsi que des découvertes qui se feront dès l'instant où ces lignes sont écrites.

     

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    Brèves méditations sur les manifestations dues au rejet populaire de la loi du travail dite El Khomri:

     

    J'ai une profonde commisération pour Madame El Khomri, la même que je pourrais avoir pour tout lampiste.

    Cette petite dame a-t-elle bien conscience qu'elle fut choisie plus pour la consonance de son nom que pour ses qualités?

    Quoi qu'il en soit, personne ne peut dire jusqu'où les grèves et manifestations actuelles peuvent mener.

    Et ces événements, quels que soient leur aboutissement, ne pourrons que gravement fragiliser l'Union-Européenne.

    Il est tout de même surprenant que l'Union-Européenne s'échine ainsi à proposer aux pays sous sa coupe la même politique qui ruina le Royaume-Uni, les allemands et bientôt l'Allemagne.

    Cette tendance autodestructrice d'une fédération européenne sous l'égide germanique (vieux rêve hitlérien, déjà) et la domination étasunienne, fait qu'elle part en vrille et rien ni personne ne peut arrêter sa chute.

    Pour l'instant, tout semble simple et clair pour le gouvernement, les grèves et manifestations sont entravés de divers façons, d'ailleurs, je me demande si il n'y a pas des mouches aux Q.G. des syndicats, mais ceux-ci font montre d'une stratégie d'ensemble jamais vu jusqu'à présent.

    A croire que le syndicalisme a évolué depuis celui de grand-papa.

    En fait, dorénavant, c'est l'Allemagne qui pâtit de tout affaiblissement de l'U.E..

    Avec sa Deutschbank au bord de la crise cardiaque, sa perte de production industrielle, logique si on songe qu'elle a ruiné tous ses clients européens, son intransigeance anthropologique et délires ontologiques habituelles, sa totale mainmise sur une Union-Européenne perdue de voir son maître

  • De l'angoisse des temps obscures.

    Le problème que pose notre époque pour un grand nombre de gens c'est que ceux-ci ne comprennent pas se qu'il se passe.

    Je ne dis pas qu'il n'existe pas d'autres raisons de s'angoisser, loin de là, mais que le tourment existentiel, premier et collectif de notre époque est de ne pas saisir les raisons pour lesquelles chacun s'appauvrit.

    Pourquoi donc notre gouvernement se mettrait-il ainsi physiquement en danger en promulguant de tels décrets, de tels ordonnances, en déposant de tels projets de loi que les assemblées délibératives votent sans vrai état d'âme?

    Voire même à ce qu'il en vienne à installer un pouvoir non plus policier mais militaro-policier, n'y en a-t-il pas un en Lettonie, pays faisant parti de l'union?

    A se demander d'ailleurs de sa véritable nature, l'empire semblant tellement apprécier autant les salafistes que les nazis.P1020967.JPG

    Pourquoi, aussi, tant de journalistes se foutent-ils de nous en racontant l'inverse de la réalité des événements.

    Pourquoi les policiers agissent-ils ainsi qu'ils le font à l'endroit des manifestants?

    Pourquoi les petits-enfants en savent-ils moins que leurs grands-parents au même âge?

    Pourquoi le monde est-il ainsi devenu fou ou, du-moins, semble l'être devenu?

    Pourquoi sommes-nous rendus en des temps si obscures?

    De mes maigres moyens j'ai noirci les écrans pour donner du sens à ce qui ne paraissait pas en avoir, parce que de comprendre au mieux ces folies ne peut que permettre de retrouver l'apaisement nécessaire face à un pouvoir déjà insensé, devenu suicidaire, face à des événements incompréhensibles, flous, stupides, déraisonnables.

    Mais que de tels olibrius, à quelques exceptions près, aient pu ainsi, depuis trois législatures au moins, être élus tant aux élections présidentielles, législatives que sénatoriale via une propagande égale à celle qui existait aux temps de l'Union-soviétique;

    Bien qu'en ce qui concerne les sénateurs des gens sérieux puissent encore y être présent puisque le sénat n'a qu'une importance délibérative réduite;

    P1030094.JPGQue donc dis-je que de tels insuffisants puissent être à la tête de l'état depuis plus de 15 à 20 ans ne peut qu'exaspérer et désespérer le citoyen.

    Ceci au regard de cet effondrement idéologique et politique puisque nos élus nationaux ne font qu'avoir une approche doctrinale similaire et, ce, quel que soit le parti concerné.

    Que des lois, de plus, tant au sujet des retraites, des libertés publiques, des relations salariales entre employés et employeurs, économiques et sociétaux au sens large du terme, puissent être déployées ne pouvaient que faire monter une colère d'autant plus importante que la finalité de tout ce fatras en est totalement abscons.

    Or, il a une raison d'être, une origine dont ensuite découle le reste.

    Cette origine a un nom: le grand jeu.

    De celui du XIX° siècle qui vit la confrontation entre l'empire britannique et la Russie en Asie et en Mer Noire, à la seconde moitié du XX° siècle jusqu'à aujourd'hui entre l'empire US contre l'URSS d'abord, puis la Russie et la Chine ensuite, c'est la confrontation d'un empire maritime contre toute puissance terrestre pouvant diminuer sa domination impériale.

    Avec la lutte entre Athènes et Sparte, il s'agit donc de trois thalassocraties passées et P1030469.JPGprésentes en un fonctionnement similaire.

    Le livre de Christian Greiling, que j'ai commencé à lire, vers lequel je vous renvoie plus haut ("feuilletez" les premières pages déjà éclairantes, pour les faire tourner cliquez la flèche de droite puis de gauche), que je vous conseille vivement de découvrir, ainsi que son site: Chronique du grand jeu, en expliquent autant les raisons que les enjeux (vous pouvez aussi aller voir cette vidéo comme premier jet réflexif).

    Mais, me demanderiez-vous avec logique, en quoi cela nous concernerait-il?

    En quoi les décisions absurdes de Monsieur Macron en obéissance des obligations des GOPE et des oligarques français, européens, étasuniens et de l'Union-européenne, toutes aussi contre-productives, pourraient-il faire le lien d'avec cette lutte, que nous pouvons dire à mort, entre la Russie et la Chine d'une part, les États-Unis-d'Amérique d'autre part?

    Tout simplement pour la double raison de rendre les pays européens politiquement inopérants grâce à l'union et ses institutions totalement verrouillées, mais aussi de piéger ses différents gouvernements en maintenant leurs plus grosses banques en survie grâce à l'injection de dollars, ceci suite à leur quasi faillite lors de la crise de 2008 dite des subprimes.

    P1030246.JPGLa menace, implicite, est dès lors clairement entendue: si vous souhaitez quitter l'union, vos banques ne seront plus alimentées en monnaie et vous vous retrouverez en faillite.

    Il est à remarquer toutefois que les banques US se retrouvent, elles aussi, en situation de cessassions de paiement.

    Donc, pour l'empire, garder sa mainmise sur les nations de l'UE lui est vitale pour pouvoir contenir la Russie à son ouest, russes qui, part ailleurs, contiennent également les étasuniens au Proche-Orient.

    Et nous, français, nous nous retrouvons au milieu de cette guerre larvée sans que nous n'ayons  jamais demandé quoi que ce soit à quiconque: nous ne sommes qu'un pion dans ce grand jeu.

    N'oublions pas non plus que le coup d'état qui eut lieu en Ukraine fut le fait d'une alliance d'américanolâtres néolibéraux et de, là encore, néonazis, sous les hospices attentives du gouvernement des USA de l'époque, et que, de ce fait, puisque les gouvernements européens et les journalistes avaient tous accepté cet acte, nous pouvons en subodorer légitimement l'orientation dogmatique.

    En réalité, de ces seules orientations, elles ne se font que sur deux bases, leur obéissance absolue à leur maître US et d'avoir le plaisir de leur faire plaisir et, ce,P1030226.JPG contre espèce sonnantes et trébuchantes.

    Il y a toutefois des exceptions, telles que François Hollande qui avait tenté de manipuler le manipulateur en poussant Obama  à bombarder la Syrie, ce qui se révéla un raté manifeste, sinon magistral, tant US que français.

    La Russie ayant fait montre de capacités de brouillage informatique supérieur.

    Mais surtout l'Allemagne qui, elle, ne veut qu'une seule chose: le gaz russe par l'arrivée de leurs gazoducs, elle qui avait délaissée ses centrales nucléaires après l'accident de Fukushima, suite au tsunami de 2011, et qui maintenant s'aperçoit que les éoliennes et les panneaux photo-voltaïques ne peuvent produire suffisamment d'énergie pour une société moderne.

    Mieux même, accroissent fortement la mortalité allemande en raison de la forte augmentation du coût de l'énergie, mais aussi japonaise qui prirent les mêmes décisions que nos voisins pour les mêmes résultats, tout en produisant une pollution supérieur.

     

    P1030155.JPGMais revenons à la France et aux origines des angoisses des français voulez-vous.

    Il s'agit là de protéger sa personnalité, puisque ce mécanisme, dont je vais rapidement vous narrer la trame, se réduit à un ensemble de processus inconscient menant à cette angoisse collective, angoisse elle-même masquée par un ensemble d'histoires extravagantes qui, si le niveau d'étude n'avait fait que de se développé, n'aurait jamais pu être accepté par la population puisque remettant en cause les notions scientifiques acquises à notre époque.

    Quelles sont donc ces anxiétés qui, parfois, comme pour tous processus inconscients, peuvent se révéler contradictoires?

    Leurs sujets, pour l'essentiel, tournent autour de notre appartenance à l'Union-européenne et à notre domination par l'empire US.

    Mais avant tout je vais vous révéler ce que sont ces masques qui, pour certains, ne sont que le fruit de notre imaginaire collectif, quand les autres, eux, sont bel et bien la résultante de manipulations impériales.

    Il s'agit donc autant de mécanismes endogènes qu'exogènes, je commencerais par les seconds:

     

    -De ces derniers, il en est ici de ce réchauffement climatique anthropogénique qui P1020490.JPGremettent gravement en question les fondements de la physique classique.

    Je vous invite à visiter mon blog sur ce point, mais aussi et surtout d'un certain Jacqueshenry.

     

    -Il en est de même, en ce qui concerne la simple biologie de base, de la "théorie du genre", expression qui fleure si bon la vulgate publicitaire, voulant que ce serait la société qui déterminerait la sexualisation des gens.

    Son but étant de châtrer psychologiquement autant l'intelligence que la volonté des français en rendant indéterminé la sexualité de chacun d'entre-nous et, dès lors, de notre identité tant individuelle que collective, ceci en atteignant surtout les classes-moyennes les plus hautes, l'élite réelle de la nation.

    Ayez toujours en mémoire de la nécessité de l'empire de pouvoir contrôler l’Europe pour ceinturer la Russie sur son ouest, c'est pourquoi il fait tout pour nous faire perdre la boule.

     

    -Nous  faire croire que c'est uniquement grâce aux Amériques que l'Allemagne hitlérienne fut vaincu, sachant que l'empire est maintenant en voie de décomposition avancée.

    P1030036.JPGCe qui est, là encore, historiquement faux, bien qu'il soit vrai que ce pays y a grandement contribué, l'Angleterre et la Russie furent tout de même les deux principaux acteurs de cette défaite.

    Là y est recherché de faire perdurer le sentiment que les États-Unis-d'Amériques sont toujours l'hyper-puissance d'antan, certes pour nous, mais aussi à leurs propres yeux, mais tout le monde sait ou sent que ce n'est pas vrai.

    Ses deux seules réelles sources de puissance restante c'est le dollar, il est vrai avec des capacités militaires encore présentes mais désormais dépassées et non pas seulement par celles des russes.

    Et aussi ce qui représente son véritable danger, pour ses adversaires, voire pour nous, sa force de frappe nucléaire, qui est toutefois pour une part en obsolescence.

    Quand à son économie, elle n'est plus qu'en peau de chagrin.

    Il est à noter que ses supplétifs européens se retrouvent tous à voir leurs armées

  • France: des feux s'allument depuis un an.

    Monsieur Macron, notre cher et vulnérable vénérable président, a dit, dans l'esprit, que l'OTAN se trouve être en un état de mort cérébrale, c'est fort bien, mais il eut pu, pour plus de sincérité, mais surtout en faisant preuve de plus de clairvoyance, dire de même de l'Union-Européenne tout comme du gouvernement français jusqu'à sa présidence, tous moribonds.

    Mon intuition m'a susurré que ce nouveau, cet énième projet de loi sur les retraites, est un piège tendu au gouvernement français, germanique et unioniste, je fais confiance à mon instinct parce que je sais que mon esprit prend des informations dont je ne suis aucunement conscient, les conjugue entre-elles et en tire des conclusions franchissant ensuite ma pensée, ce que je vous confie dans ces lignes.

    Du-moins commencerais-je à poser ces idées en questionnement.

    Ainsi, serait-il possible que quelqu'un ait pu soufflé à cet obscure fonctionnaire de P1030295.JPGl'UE (serait-ce le plus sot?) de demander à la France, par l'entremise des GOPE, de mettre rapidement en application l'uniformisation des retraites ainsi que de la mise en place de celles à points?

    Pourquoi un obscure conseiller de l’Élysée aurait-il glissé à notre cher bien aimé président de dire ce bon mot au sujet de l'OTAN?

    Quelqu'un aurait-il, de la même façon, conseillé à ce même conseiller de souffler ainsi ceci à notre godelureau national?

    Nous pourrions tout autant envisager qu'à un autre conseiller, ministériel sûrement, il fut conseillé, de je ne sais quelle puissance, de pondre ainsi un projet de loi traitant des retraites, sûrement fort bien  ficelé, probablement applaudi par ses pairs, les ministres, les oligarques, mais qui ne pouvait que mettre la population en grève et dans la rue, l'enflammer.

    Et qui donc aurait-il pu conseiller cela à ce conseiller?

    Qui donc autorisa les syndicats français, qui sont tous, sauf SUD, au sein de la Confédération-Européenne-des-Syndicats qui les paie, qui fait donc la pluie et le beau temps revendicatif de chaque pays, en France significativement, dont le rôle, maintenant, de nos contrepouvoirs syndicaux, n'est plus que celui de leur maintien de l'ordre collectif des peuples de l'UE, des français, de les tenir en laisse, au même titre que nos polices transformées (pour un bref temps?) en milice d'état?

    Qui donc, me demandais-je, autorisa les syndicats français, hormis la CFDT toujours suiviste, a entamer une grève générale dont personne ne sait jusqu'où elle P1030612.JPGpeut mener?

    Leur aurait-on promis de les aider financièrement si la CES leur faisait des ennuis?

    Tout cela quand le mouvement gilettiste, bien qu'affaibli, perdure, et où, de l'incompréhension, de la peur et de la résignation, la colère vient et s'accroit en remplacement.

    Tout cela quatre mois avant les élections municipales.

    Tout cela générant une grande panique au gouvernement.

    D'autant plus que les routiers aussi appellent à la grève, et qui d'autre bientôt, la police ou l'armée en compléteront-ils les rangs?

    Le Rassemblement-National, rassemblant de moins en moins de monde, demandant un référendum sur les retraites, sachant très bien déjà les immenses difficultés pour obtenir les 4, 7 millions de signature pour mettre en place celui dédié à la vente des aéroports de Paris, c'est se moquer du monde.

    La France-Insoumise, à l'insoumission bien légère, demande le retrait de son projet, c'est ce qu'il s'appelle faire un travail d'insoumission en son stricte minimum, ça ne mange pas de pain, ne nécessite pas trop d'énergie ni de prise de risque, tous oublieront cet appel si ce projet passe et ce parti aura beau jeu, ensuite, s'il est retiré, de déclarer que c'est grâce à lui que cela est arrivé.

    Quand aux autres partis politiques, hors du REM, les radioéléments, et de LR (ne sachant pas où elle erre, serait-ce de la France ou de l'union?) se disputant les mêmes électeurs, les dits-autres ne sachant plus ni quoi dire, ni quoi faire, chacun serrant des fesses en priant pour que tout cela  n'aille pas trop loin.P1020964.JPG

    Comprenez bien que je ne dis en rien que je suis contre les grèves et les manifestations, tout au contraire (moi-même en 1996...), mais il me paraît important que chacun d'entre-vous, amis lecteurs, compreniez que nous puissions être aussi sujets de manipulations de grande envergure.

    Quand bien même serait-ce pour la bonne cause.

    J'écris cela pour que vous soyez des acteurs plutôt que des pantins de cire ou de son agités en tous sens.

    Pour que vous vous posiez la question.

    Et tant mieux si cela se fait à l'avantage de tous, sauf à celui des macroniaiseux, cela va de soi.

    Mais qui, dans ce vaste monde, aurait intérêt à allumer un tel incendie en France qui, s'il perdure, pourrait mettre à bas, à terme, l'Union-européenne?

    J'en vois quatre acteurs qui, pour des raisons différentes, aimeraient voir cette union disparaître:

    -La Grande-Bretagne qui, en plus d'avoir besoin que son voisin, son cousin historique, son égal, la France, puisse, libérée de son carcan unioniste, s'allier avec elle, ne supporte pas de plus, en un vieux réflexe datant de sa  victoire sur l'invincible armada en 1588, qu'en Europe un pays domine tous les autres, ce qui est le cas aujourd'hui de l'Allemagne;

    P1020168.JPG-Les États-Unis-d'Amérique trumpiens voudraient bien se débarrasser de l'Union-européenne devenue ingérable, d'un euro qui tire l'économie mondiale vers le bas et d'une OTAN entrant dans une schizophrénie frénétique, la Turquie en étant le caricatural exemple, le tout lui coûtant un fric de dingue;

    -La famille Rothschild, pour qui la signature du traité d'Aix-La-Chapelle, qui fut l'offrande gratuite de la force nucléaire et du siège permanent français à l'ONU de Macron à sa dulcinée Merkel, fut pour cette famille une angoisse (un membre de sa famille avait péri dans les camps de concentration), une colère indicible, un désir de revanche sur l'histoire (elle qui avait aidé Hitler au début de sa prise de pouvoir...) et l'envie de préserver de la ruine le pays qui fut à l'origine de sa richesse, de sa puissance et de sa gloire, France où, par ailleurs, le plus de juifs, en pourcentage, furent sauvés de toutes les nations conquises par l'Allemagne nazi.

    Elle qui considère avoir réchauffé un serpent en son sein, d'avoir le fort sentiment d'avoir été trahi par Monsieur Macron;

    (Et puis y chasser Glodman Sachs, son meilleurs ennemi de toujours, du pays ne serait pas pour lui déplaire, une sorte de cerise sur le gâteau en quelque sorte.)

    -Israël, enfin, pour qui ce même traité ne peut qu'être qu'une cause d'hostilité froide P1030846.JPGmais réelle, elle pour qui la terrible histoire proche fut à l'origine de son existence n'en oublie pas une miette, même si elle s'égare souvent pour tout le reste jusqu'à faire autant de grosses bêtises, de vilénies que d'erreurs.

    La Russie, quant à elle, reste juste observatrice, attendant patiemment que la France prenne son indépendance pour s'allier avec elle et qu'elle l'aide à s'approcher du Royaume-Uni.

    Voilà, aujourd'hui c'est le peuple dans son entier qui se manifeste en manifestant et ne reste plus que les plus obtus pour ne pas comprendre qu'eux aussi se verront ruinés un jour ou l'autre si a même politique se poursuit.

    Pour l'instant l'Union-Européenne reste caché par l'équipe gouvernemental, mais son affaiblissement continuelle ne pourra que la rendre progressivement visible.

    Déjà certaines chaînes de télévision montre une lente tendance au retournement de veste, ce qui veut dire que des oligarques sentent le vent tourner.

    Comme dit plus haut, le gouvernement s'affole et ne doit pas être loin de la panique, ce qui ne peut que les mener à prendre des décisions qui seront pour lui contreproductif, ce qui amplifiera la colère populaire, ceci d'autant plus que rares sont devenus ceux qui croient encore en ce que disent ses ministres, conseillés, journalistes officiels et autres aficionados du REM.

    P1030585.JPGEt  la parole présidentielle en n'est devenue en cela qu'un vague spectre inaudible.

    Il est à remarquer que la chancelière allemande, chancelante déjà dans son  pays, a demandé à son amoureux, Emmanuel Macron, de tenir bon face aux grèves et manifestations, montrant pas là qui porte la culotte dans ce couple informel et qui en est le petit toutou, la France-Allemagne, non, Macron-Merkel plutôt.

    Mais elle montre aussi ainsi qui dirige véritablement et l'union, et la France, il n'est pas étonnant dès lors que notre cher président ait une telle adoration pour le maréchal Pétain.

    Même si l'administration bruxelloise exprime de fortes velléités d'une prise de pouvoir absolue de l'UE.

    Ça doit être une pétaudière, un immense capharnaüm en cette union que certains prétendent sinon de promettre d'être éternelle, où chacun doit tirer à hue et à dia, il en est toujours comme cela quand un système politique est triplement verrouillé, institutionnellement, politiquement et idéologiquement, et qu'autour le monde évolue sans que celui-ci ne puisse s'y adapter.

    J'imagine quelqu'un comme Cédric Thomas, alias Jean Quatremer, sûrement un nom d'artiste de vaudeville, réagir à certaines nominations au bureau exécutif de l'UE de personnalités à la probité toute relative, entre l'ire et l’écœurement, en P1030038.JPGavalant cet énorme boa constrictor tout cru, goulument et d'une bouchée (je fais dans le reptile aujourd'hui, d'ici à ce que je commence à parler de pomme il n'y a pas des kilomètres, pom, pom, pom, pom, comme aurait dit Beethoven...).

    Je vous ai exposé ici un ensemble d'hypothèses qui, toutefois, vient en appuyer d'autres que j'avais émises précédemment dès que j'appris la signature du traité d'Aix-La-chapelle.

    Ce fut la révolte des gilettistes qui accéléra, si j'ai raison dans ce que je subodore, la mise en place de ce plan menant à cette grève qui se généralise progressivement.

    Suivant la logique politique qui veut que les ennemis de nos ennemis sont nos amis, ne gâchons pas notre joie si vraiment ces trois pays et cette famille richissime nous manœuvre, mais ne nous laissons pas entrainés au-delà de nos intérêts, d'où ce libelle.

    Mais restez conscient qu'aucune, je dis bien aucune politique sensée ne pourra être menée en France tant que le pays, l'état, la nation resteront inféodés à une Union-européenne désagrégeant et détruisant notre économie et celle de l'Europe au même rythme qu'elle-même se dissout ("...et dix sous, c'est pas cher.")

    (Je me sens d'humeur badineP1030756.JPG aujourd'hui.)

     

     

    THEURIC

  • Des choses de l'esprit: le paradoxe.

    Dans l'une de mes quatre séries d'aphorismes j'y racontait qu'un paradoxe est une vérité en devenir.

    Dans l'un de mes textes j'y montrais que le mental en a horreur, que ce soit l'injonction paradoxale ou la double contrainte, par exemple, c'est le type même de situation qui peut rendre quelqu'un de complètement fou.

    Le premier c'est, entre-autre du plus classique, le: "sois naturel!" Où la personne se trouverait dès lors à ne pas pouvoir s'exprimer pleinement de soi-même puisqu'elle aurait toujours cette injonction à l'esprit, comment pourrait-elle le faire entre énonçant sa pensée en toute liberté ou obéir?

    En effet, dès qu'elle s'exprime par elle-même elle ne pourra qu'être tenue par cette injonction en lui donnant le sentiment d'obéir en pervertissant ainsi ses propres élans.

    Le second c'est la situation collective devant laquelle le gouvernement français seP1020008.JPG retrouve où, à son obéissance aux ordres donnés par l'administration unioniste par l'entremise des GOPE, il doit faire face à la broncas et révolte de la population, à l'exemple de la retraite à point.

    S'étant placé de lui-même dans ce piège où, désormais, d'avancer, de reculer ou de rester sur place au sujet de ce projet de loi ne peut que le mener au désastre en emportant avec lui le macronisme puis l'Union-européenne.

    C'est donc la double contrainte dedans laquelle il se trouve entre les ordres données par l'UE et le refus des français de ces nouvelles formes de retraite qui ne peut que mettre ministres, président et élus du REM dans une situation psychologique épouvantable avec tout ce que cela entend, ceci sans compter les fragilités psychologiques précédemment présentes pour certains d'entre-eux, ceci expliquant autant leurs violences que leurs dénis de leur rejet du peuple.

    En fait, nous pouvons dire qu'un paradoxe se doit d'être réduit à l'image d'un os cassé en ce sens où il nous faut faire la synthèse de cette conjoncture ayant pris cette forme duale.

    Mais là où cela devient intéressant c'est que l'inconscient lui-même manie ce paradoxe avec une grande facilité tant que nous n'avons pas compris la complexité de son message.

    P1020914.JPGEn allant plus loin de notre réflexion et en reprenant le début de ce billet, il est quelque chose à remarquer, un paradoxe n'en est jamais un véritablement parce que nous le percevons comme tel en raison même de notre subjectivité perceptive et de compréhension.

    Ceci parce qu'un paradoxe révèle toujours une complexité non encore perçue et dès lors résolue.

    Ainsi me suis-je aperçu que bien que m’apaisant doucement d'un stress qui, à bien y regarder, dura une très grande part de ma vie (depuis l'âge de dix à douze ans environ), je n'en ressens pas moins des tensions intérieures importantes recouvrant ce bien-être, ce qui est en soi un paradoxe.

    Or, j'ai comprit que lesdites tensions provenaient de ce que ni mon métabolisme, ni mon cerveau n'étaient habitués à cet état de bienêtre, ce qui fait que cela les force tous deux à faire un important travail d'adaptation ne pouvant que mener à ces troubles corporels qui peuvent parfois être quelque peu douloureux.

    Là nous pouvons observer que ce paradoxe fut réduit en en comprenant les fondements: l'adaptation lente de mon corps et mon cerveau à une situation à laquelle ils n'étaient absolument pas familiarisé et qui me génère des raideurs, des douleurs et, parfois, de légers malaises.

    Un paradoxe peut aussi s'inscrire en ce que quelque chose peut, dans le mêmeP1030162.JPG temps, exister et ne pas exister.

    Qui est le fait de nos capacités créatives permettant, le plus souvent, de rendre compte d'une réalité discrète ou d'un sentiment.

    Le narcissisme et l'ego sont de ceux-là.

    Ces deux composantes de la psyché dont j'ai pu faire mention dans des textes passés, existent-elles réellement ou ne sont-elles désignées, les a-t-on nommés pour simplement rendre compte de notre manière de nous considérer dans le monde et de ce qui nous appartient en propre, de notre complexe façon de porter notre identité, différente pour chacun d'entre-nous, et de percevoir la relation de lien et d'appartenance que nous entretenons entre les choses, les gens, nos créations et nous même?

    De fait nous pouvons affirmer que le narcissisme et l'égo, dans le même temps, existent et n'existent pas, nous les avons nommés essentiellement pour rendre compte de processus mentaux  sans que, pour cela, nous puissions véritablement en déterminer leur matérialité, quelle soit ondulatoire, matérielle, tout juste pouvons-nous les définir comme informationnels, mais par ailleurs ils nous permettent de comprendre nombre de processus psychiques qui, sinon, resteraient incompréhensibles.

    P1030189.JPGMais plus complexe encore à déterminer ce sont les paradoxes que nous propose notre inconscient, lors de rêve ou de sensations notamment, où il est possible de percevoir que le sens à y donner y est contradictoirement double, en un sens et son contraire.

    En ce cas, que j'ai pu rencontrer il y a de cela fort longtemps et dont je ne me souvient plus du sujet, il faut comprendre qu'en effet il peut s'agir d'un état ou d'un fait qui peut, de sa définition, être non pas de l'un ou de l'autre, mais dans un entredeux précis, qu'il faut définir tel qu'un curseur gradué mentalement.

    Puis de ces réflexions, inachevées, sur ce paradoxe que nous cessons de rencontrer et qui ne peut que nous perturber, je ne peux également que d'évoquer notre relation au monde qui, parce que nous ne le comprenons que peu, fait que, face à des événements, traumatiques ou non, nous fait en donner un sens qui, à la suite de son développement, se révèle à nous paradoxal.

    Si nous en sommes conscient nous pouvons nous y pencher et, après réflexion, comprendre qu'en fin de compte ledit sens que nous y donnions se révèle à nous partiel ou tout simplement faux.

    En revanche, si, par déni ou bien parce que nous n'y avions pas porté une attentionP1030502.JPG suffisante pour l'avoir mémorisé consciemment, voire à ce que ce sens que nous en donnions préalablement n'était pas en adéquation d'avec la réalité, alors nous pouvons nous égarer au- dedans de considération oiseuses.

    Ce qui peut mener à un stress, à prendre des décisions contreproductives et inadaptées à la situation, voire à nous retrouver à souffrir de maux, d'angoisses, de difficultés parce que nous nous serions en ce cas en totale inadaptation.

    La politique telle que nous pouvons l'observer aujourd'hui nous en offrant une multitude d'exemples.

    Nos médiats, en cela, en étant la porte ouverte en béance.

    J'en veux pour preuve le moment de cette émission: "Balance ton poste" que je ne regarde jamais, la trouvant d'une beaufitude exemplaire, mais dont cet extrait, publié sur le site de Sputnik, ne peut que nous en montrer un magistral exemplaire.

    Vous remarquerez le paradoxe qu'exprimais Monsieur Messiha où à la question, plutôt bateau, de Monsieur Hanouna, de savoir s'il est ou non l'alibi du Rassemblement National, il aurait pu répondre tout simplement que ce parti n'était pas le moins du monde raciste, plutôt que de réagit avec une telle véhémence en affirmant que le premier tenait des propos de ce genre.

    P1030021.JPGPuis à Madame Myriam s'exprimant sur l'antisémitisme, le même lui a enjoint de "...retourner dans son pays d'origine", reprenant là des termes que nombre de français de souche ont pu tenir envers les arabes.

    Nous pouvons percevoir là, de part ses contradictions, un double phénomène collectif inconscient en jeu chez nombre de gens d'origine arabo-musulmane en un paradoxe que je vais tenter de réduire:

    -Une identification en tant que français, ce qui est normal puisqu'il l'est, mais excessive, montrant ainsi sa peu d'assurance de son identité, d'où son adhérence à RN;

    -De ce qu'il a pu dire tant à l'animateur qu'à l'autre intervenante, tous deux d'origine juive, montre, là, quelque chose de beaucoup plus subtil.

    Cela est à mettre en parallèle avec le fait que des musulmans radicaux aient mis, lors d'une manifestation, sur le vêtement des enfant présents, une étoile jaune, comme celle portée par les juifs lors de la seconde guerre mondiale en France.

    A mon sens donc, il y a le désir inconscient, pour ces français d'origine arabo-musulmane, de vouloir prendre la place historique des juifs, non pas pour les remplacer mais pour vivre les mêmes instants de terreur passé en de même sorte de héro.P1030466.JPG

    Là aussi nous pouvons considérer que cela devient franchement intéressant, c'est de constater que la position victimaire des uns et des autres ressemble à s'y méprendre à une tentation, toujours inconsciente, de ressembler aux saints chrétiens, martyres des premiers temps.

    Ceux-ci oubliant, part ailleurs, le rejet raciste que subissent les français d'origine asiatique, preuve s'il en est que chacun de ces deux groupes ne veulent en rien lutter contre le racisme mais veulent juste passer pour des victimes, tout en affirmant de cette façon tonitruante une identité communautaire à l'américaine, ne sachant plus dès lors qui ils peuvent être.

    (Pssst, entre vous et moi, voyez-vous, je vais vous dire un secret: vous êtes français.)

    Ce sur-jeu victimaire étant aussi perceptible par l'affaire Mila où une gamine de 16 ans reçu des messages haineux pour avoir fortement critiqué l'Islam.

    (Nombre d'officiels, imbéciles bienpensants, considérant, dans les médiats, que le crime de blasphème envers l'Islam, et non pas envers le catholicisme qu'ils ne défendent pas, est naturel, rejetant donc de fait le principe de laïcité, sûrement parce qu'ils ont reçu l'ordre d'aider RN à prendre le pouvoir lors des prochaines élections nationales.)

    Il est loisir d'imaginer que nombre de français de souche et des non musulmans, ainsi que des musulmans tout autant, ne peuvent que considérer, à tort sûrement je l'espère, les mahométans comme étant des lâches pour s'en prendre ainsi à une si jeune femme.

    P1030116.JPGOubliant par ailleurs l'oumma, la communauté des croyants, sachant le nombre de gens de leur religion qui sont contraints de vivre dans des bidons-villes aux abords du périphérique parisien, et c'est un chrétien, catholique, qui s'en offusque, Monsieur Asselineau, c'est comme ça que se détruit une religion.

    La raison que j'en donne, donc, ce serait leur volonté inconsciente de prendre la place des juifs, qu'ils jalousent, en tant que victimes de notre patrie.

    Enfin, je ne peux pas ne pas aborder le paradoxe que peut représenter les exactions de la police à l'encontre les manifestants, mais aussi de l'homme et de la femme de la rue.

    Vous remarquerez, dans cette vidéo, la façon avec laquelle les choses se passent, ressemblant à s'y méprendre à quelques événements d'un état tyrannique ou dans d'autres républiques bananières d'Afrique ou d'Amérique-du-Sud, voire à ce que fut notre pays sous... Napoléon III.

    Ce paradoxe étant de se demander pourquoi les policiers de la BRAV... (demandez-vous, chers policiers, comment vous considèrent vraiment les membres de notre gouvernement: seriez-vous de braves quoi?) agissent ainsi sans se rendre compte qu'ils risquent, un jour ou l'autre, de se retrouver au-devant de juge pour leursP1030126.JPG brutalités, ceci d'autant plus qu'ils ne doivent pas en recueillir quelques avantages pécuniers réellement gratifiants.

    Certes, nous pouvons estimer que ceux qui furent choisis pour ce poste le soit pour avoir un esprit plus ou moins évanesce

  • De la perception du temps par l'exemple.

    En Décembre 2017, il y a déjà deux ans de cela, j'avais, avec vous, exploré quelle est, à mon sens, que la nature de la pensée.

    Thème qui, à faire erreur, ne fut que rarement abordé par les professionnels de l'esprit, des philosophes aux neurologues en passant par les psychanalystes.

    J'y avais posé d'axiome, dans ce billet, que cette pensée, jeune dans son apparition de quelques dizaines de milliers d'années seulement, avait entre-autre de nature que de faire une démarcation entre conscient et inconscient et de permettre à l'Être-Humain de conceptualisé le temps en une séparation entre le passé, le présent et le futur.

    J'en avais tout autant, il est vrai rapidement, exploré d'autres attributs tel que l'imagination ainsi que l'expression de l'égo et du narcissisme dans leurs multiples intrications et, matière que j'avais aussi abordé dans d'autres textes (regroupés ici), P1030516.JPGde la perception de notre identité par le fait d'humainement nous déterminer tant individuellement que collectivement.

    En revanche, ce à quoi je n'avait jusqu'alors songé, c'est ce lien indéfectible entre la pensée temporalisée, la compréhension de la notion de causalité, quelle soit structurée ou pas, non moins que de pouvoir dès lors concevoir, même succinctement, les conséquences, certes de nos actions, mais aussi de nos pensées, pouvant générer, en une boucle de rétroaction, un ensemble d'effets s'effectuant lentement autant sur notre propre personne que dans notre milieu social.

    C'est pourquoi il serait bien que chacun d'entre-nous se connaisse au mieux.

    Or, il est de fait qu'en raison de notre perte, avérée bien que partielle et momentanée, de notre détermination d'être, aux origines multifactorielles, nous menant à une identité floutée et parfois grandement parcellaire, lesdites causalité et temporalité, dès lors de nos capacités de conceptualiser les conséquences tant de nos actes que de nos pensées, nous sont devenus grandement réduites, voire même, pour certains d'entre-nous, quasiment impossibles.

    En une époque où l'évolution de nos sociétés aurait dû, à tout l'inverse, nous conduire d'en développer le substrat bien au-delà de ce qu'il nous serait capable de s'en représenter la trame.

    P1030572.JPGC'est en cela que je définirais au mieux cet arrêt progressif des progrès de tous niveaux, tant de nos facultés mentales que de ce qui nous fait société, ceci nous menant  à un état de décrépitude intellectif collectif avancée.

    Étant entendu qu'il serais malsain de considérer ça comme étant une faute puisque cela mènerait à une culpabilité malséante, inutile et autodestructrice quand, ici, je me force et m'efforce de montrer que de faute il n'en est point, nos responsabilités étant de contrevenir à cet état de fait en nous réappropriant notre identité et, par delà, notre curiosité, nos questionnements du monde, nos savoirs, nos connaissances, notre inventivité... pour que  nous puissions rebondir puis reprendre la croissance naturelle de notre humanité, ne serait-ce qu'en en commençant en France le métier.

    Ce que les russes entreprennent actuellement en plein et ce que les britanniques débutent en ce moment même.

     

    Les facteurs de cette déchéance ne pouvant être que provisoire sont multiples et j'ai, depuis des années, essayé d'en définir les traits les plus importants:

     

    -Traumatismes dus à deux guerres mondiales:P1030666.JPG

    Thème que Monsieur Zemmour avait relevé lors de son débat avec Monsieur Asselineau le 19 Novembre 2019 mais dont je pense qu'il n'en ait en rien saisi la profondeur, le concevant dans l'incapacité formelle d'aller au-delà de cette simple remarque pour les raisons évoquées plus haut.

    ( Je me demande d'ailleurs si ledit débat n'aurait pas eu lieu en raison du factum que j'avais publié sur mon site à son endroit le 8 de ce mois, soit à peine plus de la semaine suivante. )

    S'il faut, en effet, trois générations pour qu'un trauma mène à un désordre psychique pour le descendant de celui qui l'a subit, alors nous pouvons considérer que la quatrième, elle, n'a plus à en souffrir, le temps en ayant passé.

    Nous pourrions même en conclure qu'au même titre que 70 ans environ après la création de l'URSS cette union ne fut plus;

    Il serait logique de considérer, de la même façon, que, des tous débuts de l'Union-européenne sous sa forme de 1952, la Communauté européenne du Fer et du Charbon, jusqu'à aujourd'hui, les mêmes 70 années d'existence ne peuvent que signer une similaire échéance d'une même déchéance.

    Certes, ce sont  bien ces deux guerres qui conduisirent à ce que, sous l'égide d'un Tonton Sam impérial, les nations européennes décidèrent inconsciemment de tenter de se retirer de l'histoire, mais diantre ce que nos jeunes sont d'un appétit d'y P1030459.JPGretourner s'y frotter!

    C'est bien, à cause de ces deux chocs violents, d'avoir voulu se retirer ainsi des affaires du monde dans le désir infantile et archétypal de bâtir le même paradis sur Terre sous la même forme unioniste que l'Union-Soviétique, en une totale inversion idéologique , qui nous mena à cette terrible diminution de notre raison.

    Et c'est cela qui maintenant s'achève.

     

    -Notre domination par les États-Unis-d'Amérique:

    Voici le déni le plus surprenant, celui de notre domination par un empire non européen grandement déclinant.

    Et pourtant une multitude d'exemples passés et présents, pour qui veut bien s'y pencher, ne peuvent que nous en démontrer la véracité du fait.

    Il est à remarquer que nous suivons de peu le même déclin intellectuel que notre malveillante tutelle, ceci en la seule et unique raison de leur imitation, ni plus, ni moins.

    Les causes de ce déclin sont intéressant à étudier, ce sur quoi je n'ai pas encore songé, toutefois quelqu'un comme Dimitri Orlov offre, dans ses rubriques, un P1030226.JPGensemble de réflexions sur ce sujet.

    Sachez, en ce seul exemple, que des médecins étasuniens craignent que la peste, cette maladie qui avait éradiqué du tiers à la moitié de la population européenne au XIV° siècle, ne soit dores et déjà présente au pays de Tonton Sam.

     

    -Nos oublis et parfois nos rejets culturels:

    Je pense que le fait qu'il soit devenu de plus en plus ardu, pour la majorité de la population, de monter dans l'ordre hiérarchique en soit l'une des origines principales, ce qui conduit au manque de régénération des créations de toutes natures.

    Ainsi que du sentiment, ici des classes-moyennes hautes à supérieures, de leur inaliénable compétence et de leur bon droit  de connaître le bon et le beau de ce qu'il est nécessaire pour le pays, ceci par l'articulation du dogme euro-atlantiste ne pouvant que nous démontrer toutes ses défaillances.

    Ce double phénomène étant, là encore, entrain de se réduire en conséquence des faiblesses insignes de toutes sortes des trois dernières législatures présidentielles, la dernière en en étant en tous points caricaturales.

    La seconde raison en étant notre perte d'intelligibilité du monde par celle de notre P1030095.JPGidentité, due pour une grande part aux béances frontalières et à la diminution de la qualité de notre langage, je vous renvoie de cela à la première partie de ce billet.

    L'usage d'anglicismes infondés et plutôt stupides en étant la troisième, dans une tentative désespérée de se montrer à la hauteur de cette intelligence égarée et dans l'angoisse existentielle de comprendre, sans se l'avouer, la profonde déliquescence impériale, empire garant, à ces yeux égarés et éperdus, de cet utopie édénique unioniste.

    Enfin en une quatrième cause principale en une liste non close, la monté en puissance d'une oligarchie ploutocratique, sotte et toute puissante, à la culture d'une basse faiblesse endémique qui, tels des rats devant un morceau de fromage, se rue sur tout ce qui pourrait être comptable d'une parcelle de richesse;

    Et qui, dans leur crainte maladive de percevoir la moindre once d'intelligence du peuple, n'ont que de cesse de pervertir son entendement par tous les médiats interposés, en alliant autant le mensonge, la promotion d'un art abrutissant qu'elle en vient à apprécier que de la médiocrité programmatique médiatique.

    Je n'oublie en rien que notre nation et notre état est englué dedans une union-Européenne totalement déconnectée de toute réalité et ne désirant qu'une seule chose et une seule: mettre en place le programme qui est à la base de son existence: P1020251.JPGcelui que l'empire US lui a laissé à sa charge, soit la destruction des états-nations.

    Tout autant que je n'oublie en rien les faiblesses mentales des pervers narcissiques telles que j'ai pu les exposer auparavant et qui, en raison de leur aliénation vicieuse, sont dans la plus absolue incapacité de conceptualiser les résultantes de leur actions malveillantes.

     

    Notre éloignement de notre mémoire collective: l'histoire:

    C'est un phénomène sciemment voulu et décidé par notre maître étasunien pour pouvoir nous maintenir dans son corset qu'est l'Union-européenne: oublier son histoire c'est perdre son identité.

    En une continuité constitutive, nos  élites zélées à l'esprit vaporeux, devenues elles aussi, elles surtout grandement sottes, perpétuent jusqu'à l’écœurement cette P1030147.JPGtendance généralisée à la médiocrité, ne voyant rien de mal à ce que leurs enfants et petits enfants, que les enfants et petits enfants de la population toute entière ne puisent représenter qu'une masse traumatique parce que ignorante.

    "Celui qui ne connaît pas l'histoire est condamné à la revivre.” Karl Marx (Manifeste du partie communiste.(1847) ou "Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre." Wiston Churchill, maximes similaires de deux personnages historiques aux antipodes idéologiques, ce qu'il vous reste, messieurs-mesdames, à méditer.

     

    Après ce rapide tour d'horizon des raisons qui font que, de notre perte d'intelligence, en advienne celle de nos capacités à anticiper les effets de nos décisions, je vous propose de vous en montrer cinq (erreur) trois exemples.

     

    Le projet de loi des retraites:

    Je ne reviens pas sur ce projet lui-même, la grande part en étant débattue tant dans les médiats, sur le web, chez les grévistes, au sein des syndicats comme dans les partis politiques.

  • D'un bateau ivre en forte tempête.

    Connaîtriez-vous l'indice Baltic Dry?

    Sûrement n'avez-vous jamais été présenté, ce qui est dommage, cet indice détermine la bonne ou mauvaise santé du transport de fret maritime des matières sèches.

    Or, celui-ci a baissé de 70% en cinq mois, ce qui, ma foi, doit représenter un grave ralentissement du commerce mondial.

    Et pendant ce temps, pendant que l'économie-monde s'enrhume et éternue, notre gouvernement, celui d'un pays, la France, qui, quand bien même ne serait plus le quatrième en terme de puissance économique, n'en reste du-moins, se dit-il, le sept ou huitième, ce gouvernement, dis-je, effectue provocations sur provocation.

    Ceci à l'heur où deux ministres sont pris en flagrant délit de mensonge, honneur aux dames, Mme Pénicaud au sujet du SMIC et Mr. Blanquer (qui devrait avoir honte d'être à ce poste) sur celui des aides sociales, mensonges qui deviennent habituelP1030124.JPG dans le monde de la macronie.

    A ceci rajoutons cette toquade macronniaiseuse,  dernière marotte, dernière extravagance, provenant du sieur Castaner, ministre de l'intérieur de son état, consistant en ce que 96% de communes ne verront pas les résultats politiques être officialisés lors des prochaines élections municipales, ce qui représente, d'après ce reportage de la 2, plus de la moitié des votants.

    Cette décision n'a qu'un but: faire croire à ceux, devenant rares, qui votent pour les radioéléments du REM qu'il y a encore une relative représentativité de son parti.

    Mais cela ne peut que nous prouver que leur nombre se trouve infiniment plus amoindrit que ce qu'il peut s'en dire officiellement et que, dès lors, ils sont aux abois.

     

    Le nihilisme du gouvernement et, cela va de soi, du président de la République, est constitutif de leur appréciation du monde, souvenez-vous que je vous avais parlé de la projection continuelle de certaines personnalités, se déchargeant sur d'autres personnes de leurs propres déficiences, ce que j'avais étudié entre-autre ici et .

    Il est encore toutefois des gens qui les soutiennent, ce qui est un phénomène P1030226.JPGhistoriquement normal, il est remarquable que dans cette vidéo ce soit une femme de la génération de Mai 68 ou proche de celle-ci qui nous fait montre ainsi une telle puérilité narcissique.

    Jouissance de l'instant, empathie grandement réduite, même pour ses descendants, si elle en a, esprit collectif évanescent, sensibilité pour les souffrances des autres inexistante ou presque, impossibilité de se projeter dans le temps puisqu'elle n'envisage pas que de nouvelle décisions gouvernementales ne viennent à l'appauvrir elle aussi.

    Vous trouverez les explications de Mr. Delamarche montrant que ceux qui ont de l'épargne, comme il doit en être pour elle, en pensant en jouir, se feront raser gratis si les banques se retrouvent insolvable, il lui sera bien temps à ce moment là pour s'en morfondre.

    De fait, les économies des petits et moyens épargnants sont, de beaucoup, nécessaires pour le fonctionnement de l'économie que ceux qui, d'une fortune imposante, sont dans la plus absolue incapacité de dépenser leur argent, même pour ce qui concerne leurs arrières petits enfants.

    Sauf à ce qu'ils ne se retrouve possiblement ruinés un jour.

    Encore une fois, ces incorrigible idéologues unionistes néolibéraux ne peuvent pas comprendre qu'en voulant sauver un euro déjà en lui-même ruineux à cause des TARGET 2, si, lors de la prochaine crise qui est déjà là, ou de l'effondrement  présent (si c'est cette crise qui vient, ledit effondrement pourrait bien survenir 4 ansP1030510.JPG après), de confisquer ainsi les épargnes des français, de ceux  qui en ont, ne pourra que détruire encore plus l'économie réelle, soit celle des usines, fabriques, mines et exploitation agricole.

    Sans compter que, pour le coup, ce sera l'ensemble de la population, sauf les oligarques, qu'ils auront contre eux.

    Qu'elle se demande donc si la BCE y serait pour quelque chose, elle qui doit tant adoré son veau d'or, l'Union-Européenne.

    En fait, je la plains de n'avoir des capacités mentales que si réduites.

     

    Il est aisé de considérer que, désormais, les chancelleries de l'Union-Européennes chancellent (hi, hi, hi) et que tous les autres de ces gouvernements doivent s’effrayer de voir ce qu'il se passe aux quatre coins de l'hexagone (ha, ha, ha), autant de crainte que cela ne fasse tâche d'huile et que leur population se révolte de même, aussi que cela ne conduise notre nation à son France-quitte, précédé par le renversement du gouvernement présent (peut-on encore parler de pouvoir à son sujet?).

    Voire même à ce que les instabilités politique de notre patrie ne génèrent une cessation de fonctionnement de l'économie internationale, ce qui, quoi qu'il en soit, ne peut qu'arriver à un moment ou à un autre.

    Je ne sais pas qui est ce Le Hill dont Sputnik résuma un article sous le titre de: " Les P1030163.JPGUSA et l'UE s'éloigneront dans les années 2020... ", ce qui est logique et sensible par certains discours et articles parus.

    C'est pourquoi l'Allemagne se tourne vers la Russie en envoyant notre godelureau national, Mr. Macron, rendre visite à Mr. Poutine, le seul état qui, aux yeux de Mme. Merkel, serait dans la capacité de remplacer les USA comme pays dominant l'UE hors de l'Europe.

    Certes, cette dame vivait en RDA ou DDR, République-Démocratique-d'Allemagne ou Deutsche Demokratische Republik, d'ailleurs je me demande toujours quel y fut son rôle, mais bon, croit-elle vraiment, elle et son équipe, que les russes vont, après les difficultés et le coût dispendieux que représentèrent pour eux le contrôle du pacte de Varsovie, se mettre sur le dos une  Union-européenne aux portes de l'explosion?

     

    Mais revenons-en, voulez-vous, à la France.

    Il est des événements qui pourraient sembler marginaux, insignifiants, mais qui se révéleraient très bien, plus tard, d'une importance capitale pour la situation avenir.

    Ainsi, je continue de considérer que la gay pride que le couple Macron organisa P1030257.JPGle 21 juin 2018 amorçait dès-alors son rejet populaire, même s'il fallut pour cela un an et demi six mois pour que cela devienne effectif, l'hiver de la même année.

    Si j'ai choisi un site qui fait mention en titre le mot de décadence c'est que, quand bien même nombre de gens en ignoraient l'existence, le dédain conscient ou inconscient que cela avait suscité ne pouvait que se répandre progressivement dans l'ensemble de la société.

    Ils avaient sali l’Élysée, la République.

    C'est, à mon sens, ce phénomène naturellement lent qui conduisit à l'explosion que représente le mouvement des gilettistes dès Décembre 2018, mouvement qui aurait eu lieu quoi qu'il en soit, mais qui n'aurait pas eu, je le suppute (bonjours madame), un tel retentissement tant dans sa vitesse de diffusion et d'action que du nombre de ses participants.

    Il s'agit donc là d'un effet politique majeur mais retardé et il me semble que l'affaire du théâtre des bouffes du Nord ou le couple princier Macron y assistait à une représentation théâtrale le 17 Janvier puisse être de la même enseigne.

    Ses effets ne se feront pas montre au sein du peuple mais bien plutôt au-dedans du pouvoir exécutif en s'épandant plus ou moins doucement dans l'ensemble du dispositif gouvernemental puis parlementaire, le tout de ses effets, évidemment nombreux, différents et contradictoires parfois, dépendant du choc que ressentirent l'un et l'autre de ce duo à ce moment là.

    P1030559.JPGCeci d'autant plus que nous pouvons facilement percevoir un mécanisme extrême de fuite-en-avant de tous ceux-là, me démontrant que d'un affolement croissant, ils en sont parvenus à une panique autodestructrice où, à des mesures impopulaires, de nouvelles y sont rajoutées mettant en feu l'ensemble de la société.

    Cette affaire ne peut qu'avoir des effets généraux importants à terme parce que ce fut au couple présidentiel que cela advint, Mme. Macron, sûrement montrant une réelle impassibilité quand elle et son mari furent exfiltré de ce lieu de spectacle, ne peut qu'en avoir été gravement affectée inconsciemment, puis d'en devenir d'autant plus tyrannique envers son époux en privé, bien qu'elle restera charmante avec tous.

    Mais lui ne pourra pas agir autrement que de faire rejaillir cette agressivité sur tout le monde, ayant trop peur de sa femme.

    Cela peut aussi conduire à ce que de nouvelles mesures et autres projets de lois liberticides et appauvrissants soient surajoutés à ceux déjà en place, en un début de processus de leur décompensation psychique menant à un souhait de vengeance.

    Dorénavant, certes les chancelleries européennes suivent les événements français avec autant d'attention que de crainte, mais il est aussi logique de penser que, désormais, ce soit également à l'échelle internationale que cette surveillanceP1030519.JPG s'effectue et, ce, avec la question subsidiaire: "Cela risquerait-il de s'exporter chez moi?".

    La police, devenue désormais le dernier rempart du gouvernement face à la population, est en réalité très malade et le travail qu'il faudra effectuer pour la soigner sera dantesque.

    Or une police fragilisée ne pourra pas remplir ne serait-ce que cette mission de protection, là encore la macronie ne comprend pas qu'elle se met, elle aussi, en danger, dans son incapacité de pouvoir extrapoler les effets de ses décisions.

     

    De ces décisions du REM, justement, et de celles des deux législatures précédentes en obéissance au GOPE de l'UE, il était facile de deviner que les premiers incidents adviennent, puis que, dès que les infrastructures des services publics en réseaux deviendront réellement défectueux, que des accidents graves se produisent, bien que, déjà, le mauvais entretien des lacis gazeux ait entraîné quelques belles explosions faisant des morts.

    Quand bien même en soient accusés la mairie de Paris et je ne sais quel spécialiste, boucs émissaires nécessaires pour occulter, éviter que l'on ne fasse mention des P1030166.JPGoligarques et des conséquences de

  • Troisièmes aphorismes et quelques billevesées.

    Voici la troisième série d'aphorismes que je fais remonter des limbes du passé.

    Je laisse pour partie le préambule d'origine, vais un petit peu réorganisé ce billet puis corriger la définition que j'avais donné de ce que peut être que la valeur d'une monnaie.

    J'y rajoute, de plus, quelques définitions, plus un approfondissement d'une série d'hypothèses sur la causalité, thème que j'avais déjà abordé il y a quelques années.

    Que j'aie tord ou raison importe peu, l'importance étant que mes diverses approches puisse faire réfléchir chacun d'entre-vous, amis lecteurs.

    Ainsi, toutes publications, telles que celles ici même, n'appartiennent plus à l'écrivain dès lors que le premier lecteur en prend plus que connaissance, se l'approprie de par sa lecture.

    Ce n'est pas que je me débarrasse de mes idées, tout au contraire,  je les partage, là se trouve le secret de toute écriture, quelle soit matériellement publiée sur papier ou au sein  de quelques mémoires virtuelles, virtuelles parce qu'étant la résultante de flux électroniques et de processus mémoriels établis au-dedans de mécanismes quantiques et purement mathématiques et, ce, sur des matériaux aussi infiniment P1020429 - Copie.JPGpetits que complexes.

     

    Il y a quatre sortes de libertés, la liberté d'action qui génère toujours la loi du plus fort, la liberté de penser qui réclame toujours celle d'expression, la liberté de posséder qui, si elle n'est pas contrainte, crée toujours des riches, des pauvres puis, à la fin, les ruineront tous et, enfin, la liberté d'être qui ne concerne que soi.

    Une horloge c'est comme l'argent :

    -la première ne fait que décompter le temps qui passe mais n'est pas le temps lui-même ;

    -le second ne fait que compter la richesse potentiel que l'on détient mais ne saurait être la richesse elle-même.

    Quand je contemple le ciel, les étoiles, la nuit, comment ne pourrais-je pas rêver à l'infinité des peuples divers qui traversent sans bruit le sombre, éclatant et démesuré espace qui fonde l'univers ?

    Être ni heureux ni malheureux serait-il le bonheur ?IMGP0086.JPG

    La joie c'est de marcher dedans une merde de chien du pied gauche en se disant que ça porte chance.

    La réelle liberté est de comprendre ses propres contraintes.

    Toute haine n’est jamais réellement la haine de l’autre mais toujours la haine inconsciente d’une partie de soi-même, détestée et rejetée, puis refoulé et projeté, parfois travesti, sur un être différent et/ou plus faible que soi, représentant symboliquement cette partie de soi que l’on rejette et hait.

    Il est bon d’aimer les plaisirs de la vie pour apprécier le plaisir de vivre mais il est malsain de ne faire d’horizon de la vie que des seuls plaisirs.

    Ne vivre que d'apparence nuit au sentiment que nous avons de la réalité de notre existence, ne faire que paraître est une manière de se faire oublier, de s'oublier soi-même et une façon de ne pas se vouloir être.

    Faire un choix c'est agir, sinon nous ne faisons que réagir.

    Devoir choisir veut dire avoir affaire à deux alternatives au moins, ce n'est que quand de telles alternatives surviennent que nous nous retrouvons à faire un choix, sinon, le reste du temps, ce choix fait, nous ne faisons plus que de suivre le cours naturel des événements.

    P1020251.JPGLes peuples détestent, avant tout, être trahis par leurs dirigeants, même si il leur faut une incroyable dose de temps et de trahison avant qu'ils ne réagissent, leur patience envers ceux qui les gouvernent est immense mais jamais infini.

     Les deux jambes de la pensée sont la raison et l'intuition, la première repose sur la logique et la recherche de cohérence, la seconde s'entend d'avoir une approche globale à toutes questions.

    Toute soumission s'appuie sur deux émotion primaires, la peur et la colère, supprimez l'une des deux et vous supprimerez toutes soumissions ; Plus cette soumission s’établira tôt, plus elle sera puissante et réflexe.

    Toutes victoires d'une guerre économique ne sont que de Pyrrhus.

    Tout empire finissant génère son ultime réformateur annonçant sa disparition prochaine.

    La différence entre le communisme et le capitalisme c'est que le premier nivelle culturellement par le haut, c'est à l'état de dire ce qui est bien et beau, phénomène qui fait stagner la société ; le second nivelle par le bas parce qu'il faut plaire au plus grand nombre afin de lui vendre le plus possible, même la pire des inutilités et la pire des sottises, ce qui fait baisser le niveau culturel de la société, jusqu'à ce que le vendeur lui-même en vienne à en apprécier ses propres crétineries et qu'acheteurs et vendeurs en deviennent tous deux les pires des crétins.

    Le degré d'instabilité d'une organisation ou d'une société, quelle que soit saIMGP0207.JPG dimension, est directement proportionnel du niveau d'incompétence du plus haut de sa hiérarchie.

    L’Éden existe et a duré pour chaque être humain neuf mois.

    L’Éden, pour toute l'humanité, a existé et est appelé paléolithique.

    Une idée est l'amorce d'une pensée.

    Les vérités n'ont de valeur que quand elles s'appuient sur la réalité.

    La réalité est le monde tel qu'il est, tant du nôtre propre de la profondeur de notre psyché que de celui dans lequel nous vivons, nous pouvons ne pas la percevoir, nous pouvons ne pas la comprendre, mais elle est telle qu'en elle-même, elle agit sur nous tout comme nous agissons sur elle parce que nous participons à son épanouissement.

    Le réel est la réalité telle qu'elle fut, telle qu'elle est et telle qu'elle sera, en cela le réel est d'un infini infiniment plus grand que la réalité.

    La vérité est l'expression du sentiment du sens que nous donnons de notre perception du monde.

    L'esprit de magie consiste toujours de considérer les liens de cause à effet comme n'ayant pas lieu d'être.

    La haine vient de ce que nous aimons trop notre reflet.

    L'ennui est le fils aîné de la frustration.

    P1020490.JPGUne bulle spéculative consiste à croire qu'il serait possible de se faire beaucoup d'argent quand tout le monde se fait beaucoup d'argent sans se demander d'où cet argent provient et sans songer au risque évident de tout perdre.

     Il est rassurant de suivre la majorité, la preuve, les moutons font la même chose.

     Il y a deux sortes de passions, les passions individuelles et les passions collectives, les premières sont plus puissantes que les secondes tant que ces dernières n'ont pas inondé la pensée de la majorité de la population de son  unicité, ensuite, pauvre de nous.

     Ce qui est le plus ardu pour tout observateur n'est pas l'observation en elle-même, mais de pouvoir écarter ses préjugés sur le sujet étudié ou, mieux encore, de ne pas en avoir, ceci afin d'éviter le risque de rechercher, lors de la-dite observation, la preuve que ses présupposés décrivait une réalité qui pourrait très bien ne se révéler, dans les faits, qu'illusoire, si ce préjugé se révèle faux.

    PICT0295.JPG

    L'étrange attraction des peuples pour leur inconscient social : Tendance naturelle d'un peuple, d'une population, d'une nation, de revivre les périodes passées favorables et/ou critiques lorsque le-dit peuple, population, nation en est venu à oublier son histoire et, ce, quelles qu'en soient les raisons.

    Étrange parce que tous ces petits morceaux inconscients du passé du pays dans lequel nous sommes nés et avons vécu, et dont nous avons chacun une partie en nous, se recompose en un tout collectif, puis remonte à la surface et ré-existe, visible sous des formes parfois semblables, parfois étonnamment voisines.

     

    PICT0233.JPG

    Rétrogression historique : retour momentané partiel, ou total, suivant la violence du traumatisme subit, d’un peuple, d’un pays, d’une nation, sur une base sociologique et/ou anthropologique passée, en raison d’une catastrophe de grande ampleur et/ou d'un intense stress social et, ce, quelle qu’en soit la nature.

    PICT0264.JPG

    Valeur d'une monnaie : la valeur nominale d'une monnaie est proportionnelle à la richesse présente, potentiellement future et des réserves d'état faites de métaux précieux, or, argent, platine, du pays émetteur, au regard de la quantité qui en est conçue sous quelle que forme que ce soit.

    PICT0374.JPG

    Réflexions sur la causalité

     

    Principes 0):

    A) Rien ne peut être la cause de son propre effet, ce sont les effets qui génèrent les causes composant leur causal, générant ses effets, infiniment.

    B) Tout effet ne peut provenir que d'un causal résultant de la conjonction d'un certain nombre de causes ne pouvant que provenir que hors de lui-même.

    C) La magie n'existe pas, c'est à dire qu'aucun effet ne peut être de sa propre cause, rien ne peut se créer de et par lui-même que cette cause soit connue ou inconnue, que les lois de la nature qui sous- tendent la cause et ses effets soit connues ou inconnues sinon ce serait remettre en cause l'entropie, les moteurs à explosion et l'existence de la vie en elle-même...

    D) Toute causalité survient que parce qu'il y a interaction entre des éléments divers et différents et l'intensité de cette causalité dépend de la richesse des interactions entre ces divers et différents éléments.

     

    1) J'appelle un « causal » l'ensemble des relations entre les causes et leurs effets, c'est l'unité de causalité.

    2) Les causals sont simples.

    3) Leurs effets sont complexes.

    4) Les effets cachent, avec le temps, les causals et leurs causes.

    5) On ne peut véritablement comprendre un effet qu'en en comprenant son causal et ses causes.

    6 ) Un causal génère toujours des effets multiples.

    7) Un causal est une singularité événementielle venant toujours de la conjonction de causes venant d'effets divers provenant de causals dissemblables.

    8) La durée d'un causal est directement proportionnel au temps moyen d'existence des principales causes venant d'effets divers initiateurs de ce causal.

    9) Le sentiment que nous avons de la durée d'un causal est directement relatif à l'éloignement temporel et/ou spatial que le ou les observateurs ont de ce causal.

    10) Un effet ne peut provenir de causals multiples.

  • Cher Charles Sannat, lequel de l'état ou de l'union serait-il notre vampire?

    Ce billet a de base un commentaire que j'avait déposé sur le site "Vu du droit" dont j'ai partiellement changé le sens originel ainsi que le développé.

     

    Suite à l'un de vos derniers billets relayé par Businessbourse, je vous propose que nous fassions de la politique voulez-vous, cher Charles Sannat, en analysions la situation de ce seul fait et, ici, je vais revenir sur ce sujet en résumant notre véritable situation que j'ai pu traiter  tout au long de mes pages.

    Je vous apprécie, cher Monsieur, oui, oui, je vous apprécie, vous qui, à mon sens, êtes de ceux qui, en dynamique sociale, la sent le mieux et, en économie, ne dit pas trop de sottise.

    Mais, comme aussi la majorité de tous ceux faisant votre métier, vous oubliez cette moindre petite chose qu'est l'existence d'un fatras fait d'une union, d'un euro, d'un empire thalassocratique US et d'une oligarchie française que Monsieur Todd ditP1020964.JPG strato (c'était une bévue) stato-financière.

    Pourquoi, plutôt que de critiquer un état et son administration asservis, facilement remplaçable pour le premier, ne le faites-vous pas au sujet de nos maîtres?

    Pourquoi ne rendez-vous pas compte des fortunes que doit verser la France à une union où chacun de ses acteurs se paie grassement ainsi sur notre dos, elle qui, de plus, montre une criarde inefficacité dès lors que la moindre crise survient.

    ( Je fais un copier d'une partie de texte écrit ici:

    Voici un tableau relevé dans le livre d'Emmanuel Todd: "Les luttes des classes en France au XXI° siècle" page 55, dont la source de l'auteur est Eurostat :

    14 des pays de l'Union-Européenne en première colonne, en seconde, les emplois industriels, soit de cette économie dite réelle, en pourcentage % de la population active totale:

    République tchèque       /      30,6

    Slovénie                            /      27,4

    Slovaquie                         /      27,3

    Hongrie                            /      24,0

    Pologne                            /      23,8

    P1010457.JPGAllemagne                       /      20,7

    Italie                                 /      20,0

    Autriche                           /      17,3

    Finlande                          /      14,8

    Espagne                           /      13,8

    France                              /      13,6

    Danemark                       /      12,9

    Suède                               /      11,4

    Royaume-Uni                 /      11,1

    Il y a plusieurs observations à y faire:

    Nous comprenons pourquoi les britanniques ont voulu quitter l'union.

    A la vue des pourcentages des employés industriels et, dès lors, de la puissance en terme d'économie, usines et fabriques, pour chacun des pays:

    Qui de l'Allemagne ou de la République Tchèque est la plus riche?

    Qui de la France ou de la Pologne est la plus riche?

    Qui de l'Italie ou de la Hongrie est la plus riche?

    l'Allemagne est-elle vraiment la première puissance économique de l'union?P1030298.JPG

    La France est-elle vraiment la seconde puissance économique de l'union?

    L'Italie est-elle vraiment la troisième puissance économique de l'union?

    Sachant de plus que l'Allemagne, la France et l'Italie verse des subsides, via l'UE, à la République Tchèque, à la Pologne et à la Hongrie.

    L'Union-européenne est-elle vraiment une construction sérieuse?

    Quels sont les pays véritablement ruinés? )

    Certes, nos impôts sont devenus des tonneaux des Danaïdes, mais, justement, pourquoi ne pas aller au cœur des problèmes et de ne pas en montrer les pourquoi véritables, autant de cette gabegie que de cette flemme d'une administration devenue, pour l'essentiel, que de celle coloniale de nos dominants, comme il en fut de celle indienne quand l'Inde était une colonie britannique.

    Ils ne font rien, certes, pour beaucoup d'entre-eux, mais c'est parce qu'aucun n'a à décider, ou en des marges si réduites, qu'ils ne songent plus qu'à leur carrière et à leur compte en banque plutôt que de leurs responsabilités devenues du néant.

    Ainsi, nous ne pouvons pas poursuivre une quelconque politique économique de la nation sans P1020910.JPGque notre souveraineté pleine et entière soit rétablie au sein de nos frontières, ce qui est loin d’être d’évidence pour tous, là s'en trouve le pire.

    L'est-ce pour vous-même?

    La libre circulation des biens, capitaux et personnes, en étroite corrélation d’avec les traités définissant l’Union-européenne, rien que cela, déjà, nous en empêche.

    Ceci accentué dans le même temps, en plus desdits traités, d'un ensemble idéologique ordo et néolibéral accepté par tous les partis politiques siégeant dans les assemblées délibératives, plus les GOPEs devenus obligatoires depuis quelques années au risque sinon d’amendes importantes pour les pays qui ne les respecteraient pas, sans compter un euro qui, du fait de son formalisme, accentue plus que de raison nos difficultés.

    D'évidence, parce qu’il faut l’accord de tous les chefs d’état et de gouvernement pour réformer l’union, celle-ci est, de facto, irréformable et, en raison même de ce fait, vouloir la réformer et en être dans la capacité ne peut que mener mécaniquement à son autodestruction en raison des désaccords tant politique, économiques, monétaires, géopolitique et géostratégique qui ne peuvent que survenir en ce cas entre les pays de l'union.

    C’est bien parce que Monsieur Gorbatchev avait voulu amender l’Union-Soviétique que l’URSS explosa en vol, ceci en raison d’un mécanisme purement automatique.P1030473.JPG

    Pour faire vite, trois forces apparaissent et se combattent, réformatrice, conservatrice et contestataire du système, ce dernier, en raison des tensions politiques s’accumulant provenant des deux autres, tendant à devenir extrêmes, prend de la puissance puis en vient à détruire ce système politique devenu fragile, si ce ne sont pas les deux belligérants qui en viennent à l'anéantir par leurs conflits.

    Mais faudrait-il encore reconnaître ce fait pour que nous nous en dégagions: nous sommes sous le joug de l'Union-Européenne et de ses formalisme abscons et stupides, dirigée en même temps par les Etats-Unis-d'Amérique ainsi que par l'Allemagne, qui se combattant tous deux en secret, et tous nos problèmes viennent de là!

    Dès lors, soit l’on veut que le pays reste dans l’UE, mais en ce cas les questions économiques, législatives, d'impôts et de tant d'autres ne se posent plus, sauf à ce que l’on reste dans la rêvasserie ou le mensonge, soit l’on veut vraiment régler toutes les questions qui se posent à nous, auquel cas il ne peut y avoir d’autre moyen que d’en sortir.

    Pour l’instant, toute autre prise de position sur ce sujet ne peut que se retrouver, en toute logique, caduque.

    Je me dois de préciser la chose suivante:

    P1030257.JPGA cause de l’unilatéralité idéologique de la classe politique officielle, soit celle siégeant à l’Assemblée Nationale et au Sénat, à quelques détailles près, cela va de soi, les notions de gauche et de droite, qui, historiquement, sont liées à la relation au pouvoir du temps, royauté, bourgeoisie, religions, militarisme, capitalisme et autres… n’ont plus cours tant que nous ne retrouvons pas notre souveraineté, puisque le pouvoir d'aujourd'hui c'est l'union.

    C'est pourquoi je dis depuis des années qu'en France au moins il s'est produit un effondrement idéologique et, dès lors, politique.

    Les droites étant définies dès le début comme appuyant ledit pouvoir, la gauche luttant contre, le centre étant la recherche d’équilibre entre ces deux perceptions sociétales, à l’image de la sociale-démocratie d’antan.

    Puisque considérant que, désormais, c’est l’Union-Européenne qui détient les pouvoirs sur la nation, à quelques détailles près là encore, et qu’elle est de fait irréformable, sauf à la détruire, que, de plus, ne siègent aux assemblées délibératives que des personnes ne remettant pas en cause l’union, puisque la remettre en question lui serait destructeur, ce que, de plus, chacun déclame, soit vouloir la réformer, sans jamais vraiment y joindre du geste à la parole, sachant que cela est, en vrai, irréaliste.

    ( Le pouvoir grec actuelle, celui de Mr. Tsipras, en étant l'exemple le plus frappant depuis 2012, lui qui cru pourvoir, justement, réformer l'UE s'y est cassé les dents avec logique: cette organisation savait très bien que si cela survenait elle se déliterait inéluctablement. )

    Ainsi et du fait de cette impossibilité de sa régénération, mais aussi du déni de son existence par l'élite de la nation, qui suit dans le même temps les ordres de l'UE viaP1030098.JPG les GOPEs (ce qui montre chez-eux un collectif grave biais cognitif) nous ne pouvons donc en conclure que tous ces partis politiques que nous pouvons dire officiels sont de droite (ce qui a une certaine saveur), ceci d’autant plus de leur unilatéralité doctrinale les rende tous soumis, soit, du RN au PCF en passant par FI le PS, EELV, l’UDI, LR et bien sûr le REM des radioéléments.

    Tout les autres partis politiques voulant que le

  • C'est marrant des abrutis qui nous prennent pour des crétins.

    J'avais émis précédemment une idée, celle de faire carnaval, ce n'était qu'une idée, sans plus.

    Le président et les ministres employés bancaires commencent à s'affoler.

    La police est épuisé en réalité de quoi surtout.

    Les gilets jaunes se radicalisent-ils?

    Et les médiats officiels continue de nous raconter des sornettes.

    Qu'en pense-je?

    P1020059.JPG

    Ce qui y a d'épatant (j'aime bien les vieilles expressions) chez ceux qui nous gouvernent c'est qu'ils pensent nous manipuler quand ils peuvent l'être eux-mêmes si facilement.

    Ainsi la meute des biens-pensants oligarchiques commencent à accuser la Russie d'être l'élément manipulateur des gilets jaunes en en visant principalement les médiats Sputnik et R.T. France.

    Bon, déjà, les-dits gilets n'ont pas besoin que des agents provocateurs quelconques provenant de Russie ou d'ailleurs les excitent, il ne suffit juste que l'un des ministres macronniaiseux parle pour faire monter la tension, avec les chroniqueurs télévisuels les agents provocateurs ce sont eux.

    De plus ces médiats prennent grand soin de parler de réchauffement climatique anthropogénique, sujet central des délires oligarchiques, quand bien même une bonne part des décisions politiques et géopolitiques russes sont en prévision d'un refroidissement.

    Et s'ils se prenaient de vouloir manipuler l'Union-européenne et par là même la France, ils sont tellement subtiles que nos baltringues seraient bien en peine d'en percevoir quoi que ce soit.

    Non, s'il y a manipulation cela ne peut provenir que de l'Allemagne merkélienne, qui serait heureuse de voir disparaître l'euro à cause des gesticulations oiseuse du gouvernement français plutôt que de son propre fait, d'une Grande-Bretagne qui serait contente de se débarrasser de l'U.E. à moindre frais ou des États-Unis-d'Amérique dont le président Trump ne peut pas avoir digéré l'idée du sieur Macron de créer une armée européenne, ce qui est pour l'empire une cause de conflit évident.

    P1010563 - Copie.JPGCe dernier, notre cher président, d'ailleurs, se montre, si je puis dire, plus que discret, invisible.

    Il se fait dire qu'il ne serait pas bien portant, pour ma part je ne serais pas surpris qu'il puisse souffrir d'une dépression nerveuse carabinée et que, quand nous pouvons le percevoir un bref moment, ce ne serait que lors de brefs instants de rémission.

    Au risque de me répéter, ce n'est pas un psychopathe ni un pervers narcissique, tout juste est-il, à mon sens, la victime de ce genre de dépravé.

    Pour les repérer, c'est très simple, voyez qui reste impassible lors d'une dispute ou, si la personne réagit, se calme aussitôt après de ce qu'il semblait être une monté d'adrénaline.  )

    Peu de temps après son élection j'avais dit de lui qu'il était psychologiquement fragile et instable, ainsi que doté d'un mode de penser très infantile.

    Que dorénavant il puisse craquer et gravement décompenser psychologiquement au vu des événements n'est donc pas pour me surprendre et c'était même prévisible, d'autant plus que l'affaire Bennala l'avait déjà rendu extrêmement instable.

    Je ne serais pas même étonné que notre hurluberlu de président commençât à avoir des tendances suicidaires.

    De fait, maintenant, si le gouvernement n'annonce pas une reddition, même partielle, en rase campagne, ce n'est pas seulement l'économie nationale qui est en jeu, mais bien celle mondiale qui, quoi qu'il en soit, est déjà au bord de sa faillite.

    D'ailleurs les délires économiques en France de nos singuliers dirigeants politique etP1020088.JPG économique, nationaux et européens, nous conduisaient déjà dans ce gouffre abyssal monétaire international, les manifestations, que j'approuve, des gilets jaunes ne faisant qu'en accélérer l'échéance, ce qui n'est pas plus mal.

    Au sujet des anars violents, qui se nomment eux-mêmes les blacks blocs, ceux-là ne se rendent pas compte qu'en fait ils sont sujet d'une manipulation impériale et gouvernementale, pourquoi, sinon, se désigneraient-ils de ce sot sobriquet fleurant bon la neuvlang anglo-américaine que portent aux nues tous ceux qui adorent l'empire étasunien?

    Les blacks blocs ne sont que des pigeons sans cervelle, des crétins, des abrutis!

    Quand aux fachos violents, eux aussi ne sont que des pions d'un jeu qui les dépasse et, également, ne sont que des pigeons sans cervelle, des crétins, des abrutis!

    Tous deux n'étant que les domestiques du pouvoir, là où ces derniers disent où il faut qu'ils aillent, ils y vont en remuant la queue, comme les bons toutous qu'ils sont.

    Et ces deux groupes qui, en réalité, n'en font qu'un, ne sont là que pour que le mouvement des gilets jaunes soit un échec.

    Pour aider l'oligarchie monétariste à conserver son pouvoir.

    Cui, cui, cui, les p'tits oiseaux...

    Bon, sinon, l'effondrement idéologique continue et tous les partis politiques ayant des représentants au Sénats et à l'Assemblée Nationale se dissolvent doucement.

    P1020008.JPGAinsi le parti de Monsieur Asselineau, l'U.P.R., a-t-il présenté un plan pouvant permettre  autant à ce que les manifestants se calment que de ce qu'ils retrouvent un tant soit peu d'écoute dans cette partie la population qui s'était éloignée d'eux lors de la manifestation du Samedi passé.

    Ce plan est fort simple et très gandhiste si je puis dire (du Mahatma Gandhi), bien qu'il ne s'agisse pas de désobéissance civile mais plutôt de l'emploi des institutions du pays, tout en affaiblissant le gouvernement et le R.E.M. et en mettant nos élus de la pseudo-opposition au devant d'une situation de piège logique.

    Il ne s'agit, ni plus ni moins, de ce que la population demande à chacun de ses élus de se composer en haute cour affin de destituer Monsieur Macron de son poste de président de la République pour fautes graves.

    Et tous ces couillons des deux chambres délibératives ont plongé dedans ce piège évident les deux pieds en avant, schplafff, en ne voulant pas répondre à cette demande devenant populaire ou à déclarer ne pas vouloir prendre cette décision, tout simplement parce qu'ils ne pouvaient pas faire autrement.

    C'était soit ça, soit se retrouver devant des juges pour malversation lors des dernières élections nationales.

    Avez-vous remarqué que le Modem, R.N. et F.I. furent ennuyés par des juges, justement, puis que, par miracle, tout cela c'est calmé peu de temps après?P1020011.JPG

    Ne vous en faites pas, L.R., l'U.D.I. et E.E.L.V. auraient subit le même sort s'ils avaient été trop remuant.

    Et oui, vu que tous avaient plongé la main dans le pot de confiture des petits arrangements pour pouvoir pourvoir à ces élections passées et de faire survivre leur parti si mal en point de perdre leurs adhérents, le message de nos oligarques est très clair: "si vous vous montrez un tant soit peu désobligeant à l'égard du gouvernement, nous vous foutons les juges aux fesses!".

    Mais tout cela a un coût, l'existence même des partis politiques officiels français, tous confondus.

    Pendant ce temps là nos ploutocrates nationaux et leurs petites mains chroniqueuses si dociles, tentent d'éteindre l'incendie qu'il avaient eux-mêmes allumé, ô les beaux pompiers pyromanes.

    Et elles y vont ces pleureuses, pour explique que ce vilain petit peuple des gilets jaunes ne sont que de méchants pas beaux, même quand, aujourd'hui le Samedi 8 Décembre 2018 en début d'après-midi, ils agissent, eux aussi, tel que l'enseignait Gandhi, ou au moins s'essayent de le faire au mieux, ce qui met en émoi la gente médiatique (rassurée parce que des "casseurs", ces pigeons débiles, mettent en vrac les centre-villes).

    Tout en oubliant de préciser que c'est bien en raison de leur appui ardent pour P1020032.JPGl'équipe gouvernemental en place que nous en sommes tous là, gouvernement qu'ils ont tous aidé à se faire élire par un acharnement médiatique à la limite de la légalité, et en se faisant foin de tout esprit démocratique.

    Tout en oubliant que c'est lors des présidences passées que ce marasme s'était mis en place, depuis des décennies.

    Ce sont bien  eux, tous, sans une exception (le dernier journaliste-chroniqueur indépendant d'esprit, Frédéric Taddeï, fut lui chassé de France Télévision et travaille dorénavant sur  R.T.), qui sont au premier chef responsable de ces manifestations.

    Il est une chose que je me doit de rajouter, c'est le racisme discret dont font preuve ceux de la classe-moyenne la plus haute jusqu'à l'oligarchie la plus riche.

    Si en effet les gilets jaunes sont ce qu'ils sont et font ce qu'ils font c'est bien parce que la province, soit la majorité de la France tant en dimension qu'en nombre d'habitants, fut depuis ces décennies délaissée au profit des cinq à six plus grandes agglomérations du pays, dont les banlieues où se trouve une grande part des immigrés, servant de réservoir à serviteurs bien obéissants.

    C'est pourquoi ceux-ci ne prennent que peu part à ce mouvement gilettiste, ce qui est, à mon sens, d'une grande dangerosité sociale pour eux.

    Avant d'aller plus loin dans ces réflexions je vous propose d'écouter et voir cette courte vidéo de Charles Gave, dont je suis part ailleurs en désaccord avec nombre deP1010194.JPG ses considérations en théorie économique, mais là sa courte intervention montre la logique sociale du moment.

    Je suis aller voir aussi ce qu'explique Monsieur Guilluy en tant que géographe dans cet entretien de 33mn., à lui déplaire si tant est qu'il me lise, il n'a pas perçu certains phénomènes tels que l'effondrement idéologique allant à son achèvement, celui de l'économie mondialisé et de tout un tas d'autres choses encore.

    En revanche, cette perception d'une division du pays, phénomène touchant la majorité de l'Occident, en trois parties, les grandes villes dont l'économie est basée sur le tourisme, la financiarisation et la très haute technologie, les banlieues où s'y trouvent les travailleurs des services dédiés aux précédents et une province délaissée m'est cohérente.

    C'est cette France que nous pourrions nommer exo-périphérique, soit hors du  champs des-dites grandes villes qui, dorénavant, s'affirme autant en tant que constituant une patrie une et indivisible, d'une nation, mais aussi d'être l'un des acteurs de la vie politique du pays, peut-être le principal.

    Quand bien même les exactions brouillonnes et destructrices des groupements plus ou moins formels, anarchisant et monarchisant, aient fait perdre une partie du soutien de la population au mouvement des gilets jaunes, les 66% restant montrent que la population reste en accord avec lui.

    Ce retour à cette double idéologie, se retrouvant ensemble ainsi à Paris, ce qui est un comble, montre qu'en effet la société effectue ce retour en arrière sociologique que j'appelle une rétrogression historique, il en est de même d'une Marseillaise chantée en cœur par les gilettistes.

    Photo0001.jpgIl ne s'agit ni d'une insurrection, ni d'une révolte, ni même d'une jacquerie, il s'agit de quelque chose de nouveau qu'il m'est encore difficile à définir, de quelque chose plus proche de ce que peut être une révolution dans le sens le plus large du terme, reposant en même temps sur ces bases anciennes d'une rétrogression, au-dedans de processus collectifs, politiques et sociaux novateurs.

    Avec, en même temps, une recomposition de la société française sur des bases plus saines.

    Cette révolution doit, pour l'instant, faire face à

  • De la chaleur climatique fantasmatique aux égarements psychologique collectifs.

    (Mon blog a bogué, le voici remis à l'endroit.)

    (Psychologique et non pas spychologique, j'en fais un beau, de spychologuqe, hé, banane, et la banane, c'est moi!)

    Le présupposé réchauffement climatique anthropogénique est, à mon sens, ni une théorie, ni une hypothèse, ni même une vague idée, mais juste l'une des nombreuses résultantes d'une grave instabilité psychologique collective.

    En cela, cette chimère exprime quelque chose.

    Cette chose ne se situant pas dans le domaine de la science climatique mais dans la profondeur de notre psyché.

    D'autres signes le montre, comme il peut en être de l'amour immodéré des puissances monétaristes au sein des gouvernements de l'union et de l'Union-Européenne elle-même, dont les banques Rothschild et Goldman abeille.jpgSachs, grands pourvoyeurs et employeurs de nos élites zélées (macron en sortirait), sont les plus puissantes, visibles et nuisibles.

    Il en est de même d'une représentation exagéré des États-Unis-d'Amérique en tant que parangon de modernité, de puissance et de démocratie et symbole de la vertu.

    Si Monsieur Trump est haï c'est surtout que de part sa simple présence en tant que président de l'empire U.S., il montre et démontre, en raison de sa vulgarité naturelle, que la représentation qu'il se fait en Europe et en France de cette nation n'est pas telle qu'elle peut généralement se fantasmer.

    L'indépassabilité de la construction européenne et la négation de son triple verrouillage, politique, idéologique et institutionnelle, et ses effets autodestructeurs font également partie des symptômes de cette instabilité émotionnelle collective européenne.

    La détestation de la Russie fait également parti de ces obsessions, où il est possible d'entendre que le froid auquel nous nous confrontons aujourd'hui proviendrait de là-bas, par une vague Moscou/Paris, comme une sorte d'accusation, un reproche voilée.

    Sans compter tout ce qui peut se raconter au sujet de Monsieur Poutine et de ses services.

    Mais là où nous pouvons, sans hésitation, parler de délire, c'est quand nous apprenons que des nazis sont au gouvernement ukrainien, auquel l'O.T.A.N., donc la France, est allié, quand dans le même temps de longues émissions télés se font sur la Shoas.DSC_9621.JPG

    Ou quand, dans  nos mêmes médiats, se poussent de hauts cris au sujet du bombardement de la Goutha par le gouvernement syrien, où des extrémistes islamistes lié à Al Qaïda, se terrent, extrémistes que l'O.T.A.N., dont fait, là encore, parti la France, a armé, et qui, peut-être, put téléguidé l'un ou l'autre des attentats qui eurent lieu dans notre pays.

    Ces quelques exemples montrent cette instabilité psychologique, d'une partie de la population, certes, mais surtout d'une immense majorité de l'élite économique, politique et journalistique française, européenne et étasunienne.

    C'est donc de cette instabilité là que je me vais tenter d'analyser en m'appuyant sur la moins que supputation de ce présupposé réchauffement climatique anthropogénique (un refroidissement serait en tous points infiniment plus destructeur et meurtrier et ce serait vers quoi nous nous dirigeons).

    P1000816.JPGCe texte plus avant que je vous propose est le copié-collé retravaillé d'un commentaire que j'avais laissé ici .

    Qu'est-ce que sont les symboles, sinon les images archaïques inconscientes, un pré-câblage neuronale en quelque sorte, qui s'expriment, entre-autres, lors de nos rêves pour nous aider à donner sens à ce que nous vivons et avons vécu, ou qui peuvent nous faire prendre des décisions, bonne ou mauvaise, peu importe, sans que nous ne nous en rendions toujours compte, ce sont les archétypes.

    Ces symboles s'expriment aussi lorsqu'il y a dissensions entre ce qui nous fait humain et le vécu, ils permettent ainsi, vaille que vaille, à ce que la personne, le groupe et/ou la société s'adaptent à leur propre civilisation.

    Collectivement cela peut s'exprimer de diverses façons, cheminsP1000859.JPG initiatiques, prières, rites, etc...

    Ça c'est le fait religieux (je suis athée...) ce qui est autre chose que la foi (...métaphysicien).

    La particularité de notre époque est que tout valant tout, nous nous retrouvons à faire face à une indétermination conceptuelle de la valeur de nos actes et actions, de nos pensées, de notre  socialité et sociabilité, de notre fonction et métier, de notre identité, tant sexuée, sociale, familiale, de la nôtre propre, donc psychique aussi et surtout.....

    Et qu'à ceci soit triplé d'un violent effondrement idéologique et d'un long éloignement à la religion, sans que rien ne soit venu pour en combler ce vide psychologique, ce sont les archétypes qui, si je puis dire, en sont venu à prendre les décisions pour combler cette indétermination mortifère, cette béance laissé, ce délaissement de soi, hormis dans la seule apparence.

    Ce vide est celui du sens, donc celui de la vie.

    En fait, ce à quoi nous assistons c'est, par ce fantasme d'un réchauffement climatique anthropogénique, la tentative désespérée de notre psyché profonde collective, donc de l'addition de celle d'une large majorité d'entre-nous, de retrouver une harmonie entre pensée, conscient et inconscient, de retrouver un tant soit peu du sens de l'existence et de l'existant.

    P1000753 - Copie.JPGIl est à remarquer la culpabilité sous-jacente, la haute chaleur ayant trait à l'enfer des pécheurs, qu'il y a de considérer que ce soit l'Être Humain qui est en train de détruire la planète, je ne fais là que traduire l'expression: "il faut sauver la planète!".

    Penser cette culpabilité (d'autres aussi nous travaillent de l'intérieur, dont deux guerres mondiales), dont là encore l'origine archétypale est notable, démontre une responsabilité, moderne au demeurant, de notre espèce envers la vie, oui, mais de quelle vie s'agit-il?

    Celle de la planète, de la vie, de sa vie ou de la vie psychique?

    Je dirais surtout que c'est d'abord de cette dernière que notre inconscient collectif nous montre, en raison même de notre malsaine indétermination.

    Nous ne pouvons en effet faire sens du monde et du vécu si nous ne commençons pas par faire sens d'abord en nous, de nous comprendre de ce que et de qui nous sommes, de saisir la responsabilité de comprendre le sens de notre humanité, ad minima de faire la démarche d'être dans la décision de vouloir comprendre cela (de toute façon c'est un cheminement quasiment sans fin).

    Ou du-moins, comme nos anciens, de vivre le ce que et qui nous sommes, il est vrai sans vraiment le comprendre, mais de le vivre vraiment au travers des diverses rites religieux ou par l'adoption d'un rigorisme P1000889.JPGpolitique il est vrai souvent dangereux.

    Cela venant, entre-autre, de ce que nous confondons individualisme, qui est la recherche des seuls plaisirs et pouvoirs, avec individualité qui est la responsabilité d'être en tant qu'Être Humain, responsabilité individuelle autant que collective.

    Il s'agit donc de la compensation collective d'une instabilité psychologique grave due à une modernité que nous ne comprenons pas parce que celle-ci nous a conduit à une acculturation plus ou moins importante suivant les pays, les peuples et leur liens, aussi, entre leur passé et leur présent (ce à quoi les russes se sont éloignés, d'où la haine envers la Russie).

    Parce que c'est une compensation psychique, vouloir montrer l'inanité de l'idée même de cet insane présupposé réchauffement, qui entre en contradiction formelle d'avec la réalité scientifique, ne peut que générer une angoisse importante.

    D'où la violence avec laquelle les porteurs de cette inexistante abstraction réagissent, en projetant leur malêtre intérieur, leurs profondes angoisses existentielles, sur leurs contradicteurs, allant jusqu'à l'injure en s'empêchant encore à la violence physique.

    P1000896.JPGToutefois nous pouvons observer la puissante censure sur ce sujet et sur bien d'autres, ainsi avons-nous vu deux journalistes météos être chassés des chaînes publiques pour avoir simplement eu l’audace de simplement questionner la réalité de cette abstraction.

    Pourquoi donc fais-je le lien entre le dit supposé réchauffement et la béatitude, pour ne pas dire l'exaltation envers le monde américain et l'Union-Européenne, ainsi que tout ce qui les entoure, entre-autre l'imbécile théorie du genre, qui éprend autant l'élite politique, journalistique qu'économique et, ce, même si c'est, à terme, évidemment, à leur propre dépend?

    En raison même de ce vide de sens mortifère provenant de cette indétermination psychique qui est leur, processus qui s'est aussi, en un degrés moindre, répandu dans la classe-moyenne haute et intermédiaire, même chez des universitaires et scientifiques hautement instruits (le reste de la population étant infiniment moins touché par ces errements).

    Classe-moyenne, d'ailleurs, qui en vient à se détourner progressivement de cet ensemble de chimères, si je puis dire, morceau par morceau, certains rejetant les unes tout en approuvant les autres et vice et versa.

    Dans leur recherche d'une identité pour fuir leur indétermination psychique, ces élites oligarchiques se voudraient américains, c'est pourquoi elles obéissent autant aux désidératas étasuniens que du bureau deP1010129.JPG l'Union-Européenne, le second représentant les États-Unis-d'Amérique fantasmé.

    Bureau de l'U.E. ainsi que toute son administration, la majorité des élus de l'assemblée européenne aussi que les gouvernements des pays de l'U.E. se pensant eux-mêmes détenteurs des États-Unis-d'Europe en une illusion plus ou moins inconsciente, d'où leur appropriation pleine et entière, plus même, caricaturale, de l'idéologie néolibérale anglo-saxonne que les britanniques et une majorité d'étasuniens remettent désormais en question, voire en cause.

    C'est sur ce terreau fertile quasiment hallucinatoire que s'assoie l’hégémonie impériale U.S. sur l'Europe et, ce, depuis des décennies.

    Oligarchie U.S. en proie aux mêmes tourments, c'est la raison même pour laquelle elle refuse toute tentative de réforme de l'empire, son sentiment de domination impériale lui donnant l'impression, fausse, d'avoir une identité, d'où sa haine envers Monsieur Trump, représentant, de plus, à leur idée, le peuple, voire la masse populacière (ce que nos propres oligarques considèrent également, d'où aussi leur détestation du président étasunien et celle de leur population).

    P1010109.JPGDorénavant l'oligarchie européenne et française se retrouve entre deux feux, d'un coté les conservateurs réactionnaires U.S. qui considèrent comme justifié que l'empire vole les richesses européennes, donc celles de cette oligarchie naïve, et, ce, à n'importe quel prix.

    De l'autre les réformateurs U.S. qui, voulant abattre les précédents dans leur intention de réformes impériales, ne peuvent que rechercher à les atteindre en menant à la faillite des banques européennes trop grosses pour faire faillite, celles qui ont des liens trop étroits avec les deux banques U.S. sus-nommées, Rothschild et Goldman Sachs (je ne peux pas dire lesquelles, j'espère que celle où j'ai mon compte n'est pas de celles-là).

    Toujours est-il que cette lutte interne à l'empire peut être le déclencheur de cette faillite mondiale cataclysmique dont je fais état depuis tant de temps.

    Cet effondrement économique international ne pouvant que mener autant à la disparition de l'Union-Européenne qu'à celle de cet ensemble hétéroclite de dogmes et à leurs porteurs les plus intransigeants.

    Ce qui ne pourra que mener à un nouveau vide puisque cet ensemble dogmatique, ainsi que ce qui soutient ceux bataillant contre, disparaîtra avec inéluctablement.P1010035.JPG

    Ce qui mènera à ce que j'appelle une rétrogression historique (j'en donne la définition en bas de cette page), processus d'ailleurs en ce moment en cours, la floraison des barbes, similaires à celles qui avaient cours lors de la troisième république, et Monsieur Macron agissant, à son insu, d'une manière semblable à Napoléon III, n'en étant que l'une des preuves.

    C'est pourquoi que les églises, dans le futur, se remplissent de nouveau ne serait pas quelque chose qui me surprendrait, je trouverais ça logique et même cohérent.

    Que le patriotisme (la terre), que Monsieur Asselineau et son parti, l'U.P.R., représente d'ores et déjà, et même le nationalisme (le peuple), jusqu'au plus échevelé, revienne sur le devant de la scène me parais aussi du plus pur des naturels.

    Que l'anarchisme, déjà en voie de développement, en vienne à s'étendre me semble également dans l'ordre du probable.

    Ceci étant dû à ce que le néolibéralisme, la masse dogmatique qui l'accompagne et sa couverture culpabilisante, le réchauffement climatique anthropogénique, qui couvraient le vide psychologique dû à l'indétermination du sens du vécu, aura entièrement, ou presque, disparu.

    P1010126.JPGUn tel vide ne pouvant que demander à être comblé par autre chose, or, puisque aucune doctrine nouvelle ne vient donner du sens à cette vacuité, ce ne pourra qu'être celles anciennes qui viendront assouvir ce manque cruel.

    Cruauté en raison de la douleur psychique intense que ce sentiment de néant donne, douleur insensible mais bien là, compensée par tout ce tas de trucs et de machins que nous connaissons si bien et dont je viens de relater de ce qui en est, à mon avis, de son origine.

    En effet, d'autres, et nombreux, symptômes de ce mal étrange nous assaillent encore, mais ce présupposé réchauffement climatique anthropogénique est peut-être l'un de ceux, voire celui des plus importants, tant dans sa fonction de compensation psychique, que dans celle symbolique.

     

     

    THEURICP1010164.JPG

  • Ma philosophie et la chute finale.

    Chers lecteurs, bonjour.

    Je n'arrive pas à placer la grande photo d'entrée de page, excusez-m'en, Hautetfort me faisant une petite taquinerie, peut-être est-ce parce que cela lui fait trop de mémoire ou qu'un bug ferait des siennes...

    Ça y est, cela fonctionne.

    Question avec réponse en fin de page: quel est le plus petit nombre?

     

    Je suis, comme je l'ai déjà écrit, un penseur brut dans le sens où je ne me suis jamais véritablement instruit de la philosophie, piochant, par ci par là, autant des réflexions des anciens, de celles des modernes, des scientifiques, des psychologues, des psychanalystes, des essayistes..., ainsi que de tout ce que j'ai pu rencontré tout au long de mon existence.

    Ainsi le principe de parcimonie demandant à ce qu'une théorie scientifique doit être aussi simple que possible en prenant en compte l'ensemble des observations faite sur le sujet donné peut, également, être employée pour étudier bien d'autres matières, telles que la psychologie et la politique notamment...

    Ma philosophie est simple à définir, plus nous sommes conscient tant de nous-même que du monde qui nous entoure, mieux nous nous acceptons tel qu'en nous-même, mieux nous ressentons notre physique et le comprenons, le mieux nous nous adaptons aux situations et, dès lors, mieux nous sommes et y sommes apaisés et savons réagir face aux vicissitudes de la vie.P1040895.JPG

    A cela s'ajoutant le fait que notre pensée, en tant que fonction psychique, ne peut que se développer au meilleurs possible et, ainsi, conscient et inconscient remplissent leur  rôle d'échange continuel sans interférer de l'un sur l'autre en tous sens, ce qui est toujours dommageable.

    D'où l'un des sens de mon aphorisme: "Qui observe transforme!"

    En son centre j'y place des notions telles que l'identité individuelle comme collective, d'une grande modernité et bien plus centrale aujourd'hui qu'hier.

    Puis celle de frustration qui y est liée dans le sens où, si  l'on nie la nature de chacun, si  on ne la reconnaît pas dans ses dispositions, si elle marque son manque (bien que ne pouvant qu'être toujours présente mais en ce cas refoulée ), qu'elle soit sexuée, nationale, professionnelle, de discernement et d'intelligence ou de toute autre constitution, la personne ne pourra que s'égarer et se morfondre dans la sottise, le vice infantile,  un désaccouplement d'avec la réalité, une temporalité réduite à un présent restreint et à des angoisses terrifiantes non reconnues.

    La complexité de notre esprit venant de ce que tout ce que nous sommes dans le monde commence d'abord par soi, mais que tout ce qui nous détermine en premier lieu se fait par le regard des autres et, au premier chef, de celui de notre mère et de notre famille.

    Être déterminé relève donc autant de la dynamique de nos décisions et actions que de P1040902.JPGnotre assurance en notre identité: naissance, qui nous sommes, connaissance, ce que nous savons en expérience et en apprentissage, provenant de nos faits et d’autrui, des écoutes, lectures, gestes..., ainsi que reconnaissance, ce que nous sommes en tant qu'individu individuel qui fait société, cela étant pour nous un tout en un lien indéfectible de nos actions et de notre état d'être.

    N'oublions pas non plus notre corps que nous nous devons d'apprendre à ressentir au mieux.

    Notre psyché profonde est, à mon sens, triple, l'inconscient collectif qui est la nature de notre espèce depuis l'origine de la vie, voire de l'univers, la présence de notre instinct enfoui profondément, l'inconscient social qui est notre héritage multi-millénaire de ce qui nous fait société, tout autant notre personnalité originelle, celle dont nous sommes doté au moment de notre mise au monde, tempérée par nos obligations et interdits du surmoi.

    Pour Homo Sapiens Sapiens le verbe est de la première importance, rien ne peut s'établir sans lui, c'est pourquoi le mot juste et précis de sa langue maternelle employé avec justesse est central.

    C'est pourquoi l'empire thalassocratique (océanique) US, dans sa nécessité de dominer les pays européens pour contenir et contraindre la Russie, en tant que puissance terrestre, sur son ouest, nous a manipulé pour pervertir la langueP1050100.JPG française par le biais de sa domination culturelle multi-décennale, seule façon pour elle de nous tenir au sein de l'Union-européenne et de l'OTAN.

    ( Nous nous devons donc de récupérer la qualité de notre langage pour nous retrouver nous-même. )

    Ce phénomène, débuté dès la sortie de la seconde guerre mondiale (1939/1945), a atteint un tel niveau  en France que l'affaiblissement continuel des USA mène, dès qu'y a lieu une crise sociale d'une certaine importance, comme il en fut de l'affaire George Floyd, à ce qu'une crise d'hystérie collective s'y déclare chez-nous à la suite pour singer nos colonisateurs, prenant une forme semblable mais sans qu'aucun contexte similaire n'ait paru.

    Ainsi celle d'affaire Adama Traoré avait eu lieu il y a 4 ans, cet homme n'était pas une personne de la classe-moyenne apaisée mais faisait parti de la petite délinquance multirécidiviste plus ou moins violente (ce qui n'excuse en rien son décès mais montre les différences flagrantes entre ces deux cas).

    D'ailleurs l'oligarchie US (en lutte contre l'état profond, je le suppute) ne s'y est pas trompé qui,  pour verrouiller encore plus notre domination économique par l'empire, a offert le prix BET (interdit de rire) à sa sœur, Assa Traoré, qui, se dit-il, ne serait pas non-plus elle-même blanc-bleu, sans jeu de mot.

    Cet exemple caricatural montre bien que ledit phénomène transcende aussi bien les P1040978.JPGcouleurs de peau, les origines ethniques et religieuses des français, touchant de plus nombre de personnes qui, d'une manière ou d'une autre, voudraient que notre pays ne soit plus sous contrainte de l'Union-Européenne et de l'OTAN, tout en désirant secrètement que ces deux entités persistent dans le temps.

    Ainsi va notre vie psychique dans sa complexité individuelle et/ou collective, nous ne voudrions plus vivre dans un système social ou une situation quelconque malfaisant, dépassé ou simplement rejeté, tout en se refusant qu'il disparaisse.

    Telles certaines obédiences et formes de protestantismes chrétien ainsi que d'athéismes qui rejettent, voire haïssent le catholicisme mais, d'une façon de la faire perdurer mentalement, d'en conserver un lien, penchent vers et louent l'un de ses interdits centraux, symbolique, celui du vau d'or, qui mène au précepte de ne devoir pas faire d'argent avec de l'argent, conduisant en cette caricature absolument inverse qu'est l'économie monétariste spéculative néolibérale.

    ( "Le taureau de Wall Street" aujourd'hui faisant face "à la fillette sans peur" est, symboliquement d'importance.

    Cet animal est représentatif de ce "vau d'or", quoi que puisse en dire l'artiste, une oeuvre étant toujours plus que son créateur et de son commentaire envers icelui.

    La figure féminine, la femme, Marianne pour la République Française, ou ici une demoiselle, cette jeune fille au-devant de cet animal sauvage, est la représentation de l'anima dans la psychanalyse de C.G. Jung, soit la figure féminine guidant l'homme, pour la femme se sera l'animus (il est dommage, à mon sens, que peu de littératureP1040939.JPG ne se soit développé au sujet du dernier, ceci provenant de femmes, Jung étant un personnage de son époque avec toute sa subjectivité, je pense son approche n'être pas suffisamment mesuré et ses études, comme toutes autres anciennes, ne pas être assez approfondies aujourd'hui, l'animus ne peut que guider les femmes, alors mesdames, à vos méninges et votre plume, sans extrémisme féministe ).

    Quoi qu'il en soit, la pose de ce dernier bronze annonçant, à mon sens, une transformation radicale tant politique qu'économique des USA. )

    L'autre exemple en est de vouloir, en réaction à l'économie capitalistique d'essence entièrement privée, ceci en raison de sa perversion néolibérale terriblement destructrice des peuples et des pays, de désirer que celle-ci devienne entièrement publique quand, de tout manifeste, ce qui serait à rechercher en serait une juste harmonie régulatrice entre ces deux perceptions politiques, leur juste milieu.

    Cela concernant ma recherche des équilibres des contraires, soit la compréhension du pourquoi ces variations d'un extrême à un autre par réaction non réfléchie, plutôt que de se pencher sur une harmonisation desdits contraires.

    D'avoir fait depuis des années erreur quand à une faillite généralisée de l'économie-monde, du dollar, des autres monnaies et de la disparition de l'Union-Européenne, P1040895.JPGtant en leur date comme de leur processus, je me suis vu contraint de réévaluer mon approche de la dynamique historique en cours.

    Ceci d'autant plus quand j'ai découvert les écrits de Christian Greiling qui, sur le site: "Chronique du grand jeu", montrant cette guerre souterraine entre l'empire thalassocratique US et les deux puissances terrestres, la Russie et la Chine.

    J'ai donc dû en faire évoluer mon approche et, dès lors, ma philosophie, ceci parce qu'une philosophie, pour être valide, se doit d'avoir la capacité d'être évolutive.

    Je reste sur une assurance: l'économie-monde ne peut pas ne pas disparaître en une échéance relativement courte, il en est de même des trois créatures US, les UE/€/OTAN, ceci à cause des déséquilibres extraordinairement importants en leur sein ne cessant de croître.

    En France, la situation politique semble être devenue inextricable pour trois raisons: sa désorganisation s'accroissant, un verrouillage électoral et idéologique médiatique mettant en scène des personnalités de plus en plus incompétentes, un appauvrissement tant économique qu'intellectuel du pays.

    L'euro étant indéfectiblement lié à l'Union-Européenne, vouloir déconnecter le premier d'avec le second me paraît aléatoire, peut-être même impossible, à cause du contrôle politique que l'administration bruxelloise exerce sur les pays y étant liés, ainsi que des pressions économiques qu'elle peut leur pratiquer.P1040998.JPG

    De ce fait, il n'est d'autre solution que de quitter l'union pour se débarrasser de cette monnaie et, en cela, je rejoins Emmanuel Todd quand il affirme que seule une alliance d'avec l'état profond US, ennemi, je le pense, des oligarques, qui est vent debout contre l'Allemagne à cause sa domination quasi  définitive de l'UE, peut nous permettre de nous en débarrasser.

    ( C'est pourquoi les USA retirent ses troupes de la Germanie pour les installer en Pologne. )

    L'OTAN, quant à elle, est l'un des outils impériaux, avec l'union elle permet d'éviter, paradoxalement, que le sud européen ne vienne en conflit avec la Turquie.

    De prendre en compte l'extrême affaiblissement des Etats-Unis-d'Amérique, nous pouvons facilement en conclure que son existence, ad minima en tant qu'imperium, va sous peu, de l'ordre de quelques années, disparaître, cela dépendant entièrement de la pérennité du dollar.

    Y rester en toute vigilance, comme le font les britanniques, ne serait pas, dans un premier temps, une mauvaise idée, il serait idiot

  • Auriez-vous dit élections?

    Avant-Propos:

    je peux donner l'impression de me répéter sur différents sujets quand, en réalité, je les explore sous des angles divers.

    Ici il s'agit de la fausse écologie qui a remporté une victoire à la Pyrrhus lors de ces élections municipales.

    Posant mes réflexions sur sa nature, je ne peux que me répéter autant en ce qui concerne l'union que du réchauffement climatique anthropogénique, entre-autre.

    Je peux, lors de cet avant-propos, donner le sentiment de me justifier quand je ne fais que d'anticiper un possible compréhensible agacement de votre part, amis lecteurs.

     

    Le problème d'une période telle que la nôtre, pour les dirigeants quand ils sontP1040752.JPG stupides, c'est que les porteurs de nouvelle mentent pour éviter de perdre leur emploi et, ce, avec raison (il y a quelques bons siècles ils auraient été tués, c'est ça la modernité, auparavant c'était la mort physique, aujourd'hui elle est sociale).

    Ainsi, si les équipes de Messieurs Macron, notre godelureau national, & Philippe, qui recherche son Havre de paix, une ville c'est plus simple qu'un pays, ont annoncé l'organisation d'un "forum de l'écologie" qui rendra sa copie dès la fin des élections municipales, c'est parce que les instituts de sondage avaient bien relevé que les écologistes gnangnans et leurs petits toutous de ce qui fut la gauche y remporteraient dès lors un joli score.

    Mais les-dits instituts avaient-ils également relevé la très faible future participation à ce deuxième tour?

    Je ne le pense pas.

    Son taux ne fut que de 41,6% quand cette votation fut de tous temps, au regard de toutes les autres, celle où l'abstention fut la plus faible

    Or, désormais, c'est cela qui importe.

    Que 58,4% des électeurs, soit une écrasante majorité, ne se soient pas déplacés pour ce devoir civique ne pouvant que démontrer combien la population ne croit plus guère au magistère des partis politiques officiels, voire même les rejettent.

    P1040811.JPGCeci sans compter les personnes qui, comme moi, vivant dans une ville moyenne, préférèrent voter soit pour quelqu'un de sérieux qu'elles connaissent, soit pour le maire précédent, soit, comme je l'ai fait, en jaugeant la personnalité de chacun suivant la photo des prétendants sans grand faire cas du parti politique de celui ou celle choisi.

    Tout ceci signant, à mon sens, une bientôt recomposition politique du pays.

    Alors, pourquoi donc les écolo gnangnans ont-ils remporté un tel succès?

    Simplement parce que les plus crétins des électeurs ce sont, justement, les écologistes et, en raison d'un même manque cruel de jugeote de l'équipe gouvernemental ne prenant pas en compte là où se trouve la réelle majorité, elle croit collectivement que la France entière suit aveuglement les préceptes stupides, ruineux, polluants et potentiellement meurtriers d'EELV et de ses bons toutous.

    (Pauvres communistes et faux insoumis, traîtres de leur cause!)

    -Parce que de croire ou faire croire qu'il est possible de réformer une Union-européenne triplement verrouillée, institutionnellement, idéologiquement et politiquement ne peut qu'être que le fait de menteurs, de naïfs ignares ou d'imbéciles;

    -Parce que de croire ou de faire croire qu'il est possible de mener une quelconqueP1040902.JPG politique nationale et souveraine au sein de l'union, quand celle-ci, dans lesdits traités irréformables, prône une concurrence libre et non faussée, ainsi qu'une libre circulation des biens, des capitaux et des personnes, ne peut qu'être que le fait de menteurs, de naïfs ignares ou d'imbéciles;

    -Parce que de croire ou de faire croire cette fausseté qui est que les éoliennes, les panneaux photovoltaïques et les batteries sont non polluants tant en fabrication qu'en démantèlement, sans vouloir savoir que ces moulins-à-vent tuent oiseaux, insectes et chauves-souries (eux qui se disent préoccupés par la baisse de la bio-diversité, cherchez l'erreur), ne peut qu'être que le fait de menteurs, de naïfs ignares ou d'imbéciles;

    -Parce que de croire ou de faire croire que ces énergies intermittentes peuvent largement remplacer les centrales nucléaires sans hausse du prix de l'énergie importantes, ce qui est factuellement faux (l'Allemagne et le Japon en étant les deux exemples) forçant de fait les gens à se chauffer moins, voire de ne plus se chauffer (ce qui est déjà le cas par ailleurs mais ce qui accroîtra grandement ce phénomène) en remettant en cause la salubrité des habitations en hivers et donc augmentera la mortalité de tous, même des enfants, et menant à des crises épidémiques, ne peut qu'être que le fait de menteurs, de naïfs ignares ou d'imbéciles;

    -Parce que de croire ou de faire croire que le gaz carbonique produit par l'Homme P1040740.JPGserait polluant et réchaufferait l'atmosphère nous conduisant à une catastrophe est, là encore, factuellement faux, autant parce que:

    I)-Nous nous dirigeons vers un refroidissement climatique dû à la diminution de l'irradiance solaire;

    II)-Nous avons un réchauffement du noyau de notre planète, augmentant de un degrés la température globale des océans, ce qui est énorme, même à grande profondeur (ce que l'atmosphère ne peut faire), produisant un dégazage de ce CO2 et ne pouvant qu'accroître leur évaporation, les séismes et les éruptions volcanique à terme;

    III)-La végétation n'a pas suffisamment de ce CO2 pour croître convenablement, plus de ce gaz ne pouvant que conduire à une production agricole supérieure, permettant de fait de mieux nourrir les populations (il serait sain de doubler son taux, vive l'essence, à-bas le sac plastique);

    IV)-Un réchauffement climatique, un optimum climatique, a toujours conduit historiquement à un meilleurs niveau de vie des peuples et à son dynamisme, son refroidissement, un mini âge glacière, à une diminution du nombre de ses habitants par les guerres, famines et pandémies, que les écolos gnangnans soient conscient qu'ils peuvent mener au massacre des populations;

    V)-Les océans et les mers froids absorbent le CO2, les périodes glaciaires, pour relâcher ce gaz lors de leur réchauffement, les périodes interglaciaires dont nousP1040863.JPG sommes depuis environ 15 000 ans, étant entendu qu'ils ont une inertie calorique très importante se comptant en millénaires;

    VI)-Le taux de CO2 actuel est de 416,21 PPM, soit parti par million (416,21 sur 1 000 000), de molécules atmosphériques, cela va de soit, ce qui donne en pourcentage, en en retirant quatre zéro et donc en divisant par dix mille, 10 000: 0, 041621%, ce qui est ridiculement bas (hier j'avais dit à des dames que c'était 0,4...%, leur donnant mon pseudo pour qu'elles trouvent mon site, d'où cette correction).

    Vous remarquerez que sur ce site officiel le pourcentage n'y est pas donné, demandez-vous donc pourquoi cela.

    Sur celui-ci est indiqué que ce taux d'aujourd'hui est le plus haut depuis le pliocène, il y a environ 3 millions d'années, sans que ne soit donné le chiffre de l'époque, soit juste avant le début des grandes glaciations à l'échelle géologique, à la limite pliocène/quaternaire il y a environ, là encore, 2,59 millions d'années.

    Remarquons également que, en toute bonne cohérence, pour les raisons expliquées plus haut, la première glaciation du début du quaternaire ne pu se faire que lors d'une période chaude, dès lors que la hausse et la baisse dudit taux suivent toujours et ne précède jamais les réchauffements et les refroidissements.

    P1040783.JPGC'est pourquoi j'affirme que de croire ou de faire croire à ces élucubrations ne peut qu'être que le fait de menteurs, de naïfs ignares ou d'imbéciles;

    VII)-comment voulez-vous avoir confiance en ce qu'il se dit à la télévision où les invités sont choisi pour leur suivisme aux dogmes obligés, où ceux qui les remettent en question sont injuriés, ceux qui les remettent en cause, invisibles des médiats, ne sont pas invités et où, quand ne se fait pas silence des informations importantes, celles-ci sont caviardées en y contant l'inverse de la réalité?

    Notre problème étant que la science, tout comme il peut en être de toutes les autres institutions sociales, dont celles, entre-autre, dédiées à la politique, au journalisme et aux arts, sont phagocytés par un cancer sociétal: le monétarisme néolibéral, ceci accompagné de divers productions inconscientes telles que celles que déversent ces écologistes de pacotille: le réchauffement représentant l'enfer du diable, devinez qui il est, et la chaleur notre colère.

    Ainsi, qui de ceux nommés des végans parce que végétaliens (à ne pas confondre avec végétarien provenant de la philosophie platonicienne), savent-ils qu'Hitler s'y adonnait aussi?

    Et qu'à son début le nazisme prônait le retour à la nature, honorait l'animal et vénérait la jeunesse?P1040910.JPG

    Les écologistes politique extrémistes savent-ils qu'ils sont de cette filiation là, eux se disant de gauche?

    Je ne suis en rien contre l'écologie, qu'elle soit scientifique, sociale comme politique, mais il est patent qu'elle ne doit en aucun cas être sujet à des croyances mais s'appuyer sur des sources sérieuses qui, cela est un fait, s'amenuisent ou, sinon, sont conçus pour faire croire l'inverse de la réalité pour coller aux doxas (év)angéliques que l'on veut nous faire ingurgiter.

    Bien entendu que de ne plus utiliser de sac en plastique ne peut qu'être que bénéfique, de ce que les produits chimiques se doivent d'être analyser de manière honnête et neutre et non pas au bénéfice de je ne sais quels intérêts géopolitiques ou économiques comme en ce moment.

    Sachant de plus que la nature sait parfaitement générer de la pollution et qu'il existe un très grand nombre de plantes toxiques et  vénéneuses, pouvant détruire, de plus, ses voisines, plus même que de champignons dangereux ou mortels.

    Un écologiste affirmé qui n'a pas de connaissance scientifique étendue traitant de tous les sujets qui y seraient liés ne peut qu'être qu'un imbécile ou un petit profiteur.

    P1040871.JPGCelui de ceux-là qui a un vélo ou une auto électrique sans se demander si le pays à la capacité de produire suffisamment d'énergie pour tous ses semblables et le degrés de pollution nécessaire pour fabriquer et retraiter chaque batterie est un âne, comment donc pourrais-je le dire autrement?

    Quand à ceux qui ne savent même pas la dangerosité des éoliennes pour toutes les faunes ailées, sans qu'ils ne prennent en compte les effets qu'elles ne peuvent qu'avoir sur les mouvements de l'air, soit de dérégler et déréguler le vent, voire, si  elles sont trop nombreuses, le climat, tout en réclamant une stabilité du milieu naturel, quand tout cela se déduit logiquement, qu'en penser?

    Et je me moque comme d'une guigne de savoir le milieu social, culturel et le niveau du cursus de chacun...

    Ainsi, il ne sert à rien de répéter en mantras ce qui est colporté par la propagande médiatique qui, cela est aussi grandement visible, raconte n'importe quoi suivant les intérêts de leurs donneurs d'ordre, mais il faut apprendre à penser par soi-même.

  • De l'urgence de comprendre.

    Dans le vieux garage de la maison de feue ma mère,  où les fenêtres de la portes étaient cassées, une abeille charpentière " Xylocopa violacea " avait fait, d'un vieux tuyau en acier qui y traînait, son nid pour ses futures larves.

    Celle-ci butine un muflier gueule de loup (muflier ↦ mufle ↦ museau et, par extension, pour le second, grossier et rustre, intéressant non?) "Antirrhinum majus".

     

    Préambule:

    Si mes derniers billets vous semblent anxiogène c'est que j'émets de tels avis qui viennent contrecarrer ceux déversés par les médiats en les amoindrissant et les contredisant.

    P1050397.JPG

    Avant-propos:

    Pour pouvoir agir au mieux, il est d'urgence de comprendre ce à quoi nous nous confrontons, c'est à cela, avec plus ou moins d'efficacité, que je m'emploie: le rendre intelligible.

    Il ne s'agit pas seulement de concevoir cela sur de seule matière économique, politique ou sanitaire..., mais de percevoir, d'une manière multifactorielle, quels sont les éléments qui génèrent notre situation.

    Le principal, dès lors, étant de s'essayer d'en débusquer les bas-fonds, de percevoir le ou les éléments qui, plus que tout autre chose, déterminent les raisons déraisonnables qui, depuis longtemps, nous mènent là où nous en sommes, en somme.

    J'en ai, il est vrai, exploré plusieurs, l'effondrement des USA en reflet inversé d'avec l'URSS, la rétrogression historique nous faisant revivre une façon de second empire jusqu'à sa fin, la compulsion de répétition nous reconduisant autour de 1917 à 1950, tout cela sous des formes différentes de ce que nos aïeux ont pu vivre, mais sous un fond similaire.

    Il en est aussi de notre domination par un empire thalassocratique grandement P1060852.JPGdéclinant, au bord de la guerre civile, les Etats-Unis-d'Amérique, dont l'Union-européenne est la créature triplement verrouillée, institutionnellement, politiquement  et idéologiquement, l'empêchant à toute réelle évolution, ne pouvant dès lors être réformée, l'effondrement idéologique et politique qui y est lié, menant à une quasi unilatéralité décisionnelle des partis officiels et des discours similaires des médiats en place.

    Mais, d'une manière factuelle, un facteur important que je vous avais déjà présenté, me semble primordiale à développer ici pour que vous compreniez, amis lecteurs, quels sont les points faibles du pouvoir en place en France, ainsi que du pourquoi il tend à ce totalitarisme que les allemands disent avec raison être de l'absurdie (bien que leur gouvernement, comme bien d'autres européens, tendent, eux aussi, aux mêmes tentations absolutistes).

    J'avais, sur le bureau de mon ordinateur, accumulé toute un ensemble d'adresses traitant de sujets dont le but aurait été d'appuyer mon propos, mais, en fait, saisissant l'urgence de la situation, je préfère effectuer ici une démonstration sans prendre le temps de prouver ce que je vais avancer.

    Ceci, de plus, que je ne pense pas qu'il y en ai vraiment besoin, nous sentons tous quelque chose de l'ordre d'un mouvement de fond: les mensonges qui nous sont contés prennent de moins en moins.P1060323.JPG

    En effet, ce qui se fait appeler de l'ingénierie sociale, ce qui n'est que de la manipulation, dénomination existant pour nous faire croire que ceux qui en usent sont intelligents, or je puis vous affirmer de par mon expérience qu'un manipulateur est toujours un crétin, s'il ne l'est il le deviendra.

    Cette pseudo-ingénierie, donc, finit par ne plus fonctionner pour deux raisons, la première est que les populations finissent par générer une résistance psychique à ses mécanismes, puis par les rejeter.

    En second lieu parce que la réalité de ce qui est vécu au jour le jour étant inverse à ce qui est faussement dépeint fini, au fil du temps, par représenter des contradictions majeures et cette fausseté à être réfuté puis rejeté en tant que mensonge.

    Ce que nous vivons aujourd'hui est ce que nous pourrions nommer un despotisme médiocratique, soit un coup d'état par des médiocres, c'est cela que je vais tenter de démontrer, sachant que cette bande de guignolos sont très contents que l'on puisse les considérer comme ayant de la jugeote.

    P1050462.JPG

    La fatalité des médiocrates:

    Ont-ils voulu que nous en arrivions là où nous en sommes?

    Je ne le pense pas.

    Ne serait-ce pour une bonne raison: ils sont tous, ou le sont devenus, dans l'incapacité de pouvoir prévoir quoi que ce soit à long terme et ne font que réagir à leurs angoisses et aux pressions qu'il subissent.

    Ils, j'entends, par ce pronom, ceux du gouvernement, de la majorité des cadres des partis politiques officiels, d'une partie de la haute administration, les propriétaires et dirigeants des médiats en vu, ainsi que du reste de cette mouvance détenant le même dogme et intérêts que ceux-là.

    Ils, donc, se retrouvent dans une situation qu'ils n'avaient pas recherché, celle des pleins pouvoirs dits sanitaires que les députés du REM, les radioéléments, offrent à l'exécutif, ce à quoi l'opposition droite et gauche n'oppose qu'une opposition, à de rares exceptions près, autant inconsistante que fugace.

    Il faut dire que nous nous retrouvons maintenant dans une position dont la résultante est à rechercher des décennies en arrière, où nous vîmes une baisse de capacité intellectuelle régulière tant de nos élites que de nos élus.

    Ainsi, les freins des gouvernements antérieurs portés à l'encontre des obligations deP1060277.JPG l'Union-Européenne via les GOPE, qui obligent des économies toujours plus drastiques de l'état et à la privatisation de nos services publics, s'amenuisant au fil du temps, nous nous retrouvons aujourd'hui devant un gouvernement où ces obligations fondent toutes leurs décisions.

    L'existence même de l'euro conduisant à la désindustrialisation de la France, nos usines allant usiner dans les anciens pays de l'est aux payes misérables (dû aussi à la libre circulation des capitaux, des personnes et des biens, dont les impôts des GAFAM, les usines et les immigrés), cette monnaie amenant de plus une concurrence totalement déséquilibrée entre ceux du nord et du sud, en  un avantage absolu pour les premiers.

    Ces exigences, dis-je, sont les réels ferments de la paupérisation autant du pays que des français, générant la colère populaire, d'où l'érection du mouvement gilettiste.

    L'oligarchie française et européenne, les bons pigeons au grain dont raffolent celle étasunienne contrôlant le parti démocrate, celui républicain profitant tout autant de ces ramiers, ainsi que de son état-profond, mirent en place, à l'intérieur des partis politiques officiels, des personnalités de plus en plus falotes ou contrôlent celles qui ont quelques secrets inavouables, le REM, bricolé en toute hâte de bric et de broc, en en étant la consécration aboutie.

    P1060223.JPGN'oublions pas que Macron fait parti des "jeunes dirigeants" formés par les agences étasuniennes, qu'il fut déniché par le patron d'AXA de l'époque, désigné par Mr. Attali comme étant notre futur président et visité par un représentant desdites agences,  par celui de l'union ainsi que par Mme. Merkel.

    Totalement obéissants aux injonctions de l'UE et obnubilés par la vulgate idéologique néolibérale monétariste US absurde, ce président, son gouvernement, son parti, ainsi que la majorité des autres siégeant ou non dans les chambres délibératives, pris dans cette fièvre hallucinatoire, n'eurent que de cesse que de suivre les oukases unionistes et étasuniennes (d'où la vente, sans grande réaction passée et présente, de nos fleurons industriels nationaux aux potentats américains).

    ( Vous remarquerez toutefois l'extrême amateurisme des triches électorales des démocrates, qui se dirait provenant de la CIA, ce qui marque là encore la médiocrité grandissante de Tonton Sam. )

    Ceci sous la justification des journaliste cornichons de nos médiats détenus par nos pigeons gros, gras au grain et au gril recto-verso.

    Puis, et puis, juste après que le mouvement des gilets jaunes finit par se calmer à laP1060185.JPG suite des exactions policières et des mensonges et silences journalistiques, deux événements survinrent qui fracassèrent le tout: la pandémie et l'élection US, dont nos génies ne surent aucunement prévoir ni l'une, ni l'autre.

    Entre leur imprévoyance de la première, qui montra à la face du monde leur incompétence pleine et entière, et l'ubuesque réaction hystérique des masses médiats, de la classe politique et des chroniqueurs de tous poils, qui, suivant chacun, nous exhortèrent quasiment à voter pour l'un ou l'autre candidat de ces élections US, il nous est désormais loisir d'observer leur, à tous, situation lamentable.

    Et, en cela, si ça peut vous rassurer, amis lecteurs, n'allez pas croire que seule la France détiendrait de telles équipes éreintée, hormis certains pays de l'est telles que la Pologne et la Hongrie qui amassent le plus de richesse possible de ceux de l'ouest, en payant le moins possible, et qui, dès que la situation de l'UE deviendra intenable, la quittera sans préavis, tous les autres sont dotés du même type d’énergumènes.

    J'émettrais même l'idée que cela concerne, plus ou moins et de diverses façons, quasiment tous les gouvernements mondiaux.

     

    Dictateurs à l'insu de leur plein gré:

    P1060092.JPGOnt-ils voulu, ont-ils l'intention, veulent-ils mettre en place un régime totalitaire?

    Je ne pense pas qu'ils aient été de cette volonté là, ni il y a trois ans, ni même aujourd'hui, de fait ils pensent tous avoir raison et se conçoivent eux-même comme étant de la plus pure essence démocratique, ne voyant dans le peuple que du populisme fascisant puisque celui-ci récuse de plus en plus notre appartenance à l'union ainsi que tout ce que cela entend.

    Et même s'ils réduisent avec le temps les libertés publiques, ils ne le font, le conçoivent-ils ainsi, que pour le bien de la nation, de la république et, et, de la démocratie.

    Certes et de cela je me dois, maintenant, de le préciser:

    Tous ces acteurs que je désigne sous le vocable de ce pronom personnel sujet de la troisième personne du pluriel "ils" ne pensent pas tous la même chose, très loin de là, certain même doivent être ulcérés par ce qu'il se passe, à l'exemple de Jean Quatremer, l'eurolâtre fébrile, qui se révolte contre les mesures du dernier confinement.

    Il doit même s'y produire de nombreuses scissions à l'intérieurs, parfois virulentes, mais quel parti politique a-t-il appelé à une vigoureuse manifestation pour faire pression sur le gouvernement affin de l'empêcher d'activer ce coup d'état larvé?

    Hormis ceux qui sont écartés par cette mouvance et de suivants qui ne la suivent pas puisque s'en étant éloignés, l'ensemble restant partage, sans en douter, les mêmes approches idéologiques et de semblables perceptions des événement nationaux,P1050571.JPG européens et mondiaux, leurs différences de conceptions n'étant plus que de l'ordre du détail.

    Détails qui, par ailleurs, doivent créer les plus intenses disputes, voire même conduire à des haines farouches: il faut à chacun évacuer le stress qui est sien.

    Je désigne, donc, comme d'autres avant moi, m'en inspirant, cette mouvance comme étant une médiocratie.

    C'est dans l'idée de montrer que leurs décisions et manques de volonté, la demande électoraliste de certains partis à beaucoup plus de rigueur envers le peuple rétif, ou d'obéissance au gouvernement plus ou moins formelle pour d'autres, leur mensonges pléthoriques,  n'est pas la résultante d'un froid et supérieur calcul mais n'est juste que leurs réaction à leur pulsions personnelles.

    Ce qui les mène à des réactions toujours plus absurdes, à leur manque de réactivité, à leurs discours hors du champ de leurs principes affichés et/ou à leurs desseins déraisonna

  • Croyance et dépendance: un champ idéologique.

    Cette charmante guêpe, Cerceris des Sables, Cerceris Arenaria, famille Sphecidae, Sphégides, fait parti de celles dites fouisseuses, solitaire, elle creuse un nid pour ses larves dans un sol sablonneux et pond son œuf sur l'une des proies accumulées.

    Ici elle est posée sur une feuille de géranium vivace.

    Ce coup-ci, je suis allé chercher le nom des bestioles Hyménoptères dans le bouquin de 1991, plus précis qu'internet, que j'avais donc acheté il y a longtemps: "Guide des abeilles, guêpes et Fourmis, les hyménoptères d'Europe", de Jiri Zahradnik, collection Hatier, adaptation française Ludovic Laporte.

    Ce que je vais poursuivre, du-moins pour cette classe d'animaux.

    Autre temps, autre mœurs...

     

    Bonjour chers lecteurs,P1010040.JPG

     

    Introduction:

    Je suis allé, il y a peu, chercher je ne sais plus quoi sur mon blog et ai remonté ce petit bijou conceptuel personnel (ne serait-on, parfois, jamais mieux servi que par soi-même, n'est-ce pas?) qu'est celui de champ idéologique.

    J'avais exposé cette idée il y a 5 ans, ceci d'une manière indirecte sans en avoir creusé la matière théorique.

    ( Recherche et matière qui porte, ici, en réalité sur une réflexion à l'endroit d'une ou de plusieurs hypothèses d'un sujet donné puisque n'y est pas assis, lors de cette recherche, les trois bases de référence théoriques, sa réfutabilité, sa prédictibilité et son aspect parcimonieux, soit sa simplicité conceptuelle au regard de toutes les informations perçues et, mieux encore, connues.

    Il est à noter également qu'une approche philosophique ne peut être en rien scientifique et théorique, mais qu'en revanche elle pose, normalement, de tels socles conceptuels qui accompagnent et parfois précèdent les évolutions d'une ou de plusieurs sociétés,  étant entendu que ladite philosophie est aussi l'outil essentiel P1050125.JPGpour, au présent, chacun d'entre nous, en un processus évolutif, organiser la pensé. )

    Il faut dire qu'à l'époque je n'en étais pas capable, le stress qui était mien en était encore d'un niveau important, du-moins, l'ai-je remarqué, mon style commençait à s'asseoir.

    C'est donc ce travail théorique que je vais effectuer en ce billet, venant peut-être parfois contredire ce que j'avais pu en exprimer par le passé.

    Je me dois de souligner que je n'écarte en rien les difficultés que chacun d'entre-nous, sous une forme ou une autre, rencontre, toutefois il me paraît important d'effectuer cette tâche consistant à tenter de conceptualiser le pourquoi nous en sommes là,  tout comme de ce que vers quoi, in fine, cela nous conduit.

    Et je ne donne pas cinq ans pour que la France se rétablisse après que le système soit forclos.

    Les débuts seront durs, complexe sera la suite, mais les forces vives et intelligentes qui le permettront sont dores et déjà présentes.

    N'oubliez pas, Messieurs-Mesdames les anarchistes, que d'être de cette opinion là sans être profondément démocrate c'est d'être encore plus stupide que tous ceux que nous fustigeons jour après jour.P1060408.JPG

    Ceci dit et avant que vous n'abordiez le reste de ce texte, je vous invite à voir cette vidéo de Tatiana Ventôse qui, en 40 minutes, aborde avec cohérence et brio la notion de ce qu'est que la nature de la politique.

    Plus loin j'affirmerai connaître mes limites et, ce, sans prétention, ainsi je ne pourrais jamais accomplir le travail qu'elle a ainsi réalisé.

    Chapeau bas, mam'selle.

     

    Avant-propos:

    Il devient d'évidence, pour le plus grand nombre de gens, qu'aux défaillances gouvernementales s'y rajoutent de ses choix décisionnels autant contradictoires, parfois irrationnels, souvent contre-productifs, aussi qu'aux portes de la tentation totalitaire néolibérale, sans l'avoir véritablement recherché (ainsi un conseillé de Mr. Macron fait-il la comparaison de la France d'avec le régime passé de Pinochet au Chili, comme étant surpris de sa propre politique: Dieu se rit de ceux qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes).

    P1060320.JPGIl est observable tout autant que les partis politiques qui, censément, seraient d'opposition, font montre soit que d'une très légère rigueur à l'encontre de l'exécutif, soit même de prises de position totalement déconnectées de la réalité de tous les citoyens souffrants  des difficultés actuelles dus auxdits choix, n'aidant, pour FI par exemple, que d'une infime minorité de ceux-là, soit les immigrés.

    il est de fait aussi que les autres pays de l'union et d'Europe souffrent, pour la plupart, de maux semblables, bien  que la France paraît en être la plus touchée.

    Lors de mes billets précédents, je vous avais montré une crainte partagée, au-delà de la mouvance purement eurolâtre & américanolâtre, de voir disparaître notre maître US, soit par guerre civile, soit par banqueroute, dès lors de ce que l'Union-Européenne et l'euro subissent  mécaniquement le même sort.

    Bien que l'inverse pourrait fort bien arriver, la faillite de la zone euro menant, à la suite, à celle du dollar.

    Ou alors que ce soit, non pas l'économie réelle en tant que telle qui, quoi qu'il en soit, en souffrira et en souffre déjà grandement, mais de ce que celle monétariste, spéculative internationale fasse faillite définitivement.

    Que cela mène donc ces personnes à souffrir dès maintenant de graves angoisses duP1050327.JPG fait de leur compréhension de ces éventualités, nonobstant de ce que l'une ou l'autre adviendra à un moment ou à un autre (faites vos réserves!).

    Que ce phénomène est, pour une large part, inconscient, ce qui conduit les pouvoir exécutifs, législatifs, mais aussi judiciaires et médiatiques, à projeter ladite angoisse à l'endroit de la majorité de la population, d'où, entre-autre, de notre enfermement confinement et port d'un masque, en tentant de nous culpabiliser de leurs propres errements et manques.

    Si, tout au long de ces pages je ne cesse de leur poser à tous d'importantes critiques sans que moi-même ne me décide à l'action, c'est que, connaissant mes limites, je me sais en ce cas totalement incompétent.

    Dès lors, le reproche le plus absolu que je leur porte est celui d'avoir bien voulu occuper le poste qui est le leur, sans ne s'être le moins du monde interrogés de savoir s'ils en avaient et en ont les compétences requises.

    Ce qui, de fait, est le cas pour le plus grand nombre d'entre-eux, sinon pour tous.

    Au-delà de ce très bref résumé de ce que j'ai pu écrire depuis six mois, le thème que j'aborde maintenant, celui du champ idéologique, ne peut que venir compléter cet ensemble.

    Je vais ne le poser que d'une manière purement démonstrative en juste appuyant P1050225.JPGmon propos de quelques exemples.

    Je parachèverai ce billet, avant sa conclusion, par une réflexion sur ce que je nomme une bifurcation historique, tel un virage pris de notre évolution transformant du tout au tout notre nature et, ce, depuis 20 000 ans environ.

     

    Le champ idéologique:

    Un champ idéologique est l'ensemble des conceptions qui en entoure son socle idéel, en une conception de base, pouvant être conscient et/ou inconscient, mais central dans la représentativité que chacun a de la société, ainsi que de son rôle dans celle-ci.

    Ce champ idéologique a deux composantes: sa "doctrine de fondement" , soit l'ensemble d'idée et de concepts composant le champ idéologique et son opposition qui est l'inverse de ce que représente ladite doctrine.

    Ainsi pour faire simple, le principe du capitalisme est celui de l'enrichissement du secteur privé et du pays par, normalement, l'industrialisation grâce au capitaux bancaire et boursiers, quand pour le communisme l'industrie se doit de se faire par l'état qui dispense ensuite cette valeur aux citoyens.P1050319.JPG

    ( La sociale-démocratie étant de faire la part entre ces deux tendances contraires sous le contrôle clair du politique, ce à quoi je pense être le meilleurs.

    Le néolibéralisme,  en une économie dévoyée, étant de retirer le plus de monnaie et de valeur possible par le biais des dettes contractées, des nations, des particuliers et des entreprises, d'où la ruine de tous à terme. )

    Ici il s'agit de l'économisme dogmatique, soit de percevoir la fonction économique comme étant central au regard de toutes les autres composantes sociale, du plus pur de l'institutionnel jusqu'à celui de l'interdit moral le plus formels (du-moins sa minorité agissante pour ce dernier).

    Si je la dis dogmatique, c'est que cette conception de la société, sous une approche centrée à de la seule économie, est dans le même temps d'une perception peu ou non lucide mais fondamentale pour tous les acteurs.

    Ceci au sein d'un champ psychologiquement attractif, indépassable et sous-jacent pour tout échange, non pas seulement marchand, ayant lieu et, ce, sous toutes ses formes (entre-autre l'individualisme).

    Ce fut le capitalisme industriel du XIX° siècle en Europe qui en fut le ferment, descendant de la bourgeoisie d'affaire passée, période pendant laquelle émergea, en l'accompagnant, ses contres-pouvoirs ( les socialismes révolutionnaire et libertarien, futurs communisme et anarchisme, ainsi que le républicanisme, la sociale P1040587.JPGdémocratie et le démocratisme ) qui se cristallisèrent à l'achèvement de ce siècle  et au début du suivant, le communisme se formalisant dès après la révolution bolchevique de 1917.

    En un exemple de champ idéologique: tout comme le communisme jusqu'à la fin des années 90, lui-même descendant du socialisme révolutionnaire du XIX° siècle, fut l'opposition au capitalisme sans frein, l'église catholique fut, en Europe, celle des princes et barons guerrier de la société féodale du moyen-âge.

    Vous remarquerez que ce fut relativement peu de temps après que des moines prirent l'épée lors des croisades, sous forme des templiers centrés en France et des chevaliers teutoniques en Germanie, que la Renaissance commençât à se développer, donnant corps au fil des siècles à la remise en question d'abord de la toute puissance du Pape et du catholicisme (le protestantisme), puis de l'existence même de l'aristocratie. (d'autres raisons, multiples, furent aussi en causes, telle que l'invention de l'imprimerie et du canon).

    Ceci parce que l'opposition passée de l'église face aux guerroyeurs que furent les seigneurs disparut de fait puis que tous deux devinrent progressivement alliés.

    La féodalité, sous cette optique, pouvant être considérée comme ayant été un champ idéologique qui disparu lors de l'apparition de la Renaissance.

    Cette hypothèse pose l'idée qu'au même titre que l'apparition des moines soldats annonçait l'achèvement de ladite féodalité, l'adoption du capitalisme par la ChineP1030102.JPG (dont il est ardu d'arriver à pied) tout comme la disparition de l'URSS, ces deux faits survenant à quelques années près, signaient la prochaine disparition dudit écono

  • Non pas de l'espoir mais de la détermination!

    Je trouve la guêpe germanique, Vespula Germanica, plus élégante que celle commune plus ronde et ramassée, aux pattes plus courtes.

    Il y a de cela fort longtemps, dans le jardin de chez mon frère, un nid s'était constitué au fond, je m'en étais rapproché, non pas trop près, et avais vu cette myriade d'insectes s'agitant sur la brouette retournée, sans quelles ne me fassent le moindre mal.

     

    Avis:

     

    Je fus contraint de supprimer quelques-uns de mes anciens billets en raison de ma limitation de place sur ce site Hautetfort, en en ayant choisi ceux me semblant périmés.

     

    Peut-être est-ce aussi pourquoi il ne m'est plus possible d'y poster mes petites photos.

     

    Je reprendrai des textes passés, me semblant d'importance, ce qui me permettra de les compléter et de les corriger si cela s’avérerait (plutôt) nécessaire.

     

    J'avais toutefois, auparavant, quoi qu'il en soit, enregistré dans mon ordinateur la teneur de mon blog, suivant les événements US, il est à prévoir une panne possible du WEB via Windows.

     

    N'oublions pas la composante des possibilités événementielles futures: impossible, plausible, éventuel, possible, probable, d'évidence.

     

     

    Avant-propos:

     

    Je ne suis en rien contre avoir de l'espoir en toutes choses, toutefois l'époque se prête à ce que nous devrions être déterminés, ceci dans sa double acception, dans notre identité et dans notre résolution et volonté dans l'action, tel que j'avais pu le concevoir et vous le proposer en Mars 2018.

     

    j'y avais écrit ceci (m'apercevant qu'à l'époque j'étais encore très confus, c'est pourquoi ici je l'ai un peu corrigé):

     

    ".................................

     

    ... en soi, il ne peut que paraître singulier de considérer la notion d'indétermination comme étant majeur pour comprendre notre situation psychologique et sociologique d'en ce moment (ce texte faisant suite au libelle précédent).

     

    De fait, le mot détermination renvoie autant à ce qui dicte notre condition d'Être Humain, notre volonté dans l'action, celle de la compréhension du monde ainsi que de notre résolution à la précision de notre verbe (dans le sens ancien du terme, tant dans l'expression orale qu'écrite).

     

    Certes, pour Spinoza, "toute détermination est une négation", mais ne faut-il pas nier ce que nous ne sommes pas pour pouvoir affirmer notre identité?

     

    Parce que c'est bien cela qui fait le thème de ce billet: montrer comment l'indétermination de notre identité, autant individuelle que collective et, ce, sous toutes ses formes, mène inéluctablement à de l'anxiété, de l'acculturation, de la sauvagerie par la perte culturelle que cela induit, de l'indolence intellectuelle et de volonté, de la confusion mentale, aussi qu'à de nombreux biais cognitifs, de l'inconséquence décisionnelle..., d'où, entre-autre, la faiblesse actuelle de l'orthographie, du sens des mots et des idées.

     

    ................................

     

    ... celui d'indétermination montre bien ce à quoi nous nous confrontons aujourd'hui, soit autant les effets psychologiques que cela produit, de l'anxiété, de l'angoisse dû à notre sentiment plus ou moins flou et inconscient de non existence;

     

    Que de nos difficultés d'agir, de réagir réellement et sainement, de réfléchir par nous-mêmes, de considérer le vrai du faux, en un mot comme en cent, de pouvoir être en plein de notre détention de notre libre arbitre tant dans nos réflexions que lors de nos actions, mais aussi et surtout de l'ordonnancement et de la structure de notre pensée et dès lors de notre raison.

     

    C'est quand cette détermination se construit d'incohérences, de paradoxes et de non-sens, comme il en est de ces français se croyant américains sur le sol de France, d'une confrontation d'avec des transformations sociales soudaines, rapides et/ou violente comme il peut en être aujourd'hui.

     

    Lorsqu'il n'est plus possible, pour la personne, de pouvoir dire qui  elle est, tant individuellement que socialement, qu'il y a indétermination de l'Être en une grave perte d'identité, voire une identité quasiment inexistante, ce qui conduit à une instabilité du narcissisme (ce qui définit l'individualité de chacun dans le regard de l'autre et dans celui du sien propre), déstabilisant de fait l'égo (ce qui définit l'extension de nous-mêmes par nos créations et nos avoirs sous forme de biens, de savoirs et de compréhensions du monde...).

     

    Être déterminer en tant qu'Être Humain c'est, conjointement arrivé à l'âge adulte, être dans la volonté de se comprendre, comprendre son identité, que de ce qu'être Soi soit naturel dans le présent pour pouvoir se projeter dans le futur, de le concevoir, de pouvoir planifier, de percevoir les effets possibles de ses décisions et actions.

     

    Mais aussi saisir ce qu'est le temps, celui passé de l'histoire du pays, du sol, de la terre où l'on vit, elle qui forge notre manière de penser, de parler, d'écrire, d'aimer, de s'émouvoir, de réagir, d'agir ..., d'Être, donc, quelle que soit l'origine de ses aïeux proches ou lointains.

     

    Tout comme de la sienne, d'histoire, et celle de ses générations antérieures (si on le peut, bien sûr).

     

    Notre présent, bien entendu, se doit d'être apprécié et considéré pour ce qu'il est, ni en bien, ni en mal, mais dans la résolution d'aller vers ce que le progrès veut réellement dire, de ce que peut être une société dynamique et harmonieuse autant que respectueuse de chaque citoyen.

     

    Aussi que de ressentir ce clair-obscur qu'est le futur, du sien propre comme celui de nos descendants.

     

    C'est en tout cela que se situe notre détermination."

     

    La détermination, en tant que structure psychologique, renvoie nécessairement à la notion d'identité dans ses quatre fondements:

     

    -La sienne en propre dans sa particularité absolue consciente et inconsciente;

     

    -Sociale, autant de comment nous nous considérons que du comment nous sommes considérés, aussi que de comment nous considérons être considérés;

     

    -De celle collective en tant que citoyen d'une nation elle aussi particulière à toutes les autres;

     

    -Enfin d'espèce vivante distincte de toute autre en tant qu'Homo Sapiens Sapiens.

     

    Cette perte d'identité par son indétermination d'Être affaiblissant gravement la pensée dans sa nature et, par-là même, la conscience, du monde comme de Soi, l'inconscient prenant dès lors naturellement les commandes du sujet, le menant dès lors à de seules réactivités aux excitations dues à la dynamique du milieu et non pas à une réflexion préalable.

     

    La détermination renvoyant en toute cohérence à l'action par le truchement de la pensée et, dès lors par extension, à la raison, qui vient, là, la planifier par notre projection sur un temps plus ou moins long d'une réflexion qui en compose le socle.

     

    Savoir qui nous sommes est donc d'une importance capitale pour tout Être Humain en notre modernité complexe.

     

    Plus que cela, en raison même de l'affaiblissement continuel, devenu une décadence quasiment arrivé à son terme, des Etats-Unis-d'Amérique, à ce qu'une hystérisation réflexe d'une majorité des élites internationales les conduisent à agir à l'encontre de leurs propres convictions démocratiques et à toute efficience économique, détruisant par là toutes les monnaies et, dès lors, à celle de leur conception du monde.

     

     

    Introduction:

     

    Il se passe, en ce moment même, tant en Union-Européenne, aux Etats-Unis-d'Amérique qu'à l'international, des événements significatifs des bouleversements nationaux, unionistes, occidentaux et mondiaux en cours qui, je le présume, iront s'accélérant quand notre blocage anthropologique actuel aura pris fin.

     

    Dès lors, nous sommes à la veille d'intenses chamboulements quand la paralysie sociétale actuelle aura cessé, dont nous ne pouvons toutefois percevoir que les prémisses, lors, ceux-ci ne peuvent pas être déterminés dans leur nature exacte, du-moins est-il possible d'en saisir les contours dynamiques futurs pour s'en faire une idée.

     

    Ici je vais revenir sur deux points d'importances, intimement liés, que j'avais déjà abordés antérieurement: ce que cache les élections étasuniennes et les raisons les plus profondes pour lesquelles nous avons le sentiment d'une société bloquée.

     

    Pour cela je vais activer le principe de parcimonie, soit appliquer l'hypothèse la plus simple en regard des informations qu'il m'eût été donner de percevoir.

     

    Le second concept avivé sera celui de "misonéisme", de miso-, qui déteste, et -néisme, de nouveauté, dont la définition, suivant le site CNRTL, est: "Tendance d'esprit ou attitude systématique d'hostilité à l'innovation, au changement (dans les habitudes et les préjugés établis)".

     

    Mon seul et unique but étant de vous aider à rechercher la nature de la réalité au sein de cette  glauque et insensée période puis de vous en proposer le résultat.

     

     

    D'un lointain roi français à une élection présidentielle US:

    Comme il peut en être de naturel, souvent ce ne peut qu'être qu'en considérant les leçons portées par les événements passés que nous pouvons comprendre ceux présents.

     

    Ce que je nomme les modèles historiques.

     

    Ainsi, Monsieur Greiling, au pseudonyme Observatus Politicus, sur son site: "Chronique du grand jeu", nous montre-t-il que les Etats-Unis-d'Amérique sont un empire thalassocratique à l'exemple de ce que furent ceux de l’Athènes antique et de la Grande-Bretagne des XVIII° et XIX° siècle.

     

    Ce type de modèle ne pouvant qu'être, en toute évidence, qu'approximatif, du-moins propose-t-il une base de lecture structurelle de ce qui, sinon, ne pourrait que rester grandement flouté.

     

    Il en est ainsi des dernières élections US, dont les malversations du parti démocrate furent si grossières qu'elles ne purent que faire rire le monde entier, faisant perdre à ce pays tout son sérieux lui restant, en raison de ce ridicule.

     

    Le c

  • Le couvre-feu: une autre possibilité.

    Une hirondelle de fenêtre (Bélichon Urdicum)

    L'image semble, pour l'instant, à la parution, ne pas vouloir venir.

    Avant-propos:

    Cette histoire de couvre-feu est d'importance, autant en ce qui concerne chacun de ceux qui le vivent, de ce qu'elle veut en dire en tant qu'événement que de ses effets sur les populations.

    Je reviens sur ce sujet en raison de deux commentaires, relevés il y a deux jours et plus anciens que cela me semble-t-il (de trois à quatre jours antérieurs), que j'ai lu après avoir visionné la dernière vidéo de l'équipe du "Le fil d'actu" (poil au.......dessus, ouaf, ne vous ai-pas eu, hein? Petits coquins).

    Je les avais conservés sur mon traitement de texte, sauf le pseudo de chacun, vous allez comprendre pourquoi ceux-ci sont le fil rouge de ce billet, soit la tentative deP1050223.JPG notre consentement obéissant par manipulation, entre-autre, sous forme de ce couvre-feu.

    Je me dois de préciser que, plus encore que la liste que je vous avais proposée antérieurement comme raison de cette tentative de domination que nous vivons, liste que je vais vous redonner, celle de vouloir nous rendre obéissant est de celle me semblant première, sans en exclure les autres à mon sens complémentaires.

    Ce premier rajout est ce copier-coller d'une partie d'un mien billet publié le 2 Octobre qui sera déterminé en mauve, le second, en marron:

    1) De croire que c'est la même politique néolibérale, menée pendant des décennies, qui nous a conduit à ce fiasco funeste, qui pourrait résoudre nos problèmes;

    2) De ne pas vouloir voir, en un déni pathétique, que ladite politique mène l'économie mondialisée vers son arrêt totale, à la faillite US ainsi qu'à l'effondrement monétaire généralisé, de nous empêcher de le leur dire, de le clamer (c'est pourquoi je parle d'actions inconscientes);

    3) De ne pas vouloir assumer leurs fautes multi-décennales en une P1040123.JPGfuite en avant névrotique;

    4) De vouloir résolument placer un vaccin ou un traitement cher à la place de celui de l'équipe du professeur Raoult ayant fait ses preuves et peu onéreux;

    5) D'empêcher la population de se révolter en la traumatisant;

    6) D'obéir aux puissances économique mondialisées en nous menant à la crise économique dans ce fantasme montré plus haut;

    7) Enfin, pour la bonne bouche, en montrant au peuple que, ce coup-ci, nos baltringues agissent maintenant de manière concrète pour le protéger d'une pandémie qui, au fil du temps qui passe en ce début d'Automne plutôt frais, ne se révèle qu'encore moins dangereux qu'auparavant.

                                      ------------------------

    "La ministre des sports a révélé mardi 27 sept sur Europe 1 à 8h18 :" les décisions que prend le gouvernement ne sont plus dictées par la circulation du virus mais dans le but d'habituer les français à une obéissance" Vous pouvez vérifier mes dire. Après ça si vous n'avez pas compris la forte dérive dictatoriale ! ils ne s'en cachent même plus."

                                                     -----------------------------

    "Salut A Léonard! Alors après recherche, je pense avoir trouvé l'extrait deP1050407.JPG l'émission dont tu parles.

    Celle-ci date du lundi 28 septembre, mais l'heure est exacte. Roxana Maracineanu dit : " Si il y a un cas avéré dans une salle de sport, tous ceux qui sont en salle de sport seront considérés comme cas contact, et cela les pénalisera aussi dans leur vie personnelle et professionnelle " [...réaction de la journaliste étonnée de la démesure de cette mesure :) ].

    Puis : " Les décisions aujourd'hui ne sont pas prises en fonction d'une réalité qui serait celle de la circulation du virus, PUISQU'ON NE SAIT PAS COMMENT LE VIRUS SE TRANSMET (!!!), clairement aujourd'hui, les décisions qui ont été prises, c'est pour dire, dans votre vie personnelle et de loisirs, il faut continuer à être disciplinés comme vous l'êtes ..." etc.

    Je tenais juste à être exact, pour la forme ; ) Je met le lien de l'émission à suivre et l'intervention se fait à partir de 59:40 environ. https://www.europe1.fr/emissions/le-6-9/matthieu-belliard-avec-roxana-maracineanu-et-novak-djokovic-3994803."

     

    De qui cela provient-il? :

    Je ne pense pas le gouvernement capable d'un plan pareil, ni même d'avoir l'idée d'aller chercher l'entreprise, l'équipe capable d'une telle manipulation, c'est P1050919.JPGpourquoi je me suis demandé qui a ainsi ordonné aux autorités françaises d'agir tel, qui serait, de plus, dans la capacité technique de le mettre en place.

    Cette puissance ne peut provenir que de deux pays, l'Allemagne ou les Etats-Unis-d'Amérique, j'élimine la première puisque celle-ci détruit également son économie par des décisions analogues.

    Il est vrai que l'Union-européenne puisse également en être l'agent, mais quand bien même montrerait-elle une volonté de prendre son indépendance des états la composant, elle est constituée de personnalités trop timorées pour que cela devienne réaliste, je l'écarte donc tout autant (poils aux dents, ce qui arrive d'avoir fait minouchette à la dame de votre cœur).

    Ne reste donc plus que l'empire thalassocratique US.

    En sont sein deux forces s'affrontent (un petit peu similaires à une France dont les élites voudraient ressembler aux étasuniens): l'oligarchie bancaire et des GAFAM représentée par les démocrates, l'état-profond des services secrets et de l'armée représenté par les républicains.

    Si nous y rajoutons le fait que la BCE, la banque centrale unioniste, annonce l'arrivé de la monnaie purement électronique, soit la disparition de la monnaie papier, alors je pense que tout ce mic-mac est le fait des premiers, soit l'Amérique démocrate (et non pas démocratique).

    Si ce que je montre ici se révèle être exact, alors ceux-ci ont, tout naturellement faitP1050327.JPG appel aux services d'une entreprise de leur pays, sûrement spécialisée dans le psychosocial.

     

    De l'échec prévisible: l'histoire:

    Or, il est de fait que les structures anthropologiques des USA ne peut pas être les mêmes que celles, infiniment plus complexes, peut-être les plus complexes au monde, des européens et, plus encore, des français.

    Notre mémoire historique, alors même qu'elle n'est plus correctement instruite en France, n'en restant pas moins puissante parce que, justement, enfouie dans l'inconscient de part ce manque, est fortement présente en chacun de nous.

    Du-fait que les américains ne peuvent pas concevoir que les autres peuples puissent fonctionner autrement que ce qu'il peut en être pour eux, psychosociologues compris, les conseils que ces derniers donnent à nos pantins gouvernementaux ne peuvent que se révéler plus que contre-productifs.

    La raison en est simple à comprendre: le terme même de couvre-feu renvoie automatiquement à la seconde guerre mondiale, des français sous les bottes des nazis, et, pour les plus savants ou âgés, à la toute fin de la guerre d'Algérie lors de la monté en force de l'OAS.

    Or, qui dit guerre de 39/45, dit résistance, même si, surtout si, comme je viens de l'écrire, cela est devenu peu ou non conscient.

    P1050653.JPGTous ces crétins venant de réveiller brutalement ce qui, lors du début de cette pandémie, y avait été endormi, l'esprit de révolte des français sous forme, à l'époque, des gilettistes.

    Ce couvre-feu, de plus, touche désormais l'élite intellectuelle des grandes villes, même celle qui n'est pas astreinte à cette contrainte mais qui craint de s'y confronter, celle-là même qui fut le soutient du macronisme, ce qui génère en elle de la frustration la menant à rechercher les raisons pour lesquelles cela survient.

    Ne pouvant que la conduire à saisir, de proche en proche, l'origine de notre domination par l'imperium.

    Cela ne pouvant que la réveiller, c'est-à-dire de faire en sorte que la réalité commence à y être appréhendée, puis, le comprenant, de s'en indigner puis, pour certains, d'en faire naître un esprit de faction.

    Ceci au moment où la gendarmerie commence à en saisir la nature.

    Il est à noter que:

    -Tous les pays européens où sévis une situation analogue et qui, lors de la même période de la seconde guerre mondiale, voire de la guerre froide, souffrirent et souffrent de pareils maux, ne peuvent qu'avoir une réaction semblable à celle des français et, ce, pour les mêmes raisons;P1050026.JPG

    -De tous temps, même les pires régimes politiques ont toujours reçu le soutien d'une partie plus ou moins importante de la population.

     

    Deuxième échec: penser que ce serait la monnaie qui ferait l'économie:

    Si, comme je le conçois, le but recherché par les instigateurs de cette cruelle manipulation des peuples est de mettre en place une monnaie purement électronique, cela ne pourra qu'y conduire ses promoteurs vers leur ruine.

    Certes, ils éviteront, ces chers banquiers, une panique bancaire qu'ils craignent dès lors que le système économique mondialisé explosera, ceci par la grâce de ladite monnaie électronique, bien qu'il soit visible que nous ne pouvons plus que nous munir de billets de banque provenant des seuls distributeurs.

    Et il est possible d'en diminuer informatiquement la portion disponible pour chacun, ce qui est déjà le cas aujourd'hui.

    Qu'ils veuillent, nos chers olibrius, concocter une monnaie mondiale, elle aussi électronique, est tout autant fantasmatique et, ce, pour une raison fort simple que je ne cesse d'écrire ici: la monnaie n'est pas et ne sera jamais l'économie (je fus moins catégorique juste avant, à tort) mais juste le moyen avec lequel celle-ci se construit et se développe.

    P1040694.JPGC'est ce que nombre d'économistes nomment l'économie réelle, l'industrie, les fabriques, l'agriculture et les exploitation minières, liée à l'usage d'énergie et aux échanges marchands, ceci au sein d'état-nation aux frontières semi-poreuses, qui  forme et forge une économie, la monnaie, quelle que soit sa constitution, papier, métal, coquillage, graine de cacaotier, électronique ou n'importe quoi d'autre, sinon, ne représenterait que du rien.

    Ces plans, mis en place en Occident par ces chers grands argentiers de tonton Sam, ne faisant que creuser la plus que crise que nous vivons, ne peut que conduire à notre appauvrissement en tant que peuples consommateurs, ne pouvant qu'amener à ce que les pays producteurs voient leurs créations de richesse ne plus se vendre et dès lors être aussi ruinés, eux dont les travailleurs ont des payes si basses qu'ils ne peuvent acheter qu'une masse réduite de ce qu'ils produisent.

    Et ils auront beau, nos chers débiteurs d'âneries, vouloir à toute fin contrôler une bonne part de l'économie mondiale par l'électronisation de la monnaie que cela ne changera rien à l'affaire: si l'économie réelle s'effondre, ce qui arrive vers nous au grand galop et est déjà présent outre-atlantique

  • Du retour à la politique.

    Peut-être de la famille Colletidae, Colletes serait son nom, quand à son prénom...?

     

    Bonjour chers lecteurs,

     

    Préambule:

    Il est une question qui, de plus en plus, anime chacun d'entre-nous: que faire?

    Celle-ci se posant sous la forme d'une affirmation: que pouvons-nous y faire à l'aune de notre situation...P1050245.JPG

    J'avoue qu'en cela je n'ai pas de réponse directe, de ne pas pouvoir dire qu'il serait possible d'agir de telle ou telle façon en ces temps où le nombre de gens se rendant compte de notre manipulation augmente.

    En quelque sorte, nous nous retrouvons dans une situation analogue à celle qui existait pour la population républicaine, avant que Louis-Napoléon Bonaparte n'en vienne à déclarer la guerre à la Prusse en 1870, s'achevant par la défaite de l'empereur à Sedan, de son abdication, suivit de celle française.

    Il est d'ailleurs de constater combien la vulgate officielle encense cette période, elle qui, de la sorte, voit en Monsieur Macron la renaissance du second empire.

    Il y a un ensemble d'événements rendant mon hypothèse de notre rétrogression historique centrée sur cette période valide, assertion, toutefois, que j'effectue toujours avec prudence.

     

    Avant-propos:

    Tout au long de mon blog, je n'ai eu que de cesse d'émettre un certain nombre d'hypothèses sur toutes sortes de sujets, de faire un travail philosophique (par nature hypothétique dans le dessein de faire évoluer nos composantes intellectuelles) en tant que penseur brut.

    Dernier terme que je revendique assurément, montrant que nous sommes tous en droit et, oserais-je l'affirmer ainsi, en devoir de penser en toute indépendance P1060125.JPGd'esprit.

    Bien que ladite indépendance soit directement relative aux structures sociales de chacun d'entre-nous, le français ne pensant pas de la même manière que l'allemand, le vietnamien, le congolais, le syrien ou le britannique..., et inversement (poils aux dents).

    J'avais, par exemple ici, proposé la notion "d'économisme dogmatique" qui stipulerait que la vision, décisions et actions du politique, conduite partout, au national comme à l'international, auraient comme seule horizon, seule viatique les notions d'économie, prévalant sur toutes les autres dimensions sociales et, ce, jusqu'à actuellement, en un processus perverti dès le début des années 80 par le monétarisme spéculateur.

    En une manière inversée étatique/privée dans ce qui se faisait appeler le bloc de l'est, dit communiste, ainsi que du bloc de l'ouest, dit capitaliste, lors de la guerre froide (1945/1991).

    Ce phénomène ayant débuté en Europe dès le XIX° siècle (au XVIII° ans les pays anglo-saxon puis en France) sous la forme de la libéralité économique bourgeois générant progressivement son exact contraire, l'étatisme social.

    La particularité de notre époque présente est que ledit économisme dogmatique, s'exprimant sous forme d'un capitalisme devenu corrompu dans tous les sens duP1050386.JPG terme, s'est, non pas seulement en Occident, exprimé sous la forme de l'oligarchie financière.

    Soit de considérer que seul la politique monétaire fait économie, ce qui marque, à mon sens, l'effondrement intellectuel de sa classe sociale occidentale la plus riche, oligarchique.

    Preuve en étant que le plus grand nombre de décès dû au SRAS-COV-2 s'y trouve chez-nous, à contrario des pays dits "en voie de développement", ainsi que le montre le professeur Raoult (s'il n'y avait que de cette preuve là).

    Il va donc nous falloir réinvestir la notion même de politique, ceci dans son sens le plus large, celle d'économie revenant à la place qui lui est due, celle de mener au mieux à la richesse des nations ainsi que de conduire à la meilleurs des politiques pour le pays (poil au zizi, hi, hi, hi).

    Il nous faut donc passer de l'économie-politique à la politique-économique du pays.

     

    Nous éprouver par avance de notre indépendance nationale, penser déjà de nos empêchements:

    Pour cela il nous faut commencer par concevoir, par comprendre que nous devons P1050759.JPGreprendre notre totale et absolue indépendance nationale, sans ça rien ne pourra se réaliser.

    Laissons de coté l'aboiement des porteurs de la vulgate médiatique, politique et économique qui, si facilement, insultent de toutes sortes de façons tous ceux qui oseraient présenter, porter et défendre de telles mesures.

    Et même montrons la dimension totalitaire, fascisante de cette faction, renvoyons leur leurs propres turpitudes abjectes dont ils souffrent, le pire en est que cela provienne de tous partis et de tous médiats officiels confondus.

    Notre dépendance étant constituée comme une poupée gigogne, chaque composant étant emboîté dans une autre jusqu'à celui englobant l'ensemble, soit les États-Unis-d'Amérique.

    En un exemple simplifié à l'extrême, je le reconnais, la France est sous la servitude de l'Union-Européenne, elle-même sous celle de la Germanie, placé sous la suggestion de l'OTAN sous direction de l'empire thalassocratique US.

    A tout le voir, je pensais antérieurement que les décisions absurdes gouvernementales, tant au sujet du SRAS-COV-2, des services publics que de l'énergie, de notre économie en général, ne touchaient que les pays anciennement dits occidentaux.P1050828.JPG

    Quand de fait, hormis pour une part, en ce qui concerne ceux d'Afrique, d'Asie et d'Amérique-du-Sud, ainsi la Russie (bien que...), sont de fait empreint de cette même mouvance idéologie absurde.

    Donnant lieu à des décisions contradictoires, comme, en France, de vouloir, par la volonté de l'administration de l'Union-Européenne, supprimer à terme les centrales nucléaires et au charbon pour les remplacer par des moulins à vent, ne fonctionnant que quand il y en a, du vent, mais non pas de trop sinon elles se retrouveraient détruites et sont donc, par prudence, mises en arrêt automatique (mais utilisant de l'énergie pour son entretien, même stoppées, énergie parfois ou souvent supérieur à ce qu'elle peut produire).

    Ainsi que des cellules photovoltaïques qui ne peuvent que générer du courant électrique que quand il fait jour, ce qui est amusant en hivers lors des froidures de plus nuageuses, de voir de plus ses jours s'écourter.

    Ceci au moment même de l'advenu de la 5G téléphonique et de l'automobile électrique  qui ne peuvent que demander un surcroît important d'électricité.

    Sans compter qu'il nous faudra bien nous réindustrialiser lorsque nous aurons retrouvé notre indépendance nationale.

    P1060301.JPGJ'émets l'idée que cela est dû à une façon de dysfonctionnement mental collectif de ladite hiérarchie sociale la plus haute de nombre de sociétés, celles sous le joug de la domination étasunienne.

     

    Le pays de Jamais-Jamais:

    Pour comprendre de quoi il en retourne, je vous conseille de lire ces deux articles, le premier traitant du roman 'Peter Pan", le second celui dédié au syndrome du même nom.

    Je suis tout de même resté deux jours alité à la suite de la lecture de l'essai éponyme de Dan Kiley.

    Le pays de Jamais-jamais, donc, est celui de Peter Pan, ce vieil enfant, parfois de 90 ans, ne voulant à jamais grandir, d'où le nom de l'île qui l'abrite.

    Les psychologues étasuniens (à l'époque où ils n'étaient pas encore stupide) de l'école de Palo Alto (années 60 à 80) ("on ne peut pas ne pas communiquer" était leur credo, ce qui est génial et pour moi une révélation) en ont fait un syndrome désignant toutes personnes de tous âges dont l'évolution psychologique reste suspendue à son enfance, vivant de ce fait dans un monde imaginaire, celui susnommé.

    Ce qui, étrangement, me fais penser à celui au milieu duquel vit chaque perversP1050884.JPG narcissique.

    Bien qu'il s'agisse de deux mondes distincts, le premier ne pouvant qu'être individuel, le second étant susceptible d'être collectif, l'un et l'autre tendraient, quoi qu'il en soit, à y entraîner les personnes saines d'esprit dans le leur propre.

    C'est dans ce pays chimérique que les français, les européens, unioniste ou non, ainsi que toutes les nations assujettis à Tonton Sam, mais aussi en pire les étasuniens, sont amenés, d'où le nombre d'obèses qui se trouve aux USA dans ce désir irréfléchi et malsain de vouloir rester un poupon, quand bien même l'usage d'une nourriture de mauvaise qualité et une vie stressante y serait grandement pour quelque chose.

     

    Rapide calcul du pourcentage de morbidité du vilain virus jusqu'en Septembre:

    Si nous prenons en compte le nombre totale de morts mondiaux officiels dus au vilain virus à ce jour où j'avais effectué ces calculs, le 7 Septembre 2020, 880 955 décès, au regard du nombre d'habitants sur terre à cette date, environ 7, 637 milliards, 7 637 000 000, puis que nous en recherchions le pourcentage (je fus contrains de le faire manuellement puisque les calculette de mon ordinateur ne P1050954.JPGpeuvent pas l'effectuer):

    880 955 / 7 637 000 000 x 100 = 0, 0 011 535 % décès.

    Vous remarquerez qu'aucun médiat ne nous transmet ledit pourcentage, comme il peut en être de celui du taux de CO2 dans l'atmosphère qui est, celui-là, si mes souvenirs sont exacts, de 0,04 16 21%, j'avais fait ce dernier le 1er Juillet 2020.

    Ensuite, voulant savoir de ce qu'il en était en France j'ai commencé par chercher le nombre totale de morts à ce jour, ici était noté 30 739 décès.

    Voulant savoir à combien se révèle la population française, le le 7 septembre 2020 j'effectuais ma recherche ainsi: "nombre d'habitants en France 2020" j'obtenais ce nombre : 66, 524 millions,  soit 66 524 000.

  • L'excentricité comme mode de pensée.

    Le préfixe "ex-" renvoie ici au fait de porter "au-dehors", de mettre hors-de...", exprime donc, dans le mot "excentricité, de se placer hors du centre du cercle, d'en sortir.

    Excentrer sa pensée ne consiste pas à sortir du cercle, mais plutôt à s'éloigner de son centre, voire même d'en agrandir la circonférence.

    Sortir du cercle est, me paraît-il, de l'ordre de la folie, de la schizophrénie, du délire imaginaire...ou tout simplement, plus sainement, du résultat de l’œuvre artistique.  )

    Il s'agit, je le concède, d'un exercice périlleux en ce sens où cela peut facilement générer une relative asocialité si l'époque ne se prête pas aux concepts novateurs et/ou aux idées inédites.

    En revanche, cela permet de percevoir le monde et sa dynamique sous un angle nouveau, d'en rendre mieux compte de sa réalité.

    Je ne saurais pas en apporter de recette constitutive, je ne saurais pas dire comment faire pour avoir une pensée excentrique, le faisant naturellement sans en rechercher l'effet.

    Mais ce qui est remarquable c'est de constater combien ce centre s'est racorni autour d'un noyau dur composé de présupposés qui, pour nombre d'entre-eux, sont totalement insensés.

    Je vais donc montrer ici la nécessité de cette excentricité pouvant permettre un développement d'idées autrement impossible, ceci par deux exemples.P1010791.JPG

    Pour le moins, ceux qui se font appeler les gilets jaunes sont admirables.

    Et il n'y a pas que le gouvernement français que cela affole, les gouvernements des pays de l'Union-Européenne, l'administration non élue de l'union aussi ne peuvent que craindre que cela ne s'étende comme il pourrait en être, de leur avis, d'une pandémie.

    Déjà la Belgique et la Bulgarie en sont atteints et il se dirait même que l'Allemagne aurait aussi les leurs.

    Dans le monde également nombre d'états doivent craindre que la même révolte des gueux, des sans-dents, des gens de rien ne s'établisse chez-eux.

    Cette jacquerie, cette pas tout-à-fait sédition est donc admirable sur bien des points et la retenue de ses acteurs y est au premier chef, eux qui sont tant emprunt de colère et de désespoir montrent, à un macronisme ayant perdu la moindre légitimité, élu aux forceps d'une propagande éhontée, en ayant détruit, dans le même temps, tous les corps intermédiaires, des partis politiques aux syndicats, montrent dis-je à la face du monde l'esprit républicain d'un peuple qui, lentement, reprend sa légitimité.

    Mais au-delà de cela, ce qu'il faut retenir d'abord de ce mouvement c'est que, du bas de l'échelle sociale, les français se reconnaissent en tant que peuple un et indivisible, c'est pourquoi la Marseillaise fut tant entonnée, il n'est, que de le constater, que d'observer une carte des blocages s'étendant partout en France.

    Ce qui est dommageable, voire à terme dangereux, c'est le peu de représentants de l'immigration.

    Mais allons plus loin voulez-vous et réfléchissons aux raisons qui font que les macronniaiseux se voient ainsi contraints d'augmenter les taxes sur l'essence et tentent, très maladroitement, de vendre des automobiles censément moins polluantes (ce qui reste à prouver), à moteur électrique ou hybride, en interdisant la circulation des voitures anciennes, ceci lié à la hausse du prix de la nourriture.

    Tout cela étant inextricablement lié, la seule question de l'automobile se résumant P1010723.JPGau simple fait qu'il s'en vend de moins en moins puisque la population s'appauvrit.

    L'origine de cette monté du prix des carburants vient des U.S.A. (et oui, de si loin) et de la remonté des taux de prêt du dollar par la F.E.D. et de la cessation des Q.E., du-moins ceux officiels, vous trouverez, là-dessus, mes réflexions dans mon billet précédent au niveau des œillets.

    Ce phénomène, débuté avant les élections de Donald Trump, a diminué la quantité de monnaie mondialement disponible.

    En effet, à chaque fois qu'il y a une baisse boursière, une perte dans une opération spéculative ou de tout autre chose de ce genre, l'argent ainsi disparue l'est pour de bon, il n'existe plus au sens stricte du mot, il est reparti dans le néant dont il fut extirpé par la banque centrale U.S..

    Or, le système ne peut dorénavant exister que si et seulement si ces pertes sont compensées par un apport de nouvelles monnaies, les fameux Q.E., sinon c'est l'effondrement de l'économie-monde à terme.

    La raison en étant sa quasi-faillite puisque les banques et fonds d'investissement  ne survivent plus que grâce à ces opérations spéculatives hautement risquées, à des jeux d'écriture comptable cachant cette misère et à des prêts faits à des particuliers, des entreprises et des états pouvant de moins en moins les rembourser.

    Vu que le dollar ne remplit que peu ou plus du tout cet office, bien entendu cette monnaie doit se trouver ailleurs et l'euro se trouve tout désigné pour le remplacer.

    Il faut en effet savoir une chose, les bourses étasuniennes et européennes au moins se trouvent, en ce moment, dans une situation extrêmement préoccupante etP1010804.JPG peut-être même critique, ne cessant pas de faire du yoyo entre brusques descentes suivies de remontés.

    Ce qui signe le fait que les acteurs boursiers s'en dégagent pour se reporter sur les matières premières, la baisse boursière, puis que les banques centrales ne font que boucher les trous causés par cette fuite (dans les deux sens du terme), la remonté boursière.

    Mais étant donné la désindustrialisation mondiale n'allant qu'en s'accroissant, les matières premières industrielles, énergétiques comprises, ne sont plus intéressantes puisque leur prix ne fait que baisser en raison de cette destruction des usines et fabriques.

    Ne reste plus, dès lors, que les produits de bouche sur lesquels reporter cette spéculation monétariste, ce qui génère, pour nous, de l'inflation ne pouvant elle aussi que s'accroitre, ce qui diminue d'autant nos capacités d'achat.   )

    Pour revenir sur cet accumulation et hausse des taxes de tous genres, disparitions des aides d'état à la population, des impôts sur les grandes fortunes, privatisation de nos services publique, monté du prix de l'essence et du gasoil et tutti quanti..., la cause en est simple à comprendre:

    Il s'agit dorénavant, pour nos employés bancaires gouvernementaux, ces zélotes zélés de la globalisation joyeuse en fin de partie, sous ordre de l'oligarchie monétariste, de l'U.E. et de la Germanie merkélienne, de compenser les pertes monétaires de la spéculation par l'argent frais provenant de nos impôts, amendes et autres ponctions, ceci sous couvert de remboursement des dettes ineptes, lutte P1010783.JPGcontre un réchauffement climatique fantasmatique, réductions hasardeux de l'action de l'état dans les processus économiques, ..., cet ensemble de justifications oiseuses que nos croquemitaines ridicules nous déblatèrent à ravir.

    Il faut dire que la situation des banques européennes trop grosses pour être nationalisées faire faillite est réellement calamiteuse.

    Quand à ce qu'il peut en être de la réduction des impôts locaux à laquelle nous eûmes droit au début de législature de Monsieur Macron, ce ne fut que la tentative malheureuse et poussive de faire remonter un P.I.B. national mal-en-point, idée idiote provenant sûrement d'un Jacques Attali ou d'un Alain Minc qui, ni l'un ni l'autre, n'ont jamais rien compris à l'économie, hormis le fric qu'ils se foutent dans leur fouille.

    En fait, il faudrait refermer les frontières et se débarrasser de notre chère union pour que cela fonctionne, comme le font les britanniques en ce moment, mais ça, c'est une autre histoire.

    Pour en revenir aux gilets jaunes, l'autre chose à en dire est que la propagande euro-atlantiste et germanique ne prend presque plus et les déclarations tonitruantes de nos chroniqueurs (qu'aiment les alsaciennes) ne donnent plus les résultats escomptés.

    D'après ceux-ci, 77% de la population approuve toujours l'actions des gilétistes, connaissant le peu de probité des instituts de sondage, les 80 à 85% ne devraient pas être loin.P1020489.JPG

    Comme de logique, le gouvernement et les partis politiques officiels (passant dans les médiats) commence à paniquer, en voulant éteindre l’incendie pour les uns, en voulant récupérer le mouvement pour les autres, ils ne cessent de jeter allègrement une huile bien chaude sur un feu commençant à ronfler joliment (un feu ronflant ce n'est pas un feu qui dort, tout au contraire) tout en continuant à se décrédibiliser à tour de bras.

    Ce mouvement des gilets jaunes peut péricliter tout doucement ou continuer, d'ailleurs en suivant mon hypothèse de la rétrogression historique (en fin de page), celui-ci ressemble drôlement en un mixe de ce que fut le printemps des peuples en 1848 et de la commune de Paris, cela en un tout tout doux, tout comme Monsieur Macron a un petit air de Louis-Napoléon Bonaparte, dit Napoléon le petit par Victor Hugo, pas piqué des hannetons (je vous laisse à la joie de découvrir tout cela sur le net).

    Je sens que la VI° république n'est pas loin, le plus amusant en cela c'est qu'il risque fort que ce soit Monsieur Asselineau et son parti l'U.P.R. qui pourraient bien en être les fondateurs.

    Qui d'autre, en effet, sera encore présent lorsque le système économique monétariste mondialisé aura explosé?

    Ah, autre chose là-dessus, messieurs-dames certains des immigrés vivant dans les banlieues, surtout noir et/ou musulmans, que le personnel politique avait mis en P1020198.JPGplace depuis plusieurs décennies dans ces ghettos (appelons un chat, un chat) pour se cacher à eux-mêmes l'existence de tant de blancs provinciaux ruraux pauvres ( sachant que les arabes sont des blancs, cela va de soi ), je vous conseillerais de cesser de vivre comme si vous passiez votre existence dans un état dans l'état.

    Francisez-vous.

    L'histoire à montré qu'en France il peut y avoir un long laissé-aller puis que, d'un coup, après un changement de régime, le nouveau pouvoir veuille reprendre les choses en mains, avec brutalité s'il le faut.

    Or, vous faites parti de la société française, quelle que soit la façon dont vous êtes considérés, quoi qu'il s'en dise ou se laisse paraître, quoi que vous en pensiez, quoi que vous puissiez en supputer de sa véracité, que cela vous dérange, vous agace ou vous remplisse de joie, vous êtes français, ni plus, ni moins.

    Alors, sachez que l'effondrement de l'économie-monde génèrera la nécessité de reconstruire la nation, ses usines, ses fabriques, son agriculture, et que tous les bras, toutes les intelligences seront dès lors requises parce que nécessaires.

    Sans compter que ce pouvoir futur rejettera avec force ce misérabilisme hypocrite, ce racisme discret, ce vulgaire doudouisme, cette avilissante infantilisation dont vous êtes autant victime que vous en profitez, vous mettant alors dans une situation de port-à-faux si vous vouliez faire perdurer cette bassesse, ceci d'autant plus que votre religiosité de réaction n'aura plus de raison-d'être.P1020010.JPG

    Il vous faudra donc, dès lors, vous adapter à une société, dans ce pays dont vous êtes, que parfois vous ne connaissez pas ou peu, mais dont vous faites parti, et, suivant les régions (lisez ou visionnez les vidéos d'Emmanuel Todd pour comprendre ça), à vous confronter à un racisme pouvant se révéler violent.

    Pour finir sur ce sujet des gilets jaunes,  ce que craint le plus l'oligarchie ce serait la cristallisation de cette colère dans la population dans son entier, jusqu'aux classes-moyennes les plus hautes, d'où ses multiples tentatives pour discréditer ce mouvement.

    Ce que marque justement celui-ci c'est que maintenant la soumission populaire aux désidératas oligarchiques euro-atlantiste a disparu, cette seule colère étant la marque de la disparition de la peur, puisque une soumission s'établit sur ces-dites émotions primaires, colère et peur.

    Ce phénomène n'est que le début du processus de sauvegarde de la population, ensuite viendra le moment où s'établira une réflexion collective sur la nature de cette domination oligarchique, en un phénomène d'éloignement du brouillard conceptuel qu'elle avait généré et dedans lequel nous étions tous empêtrés.

    Par nature, cela ne peut que prendre du temps: on ne se débarrasse pas ainsi d'une manipulation multidécennale, toutefois le fait même que de plus en plus de gens en viennent à commencer à en comprendre l'essence montre que l'Union-européenne n'en a plus pour longtemps.

    P1020149.JPG 

    Comme vous pouvez l'observer, en s'éloignant du centre de l'entendement collectif du monde, il est possible de percevoir un peu mieux la constitution des événements, leurs intrications dyn

  • Chers Monsieur FMI.

    Préambule:

     

    Certains de vous-autres, amis lecteurs, penseront sûrement que je fais le mariole en m'adressant ainsi aux gens composant une institution internationale de cette sorte.

     

    Ma foi, que je sache, ils sont tous des Êtres Humains qui bouffent et s'empiffrent parfois, pètent, rotent, chient, pissent, baisent et ont la gueule-de-bois quand ils boivent un coup de trop comme tout le monde, excepté leur position sociale ils sont égaux en cela de nous-autre, n'est-ce pas?

     

    Bien entendu qu'ils ne me liront pas, comment voulez-vous que ces types et ces nanas s'abaissent ainsi à aller voir les élucubrations d'un mec de 62 balais qui fut conducteur d'un bus à Paris aujourd'hui à la retraite, un presque, pour eux, va-nu-pied?

     

    Mais n'aurions-nous pas, nous, citoyens, le droit de dire ce que nous pensons à leur sujet et de réagir à leur encontre si nous considérons qu'ils n'ont fait, eux et leurs prédécesseurs, que des conneries depuis plus de quarante ans à n'avoir fait qu'appauvrir peuples et pays, dont la Grèce en 2012, avec l'aide bienveillante de l'Union-Européenne, de la BCE et des gouvernements français et allemand?

     

    Ne sont-ils pas, eux aussi, responsables de la situation dedans laquelle nous nous retrouvons?

     

    N'aurais-je pas le droit de les engueuler même s'ils ne peuvent ni ne veulent l'entendre?

     

    Ne serait-ce donc pas mon droit le plus strict de citoyen de la nation française de les questionner de leurs fadaises et de leurs réactions de vierges effarouchées parce que les peuples pestent et grondent avec raison et en raison, entre-autre, de leurs décisions et agissements?

     

    Avant-propos:

     

    Je reprends la plume, du-moins le clavier, pour vous poser une réflexion politique, là sous forme d'un essai où plane l'ironie, abandonnant momentanément, brièvement, la poésie.

     

    Réagissant à ce texte, publié par Sputnik, résumé d'un rapport du FMI où y est fait cas de possibles probables révoltes, voire d'une révolution, de la population française, et non pas de guerre civile.

     

    Ce à quoi je souscris au vu de l'équipe de branquignole qui nous gouverne, ainsi de la dernière fantasque outrecuidance de notre godelureau national, reprenant en copier/ coller ce court billet de Businessbourse:

     

    "  Réponse d’Emmanuel Macron à une femme désespérée et à bout: « Je ne suis pas là pour passer vos humeurs, trouvez-vous quelqu’un d’autre !  " 

     

    Ainsi que de son clone en loufoquerie, j'ai-nommé Jean Castex, (même origine) qui, au demeurant, ne casse pas grand-chose hormis les noix:

     

    « Il faut que nous fassions collectivement l’effort de réduire nos contacts sociaux et familiaux »

     

    Il est des moments où il faut bien mettre les points sur les "I" à des gens qui ne veulent absolument pas considérer leurs immenses responsabilités d'une grave situation, d'une crise majeur probable future, dont ils sont eux-mêmes grandement comptables.

     

    En un mot comme en cent, qui se conduisent comme les meilleurs des faux-culs!

     

     

    Chers  Messieurs-Dames du FMI: 

     

    Dieu," se dit-il, "se rit de ceux qui  déplorent les effets dont ils chérissent les causes!"

     

    Pouvons-nous en déduire que Dieu considérerait comme purs imbéciles tous ceux qui, par puritanisme idéologique, se rendraient compte que, comme il est de vous même, la situation risquerait de dégénérer, en France comme ailleurs, sans se remettre simplement en question?

     

    Parce que observons d'évidence qu'hormis l'Allemagne, et encore, quasiment tous les gouvernements du monde serrent des fesses à l'idée même que les français renversent le pouvoir en place, c'est pourquoi les tensions entre les états de l'Union-Européenne s'accroissent: ils ont peur de leur peuple!

     

    Et oui, chère amicale de l'incompétence économique qui nous ont conduit, vous comme tous ceux qui porte les mêmes croyances crétines, là où nous en sommes, tout comme en 2019 et le mouvement gilettiste, les peuples attendent que nous autres, gaulois réfractaires, chassent nos incapables pour faire de même.

     

    C'est pourquoi notre paniquet premier ose nous proposer de restreindre nos contactes sociaux: cela ne se révèle que d'une vaine tentative pour que nous n'échangions pas entre-nous, que nous ne nous révélions pas les uns les autres les turpitudes sanitaires dont ceux du gouvernement, des médiats, des entreprises pharmaceutiques, des oligarques sont les vecteurs.

     

    De qui vous moquez-vous, Messieurs-Mesdames, sinon, au-delà des populations, de vous-mêmes?

     

    Car vous savez fort bien que, sauf si notre gouvernement n'est pas chassé avant d'une manière ou d'une autre, avec de nombreux scandales à la clef, dès que le couvercle de la cocotte-minute porté sur le pays sera ôté, voire même avant cela, la société française se révoltera, 1789, 1830, 1848, 1870 en sont les traces historique.

     

    Quand bien même le XXème siècle fut, en cela, plutôt calme, ce ne fut que deux guerres mondiales et une guerre froide qui en avaient amoindri les ardeurs populaires, bien avant ces deux siècles beaucoup de rois furent déjà grandement chahutés par les foules en colère.

     

    ( Si tant est que l'économie mondialisée ne cesse tout fonctionnement avant. )

     

    Alors, l'équipe de pieds-nickelé qui sont aujourd'hui au pouvoir, que voulez-vous qu'ils fassent, eux qui n'ont eu que de cesse de balancer sottises sur sottises, incapacités après incapacité?

     

    Vous écrivez par ailleurs ceci: «La progression de la maladie avive les tensions de classes, les riches reprochant aux pauvres de propager la maladie et les pauvres pensant qu’on les empoisonne. Bientôt, l’animosité et la colère se portent sur la figure du roi, déjà impopulaire.»

     

    Ce que j'ai remarqué c'est ce petit bout de phrase: "...Les pauvre pensant qu'on les empoisonne.", de qui parliez-vous?

     

    Il faut douze ans pour faire un vaccin valide et sûr, en un an ce fut la ruée mondiale des entreprises pharmaceutique pour en fabriquer un, Russie comprise, je les mets toutes dans le même sac, croyez-vous vraiment qu'une personne sensée pourrait avoir confiance en l'un d'entre-eux?

     

    Ceci sachant qu'existe des traitements efficaces sans passer par la vaccination pour guérir d'une maladie dite SRAS-COV3, 4, 5, 6,... ne sachant déjà plus jusqu'à quel nombre nous devrions compter (plus on cherche, plus on trouve, n'est-ce pas?) et à la morbidité réduite, réservé aux plus anciens d'entre-nous souffrant de co-morbidité, comme le dirait (ou le pense en raison de la censure vaccinale des GAFAM ) le professeur Raoult: "Ceci n'est pas raisonnable!"

     

    Vous, Messieurs-Mesdames du FMI, n'êtes non plus raisonnables, ceci parce que vous avez très  bien compris:

     

    1)- Que ces gesticulations vaccinales sont grotesques, inutiles et, cerise sur le gâteau, potentiellement dangereux;

     

    2)- Que cela accélère gravement la monumentale déconfiture de l'économie internationale en raison de l'arrêt partiel à total de celle de quasiment tous les pays et, ce, depuis un an (d'où la Chine testant sa population  par le trou-du-cul, processus offensant de contrôle de celle-ci par la honte que cela procure, son état craignant dès lors de sa révolte suivant l'achèvement de sa faillite accompagnant celle mondiale);

     

    3)- Que le " grand réset " est une pure bouffonnerie de l'oligarchie décatie US, croyant que ce qui fait l'économie ce ne peut qu'être que la monnaie, preuve, tout de même, que vous commencez à revoir un petit peu vos propres approches dogmatique en ce domaine;

     

    4)- Mais que vous ne pouvez pas déplaire frontalement à la main qui vous nourrit, la même dite oligarchie US;

     

    5)- Que vous saisissez pleinement que si l'euro, et dès lors l'union, s'évaporent, vous ne donnez pas le trimestre suivant pour que le dollar subisse le même sort et, donc, accompagné de toutes les autres devises;

     

    6)- Que, désormais, après que la Germanie et les Etats-Unis-d'Amérique furent le centre de tous les enjeux, la France en est redevenue centrale, sans que personne ou presque n'y puisse grand chose: si ici ça bouge, à la moindre décision déplorable gouvernemental, unioniste ou autre, ce sera l'éruption telle que vous la craignez quelle se produise avec raison, c'est tout le reste qui explosera à sa suite;

     

    7)- Et enfin, qu'il est d'évidence que pour en réduire les effets il ne peut y avoir qu'une et une seule solution raisonnable: avancer cette crise paroxysmique de manière d'en limiter, autant que faire se peut, des dégâts qui, quoi qu'il en soit, ne pourront être que majeurs.

     

    Mais de cela vous ne pouvez que d'en nier l'éventualité, pour la simple raison que, dès  lors que ladite crise surviendra, ce qui ne peut que survenir d'une manière ou d'une autre, l'existence même de votre institution se retrouvera mise, voire remise en cause.

     

    Si tant est que l'une des personnes composant le Fond Monétaire International lise ce  billet ainsi que ce tous ceux traitant de ce que je conçois de ce que peut être que l'économie tout au long de mon blog;

     

    Veuillez recevoir les sentiments de forte irritation de celui, le plébéien, le moins-que-rien que je suis, qui déplore l'immense gabegie économique qui, depuis quatre décennies au moins, nous conduit là où nous en sommes: aux portes de la plus fantastique banqueroute de tous les temps.

     

    Dieu se rit de ceux qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes.

     

    Salutation,

     

     

    THEURIC

  • Nouvelle réflexions sur le temps présent.

    Le processus de désagrégation économique suis son cours et la politique reprend difficilement ses droits, entre autre en Union-Européenne.

    L'économisme échevelé, en une bête blessée à mort, rue et mord quiconque paraît lui barrer la route de sa survie.

    L'U.E. en rajoute chaque jour un peu plus pour se faire détester.

    Le gouvernement U.S. et Wall Street voient s'agrandir toujours plus le gouffre de leur décrépitude.

    Les B.R.I.C.A., souffrant de la faillite mondialisée, commencent à prendre leur place dedans un empire étasunien en déliquescence, comme au Proche-Orient.

    Alors, allons y voir.

     

    P1000445.JPG

    Deux faits majeurs doivent dorénavant être pris en compte pour celui voulant comprendre la dynamique historique en cours:

    -La faiblesse des États-Unis-d'Amérique est aujourd'hui patente et s'accentue continuellement;

    -Le système économie globalisé se fragilise au même rythme et s'approche toujours plus de son effondrement.

    Les E.U.A. montrent, en effet, depuis le début de la crise ukrainienne (qui était passée rapidement à une guerre civile), puis de la forte prise de position de la Russie en Syrie, qu'ils n'ont plus la puissance nécessaire pour être hégémonique.

    Militaire, certes, mais aussi économique et politique, cette faiblesse ne peut qu'être visible pour tous ceux sachant s'écarter de l'américanolâtrie de notre époque.

    Pour en comprendre la juste dimension, ici seulement politique, je vous propose l'extrait d'un texte de Dmitri Orlov, traduit de l'anglo-américain puis publié sur le site de Monsieur Berruyer ( http://www.les-crises.fr/lempire-le-plus-bete-du-monde-par-dmitri-orlov/ ) et appuyant mon propos:

    "Il est difficile de l’admettre, mais tout semble possible à présent. Ainsi, les États-Unis semblent ne plus avoir la moindre politique étrangère : la Maison Blanche dit une chose, le Département d’État une autre, le Pentagone une troisième ; Samantha Power, à l’ONU, fait sa propre politique étrangère viaP1000621.JPG Twitter, et le sénateur John McCain veut armer les rebelles syriens pour qu’ils descendent les avions russes (Tous les cinq ? Ne sois pas stupide, John !). En réaction face à une telle confusion, les hommes politiques à la botte des États-Unis dans l’Union Européenne commencent à s’agiter de façon incontrôlable et ne respectent plus le scénario, pour la bonne raison que le centre nerveux à Washington ne leur envoie plus de signes cohérents."

    Cette confusion du gouvernement étasunien est logique et tient en ce que celui-ci n'a plus, maintenant, ni légitimité, ni pouvoir, puisque lui-même est sous la férule des banques, fonds d'investissement et autre Wall Street.

    Cela a conduit, depuis sûrement longtemps, à la perte progressive d'influence et de contrôle du président Obama sur l'ensemble de ses administrations et ministères, chacun prenant son indépendance suivant les seuls intérêts et idéologies des groupes ou des individualités, tout en tentant de prendre l'ascendance sur les autres.

    Bien sûr, le dernier bastion, la dernière colonie américaine, l'Union-Européenne, ne peut qu'être perturbé par cet état de fait, d'où la double tentative de domination sur celle-ci, là encore logique, du bureau européen, d'une part, et de L'eurogroupe ainsi que de la B.C.E., tous deux assujettis à l'Allemagne, d'autre part.

    Sans compter sur le F.M.I. qui, lui aussi, s'écarte au même rythme de l'autorité U.S..

    Il est à noter que la F.E.D., la banque centrale étasunienne, et sa directrice, Madame Yellen, sembleraient, eux aussi, être en proie aux plus grandes confusions, ne sachant plus quelle stratégie adopter pour redresser la déplorable situation de l'économie réelle de leur pays, sachant que plutôt que des 5, 5% de chômeurs annoncés, le chiffre s'établirait, plutôt, entre 13 et 23%, ceci sans considérer la faiblesse des émoluments de ceux ayant un emploi et de la disparition dramatique des usines et fabriques.

    Le monceau de crédits de toutes sortes, immobiliers, des producteurs de gaz et pétrole de schiste, aux étudiants, par exemple, accentue cette fragilité, il en est de même de l'immense fabrication de monnaies lui faisant perdre toute valeur, ainsi que des bulles spéculatives boursière, comme celle dite des technologies ou de l'incroyable monté de Wall Street, bien au-delà du ciel, ne pouvant que conduire les U.S.A., à terme, à leur ruine, infailliblement définitive.

    Militairement aussi la situation de ce pays est déplorable et l'injection massive d'argent (de singe) dans le complexe militaro-industriel n'y change rien: plusieurs fois la Russie a montré à tous une puissance technologique qui lui est bien supérieur, que ce soit en mer Noire ou en Syrie et, ce, grâce à des crédits infiniment inférieurs.

    Tout cela ne pourra qu'avoir des effets centrifuges sur ses états qui, d'une manière ou d'une autre, ne peuvent que prendre leur indépendance du gouvernement fédéral et conduire les U.S.A., soit à leur partition, soit à une guerre civile.

    Pour finir sur ce sujet, les tensions dites raciales dont nous avons tous entendu parler dans les médiats, des dissensions religieuses que nous pourrions très bien deviner au regard de cette situation catastrophique, des mouvements ouP1000627.JPG groupuscules politiques plus ou moins séditieux ou révolutionnaires, de droite comme de gauche, que nous pouvons, en toute logique, envisager, la grande quantité d'armes que possède une bonne part de la population, peuvent facilement renforcer le sentiment d'une prochaine disparition des E.U.A. dans la violence.

    Ainsi ce géant, le dernier empire et le seul universel, se sera lui-même et de lui-même terrassé par ses propres manquements et folies avant d'avoir pu mettre le feu au monde.

     

    L'économie-monde se trouve aussi dans un état déplorable et est aux portes de son anéantissement.

    Le déséquilibre grandissant entre la réalité de l'économie mondiale et les surproductions monétaires ainsi que de la monté vertigineuses des bourses montre, à qui le veut, que ce système ne tient plus qu'à un fil, très mince, celui du dollar.

    Or, comme nous l'avons vu, ce dernier n'est plus soutenu que par un gouvernement américain vaporeux et une F.E.D. aux abois.

    Le-dit dollar est autant la monnaie des échanges commerciaux, de remplacement des monnaies sans valeur dans les pays pauvres, de réserve dans les banques centrales que pour les marchés des changes et financiers.

    Autant dire que s'il disparaît, que quand il disparaîtra, d'une manière ou d'une autre, cela ne pourra que produire plus qu'une panique, une réelle, terrible, monstrueuse terreur, même pour ceux qui s'y sont préparés, même dans les états faisant tout pour rompre leurs liens avec lui.

    Comme je l'ai déjà raconté dans ce blog, ce sera l'ensemble de la chaîne économique et des échanges internationaux qui s'interrompront pour un temps indéterminé, des extractions minières aux récoltes, du tourisme aux autres expatriations, en passant par les usinages et fabrications, jusqu'aux transports maritimes et aériens, passagers et marchandises.

    Que les communications électroniques n'en souffrent pas trop et nous pourrons nous considérer comme chanceux.

    Sans compter, là encore, aux infiniment nombreuses bulles spéculatives parsemant le monde, dont celle, chinoise, énorme, immobilière, est la plus connue, et a, cet été, fortement ébranlé l'oligarchie économique internationale, bulles spéculatives qui ne pourront qu'éclater, rajoutant encore de défaillances à cette dévastation.

    Et les monnaies, non plus, ne pourront s'échanger puisque leurs valeurs respectives n'auront plus aucun sens et que les organismes sensément prévus pour les évaluer, soit divers fonds spéculatifs et banques, auront disparus ou seront nationalisées.

     

    Il faut bien comprendre que les situations nationales et internationales sont mises en place et déterminées par trois type de personnes:

    -Celles qui comprennent ce double effondrement futur et agissent et décident en conséquence, comme les dirigeants russes et chinois;

    -Celles qui comprennent ce double effondrement futur mais ne peuvent agir et décider que dans un cadre étroit en raison de contraintes liées aux trop proches relations de leur pays d'avec les U.S.A., comme il peut en être de certains chefs d'état de l'Union-Européenne;

    -Celles qui, quoi qu'il puisse se passer, ne comprendront ou ne voudront jamais comprendre que nous allons droit vers ce double effondrement futur et qui, contre vents et marrées, persistent et persisteront à agir et décider de manière nuisible pour leur pays et P1000448.JPGleur peuple, soit parce qu'ils ne peuvent pas concevoir, par aveuglements idéologiques, que les U.S.A. et la globalisation économique puissent disparaître d'un coup, soit en raison de leur espérance en des récompenses futurs sonnantes et trébuchantes ou de leur place privilégiée, alliée à leurs désirs de pouvoir, puissance et domination, les déterminent à un même aveuglement, mais, là, maladif, d'asservissement des populations et/ou de gains futurs confortables.

     

    Il est à noter qu'en France et sûrement ailleurs en Union-Européenne, divers partis politiques, jeunes pour la plupart, tel que l'U.P.R. et le (M.)P.E.P., font campagne pour que notre nation retrouve sa souveraineté, ceci en quittant définitivement, en toute clarté et logique, le bloc U.S.A./U.E./€./O.T.A.N..

    Mais qu'ils ne font jamais, également, du-moins dans leur discours officiel, allusion à la flagrance qu'est cette ruine universelle et disparition de l'empire U.S..

    Ce que je comprends fort bien, il serait terriblement difficile de se faire entendre en en mentionnant ne serait-ce que l'éventualité, d'autant plus que cela affecterait gravement leur position et leurs discours, surtout qu'une large partie de la population nie avec, parfois, une farouche vigueur, ne serait-ce que sa possibilité.

    Quoi qu'il en soit, ils devraient prendre en compte, maintenant, ce fait manifeste, quitte à le taire, ceci pour réagir au mieux dès l'instant où cela débutera.

    La position de Monsieur Mélenchon et de son parti est intéressante.

    Lui désir l'épreuve de force avec l'eurogroupe, l'Allemagne et la B.C.E., je lui fait confiance, il la gagnera, si je lui ai donné le surnom de Bulldog n'est pas pour rien, j'ai compris sa pugnacité et sa force de caractère.

    Toutefois, j'ai l'impression que lui et son parti n'ont pas compris que l'Union-Européenne et tout ce qui s'y rattache ne peuvent que disparaître en même temps que son créateur U.S. et l'économie-monde, cela en tout état de cause, ce qui ne pourra que les déstabiliser, j'espère le moins longtemps possible pour ensuite absorber ce qu'il restera du P.C.F..

    Je passe rapidement sur le sujet Vert/P.S./U.D.I./U.M.P, dit "Les Américains", ils n'ont, pour moi, plus aucune espèce importance, hormis quelque individualités qui sauront rebondir rapidement lorsque la globalisation commencera à décliner, voire, pour certains, réagir avec intelligence et vigueur, les divers verrous dus à ce bloc sus-nommé ayant sauté, ils pourront, tout à loisir, développer leur intelligenceP1000632.JPG politique.

    Le F.N. ne peut que retenir un bref instant mon attention.

    D'un discours paraissant anti-européen, ce parti et ses adeptes sont, en réalité, viscéralement eurolâtre.

    il n'est que de voir les œillades appuyées que Madame le Pen lance au petit père des peuples Juncker ou à Frau Merkel, ou bien de savoir que si Le Pen fifille devient présidente de la république elle ne fera que rediscuter les accords de l'eurogroupe, moins, en somme, que ce que fit Monsieur Tsipras et son gouvernement (nous savons tous à quoi cela a pu aboutir), nous ne pouvons que concevoir que ce mouvement n'est que l'un des chevaux de Troie à la solde des eurolâtres et américanolâtres.

    La visite de sa présidente aux États-Unis-d'Amérique, à un gala donné par les puissances d'argent de là-bas en son honneur, comme étant la femme la plus importante de l'année pour la France et l'Europe, est également la preuve que ce parti ne mange pas seulement aux râteliers de l'eurogroupe mais aussi à ceux de l'empire U.S..

    Il est des traitrises qui ne s'oublient pas!

    Tout comme celle perpétuée par Monsieur Sarkozy, lorsqu'il avait vendu l'or de la patrie au même empire, à un prix défiant toute concurrence.

    Mais lui, au moins, ne faisait pas preuve d'un tel double discours.

    Passons, là encore, le M.E.D.E.F., la C.F.D.T., comme n'ayant, non plus, aucune importance, ils seront, comme d'autres, balayés par cette prochaine déferlante.

    Les journalistes en vu dans les médiats officiels seront rapidement remplacés par des gens plus capables, sauf, peut-être, Lise Lucet, d'une certaine intelligence et finesse, si elle sait retourner à temps sa veste.

     

    J'ai déjà évoqué les tensions futures qui ne pourrons que se produire entre l'Inde et la Chine.

    Ces deux géants, en puissants voisins se toisant dans les hauteurs de l'Himalaya, ne se sont alliés, pour l'instant, au sein des B.R.I.C.A. que pour limiter le pouvoir, devenu de seul nuisance, des États-Unis-d'Amérique.

    Leur gouvernement subiront les foudres de leurs populations lorsqu'elle sentiront se retirer sous leurs pieds leur rêve occidental de classe-moyenne et de consommation de masse.

    Là se trouve, comme je l'ai déjà

  • Trump, d'empire à colonie, fin...

    L'empire américain s'en va silencieusement, nous quitte sur la pointe des pieds, file à l'anglaise.

    Son repli sur soi affole la foule des eurolâtres et les américanolâtres tremblent de ne plus avoir de modèle à vénérer.

    Dorénavant ils se retrouvent seuls, sans maître pour dire le vrai et le faux, pour obéir comme les bons garçons et filles qu'ils sont, et errent sans but dans leur délire montant.

    Déjà les signes se font sentir de leur terrifiante détresse et la classe pathétique des chroniqueurs médiatiques officiels, d'un personnel politique au aboi et de la puissance monétaire épouvantée de sa crainte de perdre son bon argent commence à ravir l'homme et la femme de bien.

    P1000790.JPG

    Plus encore, les deux géants géopolitiques, la Russie et les États-Unis-d'Amérique, s'entendent désormais comme larron en foire et ne sont plus que les petites mesquineries des néocons U.S. pour retenir encore un temps la grosse papatte de Monsieur Trump, lui qui n'attend plus que de serrer  la paluche de Monsieur Poutine.

    Mais diantre, que j'ai pu faire d'erreurs d'appréciations sur trois des sujets les plus importants.

    Je crus ainsi que le nouveau président des Etasunis  était un pure isolationniste, ce qu'il n'est pas.

    Je crus aussi que la Russie de Poutine ne pourrait pas supporter que la France soit dirigée par une Marine Le Pen et que, surtout, que le président russe ferait tout pour que l'Union-européenne disparaisse, or les faits montrent l'inverse, ceci expliquant cela.

    Je crus également que l'équipe poutinienne de gouvernement avait compris que le système économique globalisé touchait à sa fin, contrairement à celle de Trump et de la majorité des chancelleries, alors que des signes ténus montrent que ce serait plutôt aux U.S.A. que cette conjecture se saisit, même si je doute de cela dans son administration centrale.

    Donc, je vais devoir revoir ma copie, repenser ma perception de la dynamique historique actuelle.

    Alors, allons voir de ce qu'il en est.

    PICT0111.JPG

    Il est rare qu'une élection ou la désignation d'un homme politique pour de très hautes fonctions, dans un pays ou une union quelconque, produise des effets géopolitiques tels que cela en fasse très rapidement évoluer l'ensemble des équilibres internationaux, voire en change du tout au tout les relations entre états.

    Au minimum en politique étrangère, la continuité de l'état fait que les évolutions se font, le plus souvent, à pas comptés.

    Lors de ces cinquante dernières années, cela survint par deux fois, à 31 ans d’intervalle, lors de la désignation au soviet suprême de Monsieur Gorbatchev en 1985, puis quand monsieur Trump fut élu président des États-Unis-d'Amérique en 2016.

    P1000834.JPGIl n'est pas clairement visible, pas vraiment clair que l'Union-Européenne soit visée à la destruction par les U.S.A., quand bien même Donald Trump avait déclaré cette union comme étant dépassée et vieillotte, rien ne semble avoir véritablement changé.

    Or, divers événements ou plutôt des indices, souvent ténus, me laissent à penser que des forces discrètes ont patiemment tissé des plans dont nous autres ne seraient que de vagues pions, nous changerions de camp tout en restant dans une situation similaire.

    Ainsi, en France comme dans le reste de l'Union-Européenne, en Russie, aux Etasunis et  en Brande-Bretagne, il semble se passer des événements bien étranges et cela aurait plusieurs années d'origine.

    Ainsi,rien que chez les américains, dans sa nouvelle administration centrale, nous ne comprendrions pas grand chose si nous ne trouvions pas le bon bout de fil pour en démêler l'écheveau.

    Alors je vous propose que nous revenions à la substance de qui est Monsieur Trump, quelle est sa doctrine véritable.

    Nombre d'entre-nous, et moi-même jusqu'à présent, pensaient que ce nouveau président U.S. était un pure isolationniste quand, en fait, il n'en est rien, en réalité c'est un réformateur, comme le furent en leur temps dans l'empire romain, César et Dioclétien par exemple.

    Ces deux exemples montrent qu'un réformateur impérial est de deux types:

    - celui qui chamboule l'ordre ancien lorsque l'organisation de l'empire, en plein dynamisme conquérant, le nécessite, César fut de ceux-là, mais vous remarquerez que cet exemple ne s'accorde pas à ce que peut représenter Monsieur Trump:

    - Celui qui s'appuie sur le socle structurel ancien, culturel, organisationnel, anthropologique, religieux, politique, militaire...,  pour rectifier et régénérer l'empire, Dioclétien ( http://www.lebreviairedespatriotes.fr/28/02/2013/non-classe/diocletien-portrait-dun-empereur-reformateur/ ) en étant un bon exemple, similaire, à mon sens, du président U.S. actuel à près de 1750 ans intervalle.

    Dès lors que l'on comprend sa nature réelle, la cohérence de son action devientP1000674.JPG évidente.

    Géopolitiquement, fragilisé au plus haut point, l'empire ne peut que se replier sur ses appuis les plus précieux et les plus sûrs, Grande-Bretagne, Arabie-Séoudite, Japon, Israël, canada, plus quelques autres plus discrets, le sous-continent sud-américain se devant d'être de nouveau sous son contrôle, d'où son éloignement de Cuba, et l'Océan Pacifique redevient le centre de toute son attention avec, en marge, nécessité faisant loi, la Mer Méditerranée, d'où son soutien d'Israël contre vents et marées.

    Pour le reste, oui les États-Unis-d'Amérique s'isolent, mais cela  est plus due à la conjoncture présente qu'à une véritable volonté de repli sur soi.

    Pour l'économie, matrice symbolique outre-Atlantique, sa situation plus que délétère nécessiterait des mesures vigoureuses, mais justement en raison de cette situation à la limite de la rupture, soit Trump casse tout le plus rapidement possible, ce qui mènera à la faillite généralisée, soit il temporise, auquel cas nous retournerons à notre point de départ.

    Quand à a politique, les forces industrielles qu'il représente font face à une lutte à mort contre les monétaristes néocons dont Madame Clinton est la représentante.

    Comme j'ai pu déjà l'écrire auparavant, la déstabilisation des Etasunis est tel qu'à mon sens la seule volonté de Trump de réformer son pays et son empire, sans même que cela ait apporté de quelconques effets, peut facilement mener à leur désagrégation, voire à leur destruction, d'où la prudence du président U.S..

    P1000807.JPGMais même cette prudence peut leur être néfaste, leur sera néfaste, à la simple vue de la formidable masse de crédits de toutes sortes qui empoisonne véritablement l'économie U.S. et l'Europe.

    Avant que nous n'abordions le triple sujet que sont l'Union-Européenne, les élections françaises et la position ambigüe de la Russie en Europe, je me dois de faire un détour par l'économie.

    En effet, le prix du pétrole reprend son effondrement, stagnant entre 53 et 54$ depuis quelques temps, il en est aujourd'hui à 47$70 ( http://www.businessbourse.com/2017/03/24/petrole-finit-baisse-a-new-york-a-4770-dollars-baril/ )  ce qui était à prévoir, sa baisse de production de l'année dernière et du début de l'année suivante en en ayant fait monté les prix, les industries nationales et internationales se retrouvent de plus en plus étranglées.

    Les classes-moyennes se retrouvant largement appauvries, en Occident et hors d'Occident, elles sont forcées de ne plus acheter que l'essentiel, de quoi se nourrir, de se vêtir et de se loger, délaissant de plus en plus cet accessoire qui fait la puissance des échanges marchands.

    Ce phénomène fut un moment légèrement compensé par les dépenses que firent, toujours en Occident, les petits rentiers qui craignaient, avec raison, que les banques ne leur confisquassent leurs petits pécules.

    Mais il est à craindre que ces dépenses en soient venues à se tarir, la voiture neuveP1000767 - Copie.JPG achetée, le toit refait, la maison réaménagée, les enfants et petits-enfants gâtés..., ne reste plus, dans les coffres des établissements bancaires, que le minimum pour le cas où...

    Ce qui a généré un effet pervers, celui d'avoir encore plus affaibli des banques ayant moins de fond en coffre, et qui, déjà, se retrouvaient toutes aux portes de leur banqueroute.

    A ceci, il faut y rajouter un étonnant blocage de Wall Street, au plus haut depuis mi-Février ( eod.aspx?s=DJIAx ), monté passée en raison des Q.E. qui ont pris fin, blocage dû à ce que les banques centrales, dont la F.E.D., savent pertinemment que dorénavant la moindre baisse boursière un petit peu rapide pourrait provoquer un affolement généralisé menant à l'effondrement de l'économie-monde.

    C'est pourquoi, maintenant, la dernière cartouche anti-crash ayant été épuisée, nous allons droit vers la faillite de la globalisation heureuse par la désindustrialisation généralisée, sans que quoi que ce soit ne puisse en freiner l'échéance, échéance qui, comme pour tout système chaotique, ne peut être intuitivement prévu que peu de temps avant son avènement, ici la pensée logique n'étant pas d'une grande utilité.

    C'est cet événement qui, pour beaucoup de monde, est devenu improbable puisque sa survenue se fait avec retard.

    P1000169.JPGSongez que depuis 2008 de nombreuses fois de maints signes montraient qu'il s'approchait de nous.

    De plus, de 2012 jusqu'à la fin de l'année 2016, ces signes devenaient visibles, évidents même, sans que quoi que ce soit ne se passe, ou n'aient eu l'air de se passer.

    Mais pendant ce temps là, silencieusement, sans faire le moindre bruit, les entreprises périclitaient, plus lentement, certes, mais elles périclitaient, les banques se fragilisaient et les pays ainsi que leur peuple s'appauvrissaient.

    Voilà pourquoi presque plus personne n'imagine que cela puisse arriver.

    De plus, songer que la société dans laquelle nous vivons puisse basculer comme cela avec une telle violence ne pouvant qu'être que de l'ordre du cauchemar, cette idée s'est retrouvée collectivement refoulée, plus encore au sein des élites des nations qu'au cœur des populations.

    Mais revenons à la Russie et à l'Union-Européenne.

    J'ai pu penser, un moment, que la Russie de Poutine, que son gouvernement était conscient de cet effondrement, or je pense aujourd'hui qu'il n'en est rien.

    La raison que je m'en fait est certes un petit peu complexe et pourrait sembler hors sujet mais laissez-moi m'en expliquer.

    Cela a un lien très fort avec la campagne électorale actuelle et le Front-National.IMGP0440.JPG

    Depuis quelques temps déjà ce parti est régulièrement invité par un média web d'essence russe, Sputnik, et ce sans que la nécessité ne s'en fasse clairement ressentir, ce qui avait quelque peu éveillé mes soupçons.

    Je les avais écarté, bien que mon intuition me susurrais des alertes régulières, c'est ainsi que survient le déni: je n'y croyais pas, je n'imaginais pas les russes assez sot pour aider à l'élection de la fifille de son terrible papounet.

    Donc, lorsque j'appris que la cheftaine F.N. fut invité à la Douma, l'assemblée législative russe, un mois seulement avant ces élections, le déni que je me faisait d'une Russie qui voudrait dominer l'Union-Européenne s'effaça et cette idée me devint une évidence.

    Pourquoi le F.N. serait-il ainsi si courtisé par la Russie, j'en vois plusieurs causes:

    -Il est facilement manœuvrable, le tout s'agissant d'offrir ce qui ferait plaisir à ses cadres;

    -Ce parti ne veut pas que la France quitte l'Union-Européenne, la preuve en est que lors du débat sur la première chaîne, Madame Le Pen avait bien dit qu'il fallait le pays se sépare de l'euro mais à aucun moment elle ne dit que la France doive se séparer de l'U.E. et de l'O.T.A.N.;

    P1000741.JPG-Il a, tout comme l'immense majorité des autres partis politiques, sauf l'U.P.R., absolument besoin qu'un pays dominateur lui dicte ce qu'il doit faire;

    N'oublions pas que Madame Le Pen s'était rendu à la tour de Monsieur Trump, juste après l'élection de son propriétaire, pour, je le suppute, se faire adouber par lui.

    Puisque le nouveau président U.S. n'avait pas daigné rencontrer sa visiteuse, il était logique qu'elle alla chercher ailleurs un seigneur par qui être commander.

    Ainsi, avoir maintenant la bénédiction de la Russie et de son président, Monsieur Poutine, le héro de l'anti-empire américain, lui offre une excellente écoute de ses électeurs, mais bien entendu cela ne peut qu'avoir un prix.

    Quel est ce prix?

    L'Union-Européenne et avoir la paix chez les français pardi, l'histoire de France montrant que notre pays est le plus instable politiquement, si les russes veulent que l'Union-Européenne soit sauvegardé tel quel, il leur faut absolument un parti politique à sa botte qui puisse conserver le peuple sous sa férule.

    Vous remarquerez que l'élection de Donald Trump et celles, présidentielles qui viennent en France, furent précédées par le référendum britannique dit du brexit.

    A ce niveau là, croire au hasard ce serait faire preuve d'une immense candeur, comment imaginer que les U.S.A. puissent se séparer de ce si proche allié, le seul véritable peut-être qu'est le Royaume-Uni?P1000758.JPG

    Mon explication logique de ces concomitances intrigantes serait que ce qu'il se passe actuellement soit la résultante d'un plan ourdi longtemps en avance, par une équipe tripartite britannique, étasunienne et russe.